16 mai 2024 |

Ecrit par le 16 mai 2024

« Option Innovation » : les élèves du Lycée Louis Pasteur à la rencontre de 3 startups

Vendredi 14 octobre, les élèves de terminale de la filière STMG du Lycée Louis Pasteur d’Avignon ont participé à l’opération « Option innovation », en collaboration avec la French Tech Grande Provence. Les élèves ont ainsi pu découvrir trois startups.

Dans le cadre de l’opération nationale « Option Innovation », initiée par Paris&Co, la chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse a accueilli, vendredi 14 octobre, 36 terminales de la filière STMG du Lycée Louis Pasteur d’Avignon.

Accompagnés de leur enseignant Xavier Bourgue, les élèves ont pu découvrir le métier de CEO, business developer et développeurs grâce à la participation de :

  • Dominique Brogi, fondatrice de Monsherif, un bouton connecté de sécurité pouvant servir dans de nombreuses situations. Le dispositif permet en un clic de géolocaliser, rassurer, alerter, enregistrer et appeler à l’aide.
  • Sébastien Giband et Dylan Duplan, développeurs chez Tut Tut France, la startup de livraison locale et express de particuliers à particuliers ou d’enseignes à particuliers.
  • Kévin Kastelnik, cofondateur de Dreaminzzz, un masque connecté pour accompagner les soins, la relaxation, ou encore le sport, via l’autohypnose.

Cette opération a permis aux élèves du Lycée Louis Pasteur de découvrir le parcours de l’idée jusqu’à l’internationalisation d’une startup et de préparer leur semaine de création de startup qui se tiendra en décembre, comme chaque année.

Dylan Duplan (à gauche) et Sébastien Giband (à droite) ont présenté leur startup de livraison locale et express aux élèves de terminales du Lycée Louis Pasteur © DR

J.R.


« Option Innovation » : les élèves du Lycée Louis Pasteur à la rencontre de 3 startups

Depuis plus d’une décennie, l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) réalise un classement annuel (Global Innovation Index) des pays les plus innovants de la planète. Ce palmarès s’appuie sur plusieurs éléments de mesure tels que le niveau de production créative, les demandes de brevet, les investissements en R&D, les infrastructures, mais aussi des indicateurs relatifs au contexte économique et aux capacités d’innovation propre à chaque pays.

Pour la 12ème année consécutive, la Suisse occupe la tête du classement, suivie par les États-Unis et la Suède. On observe peu de changements parmi les douze premiers de la liste par rapport à l’année dernière. La France, qui a fait son entrée dans le top 15 en 2020, oscille entre la 11ème et la 12ème place, au coude-à-coude avec la Chine, mais devant un autre géant asiatique de l’innovation : le Japon. Dans le détail, l’un des points forts de la France reste sa production créative (6ème rang mondial), une catégorie qui regroupe la création de biens et de services innovants, notamment dans le domaine numérique, ainsi que la production d’actifs incorporels (marques, savoir-faire, etc.).

De Tristan Gaudiaut pour Statista


« Option Innovation » : les élèves du Lycée Louis Pasteur à la rencontre de 3 startups

Du mercredi 5 au samedi 8 octobre, NRJ Global Régions Avignon organise les quatre jours de l’écomobilité à Buld’air. Les visiteurs auront l’occasion de découvrir les véhicules électriques de dernière génération.

L’écomobilité, également appelée mobilité douce ou mobilité durable, vise à développer les offres de déplacements et les infrastructures adéquates pour réduire l’impact des transports sur l’environnement.

Du mercredi 5 au samedi 8 octobre, NRJ Global Régions Avignon organise les quatre jours de l’écomobilité à Buld’air. De la voiture électrique, au vélo, en passant par le scooter, NRJ Global Régions Avignon et ses partenaires proposeront aux visiteurs la découverte d’un choix de véhicules permettant de limiter son impact sur l’environnement.

Un accueil petit-déjeuner se tiendra le mercredi 5 octobre de 8h30 à 9h30 à la Maison du Bon Café, pour présenter le salon et rencontrer les exposants.

Le salon, qui se veut pédagogique et fédérateur, accueillera les concessions Pierre Balbi Kia, 1807 Mobility Sérès, Peugeot Avignon et Seat Mazda. Les deux roues seront également à l’honneur avec la présence du groupe JMS Motos et S-écomobilité Avignon.

Le vendredi 7 et le samedi 8 octobre, l’association Origine et son président Nicolas Delarue seront présents sur le salon. Nicolas Delarue interviendra pendant ces deux journées pour échanger avec les passants et répondre aux principales questions des futurs utilisateurs de véhicules électriques.

Il présentera également ses deux projets à venir pour l’année 2023 : le 1er écorallye français neutre en émissions, de sa préparation jusqu’à son déroulement, ainsi qu’un forum entièrement dédié à l’écomobilité.

Prévu sur cinq jours au mois de juin 2023, l’écorallye Origine a pour objectif de donner l’expérience d’une pluralité de moyens de mobilité électriques (auto, moto, vélo, trottinette…) et de répondre aux nombreuses questions quant à leur usage (autonomie, borne de recharge…).

Les quatre jours de l’écomobilité du mercredi 5 au samedi 8 octobre à Buld’air, 130 chemin du Pont Blanc, Vedène.

J.R.


« Option Innovation » : les élèves du Lycée Louis Pasteur à la rencontre de 3 startups

Le Mondial du Bâtiment réunira, du 3 au 6 octobre à Paris-Porte de Versailles, les salons Batimat, Idéobain et Interclima. Pour cette nouvelle édition, 43 entreprises de Provence-Alpes Côte d’Azur exposeront leurs nouveautés. Parmi elles, cinq entreprises vauclusiennes, dont une nommée aux Awards de l’innovation 2022.

Le Mondial du Bâtiment s’affirme comme un observatoire des grandes mutations du monde du bâtiment et comme la vitrine de l’innovation. Du 3 au 6 octobre, plus de 2 600 exposants seront réunis au sein de trois salons : Batimat, Idéobain et Interclima.

Cette année, le 1er rendez-vous mondial du bâtiment et de l’architecture accueillera de nouveaux espaces, qui font écho aux préoccupations des acteurs de la filière : low carbon construction, espace bois, espace photovoltaïque ou encore interior & garden.

Pour cette nouvelle édition, 43 entreprises de Provence-Alpes Côte d’Azur seront exposantes sur les salons Batimat, Idéobain et Interclima. Parmi elles, cinq entreprises vauclusiennes, dont une nommée aux Awards de l’innovation 2022.

Cinq entreprises pour représenter le Vaucluse

Parmi les entreprises présentes sur le salon Batimat, quatre sont vauclusiennes : Albioma, producteur d’énergie renouvelable indépendant engagé dans la transition énergétique grâce à la biomasse et au photovoltaïque ; Delta Plus, qui conçoit, fabrique et commercialise des protections individuelles et collectives pour les professionnels ; Mirbat Groupe, leader de l’isolation projetée en Europe ; Siniat, spécialiste de l’aménagement intérieur, plâtre et isolant pour cloison, plafond, doublage.

Parmi les entreprises présentes sur le salon Interclima, une seule entreprise vauclusienne : Eid, fabricant de liaisons frigorifiques et d’accessoires de climatisations.

Siniat nommée aux Awards de l’innovation 2022

Les Awards 2022 de l’innovation ont enregistré 167 candidatures. Parmi elles, les 43 jurés ont nommé 82 innovations au cours des votes qui se sont déroulés du 17 au 20 juin. 27 lauréats ont été retenus au cours de nouvelles délibérations.

Si Siniat n’a pas été lauréat, l’entreprise a le mérite d’avoir fait partie des 59 nommées de Batimat, pour ses panneaux Defentex. Les visiteurs du Mondial du Bâtiment auront la possibilité de découvrir cette innovation, du 3 au 6 octobre à Paris-Porte de Versailles.

Panneaux Defentex de Siniat nommés aux Awards de l’innovation 2022 © DR Siniat

Mondial du Bâtiment, du 3 au 6 octobre à Paris-Porte de Versailles, de 9h à 19h.

J.R.


« Option Innovation » : les élèves du Lycée Louis Pasteur à la rencontre de 3 startups

L’événement Med’Agri se tiendra du 18 au 20 octobre prochain au parc des expositions d’Avignon.

« Nous devons absolument innover pour préserver nos ressources » martèle d’entrée de jeu André Bernard, président de la Chambre régionale d’agriculture, lors de la conférence de presse de présentation à la Maison des vins d’Avignon. « Nous sommes confrontés à un véritable bouleversement climatique, canicule, déficit en eau, pouvoir d’achat en berne avec la flambée du prix des matières premières, fuel, engrais. Mais nous nous en sortons plutôt mieux que d’autres dans la Région Sud, grâce à de nouvelles variétés végétales moins gourmandes en eau qui résistent au stress hydrique, grâce à de nouvelles pratiques techniques, les paysans ont su s’adapter. »

350 exposants sur 14 000m2
Jean-Pierre Bourdin, le directeur général de Med’Agri se félicite de l’inscription de 350 exposants pour ce salon de 14 000m2 au Parc de Châteaublanc : « Les professionnels ont hâte de se retrouver en présentiel, dans d’effervescence de ce rendez-vous tous les 2 ans à Avignon, après deux années de crise sanitaire, de visio-conférence et de digital ».

Au nom du Syndicat général des vignerons, son président Denis Guthmuller rappelle que « La viticulture est la filière majeure de l’agriculture en Vaucluse et dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Notre syndicat répond présent depuis le lancement de Med’Agri. Nos vignerons contribuent à la préservation et mise en valeur de nos terroirs. Nous avons élaboré des Cahiers des charges de production, des missions de contrôles, une Charte paysagère pour toujours mieux respecter l’environnement, la bio-diversité, les oiseaux, les abeilles, les chauves-souris. Nous avons des ‘Ateliers vers de terre’ qui sont nos indicateurs de vie, de ce qui se passe sous terre, nous avons des cépages nouveaux, résistants à la sècheresse, aux maladies cryptogamiques comme aux attaques d’insectes ».

Christian Gély, le vice-président de la Chambre d’agriculture a présidé le jury du Grand Prix de l’Innovation qui sera décerné le 19 octobre à 18h. Sur les 25 dossiers envoyés, c’est l’Aprel, station d’expérimentation de la filière légumes en Provence qui l’a décroché pour une machine qui nettoie les paillages plastiques des salades et permet de les recycler au lieu de les jeter. 2e : Coquas, une ligne qui ‘casse’ les fruits secs à coques (noisettes, amandes, noix, pistaches et arachides). 3e : Thermitube, des tuyaux de 50cm de diamètre qui serpentent dans les serres pour récupérer la chaleur le jour et la restituer la nuit, donc consommer moins.

Trois de jours de rencontres, d’ateliers, de conférences et de démonstrations
Pendant 3 jours, les rencontres, conférences, ateliers et démonstrations vont se succéder pendant ce salon pour diffuser un maximum d’informations sur les solutions innovantes pour répondre aux enjeux de l’agriculture et de l’alimentation de demain. Sans faire une liste exhaustive à la Prévert : conséquences de la guerre en Ukraine sur l’agriculture européenne, nutrition azotée en grandes cultures, nouvelle PAC (Politique agricole commune) qui s’appliquera à partir de janvier 2023 avec des euro-députés en duplex du Parlement de la CE à Strasbourg, débouchés de la méthanisation pour produire une énergie renouvelable, un bio-carburant, l’agriculture du Ventoux face au changement climatique, la bio-dynamie, l’oléiculture bio, la filière cerise d’avenir, les clés de l’urbanisme pour diversifier l’agritourisme et l’accueil à la ferme ou dans les caves de vignerons, la démarche « Produisons et consommons responsables », les propositions des Agriculteurs solidaires pour limiter le gaspillage, les invendus (dons, cueillettes solidaires).

65e congrès des producteurs de ‘légumes de France’
Les producteurs de ‘Légumes de France’ tiendront justement leur 65e Congrès au coeur du Parc des Expositions les 20 & 21 octobre. Leur filière est la 3ème en Europe avec 31 000 exploitations, 80 000 emplois et 125 000 hectares. Elle fera le point notamment sur le maraîchage, l’arboriculture, la viticulture, l’oléiculture, les élevages ovins et caprins, les plantes aromatiques, les légumineuses, mais aussi la gestion durable des ressources. Et le jeudi sera érigée devant la mairie d’Avignon, place de l’Horloge, une pyramide de fruits et légumes frais d’une tonne et demi pour rendre visible la diversité de productions de nos paysans. Ils seront ensuite redistribués auprès d’associations caritatives via le groupement du MIN (Marché d’intérêt national). « Une main tendue vers les plus démunis pour lutter contre la faim et le gaspillage » comme le dira Gérard Roche, un des représentants vauclusiens de la filière.

Autre pôle de ce salon, celui de l’orientation, l’apprentissage, la formation dans le monde agricole. A l’attention des demandeurs d’emplois comme des jeunes collégiens (700 sont invités à visiter Med’Agri) avec une mine de métiers à découvrir dans la production des produits de la terre, leur transformation, leur commercialisation, l’aménagement des paysages, la protection de l’environnement, les activités hippiques, l’élevage, les soins aux animaux.

Arrêter ‘l’agri-bashing’
Georgia Lambertin, la présidente de la Chambre d’Agriculture de Vaucluse insistera de son côté sur la richesse de notre terroir et évoquera l’adaptation en cours de nos agriculteurs au changement climatique avec l’étude qui est menée depuis des années avec les paysans du Ventoux. Autre femme qui compte dans le paysage agricole de Vaucluse : Bénédicte Martin, conseillère régionale qui se bat depuis des années aux côtés de nos producteurs puisque la Région Sud est leur partenaire. En 2021, 23M€ ont été consacrés au développement rural auxquels il faut ajouter 46M€ issus du Fonds Européen Agricole. « Environnement – eau – climat constituent le tryptique d’une agriculture durable et compétitive, dira-t-elle. L’innovation est le nerf de la bataille en irriguant plus avec moins d’eau et surtout faire ruisseler l’agri-loving plutôt que l’agri-bashing auprès de nos paysans qui se décarcassent ».

Dernier intervenant lors de cette présentation de Med’Agri, David Ferry, représentant de la CNR (Compagnie nationale du Rhône) à Villeneuve-lès- Avignon. « Nous sommes un partenaire historique des agriculteurs pour favoriser l’irrigation et nous avons réalisé une quarantaine de prises d’eau qui ont permis aux agriculteurs d’être reliés au Rhône et d’arroser leurs milliers d’hectares. Les différents Plans Rhône ont participé à la protection de la ressource en eau, à l’optimisation de sa consommation ». Mais il a lancé un cri d’alarme : « Attention, le débit du fleuve s’est considérablement réduit sous l’effet de la canicule et de l’absence de pluie cette année, du coup pour 2022 notre production hydro-électrique accusera une baisse de 25 à 30% ».

Contact : www.med-agri.com


« Option Innovation » : les élèves du Lycée Louis Pasteur à la rencontre de 3 startups

Samedi 17 et dimanche 18 septembre ont lieu les Journées du patrimoine et avec elles la découverte des 5 musées départementaux, des archives et de l’Hôtel. En plus des accès gratuits, des animations inédites et des conférences. Pile le moment de faire votre choix.

Archives départementales du palais des papes
Pour la première fois, les Archives départementales proposent aux visiteurs de se laisser piéger dans les parties du Palais des papes qu’elles occupent. Pour en échapper, il faudra résoudre des énigmes. Samedi et dimanche, départs toutes les heures de 11h à 18h, par équipe de six personnes maximum. Inscription 04 90 86 16 18. Vous ne pouvez pas vous y rendre ? D’autres dates seront proposées jusqu’à fin décembre.

Les archives départementales de Vaucluse à Avignon, au palais des papes

Exposition Marque déposée
Dans le hall d’entrée des Archives, l’exposition Marque déposée valorise des documents originaux et reproduits issus des dossiers de dépôt de marque de fabrique, laissant ainsi découvrir un Vaucluse industriel et commercial entre le XIXe et le XXe siècle.

Le symbole de la marque déposée

Hôtel du Département
Construit à partir de 1710 par l’architecte François II Franque et son fils Jean-Baptiste, l’hôtel Desmarets de Montdevergues est classé au titre des monuments historiques depuis 1932.
La collectivité départementale y est installée depuis 1876 et aujourd’hui encore, c’est là que siègent et délibèrent les Conseillers départementaux.
Samedi et dimanche visites guidées à 13h30, 14h30, 15h30, 16h30. Nombre de places limité, réservation au 04 90 16 74 76 ou culture@vaucluse.fr, place Viala, Avignon intramuros.

Musée d’histoire Jean Garcin 1939-1945, l’Appel de la liberté à Fontaine-de-Vaucluse
La section La Liberté de l’esprit, consacrée à l’essor des idéaux de la Résistance dans les Lettres et les Arts et à l’engagement des intellectuels en guerre, a rouvert en 2022 avec une scénographie renouvelée. Elle présente une riche collection d’éditions originales, de manuscrits et d’illustrations des auteurs et artistes de la période : Louis Aragon, Roger Bernard, André Breton, René Char, Robert Desnos, Paul Éluard, Max Jacob, Georges Rouault, Elsa Triolet, Tristant Tzara, Vercors, Fernand Léger, André Masson, Henri matisse, pablo Picasso et d’autres encore…
Samedi et dimanche à 11h. Réservation 04 90 20 24 00. Entrée libre du musée le samedi et le dimanche de 11h à 13h et de 14h à 18h.

Extension du musée Jean Garcin à Fontaine-de-Vaucluse

Lecture-concert ‘Le feu aux barbelés’, hommage à Rudolf Leonhard
Cette lecture sensorielle redécouvre l’œuvre poétique de Ruldof Leonhard, l’un des principaux écrivains allemands exilés en France, résistant, et interné dans le sud de la France pendant la Seconde Guerre mondiale. Philippe Bertin à la voix et Gabrielle Randrian Koehlhoeffer à la contrebasse interprètent une sélection de textes issus du Cycle de la prison de Castres et de la suite de ‘En fuite vers un abri’.
Dimanche 18 septembre à 15h. Sur inscription au 04 90 20 24 00. 271, chemin de la Fontaine à Fontaine-de-Vaucluse.

Musée-Bibliothèque François Pétrarque à Fontaine-de-Vaucluse
Exposition Femme paysage
out est mystère et magie dans l’œuvre de Claudine Aspar. Ses créatures, par leur nature, leur aspect, donnent figure et existence aux réalités terrestres et célestes.
Son univers artistique, sur un mode « figuratif » et « narratif », embrasse les couleurs, envahit l’espace en déployant une diversité de techniques et matériaux de création : gravure monotype sur plaques, papier contrecollé sur tissu, enduit acrylique, céramique, broderie, incrustation de matériaux.
L’expression de Claudine Aspar est résolument baroque et procède d’une logique de l’accumulation, de la concentration, de l’ajout perpétuel de créatures dans la sphère de l’irrationnel.
Entrée libre : samedi et dimanche de 11h à 13h et de 14h à 18h. Rive Gauche de la Sorgue à Fontaine-de-Vaucluse.

Musée Bibliothèque François Pétrarque à Fontaine-de-Vaucluse

Visites commentées : Histoire, mythes et légendes de Fontaine-de-Vaucluse
Visite dans le village et au musée autour de l’histoire de Fontaine-de-Vaucluse, ses mythes et ses légendes : le culte des eaux, la reine Ponsirade, la nymphe et le ménestrel, saint Véran… qui ont inspiré les œuvres de Claudine Aspar pour l’exposition Femme paysage.
Samedi et dimanche à 14h30, sur inscription au 04 90 20 37 20.

Musée de la Vannerie à Cadenet
Démonstrations et exposition d’éco-vannerie par Élodie Valade. L’éco-vannerie consiste à recycler de vieux journaux et prospectus grâce à la technique ancestrale de la vannerie. Le papier est transformé en tube pour imiter les brins d’osier et permet ainsi la réalisation d’un grand nombre d’objets.
Originaire de Cabrières-d’Avignon et installée à Villars, Élodie Valade s’est découvert il y a quelques années une véritable passion pour cette pratique écoresponsable qu’elle partage auprès des publics
Samedi et dimanche de 14h à 17h. Entrée libre du musée : samedi et dimanche 18 de 11h à 13h et de 14h à 18h. Avenue Philippe de Girard à Cadenet. Renseignements au 04 90 68 06 85.

Musée de la vannerie à Cadenet

Musée de la Boulangerie à Bonnieux
Ouverture exceptionnelle. Entrée libre samedi et dimanche de 14h à 18h. 12, rue de la République à Bonnieux. Renseignements au 04 90 75 88 34

Musée du Cartonnage et de l’Imprimerie à Valréas
Visite parfumée de l’exposition « Jolies Frimousses » par Christèle Jacquemin, artiste et artisane parfumeuse, Christèle Jacquemin vous dévoile dans cette visite olfactive les secrets de la fabrication des parfums qui servaient à parfumer les poudres de riz de la Belle Époque aux années 1950. Une manière originale de découvrir la collection de boîtes à poudre du musée.
Samedi à 11h, sur inscription au 04 90 35 58 75. 

Musée du cartonnage à Valréas

Rencontre avec Matthieu Grillet
Présentation de la nouvelle acquisition du musée Sortie d’usine, en présence de l’artiste, Matthieu Grillet et de Didier Bruchon, dont la création vidéo-sonore accompagne l’œuvre au sein du musée. L’œuvre en carton de Matthieu Grillet est dévoilée au public après des mois de fabrication. Il sera possible de contempler l’aboutissement de ce projet participatif imaginé pour le 30e  anniversaire du musée et d’échanger avec l’artiste.

Cinéma pour les oreilles
Cet intermède vidéo-sonore a été créé par Didier Bruchon et construit sur la base des enregistrements réalisés à Valréas, pour une découverte sensorielle de la création artistique de l’œuvre Sortie d’Usine.
Samedi et dimanche à 14h. Entrée libre du musée avec animation musicale : samedi et dimanche de 10h à 13h et de 14h30 à 18h. 3, avenue Maréchal Foch à Valréas. Renseignements au 04 90 35 58 75
MH


« Option Innovation » : les élèves du Lycée Louis Pasteur à la rencontre de 3 startups

La société BLR Aviation, située à Entraigues-sur-la-Sorgue, est spécialiste des drones depuis 11 ans. Aujourd’hui, l’entreprise enclenche la vitesse supérieure et se tourne vers les eVTOL, des aéronefs électriques à décollage et atterrissage vertical, autrement dit des voitures volantes.

Le marché de la mobilité aérienne urbaine grandit chaque jour et est estimé à plus de 17 milliards de dollars d’ici 2030, dont 30% en Europe. Les technologies évoluent à vitesse grand V. Aujourd’hui, les drones sont de plus en plus imposants et ils permettent le transport de charges de plus en plus lourdes telles que les marchandises ou même les personnes. Alors, est-il si audacieux d’imaginer un futur proche où les voitures volantes existent ?

BLR Aviation vient de concevoir un prototype informatique de voiture volante. Ce dernier est un véhicule hybride qui fonctionne sur batteries électriques. Il pourrait transporter 2 personnes, ou jusqu’à 250 kg de charge utile, avec une masse maximale de 550 kg. Il est composé de quatre bras équipés de deux moteurs monopales chacun. Ces bras se déploient pour permettre à la voiture de décoller. De nombreux tests ont été réalisés afin de collecter diverses données sur l’aérodynamisme du prototype, sur la résistance de ces matériaux, etc. Ces tests étaient nécessaires pour que la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) homologue l’engin.

Quelles spécificités aura cette voiture volante ?

« Nous voulons vendre un modèle très haut de gamme, en série limitée, annonce directement Azouaou Ghezali, directeur technique. La volonté de BLR Aviation est de faire du sur-mesure. » Pour ce faire, l’entreprise a fait le choix de concentrer son savoir-faire sur le chassis du véhicule.

Ainsi, la voiture volante BLR Aviation sera équipée d’un châssis monocoque fait entièrement de carbone. Il sera donc léger et très résistant. De plus, il sera autoextinguible, c’est-à-dire qu’il pourra brûler dans un feu, mais qu’il s’éteindra tout seul une fois sorti des flammes. Il sera également insubmersible et équipé de multiples systèmes de sécurité pour permettre de transporter des passagers, mais également d’assurer des missions à risque comme la lutte contre les incendies ou des interventions sur des zones difficiles d’accès.

Les équipements de la voiture volante seront variables en fonction de son utilisation. Il sera possible d’y ajouter un brancard par exemple, ou encore système de largage de retardant pour un véhicule pompier ou un système d’épandage pour un véhicule agricole. Les engins pourront voler entre 45 à 120 minutes selon les modèles.

Un projet pour l’humain et pour l’économie

« Notre projet est porteur de sens car il répond dans ses déclinaisons à de nombreux problèmes », explique Benoit Fahy, responsable administratif et financier. En effet, l’engin pourra avoir de multiples fonctions : évacuer des blessés, transporter des organes, lutter contre les feux de forêt ou les incendies en hauteur, éviter la saturation du trafic automobile dans les grandes métropoles, et bien d’autres.

« Notre entreprise a vocation à se développer très rapidement et à vendre dans le monde entier. »

Benoit Fahy

De plus, cette nouvelle technologie permettra la création de nombreux emplois en Vaucluse et plus largement dans la Région Sud. L’équipe de BLR Aviation devrait bientôt en compter dix personnes. « Compte tenu du marché qui s’ouvre, l’entreprise a vocation à atteindre la centaine de collaborateurs », affirme Damien Blairon, le fondateur. Le Département et la Région apportent d’ailleurs le soutien à l’entreprise dans sa recherche de fonds et de subventions. « Nous visons a minima 3 millions d’euros en fonds propres, idéalement apportés par des entrepreneurs souhaitant partager leur expérience au sein de notre comité stratégique.

De gauche à droite : Damien Blairon (fondateur), Azouaou Ghezali (directeur technique et recherche), Kevin Hugues (directeur energie). ©BLR Aviation

Où en est le projet ?

Pour lancer son projet, Damien Blairon s’est associé à un investisseur qui a apporté 300 000€ pour financer la recherche et le développement. C’est ainsi que Damien a pu embaucher son directeur technique : Azouaou Ghezali. L’équipe a pu aménager un local de 280 m² comprenant une salle de réunion et un bureau d’étude, un atelier de production, et un espace de stockage. Cet investissement a également permis à la société de s’équiper de matériel de découpe spécifique au carbone, de four, de pompe à vide, ou encore de stock de matériaux composites.

Aujourd’hui, le prototype informatique de la voiture volante commence à prendre forme, notamment avec la finalisation du maître moule du châssis monocoque. Pour parvenir à l’étape suivante de commercialisation de ses appareils, BLR Aviation lance une seconde levée de fonds de 6 millions d’euros.

Le moule du châssis. ©BLR Aviation

« Option Innovation » : les élèves du Lycée Louis Pasteur à la rencontre de 3 startups

C’est en septembre, dans le 10e arrondissement de Marseille au sein d’un parc de verdure de plus de 6 000 m2 que Well Place ouvrira sur plus de 1 300m2 la première maison de coworking médical en France.

Dédiée aux professionnels de santé : médecins généralistes, spécialistes, praticiens paramédicaux, thérapeutes, ouverte 6 jours sur 7 sur rendez-vous, de 7h à 21h, Well place offrira une quarantaine de salles de consultation, fournies d’équipements dernière génération mis à disposition des praticiens de manière évolutive, 6 salons d’attente, et surtout, tout un panel de services dans un environnement communautaire des soignants : de quoi accueillir une centaine de praticiens et 600 à 800 patients par jour.

Ouvertes à la location de manière évolutive
Pour une durée variable : à la demi-journée, journée, semaine, mois ou à l’année, selon les besoins de chacun, les 39 salles de consultation seront entièrement meublées, dotées de tables de consultation et de tous les équipements, dispositifs médicaux et consommables adaptés en fonction des spécialités. Elles offriront un cadre agréable pour les patients et seront adaptées aux praticiens qu’ils soient généralistes, spécialistes, paramédicaux ou thérapeutes : ostéopathes, diététiciens, psychologues, psychothérapeutes, orthophonistes.

Une expérience de travail inédite pour les professionnels de Santé
L’originalité de la formule ? Améliorer la qualité de vie au travail des professionnels de santé. Pour cela Well Place ambitionne d’installer ses maisons dans des espaces privilégiés -La première Maison Well Place se situe 166, rue François Mauriac dans le 10e arrondissement de Marseille et prévoit également des espaces partagés pour les praticiens  restauration avec cuisine équipée, terrasse végétalisée, salles de réunion, espaces de coworking, jardin paysagé, salles de repos ainsi qu’un panel de services : vestiaires, salles de douche, conciergerie personnelle et médicale, cours de sport, parkings privatifs, ainsi que des évènements : conférences, rencontres networking, ateliers et formations.

Des outils numériques 
Immeuble connecté, gestion des plannings via Doctolib, messagerie privée pour échanger entre praticiens, réservation des salles via une application dédiée, imprimantes connectées, soutien administratif : télé-secrétariat, services de comptabilité, portabilité, envoi et réception de courriers et services de ménage, pressing, réparation de voiture, livraison de repas pourront également être mis à disposition par une équipe de 10 personnes qui accompagneront au quotidien les praticiens qui le souhaitent.
«Soulager la charge mentale des praticiens est une des clés du concept précise Michaël Solal, co-fondateur et Directeur Marketing, Ventes et Santé de Well Place. Nous créons des outils et processus qui les aident à ne penser qu’à leurs consultations.»

Révolutionner le cabinet médical
«À l’heure où les professionnels de santé sont au bord du burn out et souffrent de plus en plus d’isolement, nous souhaitons révolutionner le cabinet médical, avec une offre 100% évolutive et surtout, un écosystème de santé unique, une communauté médicale ouverte à tous, permettant aux praticiens d’échanger entre pairs et retrouver l’esprit communautaire de leurs études. Car nous pensons que l’amélioration du parcours de soin passe par des conditions de travail optimales pour les praticiens et d’un accès direct à une communauté pluridisciplinaire avec laquelle échanger et évoluer. Notre offre facilite leur pratique afin qu’ils puissent se concentrer sur leur cœur de métier, le soin, en toute sérénité et convivialité. » explique Laurent Dahan co-fondateur et Président de Well Place.    

Témoignage
«Ce système va pouvoir permettre de dégager du temps pour les patients et de gagner en sérénité, précise Olivier Peyronel, médecin généraliste et urgentiste. A l’hôpital nous sommes dans un cocon. Tout est géré pour nous. Dès que l’on est en libéral, nous sommes livrés à nous-mêmes et rien n’a été préparé : les relations avec la sécurité sociale, les logiciels de médecine générale, la gestion des consommables, tout cela prend du temps. Je vais pouvoir tisser des relations privilégiées avec des spécialités avec lesquelles je n’avais pas forcément accès antérieurement. Cela va aussi me libérer des tâches du quotidien qui polluent ma pratique médicale ; permettre d’améliorer l’expérience praticien et patient.»

À propos de Well Place
Fondée en 2022 par Laurent Dahan, Président, Michaël Solal, Directeur Marketing, Ventes et Santé et Vincent Eriani, Directeur Technologies et Bâtiments, Well Place souhaite révolutionner le secteur du cabinet médical avec une offre unique en France dédiée aux médecins généralistes, spécialistes, paramédicaux et thérapeutes alliant location 100% flexible de cabinets équipés, espaces partagés, coworking, services bien-être et écosystème communautaire, visant à améliorer la qualité de vie au travail des praticiens de santé. Un concept unique en France : le premier établissement ouvrira ses portes en septembre 2022 à Marseille. D’autres ouvertures sont prévues en France courant 2023. 
166, rue François Mauriac à Marseille. 04 12 04 04 60 https://www.wellplace.fr/


« Option Innovation » : les élèves du Lycée Louis Pasteur à la rencontre de 3 startups

Le département de Vaucluse poursuit son développement numérique. En même temps qu’il achève le déploiement de Très Haut Débit (THD) sur tout le territoire et qu’il équipe 170 sites touristiques de bornes wifi gratuites, il lance une nouvelle application destinée à faire découvrir la diversité de ses richesses : Explore Vaucluse.  

Le département de Vaucluse poursuit son développement numérique en lançant une application d’ores et déjà disponible sur smartphone, PC et tablette : Explore Vaucluse. Cette application permet à chacun et de n’importe où d’obtenir une multitude d’informations sur le Vaucluse.

Couplée à l’installation de bornes wifi sur les sites touristiques (places de village, musées…), cette application permet aux visiteurs d’accéder gratuitement à : la présentation complète des sites touristiques, d’événements, d’activités, des marchés, etc. ; des propositions de sorties ou de visites ; une cartographie interactive des points d’intérêt ; toutes les informations pratiques sur les sites ; la météo, les alertes, les fréquentations, etc.

Le département a développé ce nouvel outil en collaboration avec Vaucluse Provence Attractivité (VPA), son agence de développement, et grâce au soutien financier de l’Union Européenne via le fonds européen de développement régional (FEDER). L’occasion de répondre aux nouvelles attentes des visiteurs en matière d’accès direct et rapide à l’information tout en favorisant la découverte de lieux moins connus.

En complément, l’installation de bornes wifi
Près de 170 sites (musées, cœurs de villes et de villages, sites de loisirs et de vélos, offices de tourisme, etc.), soit environ 700 points d’accès, sont en cours d’équipement en bornes wifi. Cette nouvelle infrastructure devrait être achevée d’ici la fin 2022.

Ce réseau de bornes wifi permettra de mieux connaître les besoins et demandes des visiteurs par l’analyse des données enregistrées (durée des visites, sites fréquentés, etc.). L’offre et les services proposés pourront être améliorés et/ou adaptés.

Le département assure l’installation et la maintenance des bornes notamment grâce à l’aide du fonds européen FEDER qui a financé 70% des 2,5 M€ du projet.

Pour accéder à la web application : www.explorevaucluse.com

J.R.

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