18 mai 2024 |

Ecrit par le 18 mai 2024

Gordes : la conférence de Jean-François Colosimo est annulée

Ce vendredi 7 juillet, Jean-François Colosimo, historien des religions, théologien orthodoxe et directeur des Editions du Cerf, devait animer la conférence ‘Religions, Guerres, Civilisations : où allons-nous ?’ à l’espace Simiane à Gordes à 18h30.

Cette conférence culture est finalement annulée.

V.A.


Gordes : la conférence de Jean-François Colosimo est annulée

De nombreux évènements vont ponctuer le mois de juillet à Gordes.

[CONFÉRENCE ANNULÉE] Vendredi 7 juillet – Religions, Guerres, Civilisations : où allons-nous ?
Conférence culturelle organisée par la commune de Gordes avec Jean-François Colosimo, historien des religions, théologien orthodoxe et directeur des Editions du Cerf.
18h30 à l’Espace Simiane (entrée libre).

Mercredi 12 juillet – Une heure de philosophie avec un mec qui ne sait pas grand-chose…
Spectacle d’humour tout public qui vulgarise la philosophie dans le cadre du festival Off les murs.
21h30 au Théâtre des Terrasses (billetterie sur place chèque/espèces).

Jeudi 13 juillet – La princesse au petit pois
Spectacle de la compagnie Les Croqueurs dans le cadre du festival Off les murs.
18h30 à la salle des fêtes (billetterie sur place).

Vendredi 14 juillet – Bal du 14 juillet avec le groupe Millenium
21h30 sur la place du château.

Vendredi 21 juillet – Concert Barbara
Concert caritatif au profit de l’association Vmov (vaincre la maladie des os de verre) d’Aurélie Jarjaye, chanteuse soprano, accompagnée de Mathieu Picard, pianiste et d’Etienne Kippelen, musicologue.  
21h au Théâtre des Terrasses (entrée 20€ – réservation au 07 84 65 86 97).

Mercredi 26 juillet – La Perruche
La troupe de théâtre du Foyer rural de Gordes présente « La Perruche », une pièce d’Audrey Schebat, mise en scène par Sylvie Gaulis.
20h au Théâtre des Terrasses (entrée 10€ – gratuit pour les moins de 18 ans).

Jeudi 27 juillet – Minuit 57
Le Foyer rural de Gordes présente une pièce écrite et mise en scène par la Compagnie JAAJ.
20h30 au Théâtre des Terrasses (entrée 8€ – gratuit pour les moins de 18 ans).


Gordes : la conférence de Jean-François Colosimo est annulée

En 2018, Vélo Loisir Provence a lancé un projet ambitieux visant à étudier une nouvelle offre d’itinéraire autour de Gordes venant compléter le maillage existant sur la destination ‘Luberon à vélo’. L’itinéraire ‘Gordes à vélo’ voit enfin le jour, grâce au programme de financement Espaces Valléens.

Porté par la Communauté de Communes Pays d’Apt Luberon, en partenariat avec l’office de tourisme intercommunal Destination Luberon, l’itinéraire ‘Gordes à vélo’ vient s’ajouter aux sept itinéraires structurants de ‘Luberon à vélo’ : ‘Les Ocres à vélo’, ‘Autour de l’Isle sur la Sorgue’, ‘Forcalquier – Lure à vélo’, ‘Le Pays d’Aigues à vélo’, ‘Autour du Luberon à vélo’, la Véloroute du Calavon’, et ‘La Méditerranée à vélo’.

Ce nouvel itinéraire vous emmène sur de petites routes de campagne, entre lavandes et vergers en fleurs à la rencontre de paysages et villages de caractère. Au détour des murs de pierres sèches et des moulins, il permet la découverte du patrimoine provençal.

12 communes

L’itinéraire ‘Gordes à vélo’ permet la traversée et la découverte de 12 communes du Nord-Ouest du Luberon : Saint-Pantaléon, Joucas, Murs, Gordes (par l’Abbaye de Sénanque), Cabrières d’Avignon, Lagnes, Robion, Maubec, Oppède le Vieux, Ménerbes, Les Beaumettes et Goult. ‘Gordes à vélo’ rejoint l’itinéraire ‘Les Ocres à vélo’, qui a fait l’objet d’une refonte récemment, mais aussi la Véloroute du Calavon, ‘La Méditerranée à vélo’ et la Via Venaissia.

L’itinéraire ‘Gordes à vélo’ est balisé dans les deux sens et porte le numéro 33. L’itinéraire propose un parcours entre 14 km et 69 km, à savoir entre 1h15 et 6h30, avec 1100 m de dénivelé.

Cliquez sur le plan pour l’agrandir.

Près de 700 km d’itinéraires

En additionnant tous les itinéraires proposés par Vélo Loisir Provence, ce sont près de 700 km d’itinéraires qui sont balisés, ce qui permet une autonomie totale pour découvrir le Luberon. L’association conseille de choisir un vélo VTC pour les itinéraires sur route.

En plus de l’itinéraire ‘Gordes à vélo’, il y a également ‘Les Ocres à vélo’ qui fait 15 km à 68 km, soit entre 2h et 5h, ‘Autour de l’Isle sur la Sorgue’ qui fait 16 km à 76 km, soit entre 1h30 et 7h, ‘Forcalquier – Lure à vélo’ qui fait 38 km à 94km, soit entre 4h et 8h, ‘Le Pays d’Aigues à vélo’ qui fait 41 km à 91 km, soit entre 3h et 7h, et l’itinéraire ‘Autour du Luberon à vélo’ qui lui fait 240 km, et qui prend 2 à 7 jours.

V.A.


Gordes : la conférence de Jean-François Colosimo est annulée

La Poste met le département de Vaucluse à l’honneur avec une collection de timbres représentant le patrimoine du territoire. Le Parc naturel régional du Mont-Ventoux se dote donc d’un collector de huit timbres. Mais ce n’est pas le seul. L’Abbaye de Sénanque, elle aussi, a le droit à un timbre à son effigie. De quoi ravir les collectionneurs, et les amoureux du Vaucluse.

Depuis le 26 juin, La Poste propose un timbre de la série touristique sur l’abbaye Notre-Dame de Sénanque. Dessus, on y aperçoit l’édifice, entouré de son célèbre champ de lavandes. C’est le premier timbre dédié à ce monument historique. Sa particularité, c’est son odeur, puisqu’il est parfumé à la lavande. Rien qu’en le regardant et en le sentant, on se croirait presque physique à Gordes, devant l’Abbaye.

Le visuel du timbre a été créé par Stéphane Levallois et mise en page par Emmanuel Vedrenne, d’après-photo de Pierre-Yves Rinquin. Il est au prix de 1,16€ et est vendu sur le site de La Poste, dans certains bureaux de poste, et dans la boutique Le Carré d’Encre à Paris.

Plus au Nord du Vaucluse, le Mont Ventoux, lui aussi est représenté sur un timbre, aux côtés d’autres lieux emblématiques du département tels que le Pont Saint Bénézet, la vallée du Toulourenc, ou encore les champs de lavandes de Sault. Créé à l’initiative du Parc naturel régional du Mont-Ventoux par La Poste, le collector composé de huit timbres est édité à 5000 exemplaires et est vendu depuis le 26 juin ans les bureaux de poste et les ‘Espaces Clients Pro’ de Vaucluse pour le prix de 13€.

Les photographies sur les timbres sont issues du travail de photographes locaux, Pascal Arvicus, Michèle Bertier, Christophe Constant, Alain Hocquel, et Vincent Thomann, mais aussi d’une photographe belge, Marie-Pascale Vandewalle.

V.A.


Gordes : la conférence de Jean-François Colosimo est annulée

Avant lui, son grand-père Joseph, architecte à Marseille, fait construire une maison de famille dans le village perché de Gordes, refuge des peintres Chagall et Vasarely. Puis son père, notaire, Christian-Jacques y crée la 1ère agence immobilière. Et en 2008 Jean-Christophe Rosier et son frère Jean-Marc reprennent le flambeau.

Avant d’en arriver là, Jean-Christophe, grandit dans le Vaucluse, va au lycée de Carpentras, puis décroche un diplôme de l’Ecole de commerce d’Aix-en-Provence, un « B.A. » (Bachelor of Arts) en Grande Bretagne et s’envole pour l’Amérique. Il travaille pour le prêt à porter (Guess) en Californie puis se tourne vers le métier de diamataire à New-York, « la capitale du monde » dit-il avec un large sourire.

Entre les attentats des tours jumelles du World Trade Center à Manhattan le 11 septembre 2001 et les affaires de bio-terrorisme à l’anthrax, des enveloppes contaminées au bacille de charbon, ses parents prennent peur et demandent à Jean-Christophe de rentrer en France. Après quelques années passés aux côtés de son père, il prend les commandes (avec son frère Jean-Marc comme associé) et l’agence « Gordes Immobilier », au pied du château, devient sobrement « Rosier ». Sous-titre : Immobilier de qualité depuis 1970 dans le Luberon, le Ventoux, les Alpilles, le Grand Avignon et le Pays d’Aix.

“Rosier, c’est d’abord une histoire d’amour entre une famille et une région“

Jean-Christophe Rosier

« Rosier, c’est d’abord une histoire d’amour entre une famille et une région » dit Jean-Christophe Rosier. « Après plus de 6 ans passés aux Etats-Unis, avec en poche un master en marketing et commerce international de l’Université de New-York, je suis rentré chez moi. Notre richesse, ici, c’est notre patrimoine provençal, le climat, la lumière, les villages perchés, les restanques de pierre sèche, la lavande, les vergers et les vignobles, les forêts de cèdres, les chênes truffiers et l’huile d’olive. »

Sa 1ère vente : en février 2002, une petite maison à Murs, puis un mas à Gordes (2M€). « Mais la transaction dont je suis le plus fier, c’est « La Bastide de Gordes », devenue un palace 5 étoiles, avec 34 chambres et 6 suites, spa, espace bien-être, terrasses et jardins suspendus ». Les biens qu’il a dans son porte-feuille se retrouvent régulièrement à la une de revues de déco internationales sur papier glacé et dans Côté Sud. Lui qui, au départ voulait devenir pilote de course a gardé cet esprit de compétition, cette rage de vaincre, cette envie de foncer.

Des biens de rêve sont entre ses mains, bastides, châteaux, demeures de prestige, maisons de maîtres, fermes rénovées, bâtisses historiques. A Bonnieux, Ménerbes, Lacoste, Goult, Roussillon, Lourmarin et bien sûr Gordes, élu « plus beau village du monde » par un journal américain, ce qui attire des centaines de milliers de touristes supplémentaires au pays des bories.

“Fini l’achat plaisir, c’est plutôt la financiérisation qui s’est imposée, la spéculation malsaine“

Jean-Christophe Rosier

« Depuis la crise sanitaire et les confinements, les clients ont changé. Ils sont descendus dans le sud, à la campagne, pour respirer l’air frais, ils se sont rués sur les biens dont le prix a grimpé en flêche. Fini l’achat plaisir, c’est plutôt la financiérisation qui s’est imposée, la spéculation malsaine » regrette Jean-Christophe Rosier. « Les prix aussi, on a les mêmes chiffres, mais avant c’étaient des francs, maintenant ce sont des euros ».

ll poursuit : « En 2019, j’avais 585 biens à la vente, cette année, une centaine en portefeuille. On est passé de l’euphorie, de la frénésie au normal, tout cela est une question de cycles. En 1973, sous Giscard, on a eu la crise du pétrole, en 1981 l’arrivée de la gauche au pouvoir avec Mitterrand, en 91 la Guerre du Golfe, en 2001, les tours jumelles de New-York qui s’effondrent, en 2007 les subprimes et la chute de la banque Lehmann Brothers. Chaque fois, un monde disparaît, un autre naît, l’approche est différente » commente Jean-Christophe Rosier, on d’adapte.

Une Commanderie des Templiers du XIIème siècle au-dessus de Joucas à la vente à 12 750 000 €

Dans son agence, figure en ce moment un bien hors du commun, une propriété emblématique : une Commanderie des Templiers du XIIème siècle au-dessus de Joucas. Entièrement rénovée au terme de 4 années de travaux pharaoniques, avec 650m2 sur 3 niveaux, ascenseur, air-conditionné, 8 chambres en suites, chapelle, cave, piscine chauffée à débordement (15 x 5m), vision à 360° sur la vallée sans vis-à-vis, entourée de 5 000m2 de végétation arborée. Prix : 12 750 000€.

“Après 2 années de folie où nous avons doublé notre chiffre d’affaires, retour au calme et à la normale.“

Jean-Christophe Rosier

« Mon slogan c’est ‘L’art de vivre’ avec des annonces sèrieuses, fiables, un immobilier de qualité au coeur du Luberon qui rayonne sur plus d’une centaine de km alentour. J’ai tissé un réseau international aux USA, en Suisse, au Benelux. Après 2 années de folie où nous avons doublé notre chiffre d’affaires, retour au calme et à la normale avec des biens à partir de 500 000 euros ».

Avec son frère et associé, Jean-Christophe Rosier met un point d’honneur à rester indépendant. « Nous avons grandi ici, nous sommes allés à l’école communale de Gordes, notre ancrage local est irremplaçable dans une entreprise familiale avec une équipe soudée et à taille humaine ».

Contact :
www.rosier.pro


Gordes : la conférence de Jean-François Colosimo est annulée

L’un des plus beaux villages de France, Gordes, accueille son 1er Salon du Livre ce week-end avec plus de 20 auteurs et personnalités réputés.

Lire à Gordes‘, c’est le nom de cette nouvelle manifestation initiée par Richard Kitaëff, maire depuis 2020. « Ce rendez-vous, c’est le plaisir d’une rencontre dans un cadre d’exception pour s’étonner, s’émouvoir et réfléchir ensemble ».

Samedi 29 avril, les visiteurs auront l’occasion de partager un moment avec l’écrivain Romain Sardou, petit-fils de Fernand et fils de Michel Sardou. Il est à la fois auteur de pièces de théâtre, de thrillers, de romans, de contes et de bandes dessinées. Autres invités, la chanteuse Olivia Ruiz, Didier Decoin, le président de l’Académie Goncourt, journaliste, romancier et scénariste de « I… comme Icare » d’Henri Verneuil ou de « De guerre lasse » de Robert Enrico. Seront également présents, les comédiens Jacques Weber et Philippe Torreton, la journaliste et romancière Katherine Pancol qui est l’une des auteurs les plus vendus en France avec Marc Lévy et Guillaume Musso. Enfin, l’auteure, comédienne et réalisatrice Andréa Bescond, qui avait mis en scène « Les chatouilles » (film émouvant sur la pédophilie) sera là.

Dimanche 30 avril, Lionel Duroy, d’abord journaliste à l’AFP, puis Libération, puis romancier, Prix Renaudot des lycéens et Prix Joseph Kessel, Charline Vanhoecker, la chroniqueuse sur France Inter et auteure. Boris Cyrulnik, le neuropsychiâtre installé dans le Var depuis des décennies qui a vulgarisé le concept de « résiliance » sera également présent à Gordes, ainsi que la comédienne Emmanuelle Seignier, l’écrivain Yann Queffélec et Delphine Horvilleur, écrivaine et femme-rabin.

Ce 1er Salon du Livre est gratuit, ouvert dès 10h ce week-end et proposera aussi des rencontres et animations pour les enfants.

Informations et contacts : www.lireagordes.fr04 90 72 98 64


Gordes : la conférence de Jean-François Colosimo est annulée

La première édition du salon du livre Lire à Gordes aura lieu ces samedi 29 et dimanche 30 avril. Une trentaine d’auteurs seront présents. Les visiteurs pourront profiter de rencontres, de dédicaces, de débats mais aussi de diverses animations.

Agnès Martin-Lugand, Bernard Werber, Katherine Pancol, Romain Sardou ou encore Manon Bucciarelli, ils seront près de trente auteurs ce week-end au salon Lire à Gordes. Différentes rencontres avec les écrivains auront lieu tout le long du week-end. Ils présenteront leur parcours mais aussi leurs dernières œuvres au public.

« Nous avons voulu que cet événement soit à l’image de ce que Gordes a toujours été : un village inspiré et inspirant pour ceux qui y vivent au quotidien, pour les artistes, pour les visiteurs du monde entier »

Richard Kitaeff, maire de Gordes

Les enfants aussi, auront leur place lors de cet événement. De nombreuses animations leur seront dédiées autour de diverses thématiques telles que la mythologie, la nature, les dinosaures, ou encore les hiéroglyphes.

Les rencontres du samedi

Le samedi 29 avril, 11 rencontres auront lieu. L’événement débutera avec l’écrivain et journaliste Marc de Smedt qui parlera, de 10h à 10h45, de son œuvre Talhuic, publiée aux éditions du Relié. Romain Sardou prendra la parole de 11h à 11h45 pour parler de Je t’aime, publié aux éditions XO, qui évoque les nouveaux rapports amoureux. En même temps, l’auteur-compositeur-interprète connu sous le nom d’artiste Raphaël présentera Avalanche, paru aux éditions Gallimard, qui offre une chronique bouleversante de l’adolescence.

L’après-midi, Gaëlle Nohant et Olivia Ruiz discuteront de la mémoire collective de l’Europe de 15h à 15h45. La première présentera son livre Le bureau d’éclaircissement des destins, publié aux éditions Grasset, sur la Seconde Guerre mondiale et les victimes du nazisme. La seconde parlera de Écoute la pluie tomber, publié aux éditions JC Lattès, qui évoque le franquisme avec la fuite vers le Sud de la France des républicains espagnols. Au même moment, Didier Decoin présentera son nouveau roman Le nageur de Bizerte, paru aux éditions Stock, inspiré d’un événement méconnu, lorsque toute une population de ‘blancs’ aristocrates viennent se réfugier dans la baie de Bizerte en Tunisie. De 16h à 16h45, le comédien Jacques Weber dévoilera les coulisses d’une vie théâtrale à travers son livre On ne dit jamais assez aux gens qu’on les aime, publié aux éditions de L’Observatoire. Pendant ce temps, Andréa Bescond présentera son premier roman Une simple histoire de famille, publié aux éditions Albin Michel, inspiré de son histoire familiale.

Katherine Pancol prendra la suite de 17h à 17h45 avec son roman La Mariée portait des bottes jaunes, paru aux éditions Albin Michel, qui raconte l’histoire de deux enfants qui vont devoir passer de leur petite maison dans un lotissement à un château du XVIIIe siècle et apprendre les codes d’une grande famille bordelaise. En même temps, Daria Nelson et Mathias Malzieu présenteront leur album musical La Symphonie du temps qui passe. Marie Robert parlera, de 18h à 18h45, de son recueil de textes Une année de philosophie, publié aux éditions Flammarion. Pendant ce temps, Philippe Torreton abordera la poésie avec son œuvre Anthologie de la poésie française, publiée aux éditions Calmann Lévy.

Les rencontres du dimanche

Le dimanche 30 avril, 8 rencontres auront lieu. La matinée débutera de 10h à 10h45 avec Lionel Duroy et son roman Disparaître, publié aux éditions Milet-Barrault, qui raconte son périple à vélo sans autre objectif que de vivre pleinement jusqu’à l’épuisement. De 10h30 à 11h15, Olivia de Lamberterie et Basile de Bure, mère et fils, présenteront leur roman respectif, Comment font les gens ?  publié aux éditions Stock, et Que le destin bascule, aux éditions Flammarion. De 11h à 11h45, Charline Vanhoenacker parlera de son cahier d’exercices sur le féminisme En vacances, Simone ! à paraître aux éditions Denoël. Le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, le psychiatre Patrick Lemoine et le romancier Bernard Werber animeront un grand entretien de 11h30 à 12h30. Les deux premiers présenteront leur ouvrage Pour une nouvelle psychiatrie, publié aux éditions Odile Jacob, et le dernier son roman La diagonale des Reines, aux éditions Albin Michel.

De 15h à 15h45, Delphine Horvilleur et Lola Lafon présenteront leur œuvre respective Il n’y a pas de Ajar, paru aux éditions Grasset, et Quand tu écouteras cette chanson, aux éditions Stock. Au même moment, le romancier, scénariste et réalisateur Niko Tackian parlera de son roman policier La lisière, publié aux éditions Calmann Lévy. De 16h à 16h45, Yann Queffélec évoquera l’amour et son roman D’où vient l’amour, publié aux éditions Calmann Lévy. Enfin, l’événement se clôturera avec l’actrice Emmanuelle Seigner qui parlera de son récit Une vie incendiée, publié aux éditions de L’Observatoire.

Les ateliers pour enfants

Pierre Gemme proposera la lecture d’une de ses histoires, L’école des dinos, publié aux éditions Flammarion Jeunesse lors de deux ateliers sur les dinosaures de 10h30 à 11h30 les deux jours du salon. Il présentera également des fossiles authentiques de cette ère lointaine aux enfants entre 4 et 6 ans. L’auteur animera aussi l’atelier Hiéroglyphes pour les enfants dès 7 ans, durant lequel il lira Les petits mystères d’Égypte, publié aux éditions Flammarion Jeunesse, et il présentera le papyrus et les différents types d’écriture les deux jours de 15h à 16h.

L’auteur et conteur Zemanel animera un spectacle de contes du Père Castor en marionnettes et théâtre d’objets avec son livre La sieste de Moussa, publiés aux éditions Flammarion Jeunesse, et il proposera un atelier de mini-sculptures en bois et fil de fer le samedi de 11h à 12h et de 15h à 16h, et le dimanche de 11h30 à 12h30 et de 15h à 16h pour les enfants dès 6 ans.

Manon Bucciarelli animera l’atelier Mythologies les deux jours de 11h30 à 12h30, inspiré de son livre Mythes. Devine, cherche et trouve, publié aux éditions Gallimard Jeunesse. Les enfants entre 7 et 10 ans devront réaliser une œuvre pointilliste à la manière des aborigènes. Elle présentera également l’atelier Nature de 16h à 17h les deux jours avec son livre Nature. Devine, cherche et trouve, également publié aux éditions Gallimard Jeunesse. Durant cet atelier, les enfants entre 7 et 10 ans créeront un petit livre accordéon sur le thème des arbres et des fruits du verger.

Informations pratiques

L’entrée du salon est libre et gratuite. L’événement aura lieu de 10h à 18h30 le samedi et de 10h à 18h le dimanche. Les rencontres et débats auront lieu dans les jardins de la mairie de Gordes. Les séances de dédicaces, organisées en partenariat avec la Librairie Fontaine d’Apt, se dérouleront sur la place du château. Quant aux ateliers pour les enfants, ils auront lieu dans les salles de la mairie. Les inscriptions se feront sur place, dans la limite des places disponibles.

Pour découvrir la liste de tous les auteurs qui seront présents, cliquez ici.


Gordes : la conférence de Jean-François Colosimo est annulée

« Après le Covid, le confinement et les contrôles sanitaires, les jeunes chanteurs ont encore plus besoin d’être aidés. Pendant des mois, ils ont été coupés des grandes maisons d’opéras, des organisateurs de spectacles vivants. Face à l’inflation des coûts, certains ont dû faire face à des concerts annulés, des programmations réduites » explique Raymond Duffaut, le président des Saisons de la Voix, initiées il y a 15 ans par Monic Cecconi-Botella à laquelle il a succédé en 2017.

A plus de 80 ans, l’inoxydable Raymond Duffaut, qui a présidé pendant trois décennies l’opéra d’Avignon et 36 ans les Chorégies d’Orange, passe en revue le programme 2023 de ces Saisons, sans une seule note. Lui qui a fait venir à Gordes June Anderson, Patrizia Cioffi ou Julie Fuchs, insiste : « Nous avons reçu des candidatures de 12 nations différentes pour ce concours (9 et 10 septembre) c’est dire sa réputation internationale ! Cette année, c’est la grande cantatrice Karine Deshayes qui sera présidente du jury. » Parmi les jurés, on trouvera entre autres, Frédéric Roels, le directeur de l’Opéra du Grand Avignon, Cyril Diederich, chef d’orchestre et directeur artistique des Concerts au coucher de Soleil d’Oppède-le-Vieux, Patrick Canac, président des Musicales du Luberon, Yves Senn, directeur artistique de l’Avant-Scène Opéra de Neuchatel, Jean-Michel Dhuez de Radio Classique et Valérie Chevalier, directrice générale de l’Opéra Orchestre National Montpellier-Occitanie.

Michel Bissière, conseiller régional en charge du spectacle vivant, Pierre Brun, président du directoire de la manufacture Brun de Vian-Tiran, Richard Kitaeff, maire de Gordes, Raymond Duffaut, président des Saisons de la voix de Gordes, et Jean-Christophe Rosier, marchand de biens dans le Luberon et mécène de l’événement © Andrée Brunetti

Mais au-delà de ce temps fort, Les Saisons de la Voix, c’est une programmation tout au long de l’année. Des journées de « Masterclass » sous la direction artistique de la new-yorkaise Susan Manoff du 26 au 28 mai à l’Espace Simiane et le concert de Printemps le dimanche soir 28 mai. Un grand Concert d’été le 18 juillet au Théâtre des Terrasses avec de longs extraits de deux célèbres opéras « Lucia de Lammermoor » (G. Donizetti) et « Roméo et Juliette » (C. Gounod).

Un Concert d’automne est prévu le 24 septembre avec la soprano Lila Dufy, lauréate du Concours international de mélodies de Gordes l’an dernier, accompagnée par le pianiste Paul Beynet, lui aussi lauréat en 2014. Au programme :  les « Chants d’Auvergne » de Canteloube, « La danse rituelle du feu » de De Falla, « Vocalise » de Rachmaninov et un extrait de « Hamlet » d’Ambroise Thomas.

Présent à la conférence de presse, Richard Kitaëff, le maire de Gordes, se dit « Fier de ces rendez-vous à Gordes. Ils sont notre ADN, ils font partie de notre vie culturelle et intellectuelle, de notre rayonnement international avec tous ces chanteurs, ces musiciens venus du monde entier dans notre petit village. Quand certains baissent les bras, nous nous augmentons nos subventions. Merci aussi à tous ces bénévoles qui ne lésinent pas sur le temps qu’ils passent pour nous donner un coup de main et l’an prochain, en avril, nous lancerons un nouveau festival ‘Lire à Gordes’ ». Autres partenaires de ces Saisons, Pierre Brun, le président de la Manufacture de fibres nobles « Brun de Vian-Tiran » à l’Isle sur la Sorgue : « La créativité et la qualité, sont notre raison d’être depuis 215 ans, depuis les routes de la soie. Ce festival aussi est créatif et de qualitatif ». Mécène également, Jean-Christophe Rosier, marchand de biens qui « soutient l’art et le patrimoine en Lubéron (aux « Saisons de la Voix » à Gordes, comme à Lacoste pour le « Festival Pierre Cardin ») : Les vieilles pierres et la lavande, c’est bien. La culture en plus, c’est mieux » conclut-il.

Réservations à partir du 17 avril 2023.


Gordes : la conférence de Jean-François Colosimo est annulée

Le magazine de voyages américain Travel + Leisure a dressé une liste des 23 plus beaux villages du monde. Et à la première place de ce classement se tient un village vauclusien incontournable : Gordes !

Shirakawa-gō au Japon, Oia en Grèce, Ban Rak Thai en Thaïlande, ou encore Portofino en Italie. Voici quelques-uns des villages qui font partie du classement des 23 plus beaux villages du monde selon le magazine Travel + Leisure. Un village français, qui plus est vauclusien, se hisse à la première place du podium : Gordes.

« Gordes a tendance à être envahi de touristes l’été. Mais peut-on blâmer les visiteurs de vouloir s’imprégner de la magie d’un des plus beaux villages de France, voire du monde ? », évoque l’article. Le village perché semble continuer de conquérir le cœur des étrangers, autant que celui des Français et celui de ceux qui le connaissent déjà comme leur poche.

Le reste du classement propose des destinations connues de tous mais aussi des pépites cachées. De l’architecture aux paysages à couper le souffle, la liste des 23 plus beaux villages du monde met plusieurs coins du monde en lumière. De quoi ravir les férus de voyage en quête de nouvelles aventures !

https://www.echodumardi.com/tag/gordes/page/2/   1/1