Les parcours exacts de la flamme olympique en Vaucluse enfin dévoilés
Le Département de Vaucluse vient de dévoiler les différents parcours précis de la flamme olympique, qui traversera le Vaucluse le mercredi 19 juin.
Le mercredi 19 juin prochain, la flamme olympique traversera le Vaucluse. Le département sera une étape dans le parcours de la flamme qui débutera le 8 mai à Marseille et se terminera le 26 juillet à Paris, et qui lancera le début des Jeux Olympiques 2024. Si jusqu’à maintenant, on connaissait les lieux vauclusiennes par lesquels la flamme va passer et à quels horaires, les détails du parcours restaient vagues.
Le parcours, qui sera discontinu, se composera de sept séquences qui vont rythmer la journée du 19 juin dans différents points du département : Rustrel, Apt, L’Isle-sur-la-Sorgue, le Mont Ventoux, Orange, Sorgues et Avignon. Chacune de ces séquences a un parcours plus ou moins long (cf cartes ci-dessous) avec en tout 100 porteurs de la flamme. Le site des Ocres de Rustrel sera la seule étape du parcours fermée au public. Pour les Vauclusiens, le parcours débutera donc à 9h à Apt, et s’achèvera à 19h20 à Avignon.
Les parcours exacts de la flamme olympique en Vaucluse enfin dévoilés
L’Armée de l’air de l’espace (AAE) vient d’annoncer que ce sont les Rafale de l’Escadron de chasse 1/5 Vendée qui rejoindront la Base aérienne 115 (BA 115) d’Orange-Caritat. C’est le jeudi 18 juillet que la cérémonie d’installation devrait se dérouler. Si l’arrivée du chasseur multi-rôle de Dassault avait déjà été annoncée pour cet été dans le ciel vauclusien, on ne connaissait cependant pas encore l’identité de l’escadron qui allait lui être associé.
Top Gun à la française Avec l’Escadron de chasse 1/5 Vendée, c’est un retour aux sources puisque cette unité avait été dissoute le 29 juin 2007 alors qu’elle était déjà affectée à la BA 115. L’escadron était alors doté de Mirage 2000 C RDI. Des avions qui avaient notamment été utilisés durant le tournage du film de Gérard Pirès ‘Les chevaliers du ciel’ avec Benoît Magimel et Clovis Cornillac.
En 2005, les Mirage 2000 C RDI de l’Escadron de chasse 1/5 Vendée avait joué les ‘méchants’ lors du tournage du film de Gérard Pirès ‘Les chevaliers du ciel’ avec Benoît Magimel et Clovis Cornillac.
Mais ces appareils ne sont pas contentés de jouer les ‘Top Gun à la française’ sur grand écran, puisqu’ils ont aussi participé à de nombreuses missions de police du ciel en France mais également en opérations extérieures au Tchad, au Koweït ou bien encore en Bosnie-Herzégovine. Sept des 12 Mirage de l’escadron ayant fini leur carrière au Brésil où ils ont été revendus d’occasion.
Crée en 1950, le 1/5 Vendée a successivement volé sur De Havilland Vampire, Mystère II (1957), Mystère IV (1958), Super Mystère B2 (1961), Mirage IIIC (1966), Mirage F1C (1975) avant d’être équipé de Mirage 2000 C RDI à partir de 1988.
Un appel aux anciens de la 5e A Orange, l’Escadron de chasse 1/5 sera rattaché à la 5e Escadre de chasse qui sera aussi mise à l’honneur lors de la cérémonie de juillet prochain. En effet, l’unité est également recréée à cette occasion par l’AAE. Dans ce cadre, l’Armée de l’air lance d’ailleurs un appel aux anciens de la 5e EC et de l’EC 1/5 Vendée afin qu’ils participent à l’événement. Pour rappel, la 5e escadre a vu le jour en 1945 à Salon-de-Provence avant d’être dissoute en 1995 à Orange.
L’insigne de la 5e escadre.
Un second escadron de Rafale en 2028 ? « La 5e Escadre de chasse et l’Escadron de chasse 1/5 « Vendée » reprennent vie, portant les héritages de leurs ainés tout en étant équipés des technologies les plus avancées, avec le Rafale comme fer de lance, explique le site internet de la BA 115 consacré à cet événement. Leur histoire, indissociable de celle de la BA115, est imprégnée des valeurs fondamentales qui ont guidé ses membres à travers les décennies, forgeant un engagement indéfectible envers la France. »
Pour la suite, si on ne sait pas encore le nom du second escadron de Rafale affecté à la cité des princes, on sait toutefois que son arrivée est prévue vers 2028.
Les parcours exacts de la flamme olympique en Vaucluse enfin dévoilés
Dans la nuit du mardi 2 avril au mercredi 3 avril, des travaux spectaculaires ont eu lieu sur le chantier de la déviation d’Orange puisque la charpente métallique du nouvel ouvrage franchissant la voie ferrée a été posée sur ses appuis grâce à deux grues. L’opération a nécessité une coupure totale de circulation des trains, programmée il y a trois ans avec la SNCF.
Depuis le début de l’année, le Département de Vaucluse réalise des travaux d’aménagement de la future voie de contournement du centre-ville à l’Est d’Orange, sur une section de 3,1 km, entre le giratoire de Coudoulet sur la RN7 et la RD975 (route de Camaret). Les objectifs sont d’améliorer le transit de la RN7, qui traverse l’agglomération d’Orange sur près de 7 km et délester le centre-ville où circulent près de 15 000 véhicules par jour, dont 10% de poids-lourds.
Ces travaux, dont le coût s’élève à 45M€ avec une participation du Département de 18,75M€, devraient permettre la construction de trois ponts d’ici à 2026 :
Un pont permettant de franchir la route de Jonquières, qui sera situé après le giratoire du Coudoulet.
Un deuxième ouvrage d’art au-dessus de la voie ferrée : les travaux ont déjà permis de réaliser les pieux pour les fondations, en attendant d’autres aménagements à venir : mise en place de la charpente métallique et des appuis (culées et piles), pose du tablier en béton armé ainsi que des équipements (corniches, auvents et glissières de sécurité).
Un troisième pont au chemin de Nogaret (à l’approche du giratoire de la RD975) afin de circuler au-dessus de la future déviation.
Ce mardi 2 avril, la charpente métallique, pesant 165 tonnes, du nouvel ouvrage franchissant la voie ferrée a été posée à l’aide de deux grues positionnées de part et d’autre des voies ferrées. L’opération s’est déroulée entre s’est déroulée entre 22h et 6h. La coupure totale de circulation des trains entre ces horaires-là a été programmée il y a trois ans par la SNCF.
Les parcours exacts de la flamme olympique en Vaucluse enfin dévoilés
Les Rencontres Rhodaniennes ont eu lieu ce mardi 26 mars à Orange. L’occasion de faire un diagnostic et d’évoquer le maintien de la productivité en Vallée du Rhône, ainsi que les orientations possibles pour les vins blancs et rosés rhodaniens.
Vignerons et vigneronnes, mais aussi techniciens des Chambres d’Agriculture de Vaucluse, du Gard et de la Drôme, représentants de l’Institut de la Vigne et du Vin, œnologues, négociants et metteurs en marchés étaient nombreux au sein de la Salle Daudet pour cette matinée studieuse retransmise sur Youtube grâce à David Bérard qui animait les débats et son équipe qui les relayait sur internet.
Première partie : ‘Dépérissement, diagnostic et maintien de la productivité en Vallée du Rhône’, après quelques mots d’accueil du président d’Inter RhônePhilippe Pellaton. « Nous devons avoir une réflexion sur les différents profils de vins qu’on met sur la table, donner un impulsion pour les vendre, grâce à la technique et au marketing. Leur apport sont l’avenir de notre vignoble, nous devons nous adapter aux goûts et attentes du consommateur pour répondre aux enjeux du commerce de demain. »
Changement climatique, maladies et rendement
Marion Claverie de l’Institut Français du Vin a pris la parole pour rappeler que « Le Plan contre le Dépérissement a débuté chez nous en 2010 avant d’être repris dans toute la France, avec ce constat partagé sur des rendements trop bas. C’est ainsi qu’est né le ‘Projet Longue Vie’ pour analyser les causes et organiser un plan d’action. Il n’y a pas que l’azote, il y a aussi le cep improductif, le court-noué, une maladie de la vigne qui jaunit et se rabougrit, un virus insidieux qu’on ne détecte pas forcément, également le mildiou, l’oïdium, la coulure, le climat qui change, le manque d’eau, la canicule, le gel et la grêle. »
De son côté, Manon Tobias de l’Institut Rhôdanien d’Orange a évoqué l’alimentation hydrique : « 2022 et 2023 ont été des années sèches avec un moindre cumul en eau. Du coup, en plus de l’irrigation ou du goutte-à-goutte, on se demande s’il ne faut pas avoir d’autres pratiques végétales et culturales, avec de l’herbe ou des plantes entre les rangs de vigne pour couvrir le sol et la protéger du rayonnement solaire et du stress hydrique. Des sondes ont été placées pour caractériser l’impact de la météo, la fréquence de la pluie, les doses d’intrants à apporter pour, à terme, garantir un rendement stable. »
Autre intervention, celle d’Isabelle Méjean de la Chambre d’Agriculture de la Drôme. « Entre 1990 et 2000 on a enherbé entre les ceps, mais le problème, c’est que l’été, herbe et vigne se faisaient de la concurrence, elles n’avaient pas assez d’eau pour se développer correctement. Du coup, on a procédé à un enherbement temporaire de l’automne au printemps pour que la pluie pénètre bien dans le sol, humidifie les pieds des vignes, que des racines se forment, structurent le sous-sol et l’irriguent et on enlève ce couvert végétal l’été. On a aussi ajouté dans les vignes des légumineuses qui captent l’azote, des céréales et des légumes crucifères (brocoli, chou-fleur, chou-rave) qui enrichissent la vigne sans avoir recours à la chimie. »
Son homologue de la Chambre d’Agriculture de Vaucluse, François Bérud a évoqué : « Cette bombe à retardement qu’est la flavescence dorée. L’État met moins de moyens à disposition des vignerons, des solutions sont envisagées en dehors de l’arrachage, avec des surgreffes, des replantations d’autres cépages, mais combien cela va-t-il coûter ? Quand le rendement sera-t-il à nouveau rentable ? Il est encore trop tôt pour le dire. »
Il a aussi été question de laisser le sol reposer pendant une dizaine d’années pour qu’il se régénère, mais les vignerons, face à la crise qu’ils traversent, à la déconsommation de vin, aux stocks qui s’accumulent dans leurs chais et bloquent leur trésorerie, ne voient pas cela forcément d’un bon œil, ils ont besoin d’autres solutions plus rapides pour sortir la tête de l’eau et gagner leur vie. De son côté, Anne Sandré de la Chambre d’Agriculture du Gard est revenue sur les calamités agricoles. « On en a eu cinq récemment. Échaudage en 2019, gros gel en 2021, grêle en 2023 avec certaines parcelles détruites à 80%. Chaque année, l’impact de la météo grimpe en flèche et le rendement baisse drastiquement. Ensuite, on se demande comment réparer la vigne, quand elle va cicatriser. Il vaut mieux réfléchir, attendre, garder les bourgeons secondaires qui vont reprendre vie et booster les ceps. Et pas forcément fertiliser davantage. La solution des filets existe, mais elle est coûteuse : 8 000€ par hectare. Celle des canons n’a pas été démontrée. Et l’été, il vaut mieux ne pas trop effeuiller la vigne, de sorte que les grains de raisin profitent de l’ombre et souffrent moins des rayons brûlants du soleil. »
Quel avenir pour le blanc, rosé et rouge ?
Après cette longue première partie, place à une présentation de profils différents de blancs et de rosés et à une dégustation pour envisager les orientations possibles des futurs vins de la Vallée du Rhône. C’est l’œnologue Stéphanie Bégrand qui l’a carrément annoncé : « Le rouge trinque face à la déconsommation. Donc pour pallier ce reflux, il nous faut compenser par les blancs et les rosés. Un groupe de travail d’une vingtaine d’opérateurs est en train de faire un état des lieux sur la stratégie à adopter pour la Vallée du Rhône, étudier les échantillons de ce qui se vend le mieux comme cépages, exotiques ou pas, le type de travail à effectuer de la vigne au chai pour parvenir à avoir des vins plus frais et plus fruités. Savoir au fond s’il faut une sous-maturité ou une maturité tardive, définir la température optimale de fermentation et se demander s’il y a une entité rhodanienne avec ses spécificités du nord au sud de l’appellation, avec ses terroirs, ses micro-climats et ses sous-sols différents de la Côte-Rôtie au Duché d’Uzès. »
Elle a dessiné trois profils pour les blancs : « Généreux et complexes » avec des notes boisées, toastées, une complexité aromatique entre fruits, épices et minéralité, une structure en bouche et un équilibre. Ils pourraient évoluer en vins de garde. Comme ceux à base de Viognier, Grenache blancs, Bourboulenc ou Roussanne. Puis les « Fruités et ronds » avec saveur de fruits jaunes (pêche, abricot) compensés par de l’acidité et qui peuvent servir d’apéritifs ou accompagner un repas comme le Floréal ou le Rolle. Enfin les « Vifs & frais » à arômes d’agrumes (pamplemousse) et de fleurs et comme le Bourboulenc ou le Piquepoul.
Après les blancs, dégustation de deux rosés : le 1ᵉʳ « Frais, fruité et délicat » avec un profil thiol (molécules soufrées), vif en bouche, pâle couleur avec des cépages de Cinsault, Carignan, Clairette, Muscardin. Le 2ᵉ « Fruité, épicé et généreux », plus vineux, plus épicé, avec des arômes de fruits rouges et une couleur plus soutenue. Il est conseillé pour les repas gastronomiques, mais pas comme vin de garde. Avec un assemblage de Grenache, Carignan, mais aussi un zeste de Mourvèdre qui fait toute la différence.
Avant de conclure au micro de David Bérard, Philippe Pellaton a rappelé que « 76% des Côtes du Rhône sont des rouges, 13% des rosés et 11% des blancs et effervescents. La déconsommation est une réalité mondiale. On est passé de 250 millions d’hectolitres en 2007 à 232 en 2022. Entre 2002 et 2021, la Vallée du Rhône aussi, a reculé de -900 000 hl. Nous devons avoir un plan d’action transversal, nous adapter tous ensemble et peut-être modifier le cahier des charges, les dates de vendanges. Et surtout, faire preuve de bons sens et garder notre identité rhodanienne. » Pour garder le moral, ne pas oublier que chaque seconde dans le monde, huit bouteilles des Côtes du Rhône sont dégustées.
Les parcours exacts de la flamme olympique en Vaucluse enfin dévoilés
L’Odyssée sonore ? C’est un enveloppement d’images et de sons au creux du Théâtre antique d’Orange ancré dans les lieux depuis 2 000 ans. Une invitation à un voyage immersif de 45 minutes, au cœur de la mythologie grecque, offerte par une intelligence artificielle savamment conçue par l’esprit humain. Les visiteurs -jusqu’à 250 en simultané- sont invités à se déplacer dans tout l’édifice, tant sur le plateau qu’au gré des escaliers et travées du génial édifice romain.
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On y découvre, au cœur de la nuit d’un bleu profond, les visages animés de déesses et dieux grecs de l’antiquité, des personnages mythologiques, des décors de forêts, de végétaux, d’architectures et de formes avec plus de 60 sons différents comme du jazz, de la musique classique, Brel, de la Pop, du métal, de l’électro…
L’équipement Il se résume en un casque d’exception délivrant un son binaural, haute-fidélité de dernière génération relié à un smart phone. Sa particularité ? Les sons semblent provenir de différents lieux et peuvent être géographiquement dissociés. L’immersion sonore et visuelle s’appuie sur le casque –conçu par la société stéphanoise Focal- relié à un smartphone –également confié au visiteur- permettant une parfaite synchronisation du son et de l’image via le videomapping.
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Un parcours en 4 actes Il est composé d’un prélude au son de la musique contemporaine, suivi de 4 actes figurant les grandes étapes de l’histoire de la mythologie , le chaos originel de la création du monde et le choc des titans ; L’acte 1 fait place aux divinités qui s’épanouissent au son d’instruments du monde ; Dans l’acte 2, les divinités s’amusent reliées aux chœurs lyriques et aux chanteurs populaires avant que ne suivent les créatures et les péripéties dans l’acte 3 ; tandis qu’à l’acte 4 nous assistons à la naissance des muses sur fond de grandes orchestrations.
Imki La start-up française strasbourgeoise Imki, créatrice des projections de l’Odyssée Sonore, a été récompensée dans la catégorie « contenu et divertissement » du CES 2024 de Las Vegas.Présente sur l’édition 2023 du salon, Imki a décroché un «Innovation Awards Honoree» pour sa présentation de l’Odyssée Sonore, fait inédit car elle est la seule start-up française à se distinguer dans sa catégorie parmi les 3 000 candidats du concours.
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Le théâtre antique d’Orange Le théâtre d’Orange est l’un des plus beaux héritages de la Rome impériale. Ce témoignage vivant de l’antiquité est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture), notamment pour la qualité du son délivré par ce monument datant de 2 000 ans. C’était un haut lieu de spectacles de l’époque romaine. Le théâtre antique a subi, à travers le temps, les invasions barbares du Ve siècle et fut, comme tant d’autres, pillé et incendié. La population s’y est réfugiée lors des guerres de religion, les habitations s’y sont construites et le théâtre s’est mu, peu à peu, en poste de défense protégé par l’immense mur qui accueille, à l’intérieur, des cellules d’emprisonnement conçues à l’époque de la révolution française, au 18e siècle. Les travaux majeurs de restaurations sont menés au 19e siècle pour rendre au lieu sa fonction originelle : présenter des spectacles. Les plus grands fréquenteront ces illustres pierres telles que Sarah Bernhardt, Barbara Hendricks, Placido Domingo, Roberto Alagna, le groupe The Police, Johnny Halliday, Hans Zimmer, David Guetta… L’édifice est conçu comme une caisse de résonnance où les acteurs, dans l’antiquité, munis de masques spécifiques, véritables outils d’ingénierie, émettaient des paroles et des sons, qui étaient parfaitement entendus par les spectateurs d’où qu’ils se trouvaient.
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Les prochaines séances Spectacle familial. Enfants à partir de 7 ans. Pièce d’identité demandée en échange de la location du matériel et restituée en fin de spectacle. Se présenter à la séance 30 minutes avant le début du spectacle. Les prochaines séances auront lieu à partir de ce vendredi 29 mars jusqu’à dimanche 31 mars, puis en avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre, novembre, décembre. En tout, 90 soirées sont prévues du 29 mars au 30 décembre 2024 avec, chaque fois, deux séances par soirée.
Les tarifs peuvent être combinés avec la visite du théâtre antique 22€ pour les individuels, 32€ pour les combinés, 18€ pour les tarifs groupes et 17€ pour les comités d’entreprise. Les orangeois bénéficient de tarifs spéciaux. Réservation ici. www.odyssee-sonore.com
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En savoir plus sur Edeis Edeis, est spécialiste de l’ingénierie et de la gestion d’infrastructures dans le cadre d’opérations de développement, d’aménagement et de valorisation des espaces des territoires. Le groupe intervient dans la gestion urbaine, la mobilité, le digital, le bâtiment, l’industrie, l’agroalimentaire, la santé, l’immobilier privé, les équipements publics et le management des infrastructures.
En 2020 En 2020 Edeis se diversifie et créé un pôle dévolu à la culture et au patrimoine. En 2021, la Ville de Nîmes lui confie par délégation, la gestion de son patrimoine et de la culture. En janvier 2022, le Conseil municipal d’Orange décide, pour les 10 prochaines années, la gestion du Théâtre antique et de l’Arc de triomphe, ainsi que le Musée d’Art et d’histoire. « Ce nouveau projet pour la ville d’Orange incarne le savoir-faire du groupe Edeis, a confié Jean-Luc Schnoebelen, président du groupe Edeis, faire briller les joyaux d’un territoire en utilisant les nouvelles technologies, tout en émerveillant le grand public grâce à des solutions innovantes et inédites.»
Les parcours exacts de la flamme olympique en Vaucluse enfin dévoilés
11 établissements scolaires de Vaucluse ont été victimes, aujourd’hui, de messages de menace, sur les communes d’Avignon, Orange, Cavaillon, l’Isle-sur-la-Sorgue et Vedène.
Les établissements concernés ? Lycée Ismaël Dauphin, Collèges Paul Gauthier et Clovis Hugues à Cavaillon ; Collège Arausio, Lycée Professionnel de l’Argensol, Lycée de l’arc et Lycée Jean Giono à Orange; le Lycée Professionnel Alphonse Benoît et Lycée agricole la Ricarde à l’Isle-sur-la-Sorgue ; le Lycée Professionnel du domaine d’Eguilles à Vedène ; le Lycée Aubanel à Avignon. En lien avec les chefs d’établissements concernés, les services de la Direction des Services Départementaux de l’Éducation Nationale (DSDEN), les forces de sécurité (police nationale, groupement de gendarmerie départementale et polices municipales), ainsi qu’avec la mobilisation de toutes les communes impactées, des périmètres de sécurité ont été mis en place. Les élèves accueillis, y compris au sein d’établissements non concernés par les messages mais situés à l’intérieur des périmètres de sécurité (pour les communes d’Avignon et de Cavaillon), ont tous été mis en sécurité.
Aujourd’hui à 13h30 L’inspection de 4 établissements scolaires est terminée. Aucun danger particulier n’a été mis au jour par les opérations de levée de doute réalisées : le collège Arausio et le lycée Professionnel de l’Argensol situés à Orange demeurent fermés pour la journée ; Les élèves scolarisés au sein du lycée Professionnel du domaine d’Éguilles à Vedène et du lycée de l’arc à Orange sont autorisés à regagner leur établissement. Les opérations de levées de doute sont toujours en cours au sein des 7 autres établissements scolaires. Le préfet de Vaucluse a souligné la mobilisation exceptionnelle de l’ensemble des acteurs et les a remerciés pour leur action.
Mireille Hurlin
Les parcours exacts de la flamme olympique en Vaucluse enfin dévoilés
En 2023, L’Odyssée Sonore a envouté plus de 13 000 spectateurs. L’expérience unique au monde alliant technologie et culture fait son grand retour au Théâtre Antique d’Orange, et ce, dès ce vendredi 29 mars.
Après avoir conquis plusieurs miliers de spectateurs et avoir reçu un prix de l’innovation à Las Vegas, L’Odyssée Sonore, spectacle immersif et multisensoriel proposé par Edeis, en charge de la gestion culturelle du Théâtre antique, revient pour 90 soirées en 2024, du 29 mars au 30 décembre. L’occasion idéale pour ceux qui l’ont raté en 2023 d’aller le découvrir et pour ceux qui en ont déjà fait l’expérience de la retenter.
Grâce à ce spectacle, le Théâtre Antique s’affirme en tant que monument moderne à la point de l’innovation. L’Odyssée Sonore propose au public un voyage de 45 minutes dans les richesses sonores et musicales de notre monde à la découverte de la mythologie, à travers les videomappings réalisés par intelligence artificielle projetés par 25 vidéoprojecteurs et des musiques de tous genres transmises par des casques innovants haute définition.
Pour découvrir les dates et réserver votre place, cliquez ici.
Les parcours exacts de la flamme olympique en Vaucluse enfin dévoilés
Guillaume Redon est traiteur à Orange. Il est le fondateur de Braz & Bro’s, spécialisé dans la cuisson des aliments à la flamme, au braséro. En quête de challenge, il a participé à la 9ᵉ édition de la Coupe de France de burger, organisée par Socopa, à laquelle il a terminé en troisième position.
Guillaume Redon est né dans le département de la Drôme et a grandi dans la petite commune de Tulette, près de la frontière avec le Vaucluse. « Je suis issu d’une famille vigneronne, donc de terroir, explique-t-il. J’ai toujours eu ce goût pour les bons produits. » Sa passion pour la cuisine, il la tient de sa grand-mère.
C’est tout naturellement que Guillaume entame plus tard des études d’hôtellerie-restauration, à l’École hôtelière Marie Rivier à Bourg-Saint-Andéol, dans l’Ardèche. Après avoir exercé dans différentes maisons pendant les saisons, c’est en Vaucluse qu’il décide de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale et d’ouvrir son entreprise de cuisine au braséro, peu après la crise sanitaire, à Orange.
Guillaume a donc tenté une première fois l’année dernière, et même s’il a été dans le top 100, il n’a pas accédé aux finales régionale et nationale. Cette année, l’entrepreneur a donc pris sa revanche en renvoyant sa candidature, en accédant à la finale régionale, qu’il a remporté, et en se positionnant à la troisième place du concours.
Une préparation étalée sur plusieurs semaines
« On nous a annoncé le thème à la mi-novembre, explique Guillaume. À partir de là, on a eu jusqu’au 15 janvier pour élaborer notre recette et envoyer la version définitive. » C’est donc après de nombreux essais afin de trouver le bon assaisonnement et le bon mélange de saveurs que l’Orangeois peaufine son ‘Super Smash Beef’, le thème de cette année étant ‘Beef Spirit’.
C’est donc un burger composé d’un pain brioché snacké à la liqueur de cèpes, d’une béarnaise montée à la moelle de bœuf, d’une viande hachée de race Salers smashée en deux steaks distincts, d’un fromage d’Abondance et d’une saucisse de bœuf affinée. « Quand j’ai su que j’allais me rendre à Paris pour la finale régionale, je suis passée à la vitesse supérieure, affirme Guillaume. J’ai commencé à davantage travailler le burger, à m’entraîner au niveau du timing. Parce qu’on a seulement 25 minutes pour sortir le burger. »
Au-delà du challenge, la participation à la Coupe de France de burger permet aux candidats de gagner en visibilité, même pour ceux qui ne remportent pas le concours. « J’étais un peu déçu sur le moment d’être troisième, mais après quand la pression redescend, ça reste un très bon résultat, et j’ai tout de suite remarqué que j’avais gagné en visibilité », développe le Vauclusien.
Seulement quelques jours après la finale nationale, Guillaume reçoit de nouvelles propositions de travail, pour assurer des événements.
Une aventure loin d’être terminée
Si le fondateur de Braz & Bro’s a réussi à accéder au podium de la Coupe de France de burger, il reste tout de même sur sa faim. « J’ai fait des rencontres formidables lors de ce concours, explique-t-il. Avec certains participants, on s’est donné rendez-vous l’année prochaine pour retenter le concours. »
Mis à part le grand gagnant, il n’est pas interdit de participer de nouveau au concours. Ainsi, Guillaume Redon retentira l’expérience pour la 10ᵉ édition de la Coupe de France de burger. Rendez-vous en 2025 pour cette fois remporter la victoire.
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Le Festival Andalou ? Un festival attendu en mars en Vaucluse et toujours aussi réjouissant
La présidente de l’association Andalouse Alhambra, Béatrice Valéro, l’a confirmé dans son allocution de bienvenue : Depuis 23 ans, la fidélité du public, des partenaires sociaux et culturels et des institutions publiques donne envie de continuer cette aventure commencée il y a 23 ans avec le Centre Social de la Fenêtre à Saint-Chamand, partenaire toujours privilégié.
Un festival andalou créé à Avignon, pour promouvoir la culture arabo-andalouse
Créée en 1996 par Luis de la Carrasca, auteur-compositeur, musicien et chanteur andalou, l’Association Andalouse Alhambra (AAA), présidée par Béatrice Valéro, a pour but de promouvoir et de diffuser la culture andalouse, arabo-andalouse et du bassin Méditerranéen par le biais d’activités et de créations artistiques. Active toute l’année, en partenariat avec le Centre social La Fenêtre, l’idée d’un festival andalou a germé en 2002. L’AAA a voulu le faire coïncider avec les célébrations qui ont lieu fin février en Espagne pour l’anniversaire de la constitution de l’Andalousie en communauté autonome.
Un festival pluridisciplinaire désormais départemental et enrichi d’une Semaine espagnole
Deux mots d’ordre pour cette programmation pluridisciplinaire : diversité et exigence de qualité pour refléter toutes les facettes de la culture andalouse. Il y aura pendant plus de dix jours : cinéma, peinture, ateliers adultes et enfants, masterclass, jeune public et scolaire, contes, pratique amateur, défilé équestre et… gastronomie.
La deuxième édition de la Semaine Espagnole, voulue et soutenue par la mairie d’Avignon, est intégrée dans le Festival Andalou et aura lieu du samedi 16 au samedi 23 mars. Ce festival de plus en plus apprécié s’étend dans le département jusqu’à L’Isle-sur-la-Sorgue, Caumont ou Orange.
Un pont d’Art entre les deux rives
Isam Ifghallal, président du festival, a rappelé l’essence même de ce dernier : « montrer à quel point l’art et la culture peuvent constituer des points de rencontre. Le Festival Andalou est un des leviers pour partager des moments de bonheur et de partage. Il est la mémoire sous forme de repère d’un vivre ensemble en harmonie et un pont d’art entre les deux rives. »
Réveiller les consciences en Andalousie même
Le directeur artistique du festival Luis de la Carrasca, musicien auto compositeur, a salué l’effort de tous – des bénévoles toute l’année, mais aussi des artistes locaux — pour réaliser des merveilles avec un budget serré. Il a toutefois exprimé le regret, la frustration, de ne pouvoir, faute de budget suffisant, inviter, échanger avec de « vrais andalous. » Il aimerait pouvoir réveiller les consciences en Andalousie même. Il a précisé que son propos n’était pas négatif, juste réaliste.
La culture andalouse à l’honneur du mercredi 13 au dimanche 24 mars
Au fil des jours à venir
Chant, musique et danse flamenco
« De Sal y de Espuma » de Melchor Campos. Vendredi 15 mars. 19h30. 5 à 23€. Théâtre du Chien qui Fume. 75 Rue des Teinturiers. Avignon. 04 90 85 25 87.
« Dulce Espina » de et par Cristina Hall et Sara Holgado. Mardi 19 mars. 20h. 5 à 15€. Théâtre Golovine. 1 bis rue Sainte-Catherine. Avignon. 04 90 86 01 27.
« Baró Drom » de Luis de la Carrasca. Samedi 23 mars. 20h30. 10 à 23€. Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. www.vaucluse.fr
« Pulsación Flamenca » par la compagnie Juan Santiago. Dimanche 24 mars. 17h. 12 et 16€. Théâtre du Sablier. 37 Cours Aristide Briand. Orange.
Musique Arabo-Andalouse
L’orchestre Chabab Al Andalous de Rabat dirigé par Maître Hicham Belghiti, accompagné de l’artiste Abdellah Makhtoubi. Vendredi 22 mars. 21h. 5 à 25€. Théâtre du Balcon. 38 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 85 00 80 – contact@theatredubalcon.org
L’Orchestre Tarab avec Fouad Didi et Les Chandalous. Samedi 16 mars. 20h30. 15€. Le Rouge-gorge. Place de l’Amirande. Avignon. 06 81 25 19 73 – rougegorgeavignon@aol.com
Musique et chant
« Duo Trovaores » un concert de Trova Flamenca avec Antonio Placer et Juan-Antonio Suárez « Canito. » Dimanche 17 mars. 16h. Entrée libre sur réservation. Chapelle Saint-Symphorien. 9 impasse de la Chapelle. Caumont-sur-Durance. 04 90 25 21 07.
Théâtre
« Payasadas ou quelle clownerie la guerre » par la cie Catalina Rodriguez. Samedi 16 mars. 20h30. 13€.Théâtre de l’Etincelle. 14 Rue des Etudes. Avignon.
Spectacles interactifs jeune public
« Flamenco Intimo » de Chely La Torito à l’école maternelle Antoine de Saint-Exupéry à Avignon (réservé aux enfants de l’école maternelle). « Flamenka In Situ » de Chely La Torito à la Bibilothèque de Saint Chamand à Avignon (réservé aux enfants de l’école maternelle). Carte Blanche à Chely La Torito au Centre Social et culturel de la Rocade-Espace Pluriel à Avignon.
Exposition des peintures sur le Flamenco et l’Andalousie
Exposition des peintures sur le Flamenco et l’Andalousie de l’artiste-peintre Serge Pena qui a réalisé la peinture de l’affiche du 23ème Festival Andalou. L’artiste donne libre cours à la force et la richesse de son imaginaire et nous communique des émotions nourries par les rencontres touchant au coeur de sa vie. Il vit en Provence, il pratique la peinture à l’huile au couteau et au pinceau. Jeudi 14 mars 2024 . 18h30. Vernissage de l’exposition. Puis ouvert du 15 au 24 mars. De 14h à 19h. Salle d’exposition de la Manutention. Rue des escaliers Sainte-Anne. Avignon.
La petite cuisine des Halles
En partenariat avec l’association des commerçants des Halles. Démonstration et dégustation d’une recette d’un plat andalou par Hervé Bieber, maître coq à bord d’un navire. Samedi 16 mars. 11h. Les Halles. Place Pie. Avignon.
23ᵉ Festival Andalou. Du mercredi 13 au dimanche 24 mars. 04 90 86 60 57.