Le Thor, Grottes de Thouzon, la machine à remonter 60 millions d’années
Découverte en 1902 lors de l’exploitation d’une carrière, les Grottes de Thouzon sont demeurées intactes grâce à leur aménagement immédiat. Elles nous émerveillent au détour de leurs étonnantes stalactites jaune et or qui en sont les pièces maîtresses.
Nous cheminons dans le lit fossile d’une ancienne rivière souterraine pour le plaisir de toute la famille. Il s’agit de l’unique grotte naturelle aménagée pour le tourisme en Provence. On y discerne des gours, les relfets des stalactites, une chauve-souris fossilisée, des ‘rognons de silex’. La température est de 13 degrés en intérieur et un spectacle son et lumières propose d’assister à la découverte de la grotte. La visite guidée s’y fait en 45 minutes.
Les infos pratiques Grottes de Thouzon. Ouverture tous les jours de 10h à 18h. Dernier départ à 17h15. Tarif Gratuit pour les moins de 3 ans. 7€ pour les enfants de 3 à 11 ans. 9€ pour les 12 à 17 ans. 04 90 33 93 65. 2083, route d’Orange au Thor. www.grottes-thouzon.com MMH
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Le Thor, Grottes de Thouzon, la machine à remonter 60 millions d’années
La Ville du Thor organise la retransmission en direct de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques sur écran géant !
Autour de cette retransmission, tout un programme à partager : Ateliers sportifs, Tremplin musical, Buvette et Food Trucks, avec la participation de l’Akwaba Coop Culturelle, le Sonograf’ et de l’École Municipale de Musique et de Danse du Thor ! Le préfet Thierry Suquet, en sera l’hôte d’honneur.
Les infos pratiques Vendredi 26 juillet. Gratuit. A partir de 18h jusqu’à minuit. Gymnase Jean Garcin, allée Jean Bouin. Le Thor. MMH
Le Thor, Grottes de Thouzon, la machine à remonter 60 millions d’années
Avant de se produire sur les planches du Festival d’Avignon, l’humoriste Hélène Sido (Hélène Pelletier à la ville) a connu un parcours atypique. Directrice générale des services à la mairie du Thor, elle a mis de côté sa carrière dans la fonction publique territoriale pour se consacrer à sa passion de la scène en se lançant dans le grand bain de l’humour. Un pari réussi puisqu’elle entame son premier Festival d’Avignon après avoir déjà joué son premier spectacle plus de 80 fois à travers toute la France depuis un an maintenant.
Avec l’humoriste Hélène Sido, le moins que l’on puisse dire, c’est que le contraste est plus que saisissant entre son parcours professionnelle et son activité artistique actuelle. Un grand écart qui débute avec des études de droit. Après, cette juriste de formation enchaîne en passant les concours de la fonction publique pour obtenir le grade d’attachée territoriale. Normande d’origine, la jeune femme de 37 ans (ce mois-ci) va ensuite passer une dizaine d’année dans la fonction publique, dont une partie en Haute-Savoie, avant de devenir DGS (Directrice générale des services) de la commune du Thor à partir de 2018. Elle y restera jusqu’en 2023. Entretemps, elle alliera sa passion de la scène, d’abords en amatrice, avant de tout lâcher en juillet 2023 pour tenter la grande aventure du stand-up et de la comédie.
« La scène c’est un endroit où je me sentais très bien.»
Une passion pour le théâtre « En fait, j’ai toujours aimé le théâtre », explique celle qui a définitivement abandonné les tailleurs de l’administration locale pour enfiler le costume d’humoriste. « Enfant, je faisais le clown comme tous les gamins. A l’école, en primaire, on avait le spectacle de fin d’année et j’adorais déjà beaucoup ça. La scène c’est un endroit où je me sentais très bien, où j’avais envie d’aller tout le temps. Mais pour moi, ce n’était pas un vrai métier car on rigolait trop. » Même constat pour ses parents qui ne sont pas du tout issus d’un milieu artistique – sa mère est fonctionnaire et son père ouvrier avant de devenir cadre. « Humoriste ce n’est pas un vrai métier ! », s’amuse-t-elle. « Donc, voilà il fallait faire des études. Ça rassure les parents qui sont tous les mêmes. C’est le profil classique », reconnaît Hélène qui prend alors une voie plus conventionnelle. Des études studieuses, avoir une bonne situation, une maison, une famille… Mais une fois stabilisé, au mitan de la trentaine « on commence peut-être à se reposer des questions afin de savoir ce que l’on a vraiment envie de faire. »
« Cela a commencé à prendre beaucoup de place dans ma vie. »
Un épanouissement avant d’en faire un métier Un cheminement vers les lumières de la scène qui va reprendre vie il y a près de 8 ans maintenant : « Je me suis dits ‘tiens, je vais faire quelque chose qui me plaisait quand j’étais gamine’, juste histoire de gratter un peu plus loin. Alors j’ai commencé à refaire du théâtre. Pour le plaisir et pour mon épanouissement. » D’abords du théâtre d’improvisation, de la comédie, puis après des cours de théâtre, des pièces sur scène, un peu de théâtre à texte… « On fait des personnages. On raconte des histoires. Ça m’a plu et cela a commencé à prendre beaucoup de place dans ma vie. Et après, j’ai eu envie d’écrire. », conclut celle qui n’envisageait pas encore d’en faire son métier. Pourtant, Hélène commence à se prendre au jeu en participant à des concours d’humour dans les festivals où elle multiplie les distinctions. En tout près d’une quinzaine de prix*. « Cela a commencé à bien marcher alors pourquoi ne pas essayer d’aller plus loin en combinant sa passion avec sa vie professionnelle ? »
« La semaine, j’étais au travail, et le week-end, c’était festival. »
« La semaine, j’étais au travail, et le week-end, c’était festival. Et qui dit festival, veut dire bouger un peu quand même. Tout ça avec une vie de famille à gérer. » Hélène essaye de mener les deux de front mais avec une petite fille en garde alternée, il est inenvisageable pour elle d’arrêter son travail. Surtout avec un emploi dans la fonction publique territoriale qui est aux antipodes de celui d’artiste. « C’est cadré, reconnaît Hélène. Vous avez des horaires, vous avez un salaire fixe. Vous savez où est-ce que vous allez. » Avant de faire le grand saut, il faut donc que les conditions soient réunies. Une nouvelle rencontre personnelle, une petite fille qui a grandi et voilà qu’après une longue réflexion la fenêtre de tir se présente. « J’ai rencontré quelqu’un qui m’a poussé à réaliser mon rêve car je pense que tout seul, on ne se lance pas aussi facilement. Il faut derrière des gens, la famille, les amis, les proches qui disent ‘mais si, c’est bon, tu peux’. »
Le maire du Thor comprend sa décision Un changement de vie qu’il a fallu aussi annoncer à son ‘patron’ Yves Bayon de Noyer, maire du Thor depuis 2014. « Au départ, il s’est inquiété pour moi en se disant ‘mais qu’est-ce qu’elle en train de faire ?’. Il faut dire qu’il ne m’imaginait pas du tout là-dedans car je suis plutôt quelqu’un de très réservé qui peut paraître très sérieuse. Mais c’est aussi quelqu’un de très humain et de très droit. C’est aussi un ancien entrepreneur qui sait ce que c’est d’avoir envie de monter son truc à soi. Au final, il a trouvé ça courageux. De mon côté, j’avais pris du temps pour mûrir ma décision et il n’y a donc pas eu de rupture. J’ai laissé du temps pour qu’on puisse trouver ma remplaçante. » Ses anciens collègues sont aussi venus la voir, ainsi que sa remplaçante : « Ils étaient contents pour moi. »
« Il n’y a pas de diplôme d’humoriste. Vous n’êtes pas catégorie B d’humour ou C ou A. »
Un saut dans l’inconnu mais pas à l’aveugle En se jetant complètement dans le grand bain du stand-up Hélène Sido sait quand même un peu où elle met les pieds. En gagnant plusieurs concours d’humour elle a ainsi déjà été repérée par de nombreux théâtres mais aussi par le public. « Il n’y a pas de diplôme d’humoriste pour se rassurer sur ses compétences dans ce domaine, s’amuse-t-elle. Vous n’êtes pas catégorie B d’humour ou C ou A. Alors oui, j’avais besoin d’un peu de légitimité que j’ai trouvé auprès des spectateurs dans les festivals. » Les rencontres avec les professionnels se multiplient aussi, les passages dans les ‘comedy clubs’ également. « Ce n’est pas l’exercice le plus facile car on n’a que 5 ou 10 minutes. On ne fait que des extraits. C’est donc difficile de présenter un personnage surtout si vous proposez un univers qui est un peu cohérent. » Des petits passages où elle y rode ses sketchs en y touchant un public plus jeune. « Du coup, les gens m’identifient », constate-t-elle. Les réseaux sociaux, Instagram et Tik Tok principalement, participent également à cette notoriété naissante, même si elle ne veut pas en être ‘l’esclave’. « Je me refuse d’être la salarié d’Instagram. »
‘Solilesse’ : entre le stand-up et le sketch Celle qui n’a pas forcément de modèles mais avoue qu’elle aime notamment Haroun, Yacine Belhousse, Julien Santini, Alexandre Kominek ou bien encore Blanche Gardin a construit peu à peu son spectacle dans une sorte d’entre-deux. « C’est entre le stand-up et le sketch avec un personnage qui parle pendant une heure. Je m’adresse au public, mais je suis beaucoup dans ma tête, en fait. Derrière, il y a un fil conducteur, il y a une histoire. » Elle s’y inspire subtilement du quotidien : « C’est surtout sur la communication entre les hommes et les femmes. Tous ces diktats, ‘il faut aller bien’, ‘il faut être heureux’, la bien-pensance, la bienveillance systématique… Je dis ce que je vois et comment je le vois. Mais sans dire ‘regardez comme moi’. » Un premier spectacle nommé Solilesse, qu’elle a joué plus de 80 fois depuis un an, lui permet maintenant de monter sur les planches de la scène du théâtre de la Tache d’encre pour son premier festival d’Avignon (voir infos pratiques en fin d’article).
Solilesse, le premier spectacle d’Hélène Sido au théâtre de la Tache d’Encre à Avignon durant le Festival.
Docteur Pelletier ou misses Sido ? « C’est vraiment le bon moment. L’année dernière, c’était impensable de faire le festival avec un spectacle qui avait été joué deux fois. Depuis, j’ai passé ma vie avec la SNCF », s’esclaffe celle qui était encore DGS du Thor l’été dernier et qui a fait de la scène son nouveau métier. Une ‘pro’ qui travaille désormais avec Fabien Ramade productions, société basée à Beaumes-de-Venise qui produit de très nombreux artistes et spectacles, ainsi qu’Anaïs Gardenato, sa directrice de production également fondatrice du théâtre des Brunes à Avignon. Et quand à savoir si Solilesse est tous publics ‘docteur Pelletier ou misses Sido’ lance : « ma fille regarde le spectacle et elle ne fait pas de psychanalyse. »
Le futur dure 3 ans La jeune humoriste entame donc son premier marathon avignonnais (14 représentations en près de 2 semaines) avec la volonté de vivre intensément sa passion pendant tous le mois de juillet. Pour cela, elle assume les concessions matérielles qu’elle a du concéder par rapport à sa vie d’avant. « Je suis moins bien payé qu’avant mais j’ai suffisamment pour m’occuper correctement de ma fille. Certes, mon niveau de vie a diminué mais pourtant je vis mieux maintenant. » Histoire de ne pas injurier l’avenir, Hélène c’est toutefois mise en disponibilité : « J’ai mon petit côté sécurité quand même. Humoriste, mais pas stupide non plus » dit-elle dans un clin d’oeil. Avec cette disponibilité, elle a donc 3 trois pour faire son trou et c’est plutôt bien parti avec plusieurs dates déjà programmée cette année ainsi qu’en 2025,
« Mon Dieu… Si je deviens une fonctionnaire de la vanne. J’arrête ! «
La suite ? Hélène Sido souhaiterait enchaîner dans des salles plus grandes. « J’aimerais aussi faire un peu de radio. Cela me plairait beaucoup de développer d’autres choses dans des médias de parole. » Sa crainte ? Retomber dans une certaine routine en devenant un stakhanoviste du rire, une forçat du stand-up et faire de l’humour comme on enchaîne les trois-huit. « Mon Dieu… Si je deviens une fonctionnaire de la vanne. J’arrête ! » En attendant, Hélène veut profiter pleinement de cette nouvelle carrière qui s’offre à elle. En se rappelant les deux premières représentations de son premiers spectacle, il y a près d’un an. Une première scène en Normandie devant beaucoup de gens de sa famille et la suivante, à Marseille, dans une salle comble remplie d’inconnus. Déjà le grand écart.
‘Solilesse’ d’Hélène Sido au Festival d’Avignon. Du samedi 6 juillet au dimanche 21 juillet (relâche les mardis). 13h (durée : 1h). A partir de 11 ans. Théâtre de La Tache d’encre. Rue Tarasque. Avignon. Réservation en ligne.
*Prix du public et prix du jury Festival de Saint Raphaël, Prix du jury cave de Lugny Festival des vendanges de l’humour à Macon. Prix du public au Pacbo d’Orchies. Prix du Jury aux Marées d’humour de Crotoy. Prix du Gala du Printemps du Rire de Toulouse. Prix du Public et du Jury aux Sommets du Rire à Arêches Beaufort. Prix du Public et Prix Jeunesse du Mondeville sur Rire. Prix du Jury à Vervins. Prix du Jury au Cartel de l’humour à Genève. Prix du Jury aux Lions du Rire à Lyon.
Le Thor, Grottes de Thouzon, la machine à remonter 60 millions d’années
L’École supérieure d’Ébénisterie d’Avignon (ESEA), située au Thor, ouvre ses portes au grand public le jeudi 27 juin.
Cette journée portes ouvertes offrira l’occasion de découvrir les métiers d’ébéniste, de sculpteur et de doreur sur bois, ainsi que le savoir-faire associé et les avantages de la formation pour les élèves. Fondée en 1983 par Louis Suau, l’École supérieure d’Ébénisterie forme chaque année une cinquantaine d’étudiants aux métiers du bois. Magali Donnat, actuelle responsable de l’école, sera présente lors de cette journée, marquant la fin de la formation de 10 mois, durant laquelle les étudiants exposeront leurs œuvres.
Les élèves de cette école sont généralement en reconversion professionnelle, souvent issus de métiers tertiaires comme ingénieur, directeur marketing, cadre commercial, enseignant ou militaire.
La journée se déroulera de 9 à 17h, et le programme commencera par une conférence sur la sculpture mobilière animée par Serge Therond, ébéniste-sculpteur qui fut formateur à l’ESEA durant 30 ans. L’inauguration aura lieu à 11h avec la remise du Prix Louis, qui consiste à remettre un prix coup de cœur en hommage à Louis Suau, fondateur de l’école.
Durant cette journée, il sera possible de rencontrer et d’échanger avec les anciens élèves, les élèves de cette année, la directrice Magali Donnat, mais aussi des formateurs. C’est aussi le moment pour le public de trouver les renseignements concernant la formation et de se préinscrire.
Pour la pause déjeuner, des foodtrucks seront sur place de 12h30 à 14h. Enfin, des démonstrations gratuites de sculpture, d’ébénisterie, etc seront présentées au public durant l’après-midi.
Les inscriptions pour la rentrée 2024-2025 sont ouvertes.
Programme
● 9h : ouverture de la journée portes ouvertes ; ● 10h à 11h : conférence sur la sculpture mobilière dans la salle de cours (nombre de places limité) ; ● 11h à 12h30 : discours officiel et remise du Prix Louis par Philippe et Betty Camus ; ● 12h30 à 14h : pause déjeuner sur place (foodtruck salé et sucré) ; ● 14h à 17h : ateliers de démonstrations techniques des métiers du bois Sculpture / Ébénisterie (sans inscription, gratuit) ; ● 17h : fin de la journée.
Parking au collège du Thor, allée Jean Bouin. Navette AR pour l’ESEA au départ du parking. 1742 Route d’Orange – 84250 Le Thor.
Le Thor, Grottes de Thouzon, la machine à remonter 60 millions d’années
Depuis six ans, les Chorégies d’Orange proposent Pop the Opera, un temps unique et exceptionnel qui fait chanter des centaines de collégiens et de lycéens de toute la région Sud.
Dirigés par Jean-Marie Leau et encadrés par des musiciens professionnels, les jeunes vont, dans une ambiance festive, à la fois interpréter des grands airs d’opéra et d’opérette, faire vibrer les succès planétaires de la musique folk et même évoquer les plus grandes musiques de film.
Plusieurs scènes sollicitées
Cette restitution d’un apprentissage de toute une année se fait sur plusieurs scènes, le Théâtre antique d’Orange, certes, mais également l’Auditorium Jean-Moulin du Thor où le public est invité à découvrir des vocations naissantes ce samedi 1er juin…
Samedi 1ᵉʳ juin. 16h. 10€.Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. www.vaucluse.fr
Le Thor, Grottes de Thouzon, la machine à remonter 60 millions d’années
Ce samedi 25 mai, un concert gospel sera organisé à l’auditorium Jean Moulin au Thor au profit de l’association Les Restos du Cœur, qui lutte contre la pauvreté et l’exclusion depuis sa création en 1985.
La chorale avignonnaise Gospel’Art, dirigée par le lumineux Jua Amir, offrira un spectacle inoubliable aux spectateurs. Les bénéfices du concert seront reversés aux Restos du Cœur. Les bénévoles de l’association proposeront boissons et gâteaux sur place, dont les profits iront également à l’association.
Le ticket d’entrée est au prix de 12€ (gratuit pour les -12ans). Pour réserver votre place, cliquez ici.
Samedi 25 mai. 20h30 (ouverture des portes à 19h). Auditorium Jean Moulin. 971 Chemin des Estourans. Le Thor.
Le Thor, Grottes de Thouzon, la machine à remonter 60 millions d’années
Le chorégraphe Julien Lestel rend hommage à Giacomo Puccini dans un ballet pour 11 danseurs ce jeudi 11 avril au Thor.
Sur les plus belles mélodies chantées, il met en scène les plus grandes héroïnes du compositeur italien Giacomo Puccini : Manon Lescaut, Madame Butterfly, Tosca,… Toutes ces femmes au destin tragique vont se succéder dans une scénographie empreinte d’émotion.
Le mariage des discours amoureux chantés par des sopranos, des ténors ou des basses et de la gestuelle néo-classique, précise et fluide, fonctionne à merveille et vient nous délivrer une partition d’une intense beauté.
Les danseurs du Ballet : Eva Bégué, Alexandra Cardinale, Roxane Katrun, Ingrid Lebreton, Inès Pagotto, Mara Whittington, Titouan Bongini, Florent Cazeneuve, Maxence Chippaux, Jean-Baptiste de Gimel, Gilles Porte… Assistant chorégraphe : Gilles Porte Musique : Puccini Lumières : Lo Ammy Vaimatapako Costumes : Patrick Murru
Jeudi 11 avril. 20h30. 13 à 35€. Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. www.vaucluse.fr
Le Thor, Grottes de Thouzon, la machine à remonter 60 millions d’années
Robert Malone dit Bob , claviériste, chanteur et auteur-compositeur américain
Bob Malone, d’après The New Yorker, est un artiste aux neuf albums encensés et à la fanbase mondiale. Pianiste de John Fogerty depuis 2011, il a collaboré avec Ringo Starr et Avril Lavigne en studio. Sa reprise de You’re A Mean One, Mr. Grinch a marqué le film Le Grinch de 2018. En concert, il mêle ses propres hits rock et ballades au piano à des classiques revisités avec éclat. En tant que membre du groupe de Fogerty, il a joué dans des lieux prestigieux et figure sur des enregistrements live de renom.
Flûte et batterie en première partie
Rosaway en duo. Rosaway est un mélange surprenant et original. D’un côté la flûte traversière de l’autre, la batterie.
Samedi 23 mars. 20h30. Ouverture des portes 19h15. 14 à 20€. Le Sonograf. ZA La Cigaliere. Le Thor. 04 90 03 13 30.
Le Thor, Grottes de Thouzon, la machine à remonter 60 millions d’années
Ce samedi 23 mars, nous retrouverons sur la grande scène de l’auditorium du Thor Luis de La Carrasca avec son nouveau spectacle Baró Drom.
Andalou de Grenade, Luis de la Carrasca s’impose comme l’une des plus emblématiques signatures du monde flamenco. Sous son impulsion a été créé L’Association Andalouse Alhambra (AAA) , une manière pour cet auteur-compositeur, musicien et chanteur andalou de se rapprocher de sa culture. L’AAA produit ses albums et diffuse ses spectacles depuis 2014.
Un état d’esprit, un message rempli d’amour et de générosité
Pour Luis de La Carrasca, « le Festival Andalou représente toute l’âme qu’un bon andalou doit avoir en lui. Il vit cette âme de l’intérieur. Cela est sa culture, sa personnalité, sa vie, sa manière de ressentir en fait sa propre existence qu’il prend plaisir à partager avec le public, les aficionados de ce trésor culturel. »
Baró Drom ou « Le grand chemin pour les gitans de l’Inde »
Dans ce nouveau spectacle, il poursuit son exploration sonore entre tradition et modernité. Tiré de son cinquième disque éponyme, Baró Drom (Le grand chemin pour les gitans de l’Inde) invite le public à embrasser le flamenco dans toute sa diversité : Jazz, cancion, rumba gitana, fusions de guitares flamencas et d’instruments traditionnels indiens, mélopées arabo-andalouses, piano-voix intimiste. Tout concourt à nous offrir une musique sans limite.
Luis de la Carrasca : auteur-compositeur, création artistique, chant José Luis Dominguez et Manuel Gomez : guitares Domingo Moreno : cajón/percussions Olivier Lalauze : contrebasse Antonio Paz : piano Céline Daussan « la Rosa Negra » : chœurs, palmas et danse
Samedi 23 mars. 20h30. 10 à 23€. Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. www.vaucluse.fr