3 juillet 2025 |

Ecrit par le 3 juillet 2025

Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

Les centres dentaires mutualiste du Pontet d’Aésio santé dispose désormais de caméras numériques intra-orales miniaturisées. Grâce à cette technologie, les praticiens peuvent capturer des images haute-définition de la cavité bucale, facilitant le diagnostic, la planification des traitements et le suivi. Ces visuels permettent également aux patients de voir en temps réel leur état bucco-dentaire, améliorant ainsi leur compréhension des soins proposés.

« Une qualité d’image exceptionnelle. »

« Après ces premiers jours d’utilisation, je peux déjà dire que c’est un véritable gain de temps au fauteuil et un confort certain pour les patients, témoignent les premiers retours des dentistes. La précision est impressionnante, et cela facilite énormément la prise d’empreinte et la planification des cas. »
« Une qualité d’image exceptionnelle, un logiciel intuitif, une manipulation aisée,… », constate un autre professionnel.

« Ces témoignages confirment que cette technologie s’impose comme un outil de précision. Ces équipements s’inscrivent dans une démarche plus globale d’amélioration continue de la qualité des soins et de modernisation des pratiques, insiste Aésio santé qui vient aussi d’équiper son cabinet de Torremila à Perpignan. Les centres dentaires mutualistes réaffirment ainsi leur volonté de proposer des soins de qualité à la fois humains et technologiquement avancés, accessibles à tous. »

5 100 professionnels de santé et 200 établissements
Aésio santé est un acteur mutualiste majeur de santé en France. Il propose, à travers près de 200 établissements de santé, une offre de soins et de services, dans les domaines sanitaire (chirurgie, médecine, cancérologie, soins de suite et de réadaptation, hospitalisation à domicile, radiologie, centre de santé, dentaire), médico-sociale (accueils pour personnes âgées, en situation de handicap, petite enfance, services à la personne), biens et services (pharmacies, centres d’optique, d’audioprothèse, orthopédie générale et matériel médical) ainsi qu’en matière d’innovation, de recherche et de développement. Au total, 5 100 professionnels de santé accompagnent quotidiennement les patients d’Aésio Santé.


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

« Faire émerger localement et valoriser des initiatives créatives, des pépites pour relever les défis sociaux et environnementaux », c’est le but du concours Graines de Boss, a précisé Tomas Redondo, directeur général de la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) de Vaucluse en prélude à la finale.

Après l’appel à projets, il y a eu 14 condidats au départ. Au fil des sélections, il n’en restait plus que six et ils ont présenté leur proposition à un jury composé d’une dizaine de jurés, dont Anne Benedetti à la tête d’une entreprise de BTP, Brigitte Borel, directrice du Réseau Entreprendre Rhône-Durance, Arnaud Fichot de la French Tech Grande Provence, Pierre-Hubert Martin, délégué au développement de La Poste en Vaucluse, Xavier Mathieu, chef étoilé et membre de la CCI, Michel Raoult ancien directeur de la Banque de France 84 et conseiller technique de la CCI.

Les six projets

1re entreprise, Clear Drink de Pertuis, qui a créé un test de détection de cannabis, cocaïne, GHB et médicaments dans les boissons qu’on peut vous servir dans des boîtes de nuit pour vous éviter d’être drogué. Depuis un an dans la région, 300 pharmacies ont vendu 600 000 de ces tests à 10€ les 3 unités.

C’est au tour ensuite de la société Gambade d’Avignon qui fabrique des vélos transformables jusqu’à devenir cargos pour faciliter la mobilité en ville et se faufiler dans les embouteillages. Autour de 5 000€ le vélo, sept ont été commercialisés depuis le début de l’année.

Place ensuite à Lium, PME de Morières-lès-Avignon qui propose un ballon dirigeable à hélium qui peut surveiller les installations sensibles  comme des centrales nucléaires, des dépôts de gaz, de méthane, des ponts. Créé en 2021, cette société affiche déjà un chiffre d’affaires de 100 000€.

Suit Opty-O, un concept de colonne de douche connectée et économe en eau. « Chaque année, quand on tourne le robinet d’eau chaude, le temps qu’elle arrive dans la salle de bain, on pourrait remplir une piscine entière. » Déjà des spécialistes du bricolage et de la plomberie les vendent (550€ l’unité).

5e candidat : Piver First Innovation à l’Isle-sur-La Sorgue qui propose une solution pour lutter contre la fraude sur internet.

Et enfin, c’est Virgomove, basée à Monteux, une marque de casques intégraux pour vélos et trottinettes électriques qui roulent vite et n’ont aucune protection en cas de chute.

Les deux lauréats

Après s’être retiré quelques minutes, le jury a voté : le Prix du Public a été décerné à Jean-Baptiste Petricoul, le jeune inventeur du casque Virgomove, qui a déjà reçu plusieurs prix d’innovation, notamment par le Réseau Entreprendre. Quant au Grand Prix du Jury, il a été remporté par Simon Lillamand pour la colonne de douche anti-gaspi.

Les deux lauréats seront accompagnés par la CCI 84 et bénéficieront  d’une campagne de promotion pour les faire connaître. Et ils représenteront les couleurs du Vaucluse lors de la finale nationale le 24 juin au siège du MEDEF à Paris. Une occasion pour eux, en cas de victoire, de lever des fonds, de rayonner, de se développer, de créer des emplois donc des richesses sur le territoire vauclusien.


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

La French Tech Grande Provence vient d’annoncer son nouveau partenariat avec CAAP INNOV’ECO, le fonds de dotation du Crédit Agricole Alpes Provence, qui devrait permettre d’accompagner davantage l’innovation sur le territoire.

Lancé en 2015, le fonds de dotation CAAP INNOV’ECO a accompagné plus de 200 projets entrepreneuriaux cette dernière décennie, avec 2,5M€ de prêts d’honneur accordés. Il soutient financièrement plus de 80 structures associatives de l’écosystème innovation et création d’entreprise pour un montant global de 3M€ et il a permis l’organisation de six appels à projets depuis 2021 avec une dotation totale de 386K€ au profit des projets du territoire.

À travers le partenariat avec ce fonds, la French Tech Grande Provence souhaite engager une nouvelle dynamique d’accompagnement de l’innovation sur le territoire en dénichant des talents, en aidant les entrepreneurs à passer de l’idée au projet et à structurer leur entreprise, en valorisant et ou encore en mettant en lumière les entreprises innovantes. Tels sont les objectifs que partagent la French Tech Grande Provence et le Crédit Agricole Alpes Provence.

Ainsi, le Crédit Agricole Alpes Provence fera partie du Comité de sélection de la prochaine incubation 2025 qui permettra aux futurs entrepreneurs d’être accompagnés professionnellement dans leur recherche de financements.


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

C’est parti pour la Promo 2025 des Entrep’ Vaucluse avec 83 défis coordonnés par Véronique Coppin et présidés par Stéfan Ré.

L’ADN d’Entrep’84, c’est « Agir pour une jeunesse entreprenante », de 30 ans et moins, qui va profiter des conseils et de l’expertise de professionnels pour s’entraîner à reprendre ou lancer sa PME ou sa start-up. « Nos valeurs sont le partage, l’innovation, la gratuité, la diversité, l’humilité et l’empathie », précise Véronique Coppin. Une aventure humaine à base de volontariat des deux côtés, des jeunes et des experts, donc d’un engagement réciproque. Parmi ces entrepreneurs, on trouve Brigitte Borel, Directrice du Réseau Entreprendre Rhône-Durance, Lionel Dosne, patron de la Chocolaterie Castelain à Châteauneuf-du-Pape, Brice de Forsanz, ancien Directeur Général de McCormick France (Ducros et Vahiné) en Vaucluse.

La soirée de lancement s’est déroulée au Conseil Départemental de Vaucluse, en présence notamment de Christophe Roux de Bbifrance et les 18 équipes en lice ont présenté leur projet. Notamment, une plate-forme de jeux de simulation pour les démocratiser ‘SGL Export’, ‘Diagnostic Immo’ pour cibler les pertes énergétiques des habitations et trouver des solutions en amont pour un logement écologique et un amortissement financier. Mais aussi ‘Mottaz Agency’, une agence dans le mannequinat qui valorise des personnes issues ou non de ce milieu, ‘Valora’, des cosmétiques nature à base d’épluchures de fruits et légumes pour éviter le gaspillage et valoriser le travail des paysans. Autre proposition, « Moût de raisin », un produit alcoolisé, ou encore ‘Toilettes japonaises’, un concept emprunté aux Nippons qui proposent des jets nettoyants, un siège chauffant et un déodorant anatomique qui économisent papier et eau.

Autre projet, ‘Le Taxi Mahaorais’, un système destiné à Mayotte, qui permettrait des transferts directs depuis l’aéroport vers les hôtels de l’île, sensibilise à la biodiversité et à sa conservation. Également ‘Bali Pack’, un sac à dos modulable pour médecins urgentistes, pompiers, militaires, secouristes, ‘Brain Factory’ un cabinet de conseil éthique en finances et écologie numérique, ou encore une ‘Cave à vins intelligente’ en libre-service avec trois tailles de verres, qui se recharge et offre planches de charcuterie ou de fromage, ‘Stanislaw’, une vodka aromatisée kiwi-banane, par exemple et enfin, une ‘Aide au handicap’, application qui met en relation bénévoles et handicapés via des appels vidéo et audio qui permet une assistance en temps réel pour des taches quotidiennes.

Les équipes de la Pomotion 2025 des Entrep’Vaucluse.

Et pour parrainer cette Promotion 2025, les organisateurs ont eu la bonne idée de faire appel à un jeune chef d’entreprise innovant et dynamique : Jantien Rault, le fondateur de POWERiti à Agroparc. Le 1ᵉʳ site de France à proposer une offre globale de solutions et de sécurisation de vos données sensibles sur internet. Notamment ‘My Serenity’ qui rend vos fichiers inviolables, impénétrables par des intrus, un vrai barrage contre la cybercriminalité. Or, il faut savoir que 54% des PME sont victimes de hackers, ce qui souvent les oblige à mettre la clé sous la porte.

Contact : avignon@lesentrep.fr


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La Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (CMA PACA) et Share-Wood, atelier collaboratif dédié au bois, viennent de signer une convention de partenariat visant à renforcer l’innovation dans l’artisanat régional. Cet accord s’inscrit dans la démarche initiée il y a plusieurs années dans le cadre du programme ‘Artisans et Fablab’, soutenu par la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Cette convention traduit la volonté commune des deux structures de développer l’innovation au sein des entreprises artisanales, de renforcer la visibilité des services d’accompagnement proposés aux artisans de la région, de faciliter l’accès des artisans de Paca aux équipements de pointe, à un encadrement personnalisé et à l’expertise de Share-Wood ainsi que de favoriser l’innovation durable dans la filière bois de la région.
En effet, Share-Wood, espace de 2 200 m² situé à Marseille, s’est imposé comme un lieu ressource incontournable pour la filière bois. Cet atelier partagé combine production, formation et développement d’activités, en privilégiant le partage des savoir-faire et le co-apprentissage. Il accueille un écosystème varié composé de professionnels, particuliers, stagiaires en formation et personnes en insertion.

Préparer l’artisanat de demain
Cet accord s’inscrit dans la démarche initiée il y a plusieurs années dans le cadre du programme ‘Artisans et Fablab’, soutenu par la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur.
« Ce programme incarne la volonté de la CMA Paca et de la Région Sud de dynamiser l’innovation dans tous les secteurs de l’artisanat, même les plus traditionnels, explique la Chambre de Métiers et de l’Artisanat. Cette initiative permet aux artisans de découvrir les potentialités des nouvelles technologies dans un environnement adapté, développer leur créativité et concrétiser leurs idées innovantes, accéder à des équipements de pointe et à une expertise pointue ainsi que de bénéficier d’un accompagnement personnalisé par des experts. »

« L’innovation se décline sous de multiples formes : design de marque et d’objet, intégration de nouvelles technologies, optimisation des méthodes de production, ou encore développement de nouveaux modèles économiques, poursuit la CMA Paca. Ce programme répond aux enjeux cruciaux des entreprises artisanales : rester compétitives, conquérir de nouveaux marchés et se différencier dans un environnement en constante évolution. »

L.G.


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Née aux Pays-Bas en 1967, Koppert a créé sa filiale française il y a 40 ans. Koppert France, dont le siège se situe à Cavaillon, a commencé la lutte biologique intégrée en 1984, notamment dans les cultures de tomates et de fraises. Depuis, l’entreprise a varié sa gamme et a développé un véritable rôle dans l’innovation. Aujourd’hui, Koppert renforce son équipe de direction pour maintenir son rôle de leader dans l’industrie.

À ses débuts en 1984, Koppert France se concentrait sur la vente de trois produits destinés aux cultures des tomates et des concombres, comptait 4 employés et fournissait 200 producteurs. Aujourd’hui, la gamme s’est élargie et comprend 55 macro-organismes, sept micro-organismes, ainsi que divers pièges, phéromones et cinq substances naturelles, tout comme l’équipe qui compte 46 employés. « Chez Koppert, on préconise plus de 250 solutions de biocontrôle innovantes à plus de 6 500 clients, un réseau professionnel de plus en plus étendu en cultures sous-abris, de plein-champ, jardins et espaces verts », déclare Gisèle Broquier, directrice générale.

Ainsi, Koppert s’affiche comme leader mondial de la protection biologique des cultures, et de plus en plus de professionnels se tournent vers des solutions biologiques. Désormais, 13% des agriculteurs français utilisent des solutions de biocontrôle, avec une adoption de 90% dans les serres de tomates, concombres et aubergines.

40 ans de développement du biocontrôle

Depuis la naissance de Koppert France, l’entreprise contribue au développement du biocontrôle à travers l’éducation et les formations. L’entreprise est un centre de formation officiel sur le biocontrôle, qui accompagnent de nombreuses institutions techniques, universitaires et professionnelles.

Koppert s’engage auprès d’associations qui œuvrent pour la promotion du biocontrôle telles que IBMA global, France Biocontrôle ou ABBA (Association biocontrôle et biostimulation pour l’agroécologie), mais aussi auprès d’organismes techniques et institutionnels tels que Légumes de France, le CTIFL, l’Aprel, le GRCETA, Vegepolys, Astredhor, l’Inrae, etc. L’entreprise organise aussi des sessions techniques auprès de professionnels et du grand public.

Une stratégie qui repose sur trois axes

Depuis sa naissance, Koppert articule sa stratégie autour de trois axes : l’innovation, la technologie et l’accompagnement technique. « Ces 3 piliers nous permettent d’innover sans cesse sur les problématiques de demain en horticulture et de rester un des leaders sur le marché », explique Audrey Vignaud, directrice du marché sous-abris.

L’objectif de l’entreprise est d’innover constamment afin de proposer une gamme complète qui répond aux attentes des agriculteurs pour les aider dans leur transition environnementale. « Nous adaptons nos produits et développons de nouvelles solutions pour les cultures
extérieures : légumes, vergers, vignes, grandes cultures, ajoute Damien Facci, directeur des cultures extérieures chez Koppert France. Les défis sont grands car il faut faire face aux aléas du climat et s’adapter sans cesse aux différentes pratiques des agriculteurs.

Leader mondial de la protection biologique des cultures

Aujourd’hui, Koppert présente plus de 250 produits, dont la pollinisation avec des bourdons qui représente 14% des ventes, les macroorganismes qui représentent 44%, les microorganismes qui représentent 26%, et les produits et techniques associés qui représentent les 15% restants.

Ainsi, l’entreprise s’impose comme leader mondial sur le marché, et a remporté de nombreux prix pour ses produits qui partagent un seul et même objectif depuis 40 ans : avancer vers une agriculture 100% durable !

40 années célébrées avec les collaborateurs et clients

Pour célébrer les 40 ans de Koppert France, l’entreprise a organisé une série de trois évènements régionaux, dont un à Orgon au début du mois d’octobre, avec ses collaborateurs, clients, partenaires techniques et commerciaux. Durant cet événement, Henri Oosthoek, fondateur de Koppert France et Board advisor, et Michel Allene, ancien directeur de Koppert France, qui ont partagé leurs expériences Koppert des années 80 et 90.

Les invités ont pu profiter d’une rétrospective sur les 40 dernières années de succès et de croissance, des vidéos inspirantes, des innovations
présentées en avant-première, des photos et un cocktail dînatoire.

Une nouvelle équipe de Top Management

En plus de fêter les 40 ans de sa filiale française, Koppert a annoncé le renforcement de son équipe de direction et l’introduction d’une nouvelle équipe de direction mondiale. L’objectif du groupe est d’atteindre une croissance mondiale accrue et de maintenir son rôle de leader dans l’industrie.

Ainsi, le conseil exécutif se compose désormais de René Koppert, PDG, Martin Koppert, directeur commercial, et Erik-Jan Verdegaal, directeur financier. Ils sont accompagnés d’une équipe mondiale de direction qui est chargée de stimuler la croissance, d’optimiser les processus et d’améliorer l’orientation client dans différentes régions du monde. René Ruiter est le directeur Amérique du Nord et Asie-Pacifique et Europe, Moyen-Orient et Afrique, Gustavo Hermann et Danilo Scacalossi Pedrazzoli sont les directeurs Amérique du Sud, Peter Maes est le directeur Transformation, Adriana Boock la directrice Marketing, Sjoerd van der Ent le directeur Innovation et Peter Couwels le directeur des opérations.

« Avec ces changements, nous sommes bien placés non seulement pour renforcer notre position actuelle sur le marché, mais aussi pour assurer une croissance future en étroite collaboration avec nos clients », conclut René Koppert, PDG.

Erik-Jan Verdegaal, René Koppert, et Martin Koppert.

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La Ville de Vaison-la-Romaine vient d’installer un générateur d’eau atmosphérique mobile et autonome, fourni par la Région Sud et qui restera en place jusqu’au lundi 23 septembre 2024. Cette nouvelle arme révolutionnaire qui permet de produire de l’eau à partir de l’air ambiant va être testée dans la commune vauclusienne après un tour de plusieurs communes de la région Provence-Alpes-Côte-D’azur lors de l’été 2024.

Le générateur a été installé sur le parking Brassens, à côté de l’Espace culturel. Des équipes de la Ville de Vaison-la-Romaine sont chargés d’effectuer des relevés réguliers qui indiquent la production d’eau quotidienne sur la commune. Alimenté par 14 panneaux solaires, le générateur aspire de l’air et le refroidit pour produire de l’eau par condensation. Elle est par la suite filtrée et minéralisée pour enfin être stockée dans un réservoir qui a une capacité de production qui peut aller de 500 à 600 litres par jour, selon les conditions climatiques. 

C’est la première en France qu’un générateur de cette envergure rentre en action. Une initiative importante voulue par la Région Sud dans le but de lutter contre la sécheresse et qui rentre dans le cadre de son Plan Or Bleu mis en place depuis 2018 par l’institution dirigé par Renaud Muselier. Ce générateur est une nouvelle avancée dans la lutte de la Région Sud sur les questions de la préservation de l’eau sur son territoire, un enjeu majeur pour l’avenir. 


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Avec son air de Richard Gere jeune, Nicolas Rogier est en fait motoriste de formation et il a longtemps travaillé chez Mercedes à Cap-Sud. À l’approche de la quarantaine, il a changé de vie privée et professionnelle.

« J’aime bricoler, je suis en mode solution, je recherche toujours comment aider mes potes. Et c’est à la suite d’une conversation avec deux viticulteurs de mon village que j’ai cogité pour trouver une machine à planter des vignes sans qu’ils se cassent le dos pendant des heures. J’ai mis au point un premier prototype et c’est parti ! » Sa machine creuse le trou, met en terre le cep avec son tuteur et arrose, une solution 3 en 1.

En 2011 il crée NR Inov-Concept, en 2015 il embauche son bras-droit, Christophe, en 2018 emploie sa fille puis sa compagne en 2020 pour faire face à la demande commerciale. Cette PME est invitée au Sitevi de Montpellier, à Vinitech à Bordeaux, à Dionysud à Béziers, elle collectionne les prix comme celui de l’Innovation à ‘Stars et Métiers’ en 2019.

Nicolas Rogier conçoit des outils pour faciliter le travail de la terre. Et il ne chôme pas. Il a mis au point une « complanteuse de vignes », un « enfonce-pieux vibrant », des « godets dessoucheurs » qui arrachent les ceps morts pour éviter la propagation des maladies ou encore une « pince hydraulique » fixée au bout du bras d’une mini-pelle mécanique qui ôte de vieux piquets tout en coupant les fils de fer auxquels ils sont attachés. Du coup, le vigneron n’a pas besoin de repasser avec sa tenaille et de répéter le même geste des centaines de fois comme Charlie Chaplin dans Les temps modernes. Il a aussi inventé une machine pour planter des petits pins et accélérer le reboisement de façon écologique, pareil pour des chênes truffiers.

Cet inventeur de génie qui a réussi sa reconversion croule sous les demandes, alors n’hésitez pas à lui faire part de vos souhaits, il se fera un plaisir de phosphorer et de se décarcasser pour vous simplifier la vie !

Contact : 04 90 25 82 86 / 06 34 71 16 34
630 Chemin Draille des Cailloux. 84 450 Jonquerettes.


Le centre dentaire Aésio du Pontet s’équipe de nouvelles caméras miniatures

La commune vauclusienne de Beaumes de Venise a fait le choix d’installer le revêtement thermique Climat’Road sur le sol de l’aire de jeux de l’école Jacques Prévert. Développé par Agilis, entreprise d’aménagement urbain et d’équipement routier, filiale du groupe NGE, ce dispositif innovant devrait permettre de limiter l’accumulation de chaleur et de lutter ainsi contre la canicule.  

Face à la vague caniculaire qui s’abat sur le Vaucluse, certaines communes du département ont décidé d’agir. C’est le cas notamment de Beaumes de Venise qui voit certains lieux de la ville particulièrement impactés par cette vague de chaleur comme l’école Jacques Prévert par exemple. Pour faire face à cette problématique écologique, la Mairie de Beaumes de Venise a choisi de tester le revêtement thermique Climat’Road sur les 12 m2 de l’aire de jeux qui se trouve au sein de l’établissement scolaire.

Le revêtement Climat’Road c’est quoi ?  

Développé par Agilis, dont le siège social se trouve au Thor et filiale du groupe NGE, cette solution permet de créer une barrière climatique à travers sa peinture au sol composée à 80% de billes en céramique creuse ce qui limite l’accumulation de la chaleur. Ce système est isolant, technique, conçu à base d’eau spécialement adapté aux usages urbains et routiers. Il agit comme une barrière thermique et s’applique dans de nombreux environnements (les trottoirs, les places, les zones de circulation piétonnes, pistes cyclables, parkings) et sur tout type de support (enrobé, asphalte, béton, fonte, pierre, etc.).

« Des essais ont été réalisés précédemment pour la Ville de Paris et Lyon Métropole et plusieurs communes l’ont déjà déployé : Le Thor, Drap, Limoges. À chaque fois, une différence de 10°C de ressenti au sol a été constatée dès son application, soit un gain en termes de confort direct à proximité des surfaces traitées par Climat’ROAD. » a déclaré Christophe Chevalier, directeur technique Agilis. Ce n’est pas la première solution proposée par l’entreprise Agilis afin de lutter contre la chaluer, un dispositif de béton végétalisé avait été testé l’an dernier au Pontet.

Comment ce dispositif agit-il ?

La solution Climat’ROAD est un revêtement au sol, spécialement conçu pour faire baisser les températures des espaces publics et lutter contre les îlots de chaleur. Le revêtement est appliqué à l’aide d’une machine à peinture en couche fine de 0,5 mm à 1 mm et sa composition lui permet d’agir à la fois comme isolant et réflecteur.

Développé par Agilis, filiale du Groupe NGE, quatrième groupe français de BTP, qui multiplie les initiatives notamment vers la jeunesse du territoire et qui a son siège social à Saint Etienne du Grès, ce dispositif empêche le stockage de la chaleur et permet donc de diminuer sa restitution. Si cette solution s’avère concluante durant ce « chaud » été 2024, la Mairie de Beaumes de Venise devrait poursuivre et étendre cette expérience sur l’ensemble de la cour de l’école Jacques Prévert pour prévenir la croissance des températures prévues dans les années à venir.

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