1 mai 2025 |

Ecrit par le 1 mai 2025

(Vidéo) Les dinosaures s’emparent du Parc des Expositions d’Avignon

Ces samedi 22 et dimanche 23 février, le Musée éphémère des dinosaures s’installera au Parc des Expositions d’Avignon. Le public fera un bon dans la Préhistoire et pourra déambuler entre une centaine de dinosaures grandeur nature.

Voyage vers le passé assuré ce week-end au Parc des Expositions d’Avignon avec le Musée éphémère des dinosaures. Les géants de la Préhistoire vous donnent rendez-vous pour un événement unique qui a déjà conquis de nombreux Français et Européens.

Une centaine de créatures XXL seront exposées. Certaines seront même animées mécaniquement pour faire vivre au public un moment plus vrai que nature 70 millions d’années en arrière. Il sera possible de déambuler parmi les vélociraptors, tyrannosaurus rex, diplodocus et ankylosaures, ou encore de jouer les apprentis archéologues.

Plusieurs spectacles seront proposés aux visiteurs à 11h, 12h, 14h, 15h, 16h, et 17h mettant en scène des maquettes robotisées géantes

Samedi 22 et dimanche 23 février. De 10h à 18h. 10€ ou 12€ (billetterie en ligne). Parc des expositions. Chemin des Felons. Avignon.


(Vidéo) Les dinosaures s’emparent du Parc des Expositions d’Avignon

L’an dernier, la communauté d’agglomération des Sorgues du Comtat s’est associé à Citeo afin de lutter contre les déchets abandonnés. A cette occasion, une exposition baptisée ‘Sortez de l’ombre, voyez la vie en couleurs. Soyez le relais du bon geste !’ et composée de clichés du photographe professionnel sorguais Cyril Cortez avait notamment été proposée. Aujourd’hui, cette exposition part à la rencontre des habitants des cinq communes de l’agglomération afin de proposer parcours visuel percutant et éducatif dont l’objectif est de sensibiliser le public aux bons et mauvais gestes du quotidien en matière de gestion des déchets.

« Cyril se distingue par son approche novatrice du cadrage, jouant avec la perspective, les couleurs, l’angle et l’action pour capturer des moments authentiques et inspirants, explique l’agglomération. Ces photographies, capturées sur l’ensemble de notre territoire, intègrent volontairement des éléments du patrimoine local, afin de renforcer l’idée que chaque geste compte dans la lutte contre les déchets abandonnés et la préservation de notre environnement. »

Crédit : Cyril Cortez

« Trier ses déchets est essentiel pour les valoriser, complète Michel Terrisse, vice-président des Sorgues du Comtat en charge de l’environnement. Mais le plus important reste de les réduire car n’oublions pas que le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas. »
« Il faut aussi changer notre regard pour voir en nos déchets de futures ressources », complète Cyrille Gaillard, vice-président des Sorgues du Comtat en charge des déchets.

Les ‘bons’ et les ‘mauvais’ gestes
Composée de 2 parties avec les ‘mauvais’ gestes (6 panneaux en noir et blanc montrant les actions à éviter) et les ‘bons’ gestes ‘6 panneaux couleurs illustrent les actions positives à adopter’, l’exposition débute à Bédarrides de janvier à février. Elle se déplacera ensuite à Althen-des-Paluds de mars à avril, à Sorgues de mai à juillet, à Pernes-les-Fontaines d’août à octobre et enfin à Monteux, au siège de l’agglomération, en novembre et décembre 2025.

L.G.


(Vidéo) Les dinosaures s’emparent du Parc des Expositions d’Avignon

La Maison Victoire, agence immobilière, présente ‘La déchirure’ du photographe Michel Rawicki. L’artiste nous invite à explorer les paysages glacés et la brutale beauté d’une nature sans concession dans lesquels s’inscrivent d’humaines et intenses histoires.

Copyright Michel Rawicki

En savoir plus
Né en 1950, Michel Rawicki est un photographe reconnu pour ses reportages et ses explorations de paysages les plus isolés de la planète. Dès 1968, il découvre la photographie et se lance dans des reportages à Paris, avant de se consacrer aux années studio de 1973 à 1988, où il explore la nature morte, la décoration et la mise en scène de personnages. Il fonde ensuite l’agence Stock Image, qu’il dirigera pendant 20 ans.
Michel Rawicki nourrit une fascination pour les régions polaires. Sa première rencontre avec le froid remonte à 1962, lorsqu’il visite l’Aiguille du Midi avec ses parents.
En 1993, il réalise son rêve de découvrir le Groenland et les icebergs, une expérience qui le marquera à jamais. Depuis lors, il a effectué près de 50 voyages en Antarctique, en Sibérie, au Groenland, en Alaska et au Svalbard, immortalisant des scènes de la nature et des peuples qui y habitent.
Ses travaux sont le reflet d’une quête constante de la beauté face à l’immensité et la fragilité des régions polaires ; une exploration en profondeur de la relation complexe entre l’homme et son environnement.

Les infos pratiques
Maison Victoire. Exposition photographique de Michel Rawicki, ‘La déchirure’. Du 3 décembre au 31 mars. Exposition visible du lundi au vendredi de 10h à 18h et le samedi de 9h30 à 12h30. Place de l’ancienne mairie à Cabrières d’Avignon. Inauguration mardi 3 décembre à partir de 16h. Musique Celtique, vin chaud et spécialités de Noël. Tombola au profit des Restos du coeur. 10% des ventes des œuvres de Michel Rawicki leur seront également reversés.
MMH

Copyright Michel Rawicki

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Après ‘Chimères’ et ‘Bandiagara’, la Fondation Blachère, située à Bonnieux, dévoile sa nouvelle exposition ‘Kuvhunura : l’École d’Harare’ qui sera en place jusqu’au 8 mars 2025.

La Fondation Blachère, qui met en lumière l’art contemporain africain depuis 2004, propose une nouvelle exposition : ‘Kuvhunura : l’École d’Harare’. 22 artistes, figures de la scène contemporaine du Zimbabwe, rassemblent leurs œuvres pour cette exposition qui présente des sculptures sur pierre ou encore des peintures. Les artistes, qui font partie de l’École d’Harare, ont été sélectionnés par les curatrices Georgina Maxim et Valérie Kabov.

« Kuvhunura / Kupinda ne wenje mudziva » traduit du Shona signifie « la mue, le renouveau : entrer dans le lac avec une bougie. » À travers cette exposition, la Fondation souhaite mettre en lumière l’incarnation créative et l’engagement artistique de la nouvelle jeune génération de peintres zimbabwéens durant ces dernières années.

Ouverture du lundi au samedi, de 10h à 12h30 et de 14h à 18h.
Jusqu’au samedi 8 mars 2025. 121 chemin de Coucourdon. Place de la Gare. Bonnieux.


(Vidéo) Les dinosaures s’emparent du Parc des Expositions d’Avignon

Le Grenier à Sel, lieu incontournable de la création contemporaine

En 2018, EDIS — organisme d’intérêt général créé par le philanthrope Régis Roquette — s’installe au Grenier à Sel d’Avignon pour développer un lieu culturel dédié aux nouvelles formes d’expressions artistiques et plus particulièrement aux Arts Numériques. 

Au fil des ans, des expositions, spectacles ou performances, on a pu ainsi vivre des expériences incroyables : déambuler au cœur de la Symphonie Fantastique d’Hector Berlioz ou explorer l’écoute avec le projet Ludwig, découvrir la notion de dessin au trait réactivé par les nouvelles pratiques, appréhender le théâtre interactif, percevoir notre corps, interagir avec des mondes immatériels, se faufiler dans les coulisses du cinéma d’animation, explorer les états de conscience et d’inconscience, etc.

Une démarche éprouvée

La programmation est créée en interne, et résonne par rapport à un axe de travail déterminé : porter un regard sur le monde numérique qui se développe, s’invente, dans lequel on vit tous. Comme le précise Véronique Baton, directrice de la programmation : « Pour nous, le fondamental, c’est la production artistique quelle qu’elle soit, des expositions, mais aussi des petites formes de spectacles vivants, des résidences artistes en couveuse pour des projets en devenir. Notre axe d’interrogation permet d’inventer des thématiques que nous proposons ensuite à des artistes. Pour les trois années à venir, nous avons décidé d’interroger sur trois expositions la relation de l’homme au monde : le monde végétal, le monde de la machine et le monde animal qui clôturera cette trilogie. »

‘Le futur est déjà là’, second volet du cycle d’expositions intitulé « Symptômes du vivant » (2023-2025)

Après ‘Que nous disent les plantes’ où 13 artistes étaient conviés à livrer leur regard sur le végétal à l’heure des bouleversements climatiques, le Grenier à sel propose un second volet, ‘Le futur est déjà là’, qui interroge la relation entretenue par l’homme avec la machine. 

Le futur est déjà là, mais il n’est pas équitablement réparti

Le titre de l’exposition tire son nom d’une partie de la citation de l’auteur de science-fiction William Gibson, « Le futur est déjà là, mais il n’est pas équitablement réparti » : pour pointer du doigt à travers cette formule les inégalités sociales que peuvent engendrer les technologies numériques, vision dystopique, assez pessimiste. Dès les années 80, William Gibson parle déjà d’hypercapitalisme technologique, d’homme augmenté, des données (DATA), cyberespace, etc.

Douze artistes questionnent le monde d’aujourd’hui et de demain

« L’interaction de l’homme avec la machine tient une place incroyable dans notre imaginaire, lui-même nourri par l’imaginaire des artistes contemporains ». À partir de ce constat, l’exposition réunit les productions artistiques relevant de pratiques variées (installations interactives, animation 3D, robotique…) de 12 artistes de générations et d’horizons différents. :  Donatien Aubert, France Cadet, Thierry Cohen, Heather Dewey-Hagborg, Bastien Faudon, Mathieu Gafsou, Esmeralda Kosmatopoulos, Maxime Matthys, Julien Prévieux, Stelarc, Varvara & Mar, Filipe Vilas-Boas.

Le futur est déjà là ou c’est déjà demain 

Plus que de changements, c’est surtout d’accélération dont il s’agit. L’accélération du changement qui nous fait vivre dans un monde mouvant, instable : mécanique, électronique, algorithme, intelligence artificielle participent à une grande porosité des frontières entre l’homme et le robot. 

Trois salles, trois parties

Dans cette exposition articulée en trois parties et trois salles, les artistes mettent plus en avant leurs doutes que leurs espoirs. ‘Le fantasme qui prend corps’ dès le XIXᵉ siècle avec les premiers automates introduit la visite, dans la deuxième salle ‘Ce qui nous échappe’ telle l’Intelligence artificielle (IA) est modélisée ou mis en scène et la dernière salle ‘La vie mode d’emploi’ achève de nous convaincre que les outils numériques sont devenus incontournables.

Ce Grenier recèle les énigmes du futur

C’est une visite chronologique, très pédagogique et en même temps qui nous perd dans les méandres de nos doutes. On chemine entre fascination et effroi : la réplique du Pierrot écrivain du XIXᵉ siècle d’André Soriano, automate au mécanisme apparent, réveille notre âme d’enfant, mais nous sommes immédiatement interloqués par le photographe plasticien Matthieu Gafsou qui traite du transhumanisme. Un bras robotique équipé d’un compteur numérique nous introduit dans la deuxième salle qui entend maîtriser notre corps et nos intelligences. Non sans humour, nous échappons à « La peau de banane intelligente » — aspirateur robot s’il en sera — pour découvrir les œuvres de l’artiste australien Stelarc, faites de chair et d’électronique, celles de France Cadet qui retracent les tentatives de l’homme de se mesurer à la machine. L’artiste Heather Dewey-Hagborg modélise l’ADN, dans des portraits-sculptures glaçants. Si nous doutions de l’impact des outils numériques pour les jeunes générations, la magnifique série de portraits de Thierry Cohen « Binary Kids » se passe de toute explication face aux regards figés de ces enfants. 

Nouvelles technologies, nouveaux gestes

Si nous pensions tout maîtriser et être maître de nos choix, la dernière salle de l’exposition nous prouve le contraire. Quand on clique, like, partage, on crée des gestes qui loin de nous libérer vont induire de nouveaux comportements. La grecque Esmeralda Kosmatopoulos nous livre une installation « fifteen pairs of mouths » qui explore le nouveau rôle de la main, Julien Prévieux dans sa vidéo « What shall we do next », a invité des danseurs de l’Opéra de Paris à reproduire des gestes issus de la bibliothèque immatérielle de gestes déposés auprès du bureau américain des brevets.

Mais dans quel monde vivons-nous ?

L’artiste-chercheur Donatien Aubert nous livre la réponse qui ne nous surprend guère, mais permet de nous remobiliser peut-être pour être plus conscient — à défaut d’être critique — sur les conséquences de la cybernétique et de l’hyperconnexion. Dans son court-métrage de 25 minutes «  Veille infinie » qui clôture la visite, il nous montre comment les technologies numériques ont transformé notre rapport au travail, aux loisirs et à la sexualité. 

« Veille infinie », état d’alerte ou somnolence ? La polysémie du titre ouvre le débat en cette fin d’exposition.

Visite commentée

Jusqu’au 31 décembre, possibilité d’avoir une visite commentée avec une médiatrice. Le mercredi et samedi à 16h30 (sous réserve d’un nombre minimum de participants). 3€ par personne. Sans réservation.

Jusqu’au 31 décembre. Du mardi au samedi. Libre et gratuit. De 14h à 18h (dernière entrée à 17h30). Le Grenier à sel. 2 rue du rempart Saint-Lazare. Avignon. 04 32 74 05 31 / accueil@legrenierasel-avignon.fr


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À l’occasion de la sortie du deuxième opus de Gladiator et dans le cadre du festival Partage des Arts, les dessins personnels et storyboards de Ridley Scott sont exposés au cinéma Ciné sur la Sorgue, à L’Isle-sur-la-Sorgue, où le réalisateur a fait une apparition le vendredi 18 octobre.

La 2ᵈᵉ édition du festival Partage des Arts s’est tenue de juin à septembre derniers. Période durant laquelle une quarantaine d’artistes ont exposé leurs œuvres dans des lieux insolites de la ville de L’Isle-sur-la-Sorgue. Parmi ces artistes, il y a le réalisateur Ridley Scott, dont des dessins et storyboards jamais montrés au public ont été exposés au Ciné sur la Sorgue et le seront jusqu’au samedi 30 novembre. « C’est un plaisir pour moi de participer à ce Festival des Arts, en exposant dans ce cinéma, des œuvres très personnelles sur le cinéma et notre domaine viticole familial », a-t-il déclaré.

Le réalisateur n’ayant jamais vu ces dessins-là exposés, il a décidé de venir voir l’exposition et de découvrir le cinéma l’ilsois le 18 octobre lors d’une visite privée avec ses équipes du Mas des Infermières, son domaine viticole situé à Oppède. Les cinéphiles et fans de Blade RunnerThelma et LouiseAlien, ou encore Napoléon peuvent profiter de l’exposition pendant encore quelques semaines et pourront s’immerger totalement dans l’univers du réalisateur le 13 novembre prochain à l’occasion de la sortie en salle de Gladiator 2.

©Ciné sur la Sorgue

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Un week-end de solidarité organisé par l’Association des Amis de Lourmarin en partenariat avec la Fruitière Numérique ces vendredi 18 et samedi 19 octobre. 

L’Association des Amis de Lourmarin en partenariat avec la Fruitière Numérique ont à cœur de nourrir la réflexion sur la guerre en Ukraine depuis février 2022.  Elles lancent un grand week-end de solidarité dont les bénéfices seront reversés intégralement au profit des populations ukrainiennes.

Vernissage exposition photos ‘En dépit des ténèbres’ — En présence de l’auteur Jérome Barbosa, photographe-reporter de guerre, de retour de Kiev.
Vendredi 18 Octobre.18h. Entrée libre. Fruitière Numérique. Avenue du 8 Mai D943. Lourmarin.

Conférence-débat ‘Ukraine : résistance et espérance’ par Guillaume Ancel, ancien officier militaire, en charge des Opérations Extérieures au Cambodge, Kosovo ou Rwanda.
Samedi 19 Octobre. 15h. 8 et 10€. Fruitière Numérique – Tarif : 10 € // Amis de Lourmarin : 8€ 

Récital de piano par Maxime Alberti, ancien pensionnaire du Château, régulièrement programmé au Festival des Musiques d’été. Il interprétera les œuvres du compositeur ukrainien Bortkiewicz, Schubert et Chopin.
Samedi 19 Octobre.18h. 12 à 30€. Château de Lourmarin. 2 Av. Laurent Vibert.


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Venez découvrir l’univers de Marc Lainé lors d’une soirée conviviale ce jeudi 17 octobre à Valréas.

Directeur de La Comédie de Valence. Marc Lainé collabore avec divers artistes et enseigne la scénographie. En résidence artistique au Centre Dramatique des Villages du Haut Vaucluse en septembre et en octobre 2024, l’auteur présentera son travail et lira quelques extraits de son nouveau spectacle, ‘Entre vos mains’, le troisième volet d’une trilogie fantastique sous forme d’exposition-spectacle.

‘Entre vos mains’, conçu comme une exposition-spectacle

‘Entre vos mains’ se présente comme la rétrospective posthume de l’artiste médiumnique Mehdi Lamrani, un personnage que le public a pu découvrir dans un précédent spectacle intitulé ‘En travers de sa gorge’. Cette exposition immersive regroupe un ensemble d’œuvres mystérieuses produites par le jeune artiste spirite sous la conduite de fantômes de créateurs disparus. Ces différentes œuvres forment les pièces d’un puzzle que les spectateurs auront à reconstituer pour tenter de résoudre une ultime enquête.

Un projet collectif en collaboration avec les membres de l’Ensemble artistique de La Comédie de Valence

Cette exposition immersive réunira des pièces plastiques, mais aussi filmiques, chorégraphiques, musicales ou littéraires, conçues par les artistes de l’Ensemble pluridisciplinaire de La Comédie de Valence. Chacun de ces artistes aura donc à s’inventer un double fictionnel· qui serait un des artistes disparus ayant pris possession de Mehdi Lamrani. Leurs œuvres seront ensuite installées dans un parcours conçu et scénographié par Marc Lainé. Ce projet collectif est conçu en collaboration avec les membres de l’Ensemble artistique de La Comédie de Valence : Bertrand Belin, Penda Diouf, Éric Minh Cuong Castaing, Alice Zeniter et Stephan Zimmerli. La création de ce spectacle est prévue pour février 2025 à la Comédie de Valence.

Jeudi 17 octobre. 19h. Entrée libre. Bistrot le 40. 40 Cours Victor Hugo. Valréas. Réservation auprès du Bistrot Le 40 au 04 90 37 02 38 ou au 06 81 61 10 30.


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Lieu d’hospitalité, La Garance, scène nationale de Cavaillon, n’en finit pas de nous épater

La saison a commencé tôt et fort en septembre avec le spectacle Nomade(s) Le poids des nuages qui nous a fait voyager et rêver dans les airs. Sitôt redescendus sur terre, le Festival ‘C’est pas du Luxe !’ nous a ramenés à une réalité qui nous permet cependant d’espérer et de croire en l’Autre. Les 13 000 spectateurs recensés sur les 3 jours, les 3 700 bracelets vendus pour l’accès aux 60 créations et le défi réussi du Grand bazar des Savoirs confirment le succès de cet événement. Le spectacle de danse From England with love de la compagnie Hofesh Shechter a été pris d’assaut au point de rajouter une séance un mercredi après-midi. Et voilà que la saison continue sur les chapeaux de roues avec une exposition d’Art contemporain et un concert de la brésilienne Flavia Coelho !

‘Un étrange ordinaire’, la Garance lance sa première exposition d’art contemporain 

La Garance a été retenue dans le cadre du dispositif ‘cura’ pour nous faire découvrir cette saison deux expositions au théâtre, imaginées par la commissaire d’exposition Anne Sophie Bérard. Cette exposition collective s’intéresse aux objets enchantés. Les huit artistes invités s’emparent, chacun à leur façon, du langage et des codes de la magie pour explorer d’autres possibles, d’autres désirs et d’autres vérités.
Mercredi 16 octobre. 19h. Vernissage de l’exposition en présence des artistes Jean-Baptiste Caron, Petite Poissone, Filipe Vilas-Boas et Sofi Urbani. Jusqu’au 16 février 2025.

L’artiste brésilienne Flavia Coelho présente son nouvel album Ginga 

Chanté en portugais, il est dédié aux musiques de cœur qui ont rythmé son adolescence, des années 90 jusqu’aux années 2000 donc. Mixer funk, pop, house, samba, reggae, forro, bossa et hip-hop ? Tout est possible pour Flavia et son nouvel album haut en couleurs Ginga qui fusionne les genres et les héritages. Il est à parier qu’on vibrera, qu’on dansera à la Garance ce vendredi. Chant Flavia Coelho, claviers Victor Vagh, batterie Al Chonville, guitare Caetano Malta.
Vendredi 18 octobre. 20h. 3 à 20€. Scène Nationale La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon. 04 90 78 64 64.

https://www.echodumardi.com/tag/exposition/page/2/   1/1