30 avril 2024 |

Ecrit par le 30 avril 2024

Le département de Vaucluse inaugure la première tranche de la déviation Sud-Ouest de Pertuis

La première étape du projet de contournement de Pertuis vient d’être achevée et inaugurée. Une nouvelle voirie relie désormais deux points de la RD973, l’un à l’Ouest de la ville, l’autre au Sud.

Les travaux de la première section entre la RD 973 et la déviation Sud-Ouest de la ville sont terminés pour une mise en service provisoire (raccordement sur une voie communale). À présent, la seconde étape des travaux, qui concerne l’aménagement du futur échangeur à l’Ouest, peut débuter. Elle sera suivie par les travaux de déviation vers Villelaure.

La création d’une liaison entre la RD973 et la déviation Sud-Ouest de Pertuis est le fruit d’une collaboration entre le Département de Vaucluse et la Métropole Aix-Marseille Provence qui a débuté en 2016. Cette nouvelle liaison d’1,4 km relie le giratoire du Vidalet à la RD973 et permet de dissocier le trafic de transit du trafic de desserte locale et de supprimer le trafic des poids-lourds à l’entrée Ouest de Pertuis. Elle permet aussi d’accéder plus rapidement au réseau autoroutier et au département des Bouches-du-Rhône.

Les travaux ont été réalisés en deux temps. De janvier 2022 à septembre 2023, un pont d’une longueur de 51,5 mètres et pesant 370 tonnes a été installé pour franchir la voie ferrée. De septembre 2023 à avril 2024 une déviation a été réalisée entre le giratoire du Vidalet et la RD973.

Désormais, le Département va s’atteler à la création d’un nouveau carrefour giratoire à cinq branches reliant le contournement à la RD973 dans une configuration définitive. Les études de cet échangeur sont en cours. Le coût total des travaux de la déviation s’élève à 15M€, financé à moitié par le Département de Vaucluse et à moitié par la Métropole d’Aix-Marseille Provence. La première phase des travaux, quant à elle, a coûté 10,1M€.


Le département de Vaucluse inaugure la première tranche de la déviation Sud-Ouest de Pertuis

L’agglomération Luberon Monts de Vaucluse (LMV) vient d’inaugurer l’aménagement du tronçon de 440 mètres de la RD973 à Cavaillon, aussi appelée la « Route de Cheval-Blanc », après huit mois de travaux. Ce tronçon se situe le long du parc d’activité des Hauts Banquets, depuis le carrefour de l’avenue Boscodomini jusqu’au nouveau giratoire d’entrée de ZAC.

« Aujourd’hui, il n’est plus envisageable de penser l’installation d’une zone d’activités sans réfléchir à ses accès, a expliqué Gérard Daudet, maire de Cavaillon et président de LMV. Aménager, c’est créer un projet global, un projet cohérent, qui va bien au-delà de ses limites géographiques. »

Ce chantier, dont le coût total s’est élevé à 1 747 074,60€, a permis plusieurs aménagements :
• La mise en sécurité et l’embellissement de cet axe qui était en mauvais état, notamment à cause des poids lourds qui avaient l’habitude de stationner sur le bas-côté de la route.
• La création d’un cheminement doux piéton et cyclable, afin de permettre aux futurs salariés de la ZAC de se rendre au travail à pied ou à vélo via un itinéraire sécurisé.
• La création d’un cabanon en pierre décoratif avec sa mise en lumière sur le giratoire d’entrée de ZAC.
• La reprise des enrobés sur l’ensemble du linéaire pour une surface traitée de 10 800 m².
• La création de 26 points lumineux LED avec réducteurs de puissance.
• L’enfouissement des réseaux aériens par Enedis et Orange.
• La création d’un caniveau fente et de noues pour optimiser la gestion des eaux pluviales.
• La plantation de 69 arbres, ainsi que des plantations type arbustes et vivaces peu gourmandes en eau.

« À LMV, nous avons aussi à cœur, depuis plusieurs années maintenant, de penser et de mener des projets durables, en lien avec les mobilités douces et la transition écologique, a ajouté Gérard Daudet. Il s’agit de permettre au millier de salariés qui, à terme, travailleront dans les entreprises implantées ici, d’envisager leurs déplacements autrement qu’en voiture, et ce, en toute sécurité. »

©LMV

Le département de Vaucluse inaugure la première tranche de la déviation Sud-Ouest de Pertuis

L’Inguimbertine, seule bibliothèque-musée de France située au sein de l’Hôtel-Dieu, deuxième plus grand Monument historique du Vaucluse, à Carpentras, a ouvert ses portes au public lors d’un week-end inaugural ces vendredi 19, samedi 20 et dimanche 21 avril. En tout, 17 589 ont passé ses portes, dont 9 000 le dimanche.

Durant trois jours, Carpentrassiens, Vauclusiens, et d’autres curieux venus de plus loin ont pu profiter de 21 conférences animées par des conférenciers de renom et des influenceurs culturels et historiques, d’animations en tout genre. Ils ont aussi pu découvrir l’histoire de Carpentras et les figures historiques qui l’ont marquée lors d’une visite immersive de la bibliothèque-musée. Ils ont également pu voir, ou revoir la bibliothèque multimédia, qui elle est ouverte depuis 2017.


Le département de Vaucluse inaugure la première tranche de la déviation Sud-Ouest de Pertuis

La réhabilitation de l’Hôtel-Dieu de Carpentras, qui a débuté il y a une dizaine d’années, continue. Après avoir ouvert une bibliothèque multimédia en 2017, qui mêlait déjà œuvres d’art et littérature, communément appelée « L’Inguimbertine », le lieu s’apprête à accueillir le public au sein de sa toute nouvelle aile, la bibliothèque-musée, qui est le prolongement de L’Inguimbertine, avec un week-end inaugural ces samedi 20 et dimanche 21 avril qui sera rythmé par de nombreuses animations.

Impossible de rater ce bâtiment imposant situé au cœur de la ville de Carpentras, que ce soit lors d’une balade ou d’un bref passage. Magnifique édifice patrimonial, l’Hôtel-Dieu a été classé Monument historique et c’est d’ailleurs le 2ᵉ plus grand de Vaucluse après le Palais des papes puisqu’il fait environ 10 000 m².

Anciennement un hôpital pour les plus démunis, commandité par Joseph-Dominique d’Inguimbert, évêque de Carpentras, en 1750, le bâtiment a été racheté en 2002 par la Ville qui a ensuite réfléchi à sa réhabilitation. En 2008, il était question de créer des salles de spectacle, mais en 2010, la Ville de Carpentras confie la maîtrise d’œuvre au cabinet d’architecture Atelier Novembre, et les travaux ont débuté en 2014. De là est né le projet « L’Inguimbertine », qui mêle écrits et images, patrimoines et nouvelles technologies, et dont le coût total des opérations s’est élevé à 36 950 022€, financés par la Ville de Carpentras, l’État, la Région Sud et la communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin.

©Vanessa Arnal

Un projet unique en France

Ce projet de réhabilitation scientifique et culturel qui mêle les livres aux œuvres est assez singulier en France. « Ça a été compliqué, car il a fallu créer une cohérence entre les deux pour que le projet soit mené à bien », expliquent ensemble Marc Iseppi et Jacques Pajot, architectes fondateurs d’Atelier Novembre. 

« Avignon est connue pour son festival, Vaison-la-Romaine est connue pour ses vestiges, Carpentras n’est pas encore connue, mais elle va le devenir avec l’Inguimbertine. »

Serge Andrieu, maire de Carpentras

Aujourd’hui, l’Inguimbertine compte 80 000 documents en libre accès, 1,5 km de périodiques du XVIIe siècle à aujourd’hui, 1 200 tableaux, 300 sculptures, 18 000 livres, ou encore 6 000 sceaux et médailles. Si la collection est quantitativement importante grâce à des dépôts de l’État, des dons et des achats, la collection d’ouvrages, elle, est reconnue d’intérêt national.

Serge Andrieu, maire de Carpentras, présente le projet de réhabilitation de l’Hôtel-Dieu à la presse locale et nationale. ©Vanessa Arnal

Une bibliothèque multimédia

Le projet L’Inguimbertine commence à prendre forme en 2017, avec l’ouverture de la bibliothèque multimédia, qui se situe sur la droite à l’entrée du bâtiment. Dans cet espace, le visiteur est, contre toute attente, accueilli par des sculptures et des instruments de musique anciens, et non des livres. Ce n’est qu’après qu’on peut les apercevoir. Les livres sont disposés sur des étagères, comme dans une bibliothèque classique, seulement, vous pouvez aussi admirer des œuvres d’art exposées entre deux livres. Il est possible de monter sur une mezzanine partielle, qui a été créée afin d’augmenter le volume de livres.

« L’objectif est de créer du lien sur le territoire dans un lieu incontournable de l’histoire de Carpentras. »

Serge Andrieu

Lycéens, personnes âgées, habitués et curieux de passage s’aventurent dans cette bibliothèque où l’on peut apercevoir le portrait de d’Inguimbert ou encore la figure de Pétrarque. En 2023, ils ont été 135 196 à franchir les portes de la bibliothèque-musée l’Inguimbertine à Carpentras. C’est 14% de plus que l’année précédente. Aujourd’hui, la bibliothèque multimédia compte 7 000 abonnés actifs, c’est-à-dire 7 000 personnes qui font un emprunt au moins une fois dans l’année. « La bibliothèque répond aux usages du XXIe siècle avec du numérique et du papier », explique Jean-Yves Baudouy, attaché de conservation du patrimoine de la Ville de Carpentras et directeur de L’Inguimbertine. La bibliothèque est d’ailleurs dotée d’un pôle jeu vidéo.

Une bibliothèque-musée

Aujourd’hui, L’Inguimbertine s’agrandit et sa renommée va prendre un tout autre tournant grâce à l’ouverture de la bibliothèque-musée. Située à l’étage, cette partie de 1 800 m² représente la partie patrimoniale et d’exposition permanente de L’Inguimbertine. Elle sera d’ailleurs inaugurée ces samedi 20 et 21 avril avec le public.

Jean-Yves Baudouy, directeur de L’Inguimbertine. ©Vanessa Arnal

Cette bibliothèque-musée n’a rien à envier aux musées les plus connus. Elle est composée de trois espaces principaux ayant trois ambiances différentes : une introduction de la collection via l’histoire de Carpentras, capitale du Comtat Venaissin, une aile plus sombre pour plus d’intimité, mais aussi pour des raisons de conservation de certains ouvrages qui ne supportent pas une forte luminosité, ainsi qu’une aile plus lumineuse davantage dans les standards d’un musée classique. De quoi immerger complètement les visiteurs.

Dans cette nouvelle partie de L’Inguimbertine, on y trouve des vestiges de Carpentras, de l’histoire en audiovisuel grâce à des écrans interactifs, une animation audiovisuelle de l’évolution de la ville, l’histoire pontifical du Comtat Venaissin, l’histoire du peuple juif à Carpentras, la bibliothèque de d’Inguimbert, la bibliothèque de Barjavel, mais aussi des œuvres de divers courants artistiques avec de nombreux artistes locaux tels que Claude Joseph Vernet, Jean-Joseph-Xavier Bidauld, Évariste de Valernes, Jules Laurens, ou encore Joseph-Siffred Duplessis.

Des expositions éphémères

En plus de sa bibliothèque-musée, L’Inguimbertine se compose désormais d’un espace de 230 m² pouvant accueillir des expositions temporaires. Cette salle permettra de proposer au public des regards divers sur l’art, le patrimoine, ou encore le savoir.

Du 1ᵉʳ juin au 31 octobre prochains, cette salle accueillera sa première exposition ‘C215 autour de L’Inguimbertine’. Le public pourra y découvrir certaines œuvres de Christian Guémy, alias C215, qui représentera une rétrospetive de sa carrière. Une seconde partie de cette exposition sera à découvrir dans tout le centre-ville de Carpentras.

Le week-end inaugural

Deux jours de fête sont prévus pour célébrer l’ouverture de la bibliothèque-musée. L’occasion idéale de se réunir, mais aussi de découvrir un univers où passé et présent se rencontrent pour créer un véritable voyage dans le temps.

Un programme aux petits oignons a été préparé pour cette grande célébration qui ravira petits et grands. Conférences sur l’Hôtel-Dieu, sur d’Inguimbert, ou encore sur l’histoire de Carpentras, bals à thème pour apprendre à danser et s’amuser, soirée DJ, fanfares, concerto… Il y en aura pour tous les goûts.

Pour découvrir le programme des deux jours en détail, cliquez ici.

Informations pratiques

La bibliothèque multimédia est ouverte du mardi au vendredi de 12h à 18h, le samedi de 14h à 18h, et le dimanche de 9h à 12h.

La bibliothèque-musée est ouverte d’avril à octobre, du mardi au dimanche de 10h à 18h, et de novembre à mars, du mardi au dimanche de 14h à 18h. Le tarif d’entrée est de 8€ (hors exposition temporaire) ou 12€ (avec exposition temporaire) — 5€ ou 8€ tarif réduit. Son accès est gratuit chaque 1ᵉʳ dimanche de mois pour les abonnés de la bibliothèque multimédia, pour les enfants de moins de 11 ans, pour les porteurs de la carte jeune, la carte ICOM ou la carte de conférencier. L’entrée de cette partie de L’Inguimbertine sera également gratuite pendant la Nuit des musées (18 mai 2024) et les Journées du patrimoine (samedi 21 et dimanche 22 septembre 2024).

https://www.youtube.com/watch?v=wYvkm3cxlt0

Le département de Vaucluse inaugure la première tranche de la déviation Sud-Ouest de Pertuis

La portion de véloroute entre Velleron et Pernes-les-Fontaines vient d’être inaugurée. Le nouveau tronçon de quatre kilomètres vient compléter la Via Venaissia, que les Vauclusiens empruntent depuis 2010 et qui permet désormais d’aller d’Orange à Velleron en passant par Jonquières, Sarrians, Aubignan, Loriol-du-Comtat, Carpentras, Monteux, ainsi que Pernes-les-Fontaines.

Les travaux du tronçon entre Velleron et Pernes-les-Fontaines, qui ont duré dix mois, ne comprennent pas seulement la réalisation de 4 km de voie verte, mais aussi celle de 6 accès et sécurisation de la traversée de la RD28 à Pernes-les-Fontaines, et la réhabilitation de 12 ouvrages hydrauliques. Le montant des travaux s’est élevé à 1 650 000 €, financés par l’Union Européenne, la Région Sud et le Département de Vaucluse.

Permettant aujourd’hui de parcourir 45km, à terme, la Via Venaissia rejoindra la ViaRhôna au niveau de Caderousse et de Piolenc, ainsi que la véloroute du Calavon à la hauteur de Robion. Telle est l’ambition du Département qui se positionne en faveur des mobilités douces, et qui célébrera d’ailleurs ses véloroutes ce dimanche 14 avril.

©Département de Vaucluse

Le département de Vaucluse inaugure la première tranche de la déviation Sud-Ouest de Pertuis

La société Sun’Agri, spécialisée dans les solutions intelligentes de soutien à l’agriculture, et l’exploitation cavaillonnaise Saint-Félix ont inauguré le premier dispositif agrivoltaïque mondial piloté sur des cultures d’abricots bio. L’exploitation devient donc le 34ᵉ site à disposer de la technologie de Sun’Agri.

C’est sous un grand soleil, au cœur de l’exploitation Saint-Félix de 65 ha à Cavaillon, sous le nouveau dispositif agrivoltaïque, que se sont réunis 70 représentants de l’Etat, du territoire et du monde agricole pour découvrir ce dispositif, qui, pour la première fois aux niveaux local et mondial, a pour ambition de protéger des abricots en culture bio.

« C’est une grande satisfaction et l’aboutissement de plusieurs années de travail que d’inaugurer ce projet.« 

Cécile Magherini, directrice générale de Sun’Agri

Les persiennes agrivoltaïques ont été installées sur une surface de 2,5 ha dans le but protéger les vergers des changements climatiques, notamment de l’ensoleillement et des températures extrêmes qui peuvent être atteintes en pleine journée durant l’été. L’exploitation Saint-Félix a déjà perdu une grande partie de sa production d’abricots à cause de brûlures dues à la canicule en 2018. Pour attester de la différence à la fin de la saison, une zone de 0,3 ha n’a pas été recouverte de panneaux. La production annuelle prévisionnelle sur la parcelle agrivoltaïque est de 30 tonnes d’abricots bio par hectare.

« Nous avons souhaité apporter une protection agrivoltaïque à nos abricotiers pour gagner en ombrage l’été, renforcer leur résilience face au gel, diminuer les besoins en irrigation et utiliser la structure pour installer des filets para-grêles.« 

Michel André, président de la SARL Saint-Félix

Différents équipements et capteurs seront installés sur le site, au niveau du sol et dans l’air tels que des tensiomètres, des compteurs connectés qui mesurent la consommation en eau sur la parcelle, des stations météorologiques pour mesurer la température, l’humidité dans l’air, la pluviométrie et la vitesse du vent. Le suivi agronomique de la parcelle sera effectué par la Chambre d’Agriculture du Vaucluse, et le suivi écologique du projet par la LPO PACA.

L’agrivoltaïsme en plein essor

Si c’est le premier dispositif agrivoltaïque sur cultures d’abricots bio, ce n’est pas le premier dispositif agrivoltaïque que compte le Vaucluse. Le département dispose déjà de deux autres installations agrivoltaïques à Piolenc, sur des vignes, et Carpentras, sur des cerisiers.

« Protection contre les aléas, augmentation du rendement agricole et baisse de la consommation en eau sont les enjeux de ce projet comme de tous ceux que nous portons. »

Cécile Magherini, directrice générale de Sun’Agri

Ce projet, à Cavaillon, représente un investissement global de 3,2 M€ pour protéger le verger sur les prochaines décennies. Il s’ajoute aux 33 sites agrivoltaïques plantés et embarquant déjà la technologie Sun’Agri sur le territoire national en 2024, et à ceux en cours d’étude ou de développement, pour une surface globale de 260 ha.

©Sun’Agri

Le département de Vaucluse inaugure la première tranche de la déviation Sud-Ouest de Pertuis

La station du Mont Serein s’est dotée d’un nouveau chalet d’accueil répondant aux normes d’accessibilités PMR, et permettant un meilleur accueil tout en sensibilisant le public à son environnement. Il a été inauguré par la communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin (Cove) ce samedi 17 février.

La station du Mont Serein fait partie des plus anciennes stations de ski de France puisqu’elle a ouvert dans les années 1930. Son chalet d’accueil, lui, n’a été construit qu’en 1976, puis a fait l’objet de plusieurs rénovations au fil des années, pour prendre une forme plus moderne et plus adaptée aujourd’hui.

©Cove

Les derniers travaux, qui ont débuté en octobre 2022 et se sont achevés en novembre 2023, ont été nécessaires pour répondre aux normes d’accessibilités des personnes à mobilité réduite notamment. Le chalet dispose désormais d’un accueil permettant de présenter les activités des stations et sensibiliser les publics à l’environnement qu’ils fréquentent, d’un parvis avec un auvent pour s’abriter en cas de mauvais temps, de guichets de billetterie ouverts sur l’extérieur, ainsi que d’une salle de réunion.

Si le bâtiment a conservé sa forme initiale avec les murs extérieurs de la construction d’origine qui ont été revêtus de bardages en cèdre du Ventoux, le toit, lui, a été entièrement refait, ainsi que les murs intérieurs afin de redistribuer les volumes. Les matériaux utilisés ont été choisis dans l’objectif de fondre le nouveau chalet dans le décor. Le coût des travaux s’est élevé à 1 061 000€, financé à hauteur de 463 000€ par la Région Sud, et de 210 000€ par le Département de Vaucluse.

©Cove

Un coup de neuf pour une meilleure attractivité

Le réaménagement du chalet va permettre de développer l’attractivité de la station en présentant une meilleure offre des activités à faire toute l’année. Les deux stations souffrant d’un enneigement très irrégulier depuis quelques années, la Cove souhaite diversifier activités de loisirs toutes saisons en priorisant le développement du capital nature.

Ainsi, les visiteurs peuvent pratiquer de nombreuses activités en hiver, telles que le ski alpin et le snowboard, la balade en raquettes, la luge, ou encore le jardin d’enfants. Des activités sont aussi praticables tous les jours en juillet et août et les week-ends de juin et septembre, comme la trottinette électrique tout terrain, le tubing, le planétarium et l’astronomie (le jeudi), le dévalkart, l’accrobranche, l’air park, le bike park, la promenade à cheval ou poney, le fun trempo, ainsi que la découverte du sentier Jean-Henri Fabre.


Le département de Vaucluse inaugure la première tranche de la déviation Sud-Ouest de Pertuis

À la fin du mois de janvier, la Ville de Sorgues a célébré l’ouverture officielle de l’antenne des services du CeSam (Centre social municipal) au sein de la cité Paul Langevin. Ce nouveau local s’ajoute à ceux des quartiers des Griffons, de Chaffunes, de Générat et d’Establet. Il montre l’engagement de la Ville pour ses habitants des différents quartiers de la ville.

Dans ces centres, les Sorguais peuvent y trouver de l’écoute, du conseil, mais aussi un accompagnement dans leurs démarches administratives. « Ce que nous inaugurons est bien plus qu’un simple local municipal, a déclaré Thierry Lagneau, maire de la ville. Il s’agit d’un véritable lieu de vie partagée qui va, j’en suis certain, participer à la revitalisation du quartier mais aussi permettre aux agents du CeSam de rendre un service public encore plus efficace et d’être au plus près des citoyens. »

V.A.


Le département de Vaucluse inaugure la première tranche de la déviation Sud-Ouest de Pertuis

Ce mardi 19 décembre, les collaborateurs de Delta Plus, société spécialisée dans les équipements de protection individuelle, se sont donnés rendez-vous dans le nouveau bâtiment du siège social à Apt, pour son inauguration. Un bâtiment de 1 500 m² dédié aux équipes produits et R&D.

Jérôme Benoit, PDG de Delta Plus, a réuni ses collaborateurs dans l’agrandissement du siège social à Apt ce mardi 19 décembre. Ainsi, tout le monde a découvert ces nouveaux espaces en même temps. Un nouveau bâtiment qui a notamment pu voir le jour grâce à l’Avignonnais GSE et qui s’intègre parfaitement parmi les anciens.

Nouveaux bureaux individuels, nouvelles salles de réunion et nouveaux espaces de coworking, ce bâtiment de 1 500 m² devrait permettre aux équipes produits et R&D notamment, d’imaginer et concevoir les produits Delta Plus de demain. « On était un peu à l’étroit, par rapport à l’accroissement du chiffre d’affaires et des équipes », a expliqué Jérôme Benoit.

Jérôme Benoit. ©Vanessa Arnal

Apt, capitale des équipements de protection individuelle

Ainsi, le siège de Delta Plus comptabilise désormais 4 000 m² de bureaux, adossés à 15 000 m² d’entrepôts au sein de la ZAC La Peyrolière à Apt. Si la ville d’Apt est la capitale du Luberon mais aussi la capitale du fruit confits, elle est également la capitale des équipements de protection individuelle.

« Le but de ce nouveau bâtiment est de regagner de l’espace et de travailler dans un cadre idéal pour continuer à performer et faire rayonner l’entreprise. »

Jérôme Benoit

Avec un chiffre d’affaires de plus de 420M€ en 2022, la question de déplacer le siège social dans un lieu plus stratégique aurait pu se poser. Mais Delta Plus est une histoire de famille. Avant que Jérôme Benoit ne prenne la tête de l’entreprise en 2011, c’est son père Jacques Benoit qui la dirigeait et qui l’avait fondée à Apt en 1977. Pour cette famille aux racines aptésiennes, contribuer à l’économie de la ville et plus largement à celle du Pays d’Apt et du Vaucluse est plus qu’important.

Le nouveau bâtiment est en bas de la photo. ©Delta Plus

Une entreprise présente à l’international

Si Apt est le centre névralgique de Delta Plus, l’entreprise rayonne bien au-delà. L’entreprise possède des centres de fabrication dans le monde entier, en Argentine, au Mexique, au Canada, en Australie, en Albanie ou encore en Inde.

Avec 46 filiales réparties dans 30 pays, 18 sites de production et 15 entrepôts, Delta Plus peut proposer une solution de protection pour chaque secteur d’activité. Ainsi, les équipes R&D travaillent d’arrache pied pour suivre l’accroissement de la demande avec 60 projets en développement par an. Ce nouveau bâtiment au siège social qui leur est dédié devrait donc leur permettre d’imaginer et concevoir toujours plus de produits innovants pour assurer l’avenir de l’entreprise.

Une entreprise qui recrute

Avec un chiffre d’affaires qui ne cesse d’augmenter, tout comme les équipes, Delta Plus recrute régulièrement de nouveaux collaborateurs. Le siège social s’étant agrandi, l’entreprise propose en ce moment trois offres d’emploi à pourvoir sur Apt.

La société aptésienne recherche un nouveau Responsable Grands Comptes France, un Responsable Achats, ainsi qu’un Financial Planning & Analysis Manager pour dynamiser la structure financière de l’entreprise et faire progresser le chiffre d’affaires. Pour découvrir les offres d’emploi et y postuler, cliquez ici.

https://www.echodumardi.com/tag/inauguration/   1/1