17 juin 2025 |

Ecrit par le 17 juin 2025

Une délégation coréenne découvre la formation professionnelle française au GRETA-CFA Vaucluse

Dans le cadre du UCN President Summit, qui réunit les présidents d’universités de Corée du Sud chaque année dans le but d’améliorer l’enseignement supérieur, le GRETA-CFA Vaucluse a accueilli une délégation coréenne ce lundi 2 juin.

Le GRETA-CFA Vaucluse, en collaboration avec le Lycée professionnel Philippe de Girard, a accueilli hier une délégation de 20 présidents d’universités coréennes dans le cadre de leur UCN President Summit. L’objectif pour les Coréens étaient de partager leurs expériences, mais aussi de découvrir les pratiques françaises en matière de formation professionnelle.

Accueillis à Avignon, les présidents d’universités coréennes ont pu visiter les ateliers pédagogiques et échanger avec les apprenants, les formateurs et les équipes du GRETA-CFA et du lycée autour des enjeux liés à la formation des jeunes et des adultes. Cette rencontre, qui s’inscrit dans l’engagement du GRETA-CFA Vaucluse et du Lycée professionnel Philippe de Girard à favoriser l’ouverture à l’international, a permis de mettre en lumière l’engagement des deux organismes vauclusiens dans la formation des jeunes et des adultes aux métiers d’avenir et d’ouvrir des perspectives de coopération internationale.

Une convention-cadre est en cours d’élaboration pour favoriser des périodes de job shadowing (observation en situation professionnelle), des échanges de pratiques pédagogiques, des visites d’entreprises, ainsi que le développement d’un projet pédagogique commun.


Une délégation coréenne découvre la formation professionnelle française au GRETA-CFA Vaucluse

Bien qu’il n’existe officiellement pas de monnaie mondiale, le dollar américain représente toujours ce qui s’en rapproche le plus. Et si le billet vert n’est plus aussi important qu’à l’époque des accords de Bretton Woods, où le cours de la plupart des monnaies nationales était indexé sur celui du dollar, il demeure de nos jours la devise reine des réserves mondiales de change.

Selon la base de données COFER (Currency Composition of Official Foreign Exchange Reserves) du Fonds monétaire international, le dollar américain représentait environ 59 % des quelques 11 971 milliards de dollars de réserves mondiales de change allouées au troisième trimestre 2021. Mais sa part est en baisse constante au cours des dernières décennies. En 2000, la part du dollar US s’élevait par exemple à plus de 70 %.

Après le dollar américain, la devise la plus répandue est l’euro qui représente actuellement environ un cinquième des réserves mondiales de change. Suivent ensuite le yen japonais et la livre sterling (Royaume-Uni) qui constituent respectivement 5,8 % et 4,8 % du montant total des réserves allouées.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Une délégation coréenne découvre la formation professionnelle française au GRETA-CFA Vaucluse

Dans des prévisions publiées la semaine dernière, Goldman Sachs prédit que la zone euro connaîtra une croissance plus rapide que les États-Unis en 2022. Les analystes de la banque d’investissement tablent sur un taux de croissance de 4,4 % pour la zone monétaire de l’UE, contre seulement 3,5 % pour le PIB des États-Unis. Les dernières prévisions de la Banque mondiale, qui datent également de janvier, donnent toujours l’avantage aux États-Unis, mais avec une marge de seulement 0,1 %.

Si l’on ne sait pas encore quelle économie l’emportera sur l’autre en matière de croissance cette année, d’autres indicateurs rendent compte de la bonne santé économique de la zone euro et de son importance croissante sur la scène mondiale. Alors que la monnaie unique européenne vient de fêter ses 20 ans, les données du réseau de paiement international Swift montrent que la valeur des transactions internationales en euros a progressivement rejoint celle du dollar US, laissant présager un intérêt accru pour cette devise.

En octobre 2020, la valeur des transactions en euros est même passée devant celle de la monnaie américaine, et même si cela n’a pas duré longtemps, on remarque que l’écart entre les deux devises sur la scène mondiale s’est considérablement réduit depuis le début de la pandémie. Parmi les raisons possibles de cette tendance, on peut citer les efforts coordonnés de l’Union européenne pour soutenir son économie durant la crise sanitaire et le maintien de sa politique fiscale à taux zéro. Selon CNBC, dans le même temps, la confiance dans l’économie américaine et ses perspectives de croissance sont vacillantes, car les incertitudes persistent autour du paquet économique « Build Back Better » du président Joe Biden.

Si l’on s’en tient strictement aux paiements entre deux acteurs de zones monétaires différentes – excluant ainsi les paiements internationaux entre les différents pays de la zone euro – le dollar américain conserve toutefois un avantage plus net en tant que première monnaie du commerce mondial. L’écart avec l’euro se situait ainsi à environ trois points de pourcentage en novembre 2021 (contre 2 % en incluant les transactions intra-zone euro).

De Tristan Gaudiaut pour Statista

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