8 mai 2024 |

Ecrit par le 8 mai 2024

CPME : accidents du travail et maladies professionnelles, quelles obligations pour le chef d’entreprise ?

La Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) de Vaucluse s’associe au cabinet Barthélémy Avocats pour proposer une formation juridique sur les sujets des accidents du travail et maladies professionnelles le mardi 23 avril à Avignon.

La formation ‘Accidents du travail, maladies professionnelles : reconnaissance et obligations du chef d’entreprise’ abordera plusieurs interrogations que peuvent se poser chefs d’entreprises et salariés.

Que recouvrent les notions d’accident du travail, d’accident de trajet, de maladie professionnelle ? Quelles sont les obligations à la charge de l’employeur, du salarié ? Quels sont les moyens de contestations possibles ? Quelles sont les conséquences directes et indirectes de la reconnaissance du caractère professionnel d’un accident ou d’une maladie pour l’employeur ? Quelles sont les conséquences de la réalisation du risque professionnel ?

Toutes ces questions seront évoquées durant la matinée animée par Maître Hélène Quilichini, avocate associée spécialisée en droit social au Cabinet Barthélémy.

Inscription obligatoire par mail à l’adresse contact@cpme84.org
Mardi 23 avril. De 8h30 à 12h. Ibis Styles Avignon Sud. 2968 avenue de l’amandier (Bâtiment H1). Avignon.


CPME : accidents du travail et maladies professionnelles, quelles obligations pour le chef d’entreprise ?

Chaque année, l’Association départementale des Comités communaux Feux de forêt (ADCCFF) de Vaucluse forme de nombreux bénévoles dans plusieurs communes du département avec des réunions théoriques et des mises en pratique sur le terrain. Les bénévoles suivent des formations tous les ans, pas seulement au moment de leur adhésion. Cette année, ce sont trois réunions en salle qui sont organisées, et quatre sessions sur le terrain.

Le mardi 19 mars dernier, quelque 80 bénévoles de la moitié nord du département se sont réunies à Saint-Didier pour poursuivre leur programme de formations avec une réunion théorique animée par Jean-Noël Barbe, responsable DFCI (Défense de la forêt contre les incendies) de la Direction départementale du territoire, et par le Capitaine Guillaume Vinai du SDIS (Service départemental d’incendie et de secours) 84.

©ADCCFF 84

Les bénévoles ont continué leur formation sur le terrain le samedi 23 mars à Malaucène, où une quarantaine d’entre eux étaient présents. La prochaine mise en pratique aura lieu à Vaugines.

– Le Vaucluse compte 68 comités communaux.
– L’ADCCFF 84 fédère 1 100 bénévoles depuis 1994.
– Il y a eu 77 départs de feux de forêt en 2023.
– En 2022, les bénévoles ont assuré 10377 heures de patrouilles dans les massifs et parcouru plus de 100 903 km.


CPME : accidents du travail et maladies professionnelles, quelles obligations pour le chef d’entreprise ?

Les sapeurs-pompiers de Carpentras se sont rendus au siège de l’entreprise Transcomtat, exploitant du réseau Trans’CoVe, pour une formation aux risques liés au transport en commun. Objectif : parfaire leurs connaissances et techniques d’intervention, et cultiver une approche commune de la sécurité.

C’est ainsi que les pompiers ont été accueillis en mini-groupes sur quatre matinées. Après une présentation de l’entreprise et de la législation en vigueur en matière de transport de voyageurs, les sapeurs-pompiers ont découvert les installations du site avec, notamment, les bornes de recharges électriques.

L’occasion pour Antoine, le formateur, habituellement contrôleur sur le réseau, de rappeler que «depuis septembre 2023, Trans’CoVe exploite 5 lignes urbaines avec des bus 100% électriques et que c’est le seul réseau de bus en Vaucluse à être totalement électrique». Des véhicules récents avec des fonctionnalités encore méconnues pour les pompiers : hayon amovible pour les personnes à mobilité réduite, surélévation ou inclinaison du bus, coupure électrique ou encore décompression et ouverture manuelle des portes.

Autant d’informations qui lors d’une intervention d’urgence sont importantes à connaître et peuvent faire gagner de précieuses minutes pour secourir des victimes. Près de 60 sapeurs-pompiers ont ainsi pu être mieux préparés pour gagner en rapidité et en efficacité.
Mireille Hurlin


CPME : accidents du travail et maladies professionnelles, quelles obligations pour le chef d’entreprise ?

Le boxeland club islois rugby, dirigé depuis le mois de juin dernier par Laurent Tamisier, organise le mercredi 20 mars son premier évènement partenaire de l’année au Domaine de la Citadelle, à Ménerbes. Au programme un diner-débat autour du rôle des mécènes dans la formation et l’emploi des talents locaux, pilier de la politique du club vauclusien.

Une soirée ambitieuse pour un club ambitieux. Le mercredi 20 mars, le boxeland club islois, qui évolue en Fédérale 3, organise son premier événement partenaire de la saison 2023-2024 au Domaine de la Citadelle, à Ménerbes à partir de 19h30. Une manifestation organisée avec le Conservateur et qui sera centrée autour des mécènes et partenaires du club. Elle sera néanmoins ouverte à tous avec une billetterie disponible (nombre d’entrées limité) et une participation de 95 euros par personne demandée pour le repas.

La jeunesse vauclusienne au centre de cet évènement et de l’avenir du club

« La première pierre d’une nouvelle ère », c’est par ces mots que Laurent Tamisier, président du club de rugby du BCI depuis le mois de juin 2023 qualifie cette première soirée partenaire de la saison. Le nouvel homme fort du club de rugby de L’Isle-sur-la-Sorgue souhaite redynamiser la partie partenariale au sein de l’organisation en l’alignant avec sa politique sportive et économique. « Cet évènement, on l’organise pour échanger et définir les traits de notre vision pour l’avenir, à savoir mettre la formation de nos jeunes talents au cœur de notre stratégie sportive, affirme-t-il. On veut démarrer ce projet à long terme avec nos partenaires et mécènes car ils sont essentiels. »

Cette volonté de valoriser le bassin local est née d’un constat observé par la nouvelle direction. « Depuis notre arrivée, on s’est rendu compte que le club possède un des meilleurs viviers de jeunes talents du département du Vaucluse mais on ne lui donne pas les bonnes clés pour s’épanouir et se développer », déclare Laurent Tamisier. Ce projet établi ne se limite pas à la seule formation sportive. « Ce que l’on veut avant tout, c’est remettre en avant certaines valeurs au sein de notre organisation, ajoute le président. Il faut donner à nos jeunes une éducation sportive et social, les accompagner aussi bien dans la formation professionnelle que personnel. »

Une soirée symbolique

Pour ce premier évènement partenaire, le BCI a décidé de voir les choses en grand. Un repas-débat au sein du Domaine de la Citadelle, un lieu unique qui n’a pas été choisi par hasard. « C’est un terrain de vignerons où le travail de la terre est indispensable, on donne du temps au temps pour faire de la qualité, il y a une vraie symbolique pour nous qui voulons donner le temps et les moyens à nos jeunes de pousser et emmener notre club à nos objectifs sportifs », souligne le président Tamisier.

Les dirigeants du club ont choisi de convier tous les partenaires du club autour d’un repas débat sur une thématique bien précise : « Sponsors et Mécènes dans le monde du Rugby, 2 piliers d’un réseau vertueux pour innover, former et révéler les talents ». Cet échange sera animé par David Berard, journaliste France Bleu Vaucluse et pourra compter sur l’intervention d’invités prestigieux comme Guilhem Guirado. « Guilhem nous fait l’honneur d’être là, c’est un immense joueur qui a été capitaine du XV de France mais qui a démarré dans un petit club, c’est un modèle pour tous les jeunes de notre structure et sa parole aura un impact immédiat », rajoute Laurent Tamisier.

Les partenaires, « acteurs » de la stratégie de formation et d’emploi

Dans le cadre de cette soirée évènement, Paul Hermelin, président du groupe Cap Gemini, partenaire majeur de la Coupe du monde et entreprise nationale spécialisée dans le service du numérique sera présent tout comme Nicolas Chevi, délégué régional du groupe Le Conservateur et partenaire majeur du BCI.

Leurs présences et leurs prises de paroles paraissaient comme évidentes aux yeux de Laurent Tamisier. « Ce sont des acteurs économiques majeurs qui sont alignés sur nos valeurs et notre modèle d’avenir, insiste-t-il. On veut nouer des liens forts avec eux car ils sont en capacité comme tous nos partenaires de proposer des offres à l’emploi, des formations ou des alternances pour nos jeunes du club, c’est avec ces structures que l’on veut mener à bien notre projet. »

Un projet de fond et d’avenir qui devrait permettre d’apporter une meilleure structuration au club du BCI et d’emmener à terme une réussite sportive. « On veut gagner et viser plus haut bien sur mais notre réussite c’est le succès de notre formation, on veut créer un projet d’identité territoriale forte, créer des victoires avec nos jeunes et assurer leur avenir dans le rugby et en dehors », appuie Laurent Tamisier.

La suite ? Elle sera axée toujours autour de la formation des jeunes avec de nombreux projets à venir. « Notre école de rugby est essentiel on va poursuivre son développement et lui donner des moyens, on va également mettre l’accent sur notre équipe féminine car la mixité est primordiale dans un club comme le nôtre. L’idée ce n’est pas de gagner tout de suite à tout prix mais bien de créer un club pérenne ».

Infos pratiques : soirée diner-débat « Sponsors et Mécènes dans le monde du Rugby, 2 piliers d’un réseau vertueux pour innover, former et révéler les talents. » Mercredi 20 mars, 19h30. Domaine de la Citadelle. 601 route de Cavaillon, Ménerbes. Billetterie en ligne ici (nombre de places limitées), 95 euros par personne.


CPME : accidents du travail et maladies professionnelles, quelles obligations pour le chef d’entreprise ?

L’École supérieure d’ébénisterie d’Avignon (ESEA), qui est en réalité située au Thor, a célébré ses 40 ans en 2023. Ce lieu d’apprentissage et de transmission accueille chaque année une cinquantaine de stagiaires, qui ont choisi pour la plupart la voie de la reconversion.

Au détour d’une rue, à l’extérieur de la commune du Thor, derrière quelques habitations, elle se cache. Pourtant, ça fait 40 ans qu’elle est implantée là. L’École supérieure d’ébénisterie d’Avignon est la plus ancienne école d’ébénisterie de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui en compte aujourd’hui quatre.

Fondée en 1983 par le maître ébéniste Louis Suau, l’école est aujourd’hui dirigée par sa fille, Magali Donnat. Après avoir baigné toute son enfance dans le bois, Magali s’est dirigée vers des études d’économie et gestion puis a travaillé dans divers domaines avant de retourner dans l’entreprise familiale, l’ESEA, suite au décès de son père et au départ à la retraite de son oncle. Aujourd’hui, c’est le centre de formation ADEF de Marseille qui est propriétaire de l’école.

Une école, deux formations

Chaque année, l’ESEA accueille une cinquantaine de stagiaires, aussi appelés des « élèves », qui ont le choix entre une formation ébénisterie ou une formation sculpture et dorure sur bois. En tout, ce sont quatre formateurs, anciens élèves de l’ESEA, qui transmettent leur passion et leur savoir-faire aux stagiaires : Jérémie Labouré, Clément Pascal et Patrice Rousset pour la partie ébénisterie, et Yan Aubergier pour la partie sculpture et dorure.

Clément Pascal, Patrice Rousset, et Magali Donnat. ©Vanessa Arnal

Si 80% des cours concernent la pratique, les stagiaires ont également des cours un peu plus théoriques, pour lesquels ils quittent leur établi pour s’installer à un bureau plus classique. Dessin technique, dessin assisté par ordinateur, histoire de l’art, technologie et gestion d’entreprise sont des matières primordiales à l’enseignement proposé par l’ESEA, en plus des cours pratiques au sein des ateliers.

10 mois de formation

Chaque année, l’ESEA ouvre ses trois ateliers et ses salles de classe aux stagiaires pendant 10 mois, de septembre à juin. Durant cette période, ils réalisent plusieurs meubles imposés, ce sont généralement des meubles de style Louis XV ou Louis XVI, qui leur permettent de faire face à de nombreuses problématiques, et ainsi de savoir gérer tout un panel de difficultés à l’issue de leur formation. À la fin de l’année, ils doivent réaliser un meuble avec le style qu’ils souhaitent, qui est évalué par un jury de professionnels qui détermine si le stagiaire peut recevoir son titre RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles), reconnu par l’État.

En tout, il faut compter 200€ pour les frais d’inscription, de dossier et d’entretien, et 15 200€ pour 1520 heures de formation. Ce montant peut être payé en plusieurs échéances et les stagiaires peuvent bénéficier d’aides financières avec le CPF ou le dispositif PTP (Projet de transition professionnelle) par exemple. Au cours de l’année à l’ESEA, la matière première est fournie, l’outillage est mis à disposition, et les stagiaires repartent avec leurs créations à la fin de l’année.

Des stagiaires de tout horizon

Chaque année, l’ESEA accueille une cinquantaine de stagiaires de 18 à 65 ans, dont 73% sont des hommes et 27% des femmes (données de 2023). La plupart ont entre 35 et 40 ans, et sont en reconversion professionnelle. Ils sont banquiers, stylistes, dans le milieu de l’automobile, militaires, ou encore moniteurs de voile, et ils viennent des quatre coins du monde : la France, la Belgique, le Brésil, l’Australie, l’Afrique du Sud, ou encore la Turquie. Tous ont un point commun, ils veulent changer de vie.

Cette envie de changement a été notamment renforcée par la crise du Covid-19. Si les métiers qui nécessitent d’être assis derrière un bureau face à un ordinateur font de moins en moins rêver, les métiers manuels, eux, connaissent un véritable essor depuis quelques années. Une nouvelle qui aurait ravi le créateur de l’ESEA, qui avait pour objectif de mettre en valeur les métiers artisanaux, bien trop longtemps considérés comme des métiers « non intellectuels », vers lesquels étaient dirigés les élèves en difficulté à l’école.

Les stagiaires de l’ESEA vont donc garder leur nom collé sur leur poste de travail pendant encore quelques mois, les prochains, eux, feront leur rentrée le 2 septembre 2024. L’école, qui peut accueillir jusqu’à 54 stagiaires, accepte encore des candidatures. Pour ceux qui souhaitent plus de renseignements, il est possible de prendre rendez-vous pour visiter l’établissement, ou attendre la journée portes ouvertes qui aura lieu le jeudi 27 juin prochain.


CPME : accidents du travail et maladies professionnelles, quelles obligations pour le chef d’entreprise ?

Ce mercredi 31 janvier, la Commission du Film Luberon Vaucluse et France Travail Culture Spectacle PACA organise la 6ᵉ édition du Forum de la formation aux métiers de l’image à Avignon.

De nombreux organismes de formation, entreprises et associations seront présents ce mercredi 31 janvier, tels que les studios Circus, l’École des Nouvelles Images, 3iS – Institut International de l’Image et du Son, le lycée Vincent de Paul, SCAD Lacoste, la Game Academy, et bien d’autres pour accueillir le public et le renseigner sur différents métiers de l’image autour de l’animation, du jeu vidéo, de l’acting ou encore de la coiffure et du maquillage.

En plus de pouvoir échanger avec des professionnels, il sera possible d’assister à un atelier sur l’alternance organisé par l’Afdas, OPCO Atlas et France Travail Culture Spectacle PACA à 11h, mais aussi à une table ronde, animée par Vaucluse Provence Attractivité, sur les métiers de l’animation à 14h15 avec SudAnim, Circus, TNZPV, et l’École des Nouvelles Images.

Mercredi 31 janvier. De 10h à 17h. Salle des fêtes. Hôtel de ville. Place de l’Horloge. Avignon.

V.A.


CPME : accidents du travail et maladies professionnelles, quelles obligations pour le chef d’entreprise ?

Juste avant les vacances de fin d’année, le lycée Aubanel d’Avignon et le Greta-CFA Vaucluse ont organisé leur deuxième grande soirée ‘Réseaux BTS’.

Après le succès des soirées consacrées aux métiers de l’expertise comptable, ce rendez-vous a permis aux élèves du BTS de l’établissement avignonnais de rencontrer des tuteurs potentiels dans le cadre de leur formation en alternance. Le tout dans une atmosphère détendu visant à favoriser les échanges et les synergies entre apprenants et professionnel.

« Il nous a semblé important de rencontrer les personnes représentant ces entreprises qui veulent accueillir nos élèves. »

Christophe Michel

« Les BTS ont de forte relation avec les entreprises puisqu’ils ont des stages en 1re et en 2e année dans leur cursus de formation, explique Christophe Michel, proviseur ‘sortant’ du lycée Aubanel. Il nous a donc semblé important de rencontrer les personnes représentant ces entreprises qui veulent accueillir nos élèves. C’est l’occasion d’échanger avec eux et de les remercier. C’est également le moment de leur présenter une génération montante des élèves actuellement en terminale qui peuvent opter pour une formation en alternance en 2024. »

L’importance de la transmission via les témoignages des anciens élèves
Regroupant une centaine d’étudiants provenant essentiellement des filières SAM (Support à l’action managérial), NDRC (Négociation et digitalisation de la relation clients) et SIO (Services informatiques aux organisations), cette soirée BTS ouverte aussi aux lycéens a également permis d’entendre les témoignages d’anciens élèves sur leur expérience dans leur parcours d’alternance.
« Cette transmission est très importante pour nous, insiste Corinne Molinas, nouvelle directrice déléguée aux formations professionnelles et technologiques au lycée Aubanel depuis septembre dernier. Ils peuvent expliquer par leurs propres mots leur cursus ainsi que la découverte des métiers qu’ils pouvaient imaginer différemment. »

Sécurisation du parcours du parcours scolaire
« L’entreprise qui rentre dans l’école, c’est une réalité », se félicite Catherine Deman, présidente du Greta-CFA de Vaucluse.
« Ce qui est intéressant dans notre partenariat avec le lycée Aubanel, complète Emmanuelle Aime, directrice du Greta-CFA de Vaucluse, c’est que l’on propose les deux voies de formation. La voie en initiale scolaire et la voie en apprentissage. Pour le jeune c’est une sécurisation du parcours scolaire car il peut basculer à tout moment de l’apprentissage à la voie scolaire s’il perd son entreprise d’accueil. »
Parmi les nombreux participants de la soirée réseau BTS du Greta-CFA Vaucluse et du lycée Aubanel on retrouve également les interviews de Sarah Tacchino, responsable équipe entreprise Pôle Empoi Avignon Joly-Jean et Coralie Dubreucq en 2e année BTS SAM, Coline Maïo en BTS Tech de CO en alternance et Patrick Maïo au sein d’Autosur Avignon-Courtine, ainsi que Camille Boilet, BTS NDRC au Lycée Aubanel et Stéphan Guendon d’Axa/Guendon Assurances.


CPME : accidents du travail et maladies professionnelles, quelles obligations pour le chef d’entreprise ?

Le Greta-CFA Vaucluse ajoute une corde à son arc avec une nouvelle formation dans le secteur de la mode et de la couture sur mesure. Il s’agit du Titre Professionnel Couturier Retoucheur se déroulant au Lycée polyvalent René Char à Avignon.

Cette nouvelle formation est accessible aux passionnés de mode et de couture jusqu’au 22 mai 2024. Le Titre Professionnel Couturier Retoucheur propose une formation complète et innovante composée de trois modules distincts : contractualiser une prestation de création de vêtements ou de retouches sur mesure, concevoir des vêtements féminins sur mesure, et réaliser la fabrication de vêtements féminins sur mesure et de retouches.

La formation, qui s’adresse à tout public, peut durer jusqu’à 296 heures, sa durée est adaptée en fonction de chaque profil. Elle se fait entièrement en présentiel au Lycée polyvalent René Char qui est tout équipé. Le prix de la formation peut s’élever jusqu’à 3 552€, elle peut être entièrement financée selon le candidat.

Le Titre Professionnel Couturier Retoucheur permet l’accès à de nombreux emplois et secteurs d’activité : vendeur de prêt-à-porter, de tissus et d’articles de mercerie, couturier, retoucheur, costumier, encadrant technique d’insertion, l’artisanat de la retouche et de la couture, le commerce de l’habillement, les entreprises de location et d’entretien de vêtements, les entreprises de retouches de vêtements, ou encore les entreprises du spectacle ou de l’évènementiel ou de loisirs.

Pour en savoir plus sur cette formation ou obtenir des entretiens avec les formateurs et les apprenants, il faut contacter le Greta-CFA par mail à l’adresse sophie.beziz@greta-cfa-84.fr ou par téléphone au 07 48 72 11 72.


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Ce lundi 13 novembre, le Campus Pyro, structure dédiée au développement de compétences pyrotechniques à l’aide de formations initiales et continues, a accueilli sa première cession de formation au Campus de la CCI de Vaucluse à Avignon.

Annoncée par Gilbert Marcelli en juin dernier, la mise en place de cette formation a été notamment portée en partenariat avec la société Sorguaise Eurenco. Il s’agit d’une antenne du Campus pyrotechnie du futur créé à Bourges en février 2022.

Organisme certifié Qualiopi, le Campus Pyro a pour objectif de participer à la structuration de la filière pyrotechnique en France et couvrir tout le spectre des métiers et des secteurs tels que la défense, l’aérospatial, la dépollution pyrotechnique, les mines et carrières, le forage, l’automobile, le divertissement et le loisir, etc.
Pour cela, l’association Campus Pyrotechnie du Futur a pour objectif le développement, le renforcement et l’adaptation des compétences techniques dans le domaine de la pyrotechnie au travers de plusieurs missions :
– Formations professionnelles initiales et continues concernant l’ensemble des métiers du secteur de la pyrotechnie pour ouvriers, techniciens et ingénieurs.
– Communication et attractivité des métiers pour combler le déficit en compétences du secteur et de nombreux métiers spécifiques.
– Innovation et recherche pour former aux technologies 4.0 et renforcer le lien entre le monde académique et le monde industriel.
– Soutien à l’entreprenariat au travers de programmes favorisant le développement de startups et de projets de rupture.

Une vingtaine de participants pour cette première session
L’antenne d’Avignon est destinée à accueillir des cadres de la fonction publique, des officiers des armées, ou bien encore des dirigeants ayant une activité en relation avec des opérations à caractère pyrotechnique du Sud-Est de la France. Une vingtaine de personnes participe à cette première session d’une semaine sur le thème ‘Initiation et culture pyrotechnique’.
« Cette ouverture représente une belle synergie entre les besoins d’industriels du secteur pyro et le campus », se félicite le Campus Pyro également ravi de l’accueil de la CCI 84.

Le lancement officiel de la première session du Campus Pyro à Avignon.

https://www.echodumardi.com/tag/formation/   1/1