24 octobre 2025 |

Ecrit par le 24 octobre 2025

Lancement réussi pour la première édition du festival Festiff de l’Isle-sur-la-Sorgue

Maurice Barthélémy et Thomas Bruxelle, les deux créateurs du festival du film feelgood de l’Isle-sur-la-Sorgue ont visiblement trouvé la bonne recette. Un thème porteur (les films qui font du bien et donnent le sourire), une programmation avec des avant-premières, une ville d’accueil attractive avec un cinéma rénové, et bien sûr un plateau de célébrités du petit et du grand écran.

« L’idée du Festiff est née il y a quelques années alors que je participais en tant que jury a un festival dans le nord de la France » raconte le comédien et réalisateur Maurice Barthélémy. « C’était austère et un peu triste et je me suis dit : il faudrait proposer quelque chose de plus positif », poursuit-il. Et c’est à la faveur d’une discussion avec le producteur Thomas Bruxelle, avec lequel il travaillait, que l’idée a pris forme. « J’ai l’endroit » lui dit ce dernier. Thomas Bruxelle connaît bien la ville l’Isle-sur-la-Sorgue et pour cause ses parents y vivent depuis 25 ans, et son père, Eric Bruxelle y est élu et président de l’office de tourisme. Cela implique. De plus l’Isle-sur-la-Sorgue vient de se doter d’un hôtel 5 étoiles (L’isle de Léos) « indispensable » pour accueillir les stars. Quant à la date : ils ont imaginé de faire cela à la fin de la saison pour profiter des beaux jours.  Voilà pour la genèse du projet.

©Didier Baillieux /L’Echo du Mardi

Non sans malice et humour, Maurice Barthélémy revendique d’être à l’origine de la crise que nous traversons actuellement en France : « on l’a volontairement provoqué pour pouvoir mieux communiquer » précise-t-il. On reconnaît ici le trait d’humour de cet ancien Robin des bois. Plus sérieusement, il estime que ce festival naissant est un contrepoint nécessaire à la morosité ambiante et au côté anxiogène de beaucoup de médias. « Dans un contexte particulièrement noir l’idée ne pouvait qu’être lumineuse » poursuit-il.

« Dans un contexte particulièrement noir l’idée ne pouvait qu’être lumineuse »

Maurice Barthélémy

Si le cinéma en est le thème central, ce festival a pour vocation de s’ouvrir à d’autres disciplines, comme la littérature, la peinture ou le dessin. « Nous voulons pour l’année prochaine y proposer aussi des stand-up, de la gastronomie, de la musique, du sport… » avance Maurice Barthélémy. « Tout ce qui procure du plaisir a sa place dans ce festival » ajoute-t-il.

Si un film comme « intouchables » a marqué les esprits et affirmé l’existence de ce genre, un festival comme Festiff va largement participer a le consacrer

Quant à la définition d’un feelgood movies (traduction de cinéma qui fait du bien) il ne s’agit pas uniquement des films humoristiques. Les demoiselles de Rochefort de Jacques Demy (1967) est un feelgood movie tout comme Le fabuleux destin d’Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet (2001) ou encore Le roman de Jim de Jean-Marie et Arnaud Larrieu (2024) . La liste peut être très longue, on pourrait aussi y classer le film d’animation Persépolis de Marjane Satrepi (2007), La boom de Claude Pinoteau (1980) ou l’incontournable Bienvenue chez les ch’tis de Dany Boon (2008). Ce genre de cinéma qui fait du bien et n’hésites pas à traiter parfois de sujets difficiles comme En fanfare d’Emmanuel Courcol (2024) . «  Un feelgood movie  est un film qui doit donner la banane du début à la fin » s’accordent à dire les deux créateurs de ce festival.

Si un film comme Intouchables d’Éric Tolédano et Olivier Nakache a marqué les esprits et affirmé l’existence de ce genre, un festival comme Festiff va largement participer a le consacrer. Les deux comparses escomptent d’ailleurs en faire un label à l’image du festival de l’Alpes d’Huez avec la comédie. « Cela peut aider les films à développer leur distribution » expliquent-ils.

« C’est peut-être le cinéma qui sauvera le monde »

Éric Tolédano

Avec près de 20 millions d’entrées (un des plus gros succès du cinéma français), Intouchables a été récompensé par un Feelgood d’honneur en présence d’Éric Tolédano. Spécialiste du genre avec quelques autres films comme Hors normes ou Samba (pour ne citer qu’eux) Éric Tolédano ne tarit pas d’éloges les feelgood movies. Il estime que « le cinéma pose souvent les bonnes questions » et que plus manière générale « la fiction nous aide à vivre ». Et de conclure « c’est peut-être le cinéma qui sauvera le monde »…

Un petit festival aux grandes ambitions

Ce petit festival aux grandes ambitions a de nombreux projets pour ses prochaines éditions. Il souhaite s’ouvrir à la télévision et aux plateformes de streaming, des acteurs aujourd’hui importants dans la production de fictions. Maurice Barthélémy, Thomas Bruxelle et Virginie Foucault (la directrice générale du festival) souhaitent également créer une vraie compétition avec un jury et des remises de prix. Cependant, pour ces trois complices ce festival doit avant tout rester un événement populaire accessible au plus grand nombre. Le prix des places est à 5 euros. Si le Festiff a aussi pour vocation d’être un lieu de rencontres pour les professionnels, il ne doit pas être un festival de l’entre-soi s’accordent à penser Maurice Barthélémy et Thomas Bruxelle. Festiff avant tout.

Les partenaires du Festiff
Crée et géré par une association dirigée par Virginie Foucault, le Festiff s’est entouré de plusieurs partenaires. La ville de L’Isle-sur-la-Sorgue et le département de Vaucluse ont apporté des soutiens logistiques importants. L’hôtel L’Isle de Léos (l’établissement de Patrick Bruel) et plusieurs sociétés comme la chaîne de magasins Villebrequin et le magazine digital Rewel ont aussi apportés leurs soutiens. On notera aussi le partenariat avec l’association Project Rescue Océan qui milite en faveur de la défenses des milieux aquatiques.
www.projectrescueocean.org


Lancement réussi pour la première édition du festival Festiff de l’Isle-sur-la-Sorgue

Kookabarra, fabricant de jus de fruits frais basé à Cavaillon, s’allie au Domaine de Leos, propriété agricole de Patrick Bruel située à L’Isle-sur-la-Sorgue, pour créer un jus inédit à l’occasion de l’ouverture de l’Isle de Leos, hôtel appartenant aussi à l’artiste.

L’entreprise Kookabarra, spécialisée dans la fabrication de jus frais, prône des fruits et légumes de qualité, récoltés dans des exploitations locales pour la grande majorité (plus de 80% à moins de 30 km). C’est pourquoi elle dévoile une collaboration avec le Domaine de Leos, situé à L’Isle-sur-la-Sorgue et appartenant à Patrick Bruel, pour la création d’un jus détox à l’occasion de l’ouverture de l’hôtel 5 étoiles de l’artiste, qui a été inauguré le 23 septembre dernier.

C’est une recette inédite qui a été élaborée pour le ‘Leos Detox’ mêlant l’abricot, la verveine et le gingembre. Ainsi, ceux qui le boivent bénéficient des propriétés antioxydantes de l’abricot, des vertus digestives de la verveine et de l’apport tonifiant du gingembre. Comme pour tous ses jus, Kookabarra utilise la technologie High Pressure Proceeding (HPP), qui permet leur préservation sans aucun additif, tout en gardant une qualité gustative unique.

Un partenariat 100% vauclusien

La création de ce nouveau jus, c’est avant tout la représentation du terroir provençal, la mise en lumière du savoir-faire local et le partage de valeurs communes telles que le circuit court ou encore l’agriculture durable et de qualité.

« Ce partenariat est la première pierre d’une nouvelle offre à façon de jus différenciante, adaptée aux hôtels, restaurants et concepts de restauration recherchant des alternatives aux softs classiques et aux jus standardisés. »

Kookabarra

Le jus ‘Leos Detox’ « incarne aussi l’évolution de la demande en CHR vers des boissons bien-être à forte valeur ajoutée, à la fois naturelles, élégantes et locales », explique Kookabarra. Ainsi, les consommateurs pourront trouver non seulement à l’hôtel Isle de Leos à L’Isle-sur-la-Sorgue, mais aussi dans d’autres établissements, ainsi que sur le site de Kookabarra ou dans sa boutique à Cavaillon.


Lancement réussi pour la première édition du festival Festiff de l’Isle-sur-la-Sorgue

Une œuvre collective a attiré l’attention lors du Buzz’Art Festival, qui s’est tenu récemment -du 28 juin au 5 octobre- à L’Isle-sur-la-Sorgue. Conçue par Noam Desmoulins, étudiant en design, elle a mobilisé pas moins de sept artisans d’art – ébéniste, ferronnier, doreur, brodeuse, souffleur de verre. La pièce, un paravent, imaginée et façonnée grâce au don de l’Ecole supérieure d’ébénisterie d’Avignon : du noyer massif et de l’érable moucheté, deux essences de bois rares et précieuses, a été vendue aux enchères au profit de La Source Garouste, une association qui œuvre depuis 34 ans à l’inclusion par la création artistique.

Ce projet n’aurait pas vu le jour sans l’appui discret mais décisif de l’École Supérieure d’Ébénisterie d’Avignon (ESEA), implantée depuis plus de 40 ans dans le territoire d’abord à Avignon puis au Thor. L’établissement a fourni les matériaux nécessaires à la réalisation de cette œuvre unique réalisée par Jean-Damien Pont, ancien élève de l »école, aujourd’hui ébéniste installé à l’Isle-sur-la-Sorgue. Une manière, pour cette école de formation aux métiers d’art, de soutenir la création contemporaine tout en participant à une importante démarche culturelle et solidaire.

Une école dans l’écosystème de la culture et du territoire
Loin de se limiter à son rôle de centre de formation, l’ESEA multiplie les collaborations avec les acteurs culturels locaux. Elle s’est récemment associée au Festiff, un nouveau festival de films ‘feel good’, organisé les 11 et 12 octobre à L’Isle-sur-la-Sorgue. Cette fois, son soutien a pris la forme d’une participation financière, pour appuyer une initiative culturelle naissante.
« Rapprocher les artisans d’art du monde de la création contemporaine est pour nous une manière naturelle de faire vivre nos savoir-faire », relève Magali Donnat, directrice de l’école, insistant aussi sur l’importance de maintenir un lien fort avec le territoire : « Ces événements font vivre notre bassin, ils contribuent à son attractivité mais aussi à sa cohésion.»

Le paravent Copyright ESEA Communication

Transmettre un savoir-faire, au-delà des murs de l’école
Fondée en 1983, l’École Supérieure d’Ébénisterie d’Avignon forme chaque année une cinquantaine d’élèves, de tous âges et de tous parcours. Son programme, centré sur l’ébénisterie, la sculpture, la dorure et le mobilier, conjugue pratique intensive en atelier et enseignements techniques. L’école s’adresse aussi bien aux jeunes en recherche de spécialisation qu’aux adultes en reconversion.

Un pilier discret mais essentiel à la transmission des savoirs
L’école forme des artisans d’art exigeants, tout en s’ouvrant à la création contemporaine, aux événements culturels, et à des projets porteurs de sens. Une manière, aussi, de rappeler que les métiers de la main ont toute leur place dans les dialogues d’aujourd’hui.

Le paravent Copyright ESEA Communication

Lancement réussi pour la première édition du festival Festiff de l’Isle-sur-la-Sorgue

Ouvert depuis juillet dernier, l’hôtel l’Isle de Léos a été officiellement inauguré le 23 septembre dernier en présence de Patrick Bruel, son propriétaire, de Sébastien Bazin, le président du groupe Accor, de Maud Bailly, directrice de la collection MGallery, de Pierre Gonzalvez, le maire de l’Isle-sur-la-Sorgue et de Jean-Philippe Nuel, l’architecte du lieu. Un événement qui marque symboliquement la fin des 3 années de travaux nécessaires à la transformation de l’ancienne scierie des frères Rousset.

l’inauguration ©DR

Après un démarrage qui a fait couler beaucoup d’encre et essuyer de nombreuses critiques, tout va pour le mieux à l’Isle de Léos. « C’est inhérent à tout lancement se défend » Patrick Bruel, « mais beaucoup de ces critiques n’étaient pas justifiées, comme celle d’un client mécontent qui s’est plaint du SPA alors qu’il n’était pas encore ouvert » poursuit-il. Beau joueur, il n’en veut pas à tous ceux qui l’ont critiqué. « Aujourd’hui tous les retours sont extrêmement positifs et l’état de nos réservations en est la plus belle preuve » ajoute le chanteur-comédien. Mais, pour lui le plus beau compliment lui vient des habitants de l’Isle-sur-la-Sorgue qui l’ont remercié d’avoir conduit ce projet. Un établissement 5 étoiles qui vient judicieusement compléter l’offre hôtelière de la cité des antiquaires. « Beaucoup de personnes me disent qu’elles ont l’impression que cet hôtel a toujours été là » précise Patrick Bruel. « Sans doute le plus des compliments » ajoute-t-il.

« Un endroit emblématique de la Provence et qui ne soit pas ostentatoire »

Conçu par l’architecte Jean-Philippe Nuel, cet hôtel se veut à la fois d’inspiration provençale et de facture contemporaine. « Un endroit emblématique de la Provence et qui ne soit pas ostentatoire…  j’ai souhaité qu’on reçoive les clients comme à la maison » confie Patrick Bruel. « Au fond cet hôtel me ressemble et j’en suis tellement fier » ajoute-t-il.

Le bar ©DR

Cet hôtel se veut également un lieu ouvert aux arts plastiques avec une centaine de points d’exposition répartis partout dans l’établissement. Comme un clin d’œil à tous les artistes qui sont venus en terre provençale chercher l’inspiration. Depuis son ouverture, l’Isle de Léos expose les œuvres du plasticien et peintre Raphaël Thierry un artiste islois disparu prématurément en 2021. Une façon de rendre hommage à cet artiste née lui aussi de l’autre côté de la méditerranée.

« J’ai acheté cette ancienne scierie sans vraiment savoir ce que j’en ferais »

« Je suis installé en Provence, à quelques kilomètres de l’Isle-sur-la-Sorgue, depuis maintenant plus de 20 ans » aime à rappeler Patrick Bruel. Dans sa propriété baptisée le Domaine de Léos (contraction de Léon et Oscar, les deux fils de Patrick Bruel) on y produit du vin, de l’huile d’olive, du miel, des confitures, des produits cosmétiques. « En Provence, j’y venais régulièrement quand j’étais jeune, c’est aujourd’hui un ancrage important pour moi et ma famille, et j’ai toujours des liens forts avec l’Isle-sur-la-Sorgue » ajoute-t-il.

l’extérieur ©DR

Patrick Bruel n’avait pas vraiment en projet d’ouvrir un hôtel. « Un jour on est venu me chercher pour me faire visiter une maison, j’y suis allé et j’ai eu un coup de cœur pour le lieu, et j’ai acheté cette ancienne scierie sans vraiment savoir ce que j’en ferais, mais assez vite l’idée d’en faire un hôtel s’est imposée, et la municipalité m’a soutenu de suite dans ce projet » explique-t-il.

« On début je pensais que ce serait un petit truc mais non ça été beaucoup de travail et de sueur »

« Ensuite, je suis allé voir Sébastien Bazin, (le PDG du groupe Accor, leader mondial dans l’hôtellerie ) que je connaissais bien, pour voir comment nous pourrions travailler ensemble » poursuit le chanteur-comédien. Il l’a dirigé vers Maud Bailly directrice de la collection MGallery, une marque du groupe Accor qui réunit 125 hôtels de luxe et de caractère partout dans le monde. L’isle de Léos a rejoint cette franchise ce qui lui permet ainsi de profiter de tout l’écosystème proposé par le groupe Accor. « Cet hôtel comme tous ceux de la marque MGallery est un endroit pour revenir avec une histoire » ajoute Maud Bailly. « Pouvoir s’appuyer sur les moyens d’un groupe important était essentiel pour le projet » précise Patrick Bruel. « Je me suis personnellement impliqué dans ce chantier et au début je pensais que ce serait un petit truc mais non ça été beaucoup de travail et de sueur, plus que je ne l’imaginais » et d’ajouter : « dans l’hôtellerie on démarre mégalo et on termine humble ».

« Ce projet m’a rempli pleinement et au fond que je chante, joue la comédie, cultive des oliviers ou ouvre un hôtel c’est la même mission qui se poursuit : faire du bien » conclue le chanteur-comédien-oléiculteur-viticulteur-hôtelier.

Sébastien Bazin PDG Accor, Maud Bailly directrice MGallery, Patrick Bruel et Jean Philippe Nuel architecte. ©DR

Lancement réussi pour la première édition du festival Festiff de l’Isle-sur-la-Sorgue

Depuis 20 ans, les associations de L’Isle-sur-la-Sorgue se réunissent à la rentrée pour se présenter au public. La 20e édition du forum des associations aura lieu ce samedi 6 septembre au Parc Gautier.

Sport, activité créative, bénévolat… La Ville de L’Isle-sur-la-Sorgue regorge d’animations toutes l’année auxquelles le public peut participer en intégrant une ou plusieurs associations.

Pour découvrir la richesse du tissu associatif de la commune et se renseigner sur les diverses activités proposés par les associations
locales, il suffira de se rendre au Parc Gautier ce samedi à l’occasion du Forum de associations qui est organisé chaque année au début du mois de septembre par la Direction Culture & Vie Locale de la Ville de L’Isle-sur-la-Sorgue.

Samedi 6 septembre. De 10h à 18h. Parc Gautier. 74 Avenue de la Libération. L’Isle-sur-la-Sorgue.


Lancement réussi pour la première édition du festival Festiff de l’Isle-sur-la-Sorgue

La 5e édition du Festival littéraire Lire-sur-la-Sorgue aura lieu de mercredi 28 au samedi 31 mai proposant de rencontrer plus de 50 auteurs et artistes. Au programme, des conférences, des rencontres, des films, de multiples animations et des dédicaces. Plus de mille visiteurs sont attendus de 3 à 100 ans et plus, aimant lire ou non. Il y en aura pour tous les goûts.

Dans le cadre de sa programmation en partenariat avec l’association Partage des arts, Lire sur la Sorgue propose de découvrir le livre en trois dimensions artistiques avec les livres Pop-Up de la collection personnelle de Bernard Autin, des livres-objets de l’artiste plasticienne Françoise Ducret et une sélection d’œuvres des élèves de l’école élémentaire Mourna B, réalisée lors d’ateliers encadrés par l’artiste peintre et plasticienne Nanou Autin lors du vernissage ce samedi 24 mai à 18h30, au Grenier public, 2, place de la Liberté à l’Isle sur la Sorgue.

Pour s’y retrouver
Les rencontres et animations sont si denses et créatives qu’elles sont finement répertoriées dans l’agenda ici.


Lancement réussi pour la première édition du festival Festiff de l’Isle-sur-la-Sorgue

Une nouvelle édition de la Foire Antiquités & Brocante de L’Isle-sur-la-Sorgue se tiendra du vendredi 18 au lundi 21 avril. Pour le bon déroulé de l’événement, la circulation et le stationnement vont subir des modifications.

La Foire Antiquités & Brocante, organisée deux fois par an par le Syndicat National du Commerce de l’Antiquité, de l’Occasion et des Galeries d’Art (SNCAO-GA), fait son grand retour ce week-end pour une 118e édition.

De nombreux exposants professionnels et boutiques d’antiquités attendent le public durant quatre jours au cœur du parc Gautier et sur l’Avenue des Quatre Otages.

Circulation et stationnement

Pour l’installation de l’événement, le Parc Gautier sera fermé du vendredi 11 avril à 7h au mercredi 16 avril à 20h, puis du lundi 21 avril à 20h au jeudi 24 avril à 20h. L’aire de jeux reste quant à elle accessible.

En ce qui concerne la circulation, l’Avenue des Quatre Otages sera interdite dans les deux sens de circulation le lundi 14 avril et le mercredi 23 avril de 7h30 à 19h, ainsi que du jeudi 17 au lundi 21 avril de 8h30 à 19h30. Elle sera autorisée dans le sens Le Thor > Apt les mardis 15, 22 et le mercredi 16 avril de 7h30 à 19h.
L’Avenue de la Libération sera interdite dans les deux sens de circulation du jeudi 17 au lundi 21 avril de 8h30 à 19h30.
L’accès au square des Maréchaux et à La Poste se fera uniquement via le pont d’Anagni du jeudi 17 au lundi 21 avril de 8h à 20h.
Le Chemin des Névons sera autorisé uniquement dans le sens cours René Char > cours Anatole France du jeudi 17 au lundi 21 avril de 8h à 20h.
Le Cours Anatole France sera autorisé uniquement dans le sens L’Isle-sur-la-Sorgue > Robion.

Au niveau du stationnement, l’Avenue des Quatre Otages sera interdite du dimanche 13 avril à 18h au mercredi 23 avril à 19h.
L’Avenue de la Libération sera interdite du jeudi 17 au lundi 21 avril.
Le Parking du Parc Gautier sera interdit le jeudi 10 avril de 7h à 20h et du vendredi 11 avril à 7h au jeudi 24 avril à 20h.
Le Chemin des Cinq Cantons sera interdit du mercredi 16 avril à 7h au jeudi 24 avril à 20h.


Lancement réussi pour la première édition du festival Festiff de l’Isle-sur-la-Sorgue

La Centrale Canine a organisé la 5e édition de ses Trophées des chiens héros qui a récompensé 24 chiens d’exception, dont un qui exerce en Vaucluse auprès de l’Armée de l’Air et de l’Espace.

83% des Français considèrent le chien comme un membre de la famille à part entière et 85% lui attribuent le titre de « meilleur ami de l’Homme. » Ils sont 9 millions sur le territoire, et certains, formés ou non, se sont distingués grâce à leur courage, leur dévouement, leur flair ou leur capacité et ont pu prendre des initiatives, sauver, changer ou améliorer des vies, résoudre des enquêtes, sécuriser des lieux, ou encore lutter contre le terrorisme et les trafics.

C’est le cas de 24 chiens qui viennent d’être récompensés par la Centrale Canine à l’occasion de 5e cérémonie officielle de remise des Trophées des chiens héros qui s’est déroulée à l’hôtel de ville de Paris. Parmi les 24 récompensés, un est vauclusien. « Cet événement national constitue également l’occasion de rendre hommage aux professionnels et aux bénévoles qui consacrent leur énergie à préparer et à former ces chiens pour des attentes toujours plus pointues », précise Alexandre Balzer, président de la Centrale Canine.

Peyo, membre du Commando de Parachutiste de l’Air n°20

C’est à Orange que Peyo, un berger belge malinois de 7 ans, a fait ses preuves. En binôme depuis presque 6 ans avec le sergent-chef Dorian, au sein du Commando de Parachutistes de l’Air n°20, qui dépend de la base aérienne 115 Orange-Caritat, Peyo a débuté sa carrière en tant que chien d’escadron de protection des bases aériennes.

À seulement 3 ans, grâce à sa soif d’apprendre et sa complicité avec Dorian, Peyo se spécialise dans les interventions et dans l’Aide à la recherche et à la détection d’explosifs (ARDE). À 5 ans, il est formé au guidage laser et à 7 ans, il est le 1er chien de l’Armée de l’Air a être formée au guidage par drone volant.

Peyo s’est distingué de nombreuses fois au cours de sa carrière, notamment au cours de missions périlleuses. Ce qui lui a valu l’obtention du Trophée dans la catégorie ‘Chien de recherche d’explosifs et d’armements’, une belle distinction pour ce « chien d’exception. »

Le sergent-chef Dorian et Peyo. ©L. Dubois / Armée de l’Air et de l’Espace

Un autre chien, venu du Vaucluse, récompensé

Un autre chien, qui lui a été formé en Vaucluse avant de rejoindre un autre département, a été distingué lors de cette remise de prix. Il s’agit de Nala, une Saint-Pierre de 8 ans, qui, après avoir été formée par la Fondation Gaillanne, 1ère école d’éducation de chiens guides et d’assistance en Europe située à L’Isle-sur-la-Sorgue, aide aujourd’hui le quotidien de Llewellyn Barré, une jeune femme présentant un trouble du spectre autistique.

Après une déscolarisation et une hospitalisation dû à un refus de s’alimenter, Nala a rejoint le foyer de Llewellyn en Haute-Garonne. Après des débuts difficiles face à cette nouvelle arrivée, la jeune femme a pu reprendre sa scolarité, passer son Baccalauréat, retrouver des loisirs et récupérer une vie sociale. Un bonheur retrouvé qui a valu à Nala l’obtention du Trophée dans la catégorie ‘Chien d’assistance’.


Lancement réussi pour la première édition du festival Festiff de l’Isle-sur-la-Sorgue

Créée en 1994 au Québec, l’entreprise Adèle, réseau d’agences de ménage à domicile, s’est développée en France en 2012. Benjamin Cellier en a repris les rênes en 2022 et a installé son siège en Vaucluse, à Cavaillon, afin de donner à l’entreprise une dynamique nouvelle. Une agence vient d’ailleurs d’ouvrir à L’Isle-sur-la-Sorgue.

Aujourd’hui, l’entretien ménager représente quasiment 50% du secteur de l’aide à la personne. Lorsque l’entreprise Adèle a été créée il y a 31 ans au Québec par Gaétan Migneault, ce dernier, qui était dans les assurances, est parti d’un constat simple : le consommateur n’est jamais pleinement satisfait du ménage effectué chez lui car l’entretien ménager n’est pas assez encadré. Ainsi est née Adèle, qui s’est franchisée au début des années 2000 et qui compte aujourd’hui plus de 120 franchises au Québec.

En 2012, Adèle souhaite se développer à l’international et approche la France. Une master franchise nationale a donc été créée et reprise en 2022 par Benjamin Cellier, actuel président d’Adèle France. Et c’est en Vaucluse qu’il a décidé d’entamer cette nouvelle dynamique. Benjamin Cellier n’en est pas à son coup d’essai en termes de réseau de franchises puisqu’il avait auparavant déployé une franchise française en Angleterre. Il a donc l’expérience pour développer Adèle en France.

La micro-franchise

Adèle a un principe de franchises assez particulier puisqu’il s’agit de micro-franchises. « Nos franchisés sont aussi des opérateurs, c’est-à-dire qu’ils font eux-mêmes l’entretien ménager », ajoute Benjamin. C’est donc ce qui démarque Adèle de ses concurrents dans le domaine de l’entretien ménager.

« Chez Adèle, le franchisé est sur le terrain, et non assis devant un bureau. »

Benjamin Cellier

Les agences Adèle ne sont d’ailleurs pas des agences comme on l’entend. Il n’existe pas de local physique, mais les franchisés disposent d’un véhicule avec lequel ils commencent eux-mêmes à faire les entretiens ménagers. « Ça permet de se rendre compte de la réalité du terrain et le franchisé saura donc de quoi il parle quand, plus tard, il commencera à avoir des employés », affirme le président français. Adèle France vient d’ailleurs d’ouvrir une agence à L’Isle-sur-la-Sorgue, pour le moment gérée par Benjamin Cellier, qui lui-même fait les entretiens ménagers.

Véhicules floqués avec le logo de l’entreprise. ©Adèle France

Un profil atypique du franchisé

Avec le concept de micro-franchise vient un profil de franchisé assez différent de ce dont on a l’habitude.

« On va chercher des gens qui ont une appétence pour le travail manuel. »

Benjamin Cellier

L’entreprise d’entretien ménager cherche des personnes qui ont de l’appétence pour le travail manuel, mais qui ne sont pas forcément tournées vers l’entrepreneuriat. Avant de pouvoir attester de la réalité sur le terrain, les franchisés sont donc accompagnés par l’entreprise pour en apprendre davantage sur l’entrepreneuriat et se sentir en confiance pour se lancer dans cette aventure, puis apprennent eux-même sur le tas.

Un ménage méticuleux et méthodique

Adèle France n’opère que chez les particuliers. « Chez vous comme à l’hôtel », telle est la devise de l’entreprise. Le franchisé (ou ses employés s’il en a) passe chez le client tous les 15 jours pour effectuer l’entretien ménager et non davantage car le travail est fait de façon à ce qu’il n’y ait pas besoin d’un passage par semaine. Plutôt que de faire un ménage ‘classique’, pièce par pièce, l’entreprise Adèle a élaboré une méthode qui permet à l’opérateur de travailler efficacement pour gagner du temps et réduire la pénibilité du travail tout en garantissant la qualité du ménage. « Si le client n’est pas content du résultat, on repasse et c’est à nos frais », affirme Benjamin Cellier.

« Adèle a en quelque sorte développer une ‘McDonaldisation’ du ménage, c’est-à-dire qu’on suit des étapes comme dans un fast-food pour perdre le moins de temps possible. »

Benjamin Cellier

L’opérateur n’est d’ailleurs pas payé à l’heure mais à la prestation. « L’entretien d’une pièce qui compte beaucoup de meubles et beaucoup de bibelots à dépoussiérer va coûter plus cher qu’une simple pièce qui ne contient quasiment rien », explique le président. Ainsi, l’opérateur ne s’éternise pas chez le client et gagne du temps.

©Adèle France

Adèle, une entreprise engagée pour la santé et l’environnement

Mais pour gagner du temps, il faut des produits efficaces. C’est pourquoi Adèle a élaboré ses propres produits, qui non seulement promettent d’être plus efficaces que les autres produits sur le marché, mais aussi moins nocifs, une condition non négligeable qui figure parmi les valeurs RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) de l’entreprise.

« Tous nos fournisseurs sont méticuleusement sélectionnés et tous nos produits sont testés, je teste tous les produits moi-même », ajoute Benjamin. Les produits Adèle contiennent d’ailleurs tous une base végétale. En proposant ses propres produits, Adèle souhaite contribuer à l’amélioration de la santé de ses clients, mais aussi de ses franchisés et collaborateurs, ainsi qu’au respect de l’environnement. L’agence de L’Isle-sur-la-Sorgue a décidé de se doter d’un véhicule électrique, et quasiment tous les fournisseurs sont situés en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, ce qui permet à l’entreprise de réduire son empreinte carbone.

Les ambitions pour l’avenir

Si pour l’instant Adèle France ne compte que l’agence de L’Isle-sur-la-Sorgue, son président espère en ouvrir une dizaine d’autres en 2025, dont deux nouvelles en Vaucluse. Le département a un potentiel de huit agences, qui permettraient de couvrir tout le territoire. Les autres futures agences devraient concerner la région PACA pour la plupart.

« Je suis fortement attaché à la région et au Vaucluse qui est un département très accueillant avec des organismes économiques très animés, je pense notamment à la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises), Créativa, LSE (Luberon & Sorgues Entreprendre), et bien d’autres, conclut Benjamin Cellier. J’ai à coeur de développer l’économie qui est proche de la mienne. »

Le lundi 17 mars, Adèle France se rendra au Salon Franchise Expo Paris 2025, qui a lieu du samedi 15 au lundi 17 mars, afin de rencontrer des franchisés et des partenaires financiers et pour gagner davantage en visibilité et pour permettre à l’entreprise de poursuivre son développement.

Contact : contact@adelemenage.fr / 09 80 80 15 10

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