2 juillet 2025 |

Ecrit par le 2 juillet 2025

Rencontre avec Thibault de Cacqueray, nouveau directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Thibault de Cacqueray est le nouveau directeur de cabinet de Thierry Suquet, le préfet de Vaucluse. Auparavant en poste à la Cour des comptes à Paris en tant qu’auditeur à la 4e chambre en charge des domaines de la sécurité, de la défense, des affaires étrangères et de la justice, il succède à Vincent Naturel nommé à la préfecture de police de Paris. Rencontre avec celui qui devient aussi sous-préfet du département.

A 31 ans, Thibault de Cacqueray vient de prendre ses fonctions de directeur de cabinet et de sous-préfet du département de Vaucluse. Si ce dernier a fait ses armes dans ‘la préfectorale’ du côté des Alpes-Maritimes dans le cadre de ses stages de l’ENA (promotion Molière 2018-2019), il reconnaît qu’il ne connaît pas particulièrement le Vaucluse même s’il est « très heureux de rejoindre le département ».

Un habitué des relations avec les collectivités locales
Originaire d’Agen et ayant grandi à Paris dans le XVIIIe arrondissement, il a travaillé avec Jean Castex lorsque que ce dernier était ‘Monsieur déconfinement’ puis ensuite lorsque ce dernier a été désigné Premier ministre. Thibault de Cacqueray était alors Conseiller territoires en relation tout particulièrement avec les collectivités.
« Lorsqu’il a été nommé Premier ministre, confirme le nouveau directeur de cabinet, il m’a effectivement emmené avec lui comme conseiller pour les relations avec les collectivités territoriales, la décentralisation, la ruralité, la politique de la ville, les sujets de territoires… On suivait des dossiers très locaux, des sujets qui lui étaient remontés lors de déplacements, pour lesquels il pouvait prendre des engagements, des sujets d’infrastructure. »
« A l’échelle de ma courte carrière à Matignon, mais j’ai énormément travaillé avec les élus. J’ai donc l’expérience des projets locaux qu’on doit mener à bien de manière partenariale entre l’État et les collectivités. »
C’est durant cette période, qu’il tissera tout particulièrement des liens avec Jean Castex qui a occupé le poste de secrétaire général de la préfecture de Vaucluse de 1999 à 2001. « Il a été particulièrement touché par le décès d’Eric Masson. Il est resté très attaché au Vaucluse et m’a dit que j’arrivais dans un formidable département. »

« J’avais très envie de repartir dans des fonctions opérationnelles sur le terrain. »

Thibault de Cacqueray, directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Ensuite, Thibault de Cacqueray rejoint la Cour des comptes il a « travaillé essentiellement sur des sujets de sécurité ». A ce titre, cet amateur de sport (il a fait partie des 300 spectateurs à avoir assisté à l’un des derniers matchs d’Arles-Avignon en ligue 2 au parc des sports en 2015 contre Créteil-Lusitanos avant la liquidation du club pro provençal !) a contribué à la rédaction d’un rapport sur les forces de police à Marseille et ‘planchera’ également sur les forces mobiles, les lycées militaires ainsi que plusieurs sujets régaliens.
« J’avais très envie de repartir dans des fonctions opérationnelles sur le terrain et donc de rejoindre une préfecture », précise-t-il pour expliquer son arrivée dans le Vaucluse. J’ai demandé un département qui aurait à la fois des enjeux importants pour un poste de directeur de cabinet et qui offrirait également un cadre agréable. Donc là, j’ai été vraiment servi, puisque quand j’ai appris que je partais dans le Vaucluse, cela a été une très bonne nouvelle. C’est un département très contrasté entre la vallée du Rhône et les zones montagneuses. »

Lutte contre que les narcotrafics et les violences intrafamiliales
Dans la lignée du préfet actuellement en place, le nouveau directeur de cabinet sait à quoi s’attendre en Vaucluse : « En travaillant sur la police à Marseille, on sait que les enjeux liés au narcotrafic et à la délinquance sont importants », reconnait-il.
« Depuis que je suis arrivé, j’ai pu voir l’importance de ce phénomène ainsi que du nombre de points de deal qui demeurent, poursuit-il. J’ai aussi pu constater la mobilisation totale de la police, des services de l’État, mais aussi de la gendarmerie, puisque sur une cinquantaine de points de deal, il y en a près d’un tiers qui sont en zone gendarmerie. »

Dans ce cadre, les actions de police administrative, avec les fermetures d’épiceries qui servent au blanchiment, devraient s’intensifier, tout particulièrement dans le secteur de la rue Thiers à Avignon. « Des épiceries de nuit qui ‘pourrissent’ également la vie des riverains par des troubles à l’ordre public et par des fermetures tardives. »

« J’ai appris en arrivant ici que les violences intrafamiliales étaient aussi extrêmement importantes, confie ce jeune marié sans enfant. Le directeur de cabinet précédent m’a dit que chaque nuit, lorsqu’on lui donnait la synthèse, au petit matin, il y avait 4 à 5 faits de violences intrafamiliales qui lui étaient rapportés. Donc, là aussi, ce sera un axe d’effort. »

« Il suffit de regarder la carte pour voir que c’est un département assez original. »

Concernant les particularités de ce département, avec une enclave dans la Drôme et un chef-lieu unique agglomération française à s’étendre dans 3 départements, 2 régions et 2 zones scolaires, Thibault de Cacqueray reconnaît qu’il suffit de regarder la carte pour voir que c’est un département assez original. Avec toute la population qui est un concentrée sur la partie ouest et la vallée du Rhône. C’est aussi quelque chose que l’on m’a tout de suite décrit avec un bassin de vie qui est à cheval sur 3 départements. C’est quelque chose que je prends en compte et que je vais vite découvrir à mon avis. Et les complexités des grands projets comme ceux de la LEO, j’en avais aussi eu vent à Matignon. »

« Les complexités des grands projets comme ceux de la LEO, j’en avais aussi eu vent à Matignon. »

Etre à l’écoute des revendications agricoles
Avec ses origines Lot-et-Garonnaise, le directeur de cabinet du préfet de Vaucluse avoue être particulièrement à l’écoute des revendications du monde agricole.
« Nous sommes dans un département très agricole et viticole, donc évidemment, nous serons à la fois à l’écoute des revendications tout en faisant en sorte que ces mouvements se passent le plus paisiblement possible. Nous serons là pour faire remonter les revendications et maintenir un dialogue permanent. Le préfet le fait lui-même mais je serai en appui pour aller en première ligne s’il me le demande. »
A peine arrivé, le nouveau directeur de cabinet a aussi dû faire face à la mise en place du plan grand froid en Vaucluse avec l’ouverture d’un centre d’hébergement exceptionnel à Avignon notamment.
Autre dossier brulant : la sécurité routière avec un mauvais bilan en 2024. Il y a ainsi eu 41 morts sur les routes de Vaucluse contre 28 en 2023 (dont 37% de 2 roues motorisés). Là encore, il annonce une mobilisation des services de l’Etat pour lutter contre ce fléau.

Laurent Garcia

Les missions de Thibault de Cacqueray
Collaborateur direct du préfet, le directeur de cabinet assiste ce dernier dans sa responsabilité du maintien de l’ordre public et de la sécurité sur l’ensemble du département. Il a pour missions essentielles : la lutte contre la délinquance, la protection des populations, le suivi des affaires réservées, notamment les relations avec les cabinets ministériels, et le pilotage de la stratégie de communication de l’État dans le département.
Il est l’interlocuteur direct de la police nationale, de la gendarmerie nationale, du SDIS, du SAMU, de l’autorité militaire, de l’autorité judiciaire et des services du ministère de la Justice.
Il s’attache à promouvoir les politiques de l’État dans le département en entretenant d’étroites relations avec les élus, les entreprises, les syndicats et le monde associatif.

Pour exercer ses missions, le directeur de cabinet a sous son autorité :
La direction des sécurités qui suit les questions relatives à l’ordre public, aux polices administratives, à la prévention de la délinquance, à la prévention de la radicalisation, à la sécurité routière, ainsi qu’à la défense du territoire et à la protection des populations.
Le Bureau de la représentation de l’État et de la communication interministérielle (BRECI) qui suit les affaires réservées, les décorations, la vie politique et élabore la stratégie de communication de l’État dans le département.
La déléguée aux droits des femmes.


Rencontre avec Thibault de Cacqueray, nouveau directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Le groupe Pellenc, concepteur, constructeur et distributeur de machines, d’équipements et d’outils pour la viticulture, la viniculture, l’arboriculture fruitière et l’entretien des espaces verts et urbains, basé à Pertuis, vient de nommer Thierry Carbonnel au poste de directeur Produits et de Pascal Moulinier au poste de directeur Recherche & Développement.

Le groupe pertuisien Pellenc commence l’année sur les chapeaux de roues et consolide son comité exécutif. Le jeudi 2 janvier, Thierry Carbonnel et Pascal Moulinier ont rejoint l’équipe et pris leurs fonctions en tant que directeur Produits et directeur Recherche & Développement.

Thierry Carbonnel est ingénieur INSA Lyon en énergie et environnement et diplômé d’HEC Paris d’un Master Innovation et Entrepreneuriat. Il a effectué une grande partie de sa carrière chez Renault Trucks où il a dirigé le développement de la gamme poids-lourds en Europe, Moyen-Orient et Afrique, et où il a lancé la première gamme commerciale de poids lourds électriques pour le marché européen. Il a aussi évolué au sein d’Air Liquide en tant que directeur Marketing et Business Support.

Pascal Moulinier, quant à lui, a exercé près de 35 ans dans le groupe Renault à différents postes sur les périmètres Ingénierie et Opérations, en France et à l’international. Il y a occupé des postes de Chef de Services, de Départements et de Direction qui l’ont amené à développer toutes les compétences autour des composantes de la Recherche & Développement.

« Les équipes sont ravies de pouvoir s’enrichir de leurs expériences respectives et de leurs expertises métiers complémentaires afin de renforcer la proximité client et la dynamique d’innovation, valeurs inscrites depuis toujours dans l’ADN de Pellenc », a déclaré le groupe vauclusien.


Rencontre avec Thibault de Cacqueray, nouveau directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Laurence Lelouvier, qui a rejoint l’équipe dirigeante de l’entreprise bucco-rhôdanienne de bâtiment et de travaux publics NGE en tant que directrice des Ressources Humaines en 2024, prendra également la présidence de ‘Plate Forme’, l’école de formation du groupe, dès le 1ᵉʳ janvier 2024.

Premier centre de formation d’apprentis (CFA) d’entreprise depuis septembre 2019, ‘Plate Forme’ est présente en France et au Maroc à travers 8 plateaux permanents. Chaque année, l’école de formation de NGE accueille plus de 7 000 collaborateurs en formation dans les métiers du bâtiment et des travaux publics.

Et ce centre de formation sera, dès le 1ᵉʳ janvier prochain, sous la présidence de Laurence Lelouvier, DRH du groupe NGE depuis quelques mois. Diplômée en management et développement des RH (IGS) et en finances et commerce (ESCP), Laurence Lelouvier a évolué ces 25 dernières années dans les secteurs du service tant à des postes de DRH qu’à des positions de cadre dirigeant opérationnel.

Elle a pris les commandes des ressources humaines de NGE, 4ᵉ groupe français de BTP basé à Saint-Étienne-du-Grès, à un moment où l’entreprise était en plein développement avec l’annonce d’un nouveau business plan 2024-2028 qui devrait porter le groupe en 2028 à plus de 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 30 000 collaborateurs dans une vingtaine de pays.


Rencontre avec Thibault de Cacqueray, nouveau directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Martin Harriague, nommé directeur du Ballet de l’Opéra Grand Avignon, succède à Emilio Calcagno.

Lors de la conférence de presse présentant Martin Harriague et sa nouvelle création America, le directeur de l’Opéra Grand Avignon Frédéric Roels n’a pas caché sa joie d’annoncer la nomination d’un chorégraphe dont il avait pu apprécier le travail en le programmant en 2021 avec Pitch, spectacle inspiré de la personnalité de Tchaïkovsky. « Le travail de son prédécesseur Emilio Calcagno a permis d’inscrire le Ballet comme une vraie compagnie sur la scène contemporaine, une compagnie qui compte dans le paysage de la danse nationale et internationale avec des créations, des tournées, pour preuve près de 30 dates en 2024 », a-t-il précisé. Et de rajouter : « Je me réjouis du choix de Martin Harriague retenu parmi plus de 40 candidats par les membres du jury, mais aussi par les danseurs et danseuses qui ont eu un temps de travail avec lui. Sa vision résolument engagée de la danse, en lien avec les personnes, les pratiques et le territoire, correspond à la vision que je défends moi-même d’un projet qui se frotte au monde actuel et interroge notre époque. » 

Le nouveau directeur de la danse du Grand Avignon ? Un passionné qui n’a pas froid aux yeux et qui assume sa fascination pour les États-Unis en présentant America pour sa première soirée de création. Mais attention, America est loin d’être un hommage à Donald Trump !

Pour cette première – qui s’inscrit cependant dans une continuité créative sur l’Amérique – il n’hésite pas à créer une chorégraphie autour du personnage de Donald Trump !  Mais attention la pièce a été créée bien avant l’élection de Donald Trump et participe à une démarche originale et singulière : il nous restitue toutes les questions inquiétantes que l’on peut se poser face à l’émergence d’une politique spectacle, face à un personnage certes haut en couleur, mais glaçant. 

Quelles que soient nos opinions sur Donald Trump ou plus largement sur les États-Unis, cette pièce ne laissera personne indifférent et le débat pourra se poursuivre, les questions soulevées pendant 1heure de spectacle auront peut-être une réponse, sur la piste de danse aménagée dans le Grand Foyer de l’Opéra. 

Rencontre avec Martin Harriague, nouveau directeur du Ballet de l’Opéra Grand Avignon 

« J’aimerais amener le Ballet vers d’autres écritures plus sophistiquées, engagées, vers « une danse qui danse », virtuose, physique qui n’a pas peur d’être musicale et pourquoi pas narrative parfois. Je pense qu’on peut avoir une pièce contemporaine qui raconte une histoire, amener un public à rêver, mais aussi à s’interroger. J’ai choisi une Nation comme figure féminine pour m’inscrire dans la programmation ‘Femmes !’ de l’Opéra. Et le directeur Frédéric Roels m’a donné carte blanche, m’a fait confiance pour ainsi proposer America et en mai 2025 United Dances of America où je présente trois chorégraphes américains.

Donald Trump, ce n’est pas de l’admiration, c’est une sorte d’obsession

« Je suis basque, mais depuis toujours, je suis fasciné par les États-Unis. On peut dire que c’est Michael Jackson qui m’a donné envie d’être sur scène. America s’inscrit dans un cycle et devient non pas un best of, mais plutôt le contraire, un « worst of » de mon travail sur Donald Trump. J’ai en effet créé une douzaine de pièces sur Donald Trump. Ce n’est pas de l’admiration, c’est une sorte d’obsession. J’ai démarré en 2016 un travail autour de sa voix, j’ai étudié sa manière de s’exprimer, sa rhétorique simpliste, les mots utilisés, la manipulation du langage. Tout cela devient la bande son du spectacle. 

America, une pièce explosive résolument engagée 

« Je ne donne pas mon opinion, je veux poser des interrogations en dansant sur des fragments sonores de discours présidentiels. C’est triste à dire, mais la voix de Donald Trump est riche, la musicalité de son langage enrobe la grossièreté de ses mots. Le personnage est glaçant, ses discours délirants, mais il y a aussi une autre Amérique à montrer.

Et en projet ? Peut-être une tournée aux États-Unis avec le Ballet de l’Opéra ?

Et la fête continuera en dansant

À l’occasion de la Première du spectacle America, la soirée se poursuivra au Grand Foyer de l’Opéra transformé pour l’occasion en dancefloor aux couleurs des USA. Le DJ Arthur Richard sera aux platines pour nous faire danser sur des musiques disco et funk américaines ! Arthur Richard est un DJ avignonnais qui a fait ses débuts avec Cédric Benoit, il y a 4 ans. Passionné de musique, il alterne musique électronique et house des années 90. Depuis 2 ans maintenant, il est l’unique DJ à se produire place Crillon à Avignon devant 2500 personnes, à l’occasion de la fête de la musique. L’accès à cet after America est gratuit et réservé aux détenteurs du billet du spectacle du samedi 30 novembre 2024. Le Bar de l’Opéra Grand Avignon sera ouvert jusqu’à minuit.

Samedi 30 novembre. 20h. Dimanche 1er décembre. 16h. 5 à 30€. Opéra Grand Avignon. 4 Rue Racine. Avignon. 04 90 14 26 40.


Rencontre avec Thibault de Cacqueray, nouveau directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Le Crédit Agricole Alpes-Provence vient de nommer Alexandre Turquet et Mathieu Bourges au sein de son comité de direction. Ils l’intègrent respectivement en tant que directeur du réseau de proximité et directeur des finances et de l’environnement de travail.

« Ces deux nominations traduisent l’engagement du Crédit Agricole Alpes Provence à renforcer son équipe dirigeante pour répondre aux enjeux de développement, de performance économique et sociétale au service du territoire et de la satisfaction de ses clients et clients sociétaires », explique la banque coopérative présente dans le Vaucluse, les Bouches-du-Rhône et les Hautes-Alpes.

« Notre priorité est de renforcer la satisfaction clients en s’appuyant sur notre modèle coopératif et mutualiste résolument moderne. »

Alexandre Turquet, directeur du réseau de proximité

Alexandre Turquet rejoint le Crédit Agricole Alpes-Provence après une carrière de plus de 22 ans au sein du LCL, où il a occupé plusieurs fonctions de direction. Diplômé en 2007 du CESB de HEC Paris en Management des Activités Bancaires, il débute en tant que conseiller en agence en 2002. Il évolue au poste de directeur de groupes d’agences à Paris en 2008, avant de devenir responsable du développement commercial en 2013 et en 2014 chef de projets stratégie sur la transformation du modèle distributif LCL puis sur des projets d’optimisation du pilotage des Risques.
En 2019, Alexandre Turquet devient directeur du développement du Réseau LCL Méditerranée, basé à Marseille, où il pilote la transformation et le développement des agences et sites de Banque Privée des régions Sud, Languedoc-Roussillon et Corse. En 2022, il prend la responsabilité de la direction régionale des Bouches-du-Rhône, 42 agences et 6 centres d’affaires, au service de plus de 220 000 clients, professionnels et petites entreprises.
Fort d’expériences managériales, d’expériences terrains et d’une connaissance de notre territoire, son impulsion stratégique est aujourd’hui un atout pour notre banque coopérative.
« Notre priorité est de renforcer la satisfaction clients en s’appuyant sur notre modèle coopératif et mutualiste résolument moderne, explique-t-il. Nous avons la responsabilité d’apporter le meilleur de la relation humaine et des services digitaux pour garantir une relation de proximité. Tout cela, dans un objectif d’utilité et de soutien au développement de nos territoires et du financement de l’économie locale. »

« La solidité du modèle mutualiste doit nous permettre de renforcer notre rôle de soutien économique du territoire. »

Mathieu Bourges, directeur des finances et de l’environnement de travail

Fort de 17 ans d’expérience au sein du Crédit Agricole Alpes-Provence, Mathieu Bourges a pour sa part évolué au sein de l’entreprise depuis son arrivée en 2007. il a occupé des postes clés tels que trésorier et contrôleur de gestion de 2012 à 2020. En 2021, il devient adjoint du directeur du marché des entreprises et de la Banque privée, un rôle stratégique qu’il a occupé pendant plus de trois avant de prendre, en octobre 2024, la direction des finances et de l’environnement de travail.
Mathieu Bourges est ingénieur ENSIMAG (Grenoble INP, 2007). Il est également titulaire d’un master en mathématiques appliquées de l’Université Aix-Marseille, et d’un master en sciences actuarielles de l’Institut de science financière et d’assurance  (ISFA). Il possède une expertise dans le domaine financier et une connaissance approfondie du territoire et de ses acteurs.
« Dans un contexte marqué par d’importantes évolutions sociétales, technologiques et réglementaires, la solidité du modèle mutualiste doit nous permettre de renforcer notre rôle de soutien économique du territoire. Cette mission est une belle opportunité de conjuguer performance commerciale et responsabilité économique au service de notre territoire et de nos clients. »


Rencontre avec Thibault de Cacqueray, nouveau directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Le groupe Bconnex, basé à Saint-Rémy-de-Provence et spécialisé dans les services et solutions IT (Information Technology), fait évoluer son équipe de direction et annonce la nomination d’Adeline Fruneau en tant que responsable RSE (Responsabilité sociétale des entreprises).

La nomination d’une nouvelle responsable RSE s’inscrit dans le cadre de la transformation du groupe Bconnex et du lancement de son nouveau plan stratégique de croissance. Adeline Fruneau avait intégré Connexing en 2018, racheté depuis par BetooBe devenu Bconnex, où elle a occupé différents postes, dont celui de Chargée de projet marketing.

En tant que responsable RSE, Adeline Fruneau devra définir la gouvernance et la stratégie RSE du groupe en auditant les différentes entités du groupe afin de dresser un bilan carbone exhaustif.  Elle pourra ensuite proposer des pistes d’amélioration visant à tendre vers une approche zéro carbone. En parallèle, elle engagera des démarches de re-certification et certification auprès d’organismes de référence. Dans ce contexte, un processus de re-certification B-Corp est lancé pour l’entité Connexing et une démarche de certification du groupe va être initiée auprès d’Ecovadis, qui donne les moyens aux entreprises d’accélérer leur parcours RSE.

La nouvelle responsable RSE jouera un rôle central pour accompagner le groupe dans sa démarche numérique responsable. « Avoir un impact positif est au cœur de notre stratégie, déclarent Julien Fournier et Sébastien Reverdy, co-fondateurs de Bconnex. Nous souhaitons constituer une équipe dédiée RSE qui devra définir et mettre en œuvre des projets à impacts aussi bien pour notre organisation que chez nos clients en leur permettant de gérer tout le cycle de vie de leurs flottes mobiles : sourcing, recyclage et seconde vie. Adeline a toute notre confiance pour répondre à ce projet et à ce challenge pour notre groupe. »


Rencontre avec Thibault de Cacqueray, nouveau directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Lucienne Claustres-Bonnet, ancienne infirmière libérale à L’Isle-sur-la-Sorgue, vice-présidente de l’Association des infirmières, membre du Conseil National de la profession Infirmière et du Conseil d’administration de la Communauté Professionnelle Territoriale de Santé (CPTS) du Pays des Sorgues et Luberon, et experte auprès de la Haute autorité de santé, vient de se voir remettre la distinction de chevalier de la Légion d’honneur.

Le lundi 10 juin, Renaud Muselier, Président de la Région Sud, a remis la distinction de chevalier de la Légion d’honneur à la L’Isloise Lucienne Claustres-Bonnet. L’ancienne infirmière libérale a été en première ligne durant la crise de Covid-19. Elle s’est engagée quotidiennement pour venir en aide aux patients, notamment aux côtés de la Région Sud, elle s’est mobilisée pour l’ouverture des centres de dépistages et de vaccination, mais elle a aussi apporté du matériel de protection aux personnels de santé exposés au virus sur le terrain.

Lucienne Claustres-Bonnet, a joué un rôle important pour la place des infirmiers dans l’accès aux soins de proximité et d’urgence grâce au développement de la télémédecine. Un projet auquel la Région Sud a participé, et qui a permis de faire naître le statut d’Infirmiers Correspondant Samu en décembre 2023. Accompagnée par la Région Sud, elle a aussi répondu à l’Appel à manifestation d’intérêt du Ministère de la Santé en 2020 sur le vieillissement, avec la création d’un Gérontopôle Sud.

Après avoir été présidente de l’Union régionale des professionnels de santé (URPS) Infirmière PACA de 2016 à 2021, Lucienne Claustres-Bonnet se consacre aujourd’hui au projet ICOPE, un programme développé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour prévenir la dépendance des personnes âgées, qu’elle pilote dans trois CPTS de la région.


Rencontre avec Thibault de Cacqueray, nouveau directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Samuel Marc, président du groupe industriel vauclusien Fénix Evolution, basé à Gargas, vient d’être nommé coordinateur des régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Occitanie pour le club des Forces françaises de l’industrie (FFI).

Les Forces françaises de l’industrie ont souhaité se renforcer en régions. A la suite d’une rencontre entre ses fondateurs et le vauclusien Samuel Marc en septembre 2023 et d’un événement organisé par Samuel en Vaucluse autour de la réindustrialisation du département en mars dernier, auquel était présent Arnaud Montebourg, ancien ministre de l’Économie et entrepreneur actif au sein des FFI, le président de Fénix Evolution a été nommé coordinateur des régions Paca et Occitanie pour le club des FFI.

« Quand Laurent Moisson (cofondateur des FFI) m’a fait part de l’ambition des Forces françaises de l’industrie de s’impliquer davantage en régions, j’ai tout de suite voulu m’investir dans le projet. »

Samuel Marc

Issu d’une famille travaillant dans le milieu du nucléaire, Samuel Marc s’est quant à lui dirigé vers le secteur de l’agroalimentaire. Après une première entreprise, Délisucré, qui avait obtenu en 2016 le prix de l’innovation du Salon international de l’agroalimentaire (SIAL) pour une gamme de produits sucrants adaptés aux personnes diabétiques, Samuel Marc a fondé le groupe industriel Fénix Evolution en 2020. Basée à Gargas, l’entreprise est spécialisée dans la revalorisation des fruits locaux déclassés. La société gargassienne travaille notamment avec le Groupe Perret pour créer une nouvelle génération de bio activateurs à base de ferments lactiques afin d’activer et régénérer la fertilité des sols.

Samuel Marc a donc à cœur de réindustrialiser les zones rurales, c’est d’ailleurs l’une de ses missions au sein des FFI. En tant que coordinateur régional, il aura pour missions d’organiser les Nuits de l’industrie à travers quatre événements majeurs afin de valoriser le savoir-faire français. « Cette série d’événements aura pour but final la création d’un livre blanc sur l’état de la réindustrialisation en France », développe Samuel Marc. Le Vauclusien devra également promouvoir le réseau FFI à l’échelle régionale afin de tisser des liens solides et durables, mais aussi faciliter l’implantation et le développement des industries en zones rurales et contribuer à leur dynamisme économique.


Rencontre avec Thibault de Cacqueray, nouveau directeur de cabinet du préfet de Vaucluse

Emmanuelle Germani a été nommée directrice des ressources humaines du groupe avignonnais KP1, spécialiste français de la préfabrication qui fait partie des 200 entreprises françaises leaders de l’innovation en 2024. Elle a succédé à Anne-Marie Champain en avril dernier.

Diplômée d’un Master en Économie et Gestion à l’Université Aix-Marseille et d’un Master en Management des Ressources Humaines à l’IAE Aix-Marseille Graduate School of Management, Emmanuelle Germani rejoint le groupe KP1, basé à Avignon. Elle se définit comme une DRH « multicasquette », aux périmètres élargis à la RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) et au pilotage de projets IT. Au cours de sa carrière, elle a évolué dans différents secteurs d’activité, de la mode aux Télécoms, en passant par la publicité ou encore l’Économie Sociale et Solidaire.

« Je remercie les équipes pour leur accueil chaleureux, je suis ravie de m’inscrire dans ce projet enthousiasmant afin de poursuivre une politique RH engagée et porteuse de sens », a déclaré Emmanuelle Germani, qui a été enthousiasmé par la dynamique d’innovation de KP1, qui fait d’ailleurs partie des 200 entreprises françaises leaders de l’innovation en 2024, ainsi que par sa position sur les sujets RSE.

Emmanuelle Germani est également Vice-Présidente de l’Association nationale des DRH (ANDRH) et membre du bureau de l’ANDRH Provence. Elle est aussi membre de la Convention des Entreprises pour le Climat, intervenante au sein du Master RH-RSE d’Aix-Marseille Université, et initiatrice du livre blanc Les DRH face à l’urgence climatique.

https://www.echodumardi.com/tag/nomination/page/2/   1/1