23 octobre 2025 |

Ecrit par le 23 octobre 2025

Denis Duchêne, patron des Fines Roches, ne sera pas candidat à Entraigues

« C’est un choix qui a été très difficile à faire. J’ai longuement pesé le pour et le contre. Au terme de six mois de réflexion, d’interrogation, j’ai pensé que je ne pouvais pas tout faire, être présent partout », confie Denis Duchêne d’une voix grave empreinte d’émotion.

Celui qui avait mené la liste ‘Nouvelle dynamique pour Entraigues’ en 2020 et avait obtenu 36,37% des suffrages face au maire sortant, le communiste Guy Moureau réélu (57,08% des voix) pour un 7ᵉ mandat, ne se représentera pas aux Municipales, les 15 et 22 mars prochains.

« Pendant ces cinq années, avec mon équipe, nous avons défendu avec force la voix de celles et ceux qui nous ont fait confiance. Nous avons représenté une opposition constructive, en menant des débats parfois vifs, mais toujours respectueux. Nous avons également dénoncé certaines dépenses inutiles financées par nos impôts », écrit Denis Duchêne dans une lettre ouverte adressée aux Entraiguois.

« Je ne serai pas candidat aux prochaines élections municipales de 2026. »

Et il en vient au fait, sans détours. « Aujourd’hui, c’est avec beaucoup d’émotion, et une pointe de tristesse aussi, que je vous écris. Mais ce n’est pas pour vous parler de projets, d’échéances ou de futurs engagements. C’est pour vous confier une décision profondément réfléchie ; je ne serai pas candidat aux prochaines élections municipales de 2026. »

« Cette décision n’a pas été facile à prendre, croyez-le bien. Elle ne s’est pas prise sur un coup de tête, car je mesure l’honneur d’avoir gagné votre confiance, votre écoute et vos espoirs. Et même dans la défaite, en pleine pandémie, je me suis senti porté par ce lien fort qui nous unit : l’amour d’Entraigues. Depuis ce scrutin, nous n’avons jamais déserté le terrain, nous avons poursuivi notre engagement dans les commissions, les conseils municipaux, avec les associations, les échanges privés et publics, mais la vie, vous le savez, suit des chemins inattendus. »

« En 2020, je me suis lancé dans un nouveau défi professionnel en rachetant l’Hostellerie des Fines Roches à Châteauneuf-du-Pape. En 2025, j’ai poursuivi cette aventure avec l’acquisition de la brasserie La Mule du Pape en m’associant avec deux amis, cela m’amène à gérer plus de 45 salariés au quotidien. Depuis quelques années, un autre engagement occupe aussi une part importante de mes activités, la CPME (Confédération des Petites et Moyennes Entreprises) de Vaucluse dont je suis le 1ᵉʳ Vice-Président. Un poste important pour accompagner les entrepreneurs et les commerçants, pour soutenir le tissu économique local, promouvoir l’emploi de proximité. C’est un autre combat, mais il est, lui aussi, profondément tourné vers l’humain. Ces responsabilités m’obligent à reconnaître qu’il me serait impossible de concilier ces engagements professionnels avec un nouveau mandat municipal avec la rigueur et le dévouement que cela impose. »

« Entraigues, c’est une partie de moi et de mon histoire. »

Il poursuit « J’ai choisi de vous en parler maintenant avec franchise, je ne veux pas tricher avec vous. C’est avec conviction que j’ai dénoncé le cumul des mandats et les indemnités du maire en place. Malgré le discours de façade et le bien d’Entraigues, cet homme doit cesser de ‘commander’  cette mairie en 2026, car il est dépassé. Je n’efface rien de mon engagement d’hier, ni de mon amour pour cette commune. Entraigues, c’est une partie de moi et de mon histoire et cela le restera quelles que soient mes nouvelles fonctions. »

Denis Duchêne continue à expliquer sa décision de ne pas se représenter aux municipales. « Je vois tous les enjeux qui s’annoncent pour notre ville, il y a tant à faire encore, je ne peux m’empêcher de regretter de ne pas être parmi ceux qui, demain, auront à y répondre en 1ère ligne. J’adresse aussi un mot à tous ceux qui m’ont accompagné, soutenu, conseillé, parfois critiqué avec justesse : merci. Tout cela fait vivre la démocratie locale, mon engagement pour Entraigues ne s’éteint pas, il prend une autre forme, moins visible, peut-être moins politique officiellement, mais tout aussi sincère. Je resterai un citoyen vigilant, disponible, soucieux de l’avenir de notre territoire. Je resterai à votre écoute et qui sait ? La vie réserve parfois des surprises… »

Il conclut : « Je mesure la chance que j’ai eue de pouvoir vous représenter, même depuis l’opposition. Je vous ai écrit cette lettre avec sincérité, avec toute ma gratitude, mon respect et mon affection. »

Denis Duchêne, qui a un double engagement professionnel (ce qui est déjà très chronophage puisqu’il emploie 45 salariés) et un 3ᵉ patronal à la CPME où des élections auront lieu, précisément en mars prochain, et il pourrait s’y impliquer davantage. Sans parler de sa vie d’homme, de papa d’une jeune lycéenne de 15 ans. Il a aussi « envie de vivre une belle aventure » avec toutes ses facettes, toutes ses responsabilités.


Denis Duchêne, patron des Fines Roches, ne sera pas candidat à Entraigues

Appelant à davantage de stabilité et de simplification, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) de Vaucluse profite de sa traditionnelle conférence de presse de rentrée pour demander à ce que l’on encourage ceux qui font tourner l’économie. Avec en point de mire, les prochaines élections municipales où la confédération patronal présidée par Bernard Vergier entend bien porter la voix des entrepreneurs vauclusiens dans les principales villes du département.

« Nous traversons une période difficile et incertaine, observe avec inquiétude Bernard Vergier, président de la CPME de Vaucluse. Notre économie est particulièrement en souffrance et paye aujourd’hui les conséquences de plusieurs années de tumulte. L’instabilité politique qui s’installe vient accentuer ces épreuves. »
Pour le président de la première organisation patronale du département et ses 900 adhérents directs, la priorité est de « retrouver rapidement de la stabilité et de la visibilité pour que nos entreprises puissent faire face à l’inquiétude grandissante de nos chefs d’entreprise, à des carnets de commande en baisse, aux investissements suspendus, aux défaillances d’entreprise en hausse ainsi qu’au dérapage incontrôlé des finances publiques. »
Un constat sans appel pour celui qui veut redonner envie aux Français de travailler plus : « il nous faut encore plus de productivité, il est impératif que nous encouragions ceux qui font tourner notre économie. »

Urgence à traiter de nombreux dossiers
Pour cela, la CPME 84 estime que les sujets à traiter sont nombreux : loi de finance prévoyant une fiscalité pour les entreprises stable et compétitive, politique durable d’aide à l’apprentissage, aide à l’embauche incitative pour les entreprises, éclaircissement pérenne du dispositif ‘Ma prime renov’ pour le secteur du bâtiment, stabilité dans les modalités de la certification Qualiopi (9 versions en 3 ans) dans le cadre de la formation professionnelle, cohérence de la réforme des règlementations thermiques très contraignantes pour les petits propriétaires, amélioration rapide du guichet unique piloté par l’INPI, véritable réforme de l’assurance chômage et une incitation plus forte à la reprise d’activité afin de lutter contre le chômage de complaisance, simplification administrative et fiscale…

Nos décideurs politiques ont donc du pain sur la planche, car pour la Confédération des petites et moyennes entreprises, les dossiers urgents ne manquent pas. « Nos PME sont de véritables moteurs de croissance et d’emploi, ne n’oublions pas », insiste Bernard Vergier.

Petit-déjeuner sur la réforme de la facture électronique
Chaque année, la CPME 84 propose près de 70 rendez-vous à ses adhérents. Dans ce cadre, la Confédération vauclusienne organise un nouveau petit-déjeuner sur le thème : ‘La réforme de la facture électronique : une opportunité de compétitivité pour les entreprises’.
Une matinée sur les nouvelles modalités de la facture électronique qui doivent être en mise en place pour septembre 2026 animée par Valérie Schneider, directrice commerciale régionale – SG SMC Avignon, Laure Ousset, responsable du marché des professionnels – SG SMC Avignon, Vanessa Bisson, chef de marché au sein de la direction des marchés – SG et Roxane Guétal, directrice territoriale et expert-comptable chez Rydge Conseil (ex KPMG).
‘La réforme de la facture électronique : une opportunité de compétitivité pour les entreprises’. Jeudi 9 ocotbre. De 8h30 à 10h30. Mercure Avignon-TGV. 2, rue Mère Térésa. Avignon. Inscription et renseignement : 04 90 14 90 90 ou contact@cpme84.org

Les CPME 84 entend faire entendre la voix des entrepreneurs lors des élections
Municipales, présidentielle, législatives, départementales, les élections vont se multiplier à partir de l’année prochaine. Dans cette optique, la CPME de Vaucluse entend plus que jamais porter la voix des entrepreneurs locaux, notamment celles de 8 000 entreprises vauclusiennes qu’elle fédère avec ses branches professionnelles) lors de ces différents scrutins. A commencer par celui des municipales de mars 2026 qui entrainera ensuite la mise en place des conseils communautaires « si importants pour le développement économique local ».

« Indépendamment de leurs sensibilités politiques, nos futurs élus doivent comprendre qu’il est impératif de positionner durablement les entreprises, en particulier nos TPE et PME, qui représentent dans notre département 99% des entreprises, ainsi que l’ensemble de notre économie au cœur des décisions. »

« Je voudrais qu’Avignon redevienne une vraie locomotive économique. »

Bernard Vergier, président de la CPME 84

L’occasion pour Bernard Vergier ‘d’égratigner’ le bilan de l’actuelle municipalité : « Notre chef-lieu doit retrouver un développement positif et s’attacher aux problématiques structurelles de propreté, de circulation et stationnement, de sécurité et d’attractivité des commerces. Je voudrais qu’Avignon redevienne une vraie locomotive économique afin de tirer tout le Vaucluse qui figure parmi les départements les plus pauvres de France. »

« Il faut nous écouter car nous sommes proches du terrain, poursuit le président de la CPME 84. Ce que nous voulons c’est le bon sens et la raison. Les élus doivent impérativement tenir compte des problématiques en tout genre de nos entrepreneurs sur le terrain. Car sans entreprises privées, pas de recettes fiscales, pas de création de richesses, pas d’investissement, pas de redistribution ni d’aides sociales et enfin pas de financement des infrastructures publiques. »

Habiter à Villeneuve mais voter à Avignon ?
Afin de peser encore davantage sur le prochain scrutin des municipales, la CPME 84 veut inciter les chefs d’entreprise et commerçants locaux à s’inscrire sur les listes électorales de la commune où se trouvent leur entreprise ou leur commerce. « On peut très bien habiter à Villeneuve-lès-Avignon ou Les Angles et voter sur Avignon », explique Bernard Vergier.
« Pour cela, il faut avoir au moins 2 ans d’ancienneté en temps que dirigeant ainsi qu’avoir son commerce installé dans la commune depuis 2 ans », complète Olivier Pieri, secrétaire général de la CPME 84 en s’appuyant sur l’article L11 du code électoral.

« La solution c’est la LEO. »

Une allusion directe à la LEO (Liaison Est-Ouest), le contournement par le Sud de l’agglomération avignonnaise pour lequel la CPME de Vaucluse s’est particulièrement mobilisée : « Encore une fois, les tranches 2 et 3 de la Liaison Est-Ouest doivent être une priorité car il y a un vrai problème de pollution sur la rocade et ses habitants. C’est alarmant en termes de santé publique ! Il faut prendre des décisions. Mais vouloir faire passer les transporteurs par Noves ou à Orange comme c’est envisagé par certain, c’est déplacer le problème. Ne tuons pas cette profession. La solution c’est la LEO car en termes d’infrastructures nous avons 50 ans de retard. »
L’occasion pour Bernard Vergier d’appuyer ensuite sur les difficultés de déplacement et de mobilité dans l’agglomération de la cité des papes : « le plan de circulation au sein de la ville d’Avignon doit être revu et des solutions de stationnement efficaces mises en place pour sauver le commerce de proximité. »

Un constat partagé par Marie-Pierre Ghirardini, administratrice de la CPME 84 et directrice de l’Hôtel d’Europe depuis 2013 : « il y a ce problème de circulation. Il y a une vingtaine de restaurants du centre-ville en redressement alors que sur Villeneuve-lès-Avignon et Les Angles il y a plein de petits restaurants qui ont été créés et qui sont remplis. Les gens ne viennent plus car les gens car ils sont angoissés à l’idée d’y venir stationner. Ils ont peur de louper leur rendez-vous. L’intra-muros est vraiment pénalisé. C’est la même chose pour les artisans qui interviennent auprès des professionnels ou des particuliers, ils reçoivent une myriade de PV. »

Nouvelle édition des trophées des entrepreneurs positifs
La CPME 84 organise, en partenariat avec la CPME SUD, la sixième édition des trophées des entrepreneurs positifs. L’évènement se déroulera jeudi 2 octobre prochain à partir de 18h à la Factory Avignon au Pontet. Cette année, 39 dossiers de candidature ont été reçus afin de concourir dans les différentes catégories (Courage, Persévérance, Eco-responsabilité, Créativité, Solidarité et Bienveillance) afin de succéder aux précédents lauréats départementaux de l’édition 2024. Des lauréats qui s’étaient ensuite particulièrement distingués lors de la finale régionale à Gréoux-les-Bains en plaçant deux entreprises vauclusiennes parmi les six vainqueurs régionaux. Cette année, c’est à Marseille que la grande finale de la Région Sud se tiendra le 20 novembre prochain à Marseille.
Trophée des entrepreneurs positifs 2025. Jeudi 2 octobre. 18h. Factory Avignon. 107, allée de Virée Abeille. Le Pontet. Rencontre limitée aux 180 premières inscriptions sur contact@cpme84.org

« Aujourd’hui, je vois des décisions allant souvent à l’encontre de notre vie quotidienne d’artisans-commerçants. »

Denis Duchêne, vice-président de la CPME 84

De son côté, Denis Duchêne, propriétaire de l’Hostellerie du château des fines roches et vice-président de la CPME 84 regrette pour sa part « une relation entre les politiques et les syndicats représentatifs comme le nôtre qui n’existe pas alors que nous devrions pouvoir travailler ensemble. Aujourd’hui, je vois des décisions qui sont prises allant souvent à l’encontre de notre vie quotidienne d’artisans-commerçants. J’espère vraiment que cela s’améliorera. Pour cela, il faut une évolution à Avignon mais aussi autour, notamment le Grand Avignon. »
« Ce qui nous intéresse c’est l’économie vauclusienne, et son cœur c’est Avignon », martèle Bernard Vergier.

Dans cet optique, la CPME entend jouer pleinement son rôle d’aiguillon auprès des futurs maires de Vaucluse. La Confédération a ainsi déjà rencontré 3 candidats déclarés sur Avignon pour évoquer leur projet. Ensuite, comme en 2020, la CPME rassemblera en février prochain les principaux candidats des 12 plus grandes villes de Vaucluse pour les soumettre à un questionnaire économique et social afin de se déterminer sur leur programme.
En attendant, malgré « le contexte compliqué, les chefs d’entreprise de notre organisation se démènent pour garder le cap, continuer à innover, investir et recruter » insiste Bernard Vergier.

Laurent Garcia

Formation juridique avec le cabinet Barthélémy
La CPME 84 propose une formation juridique animée par Maître Hélène Quilichini, avocate associée spécialisée en droit social au cabinet Barthélémy Avocats. Ce rendez-vous aura pour thème : ‘Accident du travail, maladies professionnelles : reconnaissance et obligations du chef d’entreprise’.
L’occasion d’aborder des questions comme ‘Que recouvrent les notions d’accident du travail, d’accident de trajet, de maladie professionnelle ?’, ‘Quelles sont les obligations à la charge de l’employeur, du salarié ?’, ‘Quels sont les moyens de contestations possibles ?’, ‘Quelles sont les conséquences directes et indirectes de la reconnaissance du caractère professionnel d’un accident ou d’une maladie pour l’employeur ?’ ou bien encore ‘Quelles sont les conséquences de la réalisation du risque professionnel ?’.
Formation juridique. Mardi 30 septembre. De 8h30 à 12h. Novotel Avignon-Nord. 135, avenue Louis Pasteur. Sorgues. Inscription et renseignement : 04 90 14 90 90 ou contact@cpme84.org


Denis Duchêne, patron des Fines Roches, ne sera pas candidat à Entraigues

La CPME 84 (Confédération des petites et moyennes entreprises du Vaucluse propose aux entreprises une matinale-débat : ‘Le CSE : outil d’optimisation du dialogue social au sein des PME’ jeudi 5 juin à 8h30.

Le CSE, Comité social et économique est un outil d’optimisation du dialogue social au sein des PME (Petites et moyennes entreprises). C’est un instrument d’analyse et d’appui au dialogue social et à la négociation et une instance tripartite instituée au niveau départemental par décision de l’autorité administrative compétente et composée de représentants des organisations syndicales salariales et patronales, et du directeur départemental adjoint de la DDETS (Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités. Pourtant, le Comité Social et Economique (CSE) est encore souvent mal connu et parfois peu exploité au sein des entreprises. 

Réglementation et témoignages d’entreprises
Après un rappel très synthétique de la réglementation en vigueur, plusieurs entreprises viendront apporter leur témoignage sur la manière dont elles ont mis en place l’instance, sur son fonctionnement et sur les apports constatés. Un temps de questions / réponses avec la salle viendra compléter ces témoignages. Cette matinale-débat aura lieu en présence de Sébastien Maggi, sous-préfet du Vaucluse.

Les infos pratiques
CPME 84. Matinale-débat : ‘Le CSE outil d’optimisation du dialogue social au sein des PME’ Jeudi 5 juin. 8h30. Préfecture de Vaucluse. 2, avenue de la Folie à Avignon. Amphithéâtre Vallis Clausa. Bâtiment B. Parking gratuit. Covoiturage possible. contact@cpme84.org
MMH


Denis Duchêne, patron des Fines Roches, ne sera pas candidat à Entraigues

L’association Fiers d’être Artisans, dont la CPME 84 et Fédération du BTP 84 sont membres fondateurs, s’associe au Département de Vaucluse pour une visite exclusive de ‘Memento’ : le chantier des archives départementales.

Memento, futur Pôle des patrimoines de Vaucluse, est un bâtiment de 9 000 m² actuellement en chantier sous maîtrise d’ouvrage du Département. Memento sera à la fois un lieu de conservation et d’étude mais aussi de transmission, grâce à sa salle de lecture, ses espaces d’exposition et son auditorium. Cette opération, d’un coût de 30,8 M€ HT, est financée par le Département avec des participations de l’Etat, de la Région Sud Paca et du Grand Avignon.

Les infos pratiques
Visite du chantier Memento. Mardi 28 janvier. De 9h30 à 11h30. Rue Marcel Demonque, Agroparc à Avignon. La visite, désormais complète était limitée aux 50 premiers inscrits. Renseignements et Inscriptions pour les futures opérations, ici.

Copyright Département de Vaucluse, service communication


Denis Duchêne, patron des Fines Roches, ne sera pas candidat à Entraigues

Après avoir organisé les trophées départementaux des entrepreneurs positifs en octobre dernier. Après avoir placé deux entreprises vauclusiennes parmi les 8 lauréats régionaux de la de la grande finale de la 5e édition des Trophées régionaux des entrepreneurs positifs 2024 de la CPME Sud qui vient de se tenir au centre des congrès de Gréoux-les-Bains. La CPME de Vaucluse vient de remporter le trophée ‘Coup de Cœur Unions Territoriales’ de la CPME Nationale.

Cette distinction a été remise à l’occasion de la convention annuelle des permanents de la Confédération présidée par François Asselin qui s’est tenu fin novembre à Paris. C’est d’ailleurs ce dernier qui a remis en main-propre ce trophée à Olivier Pieri, le secrétaire général de la CPME 84.

Reconnaissance des autres territoires
Durant cette convention nationale, 5 prix ont été remis : 4 décerné par un jury et 1, le coup de cœur, attribué par l’ensemble du réseau des 112 unions territoriales de la Confédération des petites et moyennes entreprises. C’est donc les autres territoires qui ont voté pour le Vaucluse.

« Un très grand merci aux autres départements et régions qui ont voté pour notre organisation », insiste la CPME 84. Présidée par Bernard Vergier, la CPME de Vaucluse regroupe près d’un millier d’adhérents directs. Première organisation patronale du département, la structure propose plus d’une cinquantaine d’événements pas an. Un dynamisme régulièrement mis en avant par Alain Gargani, président de la CPME Sud, actuellement en campagne afin de succéder à François Asselin qui ne se représente pas à la présidence nationale de la CPME.


Denis Duchêne, patron des Fines Roches, ne sera pas candidat à Entraigues

Après les trophées départementaux, l’ensemble des lauréats de Provence-Alpes-Côte d’Azur viennent de se retrouver au centre des congrès de Gréoux-les-Bains pour la grande finale de la 5e édition des Trophées régionaux des entrepreneurs positifs 2024 de la CPME Sud.

Ils étaient 6 lauréats départementaux à être en lice pour devenir un des entrepreneurs positifs 2024 de la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) Sud. Sur la ligne de départ face aux candidats des 5 autres départements de la région : Aurélie Panattoni, PDG de l’Ibis Styles Avignon sud (prix du courage), Vincent Chabbert, créateur de Tut Tut France à Avignon (prix de la créativité), Juliette Durand PDG du Moulin Vallis Clausa à Fontaine de Vaucluse (prix de la persévérance), Adrien Brusetti, président du U Express d’Althen-des-Paluds (prix de la solidarité), Hervé Djaouane, patron de Simon à Avignon (prix de la bienveillance) et L’Echo du Mardi (prix de l’éco-responsabilité).

« Vous êtes la richesse des territoires. »

Alain Gargani, président de la CPME Sud

« Avec toute cette énergie, ce talent qui va résonner tout au long de cette soirée, vous êtes, vous les chefs d’entreprise, la richesse des territoires », a tenu à rappeler Alain Gargani, président de la CPME Sud, en préambule de cette 5e édition des trophées des entrepreneurs positifs. Et devant plus de 350 personnes venues assister à cet soirée-événement, le président, qui est également en campagne pour briguer l’investiture nationale (voir en fin d’article), de se féliciter que ce modèle des trophées régionaux des entrepreneurs positifs essaime prochainement dans d’autres régions de France.

En tout, 8 entrepreneurs régionaux ont donc été distingués lors de cette 5e édition (voir encadré ci-dessous). Parmi eux, deux Vauclusiens sont à l’honneur : Juliette Durand, du Moulin Vallis Clausa à Fontaine de Vaucluse qui remporte de prix régional de la Persévérance et Hervé Djaouane, patron de Simon à Avignon vainqueur du prix du public.

Les lauréats des Trophées régionaux des entrepreneurs positifs 2024 de la CPME Sud
Prix Éco-responsabilité : Eden Ecosystem pour les Alpes-de-Haute-Provence
Prix Solidarité : Espoir au sommet pour les Hautes-Alpes
Prix Courage : Digilangues pour les Alpes-Maritimes
Prix Bienveillance : T’Cap21 pour les Bouches-du-Rhône
Prix Créativité : La Boite Immo pour le Var
Prix Persévérance : Vallis Clausa pour le Vaucluse
Prix du Jury : Green score capital pour le Var
Prix du Public : Simon pour le Vaucluse

« Un dirigeant d’entreprise, il faut qu’il ne recule devant rien. »

Bernard Vergier, président de la CPME 84

« C’est à Fontaine de Vaucluse, dans une ancienne papeterie qui a fermé dans les années 70, que s’est installé le Moulin à papier Vallis Clausa qui un groupement culturel et artisanal, explique Juliette Durand. Mon grand-père faisait partie des premiers actionnaires. Ensuite, c’est mon père qui a pris la présidence de la société pendant de nombreuses années et j’ai pris la suite il y a maintenant 4 ans. C’était un très, très gros challenge parce que l’entreprise était en grande difficulté depuis de nombreuses années. Sur un site avec de vieux bâtiments et des machines très anciennes. Cela a été un gros dépoussiérage, il a fallu essayer de faire des nouveaux produits, de développer des nouveaux papiers. »
« Un dirigeant d’entreprise, il faut qu’il ne recule devant rien, insiste Bernard Vergier, président de la CPME 84 lors de cette remise du prix de la persévérance à Vallis Clausa. Qu’il surmonte tous les obstacles, qu’il trouve toutes les solutions, qu’il se distingue, qu’il s’investisse, qu’il s’adapte, qu’il dialogue, qu’il partage… Le tout avec un esprit d’équipe. Et si cette personne tombe, il faut qu’elle se relève. C’est ça la persévérance ! Ce soir, nous célébrons celles et ceux qui, malgré les épreuves, n’ont jamais perdu cet enthousiasme, cette volonté de faire, de faire mieux, de faire plus et de faire autrement. »

Juliette Durand (2e en partant de la gauche) et sa collaboratrice (2e depuis la droite) reçoivent le prix de la Persévérance pour le Moulin Vallis Clausa. Dr

« Mon quotidien, c’est trouver des solutions en permanence. »

Juliette Durand, du Moulin Vallis Clausa

« Travailler avec des machines si anciennes, c’est un défi quotidien parce qu’il y a toujours des problèmes, confirme la lauréate vauclusienne qui fabrique du papier comme on le faisait au XVe siècle. Mon quotidien, c’est trouver des solutions en permanence. Et parmi les aspects qui sont très importants, il y a le fait de faire perdurer ce savoir-faire et de former en interne des salariés à de nouvelles compétences. »
Prochaine étape pour Vallis Clausa : l’ouverture au printemps de 2025 d’un village de santon Provençaux.

Venu remettre ce prix de la persévérance, notre confrère Frédéric Delmonte pour Les Nouvelles publications complète : « Persévérer, c’est une valeur qui me parle. Parce que quand on persévère, on lève des obstacles, on trouve des solutions pour avancer. Et généralement, les personnes qui persévèrent ont toujours des choses intéressantes à raconter aux journalistes ! »

Hervé Djaouane et une partie de l’équipe de Simon lors de la remise de pris du public 2024.

« Notre leitmotiv c’est de rendre service à nos clients. »

Hervé Djaouane, patron de la société Simon

Entreprise Simon : à l’insu de son plein grain
Déjà lauréate du prix de la Bienveillance, l’entreprise Simon a donc obtenu le prix du public.
« Nous sommes dans le secteur du bâtiment depuis 70 ans cette année, explique Hervé Djaouane, patron de la société avignonnaise Simon pour présenter son activité. Nous faisons de la plomberie, du chauffage, de la climatisation, de l’électricité… Nous intervenons dans les secteurs de l’énergie, de l’eau, de l’air et on dépanne tout ce que l’’on peut dépanner. Notre leitmotiv c’est de rendre service à nos clients. »
« Le prix du public, cela fait vraiment plaisir », reconnaît Hervé Djaouane dont la société est implantée dans la zone d’activité de Courtine. Un entrepreneur inscrit à son insu par ses salariés à cette 5e édition des Trophées CPME-Sud.
« Merci à tous d’avoir voté pour nous, poursuit-il. Comme la première fois, ce nouveau prix c’est une véritable surprise. Ce sont mes collaborateurs et mon équipe, dont 7 compagnons, qui ont porté la candidature. »

« L’économie est en danger. »

Alain Gargani, président de la CPME Sud

Au-delà de cette soirée honorifique destinée à mettre en avant le dynamisme des entreprises de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Alain Gargani, actuellement en campagne afin de briguer la présidence nationale de la CPME, a tenu également à faire part de ses inquiétudes par rapport à la conjoncture actuelle.
« Je parcours depuis quelques mois la France afin de rencontrer les entrepreneurs de nos territoire, explique-t-il. L’économie est en danger. Quelle que soit la fédération, quelle que soit l’entreprise de France, TPE, PME, elle est en danger. Un danger chronique avec la Covid, le coût de l’électricité et de l’énergie, l’augmentation des matières premières, une fiscalité étouffante, une sur-transposition des normes… Partout, les entreprises souffrent. Et là, est-ce qu’on est en train de nous prévoir ? Cela va être encore pire. Une instabilité politique nationale, qui vient freiner le développement et l’engagement des entrepreneurs sur les territoires. Le tout avec une concurrence déloyale européenne, voire internationale. La compétitivité de nos industries s’effrite et nous sommes donc encore loin de la réindustrialisation. ».

« La CPME doit être un rempart pour nos entreprises. »

Porter une nouvelle vision plus offensive
« Aujourd’hui, j’ai envie de porter une nouvelle vision pour la CPME, poursuit le président-candidat. Le premier enjeu que l’on doit porter auprès de nos amis politiques, c’est de libérer l’économie. De nous laisser juste faire notre travail. Pendant 3 ans, plus de fiscalité supplémentaire, plus de normes supplémentaires. »
Et celui qui est aussi élu au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur et conseiller municipal à Marseille de marteler : « La CPME doit être un rempart pour nos entreprises, un rempart pour nos fédérations.  Et avec beaucoup plus de pugnacité, ce que je souhaite demain, c’est une CPME plus offensive, plus combative et qui ne lâche rien et qui porte les messages au plus près. Moi, je suis un combattant de l’économie car si on ne réagit pas, je l’annonce maintenant : 64 000 entreprises ont fermé mais cela sera le double en à l’horizon 2025.


Denis Duchêne, patron des Fines Roches, ne sera pas candidat à Entraigues

La Confédération des petites et moyennes entreprises de Vaucluse (CPME 84) et la Société générale (qui a absorbé la Société Marseillaise de Crédit) proposent un petit déjeuner ayant pour thème : ‘Comment présenter au mieux son dossier de crédit professionnel ?’

En effet, une demande de financement professionnel est un moment clef de la relation bancaire. Afin de favoriser le délai de traitement, la qualité des échanges, et bien sûr la bonne tenue du dossier, il est utile de s’entendre sur les attendus du dossier présenté et les principaux critères d’octroi.

Les questionnements sont nombreux
Comment la banque analyse-t-elle une demande de financement professionnel ? Quels en sont les critères déterminants ? Comment le porteur de projet peut-il favoriser la bonne compréhension et appréciation de son projet ? Quels écueils éviter ? Quels atouts valoriser ? Quels documents présenter ? 

La matinée sera animée
par Magali Martin, directrice des risques de crédits et Franck Harbreteau, accompagnateur du marché des professionnels SG SMC.

Les infos pratiques
‘Comment présenter au mieux son dossier de crédit professionnel ?’ Mardi 22 octobre de 8h30 à 10h30, au Mercure Avignon TGV, 2, rue Mère Teresa à Avignon. Parking gratuit et co-voiturage possible. Inscriptions fermes et définitives ici. Contact CPME 84 04 90 14 90 90.


Denis Duchêne, patron des Fines Roches, ne sera pas candidat à Entraigues

La Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) de Vaucluse et l’AIST 84, service de prévention et santé au travail, organisent un petit-déjeuner ce jeudi 10 octobre sur le thème ‘La prévention du harcèlement moral et sexuel en entreprise’.

Plusieurs questions seront abordées durant ce rendez-vous telles que : comment prévenir des comportements autour du harcèlement moral et sexuel ? Quel cadre juridique permet d’agir face à des suspicions ou des cas avérés ? Quel est le rôle du chef d’entreprise mais également des managers et des collègues ? Quelles conséquences pour l’entreprise ?

Cet événement sera animé par Docteur Ceccarda Fornaciari, médecin du travail AIST 84, Nadia Zahir, référente harcèlement AIST 84, et Nicolas Santiag, juriste à l’association de médiation d’aide aux victimes.

Inscription par mail à l’adresse contact@cpme84.org
Jeudi 10 octobre. De 8h30 à 10h30. AIST 84. 40 rue François 1ᵉʳ. Avignon.


Denis Duchêne, patron des Fines Roches, ne sera pas candidat à Entraigues

Comme chaque année, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) de Vaucluse fait ‘sa rentrée des classes’. L’occasion pour la première organisation patronale du département de porter la voix des entrepreneurs locaux. Objectif ? Leur permettre de retrouver la confiance en l’avenir.

Après les incertitudes de la rentrée 2023, la CPME de Vaucluse veut pratiquer la méthode Coué en cette rentrée 2024 puisque la première organisation patronale du département aspire à une période de stabilité afin que les entrepreneurs puisse reprendre confiance en l’avenir.

« Depuis la dissolution de l’Assemblée Nationale, notre pays, victime de querelles politiques partisanes, demeure dans un immobilisme et un attentiste qui impactent directement notre économie », regrette Bernard Vergier, président de la CMPE.

Dans la foulée, celui qui a été fait Chevalier de la Légion d’honneur en juin dernier par Christophe Mirmand, préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, espère qu’enfin la nomination d’un premier ministre puisse amener « de la stabilité et de la visibilité pour nos entreprises afin de faire face à leurs inquiétudes grandissantes, à des carnets de commande en baisse, des investissements suspendus, des défaillances d’entreprise en hausse ou bien au dérapage incontrôlé des finances publiques. »

« Nos entreprises ont besoin de simplification et de stabilité réglementaire et fiscale. »

Simplifier et agir
Pour répondre à ces défis, l’organisation patronale appelle à reprendre sans délai la loi sur la simplification administrative, réformer l’action publique ainsi qu’agir pour soutenir la croissance face aux défaillances d’entreprise.
« La thématique de la simplification administrative revient toujours dans les problématiques locales rencontrées par nos dirigeants, précise Bernard Vergier. Que cela soit les délais de délivrance des permis de construire, de la certification qualiopi pour les organismes de formation en constante évolution – 9 versions en 3 ans ! -, les règlementations thermiques très contraignantes pour les petits propriétaires, le guichet unique pour les entreprises, longtemps en dysfonctionnement et causant de nombreuses difficultés pour les experts-comptables, etc, etc… Nos entreprises ont besoin de simplification et de stabilité réglementaire et fiscale. »

« L’apprentissage reste le meilleur dispositif pour insérer nos jeunes dans nos entreprises. »

L’importance de l’apprentissage
Cette conférence de rentrée a été aussi le moment pour le président de la CPME 84 de rappeler le soutien de la Confédération à l’apprentissage comme première étape déterminante pour entrer dans le monde du travail.  
« L’apprentissage doit continuer à être soutenu, cela sera apparemment le cas jusqu’à la fin du quinquennat (à hauteur de 6000 € pour la première année du contrat). Il reste le meilleur dispositif pour insérer nos jeunes dans nos entreprises en leur donnant une formation concrète, en travaillant sur les savoir-être ainsi que sur la valeur ‘travail’. »
De quoi compenser, en partie, un niveau de qualification insuffisant « qui impacte lourdement l’économie locale, particulièrement le bassin du Grand Avignon. » poursuit le président Vergier qui rappelle les grandes difficultés de recrutement (hausse de 2% sur un an des demandeurs d’emploi dans le Vaucluse contre une baisse de 0,3 en région Paca et une hausse de 0,8% au niveau national). « Trop d’entreprises peinent à recruter, trop de postes sont vacants sur l’ensemble des secteurs d’activités mettant en difficulté le développement et l’activité de nos structures », insiste-t-il.

Donner envie aux Français de travailler
« Si nous voulons nous en sortir, il faut donner envie aux Français de travailler plus, il faut que nous augmentions la productivité, il est impératif que nous encouragions ceux qui font tourner notre économie ! Il nous faut également aller de l’avant, en prenant à bras le corps les questions cruciales pour le pays, comme celles de l’emploi des séniors ou du logement qui connait actuellement une crise sans précédent. Ce ralentissement de l’activité n’est évidemment pas sans conséquence sur les rentrées fiscales qu’il s’agisse de la TVA ou de l’impôt sur les sociétés dont les recettes sont en baisse. »

Pourtant, les entreprises ‘font le job’ pour Bernard Vergier : « Malgré tout, les entreprises françaises, et en particulier les TPE/PME, ont montré leur formidable dynamisme en continuant à créer des emplois et en augmentant les salaires aujourd’hui, plus rapidement que l’inflation. »

« Notre parti c’est l’entreprise. »

En attendant, le dérapage des finances publiques préoccupe grandement le président de la CPME de Vaucluse : « Ne l’oublions pas, sans entreprises privées, pas de recettes fiscales, pas de création de richesses, pas d’investissement, pas de redistribution ni d’aides sociales et enfin pas de financement des infrastructures publiques. Sans économie, on n’a rien. »
« Il est plus que jamais nécessaire que les chefs d’entreprise soient écoutés, entendus et soutenus par les pouvoirs publics et les élus locaux : maires, présidents d’EPCI, députés, sénateurs, etc… Ces derniers doivent impérativement tenir compte des problématiques en tout genre de nos entrepreneurs sur le terrain. »
« On leur demande d’ouvrir les yeux et de se retrousser les manches » même si, rappelle celui qui préside une organisation patronale regroupant près d’un millier d’adhérents directs vauclusiens, « nous sommes apolitiques. Notre parti c’est l’entreprise. »

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