23 décembre 2025 |

Ecrit par le 23 décembre 2025

Chabas sera toujours Chabas

Suite au décès soudain de Pierre-Frédéric Chabas cet été, c’est sa sœur, Delphine-Marie, qui a repris les rênes de l’entreprise familiale vauclusienne spécialisée dans la vente et l’aménagement de véhicules utilitaires et poids lourds. Un changement dans la continuité pour cette société centenaire fondée il y a 5 générations.

Le 11 août dernier, Pierre-Frédéric Chabas, qui dirigeait le groupe vauclusien DevanceChabas véhicules décédait brutalement, le lendemain de son 43e anniversaire. Un choc pour le groupe familial vauclusien qui a vu 5 générations de Chabas se succéder à la tête de cette société fondée au début du XXe siècle (voir encadré).
Malgré le deuil, c’est la sœur de Pierre-Frédéric, Delphine-Marie Chabas, en charge du parc immobilier depuis plus de 3 ans, qui se retrouve propulsée en plein cœur de l’été à la direction de ce groupe comptant plus de 180 collaborateurs.

« Je suis née ici, rappelle celle qui a aussi auparavant travaillé une demi-douzaine d’années comme assistante RH, puis au service commercial de l’entreprise familiale. Nous sommes là depuis plus de 120 ans maintenant. Nous sommes là et nous continuons. Chabas sera toujours là. »
Il faut dire que malheureusement le groupe a déjà connu pareil cas de figure lorsque Frédéric-Georges Chabas, le père de Pierre-Frédéric et Delphine-Marie est également décédé soudainement en août 2010. Là aussi, il a fallu reprendre en urgence la direction du groupe, ce qu’a fait Pierre-Frédéric avec le succès qu’on lui connaît.

« Je voulais leur montrer qu’ils pouvaient compter sur moi. »

Delphine-Marie Chabas, présidente du groupe Devance-Chabas véhicules 

« La première chose que j’ai voulu faire, explique la nouvelle dirigeante, c’est aller sur le terrain au contact des équipes avec notre comité de direction composé de Pascal Bongiovanni, notre directeur général, Jean-Philippe Bonacci, notre directeur commercial, et Manuel Rodriguez, notre directeur technique/après-vente. Il s’agissait de rassurer tous nos collaborateurs qui, eux-aussi, étaient sous le choc. Pour leur montrer qu’ils pouvaient compter sur moi. Que ce soit tant du côté exécutif que de l’opérationnel, j’ai rencontré des personnes impliquées et engagées. Tout comme je le suis pour cette entreprise. »

Pierre-Frédéric et Delphine-Marie Chabas. Crédit : DR

Une vraie continuité
« Pierre me tenait au courant de tous les dossiers importants. Il savait me solliciter parce que j’avais un regard extérieur et que nos prismes étaient différents. En tant qu’actionnaire de l’entreprise avec notre maman, nous échangions énormément tous les trois. Il y a donc une vraie continuité de sa pensée et de sa vision. »

Des valeurs communes
Cependant, « je ne suis pas mon frère. Je ne l’ai jamais été et je ne le serai jamais, déclare celle qui a également travaillé une dizaine d’années dans la gestion de résidences de tourisme dans le Luberon. Donc, il ne va pas falloir que les gens attendent de moi d’être un nouveau Lui. »
Une prise de fonction qui s’accompagne donc d’un changement de style.
« Bien évidemment, nous avons des valeurs communes. Nous avons été élevés ensemble. Nous avons fréquenté les mêmes établissements scolaires. Nous avons reçu la même éducation. Evidemment, j’ai travaillé moins longtemps que lui dans l’entreprise mais notre père nous a formé tous les deux avec la même force et la même conviction. »
« Il est désormais indispensable d’avoir une vision à moyen et long terme, histoire de continuer à projeter l’ADN de la famille dans l’avenir de l’entreprise familiale. »
Il faut dire que chez les Chabas, on semble « être tombé dans la marmite quand on était petit ».
« Mon fils a la curiosité de ce métier. A 15 ans, il a voulu travailler dès l’été dernier avec son oncle et m’a demandé une caisse à outils pour Noël ! Il veut découvrir notre univers mais surtout apprendre dès qu’il le peut et c’est là ma plus grande fierté ! ».

« Chez les Chabas, il y a toute une histoire. »

Pascal Bongiovanni, directeur général

« Chez les Chabas, il y a toute une histoire : la gestion des garages, la vie de l’automobile, la notion de service aux clients… Tout cela transpire chez eux, ils en sont imprégnés. C’est dans l’ADN de la famille. Alors forcément, cela déteint un peu sur leurs collaborateurs », confirme Pascal Bongiovanni, directeur général du groupe.
Après quelques mois afin de trouver ses marques en s’appuyant sur ses équipes dans un marché orienté à la baisse au niveau national, Delphine peut commencer à dresser un bilan de la situation.

Dans les ateliers du groupe Devance-Chabas véhicules

« Tous les secteurs de la mobilité sont en baisse : du vélo au camion. Le poids lourd, c’est moins 8%. L’utilitaire, c’est moins 14%. Malgré tout, nous arrivons à maintenir nos parts de marché tout en ‘grattant’ quelques parts de marché supplémentaires. Dans un marché baissier, on ne tire pas donc trop mal notre épingle du jeu. Cependant, cela reste compliqué car actuellement en raison des incertitudes budgétaires au niveau national les clients achètent moins de camions. »

Diversification des activités
Avec 2/3 de clients privés et 1/3 de collectivités, Chabas a su se diversifier avec une activité de carrosserie sur-mesure désormais implantée dans la zone de Courtine à Avignon sous le nom de Devance. Là, l’entreprise vauclusienne produit des carrosseries pour les véhicules des 3 marques que vendent ses concessions (Iveco, Fiat et Piaggo) mais aussi pour d’autres marques désormais.

Aménagements spécifiques pour les artisans bien sûr, mais aussi véhicules caractéristiques pour transporter les bouteilles de gaz, poids-lourd transformé en poulailler, ambulances ou camions de pompier, spécialisation dans les dépanneuses, maintenance des portes-voitures ou bien encore des véhicules Iveco de l’Armée… le groupe compte de nombreuses cordes à son arc.

Désormais installé en Courtine, Devance, l’activité de carrosserie du groupe, propose des aménagements sur-mesure. Crédit : DR/Chabas véhicules

« L’enjeu sera véritablement que nous soyons en mesure de produire des véhicules adaptés aux différents métiers. »

S’adapter aux enjeux de demain ?
Une agilité qui se traduit également dans la volonté de l’entreprise de relever les défis de la mobilité professionnelle de demain. Que cela passe par la formation des collaborateurs, la découverte des nouveaux métiers du secteur ou tout simplement les modes de propulsion à venir.

« L’enjeu sera véritablement que nous soyons en mesure de produire des véhicules adaptés aux différents métiers, complète Pascal Bongiovanni. C’est-à-dire adapté à la distribution urbaine, à la distribution régionale, nationale et internationale où les autonomies ne sont pas les mêmes. Les points de recharge ne sont pas les mêmes non plus, c’est donc la problématique du ravitaillement déterminera le choix de propulsion. »

Alors que le diesel reste le mode le plus efficace et le meilleur marché pour les poids-lourds, les moteurs électriques ne sont pas forcément performants, l’hybride n’est pas adapté, le gaz a été plombé par la guerre en Ukraine et l’hydrogène semble avoir disparu des radars. Bref, bien malin celui qui pourra dire de quoi sera fait le marché dans un proche et moyen terme.

Lucide et consciente que c’est un accident de la vie qui l’a nommée à la tête de Chabas Véhicules–Groupe Devance, Delphine est prête à relever le défi dans ces circonstances-là. « En aucun cas c’est une contrainte, c’est un choix délibéré. Mon fils et mes deux neveux sont une motivation supplémentaire. Je le fais aussi pour eux. »

L.G.

A propos de Chabas Véhicules–Groupe Devance
Chabas Véhicules a été fondé en 1903 par Jules Chabas. L’entreprise est spécialisée dans le domaine des véhicules utilitaires et poids lourds des marques Iveco, Fiat et Piaggo. Le groupe, aujourd’hui baptisé Chabas-Devance, s’est peu à peu diversifié afin d’offrir une gamme complète de services à ses clients : vente et location de véhicules neufs et d’occasion, maintenance et réparation, carrosserie industrielle, pièces détachées, ainsi qu’un accompagnement complet dédié aux professionnels (location longue durée de véhicule, financement…).

Outre son siège social et sa concession situés au Pontet, le groupe vauclusien compte également 3 autres concessions à Cavaillon, Milhaud (à côté de Nîmes) et Saint-Hilaire de Brethmas (à côté d’Alès). Il est aussi présent avec ses points services de Cavaillon, Brignoles, Saint-Martin-de-Crau et Barbentane (notamment spécialisé dans la maintenance des portes-voitures). Enfin, il possède deux sites spécialisés à Cavaillon et un dans la zone de Courtine à Avignon dédié à la carrosserie industrielle.

Le groupe regroupe plus de 180 collaborateurs pour un chiffre d’affaires annuel d’environ 50M€ dont 60% via la vente de véhicules et 40% de la maintenance et de l’aménagement.


Chabas sera toujours Chabas

Le réseau OuiGlass, spécialisé dans la réparation et le remplacement de vitrages automobiles, ouvre un nouveau centre au Pontet. Porté par le projet entrepreneurial d’Angélique Courteaux, ce site entend conjuguer expertise technique, proximité et service personnalisé, dans un secteur en pleine évolution.

Le paysage du vitrage automobile pontétien s’enrichit d’un nouvel acteur. Avec l’ouverture d’un centre OuiGlass, le réseau national poursuit son maillage territorial tout en misant sur un modèle à taille humaine. À l’origine de cette implantation, Angélique Courteaux, qui concrétise après six années d’expérience dans le secteur un projet mûrement réfléchi, accompagné par Julien Courteaux.

Femme cheffe d’entreprise
Ancienne assistante administrative au sein d’un grand réseau de vitrage, elle a progressivement élargi ses compétences en se formant aux techniques de réparation et de remplacement de vitrages. Une double expertise, administrative et opérationnelle, qui fonde aujourd’hui l’ADN du centre pontétien. « Nous souhaitions sortir des logiques de très grandes franchises pour retrouver une relation plus directe, plus humaine, avec les clients comme avec le réseau », explique-t-elle, évoquant l’esprit familial revendiqué par OuiGlass.

Copyright OuiGlass le Pontet Facebook

Un garage de plus de 400m2
Installé dans un espace de 414 m², le centre propose l’ensemble des prestations attendues dans un marché fortement sollicité : réparation d’impacts, rénovation d’optiques et remplacement de tous types de vitrages automobiles. L’organisation du site repose sur un binôme complémentaire : un technicien dédié aux interventions et Angélique Courteaux à l’accueil et à la gestion. Une configuration pensée pour garantir un suivi individualisé, alors que les automobilistes sont de plus en plus attentifs à la qualité du service et à la transparence des démarches, notamment vis-à-vis des assurances.

OuiGlass
Créé en 2016, OuiGlass revendique aujourd’hui plus de 100 centres en France et plus de 100 000 interventions réalisées. Une croissance soutenue qui s’appuie sur un modèle de réseau, tout en laissant une place importante à l’autonomie locale. Pour marquer son arrivée, le centre du Pontet accompagne son ouverture d’une offre commerciale ciblée, pratique courante dans un secteur concurrentiel. Avec cette nouvelle implantation, et en s’appuyant sur une approche de proximité et une expertise transversale, le centre OuiGlass entend trouver sa place dans un marché exigeant, où la confiance, la compétence et la relation client demeurent des critères déterminants.

Les infos pratiques
OuiGlass, 30 avenue Charles-de-Gaulle, au Pontet. 04 87 83 04 42
Mireille Hurlin

Copyright OuiGlass Communication

Chabas sera toujours Chabas

Subtil, sincère, aux limites du réel et du fantastique, ce conte romantique pour deux solitudes vous tient par le coeur. Avec, d’un côté une femme médecin dans un service de soins palliatifs qui a un don, accompagner les morts, ceux qui viennent de passer dans l’autre monde, interprétée par la québécoise Magalie Lépine-Blondiau. Et de l’autre, Jonathan Cohen, souvent étiqueté « humoriste » qui, cette fois, joue la carte du tendre et ignore qu’il ne fait plus partie des vivants.

Ce film d’Alice Vial, dont le 3e personnage est la partition du compositeur Olivier Marguerit, débute par un emprunt au saxophoniste mélancolique John Coltrane et s’ouvre sur une chambre d’hôpital avec un malade en stade terminal. L’amour à mort. « Celui-là il a les plaquettes dans les chaussettes. » Mais l’humour et la dérision subliment la réalité avec des phrases comme : « Le cul on s’en fout, pas la tendresse » ou « On va pas laisser mourir les gens en visio, non ? »

Les échanges sont surréels : « Tu as couché avec mon âme alors? », demande Jonathan Cohen. « Tu es encore dans ton corps et Je peux t’aider à mourir », répond Magalie Lépine-Blondeau. De ce kaléidoscope qui slalome entre fantastique et sentiments, nait une alchimie, une réalité décalée, un dédoublement. 

Les deux acteurs et la réalisatrice ont évoqué leur complicité, leurs affinités artistiques, leur travail, leur réflexion en amont du tournage. Ils ont décortiqué les dialogues, approfondi leur jeu, leur personnage. La comédienne a passé du temps dans un service de soins palliatifs, en vrai. « Rares sont les films qui proposent un côté aussi rassurant, un tel amour de la vie, une telle magie », insiste Magalie Lépine- Blondeau. « Comme fantôme, comme mort-vivant, je me suis senti allégé, j’ai vu de la lumière au bout du tunnel avec cette passeuse d’âme. Mourir m’a redonné goût à la vie », ajoute Jonathan Cohen.

Alice Vial, réalisatrice, et les deux têtes d’affiche, Magalie Lépine-Blondeau et Jonathan Cohen. ©Andrée Brunetti / L’Echo du Mardi

« C’est une rencontre rare entre deux solitudes, la médecin et le musicien qui se remettent en question, espèrent ne pas passer à côté de l’essentiel, leur vie. La spiritualité est bien là, l’empathie, le souffle, l’élan aussi », précise Alice Vial.

Au cours de la présentation en avant-première de la sortie le 17 décembre sur grand écran au Capitole du Pontet, le trio a insisté sur ce moment de partage émouvant avec le public, ce lien transgénérationnel entre parents, voire grands-parents, et enfants. Une forme de communion, de temps suspendu à quelques jours de Noël.


Chabas sera toujours Chabas

La 12ᵉ édition de l’exposition d’automates de Noël du Château de Fargues s’installera à partir du lundi 1er décembre au Pontet sur le thème ‘Sur les pistes enchantés’.

L’exposition des automates fait son grand retour au Château de Fargues durant tout le mois de décembre. Directions les pistes de ski où skieurs malicieux, patineurs gracieux, bonshommes de neige, acrobates et lutins champions vous attendent. Ce décor féerique mêlera l’esprit de Noël et l’univers des sports d’hiver.

L’ambiance de Noël sera au rendez-vous jusqu’au 2 janvier. Il sera aussi possible d’admirer la crèche provençale réalisée par l’association locale Canto Cigalo.

©Ville du Pontet

Inauguration le 1er décembre à 18h30.
Ouverture du lundi au vendredi de 9h à 18h. Ouverture les dimanches 7 et 14 décembre de 14h à 18h.
Du lundi 1er décembre au vendredi 2 janvier. Entrée libre et gratuite. Château de Fargues. Avenue Pierre de Coubertin. Le Pontet.


Chabas sera toujours Chabas

Le groupe Auchan vient d’annoncer que 294 de ses supermarchés passeraient sous enseigne Intermarché (ou Netto, sa marque discount) d’ici la fin 2026. Cette décision, qui concerne des magasins dont la superficie est comprise 400 et 2 500 m², doit cependant encore être soumise à l’approbation de l’Autorité de la concurrence qui doit valider, ou non, la nouvelle stratégie du groupe de grande distribution.

En effet, il ne s’agit pas d’une cession mais d’un partenariat entre les différentes enseignes. Concrètement cela voudra dire que les salariés resteraient des salariés d’Auchan et que les magasins, qui deviendraient des franchisés Intermarché via une entité juridique créée spécifiquement, continueront d’appartenir à Auchan.

Quels magasins sont concernés localement ?
En Vaucluse, les supermarchés d’Apt (1 878m2) et du Pontet (1 800m2) sont concernées par ce prochain changement d’enseigne. A proximité du département, même transfert de bannière pour les magasin de Tarascon, Saint-Laurent des Arbres et Sénas.
Au total, Auchan prévoit ainsi de transférer 35 supermarchés de Provence-Alpes-Côte d’Azur et 20 d’Occitanie. Sur l’ensemble de la France, c’est 453 941 m² de surface de vente Auchan qui passeront sous enseigne Intermarché ou Netto.

Les Hypers vauclusiens gardent leur bannière
Attention toutefois, les 117 hypermarchés (plus de 2 500m2) du groupe restent sous marque Auchan. C’est le cas pour l’hyper d’Avignon-Nord, au Pontet (à ne pas confondre avec le supermarché Auchan concerné ci-dessus et situé à Réalpanier) ainsi que le magasin Mistral 7 à Avignon et celui de Cavaillon.
Au contraire, le site d’Auchan du Pontet , l’un des plus important du groupe, va faire l’objet d’importants investissements puisqu’il fait partie des 45 premiers hypers dont la superficie sera volontairement réduite aux alentours de 8 000m2 dans le courant de l’année prochaine.
Pour Auchan, avec cette baisse moyenne de 25% de ses surfaces de vente et un investissement de 384M€ pour moderniser ses hypers, l’objectif est de pour redresser ses résultats.

à gauche le supermarché Auchan du Pontet/réalpanier et à droite le supermarché Auchan d’Apt ©GoogleMap


Chabas sera toujours Chabas

Le cinéma Capitole MyCinewest accueillera la nouvelle édition de l’événement national La Nuit de la Glisse ces vendredi 14 et dimanche 16 novembre. Deux films sur le thème de ‘la recherche du moment parfait’ seront au programme.

Le festival de films consacré aux sports de glisse et aux sports extrêmes La Nuit de la Glisse revient chaque fin d’année dans plusieurs cinémas français. Ce week-end, le cinéma du Pontet accueillera de nouveau cet événement né en 1979. Cette année, deux films allant à « la recherche du moment parfait » et explorant deux époques différentes de ces sports sont au programme.

Deux films au programme

Dans un premier temps, les spectateurs découvriront Chronicles of a Wild Decade et plongeront dans les archives de Thierry Donard, président de La Nuit de la Glisse, qui revisitera les sports d’action dans les années 2010. « Des pentes raides du Mont-Blanc aux vagues monstrueuses de Teahupo’o, en passant par les fjords d’Europe du Nord et les rapides glacés de Norvège, ce film retrace l’engagement total d’une génération d’athlètes qui a redéfini les limites », explique le festival.

Dans un second temps, Free Birds sera projeté et explorera le présent avec des jeunes riders qui repoussent les frontières de leurs disciplines. « Snowboard dans la nuit polaire norvégienne, surf XXL à Nazaré, speedriding de précision dans les Alpes, wingfoil aérien sur les rivières de l’Oregon : chaque séquence est un mélange de liberté, d’esthétique et de maîtrise », détaille l’événement.

Pour réserver votre place, cliquez ici.
Vendredi 14 novembre à 20h30. Dimanche 16 novembre à 16h. 19€. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.


Chabas sera toujours Chabas

Après avoir investi le Théâtre Antique d’Orange en août dernier, Hexagone MMA présentera son dernier show de la saison au centre commercial Aushopping Avignon Nord le samedi 15 novembre.

La saison 2024-2025 d’Hexagone MMA s’achèvera le 15 novembre. Et c’est le Vaucluse qu’a choisi le première ligue française de MMA pour terminer en beauté. C’est au sein du centre commercial Aushopping Avignon Nord, au Pontet, qu’aura lieu ce dernier show.

Des combattants locaux

Combattants amateurs et professionnels se succéderont dans la cage, tel le veut le format Hexagone MMA Series, qui se divise en deux temps. Aisni, les jeunes talents amateurs assureront la première partie, puis viendra le tour des professionnels. Les combattants du Sud de la France seront à l’honneur comme les Avignonnais Bouali Skikem et Geoffrey Puigvert, et d’autres viendront de Nîmes, Montpellier, ou encore Marseille. Des combattants de haut niveau, déjà aperçus sur les shows télévisés d’Hexagone MMA, seront aussi de la partie.

Une première à Avignon-Le Pontet… mais pas en Vaucluse

« Nous sommes très heureux de retourner en Provence, affirme Jérôme Pourrut, co-fondateur d’Hexagone MMA. Nos galas au Théâtre Antique d’Orange ont rencontré un énorme succès ces dernières années, et nous avons hâte d’établir à Avignon un autre rendez-vous annuel de la sorte ! »

Pour réserver une place, cliquez ici.
Samedi 15 novembre. 19h (ouverture des portes à 18h) À partir de 25€. Aushopping Avignon Nord. 533 Avenue Louis Braille. Le Pontet.


Chabas sera toujours Chabas

« Au bout de 16 ans d’existence, nous devons adapter notre offre au public avec une montée en gamme de nos salles de cinéma ». Ainsi s’exprime Daniel Taillandier, président de CineWest, associé à René Kraus, directeur général du multiplexe du Tronquet.

« D’abord, nous allons rénover la salle de projection n°4 avec une proposition de qualité supérieure : Premium. Les fauteuils rouges ont été dévissés et enlevés, ils seront remplacés par des bleus, plus confortables dans lesquels les spectateurs seront quasiment allongés. Pour le son, il y aura davantage d’enceintes au plafond et sur les côtés, l’écran sera plus lumineux, les projecteurs définition 4K Laser, c’est ce qui se fait de mieux techniquement. En plus, pour les déficients visuels, sera proposé un sous-titrage et ceux qui n’entendent pas bien seront équipés d’un casque audio-descriptif, ce sera une 1re mondiale. Si le timing du chantier est respecté, on devrait l’inaugurer avant les fêtes de Noël, courant décembre avec Avatar 3 de James Cameron. »

2e chantier : le hall d’entrée qui va changer d’allure. « Nous avons en France plus d’une douzaine de cinémas dans le réseau CineWest. Notamment dans le Sud à Mouans-Sartoux, à Mougins, et Brignoles qui a été inauguré par ‘le régional de l’étape’, l’iconique star mondiale qui y réside avec femme et enfants, George Clooney. Petit à petit, nous avançons, nous évoluons au fil des ans, des expériences et des goûts du public. Nous envisageons cette fois pour le hall un décor provençal, il sera réalisé lors du 1er semestre 2026 et pour ne pas gêner l’accueil et la circulation du public, nous ferons dans la mesure du possible les travaux en dehors des horaires de projection. »

3e projet et non des moindres, une salle IMAX (pour IMage MAXimum), la 1re de Vaucluse sur les 28 qui existent à ce jour en France. « Normalement, elle sortira de terre à côté du cinéma actuel et occupera une soixantaine de places du parking si le permis de construire est accordé et si elle reçoit l’autorisation de la CNAC (Commission Nationale d’Aménagement Commercial). Car elle a déjà obtenu en septembre, à l’unanimité des votants, celle de la CDAC (dans le département), mais depuis, un recours a été déposé par nos concurrents de Cap Sud. Nous aurons la réponse d’ici deux mois, donc avant la fin de l’année. Si tout se passe bien, elle pourra accueillir 230 spectateurs dans des conditions uniques, avec un écran de 22m de long, 18m de haut (soit près de 400m²), un environnement totalement immersif côté son, c’est un technique qui a été créée en 1968 au Canada et qui amplifie toutes nos sensations, donc nos émotions, en particulier pour les films d’action, les blockbusters américains. » Ouverture fin 2026 au Pontet.

En 2024, en raison des Jeux Olympiques, nombre de films ne sont pas sortis à Paris en été, comme Un p’tit truc en plus. Du coup, la fréquentation des salles a globalement reculé de 7% dans la capitale mais de 20% en moyenne en France. Daniel Taillandier comme René Kraus espèrent que le Capitole, avec ses 11 salles (bientôt 12) et ses 2 300 fauteuils (bientôt 2 500), qui a accueilli 590 000 spectateurs l’an dernier, rattrapera son retard et retrouvera des couleurs dans les années qui viennent. Comme en 2019, avant le Covid, quand les chiffres étaient grimpés à 780 000. Avec tous les investissements et toutes les améliorations prévus, ils vont à coup sûr réussir.

Daniel Taillandier, président de CineWest. DR

Contact : www.capitolestudio.com


Chabas sera toujours Chabas

La marque de cosmétiques française Mixa s’installe au Pontet le temps d’une journée ce samedi 25 octobre pour délivrer des conseils en matière de soin et de dermatologie.

« Dermato, 100 jours d’attente, zéro solution : Mixa prend le relai ! » Tel est le slogan de la deuxième édition de la tournée nationale ‘Zones sensibles’ de Mixa qui a pour objectif de palier l’attente des rendez-vous délivrés par les dermatologues. Ainsi, du 14 octobre au 1er novembre, la marque de cosmétiques se rend dans les territoires les plus touchés par l’absence de soins dermatologiques.

La tournée fera une escale en Vaucluse. Ce samedi, Mixa installera son pop-up sur le parking du centre commercial Aushopping Avignon Nord au Pontet. Dans cet espace éphémère, les Vauclusiens pourront bénéficier de diagnostics gratuits et de conseils personnalisés, et ils repartiront avec des cadeaux. De nombreuses animations immersives seront aussi prévues.

©Mixa

Un lieu de dialogue et de sensibilisation

« Cette initiative renouvelée vise à offrir un accompagnement dermo-cosmétique de proximité, dans un contexte où on ne sait pas toujours quel produit choisir et qu’il faut parfois surveiller son budget », explique Mixa qui propose cette tournée dans un contexte marqué par la pénurie de dermatologues.

En 2024, 8 000 diagnostics de peau personnalisés ont pu être donnés, et 43 000 échantillons de produits Mixa ont été offerts. Les experts de la marque seront présents pour écouter chaque visiteur, ses problématiques de peau et ses envies en matière de soins.

Sources : Syndicat National des Dermatologues-Vénéréologues, Conseil National de l’Ordre des Médecins, Sanofi.

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