Les sculptures de Julien Allègre et les photos de Philippe Abel méritent un détour ……par Sablet. A l’occasion de leur exposition ‘Regards croisés’, les deux artistes nous invitent à les rencontrer, dans un premier temps, lors de l’inauguration qui aura lieu mardi 18 mai de 11h à 18h. L’ exposition continuera ensuite jusqu’au 22 mai de 14h à 18h et sur rendez-vous à partir du 23 et jusqu’au 28 mai. Atelier de Julien Allègre. ZAC Camp Bernard. Sablet. 06 83 47 14 58. Philippe Abel. 06 10 52 53 13.
Michèle Périn
A Sablet, la vie culturelle s’ouvre sur une expo
À l’occasion de la commémoration des 20 ans de la loi Taubira, l’exposition « L’esclavage aujourd’hui » de la maison de la négritude sera à découvrir du 10 au 24 mai dans le péristyle de l’hôtel de ville d’Avignon, puis du 25 mai au 11 juin à la maison du combattant. Sur toute la période, les bibliothèques municipales proposeront une sélection d’ouvrages sur le sujet.
Le 10 mai 2001, la loi portée par Christiane Taubira, alors députée de l’Assemblée nationale, pour la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité, était adoptée à l’unanimité par les sénateurs. La date du 10 mai a ensuite été retenue pour commémorer chaque année la Journée nationale des mémoires de la traite et de l’esclavage et de leurs abolitions.
Christiane Taubira, dont les Avignonnais se souviennent des lectures poétiques et engagées au jardin Ceccano en juillet 2017, est une femme politique française née le 2 février 1952 à Cayenne (Guyane). D’abord militante indépendantiste, elle prend part à la création du parti politique guyanais Walwari en 1992 avant de devenir députée de Guyane l’année suivante et jusqu’en 2012. Également députée européenne de 1994 à 1999, elle sera candidate à l’élection présidentielle de 2002 et deviendra ministre de la Justice de 2012 à 2016. À l’origine de la loi tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité, elle a également défendu le projet de celle ouvrant le mariage et l’adoption aux couples de personnes de même sexe.
L.M
A Sablet, la vie culturelle s’ouvre sur une expo
Avignon fêtera en 2025 les 25 ans de sa distinction ‘ville européenne de la culture’. Pour l’occasion, la municipalité a concocté une programmation culturelle sur plusieurs années, gage de son identité et de ses valeurs. A travers bon nombre de dispositifs, la cité des papes entend bien célébrer la culture sous toutes ses formes et permettre à la multiplicité des talents de s’épanouir.
Dès le plus jeune âge
La culture est, parait-il, la nourriture de l’âme. En particulier pour les enfants, premier pilier annoncé du programme. Objectif ? Faire entrer la création artistique et culturelle dans les écoles et ainsi faciliter la rencontre entre les enfants et les artistes. Le dispositif ‘artiste à l’école’ est expérimenté dans trois écoles depuis la rentrée 2021. Les établissements scolaires ont le choix entre deux formules : un parrainage de l’école par une structure culturelle de la ville d’Avignon (musées, acteurs culturels tels que le Festival) donnant lieu à des expériences passerelles, ou bien un accueil en résidence d’un artiste ou d’une compagnie au sein même de l’école. Ces projets d’éducation artistique et culturelle permettront de décloisonner les apprentissages et favoriser un brassage entre les jeunes.
Créer dans les quartiers
Au sein des quartiers, les ‘maisons folies’ accueilleront des espaces de fabrique, de répétition et de diffusion, ouverts à tous afin de pouvoir proposer expositions, concerts et ateliers. Ce réseau de créations artistiques impliquera les artistes, les acteurs culturels et associatifs ainsi que les habitants de proximité. Deux sites seront proposés en 2023 puis en 2024, avant une montée en puissance en 2025, année anniversaire d’Avignon, capitale européenne de la culture.
Les jeunes talents ont carte blanche
Le dispositif ‘quartet +’ permet l’organisation d’expositions dans 5 lieux patrimoniaux emblématiques du centre-ville. Également, la Ville témoigne d’une volonté d’ouvrir les portes des lieux patrimoniaux aux nouveaux talents avignonnais. Des salles de spectacles et de répétitions de Benoît XII et du château de la Barbière seront mises à disposition pour des expositions et des performances artistiques.
Nouveau festival au programme
Nouveau rendez-vous pour les pratiques amateurs : le ‘festival tous artistes ‘. En juin, pendant 15 jours, dans des musées, théâtres, salles d’exposition mais aussi parcs et jardins, les pratiques amateurs se vivront pleinement. Chorales, ateliers théâtres, écoles de danse, sorties d’ateliers, dès 2023, les amateurs se produiront dans le cadre de ce festival, nouveau temps fort du calendrier culturel d’Avignon.
Un prix littéraire des Avignonnais
Que serait la culture sans littérature ? Le plan ‘lire à Avignon 2021-2025’ porté par la municipalité se traduit notamment par l’instauration de la gratuité des inscriptions en bibliothèque, la diversification de la programmation culturelle et la création d’un prix littéraire des Avignonnais en 2022. Enfin, deux projets d’équipements revisités seront mis à profit avec la réhabilitation de la bibliothèque Jean-Louis Barrault et l’ouverture de la bibliothèque éphémère du clos de la Murette en juillet 2021.
Le ‘pass culture’
Sésame des jeunes Avignonnais de moins de 26 ans, le ‘pass culture’ ambitionne de tripler ses bénéficiaires en renforçant les partenariats avec les structures comme la Mission locale, les centres sociaux, les lycées ou les CFA (Centre de formation des apprentis). Des passerelles seront envisagées avec le ‘patch culture’ de l’Université d’Avignon et le ‘pass culture’ du ministère de la Culture, multipliant ainsi les rendez-vous culturels.
8M€ pour la bibliothèque Jean-Louis Barrault
Accueil réinterprété et convivial, espace numérique renforcé, cabanes haut perchées pour certains, lectures ombragées, la bibliothèque Jean-Louis Barrault incarnera un espace d’évasion et de rencontre. D’une surface de 2 183 m², le nouveau bâtiment proposera des espaces de consultation, un théâtre-auditorium, un café littéraire, un espace informatique… et 38 000 ouvrages mis à disposition des usagers. Le Développement durable, tiendra une place majeure, en plein cœur d’un quartier concerné par le programme de renouvellement urbain. Avec 8 millions d’euros de travaux programmés et un cabinet d’architectes de renom, ‘Jakob + MacFarlane’, sortira de terre en 2023.
Bibliothèque éphémère du clos de la Murette
Une bibliothèque éphémère ouvrira dès l’été 2021 dans le parc du clos de la Murette, permettant de déployer de nouvelles formes de lecture publique ouvertes sur la nature. Une fois les travaux de la bibliothèque Jean Louis Barrault achevés, cette structure modulaire deviendra la pierre angulaire d’un nouvel équipement culturel aux dimensions multiples (lecture et musique notamment) créé dans le quartier du Pont-Des-Deux-Eaux.
Dès l’été 2023, la friche de la Cour des Doms, dans l’ancienne prison Sainte-Anne, accueillera des artistes en résidence. Des temps forts de rencontres, de partages avec le public, seront imaginés dans et hors les murs. Ainsi, cet équipement permettra de compléter l’accompagnement que la Ville souhaite apporter aux artistes, plasticiens, sculpteurs, peintres, photographes… faisant le choix de s’y installer (de l’école d’Art aux ateliers indépendants)
Les bains Pommer
Il faudra attendre l’été 2024 pour (re)découvrir, en plein cœur de l’intra-muros, les anciens Bains publics de la ville d’Avignon, dits bains Pommer, lieu exceptionnel de notre patrimoine historique. Grâce à une rénovation d’importance, c’est un nouvel écrin muséal qui ouvrira ses portes à Avignon : un patrimoine renforçant le rayonnement culturel et touristique d’Avignon.
L’artiste figuratif Yvon Taillandier a choisie Avignon pour faire don de sa collection de 500 œuvres de lui-même et de ses compagnons de route, artistes de la seconde moitié du XXe siècle. Un nouvel espace muséal à l’abri des murs de l’hôtel particulier Beaumont de Teste, légué à la Ville par Madame Azemar, dernière occupante du lieu, ouvrira ses portes à l’été 2025.
A Sablet, la vie culturelle s’ouvre sur une expo
Le festival ‘Printemps Anglophone !’, fenêtre ouverte sur la culture anglophone, se tiendra en Avignon du 8 avril au 30 mai 2021. Après deux annulations consécutives en raison du contexte sanitaire, le festival entend bien faire renaître la culture, au sortir d’un hiver quelque peu morose.
Pour cette neuvième édition, les acteurs ont concocté un programme regroupant des trésors de la littérature irlandaise, britannique et américaine. Expositions, films, musique, pièces de théâtre, événements jeune public, discussions, le festival s’annonce protéiforme. Crée en 2013 sous l’impulsion du théâtre Au Chapeau Rouge et d’Avignon Université, ‘Printemps Anglophone’ affiche une volonté de célébrer la culture anglophone dans toute sa diversité. Avec des évènements en français et anglais, pour enfants et adultes, l’événement est accessible au plus grand nombre. Outre la volonté de créer une ouverture vers le monde, le festival entend dynamiser la ville d’Avignon, impliquer les divers publics (scolaire, universitaire et large public) et présenter un éventail d’activités culturelles et ludiques.
« L’hiver cultuel s’est fait long, et nous avons besoin de ce printemps. Cela dit, nous sommes aussi réalistes et conscientes qu’une partie de la programmation de ce festival risque d’être compromise. Nous avons voulu néanmoins démontrer notre volonté de partager la culture anglophone, dans toute sa variété, pendant les deux mois à venir. Cela n’a pas été difficile de mobiliser les participants cette année, tous avaient une grande soif de pouvoir à nouveau partager leur passion pour la culture et le monde anglophone », explique Helen Landau, directrice du théâtre au Chapeau Rouge.
En attendant d’accéder à la programmation complète, ci-après un résumé des principales manifestations.
Exposition de livres précieux à ‘Camili Books and Tea’. Sur toute la durée du festival. Entrée libre.
‘Humanités numériques dans et sur les Amériques’, du 21 au 23 avril 9h-18h. Séminaires et doctoriales en ligne organisés par Avignon Université en partenariat avec l’Institut des Amériques.
‘A Book I Like’ : cinq rencontres et discussions en français autour de la littérature anglophone, au sein de cinq librairies partenaires.
‘English Book Club’ sur ‘God help the Child’ de Toni Morrison, le mardi 11 mai à 14h. Conversations informelles en anglais. Entrée libre. L’évènement aura lieu en ligne, inscriptions : cyrielle.garson@univ-avignon.fr.
Concerts en anglais : ‘Around the Blues’, samedi15 mai à 20h30 et dimanche 16 mai à 17h ; ’Autour du théâtre musical’, vendredi 21 et samedi 22 mai à 20h30, au théâtre de la porte St Michel. Réservations : 09 80 43 01 79.
Théâtre en anglais : ‘Tales without Morals’. Samedi 22 mai à 19h30 et dimanche 23 mai à 16h au théâtre l’Archipel. Tarif et réservations : 04 90 84 04 03.
Débat autour du Fringe : jeudi 27 mai à 14h. En ligne. Réservations 09 80 43 01 79.
Lecture en résonance : ‘Les Hauts de Hurlevent’ en anglais et en français par des étudiantes du conservatoire du Grand Avignon, samedi 29 mai à 10h au Rocher des Doms.
Projection de films : ‘Le retour de Mary Poppins’, samedi 29 mai à 11h. ‘Scènes en solitude’, le même jour à 17h : sélection de court-métrages crées par les artistes du ‘Questors Theatre’ de Londres au Théâtre du Rempart. Réservations auprès du théâtre Au Chapeau Rouge : 04 90 84 04 03.
Ateliers : ‘Write like the ones you adore’, le samedi 17 avril à 14h30 et le vendredi 7 mai à 17h au Camili Books & tea. Réservations : 04 90 27 38 50.
Ateliers d’improvisation en anglais, les samedis 1, 8 et 15 mai de 14h à 17h au théâtre l’Archipel. Réservations : 04 90 84 04 03.
Atelier d’écriture le vendredi 21 mai à 14h (le lieu de l’atelier sera annoncé prochainement)..
Cette édition est soutenue par la ville d’Avignon ainsi que par plusieurs structures d’Avignon Université : l’ICTT (Identité Culturelle, Textes et Théâtralité), l’UFR-ALL (Arts, Lettres, Langues), le FSDIE (Fonds de solidarité et de développement des initiatives étudiantes) et l’association Curtain Call.
A Sablet, la vie culturelle s’ouvre sur une expo
Dans le cadre de l’édition 2022 du festival, ¡Viva Villa! lance un appel à candidatures pour une résidence curatoriale à destination des commissaires d’exposition francophones, sans limite d’âge ni critère de nationalité.Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 25 janvier à 13h (Heure France métropolitaine).
La résidence curatoriale (Conservation et exposition des œuvres d’art) s’inscrit dans le cadre d’un programme d’accueil inédit entre les trois institutions organisatrices, l’Académie de France à Rome – Villa Médicis, la Casa de Velázquez à Madrid, la Villa Kujoyama à Kyoto, en collaboration avec la Collection Lambert en Avignon, partenaire associé de cette édition-pilote de la biennale des résidences d’artistes.
La ou le commissaire en résidence se verra confier le co-commissariat de l’édition 2022 du festival ¡Viva Villa! qui se tiendra à l’automne 2022 à la Collection Lambert à Avignon, conjointement avec le directeur artistique délégué de la Collection Lambert.
Pendant deux saisons culturelles, le ou la co-commissaire effectuera une série de séjours d’un mois à Rome, Madrid, Kyoto et Avignon afin de concevoir le projet curatorial avec les artistes, créateurs et chercheurs accueillis au sein des trois résidences d’artistes à l’étranger.
La ou le co-commissaire assurera la conception et la réalisation d’une exposition, le développement d’actions artistiques auprès des publics et le suivi éditorial du catalogue.
L’association pernoise ‘La Photo dans le cadre’ organise les vendredi 23, samedi 24 et dimanche 25 octobre une exposition de photos intitulée “Week-end en Images” à la Chapelle des Pénitents Blancs.
Malgré le contexte de crise sanitaire, les membres de l’association ‘La Photo dans le cadre’ ont annoncé vouloir maintenir l’exposition. « Nous pensons que dans la situation actuelle il est important de maintenir des événements culturels en respectant les gestes barrières et nous espérons que vous serez nombreux à venir découvrir cette exposition de photos durant ces 3 journées. Les photographes de l’association sont mobilisés et seront présents pour partager leur passion avec vous… Venez nous rencontrer pour nous soutenir ! » a ainsi déclaré Patrick Denis, le président de l’association.
Les 10 artistes présents : Marie-France Zumaquero, Catherine Vernay, Philippe Croayne, Jean-Pierre Rieu, Alain Pérot, James Jaulin, Rosie Jackson, Bernard Lescot, Patrick Denis et Yann Chaplet.
Du vendredi 23 au dimanche 25 octobre. 10h à 18h. Chapelle des Pénitents Blancs. 248, rue Emile Zola. Pernes-les-Fontaines. Entrée libre.
A Sablet, la vie culturelle s’ouvre sur une expo
L’imprimerie Rimbaud a choisi d’exposer les œuvres de Valentine Champetier de Ribes et Matthieu Prier. Leur démarche : relier le graphisme et la photo dans une image où ils se mettent en scène autour d’un thème de l’année avec poésie et créativité. Beaucoup de décors, de jeux de lumière pour une image maîtrisée et le moins possible retouchée dans un univers loufoque et créatif. Ici ce sont 10 années de création proposées en grand format. Un travail graphique et photographique autour de l’actualité. Egalement, pour l’occasion l’imprimeur, le photographe et la directrice artistique s’associent autour de projets de cartes de vœux créatives.
Exposition Photo grand format. Jusqu’au 13 novembre.Imprimerie Rimbaud. 888, route d’Avignon à Cavaillon. www.imprimerie-rimbaud.fr
A Sablet, la vie culturelle s’ouvre sur une expo
Dans le cadre de Chroniques – Biennale des imaginaires numériques, Edis présente à l’Ardenome (Ancien Grenier à Sel, Avignon) une grande exposition consacrée à l’artiste Jeanne Susplugas et intitulée ‘J’ai fait ta maison dans ma boite crânienne’.
Un art protéiforme Du dessin à la vidéo en passant par la réalité virtuelle, la photographie ou la céramique, cette artiste de renommée internationale explore avec poésie notre monde intérieur, qu’elle conçoit comme un espace habité.
Le fil rouge de l’exposition L’exposition présentée à l’Ardenome a pour fil rouge notre monde intérieur, physique ou psychique, que l’artiste conçoit comme un espace habité et qu’elle symbolise par une maison surdimensionnée. Suspendue au plafond du Grenier à sel, cette gigantesque sculpture, archétype de la maison individuelle dans les dessins d’enfants, semble vouloir s’élever vers le ciel comme un ballon, mais reste lestée par un attirail d’objets. De la maison au cerveau, Jeanne Susplugas tisse de fines correspondances que l’on retrouve d’une œuvre à une autre: dans les dessins (In my Brain), dans la cage de lumière (Light House), ou encore dans l’installation immersive que le visiteur est invité à expérimenter (I’ll sleep when I am dead), la maison-cerveau est notre espace intime, à la fois refuge apaisant et lieu de toutes les tensions cachées de notre relation aux autres ». Grâce à la magie de la réalité virtuelle, le visiteur pourra d’ailleurs plonger physiquement dans un labyrinthe de synapses et de neurones et cheminer au cœur des « pensées humaines matérialisées par des dessins à l’allure de pictogrammes.
Autour de l’exposition des conférences et des workshops Autour de l’exposition de Jeanne Susplugas, la French Tech Grande Provence et le Festival ON proposent à l’Ardenome une série de workshops et de conférences dans le cadre du programme européen S+T+ARTS (Art, Science, Technologie).
Table ronde Dans la boîte : regards sur le cerveau Samedi 24 octobre à 17h. En faisant dialoguer des approches artistiques, scientifiques, psychologiques, explorons notre cerveau avec un nouveau regard. Avec : Jeanne Susplugas (artiste), Mario Blaise (psychiatre addictologue), Perrine Ruby (chercheuse en neurosciences). Modération : Maxence Grugier.
Workshops Dessin & réalité virtuelle. Matérialisez vos pensées en 2D et 3D et plongez dans le labyrinthe de votre cerveau et des mondes cachés à l’aide de la réalité virtuelle. In your Brain, avec Jeanne Susplugas. Samedi 24 octobre à 14h30 (durée 2h.) Public : 11 à 14 ans•. Les Mondes cachés – avec Christophe Monchalin (artiste VR).
Hors les murs Prolongez la découverte des œuvres de Jeanne Susplugas au sein de l’espace ÔA de l’entreprise CBA, mécène de l’exposition. Du 23 octobre au 20 novembre Du lundi au vendredi : 10h-12h et 14h-16h, sur réservation (accueil@cbainfo.fr)Adresse : CBA – 15 allée Camille Claudel – Bât A, Avignon-Agroparc.
Les infos pratiques Jeanne Susplugas expose chez l’Ardénome.Du 24 octobre au 19 décembre Ardenome, ancien Grenier à sel. Ouverture au public du mercredi au dimanche de 14h à 18h, sauf jours fériés. Accueil des groupes tous les jours sur réservation.2, rue du Rempart Saint Lazare à Avignon. 04 32 74 05 31 accueil@ardenome.fr
A Sablet, la vie culturelle s’ouvre sur une expo
Danièle Kapel-Marcovici, présidente de la fondation Villa Datris à l’Isle-sur-la-Sorgue, vient d’ouvrir les portes de ce lieu d’exposition aux clients du groupe d’emballage Raja dont elle est également présidente et directrice générale. Créée il y a 10 ans, la fondation met en lumière de nombreuses sculptures d’art contemporain, chaque année sur un thème différent.
Cette année, la Villa Datris fait honneur à l’environnement et à la transition écologique avec sa 10e exposition intitulée ‘Recyclage surcyclage’. Le projet vise à sensibiliser le public à la surconsommation et à l’impact de chacun sur la planète. « Nous faisons en sorte que chaque exposition ait une thématique en rapport avec des questions sociétales », explique Danièle Kapel-Marcovici. Si la galerie attire beaucoup de visiteurs de la région, notamment des groupes scolaires, les touristes étrangers apprécient aussi l’art contemporain qui leur est présenté.
Chaque année, les portes de la villa sont ouvertes à tous du mois de mai à celui de novembre. L’exposition de l’an passé, ‘Bêtes de scène’, avait accueilli plus de 50 000 visiteurs. Cette année, malgré la Covid-19 et une ouverture tardive de la galerie le 20 juin, près de 30 000 curieux et férus d’art sont déjà venus admirer les différentes œuvres exposées. L’exposition reste accessible jusqu’au 1er novembre prochain.
89 artistes du monde entier
L’exposition traite d’un sujet universel qui concerne tout le monde. C’est pourquoi les œuvres de 89 artistes de toutes les nationalités ont été choisies pour y être exposées. Entre artistes américains, belges, ou encore néozélandais, ceux de l’Hexagone ne sont pas pour autant mis de côté. De nombreux artistes français, de la région mais pas seulement, ont contribué à l’exposition. La planète entière participe à la sensibilisation de tous à l’environnement.
« Depuis le début, nous avons cette volonté de démocratiser l’art contemporain auprès du grand public », ajoute la présidente de la fondation. L’entrée libre témoigne de ce souhait. Ainsi, tout le monde peut accéder à la galerie. Sur une surface de plus de 500 m2 sur 4 niveaux, une centaine d’œuvres est exposée dans différentes pièces ainsi que dans les jardins de la villa. En complément de ses expositions, la Villa Datris organise des ateliers en rapport avec le thème annuel pour les jeunes enfants âgés de 6 à 12 ans. La fondation accueille également des conférences animées par des historiens de l’art, des spécialistes ou des critiques d’art.
Jusqu’au 1er novembre. Du mercredi au samedi. 11h à 13h. 14h à 18h. Dimanche toute la journée en continu. Fondation Villa Datris. 7, avenue des quatre otages. L’Isle-sur-la-Sorgue. www.fondationvilladatris.com
Sorgues : Raja mise sur le meuble en carton
En parallèle de la découverte de la Villa Datris, Danièle Kapel-Marcovici a invité ses nouveaux clients pour une visite privée du centre de distribution ‘Logisorgues’ du groupe Raja, leader européen de l’emballage. Implanté dans la zone d’activités Saint-Anne à Sorgues depuis 2017, le centre de 18 000 m2 et de plus de 10 m de haut représente un atout pour l’entreprise. « Nos 14 centres de distribution répartis dans toute l’Europe nous permettent de livrer nos clients en 24 ou 48 heures », déclare fièrement la présidente du groupe Raja.
Le centre contient 21 000 emplacements possibles, et environ 70% de sa capacité est saturée. Lors de cette visite près de 550 commandes ont été préparées. « C’est une très grosse journée pour nos 40 préparateurs de commandes », ajoute Henri Serre, directeur commercial grands comptes du groupe.
Lors de cet événement, la directrice générale a également annoncé la sortie d’une nouveauté : la gamme de mobilier ‘Kraft design’. Grâce à son fournisseur ‘My nature box’, Raja propose désormais des meubles en carton. En adéquation avec ’exposition ‘Recyclage surcyclage’ de la fondation Villa Datris, l’entreprise a misé sur une alternative écologique aux meubles en bois. Pouvant supporter jusqu’à 150 kg, ces meubles en carton sont destinés aux espaces de travail ou encore aux événements comme des salons professionnels. « Trouver des alternatives écologiques reste l’une de nos priorités, conclut Danièle Kapel-Marcovici. C’est pourquoi nous poussons nos fournisseurs à en créer et à utiliser des matières recyclées et recyclables. »