29 avril 2024 |

Ecrit par le 29 avril 2024

Le Pontet : la galerie Artophage investit le Château de Fargues

Peintures, sculptures, céramiques, mobiliers et luminaires prennent place au Château de Fargues au Pontet pour l’exposition ‘La galerie Artophage s’installe au Château’. La galerie d’art basée à Pernes-les-Fontaines investit le Château dès ce jeudi 1ᵉʳ février, et ce, jusqu’au vendredi 1ᵉʳ mars.

Il sera possible de découvrir les œuvres d’artistes émergents mais aussi d’artistes confirmés : Boverli, Efel, Sébastien Klein, Pascale Denis, Ismaël Costa, Hors Cadre création, Laureline, Les pochoirs du Geek, Leeloo, Carl Jaunay, Auguste Clément, Evelyne Truffet, Viviane Coullaud, Patricia Dupont, Thierry Pez, Trëma, ou encore Atelier V. Le travail de l’artiste mosaïste Alain Honoré sera également visible jusqu’au vendredi 16 février.

Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 18h. Ouverture exceptionnelle les dimanches 4 et 18 février de 14h à 18h.
Du jeudi 1ᵉʳ février au vendredi 1ᵉʳ mars. Entrée libre & gratuite. Château de Fargues. Avenue Pierre de Coubertin. Le Pontet.

V.A.


Le Pontet : la galerie Artophage investit le Château de Fargues

Le Palais des papes accueillera les œuvres de feu Miss.Tic alias Radhia Novat (20 février 1956-22 mai 2022) du 27 juin 2024 au 5 janvier 2025 pour l’exposition ‘A la vie à l’Amor’. Miss.Tic ? Rappelez-vous cette grande artiste du street art des années 1985 connue pour ses silhouettes de femmes fatales dessinées au pochoir accompagnées de cinglants aphorismes. Décédée au printemps dernier, sa libertaire aura glissera, victorieuse, au creux du plus vieil édifice gothique anciennement dévolu aux prélats. On a hâte.

Radhia Novat alias Miss.Tic

L’exposition qui lui est consacrée n’est pas sans rappeler celle d‘Ecce homo’ d’Ernest-Pignon-Ernest au Palais des papes de juin 2019 à février 2020. Au détour d’une interview l’artiste plasticienne et poétesse dira avoir été très touchée par le Rimbaud modernisé du grand artiste.

Autre point commun ?
Les deux personnalités Miss.Tic et Ernest-Pignon-Ernest auront été remarquées et saluées de leur vivant pour leur talent et leur qualité d’intervention novatrice dans la rue. Si l’on devait résumer en quelques mots l’essence de la vie de Miss.Tic ? Etre libre dans un espace artistique qui l’est tout autant.

Etre artiste au monde
Il reste de cette attachante et frondeuse personnalité de théâtrales et fatales silhouettes en noir et rouge encore présentes dans la capitale parisienne. Certaines d’entre-elles restent visibles dans les quartiers de Ménilmontant, Montmartre, le Marais, de Montorgueil et de la Butte-aux-cailles. Pourquoi Paris ? ‘Car c’est la plus belle galerie du monde’, selon ses termes. Il fut d’ailleurs, le seul lieu où elle graffait.

Copyright Miss.Tic

Sa vie se dessine dans la capitale 
entre ruptures, désirs, fantasmes, désillusions et renaissances. Paris ne connait pas encore le mouvement des graffitis venu de l’autre côté de l’Atlantique avec le mouvement Punk, mais dès 1985 ceux-ci envahissent l’espace public français et particulièrement parisien, mettant la Police sur les dents. En 1999 Miss.Tic est arrêtée pour détérioration du bien d’autrui, dans le quartier du Marais, après qu’un habitant ait porté plainte. Elle avait ‘poché’ une silhouette illustrée d’un prémonitoire ‘Egérie et j’ai pleuré’.

Condamnée à l’équivalent de presque 4 000€
-l’époque est au francs-, elle entamera désormais des négociations préalables avec les mairies, les commerçants et les habitants de quartier, en faisant du porte-à-porte, pour continuer à inscrire, toujours en carte blanche, sa vie dans ses quartiers de prédilection et sur certains murs. Six mois après ses premières interventions au cœur de l’espace public, elle est invitée à exposer chez Agnès B –très impliquée dans l’art émergeant-et la galerie du Jour. Les expositions s’enchainent très vite et, surtout, les produits dérivés, permettant à l’artiste de sortir de la précarité.

En savoir plus
MissTic disait s’être inspirée du Rimbaud modernisé d’Ernest Pignon Ernest « Etre artiste est une façon d’être au monde ». Quant à sa signature Miss.Tic –mystique-, elle provient de la ‘cane sorcière’ Miss Tick –de Disney- obnubilée par le vol et la possession du sou fétiche et porte-bonheur de Picsou.

Copyright Mis.Tic

Comment tout a commencé
‘J’ai aimé un imbécile comme cela arrive à beaucoup de femmes hélas, et un jour il m’a dit : ‘Je ne peux plus te voir en peinture ! Ça a été ma revanche. Il m’a lancé un défi et maintenant, il ne me voit plus qu’en peinture !’

Paroles de Prévert
mais la vraie raison est ailleurs. C’est sa maman qui lui offre son premier ouvrage de poésie : ‘Paroles’ de Jacques Prévert avec en couverture une photo de Brassaï avec un mur graffité. Au départ, elle poche ses autoportraits puis des silhouettes de femmes aux postures déjà vues mises en scène par les publicités et les magazines féminins. Ses aphorismes aux mots qui claquent interpellent : ‘J’enfile l’art mur pour bombarder les mots cœurs’, ‘Refaire le casting de son existence’, ‘Avec les années l’amour se fait plus chair’ ‘Le porno est le bêtisier du désir’, ‘Art-gens mais à quel prix !’, ‘Tu ne perds rien pour m’attendre’, ‘L’émotion à goût portant’, ‘Le rôle d’un artiste c’est un peu de transgresser, ça n’est pas d’être consensuel et tiède’, sera sa phrase signature.

De l’art novateur, pas de la délinquance
Le loueur de véhicule Ucar fait appel à elle avant qu’elle soit invitée à découvrir l’univers de la mode avec le malletier Louis Vuitton, le couturier Kenzo, le maroquinier Lamarthe. Paul personne fait même un clip entouré de ses œuvres. Elle créa aussi des timbres pour La Poste.


Le Pontet : la galerie Artophage investit le Château de Fargues

Victime de son succès avec près de 4 000 visiteurs en un peu plus de deux mois, l’exposition ‘Ce que disent les plantes’, qui devient le plus grand succès du Grenier à sel, lieu d’art contemporain à Avignon, est prolongée jusqu’au mercredi 17 janvier.

Cette exposition propose un parcours autour de trois thèmes entremêlés : célébrer, conserver, recréer. Ces derniers sont exprimés à travers divers supports tels que le dessin, la projection vidéo, la sculpture, la peinture algorithmique, des installations génératives et interactives, ou encore l’animation en réalité virtuelle.

De plus, un atelier dédié aux enfants de 7 à 11 ans sera organisé le samedi 13 janvier de 10h à 12h30, durant lequel ils seront invités à imaginer et fabriquer un herbier hybride, constitué de plantes réelles qu’ils auront apporté et de plantes créées par une intelligence artificielle. L’atelier est au tarif de 12€ par enfant. Les réservations se font au 04 32 74 05 31.

Exposition accessible du mardi au samedi de 14h à 18h. Nocturne jusqu’à 21h le mardi 16 janvier. 2 rue du rempart Saint-Lazare. Avignon.

©Grégoire Édouard

V.A.

 


Le Pontet : la galerie Artophage investit le Château de Fargues

Depuis 2013, le château de Fargues, situé au Pontet, a accueilli 73 000 visiteurs lors de ses expositions de Noël qui sont devenues un rendez-vous incontournable du mois de décembre. Pour sa 10ᵉ exposition de Noël, le château accueille des automates qui investiront la salle de 250 m² du XIVe siècle dès ce vendredi 1ᵉʳ décembre.

Les automates prendront place dans deux scénographies inédites sur les univers de la banquise et de Noël gourmand. L’occasion de se plonger dans la magie de Noël durant tout le mois de décembre.

Du lundi au vendredi de 9h à 18h. Ouvertures exceptionnelles les dimanches 3 et 10 décembre de 14h à 18h, le vendredi 15 décembre de 9h à 21h, le samedi 16 décembre de 10h à 21h, et le dimanche 17 décembre de 10h à 19h.
Du 1er au 29 décembre. Entrée libre & gratuite. Av. Pierre de Coubertin. Le Pontet.

V.A.


Le Pontet : la galerie Artophage investit le Château de Fargues

Du samedi 18 novembre au dimanche 3 décembre, le Lions Club International Avignon Cité des Papes et le District 103 Sud-Est organisent leur 1ᵉʳ Salon d’art contemporain au Cloître Saint-Louis à Avignon. Les profits seront utilisés pour mettre en place des actions en faveur de la jeunesse défavorisée.

L’art contemporain s’installe au Cloître Saint-Louis dès ce samedi 18 novembre avec le 1ᵉʳ Salon d’art contemporain du Lions international, qui a choisi la Cité des papes pour la mise en place de cette action culturelle.

Pour l’occasion, une cinquantaine d’artistes d’Avignon et des départements du District 103 Sud-Est, qui couvre le Vaucluse, les Bouches-du-Rhône, le Gard, les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes, exposeront leurs œuvres. Photographies, sculptures ou encore peintures, elles seront au nombre de 200.

L’un des objectifs de cet événement est d’atteindre les jeunes par le biais de la culture. L’événement sera d’ailleurs l’occasion de récolter des fonds en faveur de la jeunesse défavorisée, par le biais de la Fondation des Lions de France. Deux actions seront mises en place : l’une vers les jeunes n’ayant pas les moyens de partir en vacances, et l’autre en faveur du service Pédiatrie de l’hôpital d’Avignon avec la création d’un espace Snoezelen. Ce dernier est généralement un espace faisant appel aux cinq sens, éclairé d’une lumière tamisée, bercé d’une musique douce, dont le but est de recréer une ambiance agréable, souvent utilisée dans le cadre du handicap, mais aussi dans les secteurs gérontologique et psychiatrique.

Du 18 novembre au 3 décembre. Entrée libre. Ouvert du mardi au vendredi de 13h à 18h et le samedi et dimanche de 10h à 18h. 20 Rue du Portail Boquier. Avignon.

V.A.


Le Pontet : la galerie Artophage investit le Château de Fargues

Chaque année, la Journée nationale de lutte contre le harcèlement à l’école a lieu le premier jeudi qui suit les vacances scolaires de la Toussaint. La Ville d’Avignon a décidé d’aller plus loin en dédiant une semaine entière à cette cause avec des actions de prévention et des animations du 6 au 12 novembre.

Selon une enquête menée par l’Ifop, un collégien ou lycéen sur cinq est victime de harcèlement scolaire. Ce dernier est reconnu par la loi du 2 mars 2022 comme un délit pénal qui peut être puni jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende. Instaurée en 2015, la Journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire est l’occasion d’organiser diverses manifestations au sein des écoles, des collèges et des lycées. Une lutte à laquelle la Ville d’Avignon a décidé de prendre part.

Le bleu. C’est la couleur qui représente la lutte contre le harcèlement scolaire. Toute la semaine, le Pont d’Avignon et les Remparts de la Ligne et Limbert se parent de bleu. À cela s’ajoutent de nombreuses animations et actions de prévention pour dire « non » au harcèlement à l’école.

De la prévention dans les établissements scolaires…

C’est dans les écoles, collèges, et lycées que commence la prévention. Toute la semaine, les élèves des différents établissements scolaires avignonnais assistent et participent à des prises de parole sur le harcèlement avec la Maison des adolescents et le Point d’accueil Écoute Jeunes, ou encore à des jeux de sensibilisation ‘Non au harcèlement’ avec la Ligue de l’enseignement 84.

Dans toutes les écoles élémentaires, les enfants ont réalisé un arbre avec des mots ou des phrases sur la thématique du harcèlement. Le film Colère, Tristesse et Solitude, réalisé par les élèves de l’école de Massillargues, qui a reçu le Prix académique 2023 ‘Non au harcèlement’, est également diffusé dans les établissements, mais aussi en avant-première de chaque film des cinémas Utopia, Pathé Gaumont et Le Vox. La prévention ne s’arrête donc pas aux murs des écoles, collèges et lycées.

… et en dehors

Les établissements scolaires ne sont pas les seuls à bénéficier d’actions de prévention et d’animations, le reste de la Ville, lui aussi, est concerné par la lutte contre le harcèlement à l’école.

Sur la place de l’Horloge, les passants peuvent découvrir une exposition de phrases ‘choc’ sur le harcèlement écrites par le Conseil municipal des enfants. Ils peuvent y lire « PAS DE HONTE À ÊTRE HARCELÉ, il faut en parler », « Je t’ai envoyé ma photo… POURQUOI L’AS-TU FAIT TOURNER SUR LES RÉSEAUX ? », ou encore « Je l’ai harcelé, c’était juste pour rire… LUI, IL EST MORT C’EST PIRE. »

Il y a également une exposition à l’Hôtel de Ville, où on trouve des dessins et bancs de l’amitié réalisés par les enfants de l’école Massillargues dans le cadre de la lutte contre le harcèlement scolaire.

©Ville d’Avignon

V.A.


Le Pontet : la galerie Artophage investit le Château de Fargues

Ce mardi 7 novembre, le cinéma Capitole MyCinewest propose une séance unique d’exposition sur grand écran ‘Klimt et le baiser’. Le Baiser du peintre Gustav Klimt est l’un des tableaux les plus connus et les plus reproduits au monde.

Dans un documentaire d’1h30, découvrez ce qui se cache derrière le charme de cette œuvre et qui était l’artiste qui l’a créée. L’occasion d’explorer l’or, les arts décoratifs, le symbolisme et l’érotisme latent de ce tableau avec une étude minutieuse qui emmènera le public dans le Vienne du tournant du XXe siècle, lorsque l’ancien monde luttait contre l’émergence d’une nouvelle ère.

Des cadeaux seront à gagner en avant-programme de cette séance unique.

Pour réserver votre séance, cliquez ici.
Mardi 7 novembre. 19h30. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


Le Pontet : la galerie Artophage investit le Château de Fargues

Cette première semaine de novembre s’annonce trépidante au Figuier Pourpre. Pas moins de quatre événements : poésie, exposition, théâtre musical, spectacle de marionnettes.

Lieu de convivialité et de création, le Figuier Pourpre est aussi le lieu de tous les possibles. En se donnant pour seul critère la qualité et pour seul credo la diversité, cette maison de la poésie renommée Figuier Pourpre en 2021 veut s’ouvrir à d’autres horizons et à la création sous toutes ses formes : poésie, slam, chanson francophone, littérature, musique, théâtre, danse… La preuve en est avec la programmation de ce début novembre qui s’annonce variée et accessible à tous les publics. Alors osez pousser la porte de ce lieu très convivial en plein intra-muros qui ne demande qu’à vous accueillir en toute simplicité. Et peut-être même passerez-vous un jour de l’autre côté de la scène, dans le « Mardi des Epicuriens » !

La flûte enchantée, d’après l’opéra de Mozart, avec actrices et marionnettes

L’adaptation envoûtante et fidèle de l’opéra de Mozart, « La Flûte Enchantée », est un rare moment de théâtre musical avec actrice et marionnettes. L’histoire hautement colorée et fantastique est peuplée de fées, de princesses radieuses, de génies, de rois et de prêtres. Les pouvoirs terrestres et surnaturels s’affrontent ; la trahison, la haine et la destruction s’abattent sur l’innocence ; la laideur affronte la beauté ; éternel combat entre le bien et le mal. Ce conte féerique parle aussi de tolérance, de respect des autres et de la recherche de la connaissance. Une initiation à l’opéra, un moment d’intelligence et de beauté. Compagnie Théâtre du Corbeau Blanc.
Mercredi 1ᵉʳ novembre. Jeudi 2. Vendredi 3. Samedi 4. 15h30. 12€ adulte. 8€ enfant.

1 vers 2 trop

Après mille déboires, de groupes en bouteilles, c’est dans le fond du verre que ce duo a fermenté. Entre deux bœufs saucés à la bourguignonne est née l’envie d’accoucher de poésies allongées sur un lit de musique : en somme de la « poésique ». Alors, trinquer aux vers de Genet et se tâcher d’un rouge Aragon. Rire aux éclats le Rictus crispé, Glissant sur les tourments d’Artaud. Et, marteau, se brûler les lèvres de sels noirs Baldwin… La recette est simple : des textes posés sur l’harmonie d’un piano et les cadences de batterie — le tout arrosé d’une voix qui oscille entre spoken word et chanson. Avec Djibril Maïga au piano et chant et Cédric Bénard à la batterie et au chant.
Jeudi 2 novembre. 20h30. Entrée et participation libre. Bar associatif du Figuier.

Le Grand journal de Monaco

Le Grand Journal de Monaco est un journal itinérant qui a vu le jour à Monaco et qui retournera à Monaco quand il aura terminé son périple. Il invite les artistes à publier librement leurs pages présentées sous la forme d’un dazibao. Il est composé de manifestes, photos, slogans, aphorismes des mouvements dada, fluxus, pap’circus, mixage international, punk, lettriste, minimaliste, poésie visuelle… et hors les murs. Vernissage et présentation du Grand Journal et de Doc(k)s par Max Horde. Interventions de JC Gagnieux, Alain Snyers et Denis Elgueta.
Vernissage de l’exposition vendredi 3 novembre. 18h. L’exposition, en entrée libre, restera jusqu’à fin novembre.

Les Sentinelles du désir, spectacle poétique en voix et en musique

Tout un programme de poésies issues du recueil de Martine Biard et mis en musique par Olyy Jenkins. Quand Martine Biard écrit, c’est plus que des mots qui s’alignent et pétillent, ce sont des sensations, des émotions, des univers, des sources qui jaillissent ici ou là, charment, intriguent et transportent vers des horizons calmes ou tumultueux, ensoleillés ou brumeux…
Samedi 4 novembre. 20h30. Participation libre.


Le Pontet : la galerie Artophage investit le Château de Fargues

Le 8 septembre dernier, la MSA Alpes-Vaucluse, le Centre régional de coordination des dépistages des cancers Sud Paca et la mairie d’Uchaux ont présenté l’exposition Sein’Art #2. Celle-ci sera accessible au public ce samedi 7 octobre à l’occasion d’une journée d’action pour Octobre Rose.

Cette exposition, mêlant l’art photographique de Julien Bernard et le body painting réalisé par Nathalie Barthes, est composée de 14 photos de bustes mis en scène et agrémentés de messages de prévention. En plus de découvrir ses photos, le public pourra participer à des marches solidaires, profiter de food trucks avec notamment la meilleure pizza du monde primée à Naples en 2018, participer à un concours de pétanque, ou encore profiter de démonstrations de VTT, de danses, et bien d’autres animations à Uchaux.

Samedi 7 octobre. Salle des jardins. Rue des Jardins. Uchaux.

V.A.

https://www.echodumardi.com/tag/exposition/page/2/   1/1