La compagnie italienne Trenitalia entre pour la première fois en gare d’Avignon
Annoncée en début d’année 2025, la compagnie ferroviaire italienne Trenitalia ouvre une nouvelle ligne entre Marseille et Paris qui passe par les gares d’Aix-en-Provence TGV, Avignon TGV et Lyon Saint-Exupéry. Le premier trajet aura lieu ce dimanche 15 juin.
À partir de ce dimanche 15 juin, les Avignonnais pourront monter à bord du Frecciarossa, qui veut dire « flèche rouge » en italien en raison de la couleur du TGV, mais aussi de ses performances, selon la compagnie italienne, car il peut atteindre 300km/h en 4min.
Trenitalia proposera quatre allers-retours quotidiens entre Marseille et Paris. À bord de ce train, les passagers disposeront de 462 sièges répartis en trois classes : standard, business et exécutive.
Le tout premier aller-retour entre la capitale et la Cité phocéenne se fera ce dimanche 15 juin. Le premier départ se fera de la Gare de Lyon à Paris à 5h54 pour arriver à Marseille Saint-Charles à 9h15, avec un arrêt à Avignon TGV à 8h37. Il y aura également un départ de Paris à 11h14, 14h26 et 19h03. Le 3e train de la journée (départ à 14h26 à Paris) en direction de Marseille ne fera pas d’arrêt à la Cité des papes et ne passera que par la gare TGV d’Aix-en-Provence avant d’arriver à son terminus.
Dans l’autre sens, le premier départ de Marseille se fera à 6h52. Les autres départs sont prévus à 9h53, 15h47 et 18h49. En direction de la capitale, les quatre trajets journaliers passent par toutes les gares prévues initialement, dont celle d’Avignon TGV.
La compagnie ferroviaire italienne adopte une politique tarifaire attractive, avec des billets dont les prix commencent à partir de 27€. Ces tarifs seront ensuite réévalués en fonction du taux de remplissage des trains.
Pour réserver votre billet en direction de Paris ou de Marseille, cliquez ici.
La compagnie italienne Trenitalia entre pour la première fois en gare d’Avignon
Le constat est accablant et sans appel : ces dernières années, la taille des sardines en mer méditerranée a baissé de plus de 60 % en moyenne. Les causes sont multiples et pas forcément le réchauffement climatique. En tous cas ce poisson côtier n’est pas prêt d’obstruer l’entrée du vieux port de la cité phocéenne.
Selon Daniela Banaru, enseignante et chercheuse à l’Institut Méditerranéen d’Océanographie de Marseille, la baisse de la taille des sardines est principalement dû à celle du plancton. En effet, ce dernier, qui constitue le premier casse-croute des sardines, se fait plus rare et sa taille est également plus réduite. En conséquence, les sardines passent d’une taille moyenne XL, comprise entre 15 et 20 cm à une taille S, allant de 10 à 12 cm. CQFD. Mais alors pourquoi le plancton se fait-il moins abondant ? Les rejets dans la mer qui sont de plus en plus purifiés en seraient la cause principale. Les études sont formelles les traitements micro biologiques très performants ont fait chuter la quantité et la qualité du plancton, selon Institut Méditerranéen d’Océanographie. On veut moins rejeter en mer et on appauvrit l’écosystème. C’est à n’y plus rien comprendre.. Même punition du côté de l’étang de Thau où les ostréiculteurs doivent désormais attendre deux fois plus longtemps pour que leurs huîtres arrivent à une taille commercialisable. Mais qu’on se rassure dans les deux cas huitres et poissons conservent toutes leurs propriétés. La seule incidence est que maintenant dans les boites (de sardines) on passe de 3 à 6 unités.
De leur côté, les pêcheurs estiment que le thon est la cause principale de la réduction de la taille des sardines. En effet, les populations de thon, qui étaient menacées et qui ont fait l’objet de restrictions drastiques de pêche, ont aujourd’hui retrouvé des niveaux plus satisfaisants. Plus nombreux et plus affamés, ces gros poissons vient bouloter de la sardine côtière et ne laissent pas le temps à ces dernières de grossir. CQFD aussi.
Morale de cette histoire la trop grande intervention de l’homme sur la nature, que ce soit d’un côté ou de l’autre, a toujours pour conséquence de dérégler un système parfaitement organisé. Ce n’est pas la fameuse sardine qui aurait bouché l’entrée du vieux port qui dira le contraire…
La compagnie italienne Trenitalia entre pour la première fois en gare d’Avignon
À l’approche du printemps, le marché immobilier français semble connaître un léger regain, comme en Vaucluse notamment mais aussi dans de nombreuses grandes villes. Pour autant, il existe de fortes disparités selon les rues. Le site immobilier Se Loger vient de dévoiler son classement des rues les plus chères au m2 dans les 50 plus grandes villes de France. En Vaucluse, seule Avignon est concernée. Les prix les plus élevés y sont supérieurs à ceux de Nîmes mais restent très éloignés de ceux pratiqués à Montpellier, Aix-en-Provence ou bien encore Marseille.
Se Loger, leader spécialiste des portails immobiliers en France, vient de dévoiler son classement* des rues les plus chères dans les 50 plus grandes villes de France. Sans surprises, Paris est indétrônable : La Rue de Furstemberg (23 087€/m²) caracole en tête, suivie par le Quai des Orfèvres (23 054€/m²) et l’Avenue Montaigne (22 548€/m²). Le cœur historique parisien concentre à lui seul les cinq rues les plus chères de France. « Dans les métropoles provinciales, certaines rues affichent toutefois des niveaux de prix comparables à ceux de certains arrondissements parisiens, explique www.seloger.com. C’est notamment le cas à Antibes (12 701€/m²) à Cannes (11 546€/m²), à Nice (11 892€/m²) ou encore à Cannes (11 546€/m²). » Dans tous les cas cependant, Paris demeure la ville où le prix moyen du mètre carré atteint les plus hauts niveaux dans l’Hexagone (9 468 €/m²).
Marseille près de 2,5 fois plus chère qu’Avignon Derrière ‘l’intouchable’ ville Lumière et le trio azuréen, Marseille tire largement son épingle du jeu. Dans la cité phocéenne (voir tableau ci-dessous), les rues du Castellet, Colline-Chanot, Emile-Duployet, l’impasse Blanc, les traverses du Génie et Nicolas ou bien encore le chemin de la Batterie du Roucas-Blanc affichent 8 475€ du m2. Juste derrière se situe la rue du Terrail (8 317€/m²). De quoi devancer les rues les plus onéreuses d’Aix-en-Provence : la traverse du lavoir de Grand-Mère (7 955€/m²) ainsi que l’avenue Guiseppe Verdi (7 776€/m²). Chez la ‘voisine’ aixoise, ces prix les plus chères s’échelonnent ainsi de presque 8 000€/m² à 6 899€/m² pour l’immobilier le plus ‘accessible’ situé avenue Jean et Marcel Fontenaille. C’est 1 500€ de plus qu’à Montpellier avec la rue des Loutres (5 300€/m²) et l’avenue Raymond-Dugrand (5 262€/m²).
Crédit : Se Loger
La cité des papes devance Nîmes A Avignon les prix les plus hauts sont en deçà d’environ 1 200€/m² par rapport à ceux pratiqués à Montpellier (route de Vauguières : 4 841€/m²). Pour la cité des papes, (voir carte ci-dessous) c’est la rue Félix-Gras où se trouvent les prix immobiliers les plus élevés (3 656€/m²). Ensuite, sans surprises, toutes ces rues se trouvent dans l’intra-muros : rue Saluces (3 492€/m²), rue de la Balance (3 445€/m²), rue Bouquerie (3 360€/m²), rue Joseph-Vernet (3 335€/m²), rue des Trois Colombes (3 273€/m²), rue Buffon (3 254€/m²), rue Bancasse (3 245€/m²) et rue de la Banasterie (3 242€/m²). A des années lumières des 81,81€/m² pour un T3 dans le quartier Monclar comme l’avaient évalué nos confrères de l’hebdomadaire Le Point dans une enquête publiée l’été dernier sur l’impact de l’insécurité en matière de valeur des biens immobiliers alors que l’on peut tabler sur un prix moyen de 2 500€/m² sur Avignon. Les prix les plus chères dans la cité des papes restent néanmoins supérieurs à ceux de Nîmes dont la fourchette du top 10 est comprise entre la corniche de l’Ermitage (3 136€/m²) et le chemin du Galinié (3 090€/m²).
Une France à deux vitesses Malgré l’écart avec les villes les plus chères Avignon et Nîmes affichent des prix supérieurs à ceux de la moyenne nationale (3 078€/m²). Si les prix flambent dans certaines grandes villes françaises, il existe encore des rues dans le Top 50 où les prix restent davantage accessibles. Par exemple, à Saint-Etienne, la rue la plus chère (Rue Paillard) affiche un prix de ‘seulement’ 2 378€/m², soit 10 fois moins chère que la rue Furstemberg à Paris. Parmi ces ‘bonnes affaires’, on retrouve également la rue du Congo à Tourcoing (2 224€/m²), la rue Barbanègre à Mulhouse (2 184€/m²), la rue Pierre-Raymond à Limoges (2 056€/m²) ou bien encore le rue de Séraucourt à Bourges (1 892€/m²).
L.G.
Méthodologie* : Prix immobiliers Meilleurs Agents-Se Loger Mars 2025. Trois sources de données : base Notaires, DVF et les transactions communiquées par les agences immobilières partenaires de Se Loger.
La compagnie italienne Trenitalia entre pour la première fois en gare d’Avignon
Dans nombre de villes ayant quelques prédispositions touristiques c’est le ras-le-bol. Le nombre de locations saisonnières augmente de manière exponentielle, les prix de l’immobilier flambent, les habitants ne peuvent plus se loger. C’en est trop pour les maires concernés, qui pour marquer les esprits, procèdent à l’arrachage des boîtes à clés de ces logements, qui s’incrustent sur le mobilier urbain des villes. Tout un symbole.
Sous l’impulsion de son maire , Benoît Payan, qui en avait fait une promesse électorale, la ville de Marseille vient d’annoncer un durcissement des conditions d’exercice pour ses meublés touristiques. Le nombre de jours de location autorisés, pour les propriétaires de résidences principales, passe de 120 à 90 jours par an. Cette récente décision fait suite à l’application, il y a quelques mois, du principe de compensation pour les résidences secondaires. Les propriétaires qui mettent en location saisonnière une résidence secondaire ont obligation de proposer sur le marché traditionnel un bien de surface équivalente. En 2023, on recensait dans la cité phocéenne 13 000 meublés touristiques, dont 55 % en résidence secondaire. Leur nombre a été en progression de 45 % sur un an. Cette croissance exponentielle on la doit au développement des plateformes de réservation comme Airbnb et autres consœurs.
Dans les campagnes, les chambres d’hôtes sont une vraie opportunité pour le tourisme local
Si on peut être hostile à cette tendance actuelle et exaspérante de vouloir tout encadrer et réguler, il faut bien admettre qu’il est nécessaire de mettre un peu d’ordre dans tout cela. A minima, apporter quelques garanties pour que nos villes restent des lieux de vie vivables et logeables pour le plus grand nombre. Mais de l’autre côté de la médaille, ces locations peuvent constituer des compléments de revenus non-négligeables pour beaucoup de foyers. Et en particulier dans les circonstances économiques actuelles. Il ne faudrait pas non plus négliger les dépenses effectuées par les touristes (restaurants, commerces, musées…) ou encore les taxes de séjour collectées par les municipalités (4,2 M€ pour Marseille). L’augmentation des capacités d’accueil apportées avec AirBnB a largement participé au développement de l’activité touristique de nombreuses villes et sans vraiment impacter l’industrie hôtelière. Dans les campagnes, là où les hôtels traditionnels ne trouveraient pas de rentabilité, les chambres d’hôtes sont une vraie opportunité pour le tourisme local.
Vouloir réguler c’est faire les bons choix, prendre des mesures qui soient équilibrées. Ainsi il n’est pas sûr que la réduction du nombre de jours de locations pour les résidences principales vienne résoudre la crise du logement ou faire baisser les prix de l’immobilier. Ce qui n’est pas forcément le cas des résidences secondaires. Tout est dans la nuance…
La compagnie italienne Trenitalia entre pour la première fois en gare d’Avignon
SpaDreams, tour-opérateur spécialiste des séjours bien-être depuis 40 ans, vient de dévoiler le top 500 des attractions et sites touristiques les plus populaires d’Europe en matière de recherche sur internet*. Ce classement repose sur l’analyse des volumes de recherche mondiaux, en tenant compte non seulement de Google, mais aussi de Bing et des principales plateformes sociales telles que Tik tok, Instagram, Pinterest et You tube.
La France trust le podium En tout, la France place 50 sites parmi les 500 premiers d’Europe sur un total de de 2 300 attractions et sites analysés. L’Hexagone réalise même le triplé avec les 3 premières places. A savoir Disneyland Paris (13 690 340 recherches mensuelles), la Tour Eiffel (9 185 730) et le Mont-Blanc (8 748 850).
Près de 13,7 millions de recherches mensuelles sur le net pour Disneyland Paris, plus de 9 millions pour la tour Eiffel et 8,74 millions pour le Mont Blanc. La France prend les 3 premières places européennes. Source : SpaDreams.fr Crédit : D-stock/Adobe stock/DR
Quelle ‘e-attractivité’ pour les sites régionaux ? Près de nous, c’est le Pont du Gard qui affiche la meilleure ‘e-attractivité’ en se classant 169e avec 821 840 recherches mensuelles (21e français). Dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, c’est ensuite la cité phocéenne qui est à l’honneur avec Notre-Dame de la Garde (365e et 369 900 recherches – 38e français) et le château-d’If (419e avec 306 920 recherches – 45e français).
En 428e position, le palais des papes à Avignon se positionne en 3e position régionale avec 302 750 recherches mensuelles (46e français). Le plus grand palais gothique du monde devance ainsi la promenade des Anglais à Nice (435e pour 302 460 recherches – 47e français) et le lac de Sainte-Croix, situé entre les départements du Var et des Alpes-de-Haute-Provence au cœur du Parc naturel régional du Verdon (500e et 247 910 recherches – 50e français).
Dans la région, le pont du Gard affiche plus de 820 000 recherches mensuelles sur le net. Crédit : Adobe Stock-M. Studio
*Pour établir un classement complet et actuel des attractions touristiques en Europe, SpaDreams a comparé les volumes de recherche des principales attractions européennes. Celles-ci incluent des parcs de loisirs (parcs d’attractions, parcs animaliers, parcs naturels, etc.), des bâtiments (châteaux, palais, hôtels, bâtiments gouvernementaux, etc.), des espaces publics (parcs, rues, marchés, places, quartiers, etc.), des sites religieux (églises, monastères, temples, synagogues, mosquées, etc.), des sites historiques (ruines, mémoriaux, etc.), des statues/sculptures, des attractions naturelles (parcs nationaux, lacs, rivières, montagnes, plages, îles, etc.), des musées (musées, galeries, expositions, etc.) et des structures (tours, ponts, murs, etc.). Les volumes de recherche mensuels mondiaux sur Instagram, Pinterest, TikTok, YouTube, Google et Bing ont été analysés, puis additionnés pour déterminer un volume de recherche total. Le classement européen comprend plus de 2 300 attractions dans 43 pays. Seuls les pays dont le territoire est principalement situé en Europe ont été pris en compte. L’Ukraine a été exclue du classement en raison de la guerre actuelle. Les petits pays comptent en moyenne 20 à 50 attractions évaluées, tandis que les grands pays en comptent entre 50 et 100.
La compagnie italienne Trenitalia entre pour la première fois en gare d’Avignon
Le Pastis de Marseille ou le savon de Marseille… dorénavant il faudra montrer patte blanche pour se revendiquer originaire de la cité Phocéenne. La ville de Marseille a lancé un appel à candidatures pour la délivrance d’un label « Fabriqué à Marseille ». Il s’agit de valoriser les savoir-faire artisanaux et industriels de la deuxième ville de France et d’en faire pour les entreprises labellisées un atout commercial.
Les alsaciens ou les bretons l’ont fait il y a belle lurette pourquoi Marseille ne serait pas aussi une appellation d’origine motivante pour les consommateurs ? Paul Ricard, un génie du marketing avant l’heure, avait trouvé pour le lancement de sa boisson anisée en 1932 cette formule exceptionnelle : « le vrai pastis de Marseille ». En utilisant « le vrai » il enterrait d’emblée les éventuels concurrents et surtout il donnait à sa boisson une image de produit associant soleil et convivialité. Une boisson « avé l’accent ». On pourrait se risquer à dire que si le Ricard n’était pas autant lié à la ville de Marseille son succès ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui.
De son côté si l’appellation savon de Marseille correspond d’avantage à un procédé de fabrication qu’à un lieu de production, la ville n’en reste pas moins mise en avant. Tout cela pour dire que les initiateurs de ce projet de label se sont appuyés sur un existant fort pour tenter d’aller plus loin. Et c’est bien vu.
Mais une ville peut-elle être aussi une marque et un facteur de développement pour les entreprises ? En tout cas beaucoup de produits sont liés au destin de la ville qui les a vu naître. Que seraient les lentilles sans Le Puy, les calissons sans Aix ou le nougat sans Montélimar ? La France a cette particularité (sans doute unique au Monde) d’avoir sur chacun de ses terroirs un ou plusieurs produits originaux qui en ont fait sa réputation. Mais qui aide qui ? Ainsi la ville de Dijon n’est-elle plutôt redevable à la moutarde que l’inverse ? Mais ne pinaillons pas et espérons que ce nouveau label (un de plus me diriez-vous ) soit à la hauteur des espérances et puisse permettre à des productions marseillaises de connaître un nouvel essor. Mais reste l’ambiance et l’esprit marseillais et ça ne peut pas faire l’objet d’un cahier des charges ou d’une normalisation et heureusement !
La compagnie italienne Trenitalia entre pour la première fois en gare d’Avignon
Shein, l’un des leaders mondiaux de la fast fashion, s’installe près du Vieux-Port à Marseille jusqu’au dimanche 3 novembre. Les férus de vêtements de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur pourront y découvrir diverses pièces révélant les tendances du moment.
« Osez la différence ! » C’est le message que veut porter le détaillant chinois de mode en ligne avec cette boutique éphémère qui a ouvert ses portes ce mardi 29 octobre et qui sera ouvert tous les jours jusqu’au dimanche 3 novembre de 10h à 20h. C’est la troisième fois que Shein investit la cité phocéenne.
Installé au 2 rue Henri Barbusse à Marseille, le pop-up store propose des vêtements mettant en lumière huit tendances mode visant la Gen Z (ndlr : personnes nées entre la fin des années 1990 et le début des années 2010) : Gothique, Balletcore, Clean Girl, Dazzling Diva, Sport Chic, Academia, Gorpcore ainsi qu’Office Siren. Afin de rendre l’expérience encore plus agréable, la boutique proposera aux clients de s’essayer à différentes esthétiques grâce à des jeux interactifs d’habillage virtuel pour tenter d’autre styles, voire oser un look complètement nouveau. Il sera également possible de personnaliser certains articles.
Afin que la visite du pop-up store soit le plus plaisant possible et d’éviter une attente trop importante pour y accéder, il est demandé aux visiteurs de s’enregistrer en ligne au préalable.
Jusqu’au dimanche 3 novembre. Ouverture de 10h à 20h. 2 rue Henri Barbusse. Marseille.
La compagnie italienne Trenitalia entre pour la première fois en gare d’Avignon
Grand Delta Habitat a inauguré, le 18 septembre dernier, la résidence Les Géraniums, 96 avenue de Merlan dans le 14e arrondissement de Marseille. L’un des bâtiments a été entièrement rénové et complété de trois autres bâtiments offrant 47 nouveaux logements pour un coût global avoisinant les 9M€.
De gauche à droite Michel Gontard, président de Grand Delta Habitat, La résidence Les Géraniums à Marseille, et l’inauguration des logements Copyright Sylvie Villeger
Avec ses 3 bâtiments neufs –A,B et D- et la réhabilitation de son bâtiment industriel, l’ancien moulin à grain d’Agrègue,– bât C- la résidence Le Géraniums propose 47 logements en DPE A (Diagnostic de performance énergétique). L’ensemble immobilier est dévolu aux étudiants et aux familles.
La résidence Les Géraniums se situe à proximité du campus universitaire et du stade de rugby de Saint-Jérôme. En étages, nombre de logements disposent d’une terrasse ainsi que de jardins privatifs en rez-de-chaussée. L’accès principal de la résidence ainsi que les entrées sont munies d’un système de vidéophonie et d’un contrôle d’accès.
Dans le détail Les bâtiments neufs A, B et D sont composés de 35 logements dont 16 T2 allant de 41 à 59 m2 pour des loyers allant de 300 à 506€ assortis de charges dans une fourchette de 42 à 50€ mensuels ; 10 T3 allant de 62 à 75m2 pour des loyers de 423 à 742€ et des charges de 56 à 69€ ; 9 T4 de 72 à 99m2 de 480 à 968€ et des charges allant de 62 à 81€. Quant au bâtiment rénové, le Moulin d’Agrègue, il se compose de 10 T3 de 60 à 76m2 pour des loyers allant de 370 à 522€ et des charges de 50 à 62€, tandis que les 2 T2 annoncent 52 et 60m2 pour des loyers allant de 355 et 410€ et des charges de 45 à 50€.
Côté stationnement 19 places sont situées en sous-sol -ainsi que 3 emplacements moto-, 28 sont matérialisées en extérieur dont 3 réservées aux personnes à mobilité réduite. Un espace deux-roues est organisé en accès direct depuis l’extérieur, au bâtiment D. Compter pour le loyer des stationnements privatifs en sous-sol de 25 à 35€ et en extérieur de 10 à 20€ mensuels.
Les 47 logements ont été livrés fin 2023. L’opération a été subventionnée par AMP Métropole et la garantie des emprunts prise en charge à 55% par la Ville. Le coût total de l’opération se monte à presque 9M€, plus précisément 8 994 660€.
L’événement s’est déroulé en présence de Denis Rossi – Conseiller Métropolitain délégué à la Politique de la Ville et du NPNRU Marseille, Marion Bareille – Conseillère Métropolitaine, Conseillère Régionale et Maire des 13e et 14e, Michel Gontard – Président de Grand Delta Habitat, Xavier Sordelet – Directeur Général de Grand Delta Habitat, les Administrateurs de la Coopératives ainsi que les équipes qui sont intervenus sur le projet et les locataires de la résidence.
La Résidence des Amandiers à Robion
Grand Delta Habitat a inauguré, le 20 septembre dernier, la résidence des Amandiers qui accueille 20 logements et se situe à proximité du centre-ville de Robion.La résidence locative Les Amandiers s’épanouit 525, avenue Aristide Briand. Elle est composée de 20 logements allant du T2 au T4.L’ensemble se monte à plus de 2,680M€.
Résidence Les Amandiers, Copyright Sylvie Villeger
Tir groupé Cette réalisation s’inscrit dans une série de réalisations dans la commune, dont la résidence Hameau Le Xavier (livrée récemment avec 10 logements) et les résidences Fourvière et Carré des Vignes, en cours de construction pour une livraison prévue d’ici 2025, totalisant 22 logements supplémentaires. Egalement, 4 villas neuves de 4 à 5 pièces, sur deux niveaux avec jardin sont actuellement proposées à la vente à partir de 260 000€ aux habitants dans le cadre d’un prêt social location accession (PSLA).
Les Amandiers Copyright Sylvie Villeger
La composition des Amandiers et les prix pratiqués La Résidence des Amandiers est composée des bâtiments A et B dotés, chacun, de 10 logements. Le Bâtiment A accueille 3 T2 ; 5 T3 et de T4. Les T3 se déploient sur 47m2 pour des loyers entre 307 et 332€ et des charges comprises entre 51 et 54€ ; 5T3 de 60 à 65m2 de 351 à 447€ et des charges comprises entre 62 et 65€ et enfin 2T4 de 86 à 90m2 de 467 à 511€ et des charges allant de 75 à 80€. Le Bâtiment B accueille quant à lui 7 T3 de 56 à 71m2 pour des loyers allant de 372 à 447€ et des charges de 59 à 70€, tandis que les 3 T2 proposent une surface de 307 à 331€ pour des charges allant de 51 à 54€. Le parking en sus est de 15€.
En tout Grand Delta Habitat compte plus de 2 600 logements sur le territoire de Luberon Monts de Vaucluse Agglomération.
Réhabilitation de l’espace Saint-Jean au Centre social Orel, à Avignon La réhabilitation de l’espace Saint-Jean au Centre social Orel, 1, rue Pierre Brossolette à Avignon, où réside et travaille l’association ‘Centre social de la Grange d’Orel’ a nécessité un investissement de 40 733€ sur les fonds propres de GDH hors programme de renouvellement urbain (NPNRU) qui est actuellement en cours dans le quartier Nord-Est d’Avignon. Cette réhabilitation concerne particulièrement l’amélioration de l’acoustique de la salle polyvalente pour en faire un espace mieux adapté aux activités culturelles, sportives et sociales.
Quartier Grange d’Orel à Avignon, Copyright Sylvie Villeger
Le Centre social de la Grange d’Orel accueille, en 2024, 1 125 adhérents, 17 salariés permanents plus d’autres en saison et utilise six lieux d’activité aux abords des quartiers de la Reine Jeanne, Saint-Jean Grange d’Orel et des Neuf Peyres. La structure regroupe le pôle enfance du Cours préparatoire à la 3e ; Les jeunes adultes de 16 à 25 ans ; Un club gym-danse ; Un collectif de familles ; Un secteur apprentissage, intégration, insertion professionnelle et socialisation ; Un club senior. Le NPNRU, dans ce quartier, concernera la démolition de 39 logements autour de la salle polyvalente du quartier de la Grange d’Orel et la réhabilitation de 260 logements sur la résidence éponyme. L’inauguration des travaux de réhabilitation de l’espace Saint-Jean au Centre social Orel a eu lieu le 13 septembre.
Les métiers de GDH Grand Delta Habitat est une Coopérative immobilière, engagée depuis près de 60 ans dans le logement social et l’accession à la propriété. Initialement centrée sur le Vaucluse et le Gard, notre expertise s’étend désormais aux Bouches-du-Rhône, aux Alpes-Maritimes et au Var. Avec 662 collaborateurs répartis dans 15 agences de proximité, elle propose des solutions d’habitat innovantes et adaptées aux besoins des collectivités. Les trois objectifs de GDH sont : favoriser la revitalisation des centres-villes, promouvoir la mixité sociale et créer des espaces de vie durables et accessibles pour tous.
Ses outils La coopérative procède à des études d’ingénieries urbaines pour les collectivités territoriales, construit, réhabilite et achète en Vefa (Vente en état futur d’achèvement) des logements sociaux et intermédiaires ; s’attèle à la gestion de copropriétés fragilisées ; fait de la prestation de services pour des tiers. GDH est un Organisme Foncier Solidaire et dans ce cadre est destiné à favoriser l’accession sociale sécurisée par un mécanisme de dissociation pérenne entre le foncier et le bâti. La structure propose également le prêt social location-accession –PSLA- permettant aux ménages sans apport personnel d’acquérir le logement qu’ils occupent avec un statut de locataire ; et enfin, le bail réel solidaire –BRS- qui permet de dissocier le foncier du bâti pour faire baisser le prix d’acquisition des logements.
Les chiffres Grand Delta Habitat au 31.12.23 215M€ de chiffre d’affaires. 125M€ investis. 93 300 personnes logées. 39 375 logements locatifs sur 194 communes, 7 départements et 3 régions. 805 logements livrés. 9 747 lots en gestion de copropriété. 662 collaborateurs. 158 ventes réalisées. 98,81% de recouvrement. 15 agences commerciales. 3,02% de logements vacants.
La compagnie italienne Trenitalia entre pour la première fois en gare d’Avignon
Ce jeudi 18 juillet, Renaud Muselier, président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Christophe Allain, directeur de la Police Nationale Sud et Cédric Esson, directeur interdépartemental de la Police Nationale, ont inauguré les deux vedettes maritimes au Vieux-Port de Marseille. Ces vedettes assureront la sécurité pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024.
Les Jeux Olympiques de Paris auront lieu du 26 juillet au 11 août, et les Jeux Paralympiques du 28 août au 8 septembre prochains. La France voit déjà sa sécurité renforcée pour l’occasion. Ce jeudi 18 juillet, deux vedettes maritimes qui participeront à cette sécurité ont été inaugurées par la Région Sud et la Direction zonale de la police nationale Sud à Marseille.
Les deux vedettes maritimes permettront, dans un premier temps, d’assurer la sécurité des épreuves de voiles à Marseille pendant les Jeux, puis seront, dans un second temps, déployées le long des côtes pour assurer la sécurité des touristes, des plaisanciers et des habitants.
Elles seront affectées aux brigades nautiques départementales de la Direction interdépartementale de la Police nationale (DIPN) des Bouches-du-Rhône et la DIPN du Var. Ces deux outils représentent un financement de 757 000€ de la part de la Région Sud qui a investi plus de 20M€ depuis 2021 pour les polices municipales et aux forces de l’ordre nationales, gendarmerie et police.