5 mai 2024 |

Ecrit par le 5 mai 2024

En visite chez GSE, la CPME dévoile le salon ‘Made in PME sud’

En visite dans l’entreprise avignonnaise GSE, Alain Gargani, président de la CPME Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur a annoncé la tenue du salon Made in PME Sud, le plus grand rassemblement de PME de la région qui se tiendra en avril à Marseille.

Ils étaient plus de 120 chefs d’entreprises à avoir répondu à l’invitation de la Confédération des petites et moyennes entreprises de Vaucluse (CPME 84) pour assister à la visite de l’entreprise avignonnaise GSE. Initialement, cette découverte devait être limitée à 70 personnes, mais devant le succès de cette matinée ce seuil a été largement revu à la hausse. Il faut dire que le siège social de ce spécialiste de l’immobilier d’entreprise située dans la zone d’activité de l’aéroport de la cité des papes, qui passé le cap du milliard d’euros de chiffres affaires cette année, a tout pour séduire avec ses nombreux espaces de détente (tennis, terrain de volley, de pétanque, salle de sieste, de fitness avec coach, vestiaires, douches, foyer, bar, restaurant avec un chef qui concocte des plats bons et bio…).
«C’est un vrai plaisir de découvrir une entreprise avec des valeurs humaines qui correspondent à celles de la CPME, se félicite Alain Gargani, président de la CPME Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur. Le monde a besoin d’entreprises qui donnent du sens à leurs salariés. »
« L’ADN de la CPME, c’est l’humain », confirme Bernard Vergier, le président de la CPME 84.

Près de 120 adhérents de la CPME de Vaucluse ont participé à la visite de la société avignonnaise GSE.

5 000 dirigeants attendus pour une première régionale
En parallèle de la visite de GSE, Alain Gargani a annoncé la tenue de la première édition du salon ‘Made in PME Sud’.
« Il s’agira du plus grand rassemblement de PME de la région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur jamais organisé », précise le président de la CPME Sud.
Près de 5 000 dirigeants sont attendus lors de cet événement regroupant 400 exposants, dont une quarantaine de Vaucluse, répartis sous la forme de village des territoires.

« Le plus grand rassemblement de PME de la région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur jamais organisé. »

Alain Gargani, président de la CPME Sud

« Ce nouveau rendez-vous phare est un concentré d’échanges, d’idées, de solutions et de contacts, au service de tous les entrepreneurs, sans distinction, poursuit Alain Gargani. Il réunit pour la première fois, les 18 et 19 avril prochains, tous les départements de la région dans un même lieu. Une mobilisation collective pour mettre en lumière la force et la puissance de l’économie régionale. »
L’événement sera aussi marqué par plusieurs temps forts dont une plénière en présence de Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie, des Finances.
« Après toutes les crises que nous avons traversé : Covid, Ukraine, flambée des prix de l’énergie, inflation, difficultés de recrutement, remboursement du PGE…, constate le président de la CPME Sud, c’est le moment pour l’économie régional de se réunir et faire du business ensemble. »

Salon Made in PME Sud. Jeudi 18 et vendredi 19 avril 2024.  Palais des Événements. Parc Chanot. Marseille. https://www.madeinpmesud.com/


En visite chez GSE, la CPME dévoile le salon ‘Made in PME sud’

La Confédération des petites et moyennes entreprises de Vaucluse (CPME 84) invite les dirigeants de TPE et PME, les commerçants et les indépendants vauclusiens à venir découvrir l’entreprise GSE à Avignon le mardi 5 décembre.

Ainsi, les participants pourront découvrir cette entreprise emblématique du Vaucluse qui est spécialisée dans la construction, l’extension et la rénovation de projet clé en main. La visite est limitée à 70 places, pour réserver la vôtre, il suffit d’envoyer un mail à l’adresse contact@cpme84.org

Mardi 5 décembre. De 9h30 à 11h30. 310 Allée de la Chartreuse. Avignon.

V.A.


En visite chez GSE, la CPME dévoile le salon ‘Made in PME sud’

C’est une tradition initiée par ses prédécesseurs, qu’ils soient de droites comme de gauches, chaque rentrée, la présidente du Conseil départemental de Vaucluse convie la presse pour une présentation afin d’évoquer les grands dossiers du Département. Mais cette fois-ci, exit les pierres historiques et l’atmosphère feutrées de l’hôtel de Sade puisque Dominique Santoni avait choisi le restaurant d’entreprise du nouveau siège de l’avignonnais GSE pour détailler son action, et celle de sa majorité, placée notamment sous le signe de l’attractivité du territoire et de la poursuite des investissements.

« Nous faisons face à une rentrée difficile », reconnaît sans ambages Dominique Santoni, la présidente du Conseil départemental de Vaucluse.
Inflation, fiscalité, baisse des dotations, crise de l’immobilier, hausse des taux d’intérêts, le Département n’échappe pas à la morosité ambiante liée au contexte national et international. C’est d’ailleurs le ralentissement du marché immobilier qui impacte le plus directement les finances départementales avec la baisse de la DMTO (Droits de mutation à titre onéreux). Cette taxe à l’achat au profit des collectivités lors des transactions immobilières constitue en effet l’une des ressources majeures du Conseil départemental. Sa diminution entraîne forcément des conséquences sur les recettes de l’institution vauclusienne puisque cette DMTO était montée exceptionnellement au-delà des 160M€ ces deux dernières années avant de revenir aux alentours des 140M€ en 2023. Une diminution de l’ordre d’une vingtaine de millions d’euros que le Département a su toutefois anticiper.

« Nous sommes dans une bonne santé financière. »

« Par chance, nous sommes dans une bonne santé financière », se félicite la présidente du Conseil départemental qui affiche également un endettement équivalent à moins de 2 ans de son budget d’investissement.
« Cela nous permet de pouvoir continuer à investir, poursuit Dominique Santoni. Nous allons donc garder le cap de tout ce que nous avions décidé de faire en début de mandat. » Une volonté qui se traduit par un soutien à la commande publique de l’ordre de 120M€ d’investissements par an. Autant de chantiers du Département que la Fédération du BTP 84 considère comme une bouffée d’oxygène pour l’ensemble des professionnels du secteur en ce moment.

Le point sur les différents chantiers
Pour les grands chantiers du département en cours ou à venir, la présidente a rappelé que la suppression du passage à niveau N°15 de Petit Palais sera bientôt achevée. Outre la sécurisation de cette zone, cet aménagement va aussi permettre d’uniformiser la vitesse à 80km entre Bonpas et Coustellet. Autre travaux : la passerelle rejoignant l’île de le l’Oiselay à l’île de la Barthelasse (et donc Avignon) sur le tracé de la ViaRhôna qui doit être officiellement inaugurée le mercredi 4 octobre prochain.

La suppression du PN15 va permettre de sécuriser les routes de Vaucluse.

Les chantiers engagés sur Avignon : Memento, les futures archives départementales, dans la zone d’Agroparc, ainsi que de la nouvelle MDPH (Maison départementale des personnes handicapées) dont la livraison est prévue route de Montfavet début 2025.
« Pour la déviation d’Orange, nous serons dans les temps c’est-à-dire avant la fin de la mandature en 2028, complète la présidente. Par ailleurs, concernant le réaménagement de Bonpas les premiers coups de pioche devraient débuter en 2025 pour une livraison fin 2027. » Le coût du chantier a été cependant revu à la hausse (35M€) en raison des conséquences de la conjoncture actuelle.

Memento à Agroparc.

Le pari de l’attractivité par le cinéma
Outre les aménagements structurants, Dominique Santoni rappelle qu’elle a aussi placé son mandat sous le signe de l’attractivité économique. Ce n’est donc pas un hasard si elle a choisi le self de l’entreprise avignonnaise GSE comme cadre de sa présentation à la presse.
« C’est un champion de l’économie vauclusienne qui vient de franchir le milliard d’euros de chiffre d’affaires. C’est aussi une entreprise née à l’Isle-sur-la-Sorgue, membre de notre Team Vaucluse, qui reste attachée à son enracinement local dans notre département. »

« Nous avons VPA (Vaucluse Provence attractivité) qui fait déjà un formidable travail », souligne la présidente qui souhaite poursuivre l’accueil d’entreprises, d’écoles ou bien d’organismes de formation dans le secteur de l’audiovisuel comme les studios d’animation Circus à Avignon ou bien encore ceux de Duetto à Carpentras.
L’objectif étant notamment de développer toute une filière cinéma et audiovisuelle sur le territoire.
« Nous participons à hauteur de 200 000€ au fond Cinéma de la Région Sud. L’idée est d’attirer des tournages de longs métrages, de séries ou de streaming dans le cadre de notre plan cinéma. » Ce plan prévoit l’implantation de studios de cinéma et d’espaces de formations sur Courtine (cette zone ayant la préférence du Département) ou sur Agroparc, vers le parc des expositions (plutôt le choix de la municipalité).  

Santé et solidarité
Dominique Santoni est aussi revenue sur le succès du recrutement de médecins, directement par le Département afin de permettre de lutter contre la désertification médicale.
« Après les ouvertures d’Avignon et Cadenet, ce sera bientôt Valréas et Apt qui accueilleront ces médecins. En tout, nous en avons embauché une dizaine et nous sommes en phase de recrutement d’un médecin ayant le permis pour conduire le bus itinérant que nous voulons déployer sur le plateau de Sault. Nous avons déjà permis à 5 000 Vauclusiens de retrouver un médecin traitant alors que cela n’est pas une de nos compétences. Pourtant, il y a une vraie demande. »
Par ailleurs, le département poursuit son soutien financier à la création de MPS (Maison pluridisciplinaire de santé). Comme à Mornas, où le département contribue à hauteur de 300 000€ à la construction de la 25e MPS en Vaucluse.

« Nous avons déjà permis à 5 000 Vauclusiens de retrouver un médecin traitant. »

Concernant le grand âge, la présidente estime aujourd’hui que « les Vauclusiens ont envie de vieillir chez eux. C’est pour cela que le Département sera toujours dans les Ephad (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) mais que nous travaillons pour un habitat inclusif afin de permettre de rester le plus longtemps à son domicile. »
Côté Social, la mise en place de contrôle plus réguliers ainsi qu’un suivi plus actif des bénéficiaires a permis de réduire leur nombre de 17 000 en 2020 à 15 700 aujourd’hui. De quoi réaliser une économie de 10M€ pour le conseil départemental.

Inauguration de la maison de santé à Avignon en février dernier.

« Les Vauclusiens ont envie de vieillir chez eux. »

« Il est important d’accompagner et de suivre les bénéficiaires du RSA, insiste Dominique Santoni, car il est vital de redonner du travail à ces Vauclusiens. Et ces efforts semblent payer puisqu’avec 35% nous affichons désormais un des meilleurs taux de retour à l’emploi de la région. Avant, le Vaucluse était le dernier département de Provence-Alpes-Côte d’Azur dans ce domaine. Aujourd’hui, il est le deuxième, juste derrière les Alpes-Maritimes. Notre objectif est d’atteindre 50% ».
Le Département, qui vient de lancer le recrutement de 100 assistants familiaux, regrette cependant que l’Etat lui demande de prendre en charge des dépenses sans lui donner les moyens équivalents : « nous aurons 218M€ de dépenses sociales cette année alors que nous n’avons jamais dépassé les 200M€ auparavant. »

Fusion Grand delta habitat-Vallis habitat : « Le présent nous donne raison. »

Par ailleurs, la présidente du Conseil départemental s’est félicitée d’avoir pu mener à bien la fusion des bailleurs sociaux Grand delta habitat-Vallis habitat. « Loin des positions dogmatiques, nous avons cherché la meilleure solution. Au vu de la situation actuelle, je ne sais pas GDH (Grand delta habitat) l’aurais repris, s’interroge en toute franchise Dominique Santoni. Aujourd’hui, le présent nous donne raison car GDH tient ses engagements et cela fonctionne pour des locataires qui attendaient des travaux depuis longtemps et qui vont être les premiers à bénéficier de la baisse des charges. »

Vaucluse ingénierie : la boîte à outils des petites communes vauclusiennes
Autre priorité de la présidente : le soutien aux communes de Vaucluse.
« Nous constatons également que les communes, notamment les plus petites, ont du mal à porter leur projet car elles ne disposent pas toujours des ressources internes pour mener à bien ces dossiers qui sont bien souvent assez complexe, poursuit la présidence. C’est pour cela que nous avons créé Vaucluse ingénierie afin de leur apporter une aide technique. »

« Si les communes de Vaucluse se portent bien, c’est tout Vaucluse qui se porte bien. »

Suite à son lancement officiel en mars dernier, la structure regroupant une vingtaine de partenaires, accompagne maintenant 66 projets, dont 73% proviennent de communes vauclusiennes de moins de 2 000 habitants. Sorte de guichet unique, Vaucluse ingénierie constitue aussi une porte d’entrée pour la recherche de solutions de financement que ce soit dans le cadre des dispositifs d’aide de l’Etat, de la Région Sud ou bien encore de l’Europe.
« Pour nous, cet accompagnement des maires est un vrai enjeu. Il faut que les communes soient soutenus par le Département, car si en les aidant les communes de Vaucluse se portent bien, au final c’est aussi le département de Vaucluse qui se porte bien »

Pas de mise en concurrence grâce à la SPL Territoire 84
Et pour mieux accompagner les communes, le Département dispose d’autres outils comme la SPL Territoire 84 créé en 2014. Là aussi, il s’agit d’aider les municipalités à réaliser leurs projets d’urbanisme, d’aménagement ou de construction. Mais pour cela, et contrairement à Vaucluse ingénierie, les communes doivent rentrer dans le capital de la SPL (Société publique locale) pour bénéficier de ses conseils. Depuis le début de l’année, une trentaine de communes ont rejoint les 40 villes vauclusiennes qui font déjà appel à SPL Territoire 84. L’avantage pour ces dernières est que ce statut juridique permet d’utiliser un outil d’aménagement et de gestion sans mise en concurrence.

Ça bouge chez Citadis
Enfin, dernier outil d’aménagement du Département : la SEM Citadis. Figurant parmi les plus anciennes SEM (Société d’économie mixte), Citadis a vu le jour en 1960 à l’initiative du Département de Vaucluse et de la Ville d’Avignon. Au fil du temps, la structure qui assure principalement l’étude et la réalisation d’opérations d’aménagement a vu son actionnariat s’étoffer avec le temps. Cependant, avec le désengagement de la Ville d’Avignon, le Département va voir son poids augmenter dans le capital de Citadis à partir du 1er janvier 2024.
Un rééquilibrage qui va aussi profiter à la Banques des territoires ainsi que, dans une moindre mesure, au Grand Avignon, à Grand delta habitat ou bien encore la CCI de Vaucluse (voir détail de la répartition du capital ci-dessous).
« Nous avons entamé une réflexion afin d’orienter davantage Citadis vers la réalisation de projet culturel, et notamment audiovisuel, ainsi que de santé », précise Dominique Santoni.

La répartition du capital de Citadis devrait être modifiée à partir du 1er janvier prochain.

Uniforme à l’école et limitation à 80km/h
Enfin, en marge de cette rencontre, Dominique Santoni est revenue sur deux dossiers avec la même logique.
Le premier : l’uniforme à l’école : « A titre personnel je suis pour. Mais il faut savoir ce que veut l’Etat concrètement, notamment en termes de prise en charge financière. Une fois précisé on peut envisager une expérimentation ».
Même cas de figure pour la limitation de vitesse sur les routes : ‘L’Etat nous a imposé le passage à 80km/h. S’il veut revenir en arrière, à lui d’être clair sur le sujet et à financer les panneaux que nous avons déjà dû payer. »


En visite chez GSE, la CPME dévoile le salon ‘Made in PME sud’

Alors que le groupe Europe Linge Service (ELIS) a fait appel à GSE pour construire sa nouvelle blanchisserie industrielle à Rousset, près d’Aix-en-Provence, le groupe spécialisé dans l’immobilier d’entreprise continue son développement à l’international.

Installée dans une zone industrielle en plein développement, à proximité de l’A8, et desservant l’ensemble de la métropole marseillaise, la blanchisserie industrielle commandée par ELIS s’étendra sur 11 000 m2, dont 900 m2 de bureaux. Elle sera équipée de panneaux photovoltaïques en ombrières sur parking, pour une surface globale de 2 645 m2 et une production estimée à 610 MWh par an.

« Ce projet de Rousset est la 6ème réalisation de GSE pour ELIS depuis 2017, après les usines de Toulouse, Aix-les-Bains, Clisson et Saint-Geours-de-Maremne en France et de Barcelone en Espagne, explique Lionel Legouhy, directeur développement chez GSE. Il constitue une marque de confiance forte de la part d’ELIS dans la capacité d’accompagnement de GSE pour ce type de projets industriels complexes et avec de forts enjeux en termes de rapidité de construction ».

La livraison du bâtiment est prévue pour janvier 2024.

En Italie, GSE lance la construction d’un nouveau bâtiment logistique

La construction de ce nouvel ensemble industriel, sur un terrain de 140 000 m2, a été confiée à GSE Italie par P3 Logistic Parks. Le projet comprend la construction d’un entrepôt logistique de 38 000 m2, ainsi que divers travaux de réaménagement urbain. Le bâtiment, qui reposera sur des plots isolés, bénéficiera d’une structure en béton armé préfabriquée, avec un revêtement de sol industriel et des façades en panneaux sandwich soutenus par une ossature métallique.

En ce qui concerne la toiture, c’est un système semi-plat de type Bac-Acier, introduit en Italie par GSE dans les années 90 et aujourd’hui devenu la norme du marché en raison de ses caractéristiques d’isolation thermique et d’étanchéité à l’air, qui sera utilisé. La toiture accueillera également des panneaux photovoltaïques, d’une puissance d’environ 2 200 kW. Le bâtiment vise à obtenir la certification de durabilité BREEAM de niveau Excellent.

L’achèvement des travaux est prévu pour décembre 2023 © P3 Logistic Parks

Le projet comprend également la réalisation de plusieurs aménagements urbains : environ 200 mètres de route seront refaits, avec une révision de la circulation, ainsi que la construction de deux nouveaux ponts routiers. GSE Italie a prévu que le complexe soutienne le développement des mobilités douces en créant un nouvel arrêt de bus et une nouvelle tranche de piste cyclable de 1,1 km, équipée de deux passerelles piétonnes.

« L’attribution de ce premier contrat par P3 en Italie est une immense fierté pour l’ensemble des équipes de GSE Italie, déclare Charlène Castellano, directrice du développement des affaires de GSE Italia. Elle souligne nos valeurs fondamentales telles que la capacité d’écoute, l’anticipation des enjeux et la recherche de la meilleure performance pour atteindre la satisfaction de notre client et des futurs occupants des bâtiments ». L’achèvement des travaux est prévu pour décembre 2023.

GSE poursuit son développement en Espagne

Présent en Espagne depuis 1998, GSE vient de livrer à Merlin Properties, société espagnole d’investissement immobilier, sa nouvelle plateforme logistique dans le parc industriel « Cabanillas Park ! ». D’une superficie globale de 44 637 m2 et d’une hauteur libre de stockage de 11 mètres, ce nouvel entrepôt, situé entre Madrid et Guadalajara, dispose de 67 quais de chargement, ainsi que d’espaces de bureaux sur trois étages de 332 m2 chacun.

Selon Ramón Lázaro, directeur commercial de GSE Espagne : « Toutes les équipes de GSE Espagne sont fières, grâce à leur travail en étroite collaboration avec le client, de livrer à Merlin Properties un actif logistique bénéficiant de conditions idéales pour permettre aux clients finaux d’exercer leur activité dans un environnement optimal ».

Nouvel entrepôt logistique pour MERLIN Properties à Madrid © GSE

L’entreprise vient également de lancer à Masquefa, dans la province de Barcelone en Catalogne, le chantier de G-Park Masquefa, 4ème investissement de GLP, fournisseur mondial de logistique immobilière, dans la région. Ce nouvel ensemble, bâti sur un terrain de 55 452 m2, abritera une plateforme logistique d’une superficie locative brute de 28 828 m2. Le projet disposera de 37 quais de chargement et d’une hauteur de stockage de 12,2 mètres.

Située à un peu plus d’une demi-heure de l’aéroport international Barcelone-El Prat et à 40 kilomètres de la capitale catalane, la plateforme logistique bénéficie d’un emplacement idéal pour la distribution locale et nationale à partir de Barcelone. Visant la certification BREEAM Excellent, le parc disposera d’une installation de panneaux photovoltaïques ainsi que des chargeurs de vélos et de véhicules électriques.

Site du futur ensemble logistique pour GLP à Barcelone © GSE

« Ces deux nouveaux projets témoignent du dynamisme de notre activité en Espagne et de la forte implantation de GSE sur le marché ibérique », souligne Ramón Lazaro. « Le marché de l’immobilier logistique est particulièrement dynamique en Espagne avec une forte croissance ces dernières années, poussée par une demande importante en partie portée par le développement e-commerce ».

GSE mise sur le béton décarboné

Alors que la construction compte parmi les secteurs les plus polluants, le secteur réalisant 23% des émissions de gaz à effet de serre chaque année en France et 38% à l’échelle mondiale, le Groupe GSE a décidé de recourir au béton bas carbone sur l’ensemble des dallages de ses nouveaux projets dès la fin de l’été 2023.

« L’idéal, et nous en sommes conscients, serait de pouvoir se passer totalement du béton, qui reste l’un des matériaux les plus carbonés, dans nos constructions, et le remplacer par d’autres matériaux, comme le bois, analyse Marc Esposito, directeur du Lab GSE. Le fait est que nous ne pouvons pas éliminer complétement l’utilisation du béton dans les chantiers de bâtiments industriels, car cela compromettrait la solidité et la fonctionnalité des structures. Cependant, nous avons la responsabilité de travailler activement à décarboner autant que possible le béton utilisé, afin de minimiser son impact environnemental ».

Le béton représente entre 20 et 25% des matériaux d’un bâtiment, alors qu’il reste très polluant à cause des émissions de CO2 issues du ciment et de ses dérivés. Le béton bas carbone, quant à lui, permet de remplacer le produit le plus carboné du ciment, le clinker, par un matériau tiré de l’économie circulaire à partir du recyclage d’anciens déchets.

Ses caractéristiques techniques s’adaptent aux contraintes des dallages des bâtiments logistiques (dallages industriels et les dallages sans joints) et il ne se dégrade pas dans le temps, bénéficiant de la même qualité que le béton classique. Il affiche moins de 180 kg de CO2 émis par mètre cube, alors que le béton classique peut en créer jusqu’à 280 kg au mètre cube.

Ses multiples avantages permettent de réduire jusqu’à 10% l’empreinte carbone globale du bâtiment. Des résultats encourageants, même si GSE ne compte pas s’arrêter là et espère aller plus loin en développant de nouveaux outils et en utilisant de nouveaux matériaux permettant une décarbonation encore plus importante. Le Groupe a notamment lancé de nouvelles expérimentations sur la construction sans béton, avec de nouveaux matériaux biosourcés.


En visite chez GSE, la CPME dévoile le salon ‘Made in PME sud’

GSE, spécialiste de l’immobilier d’entreprise, annonce un chiffre d’affaires d’un milliard d’euros sur l’exercice 2022-2023. La société basée dans la zone d’activités de l’aéroport d’Avignon poursuit sa croissance après avoir réalisé 743M€ sur l’exercice précédent de 2021-2022.

Avec plus d’un million de mètres carrés construits, ce dynamisme s’affiche aussi bien en France où GSE développe une offre logistique spécialisée et une offre multiproduit à travers son réseau régional, qu’à l’étranger qui représente aujourd’hui 50% de l’activité (principalement en Allemagne, Espagne, Portugal, Italie, Roumanie ainsi qu’en Chine).

« Cette croissance, dans une conjoncture complexe, démontre la capacité de résistance et le dynamisme de GSE, dans un marché en pleine mutation, explique Roland Paul, président de GSE. Cette nouvelle performance, malgré un contexte de forte augmentation des coûts (de l’ordre de 13% à 17%), confirme le développement de notre activité. Ce résultat est le fruit du professionnalisme, de l’expertise et de l’engagement de l’ensemble des équipes de GSE mais aussi et surtout de la confiance de nos clients. »

Maintien du CA dans les années à venir
Par ailleurs, la prise de commandes sur ce même exercice 2022-2023, dépasse aussi le milliard d’euros. De quoi offrir une base solide à la société vauclusienne fondée en 1976 deux frères architectes Jean-Pierre et Michel Hugues pour envisager le bon maintien du chiffre d’affaires sur l’année à venir.

Présente lors de la dernière Semaine de l’innovation du transport et de la logistique (SITL) qui s’est tenue fin mars au parc des expositions de Paris, l’entreprise rappelait que « le marché de la logistique avait connu une croissance sans précédent ces dernières années ». GSE a ainsi livré en France au cours de l’exercice 2021-2022, 18 projets logistiques, totalisant près de 800 000 m², et un carnet de commandes de près de 300M€.

Le projet de construction d’une Gigafactory pour McPhy à Belfort. GSE prévoit une livraison au premier semestre 2024 pour ce bâtiment HQE de 22 200m², dont 18 500 m² dédiée à la fabrication d’électrolyseurs de grande capacité.

Parmi ces projets, le nouvel entrepôt logistique du Groupe SEB, d’une surface de 100 000m² à Bully-les-Mines dans le Pas-de-Calais, la plateforme logistique portuaire de 43 700m² sur le port de Dunkerque pour la Société de développement axe Nord (SDAN), la gare de fret de 12 600m² au cœur de l’aéroport de Paris Charles-de-Gaulle pour ADP, le centre logistique et siège social pour la centrale Scadif, d’une surface de 74 500m² à Réau en Seine-et-Marne.
Au-delà de son positionnement sur le marché hexagonal, GSE est également présent sur les projets logistiques en Europe et en Chine.
Passée sous le giron de l’Allemand Goldbeck* en 2019, la société GSE compte plus de 600 collaborateurs répartis dans 6 pays en Europe et en Chine, dont 15 implantations en France.
Par ailleurs, GSE vient de se voir attribuer pour la quatrième année consécutive, le niveau Platinium, le plus haut niveau accordé par EcoVadis, agence de notation évaluant les bonnes pratiques en matière de RSE (Responsabilité sociétales des entreprises). GSE figure ainsi parmi le 1% des entreprises les plus performantes en la matière.

*Leader sur le marché européen de la construction clé en main avec un CA de près de 7 milliards d’euros, employant plus de 10 000 personnes sur plus de 90 sites.


En visite chez GSE, la CPME dévoile le salon ‘Made in PME sud’

Amoéba, société lyonnaise spécialisée dans les solutions biologiques dans le traitement du risque microbiologique, vient de déposer une demande de permis de construire pour la réalisation d’une usine de plus 3 000 m2 à Cavaillon. Le futur site industriel, qui doit être opérationnel début 2025, sera destiné à produire un agent de biocontrôle pour le traitement des plantes en agriculture et un biocide biologique pour le traitement de l’eau industrielle.

Cette annonce s’inscrit dans le cadre du plan d’industrialisation élaboré par Amoéba visant à atteindre une capacité de production de 200 tonnes de produits finis – soit 40 tonnes de substance active – en vue de couvrir les marchés ciblés prioritaires, à savoir la vigne, les cultures maraîchères et les plantes aromatiques. Pour garantir la réussite de ces objectifs, une montée en charge progressive implique également la création d’une nouvelle ligne pilote réplicable qui est actuellement en cours sur le site historique de Chassieu.

23M€ d’investissement et 25 emplois créés
Au total, le projet industriel d’Amoéba, société cotée sur Euronext Growth et membre du réseau BPI Excellence, représente un coût de 45M€ (23M€ en investissements et 22M€ en dépenses opérationnelles) pour les deux prochaines années. A terme, 25 emplois à temps plein devraient être créés sur le site de Cavaillon au sein de cette future unité de production qui doit s’intégrer au projet de création ‘Natura’lub’, une zone d’activités entièrement dédiée à la naturalité située la zone d’activités des Hauts Banquets dans le cadre de l’Opération d’intérêt régional (OIR) Naturalité lancée en 2017 en partenariat avec le Région Sud notamment.

(Vidéo) Amoéba : comment ça marche ?

« A travers ce projet, Amoéba est fière de contribuer aux objectifs de réindustrialisation de la France et de transition agroécologique, par l’anticipation des mutations économiques et sociétales en matière de traitement des plantes et la construction d’une agriculture plus viable et plus saine, explique Hervé Testeil, directeur industriel de la société fondée en 2010. Après une année remarquable sur le plan réglementaire en 2022, Amoéba entame avec détermination l’année de son industrialisation aux côtés d’une équipe très impliquée et volontaire. Les travaux de ce projet industriel ambitieux devraient intervenir d’octobre 2023 à fin 2024, sous condition de l’obtention du permis de construire courant 2023. »

L’avignonnais GSE à la manœuvre
Confié à l’avignonnais GSE, la conception du projet devrait permettre de disposer, à terme, d’un d’un site industriel éco-responsable, respectueux de son environnement et autonome en énergie. Labellisé Eco Parc+, l’usine intègrera de nombreux critères écologiques : la préservation et la valorisation du paysage et de la biodiversité, le recyclage de l’eau industrielle, l’usage de la géothermie ou encore l’installation de panneaux photovoltaïques sur 60% de la surface des toits.


En visite chez GSE, la CPME dévoile le salon ‘Made in PME sud’

GSE, l’entreprise avignonnaise spécialiste de la construction immobilière d’entreprises, poursuit son développement international en Chine avec un nouveau projet pour l’entreprise danoise DSV logistics.

L’entreprise dont le siège social se situe à Agroparc, est en charge d’un nouveau projet logistique en Chine. C’est la société danoise DSV Logistics qui est à l’origine de la commande. Le groupe scandinave propose des services de transport et des solutions logistiques dans près de 80 pays à travers le monde. Ce sont donc des entrepôts logistiques qui seront construits pour répondre aux besoins de leurs clients à Jiaxing dans la province du Zhejiang.

Lire aussi : Un nouveau siège social pour GSE, fleuron de l’économie vauclusienne – Dossier

26 ans de présence en Chine
Ce nouveau projet est un ancrage de plus dans le développement économique en Chine et à l’international de l’entreprise avignonnaise présente depuis 26 ans déjà au sein de l’Empire du Milieu.
« Notre connaissance de l’écosystème chinois et notre forte implantation sur place nous ont permis de guider DSV tout au long du process d’implantation, explique Roland Paul, président de GSE. Travaillant en étroite collaboration avec les équipes de DSV basées localement et au siège de Copenhague, GSE a aidé DSV à sélectionner la parcelle la plus appropriée après analyse de l’ensemble des variables de développement. »

Modélisation des bâtiments logistiques construit par GSE pour DSV Logistics. DR

40 000m2 dédiés à la logistique
L’ensemble logistique de 40 000m2 comprendra deux entrepôts à double étage de 32 300m2 en plus d’un entrepôt de stockage de marchandises dangereuses d’environ 6 700m2 d’un seul étage. S’ajoutera un ensemble de bureaux sur quatre étages d’environ 1 200m2.
Les travaux et la conception sont déjà en cours et la livraison est prévue pour le second semestre de 2024. C’est une conception rapide qui est permise par une composition de de colonnes en béton coulées sur site, des coffrages métalliques et des poutres et panneaux préfabriqués. Le complexe vise la certification LEED GOLD (un label écologique nord-américain) grâce à ses panneaux photovoltaïques sur l’ensemble de la toiture, placés dans une idée de neutralité énergétique.

Maylis Clément


En visite chez GSE, la CPME dévoile le salon ‘Made in PME sud’

GSE, spécialiste Avignonnais de la construction d’immobilier d’entreprise, vient de délivrer « Mach2 », le premier centre logistique à deux étages d’Allemagne. D’une surface de 123 000 m2, érigé à proximité du port de Hambourg, « Mach2 » est considéré comme le projet phare du secteur de l’immobilier logistique allemand. Il s’agit de l’une des opérations de reconversion de friche industrielle les plus importantes.

Ce nouvel ensemble logistique, développé par GSE, dont le siège social se trouve à Agroparc à Avignon, se distingue par ses dimensions ainsi que ses capacités techniques : d’une surface globale de 123 000 m2 sur deux étages, la plateforme sera équipée de deux rampes d’accès chauffantes, prévues pour être utilisées par des camions allant jusqu’à 45 tonnes.

Le projet a été soumis à une procédure complexe concernant le permis de construire avant de pouvoir démarrer, notamment pour relever le défi constitué par les conditions de sol à proximité du port de Hambourg. En raison de la proximité du port, les conditions géotechniques ont requis une solution de fondation spéciale avec environ 26 000 colonnes à module contrôlé (CMC). Les équipes de GSE, racheté en 2019 par le groupe Allemand Goldbeck pour 127M€, ont pu rendre possible cette construction sur deux niveaux grâce à l’installation de portes plain-pied, ainsi que de quais niveleurs électrohydrauliques.

Dimensionné pour accueillir jusqu’à 300 poids lourds par jour, le bâtiment peut supporter une charge utile de 5 tonnes/m2 au rez-de-chaussée et 3 tonnes/m2 au 1er étage. L’ensemble dispose de 100 portes de chargement – 50 portes au niveau du hall inférieur et 50 autres au niveau du hall supérieur. La hauteur sous poutre atteint 10 mètres à l’étage inférieur et 10 mètres à l’étage supérieur.

Le bâtiment se compose de 14 cellules, 7 en rez-de-chaussée et 7 à l’étage supérieur (pour une surface globale de 51 000 m2 chacune). 6 200 m2 sont dédiés à des espaces de bureaux et de locaux sociaux. On y trouve également un niveau de parking d’environ 300 places sous la cour camion du 1er étage ainsi qu’un parking à vélos couvert pouvant accueillir 312 vélos.

Plan de coupe de « Mach2 » © DR

« En l’espace de trois ans, nous avons pu transformer un concept visionnaire en réalité. Nous sommes fiers d’avoir pu contribuer au succès, économique et technique, de ce projet logistique d’envergure à l’échelle européenne » confie Dany Brodhag, directeur général de GSE Allemagne. « Cette réussite a été rendue possible grâce à nos équipes en Allemagne, notre connaissance de l’écosystème économique et administratif et le savoir-faire de nos ingénieurs sur ces projets multiniveaux ».

J.R.


En visite chez GSE, la CPME dévoile le salon ‘Made in PME sud’

Modèle de RSE et de développement durable, l’entreprise avignonnaise GSE vient de tenir sa convention au centre des congrès du palais des papes. L’occasion pour la société basée dans la zone de l’aéroport de renouer avec le ‘présentiel’ en faisant le plein de la salle du conclave du monument gothique classé au patrimoine mondial de l’Unesco.
Il faut dire que l’attente était grande pour les équipes du contractant général spécialisé dans la conception et la construction de bâtiments logistiques, industriels ou d’activités clef en main après deux ans de report en raison de la crise sanitaire du Covid.
La société vauclusienne, récemment classée parmi les 1% d’entreprises les plus performantes pour sa stratégie RSE, a ainsi réuni ses collaborateurs sur le thème de ‘La construction durable et éco-responsable’ dont son nouveau siège est un modèle du genre.
Dans ce cadre, Roland Paul, président de GSE, et Jan-Hendrik Goldbeck, PDG du groupe de construction allemand qui l’a repris début 2020, ont présenté les objectifs du groupe. Le tout avec la participation de Yann Arthus-Bertrand.

L.G.

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