9 septembre 2025 |

Ecrit par le 9 septembre 2025

ZAC vs ZAN*, deux mondes inconciliables ?

A Cavaillon, deux logiques s’affrontent celle de la communauté d’agglomération qui souhaite créer de nouvelles zones d’activités pour soutenir l’activité économique et créer des emplois et de l’autre un collectif regroupant des associations qui s’opposent à la bétonisation et à l’artificialisation des terres agricoles. Deux visions du futur de l’économie et du monde de demain. Qui est dans le vrai ?

C’est l’idée que le développement économique est un facteur de progrès social

A écouter les arguments de chacune des parties elles ont en fait toutes les deux raison. Nous avons ainsi d’un côté, des élus qui souhaitent redonner à cette partie de la Provence un niveau d’activité et de richesse propre à faire reculer le chômage, à faire monter le niveau de vie et à avoir, in fine, d’avantage de moyens pour développer des politiques publiques ambitieuses. C’est l’idée que le développement économique est un facteur de progrès social. C’est ce modèle qui a prévalut depuis la révolution industrielle et surtout ces dernières décennies. On en voit cependant aujourd’hui les limites.

« C’est une folie que de réduire encore les surfaces agricoles »

De l’autre, nous avons des associations regroupant des citoyens très engagés qui considèrent que dans le contexte actuel c’est une folie que de réduire encore les surfaces agricoles. C’est au détriment de la biodiversité, de la perméabilisation des sols, mais aussi du recul des activités agricoles traditionnelles. Avec toutes les conséquences sociales induites. Par ailleurs, ces nouvelles activités développeront immanquablement les émissions de gaz à effet de serre et contribueront au réchauffement climatique. En effet, dans les entreprises pressenties à s’installer dans ces ZAC plusieurs font dans la logistique donc présence et mouvements de nombreux camions.

© Faubourg Promotion / GROUPE IDE

industrielle ou agricole, tel pourrait être au fond résumé la question pour la cité Cavare ? Toujours plus ou toujours mieux ? Tel est le dilemme. C’est une bonne chose que ce débat puisse exister et que les avis puissent s’exprimer et se confronter. C’est le simple jeu de la démocratie. On en a plus que besoin. En définitive ce qui se passe à Cavaillon est un peu au cœur du débat de notre société aujourd’hui. Quel modèle de société voulons-nous ? Cependant il y a urgence à décider.

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ZAC: Zone d’Aménagement Concerté
ZAN : Zéro Artificialisation Nette


ZAC vs ZAN*, deux mondes inconciliables ?

Les membres du réseau ‘De la ferme à ta cantine‘, une opération lancée en 2009 par le Parc naturel régional du Luberon, se sont réunis au début du mois d’avril pour faire un bilan des actions menées par le Parc dans le cadre de son Projet alimentaire territorial autour de la restauration collective. 26 participants étaient présents dont des élus, des cuisiniers, des partenaires comme la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt, mai aussi des experts en nutrition.

Pour rappel, ‘De la ferme à ta cantine’ vise  à accompagner les communes volontaires dans l’approvisionnement des restaurants scolaires en produits locaux, et, si possible, biologiques. L’objectif commun des communes est de proposer au minimum un repas 100% local par trimestre. La commune de Lauris a partagé ses résultats exemplaires avec 93% de produits biologiques et 32% de produits locaux pour un coût matières de 2,80 € en moyenne par repas. A savoir que les obligations réglementaires liées à la loi EGalim, complétée par la loi Climat et résilience, en vigueur depuis le 1er janvier 2022, sont : 50% de produits de qualité dont 20% de bio dans la restauration collective.

DR

V.A.


ZAC vs ZAN*, deux mondes inconciliables ?

Le 21 avril prochain, le Tour Auto, la rétrospective d’une des plus anciennes courses automobile française, passera par le Vaucluse. Une occasion de voir courir d’authentiques et anciennes voitures de course. Avec pas moins de 238 autos engagées, c’est un vrai musée roulant de l’automobile de compétition qui sillonnera les routes du massif du Ventoux et du sud Luberon. Dans la période actuelle un tel spectacle pourrait paraître aux yeux de certains comme anachronique ou totalement hors de propos. Ou bien peut-être pas ?

Si l’automobile sert d’abord à transporter hommes et marchandises d’un point A à un point B, elle peut aussi avoir bien d’autres fonctions. Elle peut notamment être un fantastique moyen de découverte et d’évasion. Si on regarde un peu dans le rétro, on pourra se souvenir combien la 4 CV Renault a joué un rôle important dans la démocratisation des vacances et cela bien après l’instauration des congés payés en 1936. Imaginez la France, le pays le plus incroyable pour la variété et la richesse de ses patrimoines, ce pays qui reçoit chaque année plus de touristes qu’il compte d’habitants, et bien ce pays dispose de 1 103 451 km de voies diverses (autoroutes, nationales, départementales et communales). Trois fois la distance de la Terre à la Lune. Pas un village, un monument, une curiosité ou un site touristique qui ne soit desservi par une route, une voie ou un chemin. C’est le maillage du territoire le plus complet qui puisse exister et le moyen le plus simple d’en découvrir toutes ses richesses.

Aux beaux jours on ne compte plus les rallyes d’autos anciennes

Certaines de ces routes sont exceptionnelles pour les paysages traversés ou pour leurs histoires. En Provence, on pense évidemment à la nationale 7 ou la route Napoléon pour ce qui est des grands axes de transhumances Nord / Sud. Dans le Vaucluse, les routes plus touristiques sont nombreuses que ce soit autour du massif du Ventoux ou de celui du Luberon. Aux beaux jours on ne compte plus les rallyes d’autos anciennes qui passent par notre région et qui y font étape. C’est une part non négligeable de l’activité hôtelière régionale, à la différence des camping-cars…

Crédit Photo Matthieu Bonnevie / Tour Auto 2022

L’arrivée prochaine des carburants synthétiques devrait clore définitivement le débat

On pourrait accuser les autos anciennes d’être particulièrement polluantes et de participer aussi au réchauffement climatique. Pour mémoire, en France, l’automobile représente moins de 10 % des émissions de gaz à effet de serre. Et pour ce qui est de la part des autos anciennes c’est presque négligeable.

Pour Patrick Peter, l’organisateur du Tour Auto, ces autos roulent très peu et leurs émissions sont tellement réduites qu’elles ne sont même pas mesurables. Pour lui, l’arrivée prochaine des carburants synthétiques devrait clore définitivement le débat. Et fait intéressant, il dit n’avoir jamais eu ou perçu de réactions négatives dans les différentes compétions de voitures anciennes qu’il organise depuis 1983. La passion y est sans doute plus forte que tout.

Certes, elles sont bruyantes, parfois puantes ou fumantes mais elles sont vivantes, authentiques. Elles nous donnent des émotions, des sensations. Elles sont aux antipodes des autos d’aujourd’hui terriblement efficaces mais totalement aseptisées et tellement ennuyeuses.

Sachons garder cette part de rêve et de plaisir. Le Tour Auto a au moins le mérite de rendre hommage à toutes ces autos qui appartiennent désormais à notre patrimoine sportif et historique. Ne boudons pas notre plaisir !

© Peter Auto Channel

ZAC vs ZAN*, deux mondes inconciliables ?

Face à l’urgence climatique et à l’envolée des prix de l’énergie, de plus en plus de citoyens s’unissent pour devenir leur propre producteur d’électricité. En Provence, les initiatives sont nombreuses. Beaucoup y réfléchissent et plusieurs projets ont déjà vu le jour. À Mérindol, petit village du Luberon, sous l’impulsion de la mairie, un projet de coopérative citoyenne est en gestation. Loin d’être des exceptions ces projets illustrent la volonté des territoires de reprendre la main. Sommes-nous à l’aube d’un changement de modèle ?

Centralisation à tous les étages. Politique, économie, réseaux routiers, chemin de fer… dans notre beau pays tout est centralisé et remonte vers le haut. Seules les décisions redescendent ! La production d’énergie n’y échappe pas. À la fin de la deuxième guerre mondiale il fallait reconstruire et rapidement. En 1946, la production et la commercialisation de l’électricité a été nationalisée, et un réseau interconnecté a été mis en place.

Une telle infrastructure permet d’ajuster au mieux la production à la demande, et cela à l’échelle du pays. Ainsi, en région PACA, il faut savoir qu’on produit moins de la moitié de ce que l’on consomme. Vous l’aurez compris le réseau est essentiel et ne saurait être remis en question, mais néanmoins il existe aussi une place pour une production décentralisée. Une alternative en quelque sorte. Certes, elle est loin d’être en capacité de couvrir tous les besoins mais elle peut jouer un rôle important. A minima, celui de redonner aux territoires quelques pouvoirs et d’avantage d’autonomie. Et en cela la production d’énergie en devient un symbole fort.

La proximité et le local sont aujourd’hui des valeurs montantes
Hier raillés, la proximité et le local sont, aujourd’hui, des valeurs montantes. Face à une bureaucratie envahissante, une déshumanisation des services exaspérante, face à l’inflation des procédures, des normes… on ne s’y retrouve plus. Tout devient compliqué, long et parfois insupportable. N’attendant plus grand-chose de ces administrations et de ces organisations pyramidales la contre-attaque s’organise. Partout dans les territoires des projets, des initiatives tentent de renverser la table et de faire autrement. La crise du Covid a accéléré le phénomène. Face aux manquements de l’État centralisé nombre de territoires ont pris en charge les choses. Vous vous souvenez… les masques ?

Contre le tropisme jacobin : la révolte des terroirs
Au travers de tous ces projets citoyens, il faut y voir l’émergence d’un mouvement de fond, l’expression d’une aspiration profonde, celle de redonner aux « gens » une place centrale. Celle de pouvoir décider eux-mêmes sur des sujets qui les concernent directement. C’est l’idée que « les sachants d’en haut » ne peuvent pas tout décider et en particulier ce qui est bon ou pas pour vous. On met ici le doigt sur une question essentielle : celle du partage du pouvoir. Je me risque à croire que si dans le pays de la démocratie et des droits de l’homme il était mieux partagé les choses iraient sans aucun doute beaucoup mieux.


ZAC vs ZAN*, deux mondes inconciliables ?

L’exposition de Porsche mythiques à Gargas met le ‘Turbo’ dimanche prochain 22 janvier sur M6 avec Dominique Chapatte.

Depuis l’inauguration de cette exposition le 16 décembre, vous avez été des milliers à lire notre reportage sur les bolides mythiques exposés au cœur du site ocrier du Colorado Provençal et à vous presser d’aller les admirer sur place. Vous serez à coup sûr des millions à regarder l’émission concoctée par Dominique Chapatte et diffusée dimanche prochain à 11h20.

Avec ses reporters et cameramen, il a fait le voyage jusqu’à Gargas, siège de la Lustrerie Mathieu pour un reportage sur cette exposition des 40 modèles iconiques qui, justement, se termine ce 22 janvier. Une ultime occasion d’admirer sous l’éclairage des majestueux lustres restaurés ou créés par Régis Mathieu et ses artisans, les courbes et chromes de la saga Porsche, de la 356 de 1964 jusqu’à la 992 GT3 RS qui marque les 60 ans de la firme allemande en 2023, en passant par les Targa, Speedster, Turbo ou Carrera.

Lire également : « Gargas : 60 ans de Porsche mis en lumière par Mathieu Lustrerie »

Et ce n’est pas la première fois que l’émission des fans de bolides iconiques vient dans le Vaucluse. En 2012 déjà l’équipe de Turbo avait filmé les Alpine, DS Citroën cabriolet, Delage, Traction avant, Delahaye et Facel-Véga créées par les ingénieurs et carrossiers français, véritables couturiers de modèles d’exception et rassemblées alors par le même Régis Mathieu dans sa lustrerie de Gargas.

60 ans de la Porsche 911 – Emission TURBO du 22/01/2023

ZAC vs ZAN*, deux mondes inconciliables ?

Quand on parle de pont on ne pense pas forcément à ceux du mois de mai (quoique… et  cette année ils sont plutôt favorables aux salariés), on peut aussi évoquer les ouvrages d’art. En Provence, ils sont nombreux et certains tout à fait remarquables. Et, il y en a un qui mérite qu’on s’y arrête car il va faire l’objet d’une prochaine réhabilitation d’envergure.  Il s’agit de celui qui enjambe la Durance entre Mallemort (Bouches-du-Rhône) et Mérindol (Vaucluse). Un pont avec l’histoire chargé de symboles . 

C’est l’histoire d’un pont étonnant. Construit en 1844 et mis en service deux ans plus tard, ce pont appartient à la première génération des ponts suspendus à faisceaux de fils de fer. L’ancêtre de celui de Tancarville en quelque sorte. Auparavant, on utilisait des chaînes en fer forgé. Cette technologie a été développée par l’ingénieur et entrepreneur français Marc Seguin. Ce pont présente également la particularité d’avoir un tablier en bois. La classe. Voilà pour l’aspect technique.  
Ce pont était stratégiquement très important, il faisait la connexion entre le massif des Alpilles et celui du Luberon. D’ailleurs, la maison du gardien du pont, accolée à son entrée rive gauche, était en fait un péage. Et oui déjà à l’époque… 

Sauvé des eaux par son classement monument historique
Devenu totalement obsolète, le pont a été fermé en 1980, après  132 ans de bons et loyaux services. Il a été doublé par un pont routier  en béton précontraint construit juste à côté. Laissé à l’abandon dès sa fermeture, notre pont suspendu s’est rapidement dégradé. Mais c’était sans compter sur la pugnacité et l’engagement de nombreux  défenseurs du patrimoine qui craignaient sa destruction. 
Plusieurs procédures de protection ont été initiées. Elles ont abouti  dans un premier temps  à son inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques, puis à son classement en 2014. Si vous ne saisissez pas la nuance dites-vous que c’est administratif et que c’est français.  

Lire également : “SOUS le pont d’Avignon…“  

Un atout touristique 
A l’initiative des départements des Bouches-du-Rhône et de Vaucluse, le chantier de la réhabilitation de cet ouvrage exceptionnel (évalué à près de 9M€), a été lancé. Le démarrage des travaux est prévu pour cette année, avec un objectif de réouverture en 2025.  Si tout va bien…
Le projet est d’en valoriser son intérêt touristique et de le réserver aux piétons et aux cyclistes.  « La circulation douce » comme on dit aujourd’hui. Ce sera l’occasion de relier les pistes cyclables et voies vertes mises en œuvre des deux côtés de la Durance. La maison du gardien deviendrait un musée et un atelier de réparation pour les vélos. Moi, j’y verrais bien aussi une petite guinguette, on pourrait ainsi y danser tous en rond, comme à Avignon… 

On ne construit malheureusement plus pour les générations futures
Quand on regarde ces deux ponts (l’ancien et le moderne) on se dit qu’il n’est pas sûr que celui construit en 1980 puisse faire l’objet un jour d’une inscription à l’inventaire des monuments historiques. Cela nous interroge  en fait sur la pérennité des constructions actuelles.  Quelle(s) trace(s) laisseront-elles dans l’histoire ? Aujourd’hui seule l’efficacité et la rentabilité immédiate  semblent prévaloir. L’esthétisme ou le trait artistique n’ont plus beaucoup de place.  De très nombreux sites touristiques, villes ou villages ne doivent leurs succès qu’aux monuments et constructions des générations  qui ont précédées.   Est-ce que dans un siècle on visitera les ensembles immobiliers des quartiers populaires  des années 60 et 70 comme on visite aujourd’hui le quartier des teinturiers à  Avignon ? Pas sûr.


ZAC vs ZAN*, deux mondes inconciliables ?

Organisée par l’association VTT Luberon, la 9ᵉ édition du All Ride VTT Luberon aura lieu ces samedi 19 et dimanche 20 novembre. Cet événement sportif convivial est accessible à tous. Enduro, VTT, randonnées gravel, il y en aura pour tous les goûts.

Cette année, trois communes du Luberon ont été désignées comme points de départ pour les différentes épreuves : Saint-Saturnin-les-Apt, Apt et Bonnieux.

Le programme

Le week-end commencera en beauté avec l’épreuve enduro le samedi 19 novembre au départ de Saint-Saturnin-les-Apt. Les coureurs devront parcourir 30km/+1450m. L’épreuve sera scindée en 6 spéciales chronométrées sur les sentiers monotraces mythiques du versant sud des Monts-de-Vaucluse. Le même jour, il y aura deux randonnées gravel au départ d’Apt à 9h30. Une épreuve à allure libre et sur trace GPS embarquée entre petites routes du bassin du Pays d’Apt, chemins et sentiers du plateau de Caseneuve, contreforts des Monts-de-Vaucluse et massifs ocriers du Luberon. Les participants auront le choix entre deux distances : 40km/+450m ou 70km/+1000m.

Le dimanche 20 novembre, trois activités différentes seront proposées au départ de Bonnieux, ce qui est inédit. Tout d’abord, la randonnée VTT, avec quatre parcours au choix, soit 23km/+500m, 33km/+800m, 40km/+1000m, ou 50km/+1400m. Les coureurs pourront partir quand ils le souhaiteront entre 8h et 9h30. Il y aura également une randonnée VTT à assistance électrique 43km/+1100m à partir de 8h. Enfin, il y aura un parcours randuro VTT à allure libre, de 37km/+1200m. Le départ sera libre entre 8h et 9h30. En plus de ces épreuves, ceux qui le souhaitent pourront découvrir gratuitement la marche nordique à partir de 10h30 ou bénéficier d’une visite guidée du village à 11h.

La nouveauté de l’année

Cette année, le vélo n’est pas le seul outil mis en avant par le All Ride VTT Luberon, mais les jambes le sont aussi. Pour la première fois, l’événement organise un trail nocturne, pour ceux qui aimeraient se dégourdir les jambes entre deux épreuves de VTT.

Organisé par le Run and Bike de Bonnieux, le trail aura lieu le samedi 19 novembre au soir au départ de la Maison du Livre et de la Culture de la commune. Le départ sera donné au crépuscule pour ensuite poursuivre la course sous l’œil avisé de la Lune sur les sentiers du petit Luberon. Les coureurs pourront parcourir 12km/+450m ou 25km/+1200m.

Informations pratiques

Mis à part pour la marche nordique et la visite guidée de Bonnieux, pour lesquelles les inscriptions se font sur place le jour-même, toutes les épreuves nécessitent une inscription au préalable en ligne, que ce soit les épreuves à vélo ou le trail nocturne.



V.A.


ZAC vs ZAN*, deux mondes inconciliables ?

Ce samedi 19 novembre, l’office de tourisme Destination Luberon Cœur de Provence organise une nouvelle randonnée gourmande. Après celle centrée sur la bière aux Taillades, celle-ci sera autour de la truffe et sera au départ de Gordes.

Sur votre chemin, des petites bories, des murs en pierre sèche et la garrigue. Jusqu’à votre arrivée à la ferme de la famille Speranza. Le trufficulteur vous y fera une démonstration de cavage en compagnie de son chien truffier, et bien évidemment, une dégustation est prévue au programme.

La randonnée durera 4h en tout. Elle sera d’un niveau facile, et réalisable dès 7 ans. Le départ se fera au parking des camping-cars avant le Village des Bories au bord de la D15 à 9h. Il en coûtera 25€ par personne. Pour réserver votre place, cliquez ici.

V.A.


ZAC vs ZAN*, deux mondes inconciliables ?

Les dernières animations du programme « Tous à vélo en Luberon » se tiendront ce week-end, vendredi 28 et samedi 29 octobre. A cette occasion, une conférence sera animée par le vélo-reporter Jérôme Zindy et une balade à la découverte du Pays d’Aigues sera organisée.

Depuis de nombreuses années, Vélo Loisir Provence développe la pratique du vélo sur le territoire du Luberon. Grâce au soutien financier du programme Leader Haute Provence Luberon, du département de Vaucluse et en partenariat avec les acteurs et associations locales, Vélo Loisir Provence a développé un programme d’animations vélo gratuites : « Tous à vélo en Luberon ». Ce programme mit en place tout au long du mois de septembre et octobre vise à développer les pratiques du vélo ludique et quotidienne pour la population locale et de proximité. Les dernières animations de ce programme se tiendront vendredi 28 et samedi 29 octobre.

Programme
Vendredi 28 : conférence
« Vélo-reporter et citoyen en transition : du rallye automobile au vélo solaire » animé par Jérôme Zindy.

  • 19h : arrivée de Jérôme Zindy.
  • 20h : café-débat.

Jérôme Zindy, vélo-reporter, parcours les territoires avec son vélo solaire à assistance électrique à la rencontre d’agriculteurs locaux et bio acteurs du circuit court. Ses motivations ? Promouvoir les alternatives positives pour la planète et réaliser des reportages en ayant le plus faible impact possible sur l’environnement.

Places limitées sur réservation – café villageois, rue de la gare, Lauris.

Samedi 29 : balade à vélo
« De petits villages en petits villages à la découverte du Pays d’Aigues », balade commentée.

Balade proposée au départ du café villageois association Au Maquis, à 9h. Location de vélos possible sur réservation.

Places limitées sur réservation – café villageois, rue de la gare, Lauris.

Jérôme Zindy animera un café débat dans le cadre du programme « Tous à vélo en Luberon », vendredi 28 octobre © DR

Retrouvez toutes les informations des animations sur le site de Vélo Loisir Provence inscriptions balades et conférences à retrouver ici.

J.R.

https://www.echodumardi.com/tag/luberon/page/8/   1/1