27 mai 2024 |

Ecrit par le 27 mai 2024

Avignon-nord : des terrasses des saveurs aux toitures du soleil

Les toits des Terrasses des saveurs sont désormais équipés de plus de 4 000m2 panneaux photovoltaïques délivrant une puissance installée de 172kWc. Grâce à ces 500 modules solaires implantés sur ce pôle restauration multi-enseignes de 4 000m2 inauguré au printemps 2019 abritant 10 restaurants(Ambassade de Bretagne, Ayako Sushi, Brut Butcher, El Asador, IT Trattoria, Le Saint Laurent, O’Tacos, Salad&Co, Subway et Villa Food House), les Terrasses des saveurs produisent 245MWh par an. L’équivalent de la consommation annuelle d’énergie de 83 familles ou l’économie de l’émission de 10 tonnes de CO2 par an.

Porté par Nhood, prestataire de services immobiliers en charge notamment de la zone commerciale d’Aushopping Avignon-Nord, et Helexia, spécialiste de l’accompagnement de projet d’énergie renouvelable, ce projet de transformation énergétique permet à Nhood France « de valoriser l’intégralité des espaces vacants du site comme la toiture, de produire une énergie verte et locale contribuant à la diminution de l’empreinte carbone, tout en gagnant en indépendance énergétique et répondre ainsi aux enjeux climatiques actuels ».

La concrétisation de ce projet préfigure les nombreux réaménagements de la zone que Nhood devrait dévoiler dans les prochaines semaines. En effet, la structure détenu par l’AFM (Association Familiale Mulliez) et issu d’un rapprochement des équipes de Ceetrus (anciennement Immochan) et Nodi en janvier 2021, travaille actuellement à la transformation de cette zone qui s’est développée autour l’hypermarché d’Auchan-Le Pontet ouvert en 1974.
Depuis, elle abrite une galerie commerciale de 113 boutiques, un parc d’activités de 200 enseignes regroupant 40 restaurants, du loisir, de l’hôtellerie, et des commerces accueillant plus de 8 millions de visiteurs annuel.

Les 500 panneaux solaires des toitures des Terrasses des saveurs permettent de produire l’équivalent de la consommation annuelle d’énergie de 83 familles et d’économiser l’émission de 10 tonnes de CO2 par an.

Avignon-nord : des terrasses des saveurs aux toitures du soleil

‘Sacerdoce, des hommes entre ciel et terre’, réalisé et distribué par Damien Boyer, réalisateur drômois. Depuis des siècles, les prêtres accompagnent de nombreuses personnes dans leur vie, dans les moments de joie comme d’épreuve. Alors que le scandale des abus a entaché l’Église ces dernières années, les prêtres demeurent un mystère.

Plus qu’un simple métier, leur fonction exige un style de vie si radical, celui du célibat, de l’abandon de la paternité et d’un style de vie sobre. Antoine, prêtre vagabond, ancien rider, sillonne l’Ariège avec sa caravane pour écouter les villageois.

Gaspard, prêtre montagnard, pousse les jeunes à se dépasser, à contempler la création, et à se débarrasser de leurs addictions.

François, prêtre parisien expérimenté, apporte son regard empreint de sagesse sur la nature profonde du sacerdoce.

Paul souhaite remporter le championnat de France du clergé à vélo.

Le Père Matthieu emmène Jésus en procession dans les quartiers chauds des Philippines. A travers leurs vies données au monde s’esquissent les enjeux de leur engagement et de la prêtrise au XXIe siècle.

Inquisition, colonisation
«Inquisition, colonisation, tous les scandales liés à la pédo-criminalité… C’est le coup final de la décrédibilisation de l’église.» «A priori il traine ici parce qu’il a peur de se faire zigouiller.» «Tant pis si on me pique des trucs dedans (dans l’église).» «Le prêtre ça choque, sa vie choque parce qu’elle n’est pas ordinaire.» «On va en baver. La montagne c’est un lieu d’humilité.» «Pourquoi est-il célibataire et pourquoi vit-il cette vie-là ?» «Je m’en fous de la religion. Ma religion c’est quelqu’un, ce quelqu’un c’est le Christ.»

Baptême, Mariage, Enterrement
«On passe par un mariage, un baptême, à une intervention dans une classe de catéchisme, on va faire un enterrement.» «Il a fallu que je me mette dans des situations où je suis moi-même, dans ma vie de prêtre.»

Le bien et le mal
«Les gars vous avez sûrement remarqué, on veut faire le bien et on n’y arrive pas et on ne veut pas faire le mal et on le veut quand même.» «Dans la vie il y a du combat.»

A vélo
«Quand je relie les clochers de ma paroisse à vélo, je rencontre un autre cycliste, au bout de 10 minutes il apprend que je suis prêtre, l’instant d’après il commence à ouvrir sa vie alors que depuis sa première communion il n’était jamais entré dans une église.»

Les combats
«Le prêtre c’est un homme comme tout le monde qui a aussi des combats.» « Il y a des douleurs liées à cette blessure affective qui est le célibat.» « Ça n’est pas un choix de vie facile. J’aurais pu choisir de me marier comme la plupart de mes amis l’ont fait. Je vois que leur choix de vie n’est pas facile.»

Une vie offerte
«Pourquoi est-ce que je ne donnerai ma place pour rien au monde, alors que c’est très dur ? Parce que cet engagement donne tout le sens de ma vie.» «C’est la manifestation d’une vie offerte, donnée.»

Sur le terrain
« Le monde a besoin d’être consolé, encouragé, et, en fait, c’est ça l’évangile. L’évangile ce n’est pas une théorie, c’est du concret. »

Les infos pratiques
Sacerdoce, des hommes entre ciel et terre. Un film-documentaire du réalisateur drômois Damien Boyer. Sur les écrans les vendredi 20, samedi 21 et dimanche 22 octobre 2023. Réservation, Dates et horaires ici. Les infos pratiques ici. Cinéma Capitole MyCinéWest.161, avenue de Saint-Tronquet au Pontet.


Avignon-nord : des terrasses des saveurs aux toitures du soleil

Sorti il y a 28 ans, le film le 8e jour a été projeté, lors d’une unique séance, dimanche 15 octobre à 16h au Cinéma Capitole MyCineWest au Pontet. Une initiative conjointe de la radio chrétienne RCF 84 et d’Emmanuel Luc, le directeur de l’établissement. Une opération en partenariat avec l’Echo du mardi. Près de 80 personnes ont répondu à l’invitation.

A la suite de la projection, Emilie Bourdellot, directrice de la radio, Jean-Paul Péridon, président de la radio, Marc Chabaud -administrateur et membre du bureau- ont accompagné le débat ‘Le handicap est-il acceptable en société ?’ 

«Nous avons organisé cette rencontre parce que nous sommes une radio de proximité, proche de ses auditeurs, a entamé Jean-Paul Péridon. C’est la première fois que nous organisons une projection suivie d’un débat pour vous rencontrer, vous public, auditeurs et bénévoles de notre association. Si nous sommes une radio généraliste nous sommes aussi un media de réflexion : tous les sujets de société nous interpellent, même si nous ne sommes pas là pour y apporter des réponses, des suggestions ou des opinions. Notre rôle et de susciter auprès de vous, auditeurs et spectateurs, de l’intérêt pour ces questions et de vous inviter à y réfléchir, à se poser des questions, et, peut-être, à y répondre.»

De gauche à droite David Corbière, Emilie Bourdellot, Denis Blin, Marc Chabaud et Emmanuel Luc

Le débat a été nourri d’interventions portant sur la difficulté d’être parents d’enfants et d’adultes en situation de handicap ; de la vie scolaire, éducative –le plus souvent inexistante-, sociétale, professionnelle et amoureuse des personnes différentes et de leur accompagnement vers le plus d’autonomie possible –avec un travail et un logement lorsque cela est possible- ; De la complexité et de la lourdeur des dossiers administratifs à renseigner ; De l’accès -rarissime- à la formation et au travail ; Du vieillissement des parents et accompagnants des personnes en situation de handicap et de la loi Handicap de 2005 qui beaucoup a fait progresser les droits de ces personnes dans une société qui travaille, peut-être encore trop lentement, à l’inclusion de tous en son sein…

Les grands témoins
David Corbière, directeur de l’entreprise adaptée Optimist et Denis Blin, fondateur de l’Arche du moulin de L’Auro, Alain Arrivets papa de Matieu – anciennement président avec son épouse Henriette du Geist 21– et Marie Josée ont à la fois témoigné et nourri le débat avec un public dont beaucoup étaient connaisseurs et impliqués sur le sujet abordé : la personne en situation de handicap et la vulnérabilité de nous tous, humains, dans la société.’

Témoignages
« Ce qui a contribué à changer le regard du commun ? Interroge Alain Arrivets : La capacité des personnes en situation de handicap à s’intégrer dans la société. Ils disent ‘Oui, nous sommes capables, avec nos différences, d’aller à l’école, de prendre le bus, le tram, d’aller travailler…’ La Loi de 2005 a permis de faire évoluer ce regard commun -des personnes en situation de handicap et nous, qui avons la chance de ne pas en être porteurs.’

« Mon métier est de créer de l’emploi pour les personnes en situation de handicap,
pose David Corbière, directeur d’Optimist. On s’est tous sentis un jour ou l’autre mal à l’aise face au handicap parce qu’il faut de l’humilité et de l’empathie pour l’approcher (A propos du film). Exclusion, marginalité culture du handicap, la véritable évolution de notre société réside dans l’acceptation de nos différences qui est aussi notre première richesse. Notre premier handicap est de vivre à 100 à l’heure, en passant à côté de l’essentiel, de la sensibilité… »

David Corbière, Marc Chabaud et Alain Arrivets

« Le handicap de la trisomie 21 est maintenant connu et accepté par la société mais le handicap invisible,
relève Marie-Josée, spectatrice. Enfants autistes, enfants porteurs de troubles du comportement, parents contraints de ne plus pouvoir sortir du foyer car les enfants ont des comportements extrêmes -grande violence et grande douceur-, pourtant ces handicaps se vivent avec beaucoup de difficulté pour tout le monde. Les parents se trouvent isolés de la société et même de la famille proche. Il y a très peu d’aides de vie scolaire qui sont, également, peu formées et peu reconnues financièrement. Faire reconnaître et obtenir de l’aide spécifique au handicap relève encore du chemin de croix. Nous restons démunis devant la plupart des handicaps. Aussi, peu de structures existent pour la prise en charge des personnes en situation de handicap. »

Jean-Paul Péridon a conclu
« L’ennemi principal de la différence est l’indifférence. C’est un peu comme le syndrome de la grenouille, il y a celle que l’on veut plonger dans l’eau bouillante et qui s’enfuit par la fenêtre parce qu’elle a senti le danger de l’eau chaude et celle qui mourra ébouillantée parce que l’eau a graduellement et doucement monté en température et tue la grenouille sans que celle-ci n’ait pas eu la force de s’échapper parce qu’il était déjà trop tard. C’est tout à fait l’indifférence dans laquelle nous nous installons, confortablement, mais qui tue notre conscience et nos sensibilités. »


Avignon-nord : des terrasses des saveurs aux toitures du soleil

Ce vendredi 20 octobre, le Château de Fargues, situé au Pontet, accueillera le concert ‘Des mélodies et des mots’ qui rendra hommage aux plus grands artistes de la chanson française. Les voix de Poline de Peretti et Jean-Paul Favier se mêleront pour interpréter des mélodies intemporelles.

Charles Aznavour, Sylvie Vartan, Serge Lama, Laura Fabian, Gilbert Bécaud, Céline Dion, ou encore Jean Ferrat. Les plus grands succès des légendes de la chanson françaises vous feront vivre une expérience unique.

Vendredi 20 octobre. 20h30. 10€ à 14€ (billet à acheter sur place ou sur internet). Château de Fargues. Avenue Pierre de Coubertin. Le Pontet.

V.A.


Avignon-nord : des terrasses des saveurs aux toitures du soleil

Ce mercredi 11 octobre, Skye, Stella, Chase, ou encore Rocky vous donnent rendez-vous au cinéma Capitole MyCinewest au Pontet. Si ces noms ne vous disent rien, peut-être que vos enfants pourront vous en dire plus puisqu’il s’agit des personnages de la célèbre Pat’ Patrouille qui fait l’objet d’un film ‘La Pat’ Patrouille : La Super Patrouille Le Film’.

En plus de la projection, les enfants pourront profiter de diverses animations, notamment d’un stand vente de ballons à l’effigie des personnages ou encore d’un photocall avec Stella et Chase. Plein de cadeaux seront également à gagner dans l’après-midi.

Mercredi 11 octobre. 15h. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


Avignon-nord : des terrasses des saveurs aux toitures du soleil

Créé en avril 2023 au Théâtre du Balcon, joué à guichet fermé pendant le festival Off, le Fossé, premier texte de Jean-Baptiste Barbuscia, mis en scène par Serge Barbuscia joue les prolongations hors les murs

C’est ainsi que pendant le mois d’octobre des représentations seront données au Château de Fargues dans le cadre de la saison culturelle de la ville du Pontet. L’association des Amis du Théâtre Populaire (ATP) – dont l’objet est de fidéliser toute l’année un public curieux et ouvert au plaisir d’un théâtre populaire et exigeant – a été également séduite par cette fable contemporaine grinçante à souhait. Le Fossé sera présenté en soirée mais également à un public scolaire car ce spectacle ne peut que séduire une génération qui se cherche et qui ne demande peut-être qu’à creuser….ou pas.

Le Fossé, une fable contemporaine qui fait mouche à chaque réplique.
Ils sont 5 sur scène et tout à la fois : le colon, l’émigré, la prostituée, la mère, la sœur, le joueur de claquettes, dieu dans un environnement peuplé de bouc, lion ou papillon. Il y a du Godot, il y a du Becket mais il y a surtout la plume acerbe de Jean-Baptiste Barbuscia dont c’est le premier texte et la mise en scène alerte de son metteur en scène de père, Serge Barbuscia. Ainsi ce lien intergénérationnel se prolonge sur scène avec humour et gravité à la fois.Les différents niveaux de lecture et de points de vue permettent à chacun de nous d’explorer le monde et ses profondeurs.

Mardi 10 Octobre.14h30 et 20h30. 6 à 14€. Château de Fargues. Avenue Pierre de Coubertin. Le Pontet. Mercredi 18 Octobre.20h. Jeudi 19 Octobre .10h et 14h30. Dans le cadre des Amis du Théâtre Populaire ( ATP). Théâtre Benoît XII,  12 rue de Teinturiers, Avignon. Pour toutes les séances, les réservations se font auprès du Théâtre du Balcon. 38 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 85 00 80. contact@theatredubalcon.org


Avignon-nord : des terrasses des saveurs aux toitures du soleil

La radio RCF 84 et Cinéma Capitole myCinewest proposent la rediffusion du ‘Huitième jour’ du réalisateur Jaco van Dormael avec les comédiens Daniel Auteuil et Pascal Duquenne. A l’issue de la projection, RCF entamera le débat sur ‘La différence est-elle acceptable en société ?’ avec Emilie Bourdellot directrice de la Radio RCF Vaucluse et Marc Chabaud. Exclusion, marginalité, culture et handicaps, où en sommes-nous dans notre société ? L’Echo du mardi, partenaire de cet événement propose, pour l’occasion, de donner la parole à des parents et des accompagnants de personnes en situation de handicap. Que vivent-ils ? Qu’est-ce qui a changé en 28 ans ?

Le Huitième jour est sorti en salle il y a 28 ans.
Depuis notre regard sur la différence et le handicap a-t-il vraiment changé ? La société est-elle vraiment devenue inclusive ? Des témoignages de professionnels et de familles émailleront les réflexions sur vers quoi la société tend, avec quels moyens, ce que vivent la personne en situation de handicap et les accompagnants.

«Je voulais raconter le choc entre deux mondes,
celui qui est considéré comme ‘normal’ et celui qui ne l’est pas, confiait, il y a 28 ans Jaco van Dormael, le réalisateur du Huitième jour’. Filmer la grâce dans ce qui semble ordinaire. Témoigner d’une autre façon d’appréhender le monde et la vie, d’une autre conscience de l’univers, riche, multiple, qui nous révèle à nous-mêmes notre capacité à aimer.»

Synopsis
Harry est un type normal. Très normal. Il trouve, sur la route, Georges. ‘Moi Mongol’ dit Georges. Harry veut le ramener chez lui. Il n’arrive plus à s’en débarrasser. Il s’y attache. Ces deux êtres que tout oppose vont devenir inséparables. Plus rien ne sera comme avant. Tant mieux pour Harry.

Pourquoi ce film ?
«C’est en faisant des courts-métrages avec eux que j’ai rencontrés ces personnes en situation de handicap –trisomie 21-.Je crois que si je m’y intéresse c’est que, tout simplement, je me sens bien avec eux. Ils donnent énormément. Ils ont un talent de vivre, d’aimer la vie, la minute présente, qui nous fait souvent défaut. C’est l’amour sur terre. C’est un monde qui vit juste à côté de nous et dont nous n’avons pas connaissance. Tous les pays ont été explorés, toute la surface de la terre a été visitée. Il reste, pourtant, des univers inconnus ici même, si nous prenons le temps de les voir. Pour moi, ils symbolisent la différence, une autre façon de voir le monde.»

Et puis…
«Le Cinéma permet de réveiller des émotions enfouies… fait partager une expérience, une rencontre qui seraient improbables dans la vie. Il réveille l’intérêt pour les autres. Dans mes films, je cherche à ce que le spectateur se sente bien, quand le film est fini, qu’il soit content d’être en vie, qu’il s’intéresse aux autres êtres humains. »
Extrait de l’entretien du dossier de presse du Huitième jour

Les infos pratiques
Dimanche 15 octobre. En salle à partir de 15h30. 6€. Projection du film à 16h. Débat de 18h à 19h sur les thèmes du handicap et de la différence avec la salle et de grands témoins. Cinéma Capitole MyCinewest 161, avenue de Saint-Tronquet au Pontet.


Avignon-nord : des terrasses des saveurs aux toitures du soleil

Sous l’impulsion de sa nouvelle directrice générale Barbara Martin Coppola, transfuge d’Ikea, le groupe nordiste Décathlon souhaite désormais se débarrasser de ses magasins les moins rentables selon nos confrères de Capital.
Une démarche déjà entreprise avec la fermeture, le 2 septembre dernier, du site de Villefranche-de-Rouergue dans l’Aveyron. Un peu plus tôt dans l’été, c’est le magasin de Nantes-Treillières qui a baissé définitivement le rideau fin juillet dernier alors que, début 2023, c’est ceux de Limoges-Le Vigen et de Strasbourg-Hautepierre qui ont arrêté leur activité.
Plus loin dans le temps, on peut considérer que ce mouvement avait déjà été initié avec les fermetures des Décathlon de Nanterre en juillet 2021, de la Trinité, à côté de Nice, en septembre 2020 ainsi que celui de Malakoff en décembre 2019.

Quid des magasins vauclusiens ?
En Vaucluse, l’enseigne est historiquement présente au Pontet, dans la zone d’Avignon-Nord, avec un magasin de 8 200 m2 de surface de vente inauguré en 2002 avant d’être agrandi en 2011. Ce magasin étant autrefois situé à Sorgues dans un bâtiment plus petit abritant Cultura aujourd’hui.
Dans le département, Décathlon est aussi installé dans la zone d’Avignon-Sud, à côté de Mistral 7, dans un magasin 3 000 m2 après avoir quitté la galerie du centre commercial en 2003. L’enseigne est encore présente avec les magasins de Cavaillon, Orange et Bollène.
Actuellement, le groupe fondé en 1976 compte 1 751 magasins (pour près de 105 000 salariés et un chiffre d’affaires de 15,4 milliards d’euros en 2022), dont 325 en France. Outre la fermeture des points de vente les moins rentables, il privilégie désormais l’ouverture de nouveaux espaces de vente plus petits ou bien la réduction de certains des magasins actuels.
A ce jour cependant, la direction du groupe, longtemps enseigne préférée des consommateurs français avant d’être détrônée par Action cette année, n’a pas communiqué dans le détail sur l’avenir des magasins éventuellement concernés par des fermetures ou des réaménagements.

Objectif : plus de numérique et moins de marques propres
La nouvelle dirigeante de l’enseigne souhaite également développer les ventes sur le net (18,8% en 2022 contre 20,8% en 2021). Le spécialiste du sport veut aussi réduire le nombre de ses marques propres. Aujourd’hui, Décathlon propose près d’une cinquantaine de marques propres (Kipsa, Tribord, Quechua, Domyos, Kalenji parmi les plus connues). Barbara Martin Coppola voudrait n’en conserver qu’une quinzaine.
Objectif : relancer des ventes qui n’ont progressé que de 2% lors du 1er semestre 2023 contre 9% prévus et faire face à la concurrence d’Intersport qui a récemment pris le contrôle de 72 magasins Go Sport.

L.G.


Avignon-nord : des terrasses des saveurs aux toitures du soleil

L’Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) organise une opération portes ouvertes dans tous ses centres de formation de Provence-Alpes-Côte d’Azur, dont celui du Pontet le jeudi 7 septembre.

Lors de la matinée portes ouvertes le jeudi 7 septembre, les visiteurs en quête de qualification, d’un nouveau projet professionnel, d’un contrat en alternance, auront l’opportunité d’échanger avec des stagiaires et des formateurs, et d’obtenir toutes les informations pratiques pour bénéficier d’une formation avec un emploi à la clé.

La matinée sera rythmée par des visites des espaces de l’Afpa du Pontet, et la découverte des formations aux métiers qui recrutent, tels que plombier-chauffagiste, photovoltaïque, maintenance des bâtiments, électricité, mécanique automobile, service à la personne, insertion professionnelle, commerce et distribution, logistique, secrétariat, médico-social, comptabilité, paye, accueil, ou encore tourisme. Les visiteurs pourront également en apprendre plus sur les services de l’Afpa comme l’accompagnement au projet alternance, le compte personnel de formation, le financement des formations, la ‘prépa-compétences’, ou encore la validation des acquis de l’expérience.

Les visiteurs auront également le droit à des conseils personnalisés, ainsi qu’à la présentation de la Promo 1618, qui accompagne les jeunes de 16 jusqu’à 18 ans ayant quitté l’école sans solution durant treize semaines.

Jeudi 7 septembre. De 9h à 13h. 56 Avenue Emile Zola. Le Pontet.

https://www.echodumardi.com/tag/le-pontet/page/4/   1/1