19 mai 2024 |

Ecrit par le 19 mai 2024

Incendies de forêt : 2021, l’été de tous les extrêmes

Nous ne sommes que le 12 août mais le constat est d’ores et déjà clair : 2021 sera une année extrême pour l’Europe en matière d’incendies de forêt. Au sein de l’UE, ce constat concerne principalement le Sud du continent. En Grèce, par exemple, la superficie brûlée lors de grands incendies de forêt (seuls les incendies à partir de 30 hectares sont répertoriés) est déjà sept fois plus grande qu’en 2020.

Idem en Italie où le Système européen d’information sur les incendies de forêt (EFFIS) a enregistré une augmentation d’environ 93 pour cent.

La comparaison présentée dans notre graphique Statista montre également la puissance de ces incendies. Alors que 329 088 hectares ont déjà été détruits par les flammes au cours de grands incendies dans l’année en cours, la moyenne entre 2008 et 2020 était d’environ 295 000 hectares en douze mois.

La situation est également préoccupante dans l’Hexagone : selon les données EFFIS, le nombre de feux de forêt répertoriés est déjà presque cinq fois supérieure à la moyenne 2008-2020 et près de 23 000 hectares ont déjà été ravagés par les flammes (contre 7270 en moyenne à la même date depuis 2008).

De Claire Jenik pour Statista


Incendies de forêt : 2021, l’été de tous les extrêmes

Le Conseil départemental, Vaucluse Provence Attractivité et ses partenaires souhaitent construire le tourisme de demain en Vaucluse, plus respectueux de son environnement, de ses hôtes et de ses habitants.

En tant qu’habitant, résident secondaire ou visiteur du territoire, ils souhaitent recueillir votre avis à l’aide d’un questionnaire qui prendra quelques minutes. Répondre au questionnaire : www.vaucluse.fr. Parce que les enjeux et habitudes touristiques évoluent avec les années, un nouveau Schéma départemental de développement touristique (SDDT) 2020-2025 a été élaboré par le Département en 2020. Son objectif est de renforcer l’attractivité du Vaucluse, développer et moderniser l’offre touristique du territoire et répondre aux enjeux touristiques actuels et futurs.

Les enjeux

L’enjeu est d’accompagner les acteurs vauclusiens afin de positionner le département du Vaucluse comme la destination ‘écotourisme et slow tourisme’ par excellence, en impulsant de nouvelles actions vers un développement touristique plus durable et responsable. Un tourisme qui répond aux défis environnementaux (minimisation de l’impact du tourisme, gestion des flux, risques climatiques, protection de l’environnement, et valorisation de la biodiversité et des ressources naturelles) économiques et sociaux, impactant le tourisme et qui sont accélérés depuis la crise que nous vivons. Un tourisme qui se structure aussi sur l’identité des territoires et qui les dynamise autour des filières emblématiques comme le vélo, la randonnée, la gastronomie et d’autres en cours de déploiement.

Un territoire en or

Le Vaucluse offre une grande diversité de sites à la renommée internationale (Mont Ventoux, Avignon, Luberon…), de festivals et manifestations culturelles et de lieux uniques de découverte. Ses vignobles prestigieux (Châteauneuf-du-Pape, Gigondas…), son patrimoine historique remarquable, ses villages provençaux labellisés ont traversé les frontières. Ses activités de pleine nature sont également très diversifiées et valorisées par des infrastructures en plein développement : véloroutes et voies-vertes, ENS (Espaces naturels sensibles), réseaux d’itinéraires et de randonnées. Ces innombrables atouts font du Vaucluse un département qui attire chaque année de nombreux touristes.

L.M.


Incendies de forêt : 2021, l’été de tous les extrêmes

Depuis hier, 29 juillet 2021, notre seule planète ne suffit plus à subvenir à la consommation annuelle de la population mondiale dans les limites de la capacité de régénération des ressources terrestres. En ce jour du « dépassement de la Terre », l’humanité vit à crédit et il faudrait en effet 1,75 Terre pour subvenir aux besoins de tous les habitants de la planète en 2021, révèle l’ONG Global Footprint Network.

D’année en année, la date de ce jour ne cesse d’avancer : en 1970, la date du dépassement était le 29 décembre, puis le 5 octobre en 1995, le 26 août en 2005 et le 1er août en 2018. Seule exception de ces dernières années fût 2020 : en raison de la pandémie et de ses confinements, la date du Jour de dépassement avait alors été le 22 août 2020.

Comme le suggèrent les données de Global Footprint, les populations mondiales ne sont pas toutes responsables de l’épuisement des ressources dans les mêmes proportions : si le monde entier avait le train de vie moyen des Américains, il faudrait cinq planètes pour vivre. Avec le train de vie français moyen on aurait besoin d’un peu moins de trois planètes, contre un peu plus de deux avec le niveau de consommation des Chinois. L’Indonésie et l’Équateur font en revanche partie des meilleurs élèves, comme révèle notre graphique.

De Claire Jenik pour Statista


Incendies de forêt : 2021, l’été de tous les extrêmes

Le Tipi, ça vous parle ? La 1ère ferme urbaine du Vaucluse organisait il y a quelques jours une soirée sous le signe de l’inclusion et de la convivialité. Bilan ? 300 festivaliers, des échanges à foison et une effervescence retrouvée. Rencontre.

Rares sont les soirées où les fêtards déambulent entre les bottes de foin, achètent un jean côté friperie, jouent une partie de boules ou contemplent les jolies courges qui poussent dans le jardin. Seul le Tipi, niché 57 avenue Eisenhower à Avignon, vous gratifie de cette expérience atypique. Aux platines ? Kiddy Smile et Boston Bun, depuis le temps que le public attendait la venue des artistes. Le Tipi est un lieu vivant, écologique et fertile. On y trouve une ferme Urbaine, un atelier de céramique, une herboristerie, une cantine, un bar et une scène de concert. Bienvenue dans le premier lieu dédié à la transition écologique à Avignon.

Paul Arthur Klein, 26 ans et déjà visionnaire

Du haut de ses 26 ans, Paul-Arthur Klein mène la barque. Profondément écolo et engagé, le voilà qui court dans tous les sens, veillant au bon déroulé de la soirée. Il accueille le public, vérifie la sono, allume les jeux de lumières tout en plaisantant chaleureusement avec ses invités. Chemise estivale colorée et casquette, le directeur de l’association nous communique son enthousiasme. Sa légèreté est contagieuse.

Tout part d’un stage de fin d’étude à Paris. L’étudiant, alors en aménagement du territoire et gestion de l’environnement, doit créer une ferme urbaine. Très vite, il se familiarise avec cet univers, l’agriculture et les enjeux écologiques et sociétaux de demain. La permaculture, c’est une démarche, une philosophie. Le but est de prendre soin de la nature, des hommes et de partager équitablement. Autrement dit : concevoir des cultures, des lieux de vie autosuffisants et respectueux de l’environnement et des êtres vivants.

« Mon défi ? lancer cette ferme à Avignon, nous confie le fondateur de l’association Les Jeunes pousses. Tout le monde m’encourageait à la créer à Rennes ou à Nantes. Mais je me suis dit que si justement tout le monde réfléchissait de cette manière, la cité des Papes ne risquait pas de gagner en dynamisme et en attractivité. » L’aventure se cristallise lorsqu’il remporte le budget participatif de la ville d’Avignon: 150 000€ pour développer sa ferme.

Une soirée qui fait du bien après la morosité. Photo: Linda Mansouri

Les collectivités locales, soutien de 1ère heure

L’association ‘Les jeunes pousses’ bénéficie d’un soutien ancré dans le territoire. La ville d’Avignon, le Grand Avignon, le Conseil départemental du Vaucluse, la Région, la préfecture, tous y vont de leurs concours pour soutenir financièrement et matériellement le projet de ferme urbaine inédite. Les fondations reconnaissent volontiers l’utilité sociale d’un tel projet d’inclusion et abondent également le Tipi. La fondation Nicolas-Hulot, la fondation Grand Delta Habitat, Vallis Habitat ou la fondation Ekibio, pour ne citer qu’eux. Viennent ponctuer ce maillage territorial: la MSA, la Caf et l’Ademe (Agence de la transition écologique).

On vous met au défi de ne pas craquer au bar. Photo: Linda Mansouri

« On sert comme bureau d’étude aux collectivités pour l’accompagnement à la transition écologique. On souhaiterait à terme créer un deuxième lieu de ce genre », ambitionne Paul-Arthur. Le Grand Avignon, la Ville d’Avignon, l’Etat, les bailleurs sociaux se sont engagés depuis 2018 dans un ambitieux programme de renouvellement urbain, baptisé « L’ambition urbaine », qui vise à métamorphoser les 3 quartiers prioritaires de la commune d’Avignon. Les objectifs : améliorer durablement le cadre de vie quotidien des 25 000 habitants qui vivent dans les quartiers Sud, Saint-Chamand et nord-est d’Avignon, favoriser la mixité, le développement économique et renouveler l’image de ces quartiers. Une enveloppe de 311 000€ est alors débloquée.

Accompagnée des associations ‘Les jeunes pousses’, une équipe projet pluridisciplinaire se constitue. Des questionnaires en ligne sont envoyés aux associations de quartiers, centres sociaux, conseillers citoyens et habitants. Un véritable engouement est constaté et a certainement même renforcé l’émulation autour des enjeux de l’agriculture urbaine, des circuits courts, de l’écologie, et de solidarité. L’équipe du Tipi est en perpétuelle réflexion, « on teste des choses, on fait appel à des collectifs, on fait chanter des artistes pour amener du monde qui ne serait pas venu spontanément. » Chaque soirée propose une ambiance, un univers, rien n’est identique.

La friperie vous réserve de belles surprises, à prix abordable ! Photo : Linda Mansouri

4 salariés, 600 adhérents

L’équipe es forte de 100 bénévoles et 600 adhérents à ce jour soutiennent financement l’aventure. Objectif ? 1000 adhérents d’ici la fin de l’année. Un chiffre réaliste puisque pour participer aux évènements, les festivaliers doivent s’acquitter du montant de l’adhésion: 5 euros. Les bénévoles s’attèlent toute l’année pour aider aux 1000 tâches qu’implique une ferme de cette taille. Jardinage, aménagement, organisation d’évènements, relations publiques, service, sécurité, tous mettent la main à la pâte pour faire grandir le bébé. Les jeudis, l’aide est protéiforme, les samedis, un programme d’action est défini au préalable. Dans les rangs figurent également des jeunes munis d’un contrat de service civique et des stagiaires.

4 personnes sont salariées sur la ferme du Tipi et la Champignonnière, dont 2 agronomes. « Notre champignonnière est installée dans l’une des caves voutées de l’hôtel La Mirande, en plein cœur d’Avignon. Nos champignons sont produits sur du marc de café que nous récoltons chez les commerçants du centre-ville. Une fois les champignons récoltés, le substrat est recyclé au Tipi pour amender les cultures. Nos champignons sont disponibles à la vente dans les épiceries. »

Emma Castanier, fondatrice de Pilea Project. Production de plante d’intérieur locale et éthique, ateliers, service d’entretien. Photo: Linda Mansouri

Unir le centre-ville aux quartiers prioritaires

« Mon challenge, c’est de réunir des publics provenant de lieux variés. » Le centre-ville se mêle à la périphérie, les quartiers prioritaires aux pavillons plus aisés. Ici, plus de barrières mais des ponts et des passerelles autour d’un mode de consommation responsable. Le modèle économique ? Il est axé sur l’évènementiel et la consommation sur place. « Même si un évènement comme cette soirée ne nous rapporte en réalité pas grand chose vu les artistes que l’on fait venir », souligne Paul-Arthur Klein. Les cultures de fruits et légumes sont offertes aux adhérents. Mais l’objectif demeure une vente des produits au sein de la ceinture verte de la Barthelasse et une mise à disposition dans des épiceries solidaires. « On est conscient que le travail est énorme », précise le directeur. Ne dit-on pas que la volonté donne des ailes ?

 57 Avenue Eisenhower, Avignon, http://www.lesitedutipi.fr/; 06 26 76 75 00.

15 arbres fruitiers, des serres et beaucoup d’amour. Photo: Linda Mansouri
Une petite partie de pétanque ? Photo: Linda Mansouri

Incendies de forêt : 2021, l’été de tous les extrêmes

Comme chaque année, la Chambre d’agriculture de Vaucluse ouvre les portes de son vignoble expérimental situé à Piolenc. A l’occasion de ces portes ouvertes, les visiteurs pourront découvrir les différents essais menées sur la vigne à travers différents ateliers. De nouvelles expérimentations 2021 seront présentées comme des démonstrations de robot travaillant le sol ou bien encore de ‘l’agrivoltaïsme dynamique’.

Cette matinée sera aussi le moment d’en apprendre davantage sur les différents essais pour accompagner les agriculteurs vers un mode de production alliant rentabilité, respect de l’environnement, adaptation au changement climatique, protection des cultures et préserve de la typicité des vins de la vallée du Rhône.

Jeudi 29 juillet. 9h à 12h.
Inscription ici avant le mardi 27 juillet.
Retrouvez ici le détail du programme.


Incendies de forêt : 2021, l’été de tous les extrêmes

Après Grand Delta Habitat, RES, et Pellenc, au tour des collaborateurs de la société Maksyma d’être présentés dans la rubrique ‘Etat-major’.

La société Maksyma est implantée à l’Isle-sur-la-Sorgue. Spécialisée dans les aides financières à travers les Certificats économies d’énergie (CEE), elle développe son propre logiciel de contrôle de dossiers et le commercialisera à terme aux autres mandataires.

Emilie Debris (40 ans) : Présidente, fondatrice et dirigeante. Auparavant directrice commerciale pendant 5 ans pour les deux plus grandes entreprises délégataires françaises. Dirige l’entreprise Maksyma, reconnue mandataire par le Ministère de la transition écologique, spécialisée dans la valorisation des Certificats d’économies d’énergie (CEE). Vincent Corchero (49 ans) : responsable commercial. Démarche les sociétés qui font des travaux éligibles aux Certificats d’économies d’énergie afin de créer des partenariats avec celles-ci et assure aussi le suivi qualité. Bastien Evon (33 ans) : responsable réglementaire. Suit l’évolution de la réglementation concernant les CEE et la législation qui s’y réfère ; interprète et diffuse les nouveaux textes réglementaires au sein de l’équipe.

Amandine Aymard (30 ans) : responsable contrôle conformité. Contrôle les dossiers de CEE ; supervise le service des contrôleurs conformité notamment avec la formation des contrôleurs et assure le suivi des relations clientèle. Annick Chapelain-Zonta (50 ans) : chargée de contrôle conformité CEE ; assure le suivi d’une partie des partenaires de l’entreprise. Nadine Ondel (50 ans) : responsable partenariat institutionnel. Rencontre les collectivités locales afin d’établir des partenariats pour valoriser les CEE dans le secteur public ; assure la communication et les relations publiques de l’entreprise.

Maxime Collin (24 ans) : auditeur énergétique. Réalise des audits énergétiques afin d’accomplir un état des lieux détaillé des performances énergétiques du bâtiment pour préconiser des travaux de rénovation énergétique et indiquer les aides financières disponibles. Stéphane Belazouz (33 ans) : responsable des nouvelles technologies informatiques de communication. Développe un logiciel adapté à la gestion intégrale des dossiers des CEE émis par les partenaires et gère le système d’information de l’entreprise.

L.M.


Incendies de forêt : 2021, l’été de tous les extrêmes

L’association des producteurs de Raisin AOP (Appellation d’origine protégée) Muscat du Ventoux vient de présenter ses nouvelles barquettes plus écologiques. Ainsi, pour la prochaine récolte qui devrait se trouver sur les étals à la fin du mois d’août prochain, les 250 producteurs vauclusiens ont fait le choix faire évoluer leurs emballages pour mieux s’inscrire dans l’économie circulaire.
Désormais, le Muscat du Ventoux sera donc conditionné dans une barquette 100% recyclable composé de 85% de plastique recyclé.
Avec ce nouvel emballage, une première en France, l’association anticipe l’interdiction, à partir de 2022, du conditionnement des fruits et légumes dans des emballages plastiques.
Fabriqué en France dans l’Yonne par Dynaplast, qui dispose également d’un site de stockage de 10 000m2 à Vedène, à partir de bouteilles plastiques recyclées récoltées dans des zones côtières menacées par la pollution cette nouvelle barquette va permettre d’éviter que 830 millions de bouteilles ne finissent dans les rivières et les océans.
Chaque année, les producteurs de Muscat du Ventoux récoltent entre 1 500 à 2 200 tonnes de raisins. La production s’étend sur 660 hectares environ répartis dans 56 communes situées à cheval entre les parcs naturels régionaux du Ventoux et du Luberon.

L.G.


Incendies de forêt : 2021, l’été de tous les extrêmes

Étant donné qu’environ 80 % des déchets plastiques qui finissent leur course dans l’océan y sont transportés par les cours d’eau, de nombreux experts estiment que concentrer les actions au niveau des fleuves et des rivières est l’une des solutions les plus efficaces pour lutter contre la pollution marine.

Un rapport publié par EarthWatch Europe a révélé que plus de 37 % des déchets retrouvés dans les cours d’eau européens sont des déchets plastiques directement liés à des produits de consommation courante. Parmi ces déchets plastiques, les plus répandus sont les bouteilles en plastique (14 %) et les emballages alimentaires (12 %), qui représentent ensemble plus du quart des plastiques collectés. On retrouve ensuite les mégots de cigarette (9 %), puis les boîtes alimentaires à emporter, les cotons-tiges et les gobelets.

En 2019, le Parlement européen avait validé l’interdiction des plastiques jetables, comme les pailles, couverts et cotons-tiges, à compter de l’année 2021. En France, l’interdiction a pris effet le 1er janvier et cette dernière sera totale à partir du 1er juillet, puisque les stocks commandés avant 2021 pouvaient encore être écoulés jusqu’à cette date. La législation validée par le Parlement européen a par ailleurs fixé pour les pays membres un objectif de collecte de 90 % des bouteilles en plastique d’ici 2029.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Incendies de forêt : 2021, l’été de tous les extrêmes

Avec la ‘Lub’ambule’ : le parc du Luberon part à la rencontre de ses habitants. La Lub’ambule, qu’est-ce que c’est ? C’est un outil de mobilisation des publics vers le développement durable, une remorque pédagogique d’information et de sensibilisation pour développer l’appropriation du parc par ses habitants.

‘Lub’ pour Luberon et ‘ambule’ pour ambulant, itinérant. Sa forme et sa couleur ont été bio-inspirées par le coquelicot et la garance des teinturiers. La Lub’ambule sera présente sur les temps forts locaux. Elle proposera des animations aux petits comme aux plus grands, de faire découvrir les produits du terroir, de renseigner sur les missions du Parc et d’aider à la compréhension du territoire à l’aide d’une carte didactique. La Lub’ambule est une réalisation du programme ‘Les relais du parc’, soutenu par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

« Parce que nous sommes tous acteurs et visiteurs sur notre propre territoire, la Lub’ambule servira à faire prendre conscience à chacun de l’intérêt de découvrir, comprendre et défendre les richesses du Parc naturel régional du Luberon. Elle sera l’occasion de faire connaissance, d’échanger avec vous, résidents ou visiteurs, acteurs économiques et culturels, qui faites vivre et qui vivez notre territoire, afin de comprendre vos attentes, vos besoins et vos souhaits d’avenir. »

L.M.

https://www.echodumardi.com/tag/environnement/page/23/   1/1