24 avril 2024 |

Ecrit par le 24 avril 2024

Soroptimist, La femme dans la société s’appartient-elle ? Pas sûr !

Les Soroptimist proposaient hier de regarder le film ‘Made in Bangladesh’ au cinéma Le Vox à Avignon puis d’assister à un débat sur la place de la femme dans la société. En moins de 45 mn, les oratrices ont démonté ‘les pièges’, décodant les us et coutumes d’une société faussement égalitaire. Une initiative de Christine Martella, Conservatrice générale du patrimoine et des Archives départementales et présidente de la Sororité avec Isabelle Colombari, référente égalité fille-garçon à l’Académie Aix-Marseille, Anne-Laure Leblanc fondatrice du cabinet d’expertise-comptable Houston 31, et la complicité de Sandra Vich, femme cheffe d’entreprise. Au final ? Prise de conscience et feuille de route. Jubilatoire et alarmant…

En résumé ? Les injonctions -inconscientes ?- de la société faites aux femmes placent celles-ci derrière l’homme depuis toujours. A tel point qu’elles conçoivent d’immenses difficultés à prendre la parole, à se faire confiance et à s’estimer. Comment faire bouger les lignes ? En travaillant à la marge ! Pourquoi ? Parce que le monde de demain sera régi par les mathématiques et les algorithmes, sciences d’où les femmes sont les grandes absentes. Dans ce cas quelle sera la place de la femme dans un univers conçu par l’homme pour l’homme ? Voilà, vous avez compris le problème…

De gauche à droite, Isabelle Colombari, Sandra Vich et Anne-laure Leblanc

Prendre conscience du vide abyssal
Le changement de perception de la femme dans la société ? Il ne pourra se faire que depuis le regard de la société sur la femme, et notamment depuis ses plus jeunes années, parce que, de façon immémoriale et inconsciente, l’éducation reste genrée. C’est-à-dire ? Aujourd’hui encore les filles ‘paraissent’ tandis que les garçons sont poussés à l’action. Extraits.

Voir, entendre, comprendre et surtout… Agir
«Dans la charte nationale de la laïcité, le point 9 déclare garantir l’égalité entre les filles et les garçons. Il faut donc faire le parallèle entre les filles et les garçons a entamé Sandra Vich, la modératrice du débat, past présidente des FCE Région et Avignon, recevant Isabelle Colombari, agrégée, référente de l’Académie d’Aix-Marseille en charge de l’égalité fille-garçon et Anne-Laure Leblanc, fondatrice de Houston 31, cabinet d’expertise comptable sur l’invitation de Christine Martella, Conservatrice en chef des Archives départementales et présidente des Soroptimist international Avignon.

Anne-Laure Leblanc

Anne-laure Leblanc co-fondatrice de Houston 31, cabinet d’expertise-comptable, et vice-présidente des FCE Vaucluse (Femmes cheffes d’entreprise) a souhaité faire le lien avec la place de la femme dans le monde du travail.
«Je me suis demandé quand, pour la 1re fois, j’avais réfléchi à la place de la femme dans la société. C’était lorsque j’étais sapeur-pompier et que j’ai rédigé un mémoire sur la place de la femme chez les sapeurs-pompiers. Tout au long de ma carrière je me suis battue pour ma place. Dans le privé, alors que je faisais partie des cadres régionaux de l’entreprise, j’ai appris plus tard que j’étais payée 30% moins que mes homologues. C’est à partir de là que j’ai pris position. Je suis, depuis 11 ans, cheffe d’entreprise dans un monde et une région très traditionnels. Ainsi, de façon tout aussi traditionnelle, on s’adresse plus à mon associé masculin qu’à moi-même. Une anecdote ? Alors que mon collaborateur et moi-même recevions un apprenti pour l’embaucher, et que nous nous étions dument présentés, moi cheffe d’entreprise et lui mon collaborateur, l’apprenti s’est exclusivement adressé à lui, m’ignorant tout au long de l’entretien qui a duré 45mn.»

Les femmes jouent collectif alors que les hommes savent aussi jouer personnel
«On nous apprend à jouer collectif mais pas à jouer personnel, analyse Anne-Laure Leblanc. Au fil des années ? On a appris que respecter les règles c’est se faire avoir, alors on change de posture parce que le positionnement d’un homme, lui, ne se discute pas. Je me suis mise à prendre la parole sans attendre que ‘l’autre’ ait fini de parler, pour pouvoir m’imposer. C’est un travail constant, qui a consisté à imposer ma présence. Je pense aussi que les femmes seront elles-mêmes lorsqu’elles se passeront de l’approbation de leur entourage.»

Des métiers très genrés
«En Vaucluse, 25% des femmes sont cheffes d’entreprise dont 15% à la tête de société de plus de 10 collaborateurs, se remémore la dirigeante. Elles sont également aux manettes de sociétés très genrées : esthéticienne, coach… Dans le monde économique, elles sont très peu nombreuses à détenir des mandats patronaux ou électoraux…»

Sandra Vich

La parole, coupée ou pas coupée ?
Sandra Vich, past-présidente des FCE Région et Vaucluse, à la tête de l’agence de communication éponyme s’interroge : «La prise de parole des femmes à l’école, au sein de l’entreprise, et dans les instances reste très difficile ainsi, nous avons toutes vécu le fait d’être interrompues. La parole est coupée très facilement tandis que dans une assemblée accueillant plus de femmes que d’hommes, ce fait ne se produira pas. Cela interroge sur la prise de parole de la femme dès sa petite enfance et tout au long de sa vie. Dans la vie publique, on propose également souvent la place de suppléante à une femme. A la femme de dire qu’on peut aussi lui proposer une place de leader. Mais cela revêt une autre réalité car, si la femme est cheffe d’entreprise, elle porte aussi la famille, l’éducation des enfants et l’organisation de la maison. Si ce temps est partagé avec son compagnon, et donc réduit de moitié pour elle, alors elle pourra dégager plus de temps pour d’autres activités.»

Isabelle Colombari

Tout commence à l’école
Isabelle Colombari, agrégée, inspectrice d’académie, référente égalité fille-garçon à l’Académie Aix-Marseille 
«Ma mission ? Elle consiste à participer à la formation des enseignants sur une réflexion de leurs postures et gestes professionnels quotidiens par rapport à l’égalité. L’autre partie de mon action est de communiquer et de faire savoir les actions entreprises dans leur vie quotidienne.»

Ouvrir la bouche
«Le quotidien Le Monde a sorti, pendant le confinement, les résultats du concours de l’ENA (Ecole nationale d’administration). Le recrutement pendant le confinement ne s’est basé que sur l’écrit. Il n’y a pas eu d’oraux. C’est la seule fois où les femmes ont fait jeu égal avec les hommes. Pourquoi ? Parce que le taux de réussite des femmes s’effondre à l’oral pour n’obtenir que 25% à l’ENA par exemple. Cela pose de nombreuses questions et notamment celle des jurys, ont-ils les mêmes attentes pour les femmes que pour les hommes ? Il est probable que non.»

Se préparer
«Les femmes ont besoin de travailler l’oral pour être aussi performantes que les hommes, relève la chargée de mission. De même, à poste équivalent une femme ne postulera que si elle colle à 100% aux caractéristiques demandées alors qu’un homme se dira : ‘J’y vais !’. Un exemple ? Najat Vallaud-Belkacem (ancien ministre de l’Education nationale) voulait qu’il y ait autant de recteurs femmes que d’hommes. Elle raconte que lorsqu’elle les appelait au téléphone elle n’avait fini sa phrase que les hommes disaient ‘d’accord’, alors que les femmes discutaient toujours sans formuler de décision, 15 minutes après le début de l’appel.»

Dès les premières années
«A l’école, analyse Isabelle Colombari, les filles ne sont pas encouragées de la même façon que les garçons. Des études statistiques ont été menées relevant que le professeur interrogera plus facilement une fille pour la révision d’une leçon -car les filles sont bonnes élèves- alors qu’il interrogera plutôt un garçon pour une nouvelle leçon. Les filles ne prennent pas la parole tant qu’on ne la leur donne pas, elles lèvent la main mais tout en s’impatientant, attendent. Alors que les garçons prendront la parole tout de suite sans lever la main. De guerre lasse l’enseignant laissera faire, même si le garçon n’a pas été autorisé à parler. Ce que cela révèle ? La fille ne parle pas tant qu’elle n’y est pas autorisée, tandis que le garçon fait plier la règle par l’action, et c’est ce qui se passer dans la vie professionnelle. Également, et depuis aussi loin que l’on peut remonter dans le temps, les métiers détenus par une majorité de femmes sont dévalorisés, à tel point qu’aucun homme ne veut y entrer à nouveau afin de ne pas être dévalorisé socialement et de ne pas avoir à prouver sa virilité.»

« Les trentenaires sont très impliquées dans leur rôle sociétal et économique, le congé parental partagé avec le conjoint va participer à changer la donne, auprès de l’enfant mais aussi donner plus de place à la femme dans la société » Isabelle Colombari, inspectrice d’Académie.

Sur le terrain,
«En janvier,  je me lancerai sur l’étude des bulletins de 1 000 élèves d’un collège à Salon-de-Provence, prévient Isabelle Colombari. Je voudrai savoir si, pour les mêmes notes, au même niveau, un professeur dit la même chose à un garçon qu’à une fille, en mathématiques, en dessin, en sport… Et puis il y a les injonctions sociales inconscientes. 95% du personnel enseignant sont des femmes. Cela s’explique par 4 mois de vacances par an et le mercredi de libre. Les femmes y vont en se disant que c’est parfait pour concilier vie professionnelle et familiale. Cela veut dire qu’inconsciemment, elles ont déjà projeté qu’elles pourraient mieux s’occuper de leur famille en faisant ce métier. Enfin, le monde de demain sera fondé sur les algorithmes et les mathématiques. Si ce monde n’est conçu que par les hommes il ne sera fait que pour les hommes.»

Pour elles
Pour cette soirée, Ranga Ariapouttry  et son épouse, fondateurs de l’association Adaïkalam qui soutient l’orphelinat La maison d’Agathe à Pondichéry en Inde, avaient choisi de présenter le film ‘Made in Bangladesh’. En effet, le drame de l’effondrement de l’immeuble du Rana Plaza en avril 2013 -plus de 1100 morts- avait mis en lumière la terrible condition des ouvrières du textile au Bangladesh. Ce pays est devenu en quelques années l’un des ‘ateliers de confection’ de la planète, répondant à l’appétit insatiable des consommateurs occidentaux, aiguillonnés par les grandes marques, pour nourrir la ‘fast fashion’. Dans son film Rubaiyat Hossain brosse un tableau édifiant, mais sans manichéisme, de la vie de ces ouvrières, entre oppression économique et domination patriarcale.» 

Ranga Ariapouttry, fondateur avec son épouse de l’association Adaïkalam pour soutenir l’orphelinat de petites filles indiennes à Pondichéry, en Inde.

Parole d’homme
«Ce à quoi j’ai été sensible dans ce film ? Au fait qu’il y ait un dominé et un dominant, constate Ranga Ariapouttry. L’Inde a été dirigée par une femme (Ndlr : Pratibha Patil de juillet 2007 à 2012). Une cheffe d’Etat ? C’est très rare. Et pourtant elle n’a pas pu changer grand-chose. Lorsque le système est installé, il est très difficile à changer. Lors d’une séquence du film, alors que le patron fait face à la syndicaliste et met beaucoup d’argent sur la table, c’est de corruption dont il s’agit. Indirectement il lui dit d’arrêter, de ne pas créer son syndicat. Le changement réclame du temps.»  Ndlr : Made in Bangladesh’ évoque la naissance d’un syndicat de femmes au cœur d’une usine où règnent patron et contremaîtres. 1 650 tee-shirts sont cousus par jour et par ouvrière alors que la vente, en Europe, de 3 tee-shirt, représente le salaire mensuel d’une ouvrière indienne. Lors d’une visite de l’atelier, les acheteurs européens et américains demandent une baisse des prix tandis qu’un autre s’enquiert d’une éventuelle issue de secours. Le patron les rassure, oui à la baisse des prix et oui l’issue de secours. Dans les faits ? Les heures supplémentaires des ouvrières ne sont pas payées et les salaires mensuels sont parfois reportés d’un mois voire, restent impayés. Les contrats de travail n’existent pas, l’employé pouvant être licencié sans être payé et sans motif. Pire, l’État, en connivence avec les dirigeants d’usine, ne valident pas la création des syndicats.

Aider les petites filles à devenir des femmes accomplies
Le Soroptimist Avignon soutient depuis cinq ans la Maison d’Agathe, un orphelinat dévolu au recueil de petites indiennes de Pondichéry. La structure qui ne bénéficie d’aucune aide, a été fondée par Ranganathan Ariapouttry, professeur de yoga originaire de la ville indienne et son épouse, médecin avignonnaise, tous deux fondateurs de l’association Adaïkalam (le refuge, en Tamoul) en souvenir de leur fille Agathe. Ainsi, en se rendant et en participant à cette soirée, les personnes présentes soutenaient financièrement le destin de ces petites filles et jeune-femmes éduquées pour devenir libres et autonomes.

Les orphelines indiennes reçoivent une éducation complète à la Maison d’Agathe, école, musique, littérature, anglais…

Soroptimist, La femme dans la société s’appartient-elle ? Pas sûr !

Le cabinet d’expertise comptable avignonnais Houston 31 et le Centre de formation sophrologie développement viennent de proposer une conférence-débat sur le thème ‘Comment être prêt pour l’après ?’. Une question que de nombreux entrepreneurs se posent actuellement en raison de la crise sanitaire que nous traversons et des conséquences qu’elle peut avoir sur leur activité, leurs collaborateurs et même leur moral.

« Nous avons vécu des incertitudes qui ont pu angoisser les dirigeants par manque de perspective, constate Anne-Laure Leblanc co-fondatrice et associée de Houston 31. La crise sanitaire a fait des ravages dans les entreprises françaises, causant ainsi des dégâts non négligeables en termes de pilotage, de ressources humaines, de gestion financière… »
« Cette crise a touché tout le monde, y compris ceux qui pensé être à l’abri, complète Jean-Baptiste Germain, consultant RH et affaires sociales chez Houston 31. Cette crise a d’abord été sanitaire, puis c’est devenu une crise économique avant d’être aussi une crise sociale et de confiance. »
« Une crise, c’est la peur, insiste Sylvie Bertrand, directrice du Centre de formation sophrologie et développement (CFSD) basé à Avignon. Même pour ceux qui n’avaient aucunes raisons. Notre cerveau n’aime pas la nouveauté. Soit il n’y a plus de boulot, soit il y en a trop : cela demande une adaptabilité »
« C’était une crise que personne n’a vu venir et sur laquelle nous n’avions pas de prise », rappelle Anne-Laure Leblanc.

Résoudre tous les aspects
Animé par le journaliste et producteur de radio et de TV Didier Bailleux, cette matinée qui s’est déroulée devant près d’une cinquantaine d’entrepreneurs locaux, s’est distinguée par sa volonté de réunir des experts provenant de milieux complètement différents.
« On fait appel à des professionnels pour les problèmes financiers, on peut aussi le faire pour ‘le mal à l’âme’, » poursuit Sylvie Bertrand qui forme les futurs sophrologues depuis plus de 18 ans maintenant.
« Il faut mettre de l’humain dans les rouages et ne pas se limiter au seul rôle d’expert-comptable car pour développer son entreprise et sortir de la crise, il est important de résoudre tous les aspects, qu’ils soient humains, financiers, managériaux », complète Anne-Laure Leblanc dont le cabinet propose de nombreux services pour accompagner au mieux les dirigeants dans le développement de leur performance et de celle de l’entreprise, en prenant notamment en charge toutes les fonctions du ‘board’.

Quels enseignements tirés de cette crise ?
« Nous avions à faire à 3 profils d’entrepreneur : les techniciens, les gestionnaires et les commerciaux, explique Anne-Laure Leblanc. Au final, ce sont les généralistes qui ont le mieux passé cette période et pas les gestionnaires ou les techniciens. »
« Ce qui se sont fait accompagner ont aussi mieux traversé cette crise », poursuit celle qui a notamment été contrôleuse de gestion au sein du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) des Yvelines.
« Ceux qui vont se sortir de cette crise sont ceux qui sont prêts à se transformer, à être dans l’action et ne pas subir, assure Sylvie Bertrand. Prendre ce processus de changement à bras le corps, cela peut déboucher sur de jolie chose. »
Autre enseignement : « Le télétravail a aussi permis de se rendre compte de l’importance de ses collègues, complète Jean-Baptiste Germain. La réunion ‘zoom’ ne remplacera jamais la machine à café. »
« Les salariés demandent du lien social » martèle cet ancien capitaine de la Légion étrangère.

Préparer la prochaine crise
«  Ce qui en ressort c’est qu’il ne faut pas hésiter à se doter d’outils qui permettent de prendre du recul : outil de dialogue dans l’entreprise, accord avec les partenaires, suivi de trésorerie », précise Anne-Laure Leblanc.
« Il faut préparer déjà la prochaine crise, prévient Jean-Baptiste Germain, même s’il n’est jamais agréable de se dire qu’il faut anticiper les difficultés. En tout cas, ceux qui l’ont fait s’en sont mieux tirés. »
Et pour cela les différents intervenants de cette conférence-débat estiment à l’unisson qu’il est indispensable d’associer les compétences.
« Il y a 2 ans nous nous n’aurions pas forcément propose cet accompagnement humain alors que c’est une évidence aujourd’hui », constate Jean-Baptiste Germain. « La sophrologie a pris une place très importante aujourd’hui dans les entreprises », a conclu Sylvie Bertrand.

RDV gratuit pour un audit personnalisé
Dans cette perspective, Houston 31 et le CFSD propose de prendre des rendez-vous afin d’évoquer ces problématiques individuellement. « Il s’agit de rencontres gratuites afin de réaliser une sorte d’audit pour déterminer précisément les besoins et les attentes du dirigeant. »
Pour cela 3 dates sont proposées : les jeudi 8 juillet, mardi 20 juillet et mardi 7 septembre.
Contact : 04 90 89 70 10 ou allo@houston31.com


Soroptimist, La femme dans la société s’appartient-elle ? Pas sûr !

Quand la sophrologie se conjugue à la gestion d’entreprise. ‘Comment être prêt pour l’après ?’, c’est le titre de la conférence-débat organisée le 1er juillet à 8h30 au campus de la CCI Vaucluse. A la manœuvre: Anne-Laure Leblanc, dirigeante de Houston 31 et consultante en pilotage et gestion d’entreprises ; Sylvie Bertrand, dirigeante du CFSD, sophrologue spécialiste en prévention et régulation du stress en entreprise et Jean-Baptiste Germain, médiateur professionnel et consultant en ressources humaines.

Ce qui différencie cette conférence-débat de toutes les autres ? Cette association d’experts que tout semble opposer. Du médiateur à la sophrologue, en passant par la consultante en pilotage et gestion d’entreprise, tous les thèmes inhérents au monde du travail seront abordés. « La crise sanitaire a fait des ravages dans les entreprises françaises, causant ainsi des dégâts non négligeables en termes de pilotage, de ressources humaines, de gestion financière, de management… C’est pourquoi le Centre de formation de sophrologie et développement (CFSD) et Houston 31 s’associent pour apporter des solutions concrètes aux dirigeants le temps d’une conférence ».

Cette conférence, qui aborde le thème de ‘l’impact et les conséquences de la crise’ vise à apporter des solutions efficaces aux dirigeants présents. « Pour développer son entreprise et sortir de la crise, il est important de résoudre tous les aspects, qu’ils soient humains, financiers, managériaux etc. C’est pour cela que les experts interviendront pour allier les aspects humains, RH et le pilotage de l’entreprise. Ils analyseront également des cas concrets pour répondre aux interrogations des dirigeants. »

Animée par le journaliste Didier Bailleux, la conférence commencera à 8h30 et se poursuivra pendant 1 heure avant de laisser place à une demi-heure d’échanges entre les intervenants et les participants. A partir de 10h00, les invités pourront se réunir lors d’un moment informel autour d’un petit déjeuner. L’inscription est gratuite et obligatoire : contactez allo@houston31.com.

L.M.

https://www.echodumardi.com/tag/houston-31/   1/1