La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
France Travail, la Mission Locale Jeunes Grand Avignon, Cap Emploi 84, la DDETS et l’UMIH 84 s’allient pour répondre au défi majeur que représente le recrutement dans le secteur de l’hôtellerie-restauration en proposant un restaurant éphémère à l’Académie Vaucluse Provence (anciennement le Campus de la CCI), un espace de rencontre entre recruteurs et demandeurs d’emploi et de mise en pratique pour ces derniers.
Le mercredi 23 octobre, la Brasserie Franck Gomez de l’Académie Vaucluse Provence à Avignon se transformera en brasserie éphémère où une douzaine de demandeurs d’emploi deviendront serveurs. Ce jobdating inversé ciblé sur les métiers du service en salle leur permettra de recevoir, eux, les recruteurs, et non l’inverse.
Pour la première fois, ce jobdating aura lieu durant l’après-midi. Les candidats pourront mettre en pratique leurs compétence et savoir-être en préparant le service du midi. Ils découvriront les métiers du secteur de l’hôtellerie-restauration et pourront transformer cette expérience en opportunité de formation ou d’emploi. Une douzaine de chefs d’entreprises ou recruteurs seront présents pour évaluer les aptitudes et qualités des candidats. Le grossiste Metro, à Avignon, qui est partenaire de l’événement, fournira produits de qualité, issus de circuits courts, et tabliers.
Les candidats seront accueillis dès 8h15, puis se verront attribuer leur tenue et leur binôme, à savoir un tuteur de l’école hotellière, à 8h45. Le restaurant éphémère ouvrira ses portes à 12h. Puis, la partie jobdating débutera à 14h30. Les candidats s’installeront chacun à une table et les recruteurs feront le tour des candidats pour leur proposer leurs postes à pourvoir.
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Instaurée par la loi de Sécurisation de l’Emploi (2013), la Base de données économiques et sociales (BDES), devenue la base de données économiques sociales et environnementales (BDESE), est obligatoire dans les entreprises de 50 salariés et plus.Près de 10 ans après l’entrée en vigueur de cette obligation légale, combien d’entreprises l’ont-elles mise en place ? Quels sont les retours, les attentes et les besoins de celles qui l’ont adoptée ? Quels sont les bénéfices concrets de cet outil voué à favoriser le dialogue social dans l’entreprise ?
Les Editions Tissot publient leur 3e baromètre sur le déploiement et les usages de la BDESE [1]. Une édition qui met en lumière un taux de mise en place toujours insuffisant, mais qui devrait s’intensifier avec la généralisation de la dématérialisation. La Base de Données Économiques, Sociales et Environnementales (BDESE) est un outil de partage de l’information mis en place et mis à jour par l’employeur, obligatoire depuis 2015 pour toutes les entreprises du secteur privé comptant 50 salariés et plus.
1/ Principaux enseignements de cette enquête
Un déploiement encore à la peine Le baromètre 2024 révèle que, 10 ans après l’entrée en vigueur de l’obligation, près de 30% des répondants dans les entreprises qui y sont soumises ne s’y sont toujours pas conformés. Et ce, en dépit des contrôles et des sanctions à la clé, que seuls 12% redoutent fortement. Pour rappel, l’absence de mise en place de la BDESE expose à une amende de 7500 euros pour délit d’entrave, mais aussi à une mise en cause du responsable RH pouvant aller jusqu’au licenciement.
Pour quelles raisons, les entreprises concernées ne s’y conforment pas toutes ? Principalement à cause d’un manque de temps pour 6 entreprises sur 10, surtout pour les répondants en entreprises de 50 à 100 salariés et celles de 100 à 200 salariés, qui ne sont respectivement que 60 et 68% à l’avoir mise en place. Un temps qui fait également défaut pour la compléter : parmi ceux qui l’ont mise en place, 45 % seulement déclarent avoir terminé, en août 2024, de saisir leurs données 2023. Et 10% n’ont même pas commencé … !
La dématérialisation plébiscitée par les entreprises pour la BDESE La digitalisation de la BDESE est largement plébiscitée par les RH et séduit plus de 8 entreprises sur 10 :
• 47 % des répondants privilégient une solution de partage de dossiers (sur serveur ou en ligne) pour mettre à disposition les données de la BDESE. Une progression de + 9 points par rapport à 2023 ; • 37 % des répondants se sont équipés d’une solution dématérialisée : un applicatif BDESE en ligne, un module BDESE via leur SIRH, voire plus marginalement une solution BDESE développée spécifiquement ; • Seuls 10 % des RH répondants mentionnent une BDESE en version papier.
A la clé, la capacité à gérer un gros volume de données, l’alimentation à partir de formats de fichiers différents et l’absence d’erreurs de saisie qui entraînent, ensuite, des erreurs d’analyse et de prévision.
« Digitaliser notre BDESE nous a permis de gagner un temps précieux.»
Valérie Pellerin, Directrice des Ressources Humaines de Smoby
« Digitaliser notre BDESE nous a permis de gagner un temps précieux pour calculer mensuellement les indicateurs d’effectif, d’entrées/sorties, d’âge ou d’ancienneté. Et ce, en étant assuré de la sécurité des données et de la conformité juridique de ce que nous partageons », se félicite Valérie Pellerin, Directrice des Ressources Humaines de Smoby, utilisatrice de BDESE online des Editions Tissot.
Le côté fastidieux et chronophage de la création est pointé par la plupart des répondants, mais en 2024, ils prennent majoritairement conscience de l’intérêt de la BDESE pour donner une vue d’ensemble sur le fonctionnement de l’entreprise. Ils apprécient également de pouvoir automatiser le calcul de certaines données sociales.
• 56% considèrent qu’elle contribue au dialogue social, • 64% estiment qu’elle s’avère pratique pour centraliser toutes les données au même endroit, • Et 57% apprécient de disposer de données pour mieux les piloter.
« Il faudra encore un peu de temps pour oublier l’obligation légale et apprécier l’opportunité qu’offre la BDESE pour le pilotage des RH », constate Caroline Acs, directrice générale des Editions Tissot. « Et pour cela, la digitalisation qui a démontré ces dernières années son utilité dans leur quotidien s’avère précieuse ; mais les outils qui simplifient les procédures et obligations font encore trop souvent défaut. Nous parions sur la généralisation de la dématérialisation, qui trouvera sans nul doute le chemin des investissements indispensables. »
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Ce jeudi 10 octobre, la ville de Bollène accueillera une cinquantaine d’entreprises pour son Forum de l’emploi. Les candidats auront le choix parmi plus de 90 emplois pour postuler.
Plus de 50 entreprises seront présentes et représenteront divers secteurs d’activité tels que : le transport, le bâtiment, la santé, la logistique, et bien d’autres. Différents emplois seront à pourvoir, en CDD, CDI ou interim : chauffeur poids lourd, assistant de vie, cariste, jardinier, déménageur, agent d’entretien, peintre en bâtiment, administrateur de réseau informatique, manutentionnaire, ouvrier viticole, caviste, aide-soignant, carrossier, agent d’accueil, manœuvre en bâtiment…
Le Conseil Départemental du Vaucluse, la mairie, la communauté de communes ainsi que six corps d’armée seront également présents pour faire découvrir les opportunités de carrières de leurs structures.
Jeudi 10 octobre. De 9h à 12h30. Entrée libre. Salle de la Cigalière. 180 Chemin de la Malleposte. Bollène.
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Première destination touristique mondiale, avec 100 millions de visiteurs internationaux enregistrés en 2023, la France devrait sans doute battre son propre record cette année grâce aux Jeux Olympiques. Selon les dernières prévisions du Conseil mondial du voyage et du tourisme (WTTC), le secteur des voyages et du tourisme devrait voire sa contribution au PIB de l’économie française dépasser 250 milliards d’euros en 2024, pour atteindre 9 % du PIB. Ce secteur représente également une importante source d’emplois dans le pays, puisque l’emploi salarié touristique représente en moyenne 6 à 7 % de l’emploi salarié marchand en France.
Comme le montre notre carte, basée sur les chiffres de l‘Insee, cette part peut toutefois varier du simple au décuple selon les départements (données de 2019, dernière année disponible non impactée par la crise sanitaire). C’est en Seine-et-Marne, où Disneyland Paris est notamment un employeurs importants, que l’emploi salarié touristique pèse le plus lourd, soit 22,6 % de l’emploi salarié marchand, suivie de la Corse-du-Sud (20,5 %), des Hautes-Alpes (18,9 %), de la Savoie (18,6 %) et de la Haute-Corse (15,5 %). À l’inverse, les départements où l’emploi touristique est le plus marginal sont l’Essonne, le Val-de-Marne et les Hauts-de-Seine (moins de 2 % de l’emploi marchand en 2019).
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Dans quels pays européens la pratique du télétravail est-elle la plus répandue ? Eurostat a récemment publié de nouvelles données sur la proportion d’employés qui travaillent à domicile en Europe. Dans l’Union européenne, 22 % des actifs âgés de 15 à 64 ans étaient concernés en 2023. Dans le détail, 9 % travaillaient habituellement chez eux cette année-là et 13 % occasionnellement. Par rapport à l’année 2019, soit avant la pandémie de Covid-19 et la généralisation du télétravail, la part d’employés qui travaillent à domicile a augmenté de huit points de pourcentage (pratique habituelle et occasionnelle : +4 points respectivement).
Comme le montre notre carte, c’est aux Pays-Bas que l’on trouve le plus d’actifs qui travaillent au moins occasionnellement à domicile : plus de la moitié (51,9 %), suivis des pays nordiques : Suède (45,3 %), Islande (42,6 %), ainsi que Norvège et Finlande (autour de 42 %). En France, cette pratique est un peu plus rare, puisqu’elle concerne environ un employé sur trois (33,5 %), mais elle est néanmoins plus courante que dans certains pays voisins. Le travail à domicile concerne en effet à peine un quart des actifs en Allemagne (23,4 %) et moins de 15 % en Italie et Espagne. Ce sont les pays d’Europe de l’Est qui enregistrent les proportions de travailleurs à domicile les plus faibles. Travailler chez soi est ainsi marginal en Roumanie et en Bulgarie, où cette pratique ne concerne, même occasionnellement, qu’autour de 3 % de la population active.
Parmi les facteurs qui jouent sur la prévalence du travail à domicile au sein d’une population, on peut citer le degré de tertiarisation et de numérisation de l’économie, qui influe sur la proportion de métiers pouvant être effectués en télétravail.
L’adoption du télétravail en France Encouragé par le gouvernement pendant la crise sanitaire du Covid-19, le télétravail s’est imposé comme une pratique courante ou occasionnelle pour nombre de Français. D’après les données d’Eurostat (voir ci-dessous), un tiers des salariés français (33,5 %) ont travaillé au moins occasionnellement à domicile en 2023, soit un chiffre relativement stable par rapport aux deux années ayant précédé (autour de 34 % en 2021 et 2022). Parmi eux, environ 11 % travaillent habituellement chez eux et 23 % occasionnellement.
Comme le détaille notre infographie, depuis la fin des restrictions sanitaires liées à la pandémie, la pratique habituelle du travail à domicile est nettement retombée (-6,4 points depuis 2021), mais cette pratique est essentiellement devenue occasionnelle (+5,5 points). Par rapport au niveau mesuré avant la crise sanitaire (année 2019), la part globale des employés français qui travaillent à domicile est en hausse de près de 11 points de pourcentage (pratique habituelle : +3,8 points ; occasionnelle : +6,9 points).
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Comme chaque année, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) de Vaucluse fait ‘sa rentrée des classes’. L’occasion pour la première organisation patronale du département de porter la voix des entrepreneurs locaux. Objectif ? Leur permettre de retrouver la confiance en l’avenir.
Après les incertitudes de la rentrée 2023, la CPME de Vaucluse veut pratiquer la méthode Coué en cette rentrée 2024 puisque la première organisation patronale du département aspire à une période de stabilité afin que les entrepreneurs puisse reprendre confiance en l’avenir.
« Depuis la dissolution de l’Assemblée Nationale, notre pays, victime de querelles politiques partisanes, demeure dans un immobilisme et un attentiste qui impactent directement notre économie », regrette Bernard Vergier, président de la CMPE.
Dans la foulée, celui qui a été fait Chevalier de la Légion d’honneur en juin dernier par Christophe Mirmand, préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, espère qu’enfin la nomination d’un premier ministre puisse amener « de la stabilité et de la visibilité pour nos entreprises afin de faire face à leurs inquiétudes grandissantes, à des carnets de commande en baisse, des investissements suspendus, des défaillances d’entreprise en hausse ou bien au dérapage incontrôlé des finances publiques. »
« Nos entreprises ont besoin de simplification et de stabilité réglementaire et fiscale. »
Simplifier et agir Pour répondre à ces défis, l’organisation patronale appelle à reprendre sans délai la loi sur la simplification administrative, réformer l’action publique ainsi qu’agir pour soutenir la croissance face aux défaillances d’entreprise. « La thématique de la simplification administrative revient toujours dans les problématiques locales rencontrées par nos dirigeants, précise Bernard Vergier. Que cela soit les délais de délivrance des permis de construire, de la certification qualiopi pour les organismes de formation en constante évolution – 9 versions en 3 ans ! -, les règlementations thermiques très contraignantes pour les petits propriétaires, le guichet unique pour les entreprises, longtemps en dysfonctionnement et causant de nombreuses difficultés pour les experts-comptables, etc, etc… Nos entreprises ont besoin de simplification et de stabilité réglementaire et fiscale. »
« L’apprentissage reste le meilleur dispositif pour insérer nos jeunes dans nos entreprises. »
L’importance de l’apprentissage Cette conférence de rentrée a été aussi le moment pour le président de la CPME 84 de rappeler le soutien de la Confédération à l’apprentissage comme première étape déterminante pour entrer dans le monde du travail. « L’apprentissage doit continuer à être soutenu, cela sera apparemment le cas jusqu’à la fin du quinquennat (à hauteur de 6000 € pour la première année du contrat). Il reste le meilleur dispositif pour insérer nos jeunes dans nos entreprises en leur donnant une formation concrète, en travaillant sur les savoir-être ainsi que sur la valeur ‘travail’. » De quoi compenser, en partie, un niveau de qualification insuffisant « qui impacte lourdement l’économie locale, particulièrement le bassin du Grand Avignon. » poursuit le président Vergier qui rappelle les grandes difficultés de recrutement (hausse de 2% sur un an des demandeurs d’emploi dans le Vaucluse contre une baisse de 0,3 en région Paca et une hausse de 0,8% au niveau national). « Trop d’entreprises peinent à recruter, trop de postes sont vacants sur l’ensemble des secteurs d’activités mettant en difficulté le développement et l’activité de nos structures », insiste-t-il.
Donner envie aux Français de travailler « Si nous voulons nous en sortir, il faut donner envie aux Français de travailler plus, il faut que nous augmentions la productivité, il est impératif que nous encouragions ceux qui font tourner notre économie ! Il nous faut également aller de l’avant, en prenant à bras le corps les questions cruciales pour le pays, comme celles de l’emploi des séniors ou du logement qui connait actuellement une crise sans précédent. Ce ralentissement de l’activité n’est évidemment pas sans conséquence sur les rentrées fiscales qu’il s’agisse de la TVA ou de l’impôt sur les sociétés dont les recettes sont en baisse. »
Pourtant, les entreprises ‘font le job’ pour Bernard Vergier : « Malgré tout, les entreprises françaises, et en particulier les TPE/PME, ont montré leur formidable dynamisme en continuant à créer des emplois et en augmentant les salaires aujourd’hui, plus rapidement que l’inflation. »
« Notre parti c’est l’entreprise. »
En attendant, le dérapage des finances publiques préoccupe grandement le président de la CPME de Vaucluse : « Ne l’oublions pas, sans entreprises privées, pas de recettes fiscales, pas de création de richesses, pas d’investissement, pas de redistribution ni d’aides sociales et enfin pas de financement des infrastructures publiques. Sans économie, on n’a rien. » « Il est plus que jamais nécessaire que les chefs d’entreprise soient écoutés, entendus et soutenus par les pouvoirs publics et les élus locaux : maires, présidents d’EPCI, députés, sénateurs, etc… Ces derniers doivent impérativement tenir compte des problématiques en tout genre de nos entrepreneurs sur le terrain. » « On leur demande d’ouvrir les yeux et de se retrousser les manches » même si, rappelle celui qui préside une organisation patronale regroupant près d’un millier d’adhérents directs vauclusiens, « nous sommes apolitiques. Notre parti c’est l’entreprise. »
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
La Cité de l’emploi d’Avignon et le Vaucluse s’engagent pour les habitants de QPV (quartiers prioritaires de la ville) en proposant l’initiative « les clefs de l’emploi », un rendez-vous innovant de créer des rencontres avec les représentants d’entreprises. Celle-ci aura lieu le vendredi 20 septembre de 9h à 17h au château de Saint-Chamand et constituera le deuxième volet de l’édition 2024 de leurs quartiers d’été.
Une journée de challenges variés, pensée pour révéler ses atouts professionnels. C’est l’initiative qui a été prise par la Cité de l’emploi d’Avignon et le Vaucluse pour offrir des opportunités aux habitants des quartiers prioritaires de la ville.
Ce vendredi 20 septembre 2024, de 9h à 17h, l’évènement « les clefs de l’emploi » aura lieu au château de Saint-Chamand situé au 4 avenue François Mauriac, en collaboration avec France Travail, les services de l’État, la Mission Locale jeunes Grand Avignon et Face Vaucluse. Cette journée permettra aux participants de montrer leurs qualités professionnelles via des activités en équipe. Un bon moyen de se mettre en évidence et de trouver possiblement un emploi.
Un recrutement sans C.V
Cette action se déroulera en deux temps fort : un premier le matin avec un atelier qui laissera une large place à une solution innovante développée par France Travail autour de la méthode de recrutement sans C.V et un deuxième temps fort l’après-midi avec une aventure collective qui s’appuiera sur les forces de chacun pour résoudre une énigme ou relever un défi à Prison Island.
La première partie de la journée sera en grande partie menée par France Travail. L’établissement public chargé de l’emploi en France proposera aux participants et chercheurs d’emploi ainsi que les représentants d’entreprises, une matinée de découverte autour de sa solution M.R.S (méthode de recrutement par simulation ».
Cette technique a été pensée pour permettre à toutes les parties prenantes de se détacher de l’importance du C.V au moment du recrutement pour se concentrer sur le potentiel professionnel du candidat. Une solution intéressante pour découvrir et se projeter dans un métier mais aussi aborder le recrutement de manière différente. L’objectif est à terme de faire évoluer les pratiques.
Pour mettre en pratique cette idée, tous les candidats, peu importe leurs parcours et leurs projets, « candidateront » pour un poste de vendeur en boulangerie grâce à des mises en situation qui permettront d’évaluer leurs compétences, leurs savoir-être mais aussi leur potentiel acquis.
Un atelier ludique à Prison Island
L’après-midi laissera la place au second temps fort de la journée avec une aventure qui mêlera divertissement et enrichissement professionnel. Dans un jeu qui ressemblera un peu à « Fort Boyard », les participants auront rendez-vous à Prison Island, au Pontet.
Cette deuxième partie de l’évènement sera centrée autour du travail en équipe. En équipes « mixtes », les chercheurs d’emploi et les représentants d’entreprises devront résoudre des énigmes ou relever des défis en tous genre. Une façon ludique et pleine de variété de mettre en avant son potentiel professionnel et de faire équipe pour créer des liens forts, indispensables en entreprise.
Retrouvez la vidéo de la première édition des « quartiers d’été » qui a eu lieu en 2023.
Infos pratiques : « les clés de l’emploi ». Vendredi 20 septembre 2024, de 9h à 17h. Château de Saint-Chamand, 4 avenue François Mauriac, 84000 Avignon pour la première partie de la journée. À Prison Island, dès 14h, 182 avenue du Maréchal Leclerc, 84310 Le Pontet. Inscription possible en appelant Flore Oliveri au 06.62.60.69.01 ou Linda Benirbah au 07.48.72.63.43.
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Le centre commercial Aushopping Avignon Nord va accueillir son forum de l’emploi ce mercredi 18 septembre. L’occasion de se renseigner sur les offres d’emploi en Vaucluse et de dénicher votre prochain job.
Chaque année depuis 1997, le centre commercial Aushopping reçoit le forum de l’emploi. Organisé par France Travail, la Mission Locale Jeunes Grand Avignon, et Cap Emploi 84, cet événement réunira près de 50 entreprises à la recherche de nouveaux collaborateurs ce mardi 18 septembre, telles que : Auchan le Pontet, IKEA, FNAC, Action, Parc Spirou, Leroy Merlin, Smyths Toys, Norauto, Brico dépôt, Maxi Zoo, et bien d’autres.
Les demandeurs d’emploi, munis de leur CV, pourront se rendre sur plusieurs stands et effectuer des entretiens directement. Plusieurs secteurs d’activités seront représentés comme le commerce, l’hôtellerie-restauration, l’industrie, le transport ou encore la logistique.
Cet événement a permis le recrutement de 209 personnes en 2022 et 250 en 2023. Ainsi, cette nouvelle édition s’annonce très prometteuse.
Mercredi 18 septembre. De 10h à 18h. Aushopping Avignon Nord. 533 Avenue Louis Braille. Le Pontet.
La brasserie de l’Académie Vaucluse Provence devient un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Ce jeudi 12 septembre 2024, l’agence nationale pour la formation professionnelle des adultes organise une opération Portes Ouvertes (JPO) sur l’ensemble de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Cette initiative qui aura lieu dans plusieurs agences a pour objectif de faire découvrir à un large public des métiers accessibles en alternance et s’informer sur les offres de formations disponibles selon les secteurs qui recrutent.
À l’Afpa, l’heure de la rentrée a également sonné. Ce jeudi 12 septembre 2024, une journée portes ouvertes (JPO) est organisé sur la région PACA afin de proposer aux personnes en quête de qualification, d’une reconversion professionnelle, d’un contrat en alternance ou tout simplement d’un accompagnement personnalisé, la possibilité de découvrir les nombreux métiers et formations proposées à l’Afpa.
Cette journée sera également l’occasion pour les stagiaires de rencontrer les formateurs et de récolter toutes les informations nécessaires pour bénéficier d’une formation ou d’un accompagnement. Les centres de Marseille-St-Jérôme, Toulon-la-Valette, Istres, Cannes et Nice accueilleront le public de 9 h à 16 h. Les centres d’Avignon-le-Pontet, Marseille-La-Treille et Marseille-Pointe Rouge seront ouverts de 9h à 13h. L’Afpa proposera également au cours de cette journée, des visites de plateaux de formation durant lesquelles un jeu de questions-réponses sera possible entre les formateurs et stagiaires.
73% des stagiares de l’Afpa trouvent un emploi
Une plateforme dédiée permet de s’inscrire en amont au programme de la journée et d’accéder à de nombreuses ressources en ligne présentant l’offre de formation proposée à l’Afpa : https://evenement.afpa.fr. Cette JPO offrira la possibilité d’aborder toutes les questions pratiques et de répondre à toutes les questions que le public présent peut se poser.
Dans quels secteurs trouver des débouchés ? Comment réussir sa reconversion ? Peut-on réussir sans diplôme ? Comment rebondir après un échec scolaire ? Comment entrer en formation ? Quels sont les financements possibles ? Puis-je poursuivre ma formation à l’étranger avec ERASMUS+?Lors de toutes les formations de l’Afpa, il est possible de bénéficier d’une mobilité internationale labellisée ERASMUS +. Les stagiaires accueillis par l’Afpa en Région Sud ont la possibilité de bénéficier d’une période de stage d’au moins un mois à l’étranger.
L’Afpa, membre du secteur public de l’emploi, contribue à la formation et au développement des compétences, des salariés, demandeurs d’emploi, jeunes, seniors, personnes en situation de handicap. L’Afpa dispose également en Provence-Alpes-Côte d’Azur d’une offre importante de dispositifs d’accompagnement adaptés à différents profils, pour sécuriser le projet professionnel et accéder à l’emploi. 73% des stagiaires passés par l’Afpa trouvent un emploi par la suite.
Une offre Afpa diverse et riche
5 points clés sont proposer à travers le programme de l’afpa :
-Offre de qualification et montée en compétence : formations diplômantes, perfectionnement, validation des acquis de l’expérience (VAE), bilan de compétences, accès aux outils d’aide à la recherche d’emploi, construction de CV, montage financier…
-Offre de changement de métier : l’Afpa accompagne les salariés et demandeurs d’emploi dans leur projet de reconversion.
-Offre d’alternance : des offres de formation et de nombreux postes à pourvoir en contrat de professionnalisation ou en contrat d’apprentissage pour les jeunes notamment. Depuis que l’Afpa est devenue CFA(centre de formation des apprentis), ils représentent 25% des personnes formées à l’Afpa.L’Afpa s’engage également auprès des entreprises pour les accompagner dans l’embauche d’apprentis.
-Offre de compte personnel de formation (CPF) : les équipes conseil sont mobilisées pour répondre à toutes les questions, aider les particuliers à activer leur compte et les accompagner dans leur recherche de formation.
-Offre de programmes d’accompagnement à l’emploi.
Pour les vauclusiens, rendez-vous au centre Afpa du Pontet
Avignon : 56 Avenue Emile Zola 84130 Le Pontet – 9h à 13h (+ info)
Rencontre avec conseillers Afpa et conseils personnalisés selon le projet de chacun. Visite des plateaux de formation des formations en plomberie, service à la personne, insertion professionnelle, commerce-distribution, logistique, secrétariat, médico-social, comptabilité, paye, etc. A noter notamment des propositions d’alternance avec les entreprises dans les métiers : électricité, mécanique automobile. Ainsi que Renseignements sur l’obtention d’un diplôme par la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE).