16 juin 2025 |

Ecrit par le 16 juin 2025

Les principaux pays producteurs et importateurs de thé

Chaque année, le 21 mai marque la Journée internationale du thé, l’une des plus anciennes boissons au monde. Originaire de Chine, où les plus anciennes preuves archéologiques trouvées à ce jour indiquent que les empereurs de la dynastie Han buvaient du thé dès le 2e siècle avant J.-C, cette boisson s’est ensuite rapidement répandue à travers l’Asie et au-delà, devenant un élément central de nombreuses cultures. Aujourd’hui, le thé serait la deuxième boisson la plus consommée dans le monde, après l’eau : en 2023, le marché mondial du thé était ainsi évalué à près de 50 milliards de dollars. 

Le thé est l’une des boissons les plus anciennes et les plus appréciées au monde. Originaire de Chine, où les plus vieilles preuves archéologiques matérielles trouvées à ce jour indiquent que les empereurs de la dynastie Han buvaient du thé dès le 2e siècle avant J.-C, cette boisson s’est ensuite rapidement répandue à travers l’Asie et au-delà, devenant un élément central de nombreuses cultures.

Ce n’est qu’au 17e siècle que le thé a commencé à se répandre en Europe, grâce à la croissance des échanges commerciaux avec l’Orient. La Compagnie britannique des Indes orientales a notamment joué un rôle important dans l’exportation du thé de Chine vers l’Europe. Au 19e siècle, la popularité et la demande croissante de cette boisson dans les pays européens a conduit à la colonisation de nouvelles régions pour la culture du thé, comme par exemple en Inde, au Sri Lanka ou encore en Indonésie. Les Britanniques et les Hollandais y ont établi de vastes plantations pour répondre à l’essor de la demande mondiale.

Aujourd’hui, la production de thé reste dominée par une poignée de pays. Comme l’indique notre carte, près de 90 % de la production mondiale a lieu dans six pays : la Chine, avec 3,25 millions de tonnes produites en 2023 (49 % du total mondial), l’Inde : 1,37 million de tonnes (21 %), le Kenya : 570 000 tonnes (9 %), la Turquie : 270 000 tonnes (4 %), le Sri Lanka : 260 000 tonnes (4 %) et le Vietnam : 170 000 tonnes (3 %).

Le thé est ensuite exporté et consommé dans le monde entier. Les pays qui en importent le plus (en valeur) sont actuellement le Pakistan, les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Égypte, l’Allemagne et le Japon, avec des importations se chiffrant à plusieurs centaines de millions de dollars par an. Ensemble, ces six pays ont représenté environ la moitié de la valeur totale des importations de thé à l’échelle mondiale en 2024.

Thé ou café ?
Cependant, comme le montre notre infographie, basée sur des données récoltées par Statista dans le cadre des
Consumer Insights, le café était plus populaire que le thé dans presque tous les pays étudiés dans le cadre de l’enquête. Seuls trois pays – la Turquie, le Maroc et l’Inde – consommaient plus de thé que de café : en Turquie, 84 % des personnes interrogées disaient consommer régulièrement du thé, contre 80 % pour le café ; au Maroc, ils étaient 77 % à choisir le thé, contre 67 % pour le café ; enfin, en Inde, 66 % des répondants disaient boire régulièrement du thé, et 57 % du café. Nos compatriotes, quant à eux, préféraient largement le café, puisqu’il était consommé par 63 % des participants à l’enquête, contre seulement 43 % pour le thé.

De Tristan Gaudiaut et Valentine Fourreau pour Statista


Les principaux pays producteurs et importateurs de thé

Les associations Amitié et Entraide Franco-Marocaine (AEFM) et Perspective Rugby et Développement (PRD) viennent de lancer depuis la CCI de Vaucluse la mission économique ‘Morocco Business 2025’

Le siège de la CCI (Chambre de commerce et d’industrie) de Vaucluse à Avignon vient d’accueillir le lancement officiel de la mission économique ‘Morocco Business 2025’. Ce projet est initié par l’Association Amitié et Entraide Franco-Marocaine (AEFM) présidée par Hamid Rahmouni, et l’Association Perspective Rugby et Développement (PRD) présidée par Younes Khattabi. Il s’inscrit dans une volonté affirmée de renforcer les liens économiques et culturels entre la France et le Maroc.

Une délégation d’investisseurs en partance pour le royaume chérifien
Devant un parterre d’acteurs économiques et institutionnels, Tomas Redondo, directeur général de la CCI 84, a reçu les organisateurs pour une conférence officielle présentant les grandes orientations du projet. Ce lancement marque le départ d’une délégation de 20 participants, principalement des investisseurs, qui s’apprêtent à parcourir Casablanca, Marrakech et Rabat du 25 au 31 mai 2025 afin d’explorer les opportunités offertes par le Royaume chérifien et tisser des contacts durables.

Sous l’impulsion des deux présidents des associations ainsi que de leurs vice-présidents respectifs Zaki Gourmane et Hicham Laribi, la mission ambitionne d’aller bien au-delà d’un simple voyage d’affaires. Les organisateurs souhaitent en faire le socle d’un programme à long terme, avec des rendez-vous réguliers dans différentes régions marocaines. Leur objectif : valoriser tout le territoire, des grandes métropoles aux communes rurales, en adaptant les stratégies d’investissement aux réalités locales.

Contexte diplomatique favorable
« Ce projet s’inscrit dans un contexte diplomatique renouvelé, marqué par la reconnaissance officielle par la France de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, une décision qui ouvre de nouvelles perspectives de coopération entre les deux pays, expliquent les initiateurs de ce ‘Morocco Business 2025’. Le Maroc, qui accueillera plus de 30 événements culturels, sportifs et professionnels d’envergure dans les prochaines années, continue de se positionner comme un acteur clé du développement régional et international.»

Avec ce projet les organisateurs entendent tout particulièrement « construire des ponts durables entre les peuples et les territoires, dans un esprit de confiance, de fraternité et de réciprocité, illustrant ainsi le rôle moteur de la diaspora marocaine et des institutions locales dans la dynamique économique entre la France et le Maroc ».

L.G.

Contact : coordination.moroccobusiness@gmail.com ou 06 24 07 44 56


Les principaux pays producteurs et importateurs de thé

La CCI (Chambre de commerce et d’Industrie) de Vaucluse vient de recevoir une délégation marocaine de la Chambre africaine du commerce et des services (CACS) et de la Région Dakhla-Oued Eddahab. C’est avec cette région que la chambre consulaire vauclusienne a récemment conclu un partenariat pour la création d’un centre de formation dans le secteur de l’hôtellerie et la restauration qui sera situé à Dakhla.

Favoriser les échanges avec l’Afrique
Organisé par le vauclusien Thierry Robin, Délégué Europe de la CACS qui dispose désormais d’une antenne au sein de la CCI 84, la venue des représentants du royaume chérifien a permis de faire découvrir les savoir-faire de l’école hôtelière d’Avignon géré par la Chambre de commerce et d’industrie de Vaucluse.
Durant son séjour, la délégation marocaine a également visité les locaux de l’Inrae (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) situé à Agroparc. Ils ont aussi visité les installations de l’aéroport Avignon-Provence avant d’être reçu par Cécile Helle, maire d’Avignon, dans les salons de l’Hôtel de ville de la cité des papes.
Cette rencontre a été l’occasion de signer une convention de partenariat en présence du Consul du Maroc venu de Marseille qui a rappelé que son pays « était ouvert à toutes les coopérations, surtout avec la France » dans un département « qui compte 40 000 Marocains » d’origines.
Même volonté pour le maire d’Avignon qui s’est déclarée « favorable à ces échanges ». Dans ce cadre, outre l’école hôtelière, les secteurs de la l’agro-alimentaire, du transports, de la culture, de la désalinisation…

La délégation marocaine et la CCI de Vaucluse ont été reçues par Cécile Helle, maire d’Avignon.Crédit photo : Newcom

« Avec cet accord Dakhla ainsi qu’avec l’ouverture du bureau de la CACS dans nos locaux à Avignon, nous pouvons être une porte vers l’Afrique pour les entreprises vauclusiennes, explique Gilbert Marcelli, président de la CCI 84. A l’inverse, pour la délégation marocaine la Chambre de commerce et d’industrie pourrait constituer l’accès d’entrée à l’Europe.
Par ailleurs, Thierry Robin, qui figure parmi les organisateurs de nombreux salons des maires en France dont celui de Vaucluse à l’automne ou celui du Gard qui vient d’avoir lieu à Alès, va aussi organiser le 1er salon des maires du Maroc qui se déroulera à Marrakech. Il a donc profité de cette rencontre pour convier Cécile Helle à ce rendez-vous inédit en Afrique.

Une délégation chinoise reçue quelques jours plus tôt
Quelques jours auparavant, à l’occasion de la signature de la charte de jumelage entre le district de Bao’an-Shenzen et la ville d’Avignon, une importante délégation d’élus et des chefs d’entreprise chinois a aussi été reçue par la CCI de Vaucluse. Ces derniers ont visité l’entreprise Egide à Bollène, spécialisée dans la production de boîtiers hermétiques pour composants électroniques.
Le séjour s’est clôturée par une réunion à la CCI en présence notamment de Zhe Dong, 1er adjoint de Bao’an-Shenzen, Guangli Dong, Consul général de Chine à Marseille et Gilbert Marcelli, président de la CCI de Vaucluse afin d’évoquer la situation géographique (proximité de la mer, industrie et innovation, infrastructures…) de cette mégalopole … De nombreux chefs d’entreprise vauclusiens étaient présents pour l’occasion. « Une dynamique économique va être mise en place, entre la province Bao’an-Shenzen et le Vaucluse. Nous allons mettre en place un bureau d’échanges entre Avignon coeur de Provence, et la Chine, pour développer l’économie vauclusienne » s’est félicité pour l’occasion le président de la CCI.

La délégation chinoise en visite dans l’usine Egide de Bollène en compagnie d’Anthony Zillio, le maire de la ville. Crédit photo : Newcom

Les principaux pays producteurs et importateurs de thé

Le nombre d’inscrits au registre des Français établis hors de France était de près de 1,7 million au 1er janvier 2023. Cette inscription n’étant pas obligatoire, le ministère des Affaires étrangères estime au total qu’autour de 2,5 millions de citoyens français résident à l’étranger.

Comme le détaille le graphique ci-dessous, les cinq premiers pays d’accueil de la communauté française dans le monde sont, dans l’ordre, la Suisse, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Belgique et le Canada, avec chacun plus de 100 000 ressortissants enregistrés.

Parmi les autres pays qui comptent plus de 50 000 résidents français inscrits, on retrouve deux grands voisins de l’Hexagone, l’Allemagne et l’Espagne, ainsi qu’un pays entretenant des liens historiques et culturels forts, le Maroc. Ensemble, les huit principaux pays d’accueil regroupent plus de la moitié des expatriés français enregistrés.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Les principaux pays producteurs et importateurs de thé

Après l’invasion de l’Ukraine en février 2022, la Russie est devenue le pays le plus sanctionné au monde. L’État eurasien compte au total 14 153 mesures restrictives actives, dont la plupart ont été imposées depuis le 22 février 2022. Selon la plateforme de surveillance des sanctions Castellum.AI, la Russie avait 2 695 sanctions en vigueur avant la violente occupation du territoire ukrainien et 11 458 depuis, dépassant ainsi l’Iran, qui était de loin le pays le plus sanctionné au monde avant la vague de sanctions contre la Russie de l’année dernière.

Les États-Unis, la Suisse, le Canada, le Royaume-Uni et l’Union européenne sont les nations qui ont imposé le plus de sanctions à la Russie depuis le début de la guerre en Ukraine. La grande majorité de ces sanctions visent des individus, une petite partie frappe des entités étant généralement des entreprises ou des organismes publics.

De Claire Villiers pour Statista


Les principaux pays producteurs et importateurs de thé

Depuis un an, la guerre fait rage en Ukraine. Dès les premiers jours après le début de l’invasion en février 2022, la Russie a été frappée de plus de 1 000 sanctions économiques. Depuis, de 100 à 3 000 nouvelles restrictions ont été ajoutées chaque mois, comme le montre les données d’OpenSanctions, site de la cellule internationale d’investigation journalistique allemande CORRECTIV. Actuellement, on compte plus de 14 500 (au 10 février 2023) sanctions en vigueur contre des entreprises, des institutions ou des individus russes.

Selon les recherches, ce sont surtout des hommes politiques et des oligarques qui ont été frappés de blocages économiques, comme par exemple le gel des comptes européens. Parmi les entreprises sanctionnées, on trouve des banques russes, des entreprises d’armement mais aussi des groupes de médias comme Russia Today (RT), qui sont également actifs en Allemagne.

La plupart des mesures économiques (environ 2 100) ont été imposées par les États-Unis. La Suisse suit avec environ 1 500 sanctions. Le Royaume-Uni et l’UE ont chacun imposé près de 1.200 blocages. Outre les sanctions au niveau étatique, de nombreuses entreprises ont également décidé individuellement de cesser leurs activités en Russie, voire de se retirer complètement du pays.

De Claire Villiers pour Statista


Les principaux pays producteurs et importateurs de thé

GSE, l’entreprise avignonnaise spécialiste de la construction immobilière d’entreprises, poursuit son développement international en Chine avec un nouveau projet pour l’entreprise danoise DSV logistics.

L’entreprise dont le siège social se situe à Agroparc, est en charge d’un nouveau projet logistique en Chine. C’est la société danoise DSV Logistics qui est à l’origine de la commande. Le groupe scandinave propose des services de transport et des solutions logistiques dans près de 80 pays à travers le monde. Ce sont donc des entrepôts logistiques qui seront construits pour répondre aux besoins de leurs clients à Jiaxing dans la province du Zhejiang.

Lire aussi : Un nouveau siège social pour GSE, fleuron de l’économie vauclusienne – Dossier

26 ans de présence en Chine
Ce nouveau projet est un ancrage de plus dans le développement économique en Chine et à l’international de l’entreprise avignonnaise présente depuis 26 ans déjà au sein de l’Empire du Milieu.
« Notre connaissance de l’écosystème chinois et notre forte implantation sur place nous ont permis de guider DSV tout au long du process d’implantation, explique Roland Paul, président de GSE. Travaillant en étroite collaboration avec les équipes de DSV basées localement et au siège de Copenhague, GSE a aidé DSV à sélectionner la parcelle la plus appropriée après analyse de l’ensemble des variables de développement. »

Modélisation des bâtiments logistiques construit par GSE pour DSV Logistics. DR

40 000m2 dédiés à la logistique
L’ensemble logistique de 40 000m2 comprendra deux entrepôts à double étage de 32 300m2 en plus d’un entrepôt de stockage de marchandises dangereuses d’environ 6 700m2 d’un seul étage. S’ajoutera un ensemble de bureaux sur quatre étages d’environ 1 200m2.
Les travaux et la conception sont déjà en cours et la livraison est prévue pour le second semestre de 2024. C’est une conception rapide qui est permise par une composition de de colonnes en béton coulées sur site, des coffrages métalliques et des poutres et panneaux préfabriqués. Le complexe vise la certification LEED GOLD (un label écologique nord-américain) grâce à ses panneaux photovoltaïques sur l’ensemble de la toiture, placés dans une idée de neutralité énergétique.

Maylis Clément


Les principaux pays producteurs et importateurs de thé

« L’Union européenne envisage d’imposer des sanctions supplémentaires à l’Iran », a déclaré Josep Borrell, Haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, lors du Sommet de Prague début octobre – dans le contexte de renforcement de l’oppression des femmes iraniennes et des violentes répressions des manifestations qui ont eu lieu dans le pays.

Comme le montre notre graphique basé sur les données de Castellum.Al, la Russie est le pays le plus sanctionné au monde, avec 12 462 sanctions en vigueur recensées le 11 octobre, suivie par l’Iran qui en compte actuellement 3 709.

Avec l’Allemagne, le Danemark, l’Italie, l’Espagne et la Tchéquie, la France plaide actuellement pour de nouvelles sanctions européennes contre l’Iran. Ensemble, ils ont soumis aux partenaires de l’UE seize propositions concernant les personnes et les organisations iraniennes qui devraient faire l’objet de sanctions, a-t-on appris début octobre auprès du ministère des Affaires étrangères à Berlin.

Selon les informations du magazine allemand Der Spiegel, il s’agit principalement de « représentants de l’appareil répressif iranien ». Le 17 octobre, les ministres des Affaires étrangères de l’UE décideront de l’application de ces sanctions, d’après le journal.

De Claire Villiers pour Statista


Les principaux pays producteurs et importateurs de thé

Jeudi 13 octobre, Procamex, association d’exportateurs sur le pays d’Arles et le Vaucluse, organise son premier atelier de l’année, qui portera sur ‘les risques juridiques à l’international’.

La rentrée est là ouvrant une nouvelle saison aux projets à l’international. Pour son premier atelier de l’année, qui portera sur ‘les risques juridiques à l’international’, Procamex, association d’exportateurs sur les pays d’Arles et le Vaucluse, propose une intervention de Bruno Lefebure, avocat chez Fidal à Marseille, responsable du département droit économique et également conseiller du commerce extérieur et vice-président du comité PACAC des CCE. Afin de préparer cet évènement, les participants sont invités à communiquer leurs problématiques en amont.

Au programme de cet atelier :

  • Identifier les points clés et les éléments de vigilance lors de la négociation d’un contrat international.
  • Repérer les clauses importantes dans un projet de contrat international.
© Procamex

Dispositifs d’accompagnement

Les dispositifs d’accompagnement concernant les projets à l’international font également leur retour. Procamex a commencé à communiquer avec les universités pour démarrer le processus de recrutement des futurs chargés de mission.

Si vous souhaitez être accompagné, contactez Procamex afin d’échanger avec eux et trouver l’étudiant qui correspondra à votre projet. Pour trouver l’étudiant qui répondra à vos besoins concernant votre développement à l’international, il suffit de remplir ce formulaire.

© Procamex

L’atelier ‘Les risques juridiques à l’international’ aura lieu le jeudi13 octobre de 9h à 11h à la CCI du pays d’Arles. Le tarif est de 150€ pour les adhérents et de 200€ pour les non-adhérents à l’association. Inscription en cliquant ici pour les adhérents et en cliquant ici pour les non-adhérents.

Contact au 06 12 28 31 38 ou sur procamex@arles.cci.fr.

https://www.echodumardi.com/tag/international/   1/1