Les Chineurs de Malts, un nouveau whisky made in Vaucluse élaboré et distillé au Thor
Au départ, c’est Loïc Puviland, diplômé de l’Université du Vin de Suze-la-Rousse, qui installe en 2011 à l’Isle-sur-la-Sorgue, dans la zone de la Petite Marine, sa cave de 160 m² avec un millier de références de spiritueux, rhums, champagne et surtout whiskies. Il tisse des liens avec un œnologue de Châteauneuf-du-Pape, Jean-Yves Pomaret, et germe dans leurs têtes l’idée d’une distillerie artisanale de whisky.
Ainsi naît, à quelques kilomètres de là, sur la Zone Saint-Joseph au Thor, la Distillerie Les Chineurs de Malts. C’est la 2ᵉ en Vaucluse, après celle du Château du Barroux. « Nous, nous travaillons en partenariat avec le Lycée Agricole La Ricarde, à l’Isle-sur-la-Sorgue. Nous avons sélectionné de l’orge bio que nous avons semé dans son jardin, sur cinq hectares », explique Loïc Puviland.
« Il y a un essor des brasseries artisanales en France, ajoute-t-il. Nous avons acheté un alambic en cuivre à Cognac, terroir d’une eau-de-vie iconique labellisée AOC depuis 1909. Nous nous sommes aussi procurés une cinquantaine de vieux fûts de chêne de 200 à 350 litres à Châteauneuf-du-Pape, à Tain l’Hermitage chez Michel Chapoutier, à Xeres, à Madère, mais aussi auprès de producteurs de Bourbon aux États-Unis, en Écosse. »
La distillation passe par plusieurs étapes à partir d’orge maltée. Elle est concassée puis brassée dans une cuve d’eau chaude pour que les enzymes transforment l’amidon en sucres ‘fermentescibles’. Ensuite, place à la fermentation. Le moût filtré est transféré dans les fûts. On ajoute alors des levures et le sucre est métamorphosé en alcool, une étape qui dure entre quatre et sept jours.
Arrive alors le moment crucial de la distillation double, ‘à repasse’. « Dans un 1ᵉʳ temps, l’alcool titre entre 22° & 28° et on passe de 2 000 litres à 600l. Après un ‘cœur de chauffe’ dans un second temps, le distillat affiche autour de 68°. Enfin, c’est le moment de passer dans le chai de vieillissement, pendant 3 ans pour obtenir l’appellation ‘whisky’. Avec le climat méditerranéen, la chaleur fait évaporer autour de 5 à 7% du distillat, c’est trois fois plus qu’en Écosse où il pleut et il fait moins chaud. C’est ce qu’on appelle ‘la part des anges’ mais notre extraction ici est plus rapide, plus intense avec une belle couleur or pour notre whisky », précise Jean-Yves Pomaret.
Leur 1ʳᵉ cuvée ambrée vient de sortir. ‘Réal 001’ qui titre 46° en single malt est en vente 59€ les 50cl sur le site des Chineurs de Malts.
Les Chineurs de Malts, un nouveau whisky made in Vaucluse élaboré et distillé au Thor
Le duo circassien, composé de Simone Fassari et Camilla Pessi, sera à l’Auditorium du Thor ce dimanche 8 décembre.
Virtuose, drôlissime, poétique et jubilatoire. Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier la prestation du binôme de circassiens italo-suisse, Camilla Pessi et Simone Fassari. Découverts au festival Off puis programmé à l’Auditorium du Thor l’année dernière avec Pss Pss, ils reviennent avec Oh Oh. On retrouvera ce qui fait leur ADN : du mime, des œillades lancées dans des positions improbables, des acrobaties faussement maladroites, de la poésie.
Du bonheur, tout simplement
Oh Oh est un morceau de vie tendrement hilarant à déguster en famille, sans modération.
Dimanche 8 décembre. 16h. 10 à 25€. Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80 / www.vaucluse.fr
Les Chineurs de Malts, un nouveau whisky made in Vaucluse élaboré et distillé au Thor
Les militaires de la brigade territoriale autonome (BTA) de l’Isle-sur-la-Sorgue sont intervenus ce mercredi 20 novembre au Thor pour fermer et d’évacuer une casse automobile illégale, accompagnés du peloton de surveillance et d’intervention d’Avignon, des services de la Préfecture et de la police Municipale.
Située dans une zone agricole de la commune depuis plusieurs années, cette casse automobile non déclarée portaient de graves atteintes à l’environnement. Après nombre de visites et d’inspections de la part des services de l’État, un arrêté préfectoral a mis en demeure l’exploitant de régulariser sa situation et de faire cesser les atteintes à l’environnement. Suite au non-respect de ces prescriptions, l’exploitant a reçu une amende administrative et l’ordre de supprimer l’exploitation.
L’exploitant n’ayant pas conformé à l’arrêté de suppression d’exploitation, le préfet de Vaucluse a décidé, ce 20 novembre, de faire procéder à l’évacuation d’office des véhicules. Ainsi, la gendarmerie de Vaucluse, la police municipale et les équipes de l’unité interdépartementale de la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement, sont intervenus.
Quarante véhicules ont été enlevés du terrain par la société vauclusienne Fert Recyclage, ainsi que des pièces détachées, entreposés illégalement. À cette occasion, les forces de l’ordre ont aussi relevé sept infractions.
Les Chineurs de Malts, un nouveau whisky made in Vaucluse élaboré et distillé au Thor
« Avec une superficie de 1 300 m², c’est la plus grande découverte d’un site carolingien dans un centre médiéval ancien », explique avec fierté Guihem Baro, qui dirige sept autres archéologues du Service Départemental de Vaucluse en mission sur cette Place de Verdun depuis le 3 septembre.
« Carolingien », dérivé du latin « carolus », peut aussi bien désigner Charles Martel que Charlemagne et faire référence à la dynastie de rois francs à partir du IXᵉ siècle. Dans ce quartier doivent être bâtis une trentaine de logements sociaux, mais d’abord les vestiges doivent être déterrés délicatement, mis à l’abri et protégés.
« Nous avons d’abord découvert de petites maisons en bois. On suppose que des gens se sont installés là près de la Sorgue pour pouvoir pêcher et se nourrir, ajoute l’archéologue en chef. Le château qui date du Xᵉ-XIᵉ siècle est tout près. C’était donc un secteur assez urbanisé au Moyen Âge, où les maisons, petit à petit, ont été érigées en pierre de Thouzon. Vous voyez à gauche du chantier, des murs épais, conçus en ‘arêtes de poissons’, en ‘chevrons’, comme les remparts du Thor d’ailleurs.
Il poursuit : « Ce qui est rare, c’est que nous avons mis à jour du bois conservé en milieu humide. Cela signifie que les fondations ont plus de 1000 ans, mais elles n’ont pas été décomposées dans la tourbe. Nous avons aussi découvert des os d’animaux, de la vaisselle, du verre, des pièces en céramique. Nous en avons fait un relevé photographique et topographique ».
Les travaux depuis deux mois ont débuté avec une pelle mécanique pour « décaper les couches superficielles », mais au vu des trésors enfouis, c’est à la truelle, au pinceau et avec des pincettes que nos archéologues ont poursuivi pour extraire à la main notamment la sépulture recroquevillée d’un équidé, âne ou cheval, on ne sait pas encore, qu’ils ont découverte dans la cour d’une maison. « Cela veut sans doute dire que la famille était très attaché à son animal et l’a gardée à côté d’elle ».
Ce type de « fouille préventive » permet de protéger les vestiges avant qu’ils ne disparaissent à jamais, mais aussi d’enrichir nos connaissances historiques et scientifiques sur ceux qui nous ont précédés.
Dès la fin de l’année, quand tout aura passé au crible et exhumé, le site sera recouvert d’une épaisse couche de sable pour le sauvegarder et les travaux proprement dits de construction de 30 appartements par le bailleur Grand Delta Habitat pourront débuter mi-janvier 2025.
Peut-être un livre sera-t-il édité sur ces vestiges carolingiens ? À moins que ne soit organisée une exposition ? C’est à la Ville du Thor ou au Département de Vaucluse de décider, grâce aux conseils judicieux des archéologues qui auront travaillé d’arrache-pied sur ce site pendant quatre mois.
Toutefois, le maire du Thor, Yves Bayon de Noyer est agacé. « D’abord, depuis 2 ans, une trentaine de familles attendent un logement. Ensuite ce retard coûte 400 000€, la moitié pour la ville, l’autre pour Grand Delta Habitat, alors que ce n’était pas prévu dans le financement ».
En effet, chaque année de jeunes dirigeants d’entreprises d’insertion nouvellement créées ou reprises et porteuses d’un projet social innovant sont récompensées par la Fédération des entreprises d’insertion, en partenariat avec la chaire Innovation sociale de l’Essec Business school et avec le soutien du Crédit coopératif. Mission des 2 200 entreprises d’insertion ? Continuer à donner du sens, créer du lien social et contribuer au développement de leur territoire.
Le bon geste Les social-biscuits bio gourmands et solidaires ont été façonnés par le Beau geste, entreprise d’insertion proposant des assortiments salés et sucrés, fabriqués à base de farines de légumineuses de pois chiche et de lentilles fabriquées en France et aussi du beurre et de la poudre d’amande. La biscuiterie propose un coffret de Noël, des sablés à la fleur d’oranger, des mini-cubes cookies framboise chocolat blanc, des petits sablés au beurre. Tous les produits ici.
En savoir plus Fondée en 2022, Le beau geste, élabore des recettes gourmandes réalisées à la main. Le projet intègre à la fois un ancrage territorial fort (Sud Vaucluse) et un volet d’insertion dans le secteur agroalimentaire. En recrutant des personnes en difficulté, la biscuiterie les aide à surmonter divers obstacles à l’emploi, tels que la santé ou la mobilité. Pendant un parcours pouvant durer jusqu’à 24 mois, les salariés bénéficient d’un accompagnement personnalisé pour développer des compétences techniques et regagner confiance en eux. L’objectif est de leur offrir un tremplin vers une insertion durable. Leurs biscuits sont distribués dans plus de 100 points de vente dans la région Sud.
Les infos pratiques Le beau geste. 299, avenue de la Cigalière au Thor fleur@lebeaugeste.fr
Vidéo datant de 2022
Les Chineurs de Malts, un nouveau whisky made in Vaucluse élaboré et distillé au Thor
Avec Fatigué, Hakim Jemili revient au spectacle vivant
Dans sa génération, c’est l’un des plus doués. Révélé au grand public par YouTube, la télévision (HF) et le cinéma (Docteur, Chasse gardée), Hakim Jemili revient à son premier amour, le stand-up. Lui qui avait fait ses premiers pas voici dix ans, au Paname Café, renoue avec la scène qu’il considère comme son « espace de liberté. »
Des thèmes d’actualité
Laura Felpin, complice d’écriture de ce nouveau spectacle, l’avait incité « à mettre ses tripes sur la table. » C’est ainsi qu’est né Fatigué, second seul en scène où il évoque « tout ce qui se passe autour de lui », le non-sens de l’actualité, les conflits du Proche-Orient, la religion, la tradition, l’argent. « Je ne peux plus monter sur scène pour parler de mon réfrigérateur », lâche-t-il.
Humour décalé et mordant
Hakim Jemili, l’enfant des cités de Sélestat qui se revendique « franco-tunisien-alsacien », a gagné en maturité, mais n’a rien perdu de son humour subtilement décalé et mordant.
Samedi 12 octobre. 20h30. De 13 à 35€. Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. www.vaucluse.fr
Les Chineurs de Malts, un nouveau whisky made in Vaucluse élaboré et distillé au Thor
A l’occasion de ses 40 ans, l’Ecole supérieure d’ébénisterie d’Avignon (ESEA) propose une exposition rétrospective des œuvres conçues et réalisées par ses élèves depuis ces 4 dernières décennies. L’événement a lieu ce samedi 12 octobre, à partir de 10h jusqu’à 18h au parc de l’Arbousière à Châteauneuf-de-Gadagne, où figureront 40 œuvres venues de la France entière.
L’atelier Copyright ESEA
L’Ecole supérieure d’ébénisterie d’Avignon a été fondée en 1983 par le père de Magali Donnat, Louis Suau, maître artisan ébéniste aujourd’hui disparu. L’organisme de formation propose 10 mois de formation de début septembre à fin juin pour intégrer une des deux Formations certifiantes : ‘Ebénisterie’ ; et ‘sculpture et dorure sur bois’. Les 50 élèves admis sont le plus souvent en reconversion professionnelle. Leur moyenne d’âge est de 37 ans. 30% d’entre-eux sont des femmes.
«Les candidats ont entre 18 et 65 ans et sont issus de tous niveaux universitaires et d’expériences professionnelles diverses, analyse Magali Donnat, directrice de l’école. La majorité vient avec un objectif de reconversion pour créer son propre emploi ou entreprise. Le plus souvent pour sortir de métiers trop virtuels et, avec ces métiers du bois, laisser une trace de leur travail ». C’est ainsi que 2 500 élèves ont été formés en 40 ans par des formateurs diplômés, tous anciens élèves de l’école. Compter 15 200€ la formation pour environ 1 520h de formation avec une moyenne de 38h par semaine, soit 10€ de l’heure par stagiaire et 200€ de frais pour le dossier d’inscription. Le bois est fourni ainsi que les outils et établis prêtés sans surcoûts.
La sélection des candidats se fait lors d’un entretien d’une-demi-journée basé sur l’évaluation des acquis généraux et techniques, la motivation, l’esprit logique et de synthèse, la capacité à suivre la formation, l’adéquation avec le projet personnel et le dossier administratif et financier. Le dossier est construit entre six mois et un an à l’avance, notamment pour obtenir des aides.
Travail d’un élève. Copyright ESEA
L’interview : Magali Donnat, directrice
‘Comment se porte le monde de l’ébénisterie en termes économiques ?’ «Je n’ai pas vraiment de réponse à cette question mais je peux cependant affirmer que tous nos anciens stagiaires, installés à leur compte, ont du travail. Certains ont été embauchés dans des entreprises travaillant dans le secteur du luxe, un peu partout en France, le plus souvent avant de se mettre à leur compte. Leur clientèle ? Des personnes à fort pouvoir d’achat séduites par du mobilier de belle facture, le plus souvent réalisé sur mesure et selon une demande précise. Le travail demandé est à mille lieux du mobilier proposé par les grandes enseignes. Et puis notre département et région abrite des personnalités qui ont le goût du travail artisanal d’art.»
‘Quelles sont les nouvelles attentes des consommateurs en mobilier en bois ?’ «En 40 ans, le design du mobilier a nettement changé pour une demande friande de lignes plus sobres, comme épurées.»
‘L’enseignement a-t-il changé en 40 ans et comment cela s’est-il concrétisé ?’ «Le niveau d’enseignement et la méthode pédagogique n’ont pas changé. La formation est intensive et axée à 80% sur la pratique, en atelier. Si les tables de dessin techniques sont toujours d’actualité pour le dessin des projets à l’échelle 1 –grandeur nature- nous proposons désormais une initiation au logiciel de DAO (Dessin assisté par ordinateur) Sketchup qui permet d’obtenir une vision en 3D du mobilier.»
Travail sur la machine-outil Copyright ESEA
Les élèves en ébénisterie issus de toutes les régions de France, concevront et réaliseront six meubles pédagogiques en 10 mois : Une console en chêne de style contemporain ; Un confiturier en noyer de style Régence Provençal ; Une vitrine en sycomore et mélaminé, réalisée en mode agencement ; Une table à jeux en merisier de style Louis XVI avec placage et incrustation de flets ; Une commode galbée en tilleul de style Régence ainsi qu’une pièce libre.
Les élèves en sculpture et dorure sur bois concevront et réalisont : Un confiturier revisité le kube en chêne, un miroir Louis XVI avec fronton moulé et doré à la feuille, un bas-relief sculpté en noyer, chêne ou merisier (en sujet libre), une ronde-bosse en tilleul (sujet libre) et une pièce libre.
Les supports pédagogiques ainsi que les meubles à réaliser ont évolué au fur et à mesure du temps pour s’adapter à ce qui se fait, au design présent. Les machines- outils ont gagné en technologie, maniabilité, rapidité de réglage et sécurité, mais tout n’a pas changé car les élèves viennent chez nous pour apprendre les méthodes traditionnelles et les bases du métier pour ensuite déployer leurs connaissances et interpréter le mobilier avec leur propre signature. Certains de nos élèves ont ainsi souhaité intégrer une formation après l’autre, comme cela a été le cas l’an passé, ce qui, toutefois n’empêche pas les femmes de venir en nombre puisque pour l’année 2024-2025 elles sont 30% d’inscrites. Le point commun à tous ? Le besoin de réaliser quelque chose de concret et de beau et une impérieuse envie d’indépendance.»
Moment d’apprentissage entre un élève et son formateur Copyright ESEA
La moitié des élèves -52%- ont entre 25 et 45 ans, «Ages qui ont tendance à tendre vers le milieu de la trentaine avec comme une nécessité de changer de cap professionnel pour passer de métier à forte connotation abstraite, à un métier tendant vers des réalisations bien concrètes. Nous avons particulièrement observé ce changement de paradigme à partir de l’épisode Covid de 2020 et ses différents confinements. Pour l’année 2024-2025 les élèves ont une moyenne d’âge d’un peu plus de 37 ans et, comme d’habitude 80% de ces nouveaux apprenants sont en reconversion professionnelle.
Vous acceptez les candidatures jusqu’à 65 ans. Quelle est la demande de ces jeunes seniors ? «Cette année ils sont deux et bien sûr entament une fin de carrière. Leur demande ? Réaliser un rêve auquel ils n’ont pas eu accès auparavant, celui de travailler le bois. Mais ni l’un ni l’autre n’excluent d’en faire une activité professionnelle complémentaire, même si celle-ci n’occupera peut-être pas 100% de leur temps. Pour autant, nos formations sont très intensives d’une part parce que les apprenants n’ont pas de connaissance de ces métiers très techniques qui exigent, en plus d’une vraie appétence intellectuelle une réelle condition physique.»
Une anecdote ? «J’ai essentiellement travaillé sur les réseaux sociaux tels que LinkedIn et Facebook pour retrouver -après sélection de leurs travaux dont nous avions conservé les photos- nos anciens élèves afin de rapatrier, pour quelques jours, leurs œuvres réalisées en fin de stage et exposées et photographiées lors des portes ouvertes en juin de ces 40 dernières années. La surprise est que plusieurs des personnes recontactées en ont profité pour faire suivre des offres d’emplois à nos apprenants, ce qui est une vraie reconnaissance.»
Travail d’un élève Copyright ESEA
Les infos pratiques Fête des 40 ans de l’ESEA, Ecole d’ébénisterie d’Avignon. Ce samedi 13 octobre à partir de 10h jusqu’à 18h. Parc de l’Arbousière dans la salle éponyme, 1 360, avenue Voltaire Garcin à Châteauneuf-de-Gadagne. Contact ici. ESEA. 1742 route d’Orange, 84 250 Le Thor. info@esea-avignon.com
Travail d’un élève. Copyright ESEA
Les Chineurs de Malts, un nouveau whisky made in Vaucluse élaboré et distillé au Thor
Le dimanche 25 août 2024, la commune du Thor célèbrera le 80ème anniversaire de sa libération autour d’un programme assez complet et riche lors de cette journée dominicale. Partisane de la devise « connaitre le passé, pour comprendre le présent et préparer l’avenir », la ville proposera plusieurs temps forts à ses habitants qui seront centrés autour de témoignages vécus et de la transmission historique.
Programme complet du dimanche 25 août 2024 :
-Exposition vitrines de la salle de l’Office de Tourisme d’objets de collectionneurs de cette période
-Défilé des Merlinettes, association mémorielle, avec jeeps, véhicules d’époque en tenue militaire. Départ pont de Douzamont à 18h, passage rue de la République, arrêt à l’Ehpad à la rencontre des résidents.
-Distribution d’un livret « Vivre au Thor sous l’occupation et à la libération », destiné aux enfants et spécialement conçu à leur attention
-Cérémonie commémorative avec pose d’une nouvelle stèle, place du 8 mai en bord de Sorgue, hommage aux libérateurs de la 3ème Division d‘Infanterie américaine – 19h
-Projection d’un film réalisé par le service communication, présentant les témoignages et souvenirs de nos anciens du Thor, ayant vécu la libération de la ville – place du 8 mai – 20h / 20h30.
-Apéritif offert par la municipalité
-Concert avec le Trio vocal féminin Lily swing – place du 8 mai
Les Chineurs de Malts, un nouveau whisky made in Vaucluse élaboré et distillé au Thor
Ecole supérieure d’Ebénisterie d’Avignon (ESEA),en 40 ans plus de 1 500 élèves y ont obtenu leur diplôme avec un tauxd’employabilité de 83,8 % dans l’ébénisterie et 81,8 % dans les métiers des Arts mobiliers sculptés et décoratifs (chiffres 2023).Fondée par Louis Suau, maître ébéniste, l’Ecole Supérieure d’Ebénisterie d’Avignon, située au Thor, est dirigée par sa fille, Magali Donnat.
L’école supérieure d’ébénisterie d’Avignon accueillera ses élèves lundi 2 septembre avec une surprise, cette année, une promotion ébénisterie particulièrement recherchée même si la promotion sculpture reste un atout majeur de la structure. Autre particularité de l’école qui est en même temps une marque de reconnaissance ? Les formateurs sont tous des anciens élèves de l’école dont certains y enseignent depuis plus de 20 ans.
Copyright ESEA
Temps fort et appel aux anciens élèves L’école est en train d’organiser une exposition anniversaire retraçant les 40 années d’existence de l’école. Pour cela elle recherche ses anciens élèves et leurs œuvres retraçant, ainsi, l’évolution du design du mobilier en bois de ces quatre dernières décennies. L’exposition aura lieu samedi 12 octobre de 10h à 18h, au parc de l’Arbousière à Châteauneuf-de-Gadagne.
Cinquante élèves en 2024 Comme chaque année, la cinquantaine d’élèves réalisera six meubles pédagogiques en dix mois : une console en chêne de style contemporain ; un confiturier en noyer de style Régence Provençal ; une vitrine en sycomore et mélaminé en mode agencement ; une table à jeux en merisier de style Louis XVI avec placage et incrustation de flets ; une commode galbée en tilleul de style Régence , ainsi qu’un meuble ou une sculpture personnelle en fin d’année. Ces créations seront d’ailleurs toutes exposées lors de la traditionnelle journée ‘Portes ouvertes’ prévue en juin 2025.
Copyright ESEA
Une section adultes Depuis 40 ans, l’école forme chaque année une cinquantaine d’adultes dans les métiers du bois venus de toute l’Europe. Ingénieur, directeur marketing, cadre commercial, enseignant, militaire… Les profils des élèves en reconversion professionnelle sont majoritairement issus de métiers tertiaires avec une forte envie de redonner du sens à une seconde partie de leur vie professionnelle.
Les conditions d’admission Les formations proposées par l’École Supérieure d’Ébénisterie d’Avignon, sont réservées aux personnes ayant au minimum 18 ans révolus à la date d’entrée en stage (pas de limite d’âge supérieur). Le candidat doit faire preuve d’une bonne faculté d’assimilation. Une motivation profonde est également demandée. Aucun diplôme, aucune expérience professionnelle, aucune antériorité dans les métiers du bois ne sont nécessaires ou exigés.
Les infos pratiques Ecole supérieure d’ébénisterie d’Avignon. Etablissement certifié Adef et Qualiopi. Rentrée le 2 septembre 2024. 1742, route d’Orange ; 84250 Le Thor. 04 90 33 90 58 ; info@esea-avignon.com et www.esea-avignon.com