19 mai 2024 |

Ecrit par le 19 mai 2024

Isle-sur-la-Sorgue, La Grande braderie s’annonce du 29 février au 3 mars

Du 29 février au 3 mars 2024, les commerçants du centre-ville de l’Isle-sur-la-Sorgue proposent une grande braderie organisée deux fois par an, à la fin de l’hiver et à l’automne et réunit commerces de bouche, prêt à porter, commerces de décoration, bijoux, jouets et même des restaurateurs. Les commerçants participants sont identifiés au moyen d’une affiche apposée sur leur vitrine. Cet événement commercial biannuel est porté par le service commerce de la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue très attachée au commerce de proximité.
www.islesurlasorgue.fr
MH


Isle-sur-la-Sorgue, La Grande braderie s’annonce du 29 février au 3 mars

La Ville de L’Isle-sur-la-Sorgue a émis une proposition de parcelles à inclure dans les zones d’accélération de la production d’énergies renouvelables et souhaite recueillir l’avis de ses habitants sur le sujet avant le lundi 15 avril.

Une loi d’accélération de la production d’énergies renouvelables (APER) a été promulguée en 2023. Grâce à la loi, les communes peuvent désormais définir, après concertation avec leurs administrés, des zones d’accélération où elles souhaitent prioritairement voir des projets d’énergies renouvelables s’implanter.

Les objectifs de cette loi sont de multiplier par 10 de la production d’électricité solaire photovoltaïque, doubler la production éolienne terrestre, et développer 50 parcs éoliens en mer. Ces zones d’accélération énergétiques (ZAE) peuvent concerner toutes les énergies renouvelables : le photovoltaïque, le solaire thermique, l’éolien, le biogaz, la géothermie, etc. Des projets pourront être autorisés en
dehors de ces zones mais seront obligatoirement soumis à un comité de projet, et les porteurs de projet seront incités à se diriger vers les ZAE.

La Ville de L’Isle-sur-la-Sorgue a émis une proposition de parcelles à inclure dans les zones d’accélération de la production d’énergies renouvelables (voir carte ci-dessous) et souhaite recueillir l’avis de ses habitants sur le sujet. Les Lislois ont jusqu’au lundi 15 avril pour remplir le formulaire en ligne ou donner leur avis via le registre à l’accueil de l’Hôtel de Ville (ouvert du lundi au vendredi 8h30-12h30 / 13h30-17h30).

©Ville de L’Isle-sur-la-Sorgue

Isle-sur-la-Sorgue, La Grande braderie s’annonce du 29 février au 3 mars

« Parler pointu » ? expression utilisée pour désigner le prétendu non-accent de tous ceux qui vivent au-dessus de Valence.

Parler en évitant de faire entendre son accent… du sud. Parler comme nous le demandent les Médias, certains cours d’art dramatique qui enseignent un français normatif, académique, « distingué »…

Une prise de conscience salutaire

Benjamin Tholozan a grandi dans un village du midi où tout le monde s’exprime dans le style de Pagnol. Pour devenir comédien, il a appris à gommer son accent provençal, à parler la langue du pouvoir, des médias, du théâtre ! Pour l’enterrement de son grand-père, il écrit une oraison mais personne ne comprend rien, faisant des yeux ronds, mettant en cause son accent « parisien ». Il sent alors l’éloignement créé par des années de cours d’art dramatique à la capitale. 

Un conte initiatique, drôle et universel pour rendre hommage à ses racines

Dans Parler pointu, il veut ressusciter son pépé, et, avec lui, la manière de parler de ses aïeuls. Faut-il renier son héritage culturel et familial, se déraciner, se faire violence et perdre son identité pour mieux s’intégrer ? Homogénéiser le monde en faisant disparaître les particularités qui le rendent si riche ? Est-il nécessaire de modifier volontairement sa façon d’être et de s’exprimer pour faire du théâtre ? 

Au-delà de votre anecdote et déclic personnel, qu’est-ce qui vous a inspiré Benjamin Tholozan ?

Pourquoi j’ai jeté ma grand-mère dans le vieux port de Serge Valetti, Parler croquant de Claude Duneton, Les Quatre Saisons d’Espigoule, faux documentaire réalisé par Christian Philibert, Le Schpountz de Marcel Pagnol.

Réservation au 04 90 78 64 68 sur le site de La Garance.
Mercredi 07 février. 20h. 3 à 10€. Salle de l’Arbousière. 1360 Avenue Voltaire Garcin. Châteauneuf-de-Gadagne.
Jeudi 08 février. 20h.3 à 10€. Salle Roger Orlando. 11 place du Marché. Caumont-sur-Durance.
Vendredi  09 février. 20h. 3 à 10€ Salle des fêtes. Avenue Napoléon Bonaparte. L’Isle-sur-la-Sorgue.
Samedi 10 février. 20h. 3 à 10€. Salle des fêtes. Place Gabriel Péri. Apt.


Isle-sur-la-Sorgue, La Grande braderie s’annonce du 29 février au 3 mars

Née en 1973, l’Appellation d’origine contrôlée (AOC) Ventoux s’étend à deux nouvelles communes vauclusiennes : L’Isle-sur-la-Sorgue et Velleron. La démarche d’extension auprès de l’INAO (Institut national de l’origine et de la qualité) a débuté en 2000 dont le comité national a voté en faveur en 2016, puis en 2021, les experts se sont déplacés afin de délimiter les nouveaux contours de l’AOC. C’est le 17 novembre dernier que le nouveau cahier des charges de l’appellation a été officiellement publié.

Désormais, l’AOC Ventoux compte 53 communes réparties sur le territoire de sept offices de tourisme intercommunaux, les Parcs naturels régionaux du Mont-Ventoux et du Luberon, ainsi que deux réserves de Biosphère Unesco. Sa zone s’étendant maintenant à L’Isle-sur-la-Sorgue et à Velleron qui attirent toutes deux de nombreux visiteurs chaque année, l’appellation va pouvoir travailler plus amplement sur son dynamisme en termes d’œnotourisme. Une forme de tourisme dans laquelle l’AOC Ventoux démontre déjà de nombreuses qualités.

V.A.


Isle-sur-la-Sorgue, La Grande braderie s’annonce du 29 février au 3 mars

Énéal, la foncière médico-sociale du groupe Action Logement, vient de finaliser l’acquisition de trois établissements vauclusiens auprès de Grand Delta Habitat dont une résidence autonomie à Apt, un foyer d’accueil médicalisé à L’Isle-sur-la-Sorgue et un établissement d’accueil non médicalisé pour personnes handicapées à Vaison-la-Romaine.

La foncière médico-sociale Énéal affirme son implantation en Vaucluse avec l’acquisition de trois établissements : le Foyer François Rustin (76 logements) à Apt, le foyer d’accueil médicalisé Saint Antoine (42 logements) à L’Isle-sur-la-Sorgue, et le foyer d’accueil non médicalisé pour personnes handicapées La Rouvillière (16 logements) à Vaison-la-Romaine. Les gestionnaires actuels de ces derniers, un CCAS et des associations, restent en charge de leur exploitation. Énéal réalisera des travaux de réhabilitation dans les prochaines années.

Avec ces acquisitions, Énéal s’inscrit dans la stratégie de développement de la foncière en apportant des réponses concrètes aux personnes en situation de vulnérabilité. « Ces acquisitions sont conformes à notre mission sociale en faveur du logement des aînés aux revenus modestes qui nous a été confiée par le Groupe Action Logement, déclare Mario Bastone, directeur général d’Énéal. Notre modèle est désormais reconnu à l’échelle nationale, et nous sommes heureux de mettre notre expertise au service de l’amélioration de la qualité de vie des résidents de ces établissements. »

V.A.


Isle-sur-la-Sorgue, La Grande braderie s’annonce du 29 février au 3 mars

Deux cheffes d’entreprise vauclusiennes : Valérie Martin pour Surcyclum à l’Isle-sur-la-Sorgue et Elodie Sarfati pour People-In à Avignon ont été mises à l’honneur par Cote magazine et l’association des Femmes chefs d’entreprise lors de cette 3e édition des trophées des Femmes dirigeantes.

La revue Cote, magazine lifestyle présente à Marseille, Aix-en-Provence, Arles, Avignon, Alpilles, Luberon et Var, en partenariat avec l’association des Femmes chefs d’entreprise met à l’honneur, depuis 3 ans, les femmes dirigeantes du territoire Sud à l’occasion du Trophée Cote des femmes dirigeantes. Parmi les 9 femmes plébiscitées, deux vauclusiennes ont été distinguées.

Le château de la Buzine
Ça se passait au Château de la Buzine début décembre à Marseille, au fameux ‘Château de ma mère’, dont Marcel Pagnol se porta acquéreur, avec ses 4 hectares en 1941, sans l’avoir au préalable visité, pour en faire sa ‘Cité du cinéma’. Il le revendra en 1973, juste avant sa mort, sans avoir pu accomplir son projet. L’édifice est la propriété de la Ville de Marseille, qui en a fait un lieu culturel avec des salles de cinéma, d’expositions et de spectacles.

Benjamin Perles, directeur de Cote magazine
«Nous sommes là pour célébrer la femme cheffe d’entreprise, une femme qui ne lâche rien, qui aime son territoire et dont la région Sud compte le plus de représentantes,» remarquait Benjamin Perles, directeur de Cote magazine. 

Claude-Henri Menu, président directeur-général de Cote magazine
«Nous avions commencé ce partenariat en Cote d’Azur pour l’étendre en Provence, a re-situé Claude-Henri Menu, président directeur-général Région Sud Editions des éditions Cote magazine. Nos revues sont des magazines de territoires avec Cote Marseille-Provence et Cote, la revue d’Azur. Ils ont pour objectif de valoriser le territoire avec ses acteurs, ses entreprises et événements. Ces femmes cheffes d’entreprises font rayonner la Provence.»

Les lauréates cheffes d’entreprise

Anne-laure Leblanc, Valérie Martin et Sandra Vich

Valérie Martin
Surcyclum à L’Isle-sur-la-Sorgue
Prix Upcycling
Après avoir fondé Bijouseat, mobilier de maison, il y a une dizaine d’années, Valérie Martin crée Surcyclum en 2020, des objets de maroquinerie faits mains à partir de morceaux de bâches de camion neuves et non-réutilisables et des chambres à air. Les accessoires de mode sont minutieusement doublés, toujours à la main, avec des tissus de grande qualité. Surcyclum se situe à l’Isle-sur-la-Sorgue. La direction est assurée par sa fondatrice Valérie Martin entourée d’Anne-Laure Leblanc pour la partie gestion et de Sandra Vich pour la communication digitale et commerciale. Valérie Martin travaille avec des couturières, des Esat (Etablissement et service d’aide par le travail) et les ateliers de confection de la prison de Salon-de-Provence. www.surcyclum.fr

Ce qu’elle a dit
«Je suis très honorée de recevoir ce prix. Surcyclum est née d’une rencontre fortuite avec une industrielle de Lyon qui m’a proposé de faire quelque chose avec des morceaux de coupes restantes de bâches industrielles de camions. J’ai commencé à en faire des sacs multicolores, plus durables que le cuir et joliment patinés et assouplis avec le temps. Nous sommes désormais trois à être entrées dans l’aventure avec Anne-Laure Leblanc et Sandra Vich, afin de développer le projet avec divers objets de maroquinerie, de sacs et sacs à dos. Nous vendons au particulier via le site Internet. Nous fabriquons des objets promotionnels et publicitaires faits avec nos déchets où ceux des entreprises qui le souhaitent.»

Elodie Sarfati
People In à Avignon
Prix management
Après un cursus de journaliste, de communicante, d’organisatrice de conduite du changement, Elodie Sarfati a imaginé des méthodes de recrutement à partir de tests de compétences. Le cœur de métier ? Répondre aux besoins exprimés par les entreprises en sélectionnant les candidats par rapport à leurs capacités réelles, en mode inclusif, en faisant de leur parcours atypique, de leur envie de reconversion, une forte dynamique d’adaptation. Les résultats sont au rendez-vous avec 95% des périodes d’essai validées par la solution informatique proposée.
People In a été créée en août 2017 sous la forme d’une plateforme de détection des talents sans curriculum vitae. La structure accueille 10 salariés.

Ce qu’elle a dit
«People in est une plateforme en ligne qui aide les entreprises à détecter les talents grâce à des cas pratiques reliés à des offres d’emploi, détaille Elodie Sarfati, fondatrice de People in. L’objectif est de repérer les compétences transférables et transverses. Un bon management commence par un bon recrutement avec le repérage, au préalable, des bonnes compétences pour chaque entreprise en misant non pas sur un parcours ou un diplôme type, mais des compétences pouvant être utiles à tous. Je remercie Cote magazine et les Femmes chefs d’entreprise pour ce prix.»

Nadia Esposito, Présidente des FCE Vaucluse
«Je suis ravie d’avoir mis à l’honneur deux femmes Vauclusiennes a apprécié Nadia Esposito, présidente des FCE Vaucluse. Elodie Sarfati pour People in et Valérie Martin pour Surcyclum. Je souhaitais rappeler les valeurs FCE, Femmes chefs d’entreprise dont l’association existe depuis 1945, en France et dans le monde, comme l’a rappelé récemment le congrès mondial des FCE. Ces valeurs sont l’amitié, la solidarité et le partage d’expérience. Les FCE accompagnent l’évolution et le développement des femmes professionnellement et personnellement. Nous sommes réunies, ce soir, pour porter ces valeurs et les femmes dans les instances économiques locales. Le magazine Cote nous permet, ce soir, de valoriser et de mettre à l’honneur toutes ces femmes autour de ces valeurs.»

Nadia Esposito, présidente des FCE Vaucluse, entourée par d’autres délégations de l’association des Femmes chefs d’entreprise

Emmanuelle Baude
Domaine Tour Campanets au Puy-Sainte-Réparade
Prix Nouvel élan
Emmanuelle Baude était, auparavant, notaire à Aix-en-Provence avant de tomber amoureuse du Domaine de la Tour Campanets. Après une formation à l’Université du vin à Suze-la-Rousse, elle reprend la propriété vinicole, réhabilite le vignoble et relance la production du domaine de 36 hectares où elle produit, aujourd’hui, 150 000 cols (bouteilles). Le domaine Tour Campanets a vu le jour au 13e siècle pour devenir le domaine que l’on connaît en 1994. Il abrite désormais les activités de gîtes de groupes et de particuliers, d’œnotourisme, en plus du travail de la vigne et du vin. Six collaborateurs y travaillent.

Isabelle Brémond
Comité départemental du tourisme des Bouches-du-Rhône
Prix engagement
Directrice générale du Comité départemental du tourisme des Bouches-du-Rhône, structure créée en 1970, Isabelle Brémond œuvre ‘pour un tourisme durable, l’équilibre entre habitants et visiteurs, à la qualité du cadre de vie et au mieux vivre ensemble, ainsi qu’au jeu collectif du tourisme mêlant institutionnels et acteurs privés’. La structure, association Loi de 1901 a été créée en 1970 et accueille 45 salariés.

La délégation vauclusienne de gauche à droite Elodie Sarfati, Nadia Esposito, Valérie Martin, Anne-Laure Leblanc, Sandra Vich et Isabelle Rimbaud

Laura Jonneskindt
Studio Cerise
Prix Art et entreprise
Laura Jonneskindt s’est installée à Arles il y a une quinzaine d’années et a créé son activité de photographe en 2008 puis s’est spécialisée dans la photo culinaire, avec Studio Cerise, en 2014.Elle a réalisé de nombreux dossiers pour Marmiton et conçu un ouvrage pour la Nougaterie des fumades dans le Gard. Laura Jonneskindt travaille régulièrement avec des producteurs, dont notamment des vignerons, pour lesquels elle réalise des reportages ainsi que des entreprises éco-responsables. En plus de l’art photographique, elle maîtrise la scénographie, le stylisme, chine et créé de la vaisselle céramique et a exposé dans le cadre de Art et vin au château de la Margillière. Studio Cerise Arles, Paca, Occitanie, France.

Claude-Henri Menu, président directeur-général Région Sud Editions des éditions Cote magazine et Benjamin perles, directeur, qui a animé la soirée

Gat
Artiste plasticienne de la Ciotat
Prix Spécial

Gat, l’artiste Agata Aka est peintre, plasticienne, modèle et comédienne. Elle exposera ses œuvres mêlant photographie et peinture à New-York en 2024 et travaille déjà à la Ciotat, Monaco et Saint-Tropez. C’est elle qui a conçu les trophées de cette 3e édition. Sa galerie Gat-Art est située 76, rue des poilus à la Ciotat (13 600) 06 11 70 42 05 Insta Gat_art – www.gat-art.com
Elle a reçu le prix coup de cœur

Marlène Ginouvier
Maison de couture Bazélie à Aix-en-Provence
Prix Coup de cœur
Ancienne éducatrice spécialisée, Marlène Ginouvier oriente sa carrière vers le stylisme et la confection de vêtements enfants de 3 à 8 ans en créant sa marque ‘Bazélie’, en Avril 2022, après avoir été formée par la styliste lyonnaise Audrey Richaud. Elle collabore avec plus de 20 partenaires. Sa spécificité ? Marlène Ginouvier s’inscrit dans une démarche éco-responsable de revalorisation des tissus ‘dormants’ inutilisés chez les fabricants, les usines, les ateliers de confection, les marques de prêt à porter ou de haute couture.

Sandrine Motte et Marie Borni
Société des eaux de Marseille
Prix environnement
Le duo dirige la Société des eaux de Marseille (Sem) – qui a fêté ses 80 ans et accueille 1 200 salariés- où Sandrine Motte est directrice générale et Marie Borni directrice générale déléguée. Leur priorité : ‘Responsabiliser et digitaliser à tous les niveaux pour protéger les ressources en eau’ détaille Sandrine Motte. ‘Les Alpes sont le château d’eau de la Sem et on ne peut plus ignorer aujourd’hui qu’il y aura moins d’eau dans les années à venir, que cela pourrait générer un problème sur la ressource Durance,’ rapporte Marie Borni dans les colonnes de nos confrères de Cote magazine.
Le siège de la Société des eaux de Marseille est située 78 Boulevard Lazer à Marseille (13010). Elle a été créée en 1943 pour l’eau et l’assainissement. Son capital social est de 7,133M€.

Kelly Saez et Sandrine Ricciardo-Manzoni
Performance Business School (PBS) à Sanary-sur-Mer
Prix éducation

Kelly Saez est la fondatrice de Performance Business Scholl, école supérieure de commerce proposant BTS, bachelors et Masters en commerce. Elle intervient sur les systèmes et la stratégie commerciale de l’école tandis que Sandrine Ricciardo-Manzoni, cofondatrice de l’entreprise œuvre au plan de formation. Leur atout ? Proposer, depuis juin 2022, un enseignement hors des grandes agglomérations tout en répondant aux demandes et besoins des entreprises locales. Kelly Saez et Sandrine Ricciardo-Manzoni dirigent et enseignent dans leur propre établissement qui accueille 4 collaborateurs et 17 formateurs indépendants.
PBS se situe à Sanary-sur-Mer.

De nombreux partenaires soutenaient cette soirée dont la Table de Charlotte traiteur à Aix-en Provence qui a régalé de ses mets les plus fins et raffinés une assistance de plus de 250 personnes venues assister à la 3e édition de la remise des Trophées des Femmes chefs d’entreprise Cote magazine. Article précédent ici.


Isle-sur-la-Sorgue, La Grande braderie s’annonce du 29 février au 3 mars

Smappen, le spécialiste du géomarketing, révèle le palmarès des cinq villes les plus gourmandes de Noël, et parmi elles, une se situe en Vaucluse.

Le palmarès dévoile les villes dans lesquelles le repas de Noël aura les plus grandes chances d’être une réussite. Il fait ressortir les villes de plus de 20 000 habitants qui comptent le plus grand nombre de magasins spécialisés dans l’alimentation fine par rapport au nombre d’habitants. Sont recensés les chocolatiers, les cavistes, les épiceries fines et les fromagers.

La ville de L’Isle -sur-la-Sorgue prend donc la quatrième place de ce classement avec un point de vente pour 742 habitants, précédée de Beaune, Biarritz et Agde, et suivie de Cahors et Saumur. Chocolats, poisson, crustacés, fromages, vins et champagnes. Les Lislois ne manquent pas de choix pour préparer leurs repas de fin d’année. Les bonnes résolutions attendront encore un peu !

 


Isle-sur-la-Sorgue, La Grande braderie s’annonce du 29 février au 3 mars

La Fondation Frédéric Gaillanne, unique école en Europe à éduquer et offrir des chiens guides aux enfants aveugles et malvoyants, basée à L’Isle-sur-la-Sorgue, organise régulièrement des événements caritatifs dans le but de sensibiliser au handicap et de collecter des fonds.

Le 16 novembre, plus de 130 personnes se sont réunies, les yeux bandés, à l’Espace Jeanne Laurent d’Avignon pour un dîner gastronomique dans le noir, organisé par la Fondation. Les participants et partenaires, en plus de profiter d’un moment d’exception, on fait preuve de grande générosité puisque la Fondation a récolté plus de 25 000€. Une somme qui permettra de couvrir les coûts de prise en charge d’un chien guide, de sa naissance à sa mise en retraite.

V.A.


Isle-sur-la-Sorgue, La Grande braderie s’annonce du 29 février au 3 mars

Dans le cadre des Journées européennes de la culture juive, la Direction du patrimoine de l’Isle-sur-la-Sorgue propose une conférence sur le thème de l’’Archéologie de la présence juive en France’ ce dimanche 26 novembre.

Animée par Paul Salmona, directeur du musée d’art et d’histoire du judaïsme à Paris, cette conférence évoquera les archives textuelles, l’épigraphie, la topographie urbaine, la toponymie, le patrimoine bâti et l’art, qui attestent de la présence juive en France depuis des siècles. Synagogues, bains rituels, rues, cimetières, graffitis, parchemins… Depuis le XIXᵉ siècle, les archéologues exhument des traces matérielles du judaïsme en France, mais c’est le développement de l’archéologie préventive qui, dans les années 1990, a permis de mettre au jour une série de nouveaux sites.

Dimanche 26 novembre. 14h30. Entrée libre. Espace culturel Les Plâtrières. 36 Bd Paul Pons. L’Isle-sur-la-Sorgue.

V.A.

https://www.echodumardi.com/tag/isle-sur-la-sorgue/page/3/   1/1