430 postes à pourvoir en Provence-Alpes-Côte d’Azur chez Spie
Le groupe Spie France, leader européen des services multi-techniques dans les domaines de l’énergie et des communications recrute actuellement 390 collaborateurs en CDI et 40 en alternance en Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Dans ce cadre Spie recherche des profils variés, allant de techniciens de maintenance, ingénieurs réseaux, monteurs, à raccordeurs fibre optique, ingénieurs et techniciens smart city, techniciens data centers, soudeurs, ou encore des profils tournés vers la cybersécurité. Les postes sont donc principalement des CDI à temps plein mais 40 postes sont également à pourvoir en alternance. En Occitanie, ce sont 430 postes en CDI et 90 en alternance qui sont ouverts. Tous les niveaux d’étude sont ciblés, du bac professionnel au diplôme d’ingénieur en passant par les licences professionnelles et les BTS.
« Nous recrutons partout en France des femmes et des hommes qui ont envie de donner du sens à leur engagement professionnel et qui partagent nos valeurs de performance, proximité et responsabilité, précise Arnaud Tirmarche, directeur général de Spie France. En rejoignant Spie, groupe européen en croissance et acteur clé des enjeux actuels : la transition énergétique, la transformation numérique responsable et la relocalisation de l’industrie, vous vous donnez de belles perspectives d’avenir. »
Ces offres d’emploi sont à retrouver sur spie-job.com
430 postes à pourvoir en Provence-Alpes-Côte d’Azur chez Spie
Selon l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs mis en place par Altares et l’association GSC, 350 chefs d’entreprises Vauclusiens ont perdu leur emploi en 2021. Un chiffre en baisse par rapport à 2020 (-11,2%) où ce nombre s’élevait à 394 dans le département et qui confirme la décroissance déjà enregistrée en 2020 de -25%. Au total sur la région Sud – Provence-Alpes-Côte-d’Azur, ce sont 3 222 chefs d’entreprise qui ont perdu leur activité professionnelle, soit une diminution de 9% par rapport à l’année 2020. La majorité des départements de la région enregistre une diminution du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Le département des Bouches-du-Rhône (1 232 dirigeants) représente à lui seul un tiers des pertes d’emploi de la région malgré une baisse de 5,7%. Le Vaucluse est quant à lui pour l’année 2021 le troisième département ou le recul est le plus fort derrière les Alpes-Maritimes et le Var. « Après un recul historique de 8% du PIB 2020, la croissance française signait en 2021 son meilleur chiffre (+7%) depuis plus de 50 ans. » se satisfait Frédéric Barth, directeur général d’Altares, premier réseau international d’informations BtoB.
Rester particulièrement prudent pour l’avenir Pour Anthony Streicher, président de l’association GSC, les chiffres enregistrés sont les effets directs du soutien de l’Etat pour aider les entreprises à maintenir la tête hors de l’eau, un soutien qui a empêché ‘raz-de-marée des faillites redouté’. Cependant, il rappelle à la prudence la plus totale. « Les chefs d’entreprise devront faire face à de nouvelles menaces, conséquences de la guerre en Ukraine et il convient d’être particulièrement prudent pour l’avenir. En 2021, ce sont près de 30 000 femmes et hommes chefs d’entreprise qui ont perdu leur emploi au niveau national et 3 222 en région Sud – Provence-Alpes-Côte-d’Azur. Pour l’immense majorité d’entre eux, sans filet de sécurité. Si le chiffre d’affaires n’est pas au rendez-vous en 2022 pour certains chefs d’entreprise, le paiement des reports de cotisations sociales accordés pendant la crise du Covid-19 ou le début des remboursements des prêts PGE pourraient mener à des situations dramatiques. Notre devoir est de continuer à accompagner ces chefs d’entreprise et de les inviter à anticiper ces situations. »
Qui est concerné ? Les entrepreneurs des secteurs de la construction et du commerce représentent à eux seuls près de la moitié des pertes d’emploi de la région avec 935 pertes d’emploi en construction et 704 dans le commerce. Les acteurs de l’immobilier subissent eux une hausse de 76,1%, soit 162 dirigeants de la branche en situation de chômage en 2021 contre 92 en 2020.
L’évolution des pertes d’emplois des chefs d’entreprises de la région, par secteur, en 2021
Les chefs d’entreprise dans le domaine agricole apparaissent comme ceux ayant le moins bien résisté à la crise en région Sud – Provence-Alpes-Côte-d’Azur. 55 professionnels ont perdu leur activité en 2021, enregistrant une hausse de 66,7% par rapport à 2020. Les éleveurs sont ceux qui connaissent la plus forte progression (+333,3%) et subissent la hausse des prix pour nourrir le bétail. L’hébergement, la restauration, et les débits de boisson sont à l’opposé avec un net recul en 2021 de -34,2%. Cependant, cette baisse ne concerne pas l’ensemble du secteur : les professionnels de l’hébergement ont été davantage impactés en 2021, avec une perte d’emploi pour 32 dirigeants contre 26 en 2020 soit +23,1%. En termes de profil, l’âge médian des chefs d’entreprise impactés en région Sud – Provence Alpes Côte d’Azur est de 48,9 ans soit près d’1 an de plus qu’en 2020. Les entrepreneurs à la tête de petites structures de moins de 3 salariés, représentent quant à eux près de 8 pertes d’emploi sur 10 dans la région en 2021.
Alice Durand
430 postes à pourvoir en Provence-Alpes-Côte d’Azur chez Spie
Le groupe d’ingénierie et de conseil en mobilité durable, transition énergétique et cadre de vie Ingérop lance une campagne de recrutement et propose plus de 20 postes en CDI dans les régions Paca et Occitanie.
La société Ingérop, notamment située à Pertuis et à Laudun-l’Ardoise recherche des chargés d’affaires, chargés d’études, chefs de projet, architectes et bien d’autres dans les secteurs du bâtiment, génie civil et infrastructures. Plus de vingt postes en CDI sont à pourvoir.
Basé en Île-de-France, Ingérop travaille sur différents domaines de la construction tels que le bâtiment, l’eau, l’infrastructure, la mobilité, les transports, etc. Le groupe a notamment travaillé sur le projet de tramway à Avignon.
Pour en savoir plus sur leur recrutement et leurs offres d’emploi, cliquez ici.
V.A.
430 postes à pourvoir en Provence-Alpes-Côte d’Azur chez Spie
La Mut’ –Mutualité française- recherche 80 professionnels en Contrat à durée indéterminée et déterminée (CDI, CDD) pour les Bouches-du-Rhône.
Il est question d’Aide-soignant H/F (homme ou femme) 17,5 heures hebdomadaires pour le SSIAD à Marseille (Service des soins infirmiers à domicile), des Opticiens H/F à Salon-de-Provence , des Audioprothésistes H/F à Aix-en-Provence, des Chirurgiens-dentistes omnipraticiens H/F à Aix-en-Provence, des Auxiliaires de puéricultures, diplôme état H/F, et animateur petite enfance H/F CAP pour les crèches.
Les 900 salariés de la Mut’ La Mutualité Française PACA SSAM (Provence-Alpes-Côte d’Azur, services de soins et d’accompagnement mutualistes) exercent des métiers très divers nécessitant une formation diplômante appropriée. On dénombre plus de 80 métiers au sein de cette entreprise mutualiste, que ce soit dans les domaines du soin, du médico-social, de la distribution de biens médicaux, ou encore dans les fonctions dites « supports ». Actuellement, ce sont plus de 80 nouveaux collaborateurs qui sont recherchés dans toute la région Paca. Les CV (Curriculum vitae) et lettres de motivation sont à envoyer à : recrutement@lamut.fr www.lamut.fr
A propos de la Mutualité Française PACA SSAM Présidée par Dominique Trigon et dirigée par Catherine Hêtre, la Mut’ est un réseau d’une centaine de services de soins et d’accompagnement mutualistes au savoir-faire médical et social reconnu, fort de 900 salariés. Optique, dentaire, audition, petite enfance, prévention dépendances et handicap, DRAD (Dispositifs renforcés de soutien au domicile), maisons de santé pluriprofessionnelles, déficience visuelle, téléassistance, accompagnement social, service infirmier, Samu social, tels sont les champs d’intervention de la Mut’ – MF PACA SSAM, qui place l’humain au cœur de ses actions. MH
430 postes à pourvoir en Provence-Alpes-Côte d’Azur chez Spie
Ce plan de recrutements d’envergure concerne l’ensemble des métiers et les filiales du Groupe. Plus précisément ? L’entreprise recherche des jeunes diplômés, cadres, ingénieurs, techniciens mais aussi alternants et stagiaires préparant des diplômes de bac+2 à bac+5 «Les enjeux de sécurité et de maitrise des risques n’ont jamais été autant d’actualité assure Philippe Maillard, directeur général du groupe Apave. La transition écologique et la révolution numérique modifient en profondeur la nature des risques techniques, humains, environnementaux ou numériques, et la façon de les gérer.»
Les profils recherchés ? L’Apave recherche des ingénieurs chargés d’affaires Environnement et Energie, des techniciens en Mesures Environnementales ; des techniciens chargés d’Inspection en électrotechnique, Radioprotection, Mécanique, Matériaux, Mesures Physiques ou encore CND ; des ingénieurs Génie Civil, Electrotechnique, Mécanique, Constructions soudées, Hygiène Sécurité Environnement (HSE), des coordonnateurs Sécurité et Protection de la Santé (SPS) ; des diagnostiqueurs immobiliers et amiante et des commerciaux.
Comment tout a commencé Ernest Zuber, vice-président de la SIM (Société Industrielle de Mulhouse) fonde, en 1867, avec d’autres industriels, l’Apave (l’Association Alsacienne des Propriétaires d’Appareils à Vapeur) car, dans la deuxième moitié du 19ème siècle, les premières machines à vapeur sont à l’origine de nombreux accidents dans les usines. Son objectif : renforcer la sécurité, éviter les risques d’explosion et réaliser des économies d’énergie.
Les chiffres Le groupe Apave en chiffres ce sont 1 milliard de chiffre d’affaires ; 12 650 collaborateurs ; 170 centres de formation ; 150 ans d’expérience ; 130 agences en France ; 45 pays dans le monde ; 18 centres d’essais industriels et un centre de formation des apprentis. MH
430 postes à pourvoir en Provence-Alpes-Côte d’Azur chez Spie
Pôle emploi Provence-Alpes-Côte d’Azur et l’AFT Paca Corse viennent de conclure un partenariat afin de « faciliter et anticiper les recrutements du secteur transport-logistique » dans la région. L’enjeu est de taille car cette activité constitue un secteur phare de l’économie locale avec plus de 100 000 salariés. La filière représente 8% de l’emploi régional et a affiché une croissance de 16,5% de ses effectifs au cours des 5 dernières années. En Vaucluse, le transport et la logistique représente 12 206 salariés répartis dans 696 établissements. Par ailleurs, le nombre de DPAE (déclaration préalable à l’emploi) s’est monté à 8 499 en 2021 dans le département (+12% en un an) alors que le nombre d’offres d’emploi s’élève actuellement à 1 816 dont 1 135 en CDI (Contrat à durée indéterminée).
Mieux anticiper les besoins Le but de ce partenariat est d’anticiper les évolutions du secteur pour pouvoir répondre aux nouveaux besoins en compétences notamment en mettant en place des actions de formation. Les deux institutions travailleront également ensemble pour livrer des diagnostics et portraits de secteur afin d’affiner et partager leurs connaissances sur les enjeux du secteur. Ce rapprochement entre les deux réseaux va aussi permettre aux 450 conseillers entreprise de Pôle emploi de mieux connaitre les conditions d’exercice, les spécificités des différents métiers et les attentes des professionnels du transport logistique en termes de savoir-faire et savoir-être. « Accompagner le développement économique des secteurs stratégiques de la région fait pleinement partie des missions de Pôle emploi, nous avons un rôle à jouer pour mettre à mal les a priori sur certains métiers et favoriser la mixité professionnelle en incitant les jeunes, les femmes, les demandeurs d’emploi de longue durée à s’orienter vers ces métiers », explique Pascal Blain, directeur régional de Pôle emploi.
Des métiers méconnues et parfois en tension Avec plus de 5 900 établissements en région, Pôle emploi estime que le secteur est un vivier d’emplois important qu’il s’agisse du transport de voyageur, de marchandises ou sanitaire et certains métiers connaissent même des tensions. Pour Caroline Gouy, déléguée régionale de l’AFT « cette situation s’explique en partie par une méconnaissance des métiers et des conditions de travail qui ont pourtant beaucoup évolué notamment en termes de pénibilité. » Pour les adhérents de l’AFT Paca-Corse, ce partenariat sera donc l’occasion de mieux appréhender l’offre de services de Pôle emploi dédiée aux entreprises et de pouvoir s’en emparer. Présentation des aides à l’emploi, accompagnement dans la mise en place d’actions de formation, de pré-recrutement et de sélection des candidats grâce aux différents formats de rencontres (‘job dating’, ‘escape game’, ateliers découverte des métiers) proposés par les agences Pôle emploi… ils pourront mobiliser selon leurs besoins toute l’expertise d’un service RH (Ressources humaines) dédié.
L’avenir appartient aux femmes Identifiée par Pôle emploi comme l’une des 12 filières porteuses en Paca dans le cadre de son programme ‘Expertises d’avenir’, l’organisme entend notamment y orienter les demandeurs d’emplois dont les profils ne sont pas forcément les premiers auxquels on pense. Et plus particulièrement les femmes. « Le transport logistique compte seulement 19 % de femmes, rappelle Caroline Gouy. Sensibiliser et attirer les femmes vers ces métiers est une des possibilités de répondre aux difficultés de recrutement. » Il s’agira alors de capter précisément les besoins, de les traduire en achats de formation et si nécessaire d’y répondre ensuite.
430 postes à pourvoir en Provence-Alpes-Côte d’Azur chez Spie
Guillaume Le Goff a été nommé directeur des territoires Provence-Alpes-Côte d’Azur-Auvergne-Rhône-Alpes pour l’activité ‘services aux entreprises’ de Suez.
Après 15 années passées dans le secteur du négoce, de la supply-chain et de la distribution de produits pétroliers, Guillaume Le Goff a rejoint le groupe Suez en 2014 en qualité de directeur d’agence de la Normandie pour l’activité recyclage et valorisation des déchets.
En remplacement de Bruno Lavigne, il dirige désormais une équipe de près de 600 collaborateurs engagées dans le recyclage et la valorisation des déchets à travers 5 agences régionales sur les deux territoires. Il a pour principales missions d’accompagner les entreprises et industriels dans leurs réflexions et à la mise en place d’actions concrètes en faveur de l’économie circulaire grâce aux solutions et services proposés par Suez.
« Je suis ravi d’accompagner nos clients et parties prenantes dans la réduction de leur empreinte environnementale, grâce à des solutions tangibles de valorisation sous forme de matières et d’énergies », a-t-il commenté dernièrement. Au total, l’activité ‘services aux entreprises’ recyclage et valorisation compte plus de 9 000 clients, artisans, TPE mais aussi de grands groupes. Ils sont répartis sur tous les secteurs d’activité, de l’industrie au BTP, mais aussi dans les services, la distribution, la santé ou encore la logistique.
L.M.
430 postes à pourvoir en Provence-Alpes-Côte d’Azur chez Spie
Provence-Alpes-Côte d’Azur, Auvergne-Rhône-Alpes et Nouvelle Aquitaine, ces trois régions ont été définies par Perl, filiale de Nexity et Erilia comme des zones stratégiques de construction. Ambition ? Construire 450 logements sociaux, intermédiaires et abordables, en zones tendues, dans les trois ans. Avec quels outils ? L’usufruit locatif social et locatif intermédiaire (ULS et ULI).
L’idée provient à la fois de l’énorme potentiel d’épargne actuellement disponible et du peu de produits financiers proposé ce dont Tristan Barrès, directeur général de Perl, se fait l’écho : «L’épargne privée disponible est abondante. Elle doit être davantage utilisée pour renforcer la production de logements abordables en complément de la production classique.»
Du côté d’Erilia «Ce partenariat nous permet d’offrir une solution complémentaire à nos offres habituelles, précise Frédéric Lavergne, directeur général d’Erilia. En zone tendue, le dispositif d’ULS a déjà fait ses preuves, d’ailleurs nous l’éprouvons depuis plus de 10 ans. Ce partenariat avec Perl, leader de ce dispositif, viendra ajouter une brique à nos solutions immobilières traditionnelles.»
En savoir plus sur Perl Perl est un spécialiste en investissement en nue-propriété adossé à l’usufruit locatif « ce qui permet de produire du logement abordable en mobilisant de l’épargne privée et en construisant en cœur de villes et dans les grandes métropoles où croît la tension foncière. » La promesse de l’entreprise ? « Produire des logements à loyers abordables sur l’ensemble du territoire, en mobilisant une épargne privée, socialement responsable et économiquement performante. »
Qu’est-ce que l’usufruit locatif ? Le modèle d’Usufruit locatif social associe investisseurs privés, collectivités locales et bailleurs sociaux dans la production de logements, neufs ou anciens. Il repose sur un démembrement de propriété : l’usufruit du bien est détenu par un bailleur social tandis que sa nue-propriété appartient à un investisseur privé. Le bailleur social loue les logements à des ménages sous conditions de ressources, moyennant des loyers sociaux ou intermédiaires. Le nu-propriétaire, quant à lui, ne perçoit aucun loyer mais il bénéficie d’un régime fiscal favorable et le bailleur social lui garantit la libération du bien et sa remise en état à l’échéance de la convention.
Exemple de construction DR
Avantages de l’usufruit locatif social
Pour l’acquéreur de la nue-propriété Ce dispositif d’investissement locatif connaît un succès croissant. En effet, l’acquéreur de la nue-propriété achète un bien immobilier pour un prix réduit par rapport à sa valeur en pleine propriété et bénéficie d’avantages fiscaux (intérêts d’emprunts déductibles d’éventuels revenus fonciers, réduction de la base imposable à l’ISF) pendant le démembrement de propriété ; l’usufruit locatif social peut également être utilisé comme outil de transmission du patrimoine.
Pour le bailleur social L’acquisition de l’usufruit peut être intégralement financée par les loyers ;
Pour la collectivité locale Les logements entrent dans le quota de logements sociaux de la loi SRU ;
Pour les pouvoirs publics Le dispositif permet d’augmenter l’offre de logements sociaux là où leur financement est le plus difficile, en zone tendue, sans qu’il soit nécessaire de les subventionner.
Dans le détail
Le démembrement de propriété consiste à séparer la pleine propriété d’un bien en la partageant entre la nue-propriété (droit de disposer du bien) et l’usufruit (droit d’usage du bien, c’est l’ « usus » mais aussi droit d’en percevoir le « fructus », les loyers). Ainsi, en démembrant un bien, il y a la personne qui possède le bien et celle qui l’utilise. C’est sur ce principe que l’usufruit locatif social s’est basé pour compléter les différents modes de financement du logement social. Depuis 2006, ce nouveau mode de financement est d’ailleurs encadré par la loi ENL (Engagement National pour le Logement).
Ce type de programme se développe donc dans de nombreuses villes, notamment celles qui connaissent une importante tension foncière et qui doivent développer leur offre de logements sociaux. Avec le mécanisme de l’usufruit locatif social, l’investisseur fait l’acquisition de la nue-propriété d’un bien immobilier neuf et il n’en paie en moyenne que 60% du prix. Ce montant peut varier entre 50 et 70% selon la durée de l’usufruit notamment, mais dans tous les cas, il n’achète donc que la nue-propriété du logement.
L’usufruit de ce même bien est alors acquis par un bailleur social pour une durée qui peut s’étendre de 15 à 20 ans. C’est ce même bailleur social qui est en charge de louer le bien sous condition de ressources, d’où la notion d’usufruit locatif « social ». L’acquéreur de la nue-propriété n’a donc pas à se soucier de la gestion locative du bien puisque c’est le bailleur social qui s’en charge et qui, d’ailleurs, en perçoit les loyers. Cet usufruit est temporaire, il est définit par la durée du bail signé.
A terme, c’est l’acquéreur de la nue-propriété qui récupère la pleine propriété du logement. A lui de choisir de poursuivre la location (avec ce même locataire ou non) ou de revendre le bien. Il peut aussi très bien choisir d’y habiter. Dans tous les cas, le nu-propriétaire a le droit de décider de donner congé au locataire 6 mois avant la fin de l’usufruit. (Source Notaires.fr)
Erilia en chiffres en 2020 Erilia réalise un chiffre d’affaires de 388,9M€, loge 127 816 personnes, a mis 1 290 logements en chantier et en a livré 248. La société à mission accueille 910 collaborateurs dont 614 sont dévolus aux services de proximité. Erilia est agréée organisme de foncier solidaire pour les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur ; Occitanie, Corse, Nouvelle Aquitaine et Auvergne-Rhône-Alpes. Son cœur de métier ? la construction en maîtrise d’œuvre directe, en acquisition amélioration, en Vefa (vente en état futur d’achèvement) en aménagement, accession sociale à la propriété, en vente de patrimoine et gestion de co-propriété. www.erilia.fr
Exemple de construction DR
430 postes à pourvoir en Provence-Alpes-Côte d’Azur chez Spie
La Chambre d’agriculture Provence-Alpes-Côte d’Azur organise un webinaire destiné aux agriculteurs de la région. Le thème : « Comment mettre en place un drive de produits fermiers ? », mercredi 12 janvier de 13h30 à 15h00.
L’agriculture évolue, les modes de commercialisation des produits agricoles aussi. Vendre directement ses produits, c’est tentant… mais comment s’y prendre ? Créer une boutique en ligne, installer un drive de produits à la ferme, utiliser un distributeur automatique collectif avec d’autres producteurs… Les solutions existent, chacune présente un certain nombre d’avantages et de contraintes.
Ce webinaire est animé par des conseillers experts des chambres d’agriculture, qui présenteront les démarches, les services et les outils spécifiques conçus notamment dans le cadre de la marque « Drive fermier Bienvenue à la ferme ». Des témoignages de porteurs de projet viendront également nourrir le partage d’expériences.
Participation gratuite sur inscription préalable. Enregistrement en ligne : cliquez ici.