11 mai 2024 |

Ecrit par le 11 mai 2024

La légende Callas fascine toujours autant, 100 ans après sa naissance

Il y a tout juste un siècle, le 2 décembre 1923, naissait à New-York Sophia Cecilia Kalogeropoulos, dite Maria Callas. Un nom qui claque dans l’histoire de l’opéra, un mythe, une icône, une voix qu’on reconnaît entre toutes, à la fois forte et fragile, un phrasé, une fêlure, une tessiture, une virtuosité à nul autre pareils.

46 ans après sa mort, à Paris dans son appartement du XVIᵉ arrondissement, le monde entier, radios, TV, presse écrite se souvient et rend un hommage appuyé à la diva. Celle qui a incarné à La Scala, aux Arènes de Vérone, à Londres et à Paris Norma (avec le tube Casta Diva), Violetta (dans La Traviata), Lucia de Lamermoor, Rosina (dans Le Barbier de Seville), la Gioconda et Leonora (dans Le Trouvère). Qui a aussi tourné Médée en 1969 avec Laurent Terzieff, sous la direction de Pier-Paolo Pasolini.

Statufiée vivante, elle continue à fasciner et nombre d’entretiens, interviews, reportages sont rediffusés cette semaine, à l’occasion du centenaire de sa naissance. Comme Maria by Callas (2017) de Tom Volf. Un film réalisé à partir d’archives rares, de bobines de 16mm, méticuleusement restaurées et colorisées en 4K. La quintessence de l’opéra, un concert unique, donné le 19 décembre 1958 à Paris, en présence du Président de la République, René Coty, de Brigitte Bardot, de Jean Cocteau, de Charlie Chaplin, de Gérard Philipe. Elle y apparaît notamment drapée dans un velours rouge avec une rivière de diamants. 

Et c’est une voix off au timbre unique elle aussi qui commente, celle de Fanny Ardant, parfois en colère, parfois au bord des larmes quand elle lit les lettres de Maria Callas sur sa vie tumultueuse, volcanique, souvent tragique. Fanny Ardant qui a aussi tourné avec Jeremy Irons Callas for ever de Franco Zefirelli.

2 émissions-hommages lui seront consacrées la semaine prochaine : Vissi d’Arte sur Arte ce vendredi 8 décembre à 21h05 et Fauteuils d’Orchestre, le même soir à 21h 45.


La légende Callas fascine toujours autant, 100 ans après sa naissance

Ce dimanche 3 décembre, le cinéma Capitole MyCinewest, au Pontet, diffusera Callas – Paris, 1958 dans une séance unique. Maria Callas, le visage de l’opéra du XXᵉ siècle, est le sujet central de cette projection, qui entre dans le cadre du 100ᵉ anniversaire de la diva.

Callas – Paris, 1958 est le documentaire de la soirée légendaire qui marque les débuts de Maria Callas à Paris, avec cette représentation iconique à l’Opéra de Paris le 19 décembre 1958, à laquelle le ‘Tout-Paris’ à assisté, incluant notamment le président Coty, Jean Cocteau, le duc et la duchesse de Windsor, Charlie Chaplin, ou encore Brigitte Bardot.

Diffusées pour la première fois entièrement en couleurs et en 4K, ces images ont été méticuleusement restaurées à partir des bobines 16 mm originales récemment découvertes et d’une source sonore nouvellement découverte.

Réservation en ligne ou sur place. 10€ (8€ tarif réduit).
Dimanche 3 décembre. 16h30. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


La légende Callas fascine toujours autant, 100 ans après sa naissance

121 levers de rideau, dont 22 séances scolaires, 10 productions lyriques et 2 nouvelles créations chorégraphiques du Ballet. Tous les indicateurs sont au vert pour amorcer cette nouvelle saison de l’Opéra Grand Avignon qui s’annonce « Magique ! »

La reprise de fréquentation – après Covid, après travaux — s’est définitivement sentie à partir de janvier. L’Autre Scène de Vedène commence à être repérée avec une programmation ciblée et particulière. Le système de navette gratuite vers Vedène mis en place et l’offre de petite restauration, avant et après les spectacles — avancés à 20h — a bien fonctionné.

Les productions du Ballet dirigé par Emilio Calcagno démarrent une vraie reconnaissance internationale et tournent en France et à l’étranger. Tout est en place pour aborder une saison qui sera éclectique grâce à la complicité de nombreux partenaires culturels — et d’une équipe de près de 130 agents permanents à l’Opéra — mais surtout magique car elle nous transportera dans d’autres univers.

La magie ? C’est l’art de la transformation mais aussi celui de la séduction

« Le spectacle vivant a la capacité de transformer le monde, transformer les gens, faire appel à des forces qui nous dépassent, nous émerveillent, qu’on ne comprend pas toujours », s’explique Frédéric Roels, directeur de l’Opéra Grand Avignon. Mais il y a aussi de nombreux récits qui mettent en scène sorcières, sortilèges, esprits malins, etc. La magie sera une sorte de fil conducteur de la saison 2023-2024.

Le merveilleux sera dans les récits tels les opéras Rusalka (La petite sirène), la Flûte en chantée ou l’Enfant et les Sortilèges mais également l’accès à des spectacles en famille (Oper’animaux, Petite Touche), à des concerts de grands noms (Grupo Compay Secundo, Pierre de Maere), à des chorégraphies incroyables de Preljocaj (Mythologies) ou de Christophe Garcia (Nuit d’été), à des acteurs prestigieux (Laura Smet et Jean -Pierre Daroussin dans ‘Le principe d’incertitude’) sans oublier toutes les prestations de l’Orchestre National Avignon Provence qui va nous faire encore vibrer sous la magistrale baguette de sa directrice musicale Debora Waldman.

L’Opéra Grand Avignon, point de référence culturelle mais aussi point de convergence

Beaucoup de partenaires, beaucoup de projets en auto construction car « on est plus fort à plusieurs pour finaliser un projet mais aussi pour toucher un plus large public. Pour les Opéras tous sont pratiquement en co-production », ajoute Frédéric Roels avant de nous présenter le premier opéra de la saison, Rusalka, témoin d’un fort partenariat.

Rusalka d’Antonin Dvořák, un conte lyrique en trois actes

Grand opéra romantique adapté du conte de La Petite Sirène d’Andersen, c’est une grosse co-production ambitieuse, avec les quatre opéras de la Région Sud impliqués – Nice, Marseille, Toulon, Avignon – et la Région. Il est créé à Avignon les costumes dans l’atelier de l’Opéra Grand Avignon, les décors à Nice, avec le concours du Cercle des Nageurs d’Avignon.

En effet, les metteurs en scène Jean-Philippe Clarac et Olivier Deloeuil ont transposé la tragédie de la jeune ondine/Rusalka (perdre sa voix pour être aimée) dans un centre nautique. « Dans un dialogue constant entre l’action scénique et les vidéos, le monde des ondines passera du majestueux Stade Nautique d’Avignon aux berges boueuses d’un étang du Médoc. » Une ondine moderne donc qui portera la parole de toutes les femmes qui refusent l’injonction encore exercée sur leurs corps.

Exposition photo ‘Divinités des eaux’

Une exposition photos de Lucille Boudoux.
Du 16 septembre au lundi 16 octobre, coursives du Grand Foyer de l’Opéra. Entrée libre lors des spectacles et concerts.

Immersion dans les coulisses de l’Opéra

Réservé aux détenteurs de billets pour la représentation du 13 octobre 2023.
À l’occasion de la première représentation de Rusalka le vendredi 13 octobre, nous proposons à 7 spectateurs de vivre en direct dans les coulisses une partie de la préparation des artistes de la production, solistes, chœurs, musiciens, technique.
Vendredi 13 octobre. 18h45. Informations et inscriptions aurore.marchand@grandavignon.fr ou au 06 78 82 79 92.

Prologue

45 minutes avant chaque représentation, l’Opéra Grand Avignon propose un éclairage sur le spectacle auquel vous assistez.
Vendredi 13 octobre. 19h15. Dimanche 15 octobre. 13h15. Salle des Préludes. Opéra.

Vendredi 13 octobre. 20h. Dimanche 15 octobre. 20h. 10 à 75€. Opéra Grand Avignon. 4 Rue Racine. Avignon. 04 90 14 26 40. www.operagrandavignon.fr


La légende Callas fascine toujours autant, 100 ans après sa naissance

Le Capitole Studios diffusera le ballet « la belle au bois dormant » par le Royal Opera House, ce jeudi 15 juin à 19h30.

Synopsis : « Le roi Florestan XXIV et sa reine ont invité toutes les fées au baptême de leur fille, la princesse Aurore. La fête est interrompue par l’arrivée de Carabosse, la méchante fée. Furieuse de ne pas avoir été invitée, elle donne un fuseau à Aurore en disant qu’un jour la princesse s’y piquera le doigt et mourra. La fée des Lilas promet qu’Aurore ne mourra pas, mais qu’elle tombera dans un profond sommeil, dont elle sera réveillée par le baiser d’un prince ».

Chorégraphie Marius Petipa. Musique Piotr Ilitch Tchaïkovski. 3h25 avec entracte.

Réservation disponible en caisse ou en cliquant sur ce lien.


La légende Callas fascine toujours autant, 100 ans après sa naissance

Cet opéra vous sera proposé le samedi 20 mai et le mardi 23 mai dans la salle de spectacle du pôle culturel de Sorgues.

Le sujet
Résurrection s’empare de manière spectaculaire de la question de l’après et d’un possible renouveau. Au cœur du Stadium de Vitrolles, conservé dans son état de beauté ravagée par 25 ans d’abandon et d’occupations clandestines, Roméo Castellucci se confronte à l’énigme d’une mystérieuse renaissance. 

De toutes les symphonies de Gustav Mahler, la Résurrection est la plus populaire : le compositeur met en scène une victoire progressive sur ses doutes et affirme sa vocation créatrice ; vous pourriez être saisi dès le chaos d’ouverture orchestrant de grandioses funérailles. Le chœur final célèbre le jugement dernier et l’amour divin partout répandu.

Les intervenants
Vous y retrouverez Esa-Pekka Salonen à la direction musicale, l’orchestre de Paris et son chœur ainsi que Golda Schultz et Marianne Crebassa qui feront leurs débuts au Festival. Roméo Castellucci dirige la mise en scène, la scénographie, les costumes et les lumières.

À savoir
Symphonie n°2 Résurrection en ut mineur pour soprano, alto, chœur mixte et orchestre, en cinq mouvements de Gustav Mahler. Spectacle déconseillé au public jeune ou sensible. Samedi 20 mai et mardi 23 mai. Spectacle en allemand. 1h20 – sans entracte. Pôle culturel – Salle de spectacle. Sorgues.

Entrée libre dans la limite des places disponibles. Réservations conseillées au 04 86 19 90 90.


La légende Callas fascine toujours autant, 100 ans après sa naissance

Ce dimanche 14 mai, le lycée Théodore Aubanel organise son traditionnel concert sur la scène de l’opéra grand Avignon.

Cette année encore, le lycée avignonnais ne déroge pas à son habitude et présente son concert mené tambour battant par les élèves section musique et option, et leur énergique professeure Odile Sick-Plantevin.

Programme
Du théâtre, de l’humour, des surprises mais aussi de l’émotion et de magnifiques musiques interprétées par une centaine d’élèves de 2nde, 1ère et terminale et la chorale des adultes du lycée.
« L’histoire se passe au retour de vacances, un groupe de jeunes racontent leurs séjours passés aux USA à leurs amis restés en France. Tout le monde est heureux sauf Béa qui est tombée amoureuse d’un américain… »

J.G

À savoir
Entrée libre sans réservation. 16h. 14 mai. Scène de l’opéra grand Avignon. Place de l’horloge. Avignon. 04 90 14 26 40.


La légende Callas fascine toujours autant, 100 ans après sa naissance

C’est en 1989 que cette association a été créée par des passionnés. Les plus grands noms sont passés par Ménerbes, Apt, Bonnieux, Saignon ou Lacoste : Dame Felicity Lott, la soprano anoblie par Elizabeth II, Nathalie Dessay, Philippe Jaroussky, Patricia Petibon, le Choeur Accentus dirigé par Laurence Equilbey, le Deller Consort du contre-tenor Alfred Deller, les pianistes Vanessa Wagner, Nicolas Angelich, Jean-Philippe Cpllard, Cyprien Katsaris, les chefs d’orchestres Cyri Diederich ou Jean-Claude Malgoire.

Pour cette édition 2023, le président Patrick Canac parle d’ un programme « universel » : « On s’adresse à tous les publics, avec toutes les musiques (lyriques, sacrées, baroques, opéras, récitals), en grande ou petite formation pour toucher tout le monde, tous les coeurs. A l’heure où le monde est compliqué, fracturé, nous sommes là pour rassembler, gommer les aspérités, les différences, les difficultés et adoucir la vie ».

Et il passe en revue le programme qui débute le 18 mai Eglise Saint-Luc à Ménerbes avec « Schubertiades en Luberon », l’altiste Isabel Villanueva et le pianiste François Dumont pour la « Sonate Arpegione  » de Schubert mais aussi des partitions de Brahms, et Schumann. Le 16 juin à Apt, « Silence, on tourne! » hommage aux plus grands compositeurs de musiques de films, avec « Autant en emporte de le vent » de Max Steiner, « La mort aux trousses » de Bernard Herrmann, « Diamants sur canapé » de Henry Mancini,, « La liste de Schindler » de John Williams, « Cinema Paradiso » d’Ennio Morricone, « La Strada » de Nino Rota, mais aussi des thèmes inoubliables comme « Le mépris » de Georges Delerue, « Ne touchez pas au grisbi » de Jean Wiener, « Les Demoiselles de Cherbourg » de Michel Legrand ou « Borsalino » de Claude Bolling.

A Ménerbes le 9 juillet, mais en plein air sur la Place de l’Horloge l’opéra « King Arthur » de Purcell qui sera dirigé par le londonien Paul Mac Creesh à la tête de son Ensemble Gabrieli Consort & Players et de sopranos, ténors baryton et baryton-basse réputés.

“King Arthur“ par le Gabrieli Consort le 09 juillet place de l’Horloge à Ménerbes

Le 13 juillet, dans le plus vieux domaine vinicole du Luberon, le Château Mille d’Apt, place à une soirée « De Bach à Bacchus » avec la violiniste Geneviève Laurenceau et le violoncelliste Henri Demarquette pour des suites, partitas et duos de celui qu’on surnommait « Le Cantor de Leipzig ». Le 23, « Tous en scène avec Mozart » dans le Jardin du SCAD (Ecole d’Art) à Lacoste avec des musiciens et chanteuses lyriques, la soprano Elsa Dreisig et la mezzo Fiona Mac Gown pour un florilège de « Cosi fan tutte », « Les noces de Figaro », « La clémence de Titus » et une transcription pour piano du magnifique « Lacrimosa » du Requiem de Mozart.

“Tous en scène avec Mozart“ avec Elsa Dreisig le 23 juillet au SCAD à Lacoste

Le 28 juillet, dans Le jardin du Parc du Luberon à Apt, pot-pourri de compositeurs passés (Vivaldi, Boccherini) et plus contemporains (Nino Rota et Astor Piazzolla) avec les Lausanne Soloists dirigés par le violoncelliste Xavier Phillips. Enfin, conclusion en beauté de la saison avec « Viva Rossini » dans les Carrières des Taillades avec deux mezzos de renom, Karine Deshayes et Delphine Haidan dirigées par la cheffe de l’Orchestre National Avignon-Provence, Debora Waldman, pour des « tubes » du Barbier de Séville, comme « Une voce poco fa », l’air de Rosine immortalisé par la Callas, de la « Cenerentola » ou « L’Italienne à Alger ». Une soirée présentée par Jean-Michel Duez que les auditeurs de Radio Classique connaissent bien.

“Viva Rossini“ avec Karine Deshayes le 30 juillet aux Taillades

« Les Musicales du Luberon qui ont accueilli plus de 700 concerts en 3 décennies prouvent que la culture participe de l’attractivité du Vaucluse » a conclu le Président Canac qui rendu hommage à tous les bénévoles qui donnent de leur temps avec passion pour concocter un programme lyrique et musical d’une telle qualité.

Contact :
musicalesluberon.fr
musicalesluberon@wanadoo.fr
04 90 72 68 53
luberon.fr


La légende Callas fascine toujours autant, 100 ans après sa naissance

Ce jeudi 30 mars, le cinéma Capitole MyCinewest diffusera en direct l’opéra Hamlet, qui sera joué à l’Opéra Bastille à Paris. Pendant plus de 3 heures (avec entracte), le metteur en scène Krzysztof Warlikowski plonge le spectateur dans ce classique de William Shakespeare, qui a plus tard été revisité en opéra par Ambroise Thomas, et explore la folie qui parcourt cette œuvre, et en fait émerger de fascinantes images spectrales.

Sur scène, huit artistes, Ludovic Tézier, Jean Teitgen, Julien Behr, Clive Bayley, Frédéric Caton, Julien Henric, Ève-Maud Hubeaux, Lisette Oropesa, accompagnés par la musique d’Ambroise Thomas, le tout dirigé par le chef d’orchestre Pierre Dumoussaud.

Il est d’ores et déjà possible de réserver sa place en ligne. Le billet d’entrée est au prix de 21€, et 11€ pour les moins de 12 ans. Un tirage au sort sera effectué avant la diffusion, plusieurs lots seront à gagner. Un cocktail sera offert par la cave Le vin devant soi.

Jeudi 30 mars. 19h. Cinéma Capitole. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


La légende Callas fascine toujours autant, 100 ans après sa naissance

À propos de Il Turco in Italia

À Naples et dans les environs du XVIIIe siècle. Un poète, s’inspirant de l’histoire d’une troupe de bohémiens, conte les aventures sentimentales et les soucis conjugaux rencontrés par les amants et les époux, avant de réconcilier maris, femmes et galants et de faire triompher l’amour. Un prince turc empanaché, un gentilhomme fade (et falot), un chevalier servant (et collant) se disputent l’attention de Fiorilla, donzelle de caractère. Jusque-là, rien de nouveau. Précisons seulement que la dame est mariée à l’un des trois…

Une production de l’Opéra de Monte-Carlo avec le Chœur de l’Opéra Grand Avignon et l’Orchestre National Avignon-Provence

On retrouvera le jeune chef brésilien Miguel Campos Neto – qui nous avait séduit l’année dernière avec la violoncelliste Camille Thomas dans « Souvenir » – Jean Louis Grinda ( directeur des Chorégies d’Orange depuis 2016 et artiste passionné d’Opéra) pour une mise en scène enlevée et colorée, la soprano roumaine Florina Ilie dans le rôle de Fiorilla ( succédant ainsi à la Callas ett plus récemment à Cécilia Bartoli), le ténor congolais Patrick Kabongo sur une partition inventive et moderne de Gioachino Rossini : bref ce turc en Italie nous convie à un joyeux métissage abordant les thèmes de la liberté, la fidélité et des rapports amoureux.

Rencontres du 4ᵉ Type

Le public est invité à rencontrer et à échanger avec Bertille Monsellier cheffe de chant de la production Il Turco in Italia.

Mercredi 1er mars 2023.11h. Grand Foyer. Entrée libre sur réservation.

Prologue

par Brigitte Urbani, professeur émérite de langue et littérature italiennes.

45 minutes avant la représentation, l’Opéra Grand Avignon propose un éclairage sur le spectacle auquel vous assistez. Entrée libre sur présentation du billet du spectacle.

Vendredi 3 mars 2023. 19h15. Dimanche 5 mars 2023. 13h45. Salle des Préludes.

Vendredi 3 mars. 20h. 10 à 75€. Dimanche 5 mars. 14h30. Opéra Grand Avignon. 4 Rue Racine. Avignon. 04 90 14 26 40.

https://www.echodumardi.com/tag/opera/page/2/   1/1