21 mai 2024 |

Ecrit par le 21 mai 2024

Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés en Russie ?

De nos jours, les réseaux sociaux sont devenus des médias d’information majeurs dans le monde. En temps de guerre notamment, les journalistes et les civils sur place peuvent informer le monde via ces canaux de diffusion. Dans le même temps, les réseaux sociaux représentent aussi un terrain fertile pour la bataille de l’information entre les belligérants, où s’affrontent manipulation des faits et désinformation.

Suite aux appels lancés pour limiter la diffusion de la propagande de guerre pro-Kremlin, plusieurs géants américains de la tech sont récemment intervenus. Des plateformes comme Facebook, YouTube, TikTok et Twitter ont ainsi bloqué ou restreint la portée de certains médias russes, en particulier Russia Today (RT) et Sputnik en Europe. L’équipe de cybersécurité du groupe Meta (Facebook, Instagram) a également annoncé avoir bloqué plusieurs comptes liés à des campagnes de désinformation.

Comme le montre ce graphique basé sur les enquêtes du Global Consumer Survey de Statista, même s’ils ont leurs propres applications, les Russes sont aussi plutôt actifs sur les réseaux sociaux occidentaux. Après le plus grand réseau social russe VKontakte (В Контакте), sur lequel environ 73 % des internautes interrogés sont inscrits, YouTube est la deuxième plateforme la plus populaire en Russie : 68 % indiquent l’utiliser de façon régulière. Les réseaux sociaux du groupe Meta, Instagram (59 %) et Facebook (37 %), ainsi que la plateforme chinoise TikTok (35 %), sont également très fréquentés par la population russe.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés en Russie ?

Avec plus de 63 % des sites web édités en anglais, la langue de Shakespeare domine sans surprise haut la main sur Internet. Pourtant, elle n’est employée que par environ 26 % des internautes, ce qui témoigne d’une certaine disproportion entre la langue des contenus et celle parlée par les utilisateurs.

À l’inverse, les locuteurs chinois représentent près de 20 % des internautes dans le monde, mais seulement 1,3 % du contenu web est édité en langues chinoises (les divers dialectes partagent le même système d’écriture). Comme le met en avant notre graphique, les sites hispanophones, lusophones et arabophones sont, dans une moindre mesure, également sous-représentés par rapport au nombre d’internautes locuteurs.

Cinquième langue la plus parlée et sixième la plus répandue sur Internet, le français présente en revanche un résultat plus équilibré. La langue de Molière est ainsi parlée par 3,3 % des internautes dans le monde et représente 2,5 % des sites web.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés en Russie ?

En 2010, le taux moyen de pénétration d’Internet n’atteignait que 9,3 % sur le continent africain. Des pays comme le Maroc, les Seychelles et la Tunisie étaient alors des exceptions avec respectivement 52, 41 et 37 % de la population classée comme internautes. Au total, 35 pays avaient un taux de pénétration inférieur à 10 % à l’époque. Le Niger, l’Éthiopie, la RDC, l’Érythrée et la Sierra Leone se situaient même sous la barre des 1 %.

Comme le montre l’analyse de Statista, se basant sur des données de la Banque mondiale, des développements significatifs en matière d’utilisation d’Internet ont eu lieu entre 2010 et 2020 , du moins pour une grande partie du continent.

La plus forte augmentation relative a été observée en Éthiopie, qui est passée d’à peine 0,8 % à 25,0 %, soit une augmentation de plus de 3 200 %. Des progrès tout aussi spectaculaires ont été réalisés dans d’autres pays qui avaient des taux très faibles en 2010, comme la Sierra Leone, la Guinée et la RDC – pour n’en citer que quelques-uns.

Bien que des progrès soient clairement visibles, il est également évident qu’il reste encore du chemin à parcourir. Alors qu’aucun pays n’affiche plus un taux inférieur à 1 %, et seulement sept sont inférieurs à 10 %, le taux moyen n’est toujours que de 31,7.

Sur l’échelle mondiale, le fossé numérique entre l’Afrique et le reste du monde reste encore marqué, le taux le plus proche étant celui de l’Asie du Sud-Est avec 35,3 %. Toutefois, ces chiffres restent de bon augure pour le développement d’Internet sur un continent où la majorité des habitants a moins de 20 ans et où la jeunesse est de plus en plus connectée.

Claire Jenik, Statista


Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés en Russie ?

La ville de Carpentras se distingue cette année encore au sein du ​palmarès du 23e label national ‘Territoires, villes et villages internet’.

Ce label est une marque territoriale matérialisée par un panneau de @ à @@@@@ à afficher en entrée de ville et dans les supports de communication. Une auto-évaluation du projet numérique local confirmée par un jury d’universitaires et revendiquée par plus de 2100 villes françaises.

La Ville maintient ainsi ses ‘4@’ sur 5, qui témoignent du développement de l’internet citoyen et du dynamisme de la politique numérique sur son territoire. Par ailleurs, la Ville à également reçu la mention spéciale « Démocratie locale’. « Cette reconnaissance nationale qui ne concerne que 5 communes en France, vient ainsi récompenser les outils mis en place dans le cadre du ‘Big bang’ de la démocratie locale à Carpentras », précise la municipalité.

Qu’est-ce que le ‘Big bang’ ? Tout simplement l’occasion pour les carpentrassiens de participer activement à la vie citoyenne de la Ville. Ce dispositif permet non seulement de donner la parole aux habitants, mais leur offre surtout la possibilité de s’approprier les projets de la Ville. Le Big bang est un programme qui repose sur quatre outils participatifs permettant à chacun d’agir pour co-construire l’avenir de Carpentras.

L.M.


Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés en Russie ?

Selon l’étude « Digital Quality of Life Index » publiée chaque année par Surfshark, la France fait partie des dix pays qui offrent la meilleure qualité de vie numérique à leurs citoyens. Réalisée dans une centaine de pays, cette analyse se base sur plusieurs critères comme les performances du réseau Internet, la cybersécurité, le développement des infrastructures et des services en ligne, mais aussi l’accessibilité pour la population en matière de prix.

Comme le révèle notre graphique, le coût d’un abonnement à Internet fixe haut débit peut peser très lourd dans les finances personnelles, notamment en Afrique. Au Mali, si l’on se base sur le salaire net moyen, il faut presque une semaine complète de travail (plus de 33 heures) pour pouvoir s’offrir l’abonnement le plus abordable. Et qui dit cher ne veut pas forcément dire de bonne qualité, les infrastructures numériques du pays obtenant l’un des scores les plus faibles de l’étude. L’accès à Internet fixe est également relativement coûteux dans certains pays d’Asie du Sud et d’Amérique latine. Il faut par exemple plus de 10 heures de travail (au salaire moyen) pour se payer l’abonnement le moins cher en Indonésie et en Colombie.

À l’opposé de l’échelle, c’est en Israël que l’accessibilité financière est la meilleure : seules 20 minutes de travail sont en moyenne nécessaires pour couvrir les frais d’Internet. La Chine et la Japon font également partie des bons élève en la matière. En Europe, on observe de grandes disparités entre les pays : s’abonner à Internet haut débit revient à plus de 2h de labeur en Espagne et en Belgique, alors que ce chiffre descend à une heure en France, et même autour d’une demi-heure en Finlande et en Lituanie. L’Hexagone se classe habituellement parmi les bons élèves en matière d’accès à Internet sur le plan financier, les Français figurant également parmi les mieux lotis concernant les coûts de l’Internet mobile.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés en Russie ?

60 secondes sur Internet, ce n’est pas bien long et pourtant… Pendant ce court laps de temps, une quantité gigantesque de données se crée et s’échange sur la toile. Les chiffres publiés par le site AllAccess, se basant sur les recherches de Lori Lewis, en constituent une bonne illustration.

En 2021, il est par exemple estimé qu’une seule petite minute suffise pour que 500 heures de contenus soient mises en ligne sur YouTube, 69 millions de messages soient envoyés sur Whatsapp et Facebook Messenger et plus d’un 1,3 million d’euros soient dépensés en ligne. Ces chiffres donnent le tournis et ne s’arrêtent pas là, comme le révèle notre infographie, qui offre un aperçu de l’activité sur une sélection de plateformes et d’applications phares, tels que Twitch, Netflix ou encore Instagram.

De Claire Jenik pour Statista


Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés en Russie ?

Un récent rapport Sailpoint effectué auprès d’employés de tout horizon dans plusieurs pays révèle leurs habitudes en matière de cyber-sécurité.

La récente étude* de Sailpoint, spécialiste de la sécurisation des échanges internet pour les entreprises, dans plusieurs pays met en exergue les bonnes mais aussi les mauvaises habitudes des employés en matière de cyber-sécurité à travers le monde. Les cyberattaques ont augmenté au cours de l’année dernière et nombreux sont ceux qui en prennent conscience. Plus d’un tiers (36 %) des Français interrogés ont été informées d’une violation de données susceptible d’exposer leurs informations au cours de la dernière année écoulée.

Les enjeux de la cybersécurité mieux compris
Les bonnes pratiques s’installent au sein des entreprises. En France, 87% des employés interrogés font désormais régulièrement une pause pour s’interroger sur la validité d’un e-mail avant de l’ouvrir, de peur qu’il s’agisse d’une tentative de ‘phishing’. Et 27% d’entre eux ont reçu une formation sur le phishing au cours de l’année écoulée. Sur ce point, les Français ont pourtant encore une marge de progression conséquente. Nos cousins britanniques sont formés à hauteur de 50% et à 65% chez les Américains interrogés.

Un dangereux mélange entre vie personnelle et professionnelle
Pourtant, cela ne suffit pas à contrer les mauvaises habitudes. Beaucoup d’employés continuent tristement d’adopter un comportement risqué sur Internet. Près de la moitié (42%) des employés français ont déclaré qu’ils utilisaient leur adresse électronique professionnelle à des fins personnelles. Et ce chiffre monte jusqu’à 75% chez les Français de 18 à 24 ans. Que ce soit pour se connecter sur les réseaux sociaux ou à des publications d’actualités, recevoir des newsletters ou encore faire des achats en ligne, ces employés inconscients créent ainsi, sans le savoir, des lacunes de visibilité et des ouvrent les portes de l’infrastructure de leur entreprise aux cyber-malveillances.

Des réactions inappropriées face aux tentatives de phishing
Selon cette étude, 86% des Français interrogés sont confiants ou très confiants dans leur capacité à détecter un message de phishing. Pourtant, ils réagissent encore majoritairement mal aux messages de phishing. Moins d’un Français sur 5 sait comment réagir de manière appropriée à un message de phishing, soit en le transférant au service informatique.
Les Anglais et les Américains sont une fois de plus les meilleurs élèves puisque 29% d’entre eux les transfèrent au service de traitement informatique. Les travailleurs Japonais sont les moins bien formés à ce sujet puisqu’ils ne sont que 15% à avoir adopté cette bonne pratique.
Cette disparité entre la confiance en soi en matière de cyber sécurité et l’usage des bonnes pratiques est un réel danger pour les entreprises. Leurs employés sont persuadés de bien agir tout en mettant en péril la sécurité de l’entreprise. Augmenter le nombre de formations aux bons gestes et aux enjeux de la cyber sécurité en entreprise devient fondamental et devrait être une priorité.

*Enquête auprès de 3 000 répondants travaillant dans des entreprises de plus de 2 500 salariés. Étude réalisée dans les pays suivants : États-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Australie et Japon.


Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés en Russie ?

Chaque année, Google dévoile les recherches les plus populaires qui sont effectuées sur sa plateforme. Et si le Covid-19 a continué de susciter une part importante du trafic en 2021, le classement comprend également des mots-clés sur les séries tendance, ainsi que d’autres recherches plus surprenantes. Voici un aperçu des termes les plus recherchés par les internautes français dans une sélection de catégories.

Le top 5 des tendances générales mêle des événements sportifs (Euro 2021, Ligue 1 et Roland Garros) ainsi que des recherches liées à la crise sanitaire, comme l’ »attestation couvre-feu », qui n’est plus utile depuis juin en métropole mais toujours nécessaire dans certains territoires d’Outre-Mer, et « vite ma dose », le site permettant de trouver rapidement des créneaux de vaccination.

La définition la plus recherchée est également dans l’ère du temps : « survivaliste », alors que la mise en place de la « demi-jauge » dans les écoles et que le « wokisme » ont aussi suscité la curiosité d’un grand nombre d’internautes. La catégorie des « pourquoi… » est peut être la plus surprenante, même si on retrouve des interrogations liées à certains événements, comme le passage en début d’année d’un nuage issu des tempêtes de sable du Sahara (pourquoi le ciel est jaune ?), ou plus récemment la panne mondiale des applications de Facebook.

Concernant les productions audiovisuelles, ce sont deux séries diffusées sur Netflix qui arrivent en tête. Phénomène de l’année 2021, la fiction sud-coréenne Squid Game est sans surprise celle qui a suscité le plus d’intérêt, suivie par la série française Lupin. Enfin, côté cuisine, la cote du plus médiatique des chefs français, Cyril Lignac, reste intacte. La recette de sa « galette des rois » a été la plus recherchée sur Google, devant les traditionnels « bœuf bourguignon » et « tarte tatin », ou d’autres tendances plus exotiques, comme les « mochi », des pâtisseries japonaises à base de riz gluant.

Consulter le classement de l’année dernière.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Quels réseaux sociaux sont les plus utilisés en Russie ?

Infogreffe lance MonJuridique.Infogreffe, nouvelle plateforme accessible en ligne, destinée à dématérialiser toutes les démarches juridiques des entreprises concernant les registres légaux et les assemblées générales.

Afin de simplifier et sécuriser les démarches juridiques des entreprises, Infogreffe lance MonJuridique.Infogreffe, un nouveau service de dématérialisation des registres légaux et des assemblées générales. Cette nouvelle plateforme accessible en ligne, reliée aux greffes des tribunaux de commerce, est destinée aux dirigeants d’entreprise et aux professions du droit et du chiffre, aux formalistes et aux directions juridiques.

Elle propose plusieurs fonctionnalités :

– la dématérialisation des registres obligatoires,
– la dématérialisation complète de tout type d’assemblées en ligne,
– un coffre-fort numérique, collaboratif et sécurisé hébergé sur un ‘cloud’ souverain,
– la signature électronique avancée, pour tous les documents.

Cette plateforme, en synchronisation avec les services d’Infogreffe, offre un espace simple d’accès et sécurisé, permettant de sécuriser au maximum les données des utilisateurs, en accord avec le cadre légal actuel.
MonJuridique.Infogreffe s’appuie ainsi sur la signature électronique EIDAS, un coffre-fort CCFN, des envois recommandés électroniques opposables ou encore un ‘cloud’ souverain et un système de ‘blockchain’ privé et sécurisé. Un véritable coffre-fort numérique à disposition des entrepreneurs.

Remarque : les étapes de dématérialisation se font en application des décrets n° 2018-1226 du 24 décembre 2018 (dématérialisation des titres), n° 2019-1118 du 31 octobre 2019 (dématérialisation des registres et PV) et de l’ordonnance n° 2020-321 du 25 mars 2020 (tenue des assemblées en ligne).

Éditions Législatives – www.elnet.fr
Article extrait du Bulletin d’actualité des greffiers des tribunaux de commerce n° 157, novembre 2021 :
www.cngtc.fr

https://www.echodumardi.com/tag/internet/page/5/   1/1