4 juillet 2025 |

Ecrit par le 4 juillet 2025

(Carte) Quelles sont les 10 rues les plus chères d’Avignon ?

À l’approche du printemps, le marché immobilier français semble connaître un léger regain, comme en Vaucluse notamment mais aussi dans de nombreuses grandes villes. Pour autant, il existe de fortes disparités selon les rues. Le site immobilier Se Loger vient de dévoiler son classement des rues les plus chères au m2 dans les 50 plus grandes villes de France. En Vaucluse, seule Avignon est concernée. Les prix les plus élevés y sont supérieurs à ceux de Nîmes mais restent très éloignés de ceux pratiqués à Montpellier, Aix-en-Provence ou bien encore Marseille.

Se Loger, leader spécialiste des portails immobiliers en France, vient de dévoiler son classement* des rues les plus chères dans les 50 plus grandes villes de France. Sans surprises, Paris est indétrônable : La Rue de Furstemberg (23 087€/m²) caracole en tête, suivie par le Quai des Orfèvres (23 054€/m²) et l’Avenue Montaigne (22 548€/m²). Le cœur historique parisien concentre à lui seul les cinq rues les plus chères de France.
« Dans les métropoles provinciales, certaines rues affichent toutefois des niveaux de prix comparables à ceux de certains arrondissements parisiens, explique www.seloger.com. C’est notamment le cas à Antibes (12 701€/m²) à Cannes (11 546€/m²), à Nice (11 892€/m²) ou encore à Cannes (11 546€/m²). »
Dans tous les cas cependant, Paris demeure la ville où le prix moyen du mètre carré atteint les plus hauts niveaux dans l’Hexagone (9 468 €/m²).

Marseille près de 2,5 fois plus chère qu’Avignon
Derrière ‘l’intouchable’ ville Lumière et le trio azuréen, Marseille tire largement son épingle du jeu. Dans la cité phocéenne (voir tableau ci-dessous), les rues du Castellet, Colline-Chanot, Emile-Duployet, l’impasse Blanc, les traverses du Génie et Nicolas ou bien encore le chemin de la Batterie du Roucas-Blanc affichent 8 475€ du m2. Juste derrière se situe la rue du Terrail (8 317€/m²).
De quoi devancer les rues les plus onéreuses d’Aix-en-Provence : la traverse du lavoir de Grand-Mère (7 955€/m²) ainsi que l’avenue Guiseppe Verdi (7 776€/m²).
Chez la ‘voisine’ aixoise, ces prix les plus chères s’échelonnent ainsi de presque 8 000€/m² à 6 899€/m² pour l’immobilier le plus ‘accessible’ situé avenue Jean et Marcel Fontenaille. C’est 1 500€ de plus qu’à Montpellier avec la rue des Loutres (5 300€/m²) et l’avenue Raymond-Dugrand (5 262€/m²).

Crédit : Se Loger

La cité des papes devance Nîmes
A Avignon les prix les plus hauts sont en deçà d’environ 1 200€/m² par rapport à ceux pratiqués à Montpellier (route de Vauguières : 4 841€/m²). Pour la cité des papes, (voir carte ci-dessous) c’est la rue Félix-Gras où se trouvent les prix immobiliers les plus élevés (3 656€/m²).
Ensuite, sans surprises, toutes ces rues se trouvent dans l’intra-muros : rue Saluces (3 492€/m²), rue de la Balance (3 445€/m²), rue Bouquerie (3 360€/m²), rue Joseph-Vernet (3 335€/m²), rue des Trois Colombes (3 273€/m²), rue Buffon (3 254€/m²), rue Bancasse (3 245€/m²) et rue de la Banasterie (3 242€/m²). A des années lumières des 81,81€/m² pour un T3 dans le quartier Monclar comme l’avaient évalué nos confrères de l’hebdomadaire Le Point dans une enquête publiée l’été dernier sur l’impact de l’insécurité en matière de valeur des biens immobiliers alors que l’on peut tabler sur un prix moyen de 2 500€/m² sur Avignon. Les prix les plus chères dans la cité des papes restent néanmoins supérieurs à ceux de Nîmes dont la fourchette du top 10 est comprise entre la corniche de l’Ermitage (3 136€/m²) et le chemin du Galinié (3 090€/m²).



Une France à deux vitesses
Malgré l’écart avec les villes les plus chères Avignon et Nîmes affichent des prix supérieurs à ceux de la moyenne nationale (3 078€/m²). Si les prix flambent dans certaines grandes villes françaises, il existe encore des rues dans le Top 50 où les prix restent davantage accessibles. Par exemple, à Saint-Etienne, la rue la plus chère (Rue Paillard) affiche un prix de ‘seulement’ 2 378€/m², soit 10 fois moins chère que la rue Furstemberg à Paris.
Parmi ces ‘bonnes affaires’, on retrouve également la rue du Congo à Tourcoing (2 224€/m²), la rue Barbanègre à Mulhouse (2 184€/m²), la rue Pierre-Raymond à Limoges (2 056€/m²) ou bien encore le rue de Séraucourt à Bourges (1 892€/m²).

L.G.

Méthodologie* :
Prix immobiliers Meilleurs Agents-Se Loger Mars 2025. Trois sources de données : base Notaires, DVF et les transactions communiquées par les agences immobilières partenaires de Se Loger.


(Carte) Quelles sont les 10 rues les plus chères d’Avignon ?

Face à l’évolution du secteur de l’ameublement, RBC, spécialiste du mobilier design et contemporain, annonce la fermeture de son showroom d’Avignon et la restructuration de celui de Montpellier.

Situé sur le boulevard St Roch à Avignon, le showroom du distributeur de mobilier design et contemporain RBC va définitivement fermer ses portes le mercredi 31 juillet. Ouvert depuis 2001, cet espace présentait une sélection de mobiliers et luminaires qui répondait aux attentes des particuliers, ainsi que des professionnels.

Face à un marché du meuble en pleine mutation, le groupe RBC, né en 1987, annonce donc une réorganisation stratégique de ses activités dans le Sud de la France, avec notamment la fermeture du showroom d’Avignon, et la restructuration de celui situé à Montpellier. Le groupe souhaite se recentrer sur ses espaces historiques du Sud, c’est-à-dire Montpellier et Nîmes, afin de garantir sa stabilité en concentrant ses expertises et ses ressources, garantir le meilleur accueil des clients, mais aussi pour répondre plus efficacement aux différents projets.

Avec ces changements, le groupe RBC, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 42M€ en 2023, ambitionne de renforcer sa croissance ainsi que de développer davantage les parts de marché récemment gagnées dans les secteurs de l’hospitality, des résidences de service et du tertiaire.


(Carte) Quelles sont les 10 rues les plus chères d’Avignon ?

55 000 visiteurs d’une soixantaine de nationalités pour le SITEVI, salon international des filières vitivinicole, arboricole et oléicole qui accueille 1 000 exposants venant de 18 pays dont majoritairement l’Espagne, l’Italie, la Suisse, le Portugal, mais aussi la Hongrie, l’Argentine, le Congo et l’Ukraine.

Le mot-maître est « innovation » pour répondre au défi climatique avec des végétaux résistants et économes en eau, une digitalisation qui aide à la gestion des cultures, une robotisation qui fait reculer la pénibilité des taches et pallie le manque de main d’œuvre. En bref, produire plus avec moins en s’adaptant à la crise et à l’évolution obligatoire des pratiques environnementales.

Au fur et à mesure de la visite des stands, l’innovation flirte avec la tradition avec des foudres de vin en chêne de la Forêt de Tronçay, des cuves en inox étincelant, d’autres en béton et en forme de tulipe et celles octogonales venues de Vérone en ‘cocciopesto’, un amalgame 100% naturel de sable, graviers, gruau utilisé par les Phéniciens et les Romains pour les amphores, les thermes et les aqueducs.

Sur 38 matériels nominés, 21 ont reçu les ‘SITEVI Innovation Awards’ dont 3 pour la maison Pellenc, créée en 1973 par Roger Pellenc, l’actuel maire de Pertuis. Depuis 50 ans, le Groupe invente, produit et commercialise des outils et des machines qui permettent aux viticulteurs, arboriculteurs et professionnels de l’entretien d’espaces verts et urbains de faciliter leur travail au quotidien. Cette démarche s’articule autour de la productivité, de la réduction de la pénibilité et du respect de la nature. Avec plus de 1 300 brevets déposés (sécateurs hydrauliques, souffleurs, peignes vibreurs, secoueurs intelligents, enjambeurs…), 1 800 salariés dans le monde dont la moitié en France, 20 filiales industrielles sur les cinq continents, 500 000 clients et 315M€ de chiffre d’affaires. 

Ont été primés le ‘RX-20’, un chenillard viticole électrique, léger et compact. Il passe entre les rangs de vignes sans tasser le sol, sans intervention humaine et il est sécurisé par 4 caméras à 360° de vision. Récompensée également : l’armoire ‘Sécurion’ qui permet de stocker et de recharger une quarantaine de batteries au lithium, tout en protégeant les locaux des risques de surchauffe, d’incendie et d’explosion. 3ᵉ médaille pour un convoyeur qui récolte des olives et des amandes sans frottement puisque les fruits sont déplacés par un flux d’air. « Face à la crise du vin, au réchauffement climatique et à la déconsommation du rouge, nous devons proposer des solutions nouvelles dans les parcelles et les chais », affirme Nicolas Bernard, directeur du département vitivinicole du Groupe Pellec à Montpellier.

Autre proposition, celle de Frayssinet, une entreprise née dans le sud-ouest en 1870 qui a mis au point des stimulateurs de croissance racinaire bio et innovants. « Ils permettent une relance du développement racinaire et une meilleure résistance en situation de stress abiotiques », explique Matthieu Grebot, directeur Communication et RSE. L’entreprise Actisol aussi avait son stand d’outils qui labourent le sol superficiellement. « En particulier le ‘Stell’Air Vigne’ qui propose des itinéraires sans herbicide avec des micro-jets entre les ceps, il évite l’évaporation et préserve la biodiversité », explique Freddy Socheleau, le patron. La société Ombrea est venue d’Aix-en-Provence avec ses tonnelles, pergolas, vérandas bio-climatiques, vitrages panoramiques et ombrières intelligentes.

Sun’Agri, le pionnier de l’agri-voltaïsme depuis 2009, est venu de Lyon pour proposer des persiennes solaires placées au-dessus des vignes et des cultures de fruits et légumes. La parcelle bénéficie d’un micro-climat optimal, face aux orages, au gel, à la grêle, à la neige, aux rayons brûlants du soleil, comme c’est la cas sur le vignoble expérimental de Piolenc. Enfin, Isagri est aux côtés des vignerons et paysans depuis 40 ans pour « leur faire gagner du temps dans leur gestion commerciale et comptable, réaliser le bulletin de paie de leurs salariés et saisonniers en un clic, gérer la traçabilité de leurs vins et leur fournir le meilleur service informatique possible, explique Bertille de Naquard. Ce n’est pas leur métier. Nous on est là pour les soulager, leur donner un coup de main. »

Au terme d’une journée passée entre tous ces immenses bâtiments, le laboratoire du futur, les masterclasses et ateliers, un ‘Accord-cadre 2023-2027’ a été co-signé par la Région Occitanie, l’Agence de l’Eau Adour-Garonne et le président de l’Institut Français de la Vigne et du Vin pour préparer l’avenir de la filière vitivinicole. Une filière dont Christophe Riou (ancien patron de l’Institut Rhôdanien à Orange) est directeur. Avec une stratégie incontournable, dit-il : « Innover pour rester. 93% de la production française est sous AOP (appellation d’origine protégée), ou IGP (Indication géographique protégée), ce qui représente 54 000 domaines pour 700 000 hectares de vignes. »

Il faut savoir que la France est la 1ʳᵉ puissance agricole européenne avec une production — hors subventions — de 95,8 milliards d’euros, en hausse de +16% par rapport à 2021.


(Carte) Quelles sont les 10 rues les plus chères d’Avignon ?

La Fondation d’entreprise GGL Helenis vient de frapper fort en rouvrant au public l’hôtel Richer de Belleval. Rénové, celui-ci abrite désormais un espace d’exposition, un restaurant gastronomique, un restaurant bistronomique et un hôtel Relais & Châteaux 5 étoiles.

Abandonné durant des dizaines d’années, la fondation a fait restaurer l’hôtel Richer de Belleval durant quatre ans par l’Atelier d’architecture Philippe Prost (l’Atelier de Ricou étant chargé de restaurer certains plafonds) et y a installé des œuvres d’art pérennes, sous la direction artistique de Numa Hambursin.

Un peu d’histoire
Niché sur la place de la Canourgue à Montpellier, l’hôtel Richer de Belleval fut érigé au XIIe siècle. Il fut successivement la propriété de Guilhem VI, seigneur de Montpellier, de Charles de Boulhaco, conseiller à la cour des comptes, puis de Pierre Richer de Belleval, botaniste qui recréa le jardin des Plantes de Montpellier et médecin d’Henri IV. De 1816 à 1975, l’édifice abrita l’hôtel de ville de Montpellier, avant de devenir une antenne du palais de justice jusqu’en 2010, puis d’être laissé à l’abandon.

Un palais aux multiples facettes
L’hôtel Richer de Belleval rénové accueille en son sein un espace d’expositions temporaires de prestige animé par la fondation GGL Helenis (promoteur immobilier). Deux à trois fois par an, des expositions d’illustres artistes contemporains nationaux et internationaux s’y tiendront. Des conférences pourraient également y être organisées. La première exposition temporaire est consacrée à l’Américain Jim Dine, qui a également créé une œuvre en céramique composée de 105 cœurs apposés sur le plafond du hall d’entrée, intitulée ‘Faire danser le plafond’.

Le plafond ‘Jim DIne’.

Côté gastronomie, des chefs étoilés ont investi le rez-de-chaussée et proposent une trentaine de couverts dans un décor luxueux, aux plafonds restaurés par l’Atelier de Ricou. La clientèle est accueillie par le plafond contemporain ‘Prima Materia’ réalisé à l’encre par l’artiste montpelliérain Abdelkader Benchamma. Evoquant les 4 éléments – terre, eau, feu, air –, cette œuvre s’étale en majesté sur une voûte.

Le plafond baroque du restaurant gastronomique.
Et celui imaginé par l’artiste montpelliérain Abdelkader Benchamma.

Et l’ancienne salle des mariages, avec son puits de lumière somptueusement enrichi par une œuvre composée de milliers d’élytres de scarabées créée par Jan Fabre, accueille quelques tables à destination bistronomique. Enfin, un hôtel 5 étoiles Relais & Châteaux de 16 chambres et 4 suites décorées par le créateur d’ambiances Christian Collot complète cet ensemble raffiné et de très haut standing.
« L’art de l’émotion » prôné par le directeur artistique Numa Hambursin est pleinement à l’œuvre dans de nombreux points de la bâtisse, et s’harmonise superbement avec l’architecture. Le pari d’inscrire les œuvres pérennes dans l’histoire de cet édifice est tenu. Visite des lieux…

L’Hommage à un esprit libre, de Jan Fabre, est sans doute l’œuvre la plus spectaculaire de l’hôtel. Située dans le lanternon, véritable puits de lumière du salon à l’italienne, elle retrace en relief l’histoire de Montpellier. Son panneau principal, serti de milliers d’élytres de scarabées aux reflets chatoyants, représente deux immenses phœnix tenant un serpent dans leurs serres. Il symbolise la renaissance de Montpellier après une longue période de peste, mais aussi la renaissance de l’hôtel Richer de Belleval. Les quatre autres panneaux symbolisent respectivement la médecine, l’histoire de Montpellier, l’ancienne destination du lieu, qui servait de salle des mariages, et Guilhem VI, qui fit bâtir l’édifice. Jan Fabre a offert 16 dessins préparatoires à la fondation. Ils sont exposés dans ce salon-bar bistronomique appelé à devenir le lieu « branché » de Montpellier.

Le travail de Marlène Mocquet.

L’hôtel Richer de Belleval croque la pomme avec délice grâce au plafond peint par Marlène Mocquet, agrémenté de hérons sculptés, perchés près des corniches. Une œuvre à regarder avec des jumelles (fournies) tant elle se situe en hauteur, et joliment intitulée Longue-vue. « Marlène Mocquet est l’une des meilleures artistes de sa génération », selon Numa Hambursin. Pour créer cette œuvre rappelant l’atmosphère des contes de notre enfance, l’artiste s’est inspirée des planches de botanique de Richer de Belleval, de la faune occitane mais aussi d’un dessert qui a fait les beaux jours des frères Pourcel, la Pink Lady pomme d’amour. Posées sur la corniche, des piles de pommes sculptées sont une grande tentation pour de petits animaux : écureuils, pigeons, colombes… Son œuvre cohabite harmonieusement et joyeusement avec les bustes des César.

Le vestibule revisité par Olympe Racana-Weiler.

Les murs et plafond du boudoir qui relie les chambres de l’hôtel 5 étoiles Relais & Châteaux ont été magnifiés par Olympe Racana-­Weiler. Des effets de matière, de all-over mais aussi quelques manques signent la présence de l’artiste peintre trentenaire dans cette œuvre immersive aux couleurs vives, envisagée comme une caverne où l’on trouverait des peintures pariétales. « Chouchou des critiques d’art parisiens, espoir de la peinture française, Olympe Racana-Weiler ­s’attelle ici à la question de l’abstraction à travers des recherches sur la couleur à l’acrylique et à la bombe », analyse Numa Hambursin.

L’exposition consacrée à Jim Dine.

Le patio et sa verrière agrémentée de lustres à l’ancienne mènent à l’espace d’exposition de la fondation GGL Helenis. L’exposition d’ouverture, consacrée à Jim Dine, s’y tient jusqu’au 4 décembre 2021. Agencée par l’artiste lui-même, « elle synthétise une vie de recherche, le parcours de cet artiste jusqu’à son œuvre magistrale, qui figure dans le hall d’entrée », indique Numa Hambursin. On y retrouve le motif récurrent du cœur, mais aussi des Vénus. Des gravures, tableaux et sculptures, comme la superbe Love and grief. Cet artiste fondateur du pop art avec Andy Warhol et Roy Lichtenstein a fait sien le motif du cœur et travaillé sur le néo­classicisme, là où d’autres s’intéressaient à la société de consommation et à la culture pop. 

Virginie Moreau pour RésoHebdoEco – © photos : Daniel Croci et Virginie Moreau

https://www.youtube.com/watch?v=LNxMqLYyzKM

Infos pratiques
Visitez gratuitement la galerie d’art de la fondation GGL Helenis du mardi au samedi de 10h à 12h30 et 14h à 18h30.
Attention, les 5 œuvres d’art (plafonds, vestibule) sont accessibles uniquement dans le cadre de visites guidées payantes.
Le restaurant gastronomique propose des menus allant de 120 à 240€.
Le Bistrot La Canourgue, ouvert 7 jours sur 7, propose pour sa part une offre bistronomique midi et soir dans la cour intérieure et sur la terrasse qui donne sur la place de la Canourgue. Le plat le moins cher est à 22€ (réservation conseillée).
Le tarif des 20 chambres de l’hôtel 5 étoiles Relais & Châteaux s’étale de 280 à 980€ la nuit.
hotel-richerdebelleval.com

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