SPIE : 190 postes à pourvoir en PACA dont 30 en alternance
SPIE, leader européen des services multi-techniques dans les domaines de l’énergie et des communications, lance sa campagne de recrutement pour l’année 2025 en France. En Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’entreprise cherche à recruter 190 collaborateurs dont 30 alternants.
Le groupe SPIE compte 19 000 collaborateurs sur plus de 300 sites, dont certains sont situés en Région Sud, et plus particulièrement en Vaucluse à Orange, Pertuis, Sérignan-du-Comtat, Sorgues, ou encore Védène. SPIE continue de se développer et, pour ce faire, lance une campagne de recrutement en France. En PACA, 190 postes sont à pourvoir dont 30 en alternance.
Au travers des six filiales du groupe, divers postes sont proposés comme technicien de maintenance, SSI (sécurité des systèmes d’information), monteur électricien, chef de chantier, conducteur de travaux, responsable d’études techniques, responsable d’affaires, architecte informatique, et bien d’autres.
« Rejoindre SPIE, c’est plus qu’un emploi : c’est l’opportunité de relever des défis techniques passionnants et de participer activement à un monde plus durable, déclare souligne Arnaud Tirmarche, directeur général de SPIE France. Nous recherchons des personnes engagées qui souhaitent contribuer à nos côtés aux grandes transitions de notre société. »
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SPIE : 190 postes à pourvoir en PACA dont 30 en alternance
En 2025, le groupe Socotec, acteur majeur des services de TIC (Testing, Inspection, Certification) pour les secteurs de la construction, de l’immobilier, des infrastructures et de l’industrie, cherche à recruter 80 collaborateurs en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Avec 14 000 collaborateurs à travers le monde, Socotec se présente comme le spécialiste de la durabilité du bâti, de la transition environnementale et de la transition énergétique. Afin d’accompagner son développement, le groupe recrute 1 500 collaborateurs en France en 2025, dont 80 en région PACA, qui compte déjà 450 collaborateurs répartis dans 21 agences locales.
Le groupe, qui possède deux agences vauclusiennes à Avignon et Bollène, cherche des managers et directeurs d’agences, des commerciaux, des ingénieurs de la construction et de l’immobilier durable, des spécialistes Énergie & Énergies décarbonées et renouvelables, des techniciens et contrôleurs du bâtiment, ou encore des formateurs dans les domaines de la santé / sécurité. En tout, 80 postes en apprentissage, en CDD ou bien en CDI sont à pourvoir en Région Sud.
Un environnement de travail épanouissant
Socotec prône une qualité de vie au travail optimale pour ses employés. Le groupe est engagé depuis 3 ans dans la démarche ‘Great Place To Work’. Douze pays, dont la France, sur les 26 impliqués en 2024, ont obtenu la certification.
Depuis 2019, Socotec forme ses collaborateurs grâce à son centre de formation d’apprentis (CFA). Le groupe ambitionne de former 200 professionnels chaque année d’ici 2026. Les apprentis peuvent ainsi rester dans l’entreprise à l’issue de leur formation et évoluer au sein de celle-ci. Socotec assure engager 95% de ses collaborateurs en CDI et favoriser la diversité et l’égalité des chances en milieu professionnel.
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SPIE : 190 postes à pourvoir en PACA dont 30 en alternance
Shiva, l’enseigne du ménage et repassage à domicile, a ouvert récemment 10 agences en régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Occitanie. De nombreux postes sont à pourvoir, notamment à Saint-Saturnin-lès-Avignon et Bagnols-sur-Cèze.
Afin de répondre à la demande des consommateurs et de mieux couvrir le territoire national, l’enseigne Shiva, qui dispose déjà de quelque 550 agences, en a ouvert 10 nouvelles en Région Sud et en Occitanie à Six-fours, Saint-Saturnin-lès-Avignon, Vidauban, Montauroux, Cuers, Lambesc, Istres, Mougins, Saint-Martin-du-Var et Bagnols-sur-Cèze. « Ces ouvertures témoignent de la forte dynamique de Shiva dans la région et illustrent pleinement l’ambition de l’entreprise : proposer un service de proximité et de qualité à nos clients à travers les territoires, tout en valorisant le métier d’employé de maison », explique Romain Bouis, Responsable régional Shiva.
Le nombre de clients ne cessent d’augmenter, avec une croissance du marché du service à la personne d’environ 20% par an. Ainsi, les agences Shiva peuvent compter jusqu’à 50 employés de maison chacune afin de répondre aux demandes croissantes. L’entreprise, fondée il y a 20 ans, ambitionne de comptabiliser plus de 1 000 agences d’ici 2027, ainsi que de créer 300 000 emplois.
Pour postuler, il est possible de se rendre directement en agence ou directement sur le site internet.
48 Place des Cafés. Saint-Saturnin-lès-Avignon. 17BD Lacombe. Bagnols-sur-Cèze.
SPIE : 190 postes à pourvoir en PACA dont 30 en alternance
Le groupe Saint-Gobain, leader mondial de la construction durableprésent notamment au Pontet et à Cavaillon, lance une campagne de recrutement d’alternants en France pour 2025-2026. 60 postes sont à pourvoir en région Provence-Alpes Côte d’Azur.
Ouverts à tous les niveaux d’étude, du CAP au Master, les postes en alternance proposés par Saint-Gobain concernent aussi bien les activités de l’industrie ou de la distribution de matériaux, que les fonctions supports (marketing, achat, digital) ou opérationnelles (maintenance, vente, logistique…).
Les contrats en alternance reposent sur une logique d’acquisition de compétences et de transmission des savoirs. Faire son alternance chez Saint-Gobain permettrait aux étudiants de s’engager concrètement dans la transition durable du bâtiment et de la construction. Des perspectives d’embauche sont envisageables à l’issue du contrat.
« Notre ambition est de construire un environnement de travail motivant, où tous nos collaborateurs trouvent un sens au quotidien dans leurs actions, explique Régis Blugeon, directeur des Ressources Humaines de Saint-Gobain France. Les nombreuses opportunités de carrière offertes aux jeunes talents constituent un véritable levier pour leur développement professionnel, tout en contribuant activement à la transition durable du bâtiment. »
Pour faire connaître ses offres d’emploi en alternance, Saint-Gobain vise les jeunes à travers des vidéos sur le réseau social Tiktok, mettant en avant ses alternants qui parlent de leurs missions, leurs projets ainsi que de l’ambiance au travail.
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SPIE : 190 postes à pourvoir en PACA dont 30 en alternance
Chaque année, l’Observatoire de l’emploi des entrepreneursAltares/GSC publie ses chiffres sur le nombre de chefs d’entreprises ayant perdu leur emploi en région. En 2024, 682 entrepreneurs vauclusiens sont concernés, soit +1,6% par rapport à l’année précédente.
Le nombre de chefs d’entreprise s’étant retrouvés en situation de « chômage » augmente chaque année et a atteint un niveau record en 2024 (depuis la création du baromètre en 2015) pour la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et sa voisine l’Occitanie.
Forte progression des pertes d’emploi des entrepreneurs sur l’ensemble du territoire de PACA
L’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs révèle que 6 243 chefs d’entreprise de la Région Sud ont perdu leur emploi en 2024, soit une hausse de +19,5 % sur un an. Cela signifie que plus de 17 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi chaque jour dans la région. Un niveau record depuis la création du baromètre en 2015.
« Souvent confrontés à des difficultés de rentabilité, les entrepreneurs peinent à maintenir leur activité. Le début de l’année 2025 sera crucial pour beaucoup. »
Hervé Kermarrec, président de l’association GSC
Et cette augmentation, elle concerne les six départements de la Région, avec une très forte augmentation du taux de chômage chez les chefs d’entreprise des Alpes-de-Haute-Provence (+34,2%), des Bouches-du-Rhône (+25,9%) et du Var (+24%), une forte augmentation dans les Hautes-Alpes (+11,2%) et les Alpes-Maritimes (+14,7%). En Vaucluse, ce taux a augmenté de seulement +1,6%. Si cette augmentation semble moindre, 682 entrepreneurs vauclusiens sont tout de même concernés par une perte d’emploi en 2024, contre 671 en 2023.
Les petites entreprises de la région sont les plus touchées
Sans grande surprise, ce sont les petites entreprises qui subissent le plus de difficultés. Près des trois quarts des entrepreneurs de la Région Sud en situation de perte d’emploi sont à la tête d’une TPE (Très petite entreprise) de moins de 3 salariés. L’âge moyen des entrepreneurs qui ont connu une perte d’emploi dans la région est de 48,3 ans. Ce constat soulève la question des difficultés de transmission d’entreprise pour les entrepreneurs « seniors. »
« Les liquidations judiciaires directes ou post redressements judiciaires sont prédominantes supprimant l’emploi de plus de 60 000 dirigeants en 2024 et probablement davantage encore en 2025, explique Thierry Millon, directeur des études Altares. Un nombre particulièrement élevé qui tend à militer pour une gestion très proactive des risques qu’ils soient de nature professionnelle ou personnelle. Un défi administratif parfois, ou financier souvent, mais un impératif à tout âge, même fort d’une solide expérience. En illustration, la perte d’emploi de dirigeants de plus de 60 ans accélère fortement (+33%) ; un constat qui résonne à l’heure des discussions sur l’employabilité des seniors. »
Les secteurs les plus fragiles
Parmi les secteurs dont les chefs d’entreprise sont les plus touchés par la perte d’emploi, on trouve la construction, notamment en raison de la hausse des prix des matériaux. 1 790 femmes et hommes de la région ont perdu leur emploi (+41,5 %), en particulier dans le bâtiment. Le commerce, notamment le commerce de détail, est lui aussi touché avec 1 360 entrepreneurs de la région qui ont perdu leur emploi (+16,4%) en 2024.
Les secteurs de l’hébergement, restauration et débits de boissons, et des services aux entreprises sont eux aussi fragilisés, avec, en regroupant les deux secteurs, 1 762 entrepreneurs qui se sont retrouvés en situation de chômage.
Nos voisins occitans observent les mêmes tendances qu’en Région Sud, avec un niveau de perte d’emploi record depuis la création du baromètre en 2015 pour les chefs d’entreprise en 2024. 5 500 entrepreneurs sont concernés, avec une forte augmentation en Ariège (+32,1%) et dans les Pyrénées-Orientales (+24.4%). Sur les 13 départements de la région Occitanie, seul un a vu une amélioration, l’Aveyron avec une baisse de -7,5%.
Le Gard, quant à lui, observe une hausse de +6,4%, soit 635 dirigeants qui se sont retrouvés en situation de « chômage. »
Comme en PACA, près des trois quarts des entrepreneurs de la région en situation de perte d’emploi sont à la tête d’une TPE de moins de 3 salariés. Les secteurs les plus touchés sont les mêmes, à savoir la construction, le commerce, l’hébergement, restauration et débits de boissons, ainsi que les services aux entreprises.
Animer le réseau d’acteurs et assurer la dynamique territoriale (Assurer l’animation et le développement du Contrat territorial de santé mentale, entretenir la dynamique partenariale…)
Accompagner les acteurs (accompagner les porteurs de projets, animer des groupes de travail…)
Organiser les évènements (colloque, assemblée…)
Assurer la communication, en lien avec la chargée de communication (diffuser les informations, contribuer à l’organisation des Semaines d’Information sur la Santé Mentale…)
Evaluer le projet (assurer le suivi et l’évaluation, établir annuellement un bilan de l’activité…)
Par ailleurs, en plus de ses missions, et en lien avec l’équipe, la personne recrutée pourra être amenée à participer aux activités globales du Codes 84.
Ce poste à temps plein en CCD (Contrat à durée déterminée) jusqu’en juin 2026 est à pourvoir immédiatement.
Comment postuler Envoyer CV et lettre de motivation avant le 15 avril 2025 à : Codes de Vaucluse – Comité départemental d’éducation pour la santé 57, avenue Pierre Sémard- 84000 Avignon Ou par mail : aurore.lamouroux@codes84.fr
SPIE : 190 postes à pourvoir en PACA dont 30 en alternance
La 2nde édition du Salon de l’économie et de l’emploi, organisée par la Communauté Territoriale Sud Luberon (Cotelub), aura lieu le mercredi 2 avril à Cadenet. Opportunités d’emploi, conférences, débats et ateliers autour de l’emploi seront au programme.
Le mercredi 2 avril, de nombreuses entreprises seront présentes au Salon de l’économie et de l’emploi de Cotelub et représenteront un large panel de secteurs d’activité comme le nucléaire, le tourisme, l’hôtellerie-restauration, l’industrie, l’armée, le photovoltaïque, la viticulture, la transmission florale, et bien d’autres.
En plus de rencontrer les employeurs, il sera possible de perfectionner son CV grâce à divers ateliers tels que des séances photos professionnelles comme en studio réalisées par un photographe professionnel, une aide la rédaction de votre CV et simulation d’entretiens d’embauche, ainsi qu’un atelier dédié réseaux sociaux professionnels. Il y aura également un atelier d’aide à la création ou reprise d’entreprise.
Deux conférences
La journée sera aussi rythmée par deux temps forts. Une première conférence à 11h30 sur le thème ‘Quelles perspectives d’emploi dans le Luberon impulsées par la révolution énergétique ?’ présentée par Xavier Michoux, référent de l’Université des Métiers du Nucléaire, avec la participation de Carole Garabedian, directrice d’agence France Travail, Nataly Chevrier, Consultante entreprise de l’APEC, Joel Perez, directeur de la Mission Locale du Luberon, Robert Tchobdrenovitch, président de Cotelub, et Tomas Redondo, directeur de la CCI de Vaucluse.
Puis il y aura une seconde conférence à 14h30 sur le thème ‘L’industrie de l’énergie : quelles opportunités à saisir pour le Sud Luberon et ses entreprises ?’ animée par Stéphane Dantec, responsable du service achat du CEA, avec Gilles Perilhou, directeur de l’AURAV, Joachim Queyras, directeur général adjoint risingSUD, Robert Tchobdrenovitch, président de Cotelub, Ludovic Fauvel, président du GEPA, et Bertrand Puaux, directeur commercial CSTI.
Mercredi 2 avril. De 9h30 à 16h30. Entrée libre. Salle Yves Montand. 5 Rue du 18 juin 1940. Cadenet.
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La directive européenne pour la transparence salariale doit être appliquée d’ici juin 2026 en France et risque de modifier les pratiques en entreprise. Accès aux rémunérations des salariés accomplissant un travail de même valeur, transparence des rémunérations avant l’embauche : les grilles de rémunération des entreprises risquent d’évoluer d’ici là. Une mesure qui ne fait pas l’unanimité entre entreprises et professionnels. En effet, si parmi ces derniers près 8 sur 10 la jugent positive, les entreprises sont plus mitigées et 45% craignent des répercussions négatives.
78% des cadres en faveur de la transparence salariale Tensions entre les collaborateurs en cas de disparités, difficultés de négociations, complexité administrative, autant de raisons qui poussent les entreprises à appréhender cette mesure à venir. « Les grilles de rémunération sont déjà un sujet de réflexion permanente pour les DRH, en particulier depuis 2022, avec de fortes tensions entre le marché externe et les grilles internes. L’application de cette directive apporte une nouvelle complexité nécessitant de s’assurer de la cohérence des salaires selon le poids des différents postes, mais aussi de trouver les bons outils pour différencier la très bonne performance », explique Aude Boudaud, directrice au sein du cabinet Robert Walters.
Plus de 9 cadres sur 10 postuleraient davantage si le salaire était indiqué Au-delà de l’équité salariale, cette directive pourrait représenter un levier face à la pénurie de talents et de compétences à laquelle font face de nombreuses entreprises. En effet, l’attraction des talents constitue l’un des 3 atouts principaux de cette mesure d’après 48% des professionnels ayant répondu à cette enquête*, après la réduction de l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes (68%) et l’amélioration de la confiance envers le management et l’entreprise (58%).
Ainsi, 93% des répondants à cette enquête seraient plus susceptibles de postuler à une offre d’emploi indiquant le salaire proposé, un avantage dont 82% des entreprises sont conscientes. D’ailleurs, certaines d’entre elles ont déjà sauté le pas et mis en place des dispositifs favorisant la transparence salariale, en alignant les rémunérations des collaborateurs possédant les mêmes missions par exemple.
« Les efforts des entreprises pour plus de transparence salariale et de parité sont appréciés par les candidats, même si cela peut rendre la négociation plus délicate, précise Aude Boudaud. Désormais, on ne jugera plus la rémunération en fonction d’un parcours ou d’une rémunération passée, mais plutôt en fonction d’une responsabilité de poste et de la capacité du candidat à assumer les missions qui lui sont proposées. »
Moins de 4 entreprises sur 10 prêtes pour l’application de la directive Si les termes exacts encadrant cette directives sont encore à définir, les entreprises doivent anticiper cette mesure et mettre en place des actions concrètes : évaluer la cohérence des salaires, adapter leur politique de rémunération, établir une méthodologie d’évaluation des postes, déployer de nouveaux outils, sensibiliser des managers et équipes RH. « Lorsque nous évoquons la directive à venir avec nos clients, les avis divergent : non-sujet pour certains, réel casse-tête pour d’autres. Tout dépend du degré de maturité de l’entreprise. Attention quoi qu’il en soit à la communication vis-à-vis des collaborateurs, au risque de créer un climat social difficile s’ils ne comprennent pas le ‘grading’ de leur poste », alerte Aude Boudaud.
Prétention salariale : les hommes plus ‘efficaces’ que les femmes L’impact de cette directive concerne également les professionnels : si jusqu’à aujourd’hui les candidats avaient tendance à réfléchir « rémunération actuelle + prétention salariale », il faudra désormais revoir le positionnement de la rémunération lors des recherches d’emploi. « Les femmes ne sont pas armées dans ce schéma où les entreprises et recruteurs ne peuvent plus demander la rémunération actuelle, mais uniquement les prétentions : elles ont tendance à répondre avec leur rémunération actuelle, tandis que les hommes ajoutent automatiquement leurs prétentions, note Aude Boudaud. Il y a donc un réel travail d’accompagnement, de préparation et de mentoring à apporter aux candidates ».
*Enquête flash menée auprès de plus de 120 entreprises et 350 professionnels au cours du mois de janvier 2025.
SPIE : 190 postes à pourvoir en PACA dont 30 en alternance
Pour la première année, le forum de l’alternance était organisé sur la ville de Carpentras par trois structures : le RPE (Réseau pour l’emploi), l’Education nationale et l’association d’entreprises Carpensud. L’objectif était de mettre en relation tous les centres de formation d’alternance sur ce territoire, les entreprises accueillantes, et les alternants postulants.
Pour la première fois depuis plusieurs années, le flux de nouveaux contrats d’alternance a baissé en 2024 dans le Vaucluse alors qu’il s’est à peu près maintenu en région Paca. Pour encourager le recours à l’alternance, Carpensud et les acteurs du Réseau pour l’Emploi du Comtat Venaissin (France Travail, Cap Emploi, Mission Locale) ont proposé d’organiser, avec l’appui de l’Éducation Nationale, le premier Printemps de l’alternance mi-mars au Cabaret à Carpentras.
« Cette manifestation a pour objectif de promouvoir l’alternance comme une stratégie gagnant-gagnant, pour les publics comme pour les employeurs du Comtat Venaissin. Pour les entreprises, l’alternance constitue souvent un tremplin idéal pour le recrutement d’un talent formé au métier, à la culture et au besoin en compétence de leur activité. Pour les jeunes, opter pour l’alternance permet de bénéficier d’une rémunération », explique Ludivine Amrhein, Directrice adjointe à la Mission locale de Carpentras.
« Nous sommes un centre de formation autour du transport et de la logistique avec différentes agences dans la région. Notre mission est de mettre en relation les alternants avec des entreprises du transport et de la logistique sur différents niveaux de qualification. Nous avons ainsi des gros besoins dans les transports de voyageurs ou de marchandises. Nous travaillons ainsi en collaboration étroite avec les cars Arnaud », complète Fabienne Jacq, chargée de développement au sein de l’organisme de formation Aftral.
L’association d’entreprises Carpensud a permis de contacter des entreprises du territoire. Crédit : Olivier Muselet.
Une matinée à la rencontre des sens de formation La matinée a permis aux jeunes cherchant un contrat professionnel ou d’apprentissage de rencontrer tous les centres de formation du Comtat venaissin et ainsi de comprendre le fonctionnement de l’alternance (contrats, rythmes, diplômes ou qualifications visées). L’objectif de cette matinée était également de faire découvrir aux jeunes la palette de formations disponibles. Des ateliers pratiques ont également permis une bonne préparation avec des conseils sur la réalisation du CV de la lettre de motivation. Des conseils autour de la ‘e-réputation’, du bon pitch de son profil étaient aussi proposés au jeune public.
Les entreprises présentes après-midi Les entreprises sont arrivées en début d’après-midi avec des propositions d’alternance. Les entretiens ont eu lieu avec des jeunes ayant été solidement préparés dans la matinée. Les aides pour les entreprises de moins de 250 salariés ont certes baissé de 1000 € mais elle reste de 5000 € par an par alternant. Au total, pas moins de 40 entreprises et centres de formation du Comtat venaissin sont venus pour cette journée qui a permis aux entreprises de répondre à des postes vacants et aux jeunes d’accéder à une alternance souvent synonyme d’accès à l’emploi.
Le centre de formation Aftral propose ses services dans le domaine du transport et de logistique. Crédit : Olivier Muselet
Quelques entreprises présentes : GEIQ Geste, Au jardin du midi, Atelier bio Provence, SARL Brassage, Peugeot groupe Chopard, Suez, Super U, Cars Arnaud, Toyota Carpentras, EURL JP Service… Centres de formation participant : Lycée Jean-Henri Fabre, Infep, Aftral, Centre de formation les Chênes, CAP Formation, Greta CFA, Airo, les Compagnons du devoir, Chambre des métiers de l’artisanat d’Avignon, Académie Vaucluse Provence, Ecole de la deuxième chance, Campus Provence Ventoux, Lycée agricole la Ricarde.