6 mai 2024 |

Ecrit par le 6 mai 2024

‘De parc en parc’ : les Parcs naturels régionaux de la région pour la transition écologique

‘De parc en parc’, c’est une tournée régionale réalisée par le vélo-reporter Jérôme Zindy. Le tournage vidéo, qui a débuté le 27 septembre et terminera le 26 octobre, a pour objectif de mettre en avant les initiatives d’atténuation et d’adaptation au changement climatique des Parcs naturel régionaux de Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Depuis le 27 septembre dernier, Jérôme Zindy sillonne les Parcs naturels régionaux de la région Paca à vélo afin de réaliser une série de reportages sur les engagements des Parcs en faveur de la transition écologique et énergétique. Ce projet s’inscrit dans le cadre du partenariat avec le réseau des Parcs, le Groupe régional d’experts sur le climat (GREC) et la Région Sud.

Chaque Parc naturel régional mène des expérimentations d’atténuation et d’adaptation au changement climatique en collaboration avec les acteurs du territoire dans lequel il se situe. Adaptation des productions viticoles, désartificialisation des sols, ou encore développement de pratiques agroécologiques… Cette tournée est l’occasion pour les Parcs de réaffirmer leurs engagements, sensibiliser le public, mais surtout sensibiliser les élus locaux des communes situées au sein des Parcs régionaux.

Un projet à vélo

Afin d’être cohérent jusqu’au bout avec les objectifs du projet, Jérôme Zindy a choisi de réaliser son parcours à l’aide d’un vélo électrique solaire, dans le but de réaliser un tournage zéro carbone. Pendant un mois entier, Jérôme réalisera plus de 1000km à vélo afin de promouvoir la transition écologique tout en limitant l’impact environnemental de ses productions.

Pour le reporter, cette solution écologique permet également de créer un lien physique sur le terrain entre les neuf Parcs de la Région Sud, et de faire connaître les solutions d’atténuation et d’adaptation expérimentées au sein de chaque Parc en les documentant et en les faisant ‘symboliquement’ passer d’un Parc à un autre.

Neuf Parcs, neuf films

À l’issue de ce tournage, neuf films de sensibilisation verront le jour. Il sera possible de les visionner sur l’ensemble des plateformes digitales des Parcs telles que Youtube ou leurs autres réseaux sociaux. Ils seront également diffusés dans chacun des Parcs.

Le périple de Jérôme a débuté le 27 septembre à Forcalquier, dans le Parc naturel régional du Luberon, où le sujet a tourné autour de la désimperméabilisation et de la végétalisation des cours d’écoles pour atténuer les effets du changement climatique et connecter les nouvelles générations à la nature. Le 29 septembre, le reporter s’est dirigé vers les Gorges de la Méouge, dans le Parc des Baronnies provençales qui tente de concilier tourisme et préservation de la nature dans un contexte où fortes chaleurs riment avec augmentation de la fréquentation des rivières dites « instagramables ».

Jérôme Zindy s’est ensuite rendu au refuge du Viso, au sein du Parc du Queyras, le 4 octobre, où il a poursuivi son tournage sur le thème sur la réduction de l’empreinte écologique du refuge afin de limiter son impact sur un site fragile et sensible en haute montagne et mesurer les effets du changement climatique deux fois plus rapide en montagne. Le 10 octobre, il se rendra au hameau de Pont du Loup dans le Parc des Préalpes d’Azur qui se prémunie des pluies torrentielles et maintient l’humidité dans les sols pour favoriser la production agricole locale en restaurant les restanques en pierres sèches. Le Parc du Verdon sera à l’honneur le 13 octobre. Jérôme se rendra à Saint-Jurs pour réaliser un film sur la protection de la ressource en eau et l’adaptation de la production agricole sur le plateau de Valensole grâce au développement des pratiques agricoles vertueuses. Le 18 octobre, Jérôme Zindy ira à Plan d’Aups Sainte-Baume, au sein du Parc de la Sainte-Baume, qui adapte les pratiques sylvicoles pour rendre les forêts plus résilientes face au changement climatique.

Le 21 octobre, le reporter roulera jusqu’à Salin-de-Giraud pour montrer comment le Parc de Camargue lutte contre les submersions marines dans un contexte d’élévation du niveau de la Méditerranée en renaturant les Étangs et Marais des Salins. L’avant-dernière étape du périple sera à Saint-Etienne-du-Grès et Aureille dans le Parc des Alpilles qui facilite le développement de l’énergie solaire photovoltaïque sans empiéter sur les terres agricoles et naturelles. Enfin, le tournage se clôturera à Mazan en Vaucluse le 26 octobre. Ce dernier film sera centré sur le Parc du Mont-Ventoux et l’adaptation des vignobles au changement climatique, au travers du réseau Agri Climat Ventoux qui fédère de nombreux partenaires locaux.

V.A.


‘De parc en parc’ : les Parcs naturels régionaux de la région pour la transition écologique

Le projet d’une table interactive de découverte du territoire Luberon-Lure a été proposé en 2021 lors des rénovations de la Maison du Parc à Apt. Ce nouveau dispositif de médiation et d’interprétation des patrimoines vient d’être installé et inauguré.

Cette table interactive est un nouvel appareil de médiation et d’interprétation des patrimoines, en complément des espaces muséographiques de la Maison du Parc à Apt. C’est un outil numérique qui vient enrichir les visites des salles d’exposition permanente.

Son objectif est de proposer une nouvelle forme d’expérience ludique et pédagogique en grand format aux visiteurs, tout en les sensibilisant sur les différentes facettes du Parc naturel régional du Luberon : sur son territoire, sur ses patrimoines naturels, culturels, paysagers et agricoles, mais aussi sur les missions et les actions de la Maison du Parc.

Une table, quatre applications

Lors de l’élaboration de cette table interactive, quatre applications ont été créées afin de rendre l’outil accessible à tous, les grands comme les petits. Premièrement, la table possède une carte illustrée du territoire avec près de 200 points d’intérêt commentés et illustrés. Sur cette carte, on y trouve les 100 communes du territoire Luberon-Lure, des zooms sur les patrimoines naturels, culturels et agricoles, l’évolution des paysages, les offices de tourisme, les marchés paysans, et bien d’autres choses.

Les visiteurs pourront également jouer à des jeux. Un sur la faune et la flore, où ils devront replacer les bonnes espèces sur les bons milieux, avec des intrus et des sons d’animaux. Un autre, développé spécifiquement pour les enfants, où ils devront reformer un puzzle géologique interactif.

Enfin, la table interactive comprendra également plusieurs vidéos que les visiteurs pourront visionner à leur guise afin de découvrir à la fois les richesses du territoire et les actions du Parc et de ses partenaires pour les préserver et les valoriser.

L’entrée de la Maison du Parc est libre du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 18h, sauf les jours fériés. 60 Place Jean Jaurès, Apt.

V.A.


‘De parc en parc’ : les Parcs naturels régionaux de la région pour la transition écologique

Depuis trois ans, le nouveau projet de Charte pour 2025-2040 pour le Parc naturel régional du Luberon est préparé en concertation avec la Région Sud, le Vaucluse et les Alpes-de-Haute-Provence, les communes et les intercommunalités, mais aussi avec les acteurs locaux. Cette Charte vient d’être approuvée par vote du Comité syndical du Parc.

L’objectif du Parc naturel régional du Luberon pour les années à venir est d’anticiper les évolutions environnementales, sociétales, climatiques et économiques afin de les atténuer ou de s’y adapter. Le projet consiste à mettre en place des solutions pour léguer des patrimoines, des ressources et des outils aux générations futures, leur permettant à leur tour de transmettre un territoire préservé, habité et dynamique.

Les contours de ce projet se déclinent en six défis :

  • Fédérer les femmes et les hommes pour faire territoire.
  • Organiser le territoire pour faire des singularités un atout.
  • Préserver les biens communs afin d’assurer l’harmonie d’un territoire vivant.
  • Promouvoir un développement éco-innovant valorisant les ressources et les talents locaux.
  • Généraliser des modes de vie résilients, sources de bien-être pour respirer mieux.
  • Être un passeur de relais pour transmettre les cultures du territoire.

« Avec ces six défis à relever et les deux axes forts que sont la lutte contre le changement climatique et le maintien de la biodiversité, nous préparons l’avenir des générations futures, l’après 2040 », déclare Dominique Santoni, présidente du Conseil départemental de Vaucluse et présidente du Parc naturel régional du Luberon.

Et en attendant 2025 ?

Avant que la Charte ne soit réellement mise ne place, le Parc naturel régional du Luberon doit passer plusieurs étapes telles que l’examen de la Charte par l’État et la visite des rapporteurs, qui se feront en novembre 2022. Le Conseil national de la protection de la nature (CNPN) et de la Fédération nationale des parcs naturels régionaux (FPNRF) donneront leur avis en début d’année 2023, suivi de l’avis motivé du Préfet de région.

La Région ne pourra valider le projet qu’en 2023. S’ensuivra l’avis de l’Autorité environnementale en août 2023, puis une enquête publique le mois suivant. Suite à l’examen final, il y aura l’avis du Ministre en juillet 2024, suivi de l’approbation de la Charte et du périmètre par la Région en fin d’année 2025 pour enfin parvenir au décret de classement du Parc naturel régional par le Premier ministre en avril 2025.

Les 100 communes du Luberon et du versant sud de la montagne de Lure, et les intercommunalités, sont aussi invitées à participer au projet auquel le Parc leur propose d’adhérer. En début d’année 2025, elles pourront librement et volontairement décider d’approuver la Charte aux côtés de la Région et des départements de Vaucluse et des Alpes-de-Haute-Provence.

V.A.


‘De parc en parc’ : les Parcs naturels régionaux de la région pour la transition écologique

Jusqu’au 2 septembre, une exposition est organisée à la Maison du Parc à Apt pour découvrir les arbres remarquables du parc naturel régional du Luberon et de la montagne de Lure. Composée de 15 panneaux, l’exposition est accompagnée des textes de Laurence Chaber et Pierre Lieutaghi.

Disséminés dans tous les paysages du parc naturel régional du Luberon et de la montagne de Lure, les arbres constituent un patrimoine aussi riche que méconnu. Une étude menée par l’association ÉPI pour le Parc a permis de recenser plus de 800 arbres appartenant à 60 espèces. Cela exprime à la fois l’importance du patrimoine arboré et sa diversité biologique.

L’âge, les dimensions, la beauté, la situation dans le paysage, une histoire particulière, la rareté éventuelle comme espèce botanique, sont les principaux facteurs qui décident de la ‘remarquabilité’ d’un arbre. Jusqu’au 2 septembre, une exposition, composée de 15 panneaux, est organisée à la Maison du Parc à Apt pour découvrir ces arbres remarquables, qui ont traversé les siècles, avec des textes de Laurence Chaber et Pierre Lieutaghi.

Exposition jusqu’au 2 septembre à la Maison du Parc à Apt, 60 places Jean-Jaurès. Entrée Libre. Du lundi au vendredi sauf 14 juillet et 15 août, de 8h30 à 12h et de 13h30 à 18h. Réservation au 04 90 04 42 00.

J.R.


‘De parc en parc’ : les Parcs naturels régionaux de la région pour la transition écologique

Ce dimanche 10 juillet à 21h10, nous découvrirons la beauté et les secrets du parc naturel régional du Luberon dans l’émission Capital, diffusée sur la chaîne télévisée M6, qui présentera le reportage ‘Camargue, Luberon, Verdon : le bon filon des parcs naturels’.

Ce reportage suivra Julien, qui travaille dans le parc naturel régional du Luberon depuis 10 ans, et son équipe, qui assurent le programme de protection des vautours. Un programme qui coûte 15 000€ par an et qui permet d’héberger ces oiseaux en voie d’extinction dans le parc entre mars et août avant qu’ils ne rejoignent les côtes nord-africaines.

V.A.


‘De parc en parc’ : les Parcs naturels régionaux de la région pour la transition écologique

Jeudi 30 juin, afin de marquer officiellement la fin de leur formation, Renaud Muselier, président de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, a remis les blasons à la nouvelle promotion de la garde régionale forestière. Parmi les 185 nouveaux gardes régionaux, 46 protégeront les massifs du Vaucluse.

« Depuis 5 ans, les pompiers peuvent compter sur notre entière mobilisation pour mener la ‘guerre du feu’ à leurs côtés, rappelle Renaud Muselier, président de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, président délégué de régions de France. Avec la garde régionale forestière, nous avons voulu mettre en place une véritable force de frappe contre les incendies de forêt et nos 185 gardes régionaux en sont un maillon essentiel »

En première ligne de la guerre du feu
Avec la prolifération des ‘mégafeux’ partout en Méditerranée, la garde régionale forestière est un dispositif essentiel pour lutter contre les incendie. Mise en place par la Région Sud, deuxième région la plus boisée de France avec 1,6M d’hectares, la garde est déployée tout l’été sur le territoire en soutien de la sécurité civile. Elle se compose de jeunes âgés de 18 à 25 ans, formés par des professionnels du feu et connectés aux sapeurs-pompiers et aux comités communaux des feux de forêt (CCFF) au sein des parcs et espaces naturels de la région Sud.

Jeudi 30 juin, afin de marquer officiellement la fin de leur formation, Renaud Muselier, président de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, président délégué de régions de France, François de Canson, vice-président en charge du développement économique de l’attractivité, du tourisme et de la prévention des risques majeurs, Ludovic Perney, vice-président en charge de la jeunesse, des sports et de la vie étudiante, ainsi que Jacqueline Bouyac, vice-présidente et présidente du parc naturel régional du Ventoux et de la Cove, ont remis les blasons aux 185 nouveaux gardes régionaux de la promotion Amiral Augier.

A cette occasion, le Vice-Amiral, Patrick Augier et Gilles Allione, ancien président CCFF du Var, ont reçu la médaille d’honneur de la Région Sud pour leur engagement lors de la crise sanitaire et leurs actions dans la guerre du feu, notamment lors du mégafeu du Massif des Maures en 2021.

Parmi les 185 nouveaux gardes régionaux, 46 protégeront les massifs du Vaucluse, dont 5 gardes régionaux déployés dans le pays de Sorgues, 24 mobilisés au parc naturel régional du Lubéron et 17 au parc naturel régional du Ventoux.

Feu de broussailles à Cairanne durant l’été 2020 © Com Sdis Vaucluse

Prévenir les risques grâce à la garde régionale forestière
Créée en 2018, la garde régionale forestière s’inscrit dans le plan climat régional et dans le dispositif ‘guerre du feu’, afin de préserver les milieux naturels et de prévenir les risques d’incendies. En 2022, la Région Sud y a consacré près de 1,2M €.
La garde régionale forestière a pour mission de : développer la culture du risque d’incendie ; renforcer les capacités des acteurs régionaux en matière de prévention, information, sensibilisation et surveillance ; venir en appui des dispositifs de surveillance.

Avant de prendre leurs fonctions dans les différents massifs de la région Sud, les volontaires qui composent la garde suivent plusieurs formations qualifiantes. Dans un premier temps, il s’agit d’une formation théorique autour de la forêt et de ses acteurs. Après ce premier rendez-vous, ils suivent une formation de terrain personnalisée, afin de se familiariser avec leur futur environnement, puis une formation au premier secours, labelisée PSC1. Enfin, leur parcours de formation s’achève par l’apprentissage des bases de communication et de cartographie, au lycée Agricole de Valabre.

Trois principes pour mener la guerre du feu
Pour éviter les drames humains et préserver l’environnement, la Région Sud a engagé plus de 4M € par an depuis 2016. Cette année, 1,5M€ supplémentaire ont été investi dans le dispositif ‘guerre du feu’.
Récemment, la Région Sud a renforcé sa stratégie en faveur de la gestion patrimoniale forestière. Inscrite dans le plan climat régional ‘Gardons une COP d’avance’, cette stratégie s’articule autour de trois principes : prévenir, combattre, reconstruire.


‘De parc en parc’ : les Parcs naturels régionaux de la région pour la transition écologique

Le parc naturel régional du Luberon et ses partenaires du projet alimentaire territorial Luberon organisent le ‘forum de l’agriculture et de l’alimentation durables en Luberon’. Le thème de cette 6e édition est : ‘quelles actions concrètes les collectivités peuvent-elles mettre en place pour développer l’agriculture nourricière sur leur territoire ?’ 

Le parc naturel régional du Luberon et ses partenaires du projet alimentaire territorial Luberon organisent le ‘forum de l’agriculture et de l’alimentation durables en Luberon’, le mercredi 29 juin à la Fruitière numérique à Lourmarin à partir de 8h30.
Le thème de cette 6e édition est : ‘quelles actions concrètes les collectivités peuvent-elles mettre en place pour développer l’agriculture nourricière sur leur territoire ?’.
Cette journée s’adresse aux élus, aux agriculteurs, aux acteurs des filières agricoles/alimentaires, aux professionnels de la restauration collective…. sur réservation auprès de julie.rigaux@parcduluberon.fr

Au programme
Après une matinée d’informations et de retours d’expérience, un temps de discussion autour d’actions concrètes à mettre en place aura lieu l’après-midi. La journée se terminera par des visites selon plusieurs thèmes, à l’image de l’approche multithématique d’un projet alimentaire territorial (PAT)

9h : discours d’ouverture
Patrick Courtecuisse, vice-président du parc naturel régional du Luberon, en charge de l’agriculture et du tourisme durables.

9h10-9h30 : l’agriculture nourricière du Luberon
Julie Rigaux, animatrice du projet alimentaire territorial du Luberon.

9h30-10h30 : conférences
‘Reterritorialiser notre alimentation’ par Nicolas Bricas, chercheur au Cirad (recherche agronomique et coopération internationale), UMR MolSA (unité de recherche interdisciplinaire sur les systèmes agri-alimentaires) et titulaire de la Chaire Unesco Alimentations du Monde.
‘Manger sain et durable, pourquoi et comment ?’ par Denis Lairon, nutritionniste, directeur de recherche émérite Inserm (institut national de la santé et de la recherche médicale)

10h50-12h15 : les actions à l’échelles communale
Alimentation durable pour tous : Ville de Miramas.
Le Gardenlab de Gignac-la-Nerthe : un projet agroécologique, alimentaire et citoyen.
Restauration durable depuis 2015 à Avignon.

14h-16h : échanges dynamiques et définition des actions concrètes : quels outils à disposition des collectivités pour développer un projet agricole et alimentaire local ?
Avec la DRAAF (direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt), la région sud, le département de Vaucluse, la SAFER 04, Terre de liens, les chambres d’agriculture 04 et 84, le réseau régional des magasins de producteurs, l’INRAE, le groupe de recherche en agriculture biologique.

16h15 : départ pour les visites (sur inscription)
Visite 1 : magasin de producteurs « la Bardane » – Cadenet
Visite 2 : élevage – Sébastien Félix – Lauris
Visite 3 : restauration scolaire – Lauris
Visite 4 : projet commune ferme, association au maquis – Lauris
Visite 5 : cité vivante de l’alimentation – mairie de Lauris

Conférences, partages d’expériences de collectivités, échanges et visites de terrain, mercredi 29 juin à la Fruitière numérique à Lourmarin à partir de 8h30 – réservation auprès de julie.rigaux@parcduluberon.fr

J.R.


‘De parc en parc’ : les Parcs naturels régionaux de la région pour la transition écologique

Pour pallier l’extinction des oiseaux migrateurs, le Parc naturel régional du Mont-Ventoux organise un inventaire participatif des hirondelles et des martinets. Pendant cinq samedis durant les mois de juin et juillet, de 9h à 12h, vous pourrez vous aussi faire l’inventaire des nids qui se trouvent dans vos communes.

L’inventaire débutera à Puyméras ce samedi, puis se poursuivra à Entrechaux le 18 juin, à Vaison-la-Romaine le 25 juin, à Faucon le 2 juillet, et se terminera à Crestet le 9 juillet. Pour ce faire, des bénévoles du groupe local de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) du Ventoux vous apprendront à reconnaître les différentes espèces et vous guideront dans la protection de leurs colonies.

Pour s’inscrire à l’un de ces inventaires, il faut envoyer un mail à contact@parcduventoux.fr ou téléphoner au 04 90 63 22 74.

V.A.


‘De parc en parc’ : les Parcs naturels régionaux de la région pour la transition écologique

Situé à Villars, au cœur du parc naturel régional du Luberon, le Château Saint Pons va de nouveau ouvrir ses portes pour sa saison œnotouristique à partir de ce samedi 21 mai, et ce, jusqu’au 31 août.

Les visiteurs pourront venir découvrir le domaine de 10 hectares situé sur l’appellation d’origine contrôlée Ventoux, accueillis par les propriétaires et vignerons William et Nathalie Monin, arrivés en Provence il y a 4 ans. Au programme : balades bucoliques, ateliers immersifs pour découvrir le métier de vigneron, ou encore pique-niques gastronomiques au milieu des vignes. Les visiteurs pourront également découvrir les sculptures de l’artiste aixois Jean-Claude Lorenzo fabriquées avec des métaux recyclés, qui seront installées dans les vignes.

Pour ajouter une touche festive à cette saison œnotouristique, le Château Saint Pons organisera des ‘Apéros sunset’ tous les vendredis et samedis de 19h à 22h30, à partir du 16 juillet jusqu’au 27 août pour faire découvrir ses différents vins. Les personnes souhaitant prolonger leur expérience au cœur de ce domaine pourront y séjourner. Le Château Saint Pons dispose d’un gîte de 70m² pouvant accueillir jusqu’à 6 personnes qui offre une vue sur les allées de vignes.

Pour découvrir toutes les activités proposées par le Château Saint-Pons et en réserver, cliquez ici.

V.A.

https://www.echodumardi.com/tag/parc-naturel-regional-du-luberon/page/4/   1/1