Jardin des Carmes : l’aire de compostage collectif officiellement inaugurée
Ce vendredi 17 mars, l’aire de compostage collectif du jardin du Cloître des Carmes était officiellement inaugurée. D’ici 5 ans, 120 ans similaires devraient être installés par la Grand Avignon dans le Vaucluse, dans le cadre de son plan local de prévention des déchets ménagers et assimilés (PLPDMA).
L’aire de compostage collectif du jardin des Carmes, installée depuis presque 3 ans, a été inaugurée ce vendredi 17 mars. Pour rappel, une aire de compostage issue d’une initiative citoyenne est à l’origine des 3 aires de compostage collectif installées en intramuros d’Avignon par le Grand Avignon. Après les aménagements réalisés dans le jardin des Carmes et le square Agricol-Perdiguier, la mise en service de la plateforme du square Pétramale en juin 2022 a rendu opérationnel tout le dispositif.
Faciles d’emploi grâce aux panneaux d’informations installé à proximité, ces trois sites sont accessibles sur inscription aux habitants volontaires qui s’engagent à signer la charte de bonne utilisation. A ce jour, près de 300 usagers, qui ont composté plus de 12 tonnes de déchets de cuisine en 2022, sont inscrits au programme. Ces résultats illustrent la possibilité de réduire de façon significative le volume des ordures ménagères en transformant les déchets de cuisine et de jardin en un fertilisant naturel.
L’enjeu de ces espaces de compostage partagé est d’accompagner les usagers à adopter les bons réflexes. Trier, couper les restes de repas, déposer les biodéchets autorisés dans le bac d’apport, ajouter un volume équivalent de broyat, tout est expliqué sur les panneaux installés sur chacune des aires. Seul le respect de ces consignes garantit la bonne qualité d’un compost mature (8/12 mois) à la disposition des usagers, mais aussi de la ville d’Avignon.
Dans le cadre de son plan local de prévention des déchets ménagers et assimilés pour réduire la production de déchets, le Grand Avignon prévoit le déploiement d’aires de compostage collectif sur différentes communes du Vaucluse. Ainsi, après la création de deux nouvelles aires cet hiver sur le quartier des Neuf Peyres à Avignon et sur la commune de Velleron, d’autres projets sont à l’étude sur Montfavet et Le Pontet. Au total, le territoire devrait être équipé de 120 espaces d’ici à 2028.
Entre 1 000 et 2 500 € d’entretien par an
Ces aires de compostage collectif coûtent environ 2000 € pour les 5 bacs (1 bac d’apport, un bac de broyat, 3 bacs de maturation) et 350 € de matériel avec les bioseaux (récipients qui permettent de collecter les déchets de cuisine que l’on souhaite composter) et l’outillage.
L’entretien d’une aire coûte de 1 000 à 2 500 € par an en fonction de la charge de travail. Les agents de service environnement-déchets, en charge des aires, y passent toutes les semaines pour vérifier les installations et l’état du matériel (bonne utilisation, aération, ajout de broyat, etc.)
Si vous souhaitez rejoindre le dispositif, contactez Direct Grand Avignon au 0800 71 84 84. Vous serez recontacté par le responsable technique du Grand Avignon qui vous inscrira sur liste d’attente et vous transmettra la charte d’utilisation. Une fois la charte signée, vous recevrez un seau ainsi que le code permettant l’ouverture des bacs. Vous pourrez alors commencer à utiliser l’aire. Vous disposerez également des coordonnées du référent du site pour toute question.
Jardin des Carmes : l’aire de compostage collectif officiellement inaugurée
‘Bien bon !’ C’est le nouvel événement que va proposer le Grand Avignon à la fin de l’été. Durant une semaine, des dégustations, des rencontres et des animations autour de la gastronomie auront lieu dans les 16 communes de l’agglomération.
Les rendez-vous gourmands ‘Bien Bon !’ du Grand Avignon auront lieu du 11 au 17 septembre prochains. Lors de cette première édition seront réunis des producteurs, des vignerons, ou encore des chefs que les visiteurs pourront rencontrer dans des lieux insolites. Cet événement a pour objectif de mettre en valeur le côté naturel du territoire à travers l’alimentation et le vin.
L’occasion idéale de découvrir ou redécouvrir les pépites gourmandes dont le territoire regorge. ‘Bien Bon !’ sera également l’occasion pour les professionnels de réfléchir à l’alimentation et la viticulture de demain. Plus de détails concernant cette semaine gourmande seront révélés dans les semaines à venir.
Pour rappel, le Grand Avignon comptabilise 12 000 hectares de terres viticoles et agricoles, 400 exploitations et près de 1500 commerces de bouche. L’agglomération a à cœur de faire du bien-manger une des priorités de son action politique et économique, tout en impliquant davantage ses habitants.
V.A.
Jardin des Carmes : l’aire de compostage collectif officiellement inaugurée
Joël Guin est le nouveau président directeur général du conseil d’administration de la SPL (Société publique locale) Técélys. Le président de la Communauté d’agglomération du Grand Avignon succède à Xavier Belleville nommé en novembre 2020. Dans le même temps, le Grand Avignon a procédé à l’augmentation de la représentation de l’agglomération en désignant Paul Mély (maire des Angles), Daniel Bellegarde (maire de Jonquerettes) et Guy Moureau (maire d’Entraigues-sur-la-Sorgue) au sein du conseil d’administration de la SPL suite à l’augmentation de son capital social survenue le 8 mars 2022. Comme précisé il y a quelques jours par nos confrères du quotidien La Provence, le Grand Avignon a également procédé à la modification de la représentation de la commune du Pontet au sein du Conseil d’administration avec le remplacement de Joris Hébrard (l’ancien maire devenu député de la 1re circonscription de Vaucluse depuis les élections législatives de juin dernier) par Patrick Suisse (maire du Pontet) ainsi qu’à celle de la municipalité des Angles avec le remplacement de l’ancien maire, Jean-Louis Banino, par Jeanine Dray-Marmottan, adjointe à l’urbanisme et au patrimoine. Par ailleurs, Jean-Marc Bluy, adjoint au maire de la cité des papes, rejoint aussi ce conseil d’administration en qualité de membre supplémentaire de la Ville d’Avignon.
Les Vauclusiens de retour aux affaires ? Avec la désignation de Joël Guin, maire de Vedène, il s’agit du premier vauclusien à occuper cette fonction depuis Marie-Josée Roig, présidente depuis la création de la SPL en 2011, et ce, jusqu’à mi-2014. Après la maire d’Avignon, c’est en effet Jean-Marc Roubaud, alors maire de Villeneuve-lès-Avignon dans le Gard, qui avait occupé ce poste depuis juillet 2014 jusqu’à sa démission en 2020. C’est ensuite, Jean-Louis Banino, maire des Angles (dans le Gard) qui lui succèdera de juin 2020 à l’automne 2020 où il passe le flambeau à Xavier Belleville, 1er adjoint de la commune de Villeneuve-lès-Avignon. Ce dernier avait notamment vu, dans la cadre de sa fonction à la tête de Técélys, une proposition d’indemnité d’un montant de 1 200€ rejetée par l’assemblée communautaire par 34 voix contre 29 lors du conseil du Grand Avignon du 26 septembre dernier (voir vidéo).
Créé en 2011, Técélys a supervisé la mise en service de la première tranche du tramway du Grand Avignon opérationnelle depuis 2019. Depuis, la SPL a récupéré la gestion d’Orizo, le réseau de transport en commun de l’agglomération.
Le tramway mais pas que… Créée à l’origine pour superviser la réalisation du tramway puis du réseau de Bus à haut niveau de service (BHNS) Chron’hop du Grand Avignon, ‘la SPL des Transports publics urbains du Grand Avignon’ Técélys a vu ses missions s’élargir à la gestion des pépinières d’entreprises de l’agglomération en 2016. Depuis le 1er juillet 2022, dans le cadre de sa compétence transport, le Grand Avignon lui a aussi délégué, sous la forme d’un contrat d’obligations de service public des services de mobilité, l’exploitation d’Orizo, le réseau de transport en commun de l’agglomération, pour une durée de 6 ans et demie. Dirigée par Daniel Audibert la SPL intervient désormais sur un large spectre de pilotage de projets structurants comme les parkings relais de Saint-Chamand et d’Agroparc ou bien encore l’aménagement et la végétalisation de la voie verte sur l’avenue du Général de Gaulle et les requalifications des rues Carnot et Carreterie pour le compte de la Ville d’Avignon. N’oubliant pas non plus son ADN de base, Técélys est également en charge de la réalisation de la phase 2 du tramway(voir ici). Voté à l’unanimité par le conseil communautaire en avril 2021, suite à une première délibération datant de 2018, ce prolongement du terminus de la ligne existante, de la porte Saint-Michel jusqu’au parking de l’île Piot en passant sur le pont Daladier, représente un investissement de l’ordre d’une soixantaine de millions d’euros dont 7,83M€ d’aides de l’Etat et 8M€ de soutien de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur. La mise en service de ce nouveau tronçon avait d’abord été annoncée pour 2024 par Patrick Vacaris, président du Grand Avignon et représentant Rochefort-du-Gard, qui, en 2019 au micro de nos confrères de France bleu Vaucluse(voir ici) avait déjà annoncé avoir « commandé 4 nouvelles rames conformément aux décisions des élus » afin de desservir la nouvelle ligne.
Une deuxième tranche : oui, mais dans quel ordre ? L’occasion aussi pour la Ville d’Avignon de profiter de ce chantier pour requalifier les allées de l’Oulle afin de réduire l’emprise des voiries automobiles au profit des mobilités douces (piétons, vélos) ainsi que de réaliser des aménagements pour dégager des espaces pour les embarcadères d’où descendent les passagers des nombreux bateaux de croisières (ndlr : Avignon est la première destination des croisiéristes sur le Rhône). Depuis, le Grand Avignon a révisé sa copie et, lors du Conseil communautaire du 5 décembre dernier, le président du Grand Avignon a annoncé le décalage de la réalisation de cette deuxième tranche. Une décision prise notamment sous la pression des maires des 7 communes gardoises de l’agglomération (Pujaut, Roquemaure, Villeneuve-lès-Avignon, Saze, Sauveterre, Les Angles et Rochefort-du-Gard) qui, dans un courrier adressé à Joël Guin en juin dernier, avaient réclamé que « le phasage des travaux doit être progressifs » et demandaient le « décalage des travaux entre les ponts Daladier et de l’Europe. La simultanéité des aménagements aurait eu pour conséquence une paralysie du trafic ». Désormais, explique le Grand Avignon « la priorité a été donnée à la finalisation des travaux des parkings-relais en cours et à venir prochainement, tout comme les aménagements prévus pour les lignes de bus à haute fréquence, » notamment les Chron’hop entre Avignon et le futur parking relais des Angles via une voie dédié jusqu’au pont de l’Europe. De quoi repousser une éventuelle mise en service à l’horizon 2030 voir au-delà. Sans oublier que pour bénéficier encore des aides de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur et de l’Etat les travaux doivent impérativement démarrer avant fin 2025.
Jardin des Carmes : l’aire de compostage collectif officiellement inaugurée
Un nouveau mouvement de grève nationale aura lieu demain, le samedi 11 mars, ce qui va donc engendrer des perturbations sur les transports du Grand Avignon. L’agence Orizo et le standard téléphonique Allobus fonctionneront normalement.
Les lignes 6, 7, 10, 14, 18, 30, la navette Citizen Italiens et P1 – P+R Piot ne fonctionneront pas. Les lignes 11, 12, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, TPMR et Allobus fonctionneront normalement. Les navettes Citizen République et Baladine devraient fonctionner come d’habitude mais des perturbations sont à prévoir en fonction de la manifestation.
En ce qui concerne les lignes qui vont subir quelques changements :
Pour la ligne T1, le premier départ de St Chamand se fera à 6h30 et le dernier à 19h06. Le premier départ de St Roch se fera à 6h54 et le dernier à 19h27.
Pour la ligne C2, le premier départ de Hôpital se fera à 6h30 et le dernier à 19h23. Le premier départ de Archicote Av Nord se fera à 6h30. Le premier départ de Buld’Air se fera à 6h55, et le dernier à 19h22.
Pour la ligne C3, le premier départ de Agroparc se fera à 6h39, et le dernier à 19h28. Le premier départ de St Lazare se fera à 6h38, et le dernier à 19h35.
Pour la ligne 4, le premier départ de Avignon Poste se fera à 6h34, et le dernier à 19h14. Le premier départ de Agroparc se fera à 6h34, et le dernier à 19h06
Pour la ligne 5, le premier départ de Cigalières se fera à 6h30, et le dernier à 19h30. Le premier départ de Palais Justice se fera à 7h02, et le dernier à 19h.
Pour la ligne 8, il y aura un premier départ de Vedène à 6h44. Le premier départ de Blagier se fera à 7h17, et le dernier à 18h50. Le premier départ de Porte de l’Oulle se fera à 7h18, et le dernier à 18h50.
Pour la ligne 9, le premier départ de Agricola se fera à 6h33, et le dernier à 19h30. Le premier départ de Avignon Poste se fera à 6h31, et le dernier à 19h30. Les départs de Collège Morières se feront à 7h06, 8h01, 9h02, 12h17, 13h02, 15h50, 16h36, 17h37, 18h26 et 19h11. Les départs vers Morières se feront à 7h01, 7h56, 11h24, 12h09, 14h55, 15h40, 16h27, 17h29, 18h16 et 19h01.
Pour la ligne 16, le premier départ de Grand Angles se fera à 7h, et le dernier à 19h01. Le premier départ de Avignon Poste se fera à 7h28, et le dernier à 19h30. Les départs vers Rochefort se feront à 7h54, 11h16, 12h54, 16h28 et 18h14. Les départs de Rochefort se feront à 7h08, 8h45, 12h08, 13h51, 17h24, 19h07.
V.A.
Jardin des Carmes : l’aire de compostage collectif officiellement inaugurée
Demain —le mardi 7 mars—, le réseau de transport du Grand Avignon va être fortement perturbé en raison du mouvement de grève nationale contre la réforme des retraites. De nombreuses lignes vont percevoir des modifications, d’autres ne vont pas circuler du tout.
L’agence commerciale Orizo sera fermée au public ainsi que le service de réservations Allobus et PMR. L’accueil téléphonique sera, quant à lui, maintenu. Les lignes 6, 7, 10, 13, 14, 18, 23, 24, 26, la navette Citizen Italiens et la P1 Navette Piot ne circuleront pas demain. Seul le service scolaire M2 ne fonctionnera pas de la journée.
Plusieurs lignes verront leurs horaires modifiées telles que :
Pour la ligne T1, le premier départ de St Chamand se fera à 6h30 et le dernier à 9h21, le premier départ de St Roch sera à 6h54 et le dernier à 9h42. L’après-midi, le premier départ de St Chamand se fera à 15h08 et le dernier à 18h11, le premier départ de St Roch sera à 15h29 et le dernier à 18h36.
Pour la ligne C2, le premier départ de Archicote se fera à 6h19 et le dernier de Bul d’Air à 8h57, le premier départ de Hôpital sera à 6h30 et le dernier à 8h41. L’après-midi, le premier départ de Bul d’Air se fera à 15h et le dernier à 17h53, le premier départ de Hôpital sera à 15h et le dernier à 18h01.
Pour la ligne C3, le premier départ de Agroparc se fera à 6h33 et le dernier à 9h14, le premier départ de St Lazare sera à 6h18 et le dernier à 9h12. L’après-midi, le premier départ de Agroparc se fera à 14h59 et le dernier à 18h19, le premier départ de St Lazare sera à 15h et le dernier à 18h09.
Pour la ligne 4, le premier départ de Agroparc se fera à 6h33 et le dernier à 8h33, le premier départ de Avignon Poste sera à 6h42 et le dernier à 8h42. L’après-midi, le premier départ de Agroparc se fera à 14h54 et le dernier à 18h07, le premier départ de Avignon Poste sera à 15h07 et le dernier à 18h06.
Pour la ligne 5, le premier départ de Cigalières se fera à 6h20 et le dernier à 8h37, le premier départ de Palais Justice sera à 6h26 et le dernier à 8h36. L’après-midi, le premier départ de Cigalières se fera à 15h et le dernier à 18h10, le premier départ de Palais Justice sera à 14h53 et le dernier à 18h05.
Pour la ligne 8, le premier départ de Vedène se fera à 6h40 et le dernier de Blagier à 8h24, le premier départ de Porte de l’Oulle sera à 6h38 et le dernier à 8h21. L’après-midi, le premier départ de Vedène se fera à 15h17 et le dernier de Blagier à 18h13, le premier départ de Porte de l’Oulle sera à 15h17 et le dernier à 17h43.
Pour la ligne 9, le premier départ de Agricola se fera à 6h31 et le dernier à 9h17, le premier départ de Avignon Poste sera à 6h24 et le dernier à 9h03. L’après-midi, le premier départ de Agricola se fera à 15h23 et le dernier à 18h16, le premier départ de Avignon Poste sera à 15h10 et le dernier à 18h10. Les seuls départs de Morières seront à 8h03 et 17h12. Les seuls départs de Avignon Poste vers Morières se feront à 7h05, 16h15 et 18h10.
Pour la ligne 16, le premier départ de Grand Angles se fera à 6h39 et le dernier à 8h47, le premier départ de Avignon Poste sera à 6h40 et le dernier à 8h51. L’après-midi, le premier départ de Grand Angles se fera à 15h29 et le dernier à 18h12, le premier départ de Avignon Poste sera à 15h15 et le dernier à 18h14. Les seuls départs de Rochefort seront à 7h58, 16h08 et 18h05. Les seuls départs de Avignon Poste vers Rochefort se feront à 7h08, 15h15 et 18h10.
Pour la ligne 19, les départs pour la 2ème DB se feront à 7h21, 8h25, 9h31, 15h33, 16h40, 17h39 et 18h36. Ceux pour le lycée Jean Vilar se feront à 8h00, 9h06, 15h05, 16h10, 17h10 et 18h10.
Pour la ligne 30, le premier départ de Montfavet se fera à 6h30 et le dernier à 9h03, le premier départ de Avignon TGV sera à 6h19 et le dernier à 8h43. L’après-midi, le premier départ de Montfavet se fera à 15h27 et le dernier à 18h10, le premier départ de Avignon TGV sera à 15h10 et le dernier à 17h51.
Pour la navette Citizen République, le premier départ de Jaurès se fera à 7h et le dernier à 11h30. L’après-midi, le premier départ de Jaurès se fera à :15h55 et le dernier à 21h.
Quant aux lignes 11, 12, 15, 17, 20, 22, 25, 27, la Baladine, Allobus, PMR et Allobus soirée, elles fonctionneront normalement.
V.A.
Jardin des Carmes : l’aire de compostage collectif officiellement inaugurée
Jérémie Pichon, le pape du Zéro déchet et le papa de ‘Famille presque zéro déchet’, propose deux conférences, une ce vendredi 24 février à 19h, à la salle Polyvalente de Montfavet-Avignon et le lendemain, samedi 25 février à 18h au Pôle Culturel Jean Ferrat à Sauveterre. Les places gratuites sont à réserver ici.Les ouvrages ‘Famille zéro déchet’, ‘Les zenfants zéro déchet’, ‘Ze guide 2 La famille en transition écologique’ … pourront être dédicacés.
Transition écologique « Je ne parle pas de décroissance mais de transition écologique, pour dire que nous devons passer à un autre système. Pourquoi ? Parce que lorsqu’on parle de déchets, on s’attaque aux symptômes de notre société industrielle dont l’objet est d’extraire, de transformer et de consommer via beaucoup d’énergie et d’eau ce qui nous amène à créer de la pollution et donc des déchets. »
Tricoter un système vertueux «En s’exerçant au zéro déchet, on détricote le système pour en re-tricoter un beaucoup plus vertueux. Quelle incidence par rapport au changement climatique ? Notre poubelle est constituée de 3 tiers : le compost qui est la matière organique ; l’emballage agro-alimentaire souvent issu des grandes surfaces et tous les objets que l’on consomme : vêtements, jeux pour les enfants, stylos qui arrivent en fin de vie.»
Un changement radical «Les 2 tiers de cette poubelle proviennent de l’alimentation. Lorsque vous allez en grande surface, la moitié de votre caddie est constitué d’emballages et de produits achetés très loin –c’est la globalisation- votre ketchup, par exemple, vient de Turquie, votre vinaigre de Tchéquie… En faisant sa transition alimentaire, on achète en circuit court chez ses commerçants et producteurs locaux, avec ses propres contenants. En faisant cela, on sort du système globalisé ce qui va réduire les 2 tiers notre poubelle, on sort ainsi de l’emballage alimentaire et l’on fait de considérables économies.»
Réduction des émissions de gaz à effet de serre «En s’attaquant aux déchets, on change notre alimentation. En faisant nos courses en circuit court on divise par 4 -et par an- nos émissions de carbone, ce qui nous amène au changement climatique. Car ce qui coûte de l’énergie c’est la transformation de nos aliments, les infrastructures et beaucoup de transports pour acheminer les produits. La plus grande catastrophe écologique dans notre alimentation ? La pizza surgelée !»
DR
Le 3e tiers de notre poubelle ? «Ce sont les objets en fin de vie. Quand on fait du zéro déchet, on entre dans la démarche des 4 R : réduire (moins consommer), ré-utiliser (marché de l’occasion), réparer et recycler. Sortir de la pollution c’est sortir de la société de production. Réduire à la source nos déchets, c’est changer le système de production, de consommation et c’est la seule solution, aujourd’hui, puisque nous sommes 8 milliards à vivre sur la Terre, si l’on veut sortir de la destruction permanente de notre habitat commun, la planète.»
Quel retour des conférences ? «Sur le moment tout le monde est archi-emballé. Ce qui intéressant ? C’est quand les gens disent : On a compris. Je fais toujours le lien entre le global (organisé depuis la seconde guerre mondiale) et le local. Les gens sont ainsi informés et motivés pour se dire : Moi aussi je peux le faire. En devenant un colibri (Le mouvement Colibris). Ils deviennent un élément de la chaîne. Maintenant, en mesurer les conséquences à plusieurs mois après la conférence ? Je n’en n’ai aucune idée.»
Une société qui va à l’inverse de ce qu’elle devrait faire «La société ultra-numérisée, les Apple, les Google, Gafam, Amazon, tout ce qui se passe depuis 10/12 ans nous précipite à l’inverse de ce que l’on devrait faire, dans la destruction de l’écosystème, de la société et de l’homme. Je ne suis pas optimiste, mais je continue à faire passer mon message parce que j’ai raison. J’en suis convaincu et c’est sans doute pour cela que je suis convainquant.»
Ce sont surtout les agglos et les villes qui me font venir «Ce sont les établissements publics qui me font venir pour les 2 tiers de mes conférences. Ils ont la mission de réduction des déchets et s’inscrivent dans une logique de prévention. Au départ tout le monde disait : on va faire le tri. Pourtant faire du tri et du recyclage s’est avéré archi-limité et polluant, ça n’est donc pas la solution. Donc nous sommes maintenant dans la réduction des déchets à la source.»
Jérémie Pichon DR
Le mirage et le mensonge du recyclage «Le tri a surtout consisté à envoyer nos déchets en Afrique et en Asie. Cependant, depuis 3 ans, la Chine et d’autres pays du Sud-Est asiatique on dit : ‘stop, on arrête de prendre vos déchets’. L’envoi de ces déchets était mis au crédit de la valorisation parce que ces pays étaient censés le faire. Mais ils ont dit stop avec tout ça sur les bras. Alors, aujourd’hui que se passe-t-il ?»
Le tri part à l’incinérateur «Aujourd’hui ? On est dans l’extension du phénomène de tri qui est stocké dans les centres avec une promesse de recyclage qui est juste fausse puisqu’en France nous disposons de deux usines de recyclage en Bourgogne et en Ile-de-France qui traitent à peu près 50 000 tonnes de plastiques alors que la France en produit 5 millions. Et ce phénomène va augmenter avec les consignes de tri. Or, en France, on traite environ 1% de nos plastiques de recyclage.»
La plupart des plastiques n’est pas recyclable «Parce qu’il s’agit de polystyrène ou de films plastiques qui ne sont pas recyclables. Nous ne disposons ni de process ni des filières économiques pour le faire. Et lorsque le plastique est recyclable, il ne l’est qu’une seule fois, à condition d’y ajouter du plastique vierge sinon il ne ‘tient’ pas, parce que la chaîne polymère est trop faible. En fin de vie, il finit à l’incinérateur ou en centre d’enfouissement. Le mensonge c’est de dire qu’en tant que citoyen, lorsque vous faites le tri, vous avez fait votre boulot de citoyen. Le plastique est une catastrophe pour l’environnement. Il faut en sortir et aller vers du durable, notamment pour l’agroalimentaire, en utilisant de l’inox, du verre, du bois, de la laine, des tissus… les alternatives sont nombreuses pour nous permettre de sortir du plastique.»
le plastique n’est pas recyclable et pollue la planète durablement DR
Qui organise la consigne de tri et toute cette communication mensongère ? «C’est Citéo (ex-Eco-Emballage), éco-organisme français en charge du développement du recyclage, avec, au sein de son conseil d’administration Coca, Danone, Nestlé. On a confié aux industries industrielles productrices de déchets et plastiques le soin de les réduire ! C’est une blague ! On a fait la même chose pour l’industrie de la pharmacie avec Cyclamed. C’est comme confier le soin à Bayer-Monsanto de réduire la production et l’utilisation des OGM (Organismes génétiquement modifiés). Nous sommes sur un mensonge financé par l’Etat pour continuer dans ce système globalisé qui génère des profits. Pourquoi ? Parce que la clef du système globalisé sont l’emballage et le plastique parce que tout est produit loin du lieu de consommation.»
Les infos pratiques La première conférence en compagnie de l’auteur a lieu le 24 février à 19h en salle polyvalente de Montfavet à Agroparc à Avignon. La seconde se tient le lendemain à 18h, au Pôle culturel Jean Ferrat de Sauveterre. Pour vous inscrire, il vous suffit simplement de cliquer sur le lien correspondant à la conférence à laquelle vous souhaitez assister et de remplir les champs requis : Conférence Avignon du 24 février à 19h. Conférence Sauveterre du 25 février à 18h. Un QR code à présenter le soir de votre venue vous sera fourni après avoir complété le formulaire.
Jardin des Carmes : l’aire de compostage collectif officiellement inaugurée
Laurent Huber vient de prendre la direction de la communication et des relations institutionnels de CBA Informatique Libérale installée dans le Grand Avignon depuis plus de 30 ans.
Diplomé de Science Po, Laurent Huber a commencé sa carrière dans des ministères comme responsable de la communication et des relations presse de la mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives puis par la suite comme conseiller auprès du directeur, responsable des questions économiques et sociales au Service d’Information du Gouvernement.
Il poursuit son parcours dans le privé chez la société d’enquêtes et d’études d’opinions Giacometti-Péron (actuellement NoCom) pour enfin en 2012 occuper les fonctions de directeur de la communication de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Vaucluse jusqu’en 2020.
Il rejoint donc CBA la société au 33 000 clients et 215 collaborateurs installés dans l’un des immeubles Hamadryade de la zone d’Agroparc à Avignon. Créée en 1986 par Marc Birling, la société est dirigée actuellement par Caroline Moga-Birling depuis 2018. CBA développe des solutions et logiciels pour accompagner au quotidien les professionnels de santé libérauxet notamment les infirmières libéralesdans tous les aspects de leur activité : télétransmission, gestion administrative, comptabilité ou encore, recouvrement des impayés. Pionnière dans ce domaine, l’entreprise avignonnaise est leader sur ce marché avec près de 30% des parts de son secteur d’activités.
Jardin des Carmes : l’aire de compostage collectif officiellement inaugurée
Le Conseil départemental de Vaucluse vient de poser la première pierre des futures archives départementales. Situé dans la zone d’Agroparc à Avignon ce ‘pôle des patrimoines de Vaucluse’ sera baptisé ‘Memento’. Le bâtiment, qui représente l’un des principaux investissements publics du territoire actuellement, est autant conçu pour être un lieu de conservation que partage et d’accueil du grand public.
Après avoir passé près de 150 ans au palais des papes, les archives départementales de Vaucluse s’apprêtent à déménager en 2025 dans un nouveau bâtiment édifié dans la zone d’Agroparc à Avignon. Situé sur une parcelle de 23 290 m2, entre l’Inrae et le siège social de McCormick-Ducros, la construction de 11 600m2 conçue par le cabinet d’architecture lyonnais Gautier-Conquet regroupera une douzaine de sites actuellement éparpillés sur le bassin de vie d’Avignon : les archives du Département actuellement installées dans la chapelle Benoît XII du palais vieux depuis les années 1880 mais aussi ses annexes de Courtine, le Service départemental d’Archéologie, les réserves des trois musées départementaux ainsi que plusieurs services administratifs liés au patrimoine vauclusien. A cela s’ajoute le Centre de conservation et d’études de l’État ainsi que les Archives du Grand Avignon. Seul manque à l’appel, les archives de la Ville d’Avignon qui, un temps approchées pour s’associer au projet, resteront finalement dans leur locaux historiques de l’ancien mont de piété de la rue Saluces dans l’intra-muros de la cité des papes.
Situé rue Marcel Demonque dans la zone d’Agroparc, le bâtiment de 80 mètres de long et de 70m de large de ‘Memento’ sera situé entre le siège de McCormick-Ducros et l’Inrae, juste à côté du centre de gestion de la fonction publique territoriale et tout près du campus Jean-Henri Fabre de l’Université d’Avignon.
Plus qu’un lieu de stockage Plus qu’un lieu de conservation, ce ‘pôle des patrimoines de Vaucluse’ baptisé désormais ‘Memento’ (ndlr : souviens-toi en latin) ambitionne d’être aussi un espace d’étude et de transmission de l’histoire du Vaucluse en étant le plus accessible et le plus ouvert au public. Bien évidemment le lieu restera un site d’entreposage avec 40km linéaires de stockage aux normes de conservation actuelles contre 26km pour les archives actuelles du palais des papes. En 2025, l’équipement entend également « constituer un lieu de mémoire et de préservation du passé tourné vers l’avenir en jouant un rôle actif de transmission à travers sa salle de lecture, sa salle d’exposition et sa salle de conférence de 150 places ». Pour le Conseil départemental sa vocation est donc d’être aussi « un lieu-ressources et de recherche destiné aux scolaires, aux chercheurs, aux professionnels mais aussi au grand public. Un lieu d’animation et de vie en lien constant avec les acteurs locaux et les associations du territoire mais aussi régionales. Des expositions, des conférences, des créations d’œuvres, des animations, des concerts auront lieu. La priorité absolue est de s’ouvrir aux différents publics et de diffuser largement la connaissance. »
Une pierre taillée il y a 700 ans provenant chantier de restauration du palais des papes a été posée lors du lancement officiel du chantier qui doit s’achever courant 2025.
Une fonction autant culturelle que patrimoniale « Il s’agit d’un équipement autant culturel que patrimonial avec des fonctions pédagogiques d’accueil de tous les publics », explique Dominique Gautier, l’architecte de l’agence à qui l’on doit déjà les archives du Rhône à Lyon et celles de Briançon ainsi que plusieurs médiathèques à Lyon, Chaponost, Oullins ou Montrond-les-Bains.« C’est aussi un outil de travail pour les archéologues, les archivistes, les conservateurs, les chercheurs, les historiens », poursuit le co-fondateur du cabinet Gautier-Conquet qui a aussi réalisé les 18 plateformes du parc d’activité ‘Technicité’ d’Agroparc. « C’est enfin un outil de conservation avec des ateliers et des magasins où les contraintes imposent que l’on conçoive un bâtiment sans fenêtres pour protéger ce qui y est conservé de la lumière », conclu Dominique Gautier dont les équipes ont conçu un édifice à haute valeur environnemental affichant une performance énergétique de niveau E2C1 du label E+C.
« Il s’agit d’un équipement autant culturel que patrimonial. »
Dominique Gautier de l’agence Gautier-Conquet
L’un des principaux investissements publics du territoire Memento sera constitué d’un bâtiment à ossature bois en R+3 de 80 mètres de long et de 70m de large imaginé autour de galeries intérieures desservant l’ensemble des blocs fonctionnels et les magasins de conservation. Devant, un parvis paysagé protégé du vent. Autour, une ‘double peau’ ventilée et habillée de briques de terre cuite extrudée autour des voiles de béton afin de réguler l’inertie et l’hygrométrie du bâtiment. Au-dessus, des toitures en partie végétalisée accueillant également 500m2 de panneaux photovoltaïques. La puissance qui pourra être produite sera de 105kW environ. Celle-ci sera directement utilisée par le bâtiment en autoconsommation et le surplus pourra être revendu. « Il n’a pas été possible d’en installer davantage en raison de contraintes liées à la proximité de l’aéroport », précise l’architecte lyonnais. Un parking semi-enterré de 36 places complètera l’aménagement. L’ensemble, qui représente un investissement de près de 31M€, constitue actuellement l’un des principaux investissements publics en Vaucluse. Il est financé par le Département à hauteur de 16,07M€ ainsi que par l’Etat (7M€ via la Drac et le DSID), la Région Sud (6,94M€) et la communauté d’agglomération du Grand Avignon pour un montant de 822 939,42€.
Le Département va lancer une étude sur la réutilisation du palais vieux une fois que les archives en seront définitivement parties. Une certitude, le Conseil départemental a la volonté d’ouvrir l’espace au public le plus large.
Un trait d’union avec le passé « Nous posons aujourd’hui, tous ensemble, la première pierre, s’est félicitée Dominique Santoni, présidente du Conseil départemental de Vaucluse lors du lancement officiel du chantier. Et cette pierre, symboliquement, est issue du chantier de restauration du Palais vieux, toujours en cours. Elle a été taillée voilà près de 700 ans… Comme un trait d’union entre un chapitre qui se termine et un autre qui commence… mais c’est une seule et même histoire qui continue. » Pour le palais, dernier bâtiment en France aussi ancien à être occupé par un service d’archives, si les opérations de déménagement se préparent déjà depuis 2019 il s’agit également de savoir ce que le Département veut faire de cet espace constituant la partie la plus ancienne du plus grand palais gothique.
En effet, le reste de l’édifice médiéval est propriété de la Ville d’Avignon et est exploité par Avignon tourisme comme site de visite et d’exposition, comme centre des congrès et comme lieu d’accueil emblématique du festival d’Avignon dans la cour d’honneur. « Très attaché à ce monument connu dans le monde entier, et d’ailleurs classé au patrimoine mondial de l’Unesco, le Département de Vaucluse va prochainement étudier la mise en place d’un projet global pour le Palais vieux, explique le Conseil départemental. Autrement dit, lui inventer un nouveau destin après le déménagement des Archives. S’il est encore trop tôt pour en esquisser les contours, l’objectif est bien que ces espaces soient à terme accessibles au plus grand nombre. »
Découvrez le projet Memento situé à Agroparc.
Jardin des Carmes : l’aire de compostage collectif officiellement inaugurée
Le 8 mars 2023, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, Clairobskur organise, en partenariat avec la Préfecture, la Chambre de Commerce et d’Industrie du Vaucluse, le Grand Avignon, le 1er opus de – The Woman Project– au Palais des Papes en Avignon.
L’événement de ce 8 mars se décline en deux temps : une conférence immersive – de18h à 20h The Woman Paradox – avec des ateliers expérientiels : neurosciences appliquées, boxe, arts martiaux, yoga danse, arts aériens… et interactive avec des témoignages inspirants, et sera suivi d’une soirée de célébration ‘Paradox party’ de 20h à 1 heure du matin, au Palais des Papes. Une partie des bénéfices sera reversée à des associations locales de défense des droits de la femme et la Fondation Elle qui promeut l’émancipation des femmes par l’éducation, la formation et l’information.
Le message ? Une conférence expérientielle pour inspirer les femmes autour de l’art subtil d’équilibrer puissance et féminité dans l’univers complexe des entreprises.
Le point d’orgue de l’événement ? La signature de la 1re Charte du Vaucluse de l’Equité femmes hommes- «1ère pierre d’une diffusion nationale puis internationale ». Une partie des bénéfices sera reversée à des associations locales et fondations nationales de développement de la formation, défense des droits et lutte contre les discriminations des femmes.
besoin d’un rééquilibrage homme-femme ? «Parce qu’il y a urgence d’un rééquilibrage souligne le couple de coach de ClairObskur : Les femmes devront attendre 1 000 ans pour l’égalité des salaires ; 82% des parents isolés sont des femmes ; 80% des ministres du gouvernement sont dirigés par des directeurs de cabinets hommes ; 37,6% des députés sont des femmes ; 32% des chefs d’entreprise sont des femmes et 36% des managers, à ce rythme il faudra attendre 257 ans à l’humanité pour atteindre la parité managériale ; Les Comités de direction des entreprises du SBF 120 (Société de bourse françaises. Le SBF 120 est composé de 120 titres cotés en continu : les 40 valeurs du CAC 40 plus 80 autres valeurs. Il est donc plus large et plus diversifié que le CAC 40. Les 80 valeurs supplémentaires sont choisies parmi les 200 premières capitalisations boursières françaises.) ne sont composés qu’à 22% de femmes ; En 2022 les Françaises gagnent 16,1% de moins que leur homologues masculins à compétence égale. Une femme sur deux est victime d’harcèlement sexuel en France.»
Pourquoi en Vaucluse ? Pour la première fois de l’histoire, la préfecture est dirigée par une femme. A Avignon, la présidente du Département Dominique Santoni, la maire Cécile Helle, la préfète Violaine Démaret et la procureure Florence Galtier sont des femmes. Le Vaucluse accueille 37 femmes maires soit 24,5% des maires du département contre 19,8% en France.
Qui organise The woman project ? Le tandem de coach : Caroline Roux et Benoît Dérot. Elle ? Coach en entreprise, elle a accompagné plus de 27 000 accompagnants de managers, cadres et dirigeants de groupes internationaux tels qu’Airbus, Crédit Agricole, BNP Paribas, Aésio… Caroline est certifiée PNL (Programmation neurolinguistique et en neurosciences appliquées. Son crédo ? Transformer notre part d’ombre en lumière, décupler notre énergie, faire émerger nos ressources et développer nos intelligences.
Lui ? En plus d’être coach, formateur et conférencier, Benoît est certifié PNL (Programmation neuro linguistique). Il a étudié la psychanalyse durant 5 ans ainsi que la psychologie évolutionniste. Son crédo ? Nous libérer de nos doutes, croyances limitantes pour recouvrer notre confiance en nous.
Caroline Roux et Benoit Dérot les coach de ClairObskur
Au programme
Décupler son énergie Une expérience pour explorer son potentiel énergétique, libérer les blocages, ouvrir les champs des possibles, accéder à nos ressources infinies pour accomplir tous nos objectifs avec Caroline Roux, spécialisée en neurosciences appliquées.
Se forger un mental de combattante Se connecter à son esprit et aller chercher au fond de nous le mental de combattant qui sommeille en chacun de nous, celui-là même qui permet d’accomplir de grandes choses. Avec Benoît Dérot, spécialiste de la préparation mentale.
Lâcher prise Expérience pour prendre de la hauteur en se reconnectant à son cœur. Le lâcher-prise permet d’affronter avec du recul les situations les plus difficiles. Il est l’apanage des maîtres Zen et un outil puissant pour évoluer sereinement dans la vie. Avec Camille Roux, professeure de yoga.
Se libérer… au cabaret Expérience pour se connecter à son corps, aller chercher la puissance et la féminité qui existe en chacun et, ainsi, évoluer socialement sans complexe en accord avec ses valeurs. Expérience animée par Kitty, artiste performer circassienne, professeure des arts aériens.
Danser avec ses peurs Dépasser nos peurs profondes et nos croyances limitantes avec pep’s et les transformer en alliés puissants. Animé par J, professeure de danse.
De victime à victoire Dépasser le sentiment de l’imposteur, reprendre le contrôle de n’importe quelle situation, la tourner à son avantage, afin de se délester du poids de ‘Je subis mon environnement’ et enfin, devenir acteur de sa vie. Animé par Moilime Ramia, champion du monde de boxe.
Lors de la Paradox party Cartomancie analytique avec Laurie Napolitano et Boxe féminine avec Moilime Ramia.
Les infos pratiques Mercredi 8 mars. ‘The Woman project’. De 18h à 20h. Espace Jeanne Laurent. Montée Saint-Jean XXII à Avignon. ‘Paradox party’ de 20h à 1h du matin 150,00€. Toutes les informations et inscriptions ici.