19 décembre 2025 |

Ecrit par le 19 décembre 2025

‘Panier des sens en Provence’, s’installe à Avignon et à l’Isle-sur-la-Sorgue

Panier des Sens en Provence, marque familiale de cosmétique d’origine naturelle made in Marseille vient de s’installer à Avignon, 7 place du change et à l’Isle-sur-la-Sorgue, 30, rue Carnot.

Son inspiration ? La douceur de vivre et le bien-être de la Provence ainsi que son engagement pour créer des soins naturels en collaboration avec des récoltants, producteurs et fabricants locaux dans le respect de l’environnement. C’est ainsi que les soins corps et visage contiennent entre 95% et 100% d’ingrédients d’origine naturelle. La nouveauté ? L’entreprise marseillaise vient de lancer une gamme de parfums d’intérieur naturelle et éco-conçue.

Avignon & l’Isle-sur-la-Sorgue
La franchise d’Avignon est dirigée par Philippe Richoux avec Virginie Belley, responsable de la boutique. Ils proposent de découvrir leur orgue à parfums, dans une ambiance conviviale assortie d’une remise de 10% des produits lors de cette soirée d’inauguration. La boutique Panier des sens à l’Isle-sur-la-Sorgue est tenue quant à elle par Sophie Lemoine.

Ce qu’on y trouve
Panier des sens propose de la cosmétique naturelle corps, visage, mains, savons et eaux de toilette ainsi que des eaux de toilette et des parfums d’intérieur. Les packagings sont recyclables et le développement des packagings recyclés représentent 13,9 tonnes de plastiques vierge économisé ainsi que 83% d’aluminium également recyclé. La marque s’est aussi lancée dans les shampoings et après-shampoings solides conditionnés dans des emballages papier ou carton issus de forêts gérées durablement. Les savons liquides et les gels douche sont vendus en vrac et disposent d’éco-recharges. Enfin, 1% du chiffre d’affaires réalisé par la collection des éco-recharges des savons liquides est reversé à deux associations de protection de l’environnement partenaires : France Nature environnement et Conservatoire d’espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Les infos pratiques
L’inauguration des deux lieux aura lieu respectivement mercredi 10 mai à 18h pour Avignon et mardi 23 mai à 18h30 pour l’Isle-sur-la-Sorgue.

En savoir plus
L’enseigne dispose de 17 boutiques dont 9 en propre comme Paris, Aix-en-Provence, Nice et Lyon et 3 franchises à Nancy, Avignon et l’Isle-sur-la-Sorgue. A l’international 5 boutiques en franchises sont implantées dont 3 en Chine et 2 à Hong Kong. Quatre sites Internet existent, outre en France, en Allemagne, en Italie et United States. D’autres ouvertures de boutiques sont encore prévues en France, en Allemagne et en Chine au cours de cette année.

Des corners aussi
Pour gagner en visibilité et en notoriété, l’enseigne a multiplié les partenariats auprès de plus de 3 000 points de vente au national comme à l’international avec les Galeries Lafayettes, au Printemps, au BHV, chez Globus, Ludwig Beck, takashimaya, Diamand ; En parfumerie chez Douglas, Nocibé, Monoprix, Une heure pour soi, beauty success ; En Travel retail –commerce de détail- chez Aelia Lagardère, Lotte/Shilla, BERetail ; En parapharmacie chez Monge, Aprium et Citypharma. www.panierdessens.com


‘Panier des sens en Provence’, s’installe à Avignon et à l’Isle-sur-la-Sorgue

Comme tous les deux ans, les géomètres-experts de la Région se sont réunis pour renouveler un tiers des élus qui composent le Conseil régional. La nouvelle équipe est composée du président Luc Lanoy –qui vient d’être réélu, entouré des membres du bureau : Martial Claret en qualité de Vice-Président, Bernard Masala, Hugo Petroni, Nathalie Marty, Morgane Lannuzel, Arnaud Deleval, Sarah Lefebvre, Philippe Manfredi. 

Par ailleurs, les géomètres-experts se mobilisent pour accompagner les collectivités face à l’objectif zéro artificialisation nette

«La sobriété foncière est aujourd’hui un enjeu majeur pour les collectivités, a indiqué Luc Lanoy. La loi Climat et Résilience impose aux Maires de diviser par deux leur rythme de consommation foncière d’ici à 2030, avant d’atteindre le zéro artificialisation nette en 2050. Les élus sont bien conscients qu’il faudra désormais composer avec cet objectif ambitieux et changer leur approche s’ils souhaitent continuer à développer l’attractivité de leur commune. En tant que spécialistes du foncier et de l’aménagement du territoire, les géomètres-experts les accompagnerons pour concevoir et mettre en place des opérations qui permettent de concilier ces deux objectifs.»

Augmenter le nombre de logement sans emprise foncière
Le président du Conseil régional de l’ordre des géomètres-experts de Marseille est notamment revenu sur les propositions que l’Ordre des géomètres-experts a transmises au Gouvernement, sur le sujet, au mois de février. Les travaux réalisés par la profession visent par exemple à imaginer des solutions pour augmenter le nombre de logements sur un territoire sans pour autant consommer d’espaces naturels, agricoles ou forestiers.

Crise du logement et enjeux climatiques
«À l’heure de la crise du logement et des enjeux liés au climat, il nous faut réfléchir à notre manière d’habiter le territoire et proposer des solutions très opérationnelles pour répondre aux défis d’aujourd’hui et de demain. En tant que géomètre-expert, nous sommes pleinement mobilisés aux côtés des collectivités afin d’améliorer le cadre de vie des habitants de tous les territoires, en ville comme en ruralité,» a rappelé Luc Lanoy.

Un nouveau site Internet
Christian Rouaix, le Secrétaire du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts a également présenté le nouveau site Internet de la profession : «Le site permet de simplifier les relations avec nos partenaires professionnels et fait le lien entre les besoins des particuliers et les réponses que nous pouvons leur apporter en tant qu’experts du foncier et de l’aménagement du territoire.»

Les chiffres de la profession
1 878 géomètres-experts sont inscrits au tableau de l’Ordre ; 2 205 établissements répartis sur l’ensemble du territoire. Une branche de 8 600 salariés structurée essentiellement en PME (petites et moyennes entreprises).

En savoir plus
Depuis 1946, l’Ordre des géomètres-experts est délégataire d’une mission de service public de régulation de la profession. Personne morale de droit privé créée par la loi du 7 mai 1946, l’OGE (Ordre des géomètres-experts) a pour vocation à représenter la profession auprès des pouvoirs publics, veille à la discipline, et s’assure de la qualité de service fourni aux consommateurs. Il est le garant du respect de la déontologie et des règles de l’art et agit, à ce titre, en tant qu’autorité indépendante. Depuis sa création, l’institution ordinale a évolué pour devenir une véritable instance de management stratégique de la profession. 
MH


‘Panier des sens en Provence’, s’installe à Avignon et à l’Isle-sur-la-Sorgue

Jeudi 8 décembre avait lieu la soirée Cote magazine mettant à l’honneur les FCE Région Sud avec la soirée ‘Femmes dirigeantes’. Direction le quartier de la Valentine à Marseille. Il pleut à verse et la nuit noire engloutit toutes les voitures passé l’étang de Berre. Arrivée au château de la Buzine, ancienne demeure d’Augustine, la maman de Marcel Pagno,l devenu un haut lieu de la culture. Au fil des pièces, des ouvrages, des films, et deux costumes de l’académicien veillent toujours sur ces vieilles pierres qui résonnent encore du pas de son enfance.

Nadia Esposito, la présidente des FCE Vaucluse nous propose un co-voiturage avec Charlotte Trossat, – fondatrice de Local en Bocal – qui part chercher son trophée dans la catégorie Environnement. Nous rejoindrons Isabelle Rimbaud –des imprimeries éponymes- ainsi que Catherine Conseil et Céline Charnay d’autres FCE venues également ovationner leur past présidente, Alexandra Farnos récipiendaire du Prix international. Les deux vauclusiennes se taillent –d’une pierre deux coups – un joli portrait dans ‘Cote magazine’ qui fête les femmes chefs d’entreprise du Sud-est et également les 35 ans des éditions Cote.

Valoriser le territoire et surtout ses acteurs
«‘Cote magazine’ a été fondé en 1987, relate Claude Henri Menu fondateur des Editions Cote et président du directoire pour mettre en valeur les territoires de la Provence et de la Côte d’Azur et les acteurs qui les constituent, «des hommes et des femmes essentiels à la réussite et au développement de ceux-ci. Nous récompensons les femmes cheffes d’entreprise, les architectes avec le trophée ‘ArchiCote’, ‘Cote Innov’ conçu en partenariat avec l’Union patronale des Alpes Maritimes et qui met en scène l’innovation. Nous avons créé, depuis maintenant 4 ans, avec le corps médical, ‘Les palmes de médecine’ pour mettre en exergue la richesse et la diversité de notre système de santé, trophée qui sera développé, bientôt, en Provence. Notre leitmotiv ? Réussir, se développer, investir et faire que notre territoire soit le plus beau des territoires. » La soirée était présentée par Benjamin Perles, le volubile directeur de Cote magazine.  

Claude Menu et benjamin Perles respectivement fondateur, dirigeant et directeur de Cote Magazine

Les FCE de la région Sud
La soirée a été organisée à l’initiative d’Anne Jegat, -directrice générale du groupe Someform, centre de formation- la nouvelle présidente des Femmes FCE de la région Sud. «Cette soirée est consacrée aux femmes chefs d’entreprise qui font bouger le territoire ainsi qu’à leurs amies et sympathisantes. Etre une FCE c’est être une femme formidable, engagée pour défendre son territoire aux côtés des hommes. C’est exigeant, ça demande beaucoup d’investissement. C’est la raison pour laquelle nous voulons les remercier et les mettre en valeur, ainsi que leurs activités. Merci à Cote Magazine de nous permettre de faire cette démarche.»

Helen traiteur
Charlotte Trossat, fondatrice de Local en bocal a reçu le trophée environnement des mains d’Eric-Helen Louis dirigeant d’Helen traiteur et de son fils Arnaud, entreprise située à Morières-lès-Avignon. «Ce qui nous tenait à cœur ? Le don alimentaire parce qu’il faut savoir dans notre métier, auparavant, nous n’avions pas le droit de donner les retours de réception, même s’ils n’étaient pas sortis du froid. Nous l’avons fait quand même parce que donner à manger à des gens qui ont faim est important. Guillaume Garreau, alors député des Yvelines en a fait son combat, notamment envers les supermarchés. Nous l’avons rencontré ce qui nous a donné l’occasion de signer un pacte contre le gaspillage alimentaire au niveau national pour l’ensemble des traiteurs. Dorénavant, nous avons le droit de donner aux associations partenaires avec l’accord préalable du client et sans qu’il y ait eu de rupture de chaîne du froid. Nous avons ainsi donné, cette année, plus de 1 200 repas.»

Eric Helen Louis et son fils Arnaud

Local en bocal
«Nous sommes ravis d’offrir ce trophée à Charlotte Trossat pour Local en bocal parce que nous sommes complémentaires, expliquait Eric-Helen Louis. Nous utilisons de mini légumes très esthétiques lorsque Charlotte fait le contraire et fait des miracles avec des légumes qui ne sont pas esthétiques.
«Merci à Cote Magazine et aux FCE, entame Charlotte Trossat également présidente du Critt agroalimentaire Provence-Alpes-Côte d’Azur-. Le gaspillage alimentaire existe depuis longtemps même s’il est désormais sur le devant de la scène. Malheureusement c’est toujours d’actualité avec des tonnes et des tonnes de légumes jetés, chaque année, en France et dans le monde. Ce gaspillage se fait souvent au niveau des exploitations agricoles. Pas par plaisir, mais parce que la société est trop habituée aux beaux légumes, jolis, propres et non tâchés. J’ai créé la conserverie artisanale Local en Bocal à Avignon –Agroparc-  il y a 7 ans, où nous ne travaillons qu’en bio. Nous achetons ‘les légumes moches’ aux agriculteurs pour en faire des soupes, des compotes, des tartinables… Des produits principalement commercialisés sous la marque ‘A côté’. Nous sommes par ailleurs impliqués dans l’inclusion puisque nous sommes entreprise d’insertion : les légumes moches créent des emplois !»  

Charlotte Trossat fondatrice de Local en bocal

Le prix international
« Nous avons été présidente FCE ensemble, réélues à la Chambre de commerce Région ensemble, c’est une belle histoire », relate Sylvie Plunian, présidente de la délégation FCE Marseille.
«C’est à la fois émouvant et inspirant d’être là, apprécie Alexandra Farnos, dirigeante de son entreprise depuis 2004. Quand je vois tous ces portraits de femmes, ces entreprises… J’ai trois mots pour définir ce trophée : une vocation, un métier et une reconnaissance. Petite déjà je voulais voyager et travailler à l’international. Ce que je voulais petite est aujourd’hui réalisé. J’ai toujours vécu et travaillé à l’étranger et y ait appris 5 langues. J’aime l’échange, la culture, au propre comme au figuré puisque je travaille dans les fruits et légumes où j’accompagne les producteurs bio, un peu partout dans le monde à se développer. J’arbore avec fierté mon insigne FCE dont je suis membre depuis 2017. J’ai été past présidente du Vaucluse et suis désormais ambassadrice et aussi Conseiller du commerce extérieur de la France, nommée par le 1er ministre Jean Castex grâce à Fabienne Joanny présidente FCE de Cannes qui m’a permis de postuler. Merci aux FCE et à Cote magazine. »
Plus de 150 personnes ont assisté et échangé ce jeudi 8 décembre à 19h, au Château de la Buzine, quartier de la Valentine à Marseille, lors de cette très élégante et conviviale soirée.

Sylvie Plunian remettant le prix international à Alexandra Farnos

‘Panier des sens en Provence’, s’installe à Avignon et à l’Isle-sur-la-Sorgue

C’est en septembre, dans le 10e arrondissement de Marseille au sein d’un parc de verdure de plus de 6 000 m2 que Well Place ouvrira sur plus de 1 300m2 la première maison de coworking médical en France.

Dédiée aux professionnels de santé : médecins généralistes, spécialistes, praticiens paramédicaux, thérapeutes, ouverte 6 jours sur 7 sur rendez-vous, de 7h à 21h, Well place offrira une quarantaine de salles de consultation, fournies d’équipements dernière génération mis à disposition des praticiens de manière évolutive, 6 salons d’attente, et surtout, tout un panel de services dans un environnement communautaire des soignants : de quoi accueillir une centaine de praticiens et 600 à 800 patients par jour.

Ouvertes à la location de manière évolutive
Pour une durée variable : à la demi-journée, journée, semaine, mois ou à l’année, selon les besoins de chacun, les 39 salles de consultation seront entièrement meublées, dotées de tables de consultation et de tous les équipements, dispositifs médicaux et consommables adaptés en fonction des spécialités. Elles offriront un cadre agréable pour les patients et seront adaptées aux praticiens qu’ils soient généralistes, spécialistes, paramédicaux ou thérapeutes : ostéopathes, diététiciens, psychologues, psychothérapeutes, orthophonistes.

Une expérience de travail inédite pour les professionnels de Santé
L’originalité de la formule ? Améliorer la qualité de vie au travail des professionnels de santé. Pour cela Well Place ambitionne d’installer ses maisons dans des espaces privilégiés -La première Maison Well Place se situe 166, rue François Mauriac dans le 10e arrondissement de Marseille et prévoit également des espaces partagés pour les praticiens  restauration avec cuisine équipée, terrasse végétalisée, salles de réunion, espaces de coworking, jardin paysagé, salles de repos ainsi qu’un panel de services : vestiaires, salles de douche, conciergerie personnelle et médicale, cours de sport, parkings privatifs, ainsi que des évènements : conférences, rencontres networking, ateliers et formations.

Des outils numériques 
Immeuble connecté, gestion des plannings via Doctolib, messagerie privée pour échanger entre praticiens, réservation des salles via une application dédiée, imprimantes connectées, soutien administratif : télé-secrétariat, services de comptabilité, portabilité, envoi et réception de courriers et services de ménage, pressing, réparation de voiture, livraison de repas pourront également être mis à disposition par une équipe de 10 personnes qui accompagneront au quotidien les praticiens qui le souhaitent.
«Soulager la charge mentale des praticiens est une des clés du concept précise Michaël Solal, co-fondateur et Directeur Marketing, Ventes et Santé de Well Place. Nous créons des outils et processus qui les aident à ne penser qu’à leurs consultations.»

Révolutionner le cabinet médical
«À l’heure où les professionnels de santé sont au bord du burn out et souffrent de plus en plus d’isolement, nous souhaitons révolutionner le cabinet médical, avec une offre 100% évolutive et surtout, un écosystème de santé unique, une communauté médicale ouverte à tous, permettant aux praticiens d’échanger entre pairs et retrouver l’esprit communautaire de leurs études. Car nous pensons que l’amélioration du parcours de soin passe par des conditions de travail optimales pour les praticiens et d’un accès direct à une communauté pluridisciplinaire avec laquelle échanger et évoluer. Notre offre facilite leur pratique afin qu’ils puissent se concentrer sur leur cœur de métier, le soin, en toute sérénité et convivialité. » explique Laurent Dahan co-fondateur et Président de Well Place.    

Témoignage
«Ce système va pouvoir permettre de dégager du temps pour les patients et de gagner en sérénité, précise Olivier Peyronel, médecin généraliste et urgentiste. A l’hôpital nous sommes dans un cocon. Tout est géré pour nous. Dès que l’on est en libéral, nous sommes livrés à nous-mêmes et rien n’a été préparé : les relations avec la sécurité sociale, les logiciels de médecine générale, la gestion des consommables, tout cela prend du temps. Je vais pouvoir tisser des relations privilégiées avec des spécialités avec lesquelles je n’avais pas forcément accès antérieurement. Cela va aussi me libérer des tâches du quotidien qui polluent ma pratique médicale ; permettre d’améliorer l’expérience praticien et patient.»

À propos de Well Place
Fondée en 2022 par Laurent Dahan, Président, Michaël Solal, Directeur Marketing, Ventes et Santé et Vincent Eriani, Directeur Technologies et Bâtiments, Well Place souhaite révolutionner le secteur du cabinet médical avec une offre unique en France dédiée aux médecins généralistes, spécialistes, paramédicaux et thérapeutes alliant location 100% flexible de cabinets équipés, espaces partagés, coworking, services bien-être et écosystème communautaire, visant à améliorer la qualité de vie au travail des praticiens de santé. Un concept unique en France : le premier établissement ouvrira ses portes en septembre 2022 à Marseille. D’autres ouvertures sont prévues en France courant 2023. 
166, rue François Mauriac à Marseille. 04 12 04 04 60 https://www.wellplace.fr/


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Vous rêvez d’écrire sans savoir par où commencer ? Votre projet est en cours et vous avez besoin d’aide ? Le bruit du monde, maison d’édition installée à Marseille propose un stage d’écriture avec Agnès Desarthe, essayiste, romancière et traductrice d’anglais qui a reçu de nombreux prix littéraires de vendredi 20 au lundi 23 mai inclus.

Les infos pratiques
Le stage d’écriture se tiendra, en mai, vendredi 20 de 18h30-21h30, samedi 21 de 10h à 13h, le dimanche 22 de 10h à 13h et lundi 23 de 18h30 à 21h30. Nombre de participants de 5 minimum à 10 maximum. 68, rue de Rome à Marseille, dans les locaux de la Maison d’édition. 600€ renseignement : contact@lebruitdumonde.com

Le programme
«En tant que lectrice, j’aime être dupe, avoir l’impression que des silhouettes se dressent hors des pages, depuis l’intérieur du récit, pour me rendre visite et occuper tout l’espace, révèle Agnès Desarthe

Commencer un texte
«Quand c’est moi qui écrit, quand je commence un texte, c’est bien souvent parce qu’un personnage s’est présenté à mon guichet. Parfois c’est énigmatique, je ne discerne qu’une partie du corps, à peine un visage. D’autres fois, à l’allure générale viennent s’ajouter une foule de détails biographiques. Le personnage débarque dans mon laboratoire avec son arbre généalogique sous le bras.»

Mener l’enquête
«J’aimerais explorer avec vous cette fabrique d’un genre particulier, dans laquelle l’auteur est à la fois le patron, le contremaître, l’ouvrier et le client. Nous nous appuierons, pour mener l’enquête, sur des textes variés allant de Simenon à Selma Lagerlöf en passant par Virginia Woolf, Flannery O’Connor, Guy de Maupassant ou Isaac Bashevis Singer.»

Faire face aux obstacles récurrents
«Nous affronterons ensemble les obstacles récurrents que sont les clichés et le poids de la sociologie, la tentation e la séduction et le risque de l’autoportrait. Nous verrons comment les dialogues peuvent s’avérer plus efficaces que certaines descriptions et nos écrirons ainsi, passant notre bras dans celui d’une créature de papier qui nous guidera mieux que nous ne saurions la guider.»
MH

Un premier lien avec Agnès Desarthe lors des correspondances de Manosque en 2018, évoquant son ouvrage ‘La chance de leur vie’.


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Quentin Bernard, pâtissier pour la boulangerie Lyse, à Cabrières d’Avignon, va tenter de décrocher le titre de champion de France de dessert ce mercredi 6 avril.

La finale nationale de la 48e édition du championnat de France de dessert aura lieu ce mercredi 6 avril au lycée Bonneveine à Marseille. Cette année, le concours est placé sous le thème de ‘L’expression de soi’. Pour cette finale, le vauclusien Quentin Bernard devra réaliser deux desserts à l’assiette pour un total de 10 personnes, et ce, dans un temps imparti de 4h50.

Le dessert panier fera l’objet de la première épreuve, dont le thème et les techniques seront imposés par le président du jury Angelo Musa, champion du monde de la pâtisserie. Lors de la seconde épreuve, les finalistes présenteront le dessert de sélection, celui qui leur a permis d’accéder à la dernière étape du concours.

Un concours Cultures sucre

Cultures sucre est une association interprofessionnelle, créée en 1932, du secteur betterave-sucre. L’organisme, qui informe sur le sucre, son origine et ses différentes utilisations organise le championnat de France de dessert depuis près de 50 ans. Ce concours est aujourd’hui reconnue comme une compétition de référence dans le monde qui entoure les métiers de bouche.

V.A.


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La compagnie aérienne espagnole Volotea ouvrait le 16 décembre 2021, depuis l’aéroport de Marseille-Provence, une nouvelle ligne aérienne à destination d’Oran en Algérie. Succès franc si l’on en croit le taux de remplissage de 93,8%.

La nouvelle ligne Marseille – Oran, lancée par Volotea avec deux vols par semaine, a connu un fort engouement entre le 16 décembre et le 14 février. La compagnie prévoit sur cette ligne environ 70 000 sièges par an. Une nouvelle ligne qui conforte sa position de 2ème compagnie aérienne au départ de l’aéroport de Marseille-Provence en termes de destinations desservies avec 21 lignes proposées, vers la France, l’Espagne, l’Italie, la Grèce, la Croatie, et l’Algérie.

Les billets sont ouverts à la vente en France sur le site de Volotea et sur l’ensemble des canaux de distribution. En Algérie, les clients pourront réserver leurs vols dans les agences de voyage. Céline Lacroix, responsable du Développement international de Volotea se réjouit : « Nous sommes très heureux du succès de cette nouvelle ligne vers Oran depuis notre base marseillaise, et nous sommes fiers d’avoir permis aux familles et amis de se retrouver à la réouverture des frontières aériennes après une longue période compliquée ».

Fondée en 2011 par Carlos Muñoz et Lázaro Ros, fondateurs de Vueling, Volotea est actuellement basée dans 18 capitales régionales européennes. La compagnie aérienne exploite une flotte de 41 à 45 appareils en 2022, contre 36 à l’été 2019. En 2022, Volotea prévoit un développement historique en Europe et la France représente près de 50% de l’activité de la compagnie.


‘Panier des sens en Provence’, s’installe à Avignon et à l’Isle-sur-la-Sorgue

«Dis, j’ai eu une dame au téléphone, Bernadette Camhi-Rayer, avec un groupe d’auteurs elle a créé une maison d’édition 100% avignonnaise, ‘Editions Réflections’. Elle m’a envoyé les livres, tu veux les lire et l’interviewer ? »

Le premier des deux ouvrages parvenus à la rédaction me tombe dans les mains. La couverture prévient : ‘Roman autobiographique’, le titre ? ‘Le père, le fils, et puis… Eva !’ Je suis dubitative car aujourd’hui, et surtout depuis le confinement, tout le monde écrit ‘son livre’ avec plus ou moins de bonheur pendant qu’Amazon se charge même de l’éditer, au nombre d’exemplaires voulu et à un prix défiant toute concurrence, plongeant dans l’abîme l’imprimerie et les librairies… Enfin c’est ce qu’on aurait pu croire. Car ce qui fait le succès d’un livre ? C’est sa promotion et sa diffusion. Et pour cela Amazon n’est sans doute pas le plus fort.

Les ventes de livres ont augmenté de 11% en 2020
Alors un bon livre et une maison d’édition en 2021 c’est plutôt téméraire ! Jusqu’à ce que je me rappelle qu’un livre est avant tout un univers, un auteur, souvent caché sous un pseudo, pour dire ce qu’il ne dirait à personne. Des histoires tragiques, comiques, mystérieuses, savantes, curieuses, bref un monde plus magique, plus grand, plus intelligent, plus imaginatif que celui des images, même si celui-là, aussi, on l’aime.

Un livre envoyé à la rédaction
J’entame donc ‘Le père, le fils, et puis… Eva ! Je commence presque par la fin, au moment où le couple de Marseillais prend son vélo pour faire le tour de tous les endroits où l’on accouche à Hô Chi Minh ville (ancien Saïgon) au Vietnam pour trouver et adopter leur enfant. Puis je remonte encore les pages, et lis l’épisode où le couple après avoir vécu 14 fausses couches, attend son premier enfant qui décèdera peu après sa naissance. Je remonte encore le fil de l’histoire et je tombe sur le décès du papa un dimanche matin et un fils à terre, qui se glisse dans sa posture de super-héros face aux suspectes combines des pompes funèbres.

Humanité
En un peu plus de 200 pages et une petite demi-heure je suis séduite par l’écriture et le propos. Je resitue le récit, lorsqu’il a vécu et vraisemblablement écrit ce livre l’auteur avait à peine 30 ans. Ce qui m’interpelle ? Dans les moments les plus difficiles de sa vie, alors qu’il fait l’expérience des plus sombres diagnostics pour ses proches, il maintient à distance ses émotions pour faire face aux situations les plus critiques, conservant sang-froid et humanité.

Le ton et l’écriture
Le ton est incroyablement léger et même profondément humain et optimiste. L’auteur détaille son parcours, son cheminement de pensée et son incroyable faculté à analyser et agir vite. A la fois très ancré dans le présent, il anticipe et reste rivé à son objectif : fonder, avec la femme de sa vie, une famille.

On a aimé
On a aimé ce livre-témoignage d’un homme qui parle de la mort de son père, des bonheurs partagés de la grossesse, les doutes aussi, puis de la mort du nourrisson et surtout de l’adoption d’un bébé aux portes de la mort –thème très présent dans le livre- au Vietnâm. L’ouvrage, sans doute écrit, réécrit et remisé dans un tiroir durant plus de 21 ans, date à laquelle l’auteur a demandé à sa fille le droit de le publier, offre d’accéder, en partie, à ce que sans doute les hommes ne disent jamais. Un ouvrage où chaque mot a été pesé, où l’aventure est retracée avec retenue, talent et élégance sans cependant en taire les écueils. On se doute que l’homme, devenu sexagénaire, n’aura pas délaissé sa plume, nous offrant, peut-être, la joie de le retrouver au fil d’autres aventures. En tout cas on l’espère.

Les infos pratiques
Le père, le fils, et puis Eva… de Raymond Ercé. ray.erce@orange.fr. Roman autobiographique. 202 pages. 20€TTC. Commander ici. Paru aux éditions Réflections. 4, rue Grivolas à Avignon. 06 18 63 51 70 www.editions-reflections.fr En savoir plus sur le livre ici.


‘Panier des sens en Provence’, s’installe à Avignon et à l’Isle-sur-la-Sorgue

Grand Delta Habitat et EDF ont signé une 2e convention ‘de la maîtrise de la demande d’énergie’ courant jusqu’à fin décembre 2025. Ambition ?  Réduire les consommations énergétiques des résidences. La coopérative s’est, dans un même temps, associée à 14 autres bailleurs de l’arc méditerranéen. Objectif ? Utiliser le levier des économies d’énergie via EDF pour développer les rénovations et réhabilitations dans le logement social.

La 1re convention avait été signée avec EDF en 2018 appuyée par Promotelec –association pour la promotion des usages de l’électricité dans le bâtiment résidentiel et le tertiaire- en charge du contrôle des dossiers de GDH.

Conseil d’administration
En mars 2021, Le Conseil d’administration de Grand Delta Habitat a décidé que d’ici 5 ans, 50% du patrimoine serait classé en A, B, C et 50% en D. En juin 2021, l’enveloppe pour les réhabilitations a été portée de 15 à 18M€.

5 000 logements revus
GDH est principalement intervenu sur 5 000 logements revoyant l’isolation des murs et des combles, l’isolation thermique par l’extérieur et des façades (ITE), le remplacement de chaudières par des dispositifs plus performants et l’isolation des toitures et terrasses, annihilant 60 000 tonnes de CO2 sur la période 2018-2021. Dans un même temps, l’étude des dossiers de travaux et le contrôle des travaux a permis à GDH d’obtenir presque 3M€ de la part d’EDF pour la période 2018-2020 via les Certificats d’économie d’énergie et de bénéficier de presque 1,4M€ pour l’année 2020.

Accompagnement avec EDF
«EDF accompagne le bailleur social dans cette démarche au moyen de la vente par GDH à EDF de Certificats économies d’énergies (CEE, anciennes primes d’économie d’énergie initié par le Gouvernement en 2005 via la Loi de programmation des orientations de la politique énergétique) », explique Yann des Longchamps, directeur EDF Commerce Méditerranée.

En clair ?
La coopérative GDH montre patte blanche pour les travaux envisagés puis réalisés obtenant la validation d’EDF puis son soutien sous la forme de primes délivrées après instruction et vérification des travaux relevant de l’économie d’énergie qui intervient sur les menuiseries, l’isolation, le chauffage et la régulation et les énergies renouvelables.

Dans le détail, pour passer de D à C et bien mieux encore
Grand Delta Habitat est intervenu sur 78 logements à la résidence Saint-Chamand, à Avignon, dont la construction date de 1972. Le bâtiment est ainsi passé de D à C après  plus d’1,7M€ de travaux dont 135 747€ de prise en charge EDF. Même mode opératoire pour la résidence de l’Oseraie construite en 1968, toujours à Avignon, pour 233 logements et l’investissement de presque 3M€ de la part de GDH et une aide EDF de 633 780€ pour un passage de D à C. Ça aussi été le cas de la résidence Portail Lançon à Orange pour 96 logements construits en 1963 un coût d’investissement des travaux de 1 316 707€ amoindris de 269 891€ d’aides et un passage de D à C. La résidence des Acacias construite en 1960 et accueillant 39 logements a été revue à hauteur de 702 000€ en bénéficiant d’un certificat d’économie d’énergie de 94 500€ et un  passage de D à C. Une belle réussite pour la résidence Le Ramadou, toujours à Orange, datant de 1982 composée de 35 logements dont les travaux à plus de 2,3M€ et 55 000€ d’aide ont permis le passage du bâtiment de E à B. Il faut dire que la résidence n’était plus habitée depuis plusieurs années ce qui a sans doute facilité grandement les travaux. La résidence Domaine Julian à Lapalud construite en 1963 et proposant 48 logements a bénéficié de 700 496€ dont presque 82 000€ d’aide, permettant le passage en DPE de E à C. Mention spéciale pour la résidence Mas Mathieu à Nîmes construite en 1955 pour un coût des travaux de plus de 1,4M€, dont 182 151€ d’aide et un passage de la lettre D à B. Enfin, la résidence La Source à Marseille construite en 1959 et proposant 193 logements a été revue à hauteur de plus de 7M€ ! Pour une aide de 250 485€ et un passage de D à C.

Diagnostic du patrimoine
Pour se faire une petite idée ? Au 30 septembre 2021, le patrimoine de GDH comprend 36,10% de son patrimoine en D ; 29,05% en C, 15,64% en A ; 10,55% en E ; 5,58% en B ;; 0,71% sont en F ; 0,01% sont en G tandis que 2,35% des bâtiments ne possèdent pas encore d’étiquettes.

En savoir plus

Changement de classification du DPE
La réforme du diagnostic de performance énergétique (DPE), passée en juillet 2021 a considérablement changé la donne d’une part sur le prix de vente mais également sur la location du bien puisque le dispositif évalue dorénavant la consommation énergétique du lieu et le taux d’émission de CO2 du logement.

Consommation primaire d’énergie et empreinte carbone
Le mode de calcul prend en compte le type d’énergie alimentant le logement –gaz, électricité, bois, fioul- (Ndlr : un logement chauffé au gaz ou au fioul est actuellement classé en F) ainsi que désormais l’isolation et le mode de chauffage. Cela induit un changement de classification qui, selon la Fnaim (Fédération nationale de l’immobilier) devrait bousculer le classement de 40% des biens, dans le privé. A l’étude ? La consommation primaire d’énergie qui dépend principalement de l’isolation et son empreinte carbone déterminée par les émissions de gaz à effet de serre calculées par rapport aux types d’énergie utilisée. Pour ces deux critères c’est la moins bonne note qui déterminera l’étiquette finale.

A compter de janvier 2022
A compter du 1er janvier 2022, l’affichage des deux étiquettes et de l’estimation du montant moyen des factures énergétiques du logement (une nouveauté du DPE) sera rendu obligatoire sur toutes les annonces immobilières. Également, alors qu’auparavant le DPE examinait 3 postes de dépenses : le chauffage, le refroidissement et la production d’eau chaude sanitaire, le nouveau DPE prend également en compte l’éclairage et la ventilation du bien.

Valeur verte
Pour les logements les moins performants F et G, un pictogramme ‘passoires énergétique’ apparaîtra en rouge rappelant que ces logements deviendront interdits à la location d’ici 2023, mesure introduite par le projet de loi Climat et résilience.

Changement de classification ?
Pour les particuliers, le Gouvernement les invite à se rapprocher du Comité français d’accréditation (Cofrac) permettant un diagnostic délivrant un DPE valable 10 ans et la recommandation de travaux énergétiques.

https://www.echodumardi.com/tag/marseille/page/3/   1/1