19 mai 2024 |

Ecrit par le 19 mai 2024

(Vidéo) Il y a un an, Jean-François Césarini, nous quittait. Hommage ce lundi 29 mars 2021

Ce lundi 29 mars les amis de la sphère politique de Jean-François Césarini lui rendront hommage pour le 1er anniversaire de sa mort, au cimetière de Saint-Véran à Avignon, devant le caveau familial.

Jean-Francois Césarini nous a quittés, il y a un an, à 49 ans, victime d’une longue maladie. Le député La République en  marche avait créé, en 2010, une section de Terra Nova en Vaucluse. C’est sur la liste de sa prédécesseur à la députation Michèle Fournier-Armand, qu’il s’est présenté aux élections municipales de 2008 à Avignon, sous la bannière du PS. Devenu référent d’En marche pour le Vaucluse, il est élu le 18 juin 2017 député de la première circonscription de Vaucluse face à Anne-Sophie Rigault, candidate du Front National (avec un score de 58,09 %). Il est membre du « Collectif social-démocrate », groupe d’une vingtaine de députés de l’aile gauche du groupe LREM, constitué en juin 2019. Il a contribué à la French Tech Culture, en devenant en 2015 l’un des cofondateurs (avec Pascal Keiser, Paul Rondin, Paul-Roger Gontard et Olivier Py) de l’incubateur de start up The Bridge. Durant le Festival Off d’Avignon de 2018, il se produit presque tous les soirs dans une pièce de théâtre, ‘Demain vite !’, mise en scène par Marie Pagès, dont l’action se situe en 1914. Il y interprète le rôle d’un professeur qui donne une conférence sur les mérites du siècle à venir. Il a également joué dans un clip de rap et a été la seconde voix dans un duo avec Coralie Pressard sur le titre ‘À t’attendre’. Jean-François Cesarini apprenait, entre les deux tours des élections législatives de 2017, qu’il était atteint d’un cancer. Il décèdera dimanche 29 mars 2020, à l’âge de 49 ans.

Hommage
Ce lundi 29 mars, dans la matinée, Le préfet de Vaucluse Bertrand Gaume, Lucien Stanzione, Jean-Baptiste Blanc, Souad Zitouni, Paul-Roger Gontard, Michel Bissière, un représentant de la French Tech et des personnalités du monde de la politique se recueilleront devant la sépulture de Jean-François Césarini. « Nous rendrons hommage à Jean-François Césarini en petit comité car nous n’avions pas pu le faire il y a un an, alors que nous étions en confinement, précise Souad Zitouni députée de Vaucluse, sa famille et ses amis espèrent lui renouveler leur amitié cet été, lors du festival d’Avignon, parce que était aussi artiste, si la crise sanitaire de la Covid-19 le permet. »

 

 
 
 

(Vidéo) Il y a un an, Jean-François Césarini, nous quittait. Hommage ce lundi 29 mars 2021

Malgré un environnement économique difficile, les startups françaises s’en sont globalement plutôt bien tirées l’année dernière. C’est ce que révèle le dernier baromètre sur les investissements publié par le cabinet de conseil en stratégie EY. Les entreprises innovantes tricolores ont réalisé 620 opérations de levées de fonds en 2020, pour un montant total de 5,4 milliards d’euros, soit une croissance de 7 % en valeur malgré une baisse de 16 % en volume par rapport à 2019. Comme l’expliquent les analystes d’EY, ces bonnes performances s’expliquent principalement par une explosion des investissements supérieurs à 50 millions d’euros.

En tête des levées de fonds l’année dernière, on retrouve l’éditeur de jeux vidéo mobiles Voodoo, valorisé 1,2 milliard d’euros après avoir levé un montant estimé à plus de 400 millions d’euros auprès du géant chinois Tencent. Le spécialiste français des marketplaces, Mirakl, et Ynsect, pionnier de l’élevage d’insectes pour la nutrition animale, complètent le podium avec des levées de fonds respectives de 256 millions et 190 millions d’euros. Au niveau des secteurs d’activité, ce sont les sociétés d’édition de logiciels et de services numériques qui continuent de concentrer le plus d’investissements en valeur.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


(Vidéo) Il y a un an, Jean-François Césarini, nous quittait. Hommage ce lundi 29 mars 2021

Outre la fédération des acteurs de l’écosystème numérique du territoire, la French tech grande Provence est aussi partie prenante de plusieurs projets de coopération à l’échelle européenne, sous différents programmes comme ‘Starts’ ou tout récemment ‘Interreg’ destiné plus spécifiquement à l’espace alpins.

La French tech grande Provence démarre le projet ‘Be-readi’ aux côtés de 9 organisations européennes (Italie, Slovénie, Autriche, Allemagne et France) dont les marseillais de Rising Sud. Soutenu par le programme ‘Interreg alpine space’ de la Commission européenne, l’objectif de cette coopération d’une durée de 3 ans est de proposer à des PME de l’espace alpin des outils et des accompagnements pour se lancer dans des projets d’innovation. Une quinzaine de nouveaux projets ont d’ailleurs été approuvés en octobre dernier par le comité du programme ‘Interreg alpine space’ sur des thèmatiques comme la transition vers l’économie circulaire, une meilleure utilisation des ressources naturelles de santé alpines, le développement des environnements durables adaptés aux personnes âgées ou bien encore le développement de nouveaux produits et services sur la mobilité, l’environnement et le secteur du tourisme.

■ Qu’est-ce que le programme Espace alpin ?

Le programme européen Espace Alpin est un programme transnational de coopération territoriale européenne qui vise à soutenir le développement régional durable dans la région alpine. Il existe depuis 2000 et concerne 7 pays de l’arc alpin: la France avec quatre régions éligibles (Alsace, Franche-Comté, Rhône-Alpes et Provence-Alpes Côte d’Azur), l’Italie, la Slovénie, la Suisse, le Liechtenstein, l’Allemagne et l’Autriche. Il offre aux parties prenantes un cadre pour développer, expérimenter, mettre en œuvre et coordonner de nouvelles idées en finançant une bonne partie des projets autour de l’innovation, la faible émission de carbone, la gouvernance et la qualité de vie. Le budget total du programme pour la période 2014-2020 avoisine les 140M€, dont 116,6 M€ sont financés par le Fonds européen de développement régional (Feder). Les projets peuvent être cofinancés jusqu’à 85% par le Feder. Les 15 restants peuvent être apportés par des fonds publics ou privés.

■ Fédérer l’écosystème numérique

Initialement créé à l’initiative du gouvernement à Avignon en 2013 sous le nom de ‘La Culture tech’, la French tech grande Provence fédère l’ensemble des acteurs de l’écosystème numérique, d’entrepreneuriat et de l’innovation des territoires d’Avignon, Nîmes et Arles. L’ambition est de créer sur le territoire les conditions favorables à l’émergence, la pérennisation et le développement de startups. Dans ce cadre, la structure vient de nouer un partenariat avec l’opérateur Orange pour l’année 2020 afin de promouvoir les innovations des startups, de permettre leur développement sur le territoire, d’organiser des rencontres professionnelles…

Côté Europe, il n’y a pas que les espaces alpins puisque la French tech grande Provence a aussi développé, depuis 2 ans, une expertise européenne à travers son investissement dans le ‘Starts’. Un programme qui entend soutenir les collaborations entre chercheurs, ingénieurs et artistes pour le développement d’une innovation créative, durable et inclusive, sous diverses formes (prix, ateliers, résidences).

https://www.echodumardi.com/tag/french-tech/page/2/   1/1