19 mai 2024 |

Ecrit par le 19 mai 2024

Baisse du chauffage au travail : quel impact sur les salariés ?

L’opérateur de bureau Deskeo vient de réaliser une étude autour de la baisse de température à 19°c dans les bureaux. Cette mesure est-elle bien acceptée par les Français ? Quel impact sur la productivité des salariés ?

Les entreprises tendent à baisser la température au sein de leurs bureaux en réponse au gouvernement qui a appelé les Français à plus de sobriété énergétique. D’après l’enquête de Deskeo, plus de la moitié des salariés Français, c’est-à-dire 59,4%, ont été informés de cette mesure. Les 40,6% restants expliquent qu’ils n’ont pas été mis au courant.

58,4% des salariés interrogés ont plus ou moins remarqué qu’il faisait plus froid dans leur bureau, alors que 41,6% n’ont pas constaté de différence. En très grande majorité, à 67,4%, les répondants acceptent cette préconisation du gouvernement et pensent qu’il est « normal de faire des efforts. » 24,2% avouent ressentir « un mal-être » à cause du froid, et 8,4% se disent en colère car selon eux, « ça ne changera rien à la crise économique et environnementale. »

Au niveau de la productivité des salariés, 54,2% estiment que cette diminution de température n’affecte en rien leur efficacité, tandis que 29% pensent que cela affecte « un peu » leur productivité et 16,8% que cela l’affecte beaucoup. Pour 22,4% des sondés, 19°c est la température optimale pour travailler. Pour 26,9%, la température idéale se situe entre 19 et 20°c. Entre 20 et 21°c pour 36,5%, et à plus de 21°c pour 14,2%.

En réponse à la baisse des températures dans les bureaux, 3 collaborateurs sur 4, c’est-à-dire 74,8% des salariés interrogés, ne comptent pas demander de jour de télétravail supplémentaire afin de travailler dans une température plus élevée chez eux.

V.A.


Baisse du chauffage au travail : quel impact sur les salariés ?

Le Conseil départemental, Vaucluse Provence Attractivité et ses partenaires souhaitent construire le tourisme de demain en Vaucluse, plus respectueux de son environnement, de ses hôtes et de ses habitants.

En tant qu’habitant, résident secondaire ou visiteur du territoire, ils souhaitent recueillir votre avis à l’aide d’un questionnaire qui prendra quelques minutes. Répondre au questionnaire : www.vaucluse.fr. Parce que les enjeux et habitudes touristiques évoluent avec les années, un nouveau Schéma départemental de développement touristique (SDDT) 2020-2025 a été élaboré par le Département en 2020. Son objectif est de renforcer l’attractivité du Vaucluse, développer et moderniser l’offre touristique du territoire et répondre aux enjeux touristiques actuels et futurs.

Les enjeux

L’enjeu est d’accompagner les acteurs vauclusiens afin de positionner le département du Vaucluse comme la destination ‘écotourisme et slow tourisme’ par excellence, en impulsant de nouvelles actions vers un développement touristique plus durable et responsable. Un tourisme qui répond aux défis environnementaux (minimisation de l’impact du tourisme, gestion des flux, risques climatiques, protection de l’environnement, et valorisation de la biodiversité et des ressources naturelles) économiques et sociaux, impactant le tourisme et qui sont accélérés depuis la crise que nous vivons. Un tourisme qui se structure aussi sur l’identité des territoires et qui les dynamise autour des filières emblématiques comme le vélo, la randonnée, la gastronomie et d’autres en cours de déploiement.

Un territoire en or

Le Vaucluse offre une grande diversité de sites à la renommée internationale (Mont Ventoux, Avignon, Luberon…), de festivals et manifestations culturelles et de lieux uniques de découverte. Ses vignobles prestigieux (Châteauneuf-du-Pape, Gigondas…), son patrimoine historique remarquable, ses villages provençaux labellisés ont traversé les frontières. Ses activités de pleine nature sont également très diversifiées et valorisées par des infrastructures en plein développement : véloroutes et voies-vertes, ENS (Espaces naturels sensibles), réseaux d’itinéraires et de randonnées. Ces innombrables atouts font du Vaucluse un département qui attire chaque année de nombreux touristes.

L.M.


Baisse du chauffage au travail : quel impact sur les salariés ?

Quelles sont les régions françaises les plus plébiscitées par les touristes pour cet été 2021 ? Belvilla, spécialiste de la location de maisons de vacances de particuliers, a dressé une liste des régions françaises les plus populaires pour les grandes vacances 2021.

Après plus d’un an d’attente, le désir de voyage est toujours aussi présent dans les esprits. Les Européens ont majoritairement choisi de poser leurs valises sur leur territoire national ou dans un pays limitrophe, facilement accessible en transport individuel. Ce comportement se retrouve chez les clients français de Belvilla qui ont décidé à 77% de rester en France pendant les vacances estivales.

Dans ce top 5 des destinations les plus prisées de France, les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur, Languedoc-Roussillon, Dordogne, Midi-Pyrénées et Normandie représentent à elles seules près de 60% des réservations de Belvilla pour la France. Après plusieurs confinements, l’heure est arrivée de se ressourcer au grand air.

Provence-Alpes-Côte d’Azur, palme d’or

Avec 17,5% des réservations françaises, la région Paca reste une destination de choix pour les voyageurs en quête de soleil, mer, montagne, nature, d’une douceur de vivre et d’une gastronomie régionale pleine de traditions. « Ce vaste territoire, continue de séduire par ses paysages peu communs. Les adeptes de la nature se tournent vers la Provence et ses villages, ceux qui préfèrent des vacances plus animées trouveront leur bonheur sur la Côte d’Azur avec ses nombreuses stations balnéaires. Enfin, les voyageurs en quête de dépaysement seront émerveillés par les Alpes du Sud et ses parcs naturels. »

Languedoc-Roussillon, challenger

Le littoral méditerranéen ne cesse de séduire. La région Languedoc-Roussillon et la chaleur du sud atteignent 15% des réservations en France pour cet été 2021. « Cette région offre de nombreux paysages aux vacanciers qui souhaitent la découvrir. Les voyageurs pourront faire le plein de soleil en se prélassant sur des plages de sable fin allant de la plage de l’Hérault jusqu’à la côte Vermeille et ses replis rocheux. Pour les amateurs de vacances plus calmes, l’arrière-pays pourrait être le choix idéal avec ses magnifiques vignes à perte de vue et ses gorges sauvages. »

L.M.


Baisse du chauffage au travail : quel impact sur les salariés ?

Une récente étude* s’est penchée sur les changements engendrés par le télétravail entre les Français et leurs animaux de compagnie. Une enquête qui met en lumière le bien-être de nos amis les bêtes, tout en pointant du doigt un certain délaissement de la part des propriétaires.

Le constat est logique, 56% des Français qui sont en télétravail déclarent passer plus de temps avec leur animal. Ce qui l’est beaucoup moins, c’est que 51% avouent qu’ils ne profitent pas de ce temps pour faire plus de balades et que 53% jouent moins avec leur animal alors qu’ils sont en télétravail. Ce paradoxe s’explique par le fait que « beaucoup de personnes en ‘home office’ travaillent plus qu’au bureau et ont donc moins de temps à consacrer à d’autres activités ».

Des boules de poils qui réclament de l’attention

La présence des animaux est un bienfait admis et encore plus important pour 97% des Français en confinement**. Cependant, en télétravail, un animal peut causer parfois quelques désagréments. Ainsi, 39 % des Français disent être tout le temps dérangé par leur animal. Les animaux de compagnie semblent adorer solliciter leur propriétaire quand ils sont en train d’écrire sur ordinateur (57%), quand ils téléphonent (43%) et un peu moins quand ils sont en visioconférence (38%). Être en télétravail en compagnie de son animal a heureusement beaucoup d’impact positif sur son bien-être, et sans doute aussi pour celui du propriétaire. Les chiffres en disent long, 67% trouvent leur animal moins stressé, 69% moins déprimé.

Gare à la séparation

Face à cette crise sanitaire, nombreux sont ceux qui espèrent un retour à la normale rapidement. Les animaux de compagnie risquent en revanche de pâtir d’une brusque séparation à laquelle ils ne sont pas préparés. Seulement 13% des Français disent essayer de ne pas trop habituer leur animal à leur présence lorsqu’ils sont en télétravail. Autre conséquence du télétravail, 59% des animaux semblent avoir pris de mauvaises habitudes. Le retour au bureau risque donc d’être mouvementé.  

*Enquête de WAMIZ menée auprès de 3 716 personnes, propriétaires d’au moins un animal et étant en home office actuellement.

**Sondage Wamiz réalisé en novembre 2020 sur 2 787 répondants propriétaires de chiens et/ou de chats en France).

https://www.echodumardi.com/tag/etude/page/3/   1/1