19 octobre 2025 |

Ecrit par le 19 octobre 2025

Rhonéa sélectionnée par Bpi France pour intégrer le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’

Rhonéa, Union des coopératives de Beaumes-de-Venise, Rasteau, Vacqueyras & Visan, a été sélectionnée par BPI France et le Ministère de l’Agriculture pour intégrer le programme ‘Accélérateur Agroalimentaire’ pour une durée de 24 mois. Objectif ? Accompagner les entreprises dans leurs enjeux de développement, de modernisation et d’innovation.

Vocations du programme

Voici un accompagnement sur-mesure qui permettra d’accélérer le développement de Rhonéa et renforcer sa compétitivité. Après avoir candidaté fin 2020, l’union coopérative a été sélectionnée avec 22 autres entreprises françaises pour son potentiel de transformation et ses ambitions de développement. Le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’ a pour objectif d’accroître la compétitivité des entreprises de la filière et de les accompagner face aux défis de demain. Les objectifs de ce programme sont multiples : réaliser un diagnostic 360° de l’entreprise, identifier les axes de croissance et d’amélioration, apporter un soutien personnalisé dans la mise en place du plan d’actions…

« Nous avons plus particulièrement sollicité l’accompagnement de Bpi France sur deux projets, détaille Pascal Duconget, Directeur général. Il s’agit de l’excellence opérationnelle, c’est-à-dire notre capacité à disposer d’une ‘Supply chain’ permettant de répondre à nos évolutions internes et aux besoins de nos clients, et la transformation digitale au sens large, incluant l’ensemble des systèmes d’information de l’entreprise. »

Rhonéa, une coopération ‘nouvelle génération’

Engagée et éthique, Rhonéa ne cesse de relever de nouveaux défis. Elle représente désormais 400 artisans vignerons sur le territoire du Vaucluse et est implantée sur 2.900ha de vignes, dont 2.100 en Crus et Côtes du Rhône Villages. « Avec l’arrivée récente des caves de Visan et Rasteau dans l’Union, nous prenons une nouvelle dimension » explique Pascal Duconget. « Avoir été sélectionné par BPI France pour bénéficier de ce programme sur-mesure est une belle reconnaissance de notre dynamisme. Nous voulons désormais concrétiser nos projets de développement pour en faire des réussites durables, autant auprès de nos artisans-vignerons que de nos clients. »


Rhonéa sélectionnée par Bpi France pour intégrer le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’

L’Institut national de la propriété industrielle et la région Provence-Alpes-Côte d’azur renouvellent leur collaboration pour une durée de trois ans. Objectif ? Soutenir et protéger l’innovation par la formation des entrepreneurs et chercheurs.

L’innovation représente la base de l’engagement de l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi), qui délivre les titres de propriété industrielle (brevets, marques, dessins et modèles) et accompagne les innovateurs dans leur stratégie de protection et de défense des droits de propriété industrielle. La Région Sud affiche la protection de la propriété intellectuelle comme l’un des objectifs majeurs de sa politique de soutien à la recherche et au développement économique. Un objectif qui doit « être gage de croissance et de créations d’emplois. »

67 entreprises accompagnées

L’Inpi et la Région Sud ont travaillé conjointement lors d’un premier partenariat 2018-2020 pour aider les acteurs régionaux privés et publics à rentabiliser les résultats de leur recherche, leur assurant ainsi un avantage compétitif stratégique. En 3 ans, 67 entreprises ont ainsi été soutenues pour sécuriser leurs relations partenariales techniques ou commerciales dans le cadre d’un projet innovant. 88 entreprises ont été aidées pour protéger leurs actifs par un titre de propriété industrielle en France et à l’international.

En 2021, l’Inpi et la Région Sud renouvellent le partenariat, notamment dans le domaine de la transition numérique, écologique et énergétique ainsi que sur les secteurs d’excellence de la Région Sud. Le but étant que les entreprises régionales intègrent mieux la propriété intellectuelle dans leur stratégie de développement pour rester parmi les leaders dans leur domaine, valoriser leur excellence mais aussi lever des fonds et nouer des partenariats.

Soutien financier et promotionnel

Concrètement, la convention prévoit un soutien financier de la Région aux dispositifs déployés par l’Inpi, pour minimiser le coût restant pour les bénéficiaires (prise en charge à hauteur de 75 % du coût entreprise). Les deux acteurs misent également sur des actions de communication autour de la propriété intellectuelle. La première action commune aurait lieu à l’occasion du salon Viva technology, au mois de juin, sous la forme d’une table ronde réunissant start-up, Région et Inpi.

Comment l’Inpi intervient ?

Pour favoriser le recours à la propriété industrielle comme levier de compétitivité des entreprises, l’Inpi a mis en place une politique de soutien baptisée ‘Coaching Inpi’. Cet accompagnement repose notamment sur le prédiagnostic (état des lieux et recommandations personnalisées) ; le programme start-up (intégrer la propriété intellectuelle en tant que force pour ses levées de fonds) ou le ‘Pass PI’(soutien financier). Le programme ‘Alliance PI‘ (Propriété intellectuelle) vise quant à lui à maitriser les enjeux de propriété intellectuelle et les transferts de technologie public-privé. Enfin, la cartographie des inventions brevetées permet aux entreprises d’analyser leur environnement technologique et concurrentiel mondial pour orienter leur stratégie d’innovation.

Quelques exemples

Plusieurs exemples de l’action croisée Inpi/Région illustrent cette collaboration. La société Hysilabs, start-up dans le domaine du transport de l’hydrogène, a bénéficié d’une cartographie lui permettant de visualiser le positionnement distinctif de sa technologie dans son environnement concurrentiel. Cette représentation cartographique a pu alors être valorisée auprès des investisseurs. L’entreprise Richel group, fabricant de serres agricoles depuis plus de 50 ans, a suivi le cursus de perfectionnement à la propriété intellectuelle avec la ‘Master class PI’ et a ainsi intégré de manière plus systématique la PI dans son activité d’innovation. Enfin, la Région et l’Inpi ont pu travailler conjointement sur les salons régionaux (le salon des entrepreneurs, le salon Innovative City) et proposer plusieurs conférences sur la PI à près d’une soixantaine d’entreprises.

L.M


Rhonéa sélectionnée par Bpi France pour intégrer le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’

France Heringer vient de prendre ses fonctions de directrice Orange grand sud est. Elle succède à Valérie Thérond, nommée directrice du développement managérial et des talents pour le groupe Orange.

France Heringer rejoint le groupe en 1990 où elle occupe des responsabilités managériales en France et au Royaume-Uni, dans les domaines de l’innovation, du développement commercial et de la relation client. De 2008 à 2011 elle occupe le poste de directrice adjointe du technocentre, la fabrique de l’innovation d’Orange, et de 2011 à 2015 directrice Orange ouest (Bretagne et Pays de Loire), en charge des opérations et de la représentation du groupe Orange pour cette zone. Depuis 2015, France Heringer était directrice qualité, expérience client et ventes.

France Heringer est diplômée de l’Ecole Polytechnique et de l’Ecole nationale supérieure des télécommunications de Paris, et auditeur de l’Institut des hautes études de l’entreprise (IHEE).

Elle continuera à développer la performance économique, sociale et sociétale d’Orange sur ce territoire. Avec les 13 515 collaborateurs Orange des régions Provence Alpes Côte d’Azur, Corse et Auvergne-Rhône-Alpes, elle s’attachera à garantir la meilleure expérience Orange sur le territoire. Elle pilotera notamment la modernisation du réseau fixe, le déploiement des réseaux Très Haut Débit fixe (fibre) et mobile (4G et 5G) et des nouveaux usages associés.

Dans le cadre du plan stratégique Engage 2025, France Heringer renforcera aussi la présence d’Orange sur les nouveaux territoires de croissance la banque mobile Orange Bank, la cybersécurité avec Orange Cyberdéfense.


Rhonéa sélectionnée par Bpi France pour intégrer le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’

Après RESPellenc et la Préfecture de Vaucluse, c’est au tour des membres de la gouvernance de French Tech Grande Provence d’être présentée aujourd’hui dans votre rendez-vous ‘Etat-major’.

Le numérique est au cœur de nombreux enjeux. La French Tech Grande Provence l’a bien compris en le positionnant comme vecteur de croissance, d’innovation et d’attractivité du territoire. L’association s’engage à rendre la métropole Avignon-Provence plus attractive grâce à un accompagnement
singulier dans des projets innovants et coopératifs. La French Tech Grande Provence est présidée depuis 2015 par Paul Hermelin (68 ans), Directeur Général de Capgemini durant 20 ans et Président du Groupe depuis 2020. La Vice-Présidence se compose de : Laurence Le Ny (63 ans), Directrice de l’écosystème Startup des industries créatives chez Orange depuis 2017 ; Phillipe Ellerkamp (54 ans), Président de L’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse depuis décembre 2015 ; Paul Rondin (50 ans), Directeur Délégué du Festival d’Avignon.

La gouvernance de la French Tech Grand Provence comprend également en son sein : Christophe Leininger (48 ans), Coordinateur Général, Directeur des Systèmes d’Information chez B2PWeb depuis 2016. Kevin Kastelnik (33 ans), Secrétaire Général, Cofondateur de DreaminzZz depuis plus de 6 ans, Mélanie Pin (35 ans) Secrétaire Général Adjointe, Co-fondatrice de Getinshoot depuis 2019. Viennent clôturer le Bureau de l’association : Jean-Michel Ambrosino (55 ans) Trésorier Général, avocat au sein de JuriscapA depuis 2015, ainsi qu’Elodie Sarfati (36 ans) Trésorière Générale Adjointe, Fondatrice et Présidente de People In.


Rhonéa sélectionnée par Bpi France pour intégrer le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’

Dans le cadre du programme ‘Entrepreneuriat pour tous’, le ministère chargé de la Ville et Bpifrance lancent la nouvelle édition de ‘Talents des Cités’. Il s’agit là d’un concours ouvert aux entrepreneurs en devenir et en activité dans les Quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV). Les entrepreneurs ont jusqu’au 13 juin 2021 pour candidater.

Le concours ‘Talents des Cités’ a pour objectifs de repérer, récompenser et accompagner les réussites entrepreneuriales issues des quartiers prioritaires de la ville. Chaque année, il récompense une trentaine de créateurs d’entreprises. En 2020, la tarasconnaise Souad El Boutahiri avait ainsi obtenu le prix régional dans la catégorie ‘création’. L’institut ‘Dermo Beauty by S’ , proposant des soins de beauté à l’aide de technologies innovantes a bénéficié d’une dotation financière et d’une belle exposition médiatique.

« Dans les quartiers, on a, autant qu’ailleurs, l’envie d’entreprendre et le droit de réussir. La création d’entreprise est un levier fort d’émancipation mais aussi d’attractivité pour ces territoires fragiles. Celles et ceux qui osent, qui prennent des risques, doivent être soutenus et récompensés », indique la ministre chargée de la Ville, Nadia Hai. En 20 ans d’existence, ce sont près de 600 entrepreneurs récompensés.

Qui peut participer ?

Tout candidat résidant en quartier prioritaire de la ville*, ayant installé ou ayant le projet d’y créer une entreprise. Le candidat doit être suivi par un organisme d’accompagnement ou de financement à la création d’entreprise.

*liste des quartiers prioritaires sur https://sig.ville.gouv.fr/

Quels critères de sélection ?

Les candidats seront évalués sur leur parcours, leur motivation, leur profil entrepreneurial et bien-sûr à l’aune de leur viabilité économique et de l’impact de leur activité sur le quartier (créations d’emplois et de lien social).

Comment y participer ?

Il suffit de candidater avant le 13 juin sur la plateforme: https://talentsdescites.plateformecandidature.com/. Les référents locaux BGE, réseau national d’appui à la création et la reprise d’entreprises, en lien avec les responsables créations et entrepreneuriat de Bpifrance, sont à la disposition des candidats pour répondre aux questions.

Deux catégories

La catégorie émergence est destinée aux porteurs de projet issus des QPV* et/ou souhaitant s’installer dans un QPV*. La catégorie création est destinée aux créateurs d’entreprise en activité depuis moins de trois ans, issus et/ou implantés dans un QPV*. Ils doivent avoir bénéficié d’un accompagnement par une structure d’appui à la création d’entreprise.

Quelles dotations ?

Les lauréats régionaux de la catégorie création se verront remettre une dotation de 2 000 euros, ceux de la catégorie émergence, une dotation de 1 000 euros. Les lauréats nationaux recevront des dotations monétaires pouvant aller jusqu’à 7 000 euros (montant défini par le partenaire récompensant le prix) ou une campagne de visibilité média.


Rhonéa sélectionnée par Bpi France pour intégrer le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’

Camina, incubateur d’entrepreneuriat social porté par Initiative Terres de Vaucluse, lance un appel à candidatures du 26 avril au 19 juillet 2021. 10 projets seront sélectionnés, pour débuter leur accompagnement à partir de la mi-septembre et jusqu’à la mi-janvier 2022.

Camina accompagne dans l’expérimentation du projet (création d’entreprise ou d’association) et soutient la volonté d’innovation sociale. « Vos projets sont porteurs de sens et de liens, ils bénéficient au territoire et peuvent être générateurs d’emplois locaux et durables. » L’incubateur soutient les projets d’utilité sociale et environnementale autour de différentes thématiques : la réduction et valorisation des déchets, les énergies renouvelables, les économies d’eau, la mobilité, l’économie circulaire, le digital et environnement.

Eventail d’actions

Camina propose ainsi un travail collaboratif, une professionnalisation mais également une rencontre avec les acteurs publics et privés partageant l’entreprenariat social. L’accompagnement repose sur des ateliers avec des experts associés en création d’entreprise et en innovation sociale ; une méthodologie individuelle et collective et l’accès au réseau d’Initiative Terres de Vaucluse. Lors de cette 3e édition, l’incubateur a accompagné le tiers-lieu culturel ‘L’Eveilleur’, le projet ‘Azur’ pour l’organisation de collectes de déchets en méditerranée, ‘Caumino’ pour la création de cabanes en bois destinées aux personnes aidants/aidés ou la création d’un verre à bascule pour personnes malvoyantes.

En chiffres

1er incubateur d’entrepreneuriat social, Camina est porté par Initiative Terres de Vaucluse en partenariat avec la Région Sud Provence-Alpes-Côte-d’Azur, la Communauté d’Agglomération du Grand Avignon et Véolia. Depuis 2018, ce sont :

  • 46 dossiers reçus ;
  • 26 porteurs de projets accompagnés ;
  • 15 partenaires ;
  • 9 projets lancés.

Pour candidater : télécharger le dossier d’inscription sur www.initiativeterresdevaucluse.fr ou par email à florence.levasseur@initiativeterresdevaucluse.fr

L.M.


Rhonéa sélectionnée par Bpi France pour intégrer le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’

Le Boston Consulting Group vient de dévoiler son classement des 50 entreprises les plus innovantes du monde. Les géants américains de la tech monopolisent toujours les premières places : Apple, numéro un depuis plus de quinze ans, est suivi par Alphabet, Amazon, Microsoft et Tesla. Avec le contexte de pandémie, plusieurs entreprises du secteur pharmaceutique figurent dans le classement cette année. Le laboratoire américain Pfizer, qui a mis au point un vaccin et annoncé le lancement de deux médicaments contre le Covid-19, fait notamment son entrée dans le top 10.

Le secteur de la technologie et des télécommunications est de loin le plus représenté parmi les champions de l’innovation, et ce depuis la première publication de ce classement en 2005. Alors que des acteurs historiques de la tech, comme Apple, IBM ou Microsoft, continuent de se maintenir en tête de liste, de nouveaux poids lourds se sont imposés à la pointe de l’innovation au cours des dernières décennies, comme Google/Alphabet, Amazon, et plus récemment Huawei.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Rhonéa sélectionnée par Bpi France pour intégrer le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’

Renaud Muselier, président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur et également président des Régions de France, a négocié les contours du futur partenariat avec la Commission européenne: 117M€ ont été validés pour la Région Sud.

La validation de la stratégie du Plan de relance européen (React-EU) fait de la Région la première de France à pouvoir lancer des appels à projets sur des Fonds européens. 117M€ à consommer d’ici 2023 sont ainsi mis à la disposition des acteurs régionaux pour financer des projets de transition écologique et numérique, le fonds de roulement des PME (Petites et moyennes entreprises) et sa politique de santé.

La réunion de travail, regroupant la Commissaire européenne en charge de la Cohésion et des réformes, Elisa Ferreira, la ministre en charge de la Cohésion des territoires et des collectivités territoriales, Jacqueline Gourault, et le Secrétaire d’Etat chargé des affaires européennes, Clément Beaune, a déterminé les montants et les critères d’éligibilités sur la programmation 2021-2027.

Le Feder en appui à la recherche

Les conditions d’intervention du Feder (Fonds européen de développement régional) en faveur des projets de recherche étaient également à l’ordre du jour, évoquant la nécessité de « renouveler le soutien à des projets innovants et structurants pour le territoire régional, comme les projets de production d’hydrogène vert, d’éolien flottant, ou de réseaux de chaleur utilisant des énergies renouvelables. »

Pour le programme 2014-2020, les Fonds européens gérés par la Région représentaient alors 431M€, dont 126,2M€ dédiés à la recherche et l’innovation ; 43,6M€ aux services numériques ; 84,4M€ à la transition énergétique ; 20,2M€ à l’inclusion sociale et 141,5M€ à l’éducation et la formation.

Mobilité douce et numérisation

Notamment au centre des échanges: l’éligibilité des projets de mobilité durable en zone urbaine, notamment pour atteindre les objectifs de l’Union européenne en matière de transition énergétique et climatique. « Ces objectifs, fixés par la Commission dans le Pacte Vert, ne pourront se faire sans accompagner les principaux émetteurs de Co2 dans leur transition écologique, déclare Renaud Muselier. Des premiers appels à projets, lancés en mars, pour financer des projets de mobilité douce et le développement du numérique dans les communes seront suivis d’appels au mois de mai en faveur de la numérisation dans les collèges et les lycées et le soutien aux PME régionales. »

14 projets financés en Vaucluse

Dans le cadre du Contrat-Région 2021-2027, la région Paca engage par ailleurs 130M€ pour 14 projets en Vaucluse. Parmi ces derniers figurent notamment la mise en œuvre du Grand site de Fontaine de Vaucluse ou la construction du Pôle de recherche et de conservation du patrimoine vauclusien.

Concernant le ‘Sommet des Villes et des Régions européennes’ ayant lieu début 2022, sa tenue a été confirmée à Marseille. L’événement phare réunira plus de 15 000 élus locaux en provenance de toute l’Europe.


Rhonéa sélectionnée par Bpi France pour intégrer le programme ‘Accélérateur agroalimentaire’

Mis en place depuis 3 ans, le programme ‘FemmesEntrepreneuses’ est destiné à booster l’entrepreneuriat féminin. Pour soutenir cette 3e saison, Orange s’est engagée à soutenir 10 startups dans la région du grand sud est.

Le groupe Orange accompagne les porteurs de projet locaux par des mentors, dans le cadre d’un programme constitué de thématiques actuelles : l’Intelligence artificiel, la cybersécurité, le ‘média training’ ou des ateliers de vente et marketing. Les ‘start-uppeuses’ sélectionnées, bénéficient d’un suivi personnalisé pour répondre à leurs problématiques, des ateliers de partage avec des experts d’Orange, ainsi que des temps d’échange avec le réseau Orange et celui des #FemmesEntrepreneuses.

Basée à l’Isle-sur-la-Sorgue, c’est Mélanie Pin, CEO et co-fondatrice de ‘Getinshoot‘ qui a souhaité participer à cette aventure. L’application (IOS, Android) automatise à la vitesse de l’éclair la collecte des médias de tous les participants au cours d’un événement : l’organisateur du projet n’a plus qu’à créer sa vidéo compilation directement depuis l’application. « Tout s’est enchainé très vite, nous avons constitué l’équipe et commencé à travailler en août 2019. Tout est encore à inventer et à imaginer, c’est pourquoi nous avions besoin de conseils d’experts dans le domaine du numérique et digital. C’est une réelle opportunité pour nous, de faire partie de la saison 3 et de bénéficier du savoir-faire d’Orange. » témoigne Mélanie.

Pour Fabienne Dulac, directrice exécutive d’Orange France, « la révolution numérique n’est pas qu’une révolution technologique : elle est surtout une révolution culturelle qui rend toujours plus sensible les impératifs d’égalité professionnelle et de diversité. » La direction accompagne 100 femmes dans leur aventure entrepreneuriale, en mettant du savoir-faire au service du succès de leur projet.

https://www.echodumardi.com/tag/innovation/page/10/   1/1