3 septembre 2025 |

Ecrit par le 3 septembre 2025

Le chef étoilé Xavier Mathieu sera en dédicace à Apt

Le propriétaire de l’établissement Le Phébus & Spa à Joucas, Xavier Mathieu, ira à la rencontre des lecteurs et des passionnés de cuisine ce samedi 9 août à la Librairie Fontaine Luberon à Apt à l’occasion d’une séance de dédicaces pour son livre Ma Cuisine Provençale.

Ma Cuisine Provençale, c’est un ouvrage qui réunit 50 recettes ancrées dans les parfums, les couleurs et les traditions de la région. Les mots et les recettes de Xavier Mathieu, couplés avec les photos de Philippe Vaurès-Santamaria, s’entremêlent pour offrir aux lecteurs une plongée dans la Provence, où la cuisine est habitée par la nature environnante.

« Mon inspiration, je la puise autour de moi, dans cet environnement qui me nourrit, dans tous les sens du terme. Je prends ce qu’il y a de plus beau dans la nature pour le sublimer. »

Xavier Mathieu

Dans ce livre, le chef étoilé révèle pour la première fois ses secrets culinaires. On y trouve des recettes gourmandes et gastronomiques qui rappellent les traditions locales et le terroir comme l’apéritif estival, le pistou, la ratatouille, la daube avignonnaise, ou encore les 13 desserts de Noël.

©Philippe Vaurès-Santamaria

Si quelques exemplaires signés par le chef sont disponible au Phébus, il sera aussi possible de s’en procurer et de rencontrer Xavier Mathieu ce samedi 9 août à la Librairie Fontaine Luberon. De quoi trouver de l’inspiration avant d’aller faire des emplettes au célèbre marché d’Apt et de préparer le déjeuner.

Samedi 9 août. À partir de 10h. Librairie Fontaine Luberon. 16 Rue des Marchands. Apt.


Le chef étoilé Xavier Mathieu sera en dédicace à Apt

Ce sont les Éditions de l’Aube, créées par le sociologue Jean Viard à la Tour d’Aigues, qui publient ce livre inédit d’entretien. D’un côté, Laurent Berger, ancien secrétaire général de la CFDT, aujourd’hui directeur de l’Institut Mutualiste pour l’Environnement et la Solidarité et créateur de la collection La société du compromis. De l’autre, Benoît Bazin, PDG du Groupe Saint-Gobain qui existe depuis 1665 (360 ans), emploie 160 000 collaborateurs dans 80 pays, compte 900 usines dans le monde et affiche un chiffre d’affaires de 50Mds€.

Entre un militant et un patron, ce dialogue a été rendu possible grâce à la volonté de ces deux hommes de « se parler, s’écouter, rapprocher les points de vue de chacun, communiquer pour se comprendre, bref, de trouver des Voies de passage’, même si on n’est pas forcément d’accord sur tout mais on se respecte », écrit Laurent Berger dans la préface. Au fil des chapitres, il va interroger Benoît Bazin sur ses racines normandes, sa famille, ses études, ses valeurs, sa carrière et son action au sein de l’entreprise du CAC 40 spécialisée dans le bâtiment et la construction.

Pourquoi ce choix ? « Parce que je l’avais déjà rencontré, répond Laurent Berger. Ce qui m’avait intrigué chez lui, c’était son sens de l’écoute et de la nuance, mais aussi l’humanité qui émanait de sa personnalité. Loin de l’arrogance supposée de ses corelégionnaires. J’ai découvert les facettes d’un homme engagé qui porte des valeurs fortes. Ni grande gueule, ni donneur de leçons. Leader mais pas gourou. Faire le choix de la transition écologique, défendre un capitalisme plus responsable, se préoccuper de chacun et particulièrement des plus fragiles, porter des propositions concrètes sur le logement, le travail, la formation. Donc trouver ‘des voies de passage’, voilà ce qui nous a réunis. D’autant que je considère que l’entreprise est le terrain de jeu idéal du compromis. »

Tour à tour son évoqués dans le livre l’enfance de Benoît Bazin à Caen, ses grands-mères « modernes et libres » qui travaillaient toutes les deux à une époque où les femmes étaient plutôt cantonnées à rester au foyer, ses parents médecins hospitaliers, lui en réanimation, elle en pédiatrie. Ses études, sa découverte puis sa passion pour le du violoncelle et la montagne, son arrivée à Paris en prépa au Lycée Louis le Grand, puis à Polytechnique et Ponts & chaussées. « Je crois beaucoup en la transmission de valeurs, d’expérience », confie-t-il. Entré chez Saint-Gobain en 1999, il grimpe tous les échelons jusqu’à président depuis l’an dernier.

« En 2021, la construction durable est devenue notre ADN. il faut savoir que le bâtiment représente 40% des émissions de CO2 et qu’il consomme 50% des ressources naturelles. Donc l’enjeu pour nous est majeur : rendre cette activité vertueuse, construire vite et bien, faire plus, mieux avec moins. Réemployer les matériaux comme le gypse et le verre, recycler, réduire le gaspillage, améliorer le confort acoustique, thermique, la qualité de l’air. Comme nous le disons dans l’entreprise à l’unisson avec tous les salariés, ‘faire du monde une maison commune plus belle et durable’. 

Tout le personnel est mobilisé sur la rénovation énergétique. Elle permet dans une maison individuelle de faire baisser la facture de 70% et donc de retrouver du pouvoir d’achat. D’ailleurs, nous investissons chaque année 600M€ dans le recherche et le développement – dont 60% en France – avec 4 000 agents dévolus à l’innovation dans le monde entier et nous déposons environ 400 brevets par an. En 360 ans d’existence, Saint-Gobain en a traversé des guerres, des révolutions, des crises, des changements de direction et d’actionnaires, mais nous continuons à avancer. L’entreprise, contrairement aux gouvernements n’est pas contrainte par les échéances électorales », ironise-t-il. Lui qui a assisté à 2 COP à Glasgow et Dubaï, résume : « Il vaut mieux changer les choses de l’intérieur que de les critiquer de l’extérieur. »

Que fera-t-il quand il quittera le groupe Saint-Gobain ? « Transmettre, devenir bénévole, cela donne du sens. Le plus beau métier du monde ? Être maire, il peut changer la vie des gens. » Benoît Bazin pourra aussi s’adonner à la musique, aux suites pour violoncelle de Bäch et à la montagne. « Sur les 82 sommets de plus de 4 000 mètres d’altitude, dans les Alpes, j’ai dû en gravir 16 ou 17 ! ». Il lui en reste encore quelques-uns pour s’adonner à l’ivresse des cimes tout en gardant les pieds sur terre.

©Éditions de l’Aube

Contact : contact@editionsdelaube.fr / 04 90 07 46 60


Le chef étoilé Xavier Mathieu sera en dédicace à Apt

Le Parc naturel régional du Luberon vient de publier un livret pédagogique intitulé « L’alimentation méditerranéenne, son histoire et ses bienfaits » dans le but de rendre accessibles les liens entre l’alimentation et la santé.

Le Parc naturel régional du Luberon a été lauréat du Programme national de l’alimentation (PNA) 2022-2023 avec son projet ‘L’alimentation méditerranéenne au cœur des transitions agroécologiques’, plaçant le régime méditerranéen comme fil conducteur de son Projet alimentaire territorial (PAT), revendiquant ses nombreux bienfaits sur la santé humaine et environnementale.

Dans ce cadre, le Parc a réalisé le livret pédagogique « L’alimentation méditerranéenne, son histoire et ses bienfaits : nutrition, santé, environnement, société », en collaboration avec Denis Lairon, directeur de recherche émérite à l’Inserm et expert en nutrition humaine, et avec le soutien du ministère de la Santé et du Département de Vaucluse.

Cet ouvrage de 36 pages a pour objectif de rendre accessibles les liens entre notre alimentation et notre santé. À l’intérieur, on y trouve des chiffres clés du territoire en termes d’agriculture, des conseils pour mieux s’alimenter et bouger davantage, des explications sur les différentes sources de protéines, lipides, fibres et autres, ou encore des données sur les conséquences de notre alimentation sur l’environnement.

Le livret est téléchargeable gratuitement sur le site du Parc du Luberon, ou bien il est possible de faire la demande la version imprimée auprès de la Maison du Parc à l’adresse mail accueil@parcduluberon.fr


Le chef étoilé Xavier Mathieu sera en dédicace à Apt

Jean-Pascal Hesse, on le connaît dans le Vaucluse comme directeur de la communication de la Maison Pierre Cardin, qui pendant des décennies a accompagné le couturier qui a créé en 2000 le Festival de Lacoste dans le Luberon.

Mais à l’origine, sa famille s’était installée en Algérie en 1832 et avait dû la quitter, le cœur lourd comme des millions de Pieds-Noirs, après les Accords d’Evian en 1962 pour s’implanter à Salon-de-Provence. Titulaire d’une maîtrise d’histoire contemporaine à l’Université de Provence et d’une licence d’administration publique à l’IEP (Sciences-Po) à Aix-en-Provence, il publie en 1991 une monographie sur un village situé non loin d’Alger, Courbet, cher à sa grand-mère maternelle.

Féru d’histoire, de culture, et de patrimoine, enfant du pays, il est élu à Salon sous la mandature d’André Vallet qui avait succédé en 1989 à Jean Francou, maire pendant 33 ans. Et quand sa vie professionnelle l’amène à Paris, il s’engage auprès de Jacques Chirac et occupe encore aujourd’hui des fonctions de conseiller culturel à la mairie du 8e arrondissement. 

Le livre Salon de Provence, Mémoires d’une ville

Et Jean-Pascal Hesse vient de publier chez Odyssée, un livre-hommage grand format (24x34cm) de 264 pages, richement documenté, illustré. Avec gravures, peintures, iconographie, des dizaines de photos sur le paysage, oliviers, cyprès, vignes, collines, moutons, l’histoire, le patrimoine, l’architecture, la culture de Salon-de-Provence, sa sociologie, son agriculture, l’essor de son industrie.

Il y fait la part belle aux origines de la « Villa Salone », entre la Trévaresse, la Plaine de la Crau et le Rhône, aux premiers habitants Ligures, issus des Grecs et des Phéniciens, les signes du futur « Salon de Crau » qui remontent à 423 avant J-C ou encore « Le Mont-Sallyen » qui abritait un entrepôt de sel, sans oublier le commerce de « bestiaux, de laine, de peaux, de briques et de poteries. »

Des personnages illustres ont concouru à son rayonnement. Comme Michel de Nostredame (Nostradamus), né à Saint-Rémy en  1503, qui a fait ses études à l’Université d’Avignon et s’installera en 1547 à Salon où il écrira Les Prophéties et Les Centuries. Mais aussi Adam de Craponne (1526-76), ingénieur-hydraulicien qui a eu l’idée de génie de dériver la Durance pour creuser un canal de 60km entre la Roque d’Anthéron et l’Etang de Berre. Cette irrigation sauvera la ville et toute la région de la sècheresse et marquera le début de l’essor de l’agriculture. Célèbre également Pierre-André de Suffren, dit « Le bailli de Suffren de Saint-Tropez » qui a notamment séjourné à La Tour d’Aigues et à Lourmarin.

L’arrivée du train sur l’axe Toulon-Marseille-Aix, Avignon-Lyon, une gare PLM à Salon de Crau en 1873 boostera le commerce, notamment des fruits et légumes, de l’huile d’olive et du savon, des filatures de soie et du travail du cuir.

Château de l’Empéri, Abbaye de Sainte-Croix, Collégiale Saint-Laurent, Tour de l’Horloge, Fontaine moussue en forme de champignon au coeur du centre ancien figurent parmi les monuments les plus iconiques de la cité… Salon-de-Provence où Marcel Pagnol a tourné La fille du puisatier en 1940 avec Josette Day et Fernandel, qui est depuis 1938 le siége de l’Ecole de l’Air et de l’Espace et de ses « poussins », futurs as de l’aviation façon Top Gun. Et depuis 1964, le centre d’entraînement de la prestigieuse Patrouille de France, unité d’élite des pilotes de chasse qui, chaque 14 juillet, défilent avec leurs 8 Alfa-Jet au-dessus des Champs-Elysées laissant leur empreinte bleu-blanc-rouge dans le ciel.

Comme le conclut Jean-Pascal Hesse : « Les Salonais ne veulent pas simplement se tourner vers leur passé pour s’y réfugier. Ils veulent être artisans d’une prospérité et d’une fierté retrouvées. »


Le chef étoilé Xavier Mathieu sera en dédicace à Apt

Le photographe Camille Moirenc vient d’éditer ‘Sacrée montagne’. L’ouvrage de 156 pages propose une odyssée en 5 actes et 87 photographies afin de rendre hommage à la Sainte-Victoire. Une montagne que le photographe natif d’Aix-en-Provence connaît presque aussi bien que le peintre Cézanne à qui l’on doit justement, 87 tableaux de son paysage préféré (44 huiles et 43 aquarelles).

« J’ai toujours vu la montagne, écrit Camille Moirenc. Et ce, depuis que j’ai ouvert les yeux. Ici, elle fait partie du décor quotidien, tellement qu’il est facile, pour certains, de l’oublier. Ou alors, pour le plus grand nombre, de la saluer. Quand on la regarde dans le paysage, quel contraste… On se demande comment ce massif à la vieille peau de calcaire, toute ridée et blanche, a bien voulu se poser là, dans la plaine. La sacrée montagne, discrète et à la fois bienveillante, a aussi choisi d’offrir sa face de triangle à la cité aixoise… une divine proportion qui en a intrigué plus d’un et qui a tant inspiré Paul Cézanne. »

« Elle ne change jamais et elle n’est jamais la même. »

Camille Moirenc

Plus de 35 ans a photographié la Provence
Celui qui en Vaucluse a notamment photographié Crillon-le-Brave, Blachère illumination à Apt, Matthieu Lustrerie à Gargas, la CNR (de Bollène à Vallabrègues le long du Rhône) ou bien encore le Domaine de Manville aux Baux-de-Provence propose un voyage en 5 temps : horizons, matières, lumières, ombres et envols.
« Depuis quelques années maintenant, je lui porte une attention toute nouvelle, confie le photographe sur sa relation avec la Sainte-Victoire. Je la scrute, l’explore, l’étudie, la ressens… Elle ne change jamais et elle n’est jamais la même. Selon ses humeurs, ses lumières, elle se révèle différemment aux regards. Balades de jour, de nuit, par tous temps et toutes saisons… aidé ou bousculé par les éléments… amusé, dans tous les cas, par des rencontres inédites avec des passionnés de la montagne sacrée… j’ai continué d’enrichir mon intime dialogue avec la Sainte-Victoire, en même temps que j’approfondissais mon approche artistique. »

Crédit : Camille Moirenc

Un ouvrage de très grande qualité labellisé ‘Cézanne 2025’
A noter que cet ouvrage est aussi labellisé ‘Cézanne 2025’ dans le cadre des événements proposés autour de la grande exposition au musée Granet, du 28 juin au 12 octobre, marquant le grand retour du peintre impressionniste dans sa cité natale d’Aix.
Par ailleurs, ce livre fabriqué par Caractère imprimeur fait l’objet d’une très grande qualité de confection : couverture rembordée (embossage, marquage en creux, papier de création Neve Imitlin) et papier offset blanc 170g/m2 Amber graphic certifié PEFC 100% pour les pages intérieures.
« J’ai fait le choix d’éditer un ouvrage d’une grande qualité aussi bien au niveau de sa présentation -format, papier, impression, graphisme- que son contenu, des années de travail, de patience, d’enthousiasme et d’inspiration », insiste l’artiste qui dédicacera son livre ce samedi 28 juin, de 10h à 13h, à la librairie Le Blason située 2 rue Jacques de la Roque 11 à Aix en Provence.

Sacrée Montagne. 156 pages. 87 photographies. 5 chapitres. Format 325 x 250 mm. 68€. Imprimeur : Caractère Imprimerie à Marseille. www.camille-moirenc.com. Contact : camille@camille-moirenc.com

Camille Moirenc en 4 temps
Au-delà de ses très nombreux livres et nombreuses expositions, Camille Moirenc met en avant certains projets qu’ils lui tiennent particulièrement à cœur :
438, Notre Littoral, exposition à Marseille en 2018, 80 000 personnes découvrent durant les 3 mois d’été, les 438 km du littoral des Bouches-du-Rhône sur le parvis du Mucem.
• En 2019, Rhône un livre chez Actes Sud et exposition photo dans la cadre des rencontres photo d’Arles.
Visages du Rhône : exposition photo sur les grilles du Jardin du Luxembourg à Paris, en 2021, Lyon en 2022, Vienne en 2023 et Sion en 2024. 80 photographies qui permettent de descendre le fleuve Rhône de sa source à l’embouchure.
• Depuis plus de 10 ans, La Gallery, son espace de 140m2 situé 15 rue Van Loo à Aix, lui permet également de partager son travail. C’est là qu’il présente une nouvelle exposition ‘Sacrée Montagne’ depuis ce mois de juin 2025.
Crédit : Camille Moirenc


Le chef étoilé Xavier Mathieu sera en dédicace à Apt

Eric Dumas, de la libraire Lettres vives, recevra Brigitte Benkemoun, ancienne journaliste et rédactrice en chef à la télévision –France 2, Canal + et radio –France Inter et Europe 1-qui a également participé à la création de Zurban, un magazine culturel dévolu aux lecteurs d’Ile-de-France paru entre 2000 et 2006.

Brigitte se consacre désormais à l’écriture avec un nouvel ouvage sur la villa Benkemoun à Arles, construite en 1970 par l’architecte Emile Sala pour ses parents Simone et Pierre, labellisée patrimoine du XXe siècle en 2015 et restaurée en 2017.

Brigitte Benkemoun est l’auteure de La petite fille sur la photo : ‘La guerre d’Algérie à hauteur d’enfant’, 2012, aux éditions Fayard. ‘Albert le Magnifique’, septembre 2016, aux éditions Stock. ‘Je suis le carnet de Dora Maar’, mai 2019, aux éditions Stock, traduit en anglais et en espagnol. Sa vie pour Picasso : Marie-Thérèse Walter, mai 2022, aux éditions Stock.

Les infos pratiques
Lettre vives, La rencontre de juin. Rencontre avec l’auteure Brigitte Benkemoun pour la villa éponyme à Arles. Vendredi 6 juin 2025 à 18h30. 60, rue des Halles à Tarascon. 04 90 91 00 10


Le chef étoilé Xavier Mathieu sera en dédicace à Apt

Gereso édition sort ‘Santé mentale au travail : tous concernés’. Souffrance au travail : et si on arrêtait de détourner le regard ? Car si le travail est au cœur de nos vies, il est aussi à l’origine de souffrances profondes pour de nombreux salariés. Burn-out, stress chronique, harcèlement… témoignent d’un mal-être alarmant qui ne peut plus être ignoré. Yannick Lemarié, analyste du travail, en décrypte les causes et conséquences et propose des solutions immédiatement applicables.

Malgré des décennies de recherches en sciences humaines et des lois censées encadrer la prévention des RPS (risques psychosociaux), les salariés se trouvent encore trop souvent démunis face à des conditions de travail parfois délétères.

Travail, quel constat ?
Confronté à ce constat, l’auteur, Yannick Lemarié, propose une démarche claire et engageante pour veiller, alerter et agir efficacement. Il explore les mécanismes à l’œuvre dans la dégradation de l’équilibre mental des salariés, les obligations légales des employeurs en matière de prévention et présente des stratégies concrètes à destination des représentants du personnel.

Les points forts du livre
Un état des lieux sans détour du mal-être au travail, appuyé sur des faits, des constats et des situations concrètes. Une lecture claire des mécanismes psychologiques et organisationnels qui fragilisent la santé mentale des salariés. Une analyse des obligations légales en matière de prévention des risques psychosociaux, indispensable pour les employeurs et représentants du personnel.

Des stratégies concrètes
Des stratégies concrètes pour agir à tous les niveaux : repérer les signaux faibles, alerter, accompagner, transformer les pratiques. Une démarche accessible et structurée, pensée pour les RH (Ressources humaines), les managers, les élus du personnel, mais aussi pour chaque salarié concerné. Un appel à la responsabilité collective, pour construire des environnements de travail plus sains, durables et humains. Un guide pour comprendre, prévenir et agir.  

L’auteur
Yannick Lemarié est analyste du travail, expert et formateur en santé, sécurité et conditions de travail auprès de Comités Sociaux Économiques et Environnementaux. Il est auteur et co-auteur de plusieurs expertises sur les risques psycho-sociaux. Il démontre qu’il est possible de les prévenir.

Gereso édition
Gerso édition publie des ouvrages rédigés par des experts, conçus pour apporter une information fiable, exhaustive et directement utilisable au quotidien. Depuis 30 ans la maison d’édition propose une actualité et une expertise terrain pour rendre l’information immédiatement exploitable.
MMH


Le chef étoilé Xavier Mathieu sera en dédicace à Apt

Notre confrère Vaucluse Matin-Dauphiné libéré vient de publier une nouvelle édition de l’ouvrage intitulé ‘Avignon au temps des papes’. Proposé dans la collection ‘Les patrimoines’, ce livre a été écrit par Hervé Aliquot, aujourd’hui décédé, et remis à jour et complété par Paul Payan, maître de conférences à l’Université d’Avignon.

Avenio, la ville du vent. Juchée sur l’oppidum naturel de la « roque » des Doms, elle existe depuis le Néolithique. Ici, les hommes ont trouvé refuge entre les berges du fleuve puissant et les marais qui l’environnent. Sur les pentes sud du rocher se trouvait la cité des Cavares, transformée au Ier siècle par les Romains en une ville importante avec ses temples, ses thermes et un arc de triomphe. Le forum se déploie depuis l’actuelle place de l’Horloge jusqu’à la rue Petite-Fusterie, où arrive l’eau du fleuve. Des voûtes, qui vont servir de magasins, sont construites. Au-dessus, une centaine de colonnes à chapiteaux corinthiens borde le forum antique.

Tout va disparaître au Ve siècle, lorsque les monuments sont détruits pour servir de remparts contre les invasions déferlant alors dans la vallée du Rhône. Son organisation en évêché permet à Avignon de rester dans l’histoire malgré les cavalcades sarrasines.
Les tribulations des comtes de Provence permirent à la cité de grandir grâce à une agriculture forte et à un commerce prospère. Au XIIe siècle, les premiers remparts défendent la cathédrale Notre-Dame-des-Doms, la Maison commune et surtout le fameux pont Saint-Bénezet.

La croisade contre les Albigeois et le grand siège de 1226 mené par le roi de France n’altèreront que peu de temps une prospérité sans égale. Durant une grande partie du XIIIe siècle, la ville profite d’une quasi-indépendance. Le Comtat Venaissin qui jouxte Avignon, longtemps dans les mains du comte de Toulouse, est alors remis dans les mains de Grégoire X en 1274. Sa garde en est confiée à Guillaume de Villaret, grand prieur de Saint-Gilles, et aux Hospitaliers qui feront la gestion du territoire. Avignon devient, en 1290, vassale du seul comte de Provence, roi de Naples, Charles d’Anjou.

L.G.

Avignon au temps des papes. 8,50€. 52 pages. 15×21 cm. En vente en kiosque ou sur le site de la boutique du Dauphiné où sont proposés les 130 ouvrages de la collection ‘Les patrimoines’.

L’auteur
Hervé Aliquot, docteur en archéologie médiévale. Écrivain et conférencier, il a notamment réalisé une série d’études sur les palais cardinalices et les palais du pape Clément VI. Sa dernière découverte : la livrée du cardinal Anglic Grimoard et ses inscriptions. Il est décédé en 2017. Paul Payan, maître de conférences à l’Université d’Avignon, a actualisé et complété l’ouvrage.


Le chef étoilé Xavier Mathieu sera en dédicace à Apt

L’association Expressions Littéraires Universelles et la Librairie Elan Sud organisent une rencontre autour du peintre Vincent Van Gogh à Orange mercredi 9 avril à 19h.

Par le regard de l’artiste peintre Michel Racois, il sera question d’hypothèses concernant la vie de Van Gogh s’il avait continué à peindre après juillet 1890, date de sa disparition. S’il n’avait pas succombé à sa blessure, que serait-il devenu et comment aurait évolué sa peinture ?

Michel Racois a publié une biographie imaginaire du peintre aux éditions L’Art Dit. Aidé par les lettres de Van Gogh, ses œuvres et l’engagement de ses proches dans l’exposition de son art, Michel Racois suggère une alternative à la vie du célèbre artiste. Par cette uchronie, le public fera connaissance avec un autre Van Gogh.
La rencontre sera suivie de la dégustation des plats apportés par les participants et de la dégustation de vin sélectionné par Léna, caviste de L’Art dit Vin à Orange.

Cette soirée est proposée dans cadre des ‘Rendez du mercredi’ se déroulant une fois par mois. Les livres des auteurs invités sont par ailleurs disponibles dans la librairie. Retrouvez le calendrier des animations d’ELU sur www.lantredeslivres.com

A.R.C

“Et si… Vincent Van Gogh” avec Michel Racois. Mercredi 9 avril à 19h. Librairie Elan Sud. 233, rue de Rome. Orange. Places limitées. Entrée gratuite sur réservation au 06 03 07 05 62. Prochaine rencontre le 14 mai sur la nutrition avec Alice Vanhoye.www.lantredeslivres.com

https://www.echodumardi.com/tag/livre/   1/1