30 avril 2024 |

Ecrit par le 30 avril 2024

Château de Buoux, matinée de coopération entre entreprises privées et Parc naturel régional du Luberon ce jeudi 17 juin

Le 17 juin 2021, le Parc naturel régional du Luberon invite les entreprises de son territoire à une rencontre de coopération entre les entreprises privées et le Parc, au Château de l’environnement à Buoux, de 8h30 à 12h30.

«Cette première matinée est le fruit d’une réflexion menée depuis plusieurs mois avec nos partenaires, sur le rôle du secteur économique dans la transition écologique, entame Laure Galpin, directrice du parc naturel régional du Luberon. De nombreux acteurs du territoire travaillent sur les questions environnementales, et la coopération entre les différentes composantes de la société nous permettra d’agir pleinement avec des résultats que nous espérons significatifs.»

Venez nombreux

Ainsi, les responsables économiques du Luberon sont invités jeudi 17 juin à échanger avec le Parc du Luberon sur la transition écologique afin d’écrire, ensemble, les premières lignes d’une coopération pour la préservation et l’amélioration du bien commun. Ce temps de partage, qui a pour but de mieux se connaitre et d’envisager des pistes de coopération, s’inscrit également dans le cadre de la révision de la Charte du Parc qui vise à construire le projet du territoire pour 2024-2039. Inscription obligatoire sur : direction@parcduluberon.fr

Au programme le 17 juin matin 

8h30 : accueil ; 9h : présentation des objectifs de cette 1re rencontre par Laure Galpin, directrice du Parc du Luberon ; Présentation du Parc et retour d’expériences réussies avec le secteur privé ; Présentation de la révision de la Charte du Parc 2024-2039 ; Présentation de 3 projets menés par une entreprise et le Parc Présentation du dispositif Leader (Liaison entre actions de développement de l’économie rurale, fonds européen agricole et de développement de l’espace rural) sur l’axe entreprise, par Alexandra Fol-Gutierrez. 10h30 : tour de table. 11h30 : propositions pour de nouvelles coopérations Parc-entreprises. Cette rencontre se fait en partenariat avec les services de l’Etat, le Conseil régional, les intercommunalités, les chambres de commerce et d’industrie, les chambres des métiers et de l’artisanat, les comités de bassin d’emploi…

Château de l’environnement à Buoux, Col du Pointu. 04 90 05 64 67. https://www.parcduluberon.fr/un-quotidien-a-preserver/education-au-territoire/chateau-de-lenvironnement-buoux/
M.H.


Château de Buoux, matinée de coopération entre entreprises privées et Parc naturel régional du Luberon ce jeudi 17 juin

Les 28 et 29 mai prochains, le Parc naturel régional du Luberon invite à la découverte de la géodiversité du Luberon lors des ‘Journées nationales de la géologie’ et de la ‘Semaine des géoparc européens’. Les visites sont organisées en partenariat avec l’office de tourisme intercommunal Luberon Pays d’Apt.

Saignon et sa dalle à empreintes fossiles

Le vendredi 28 mai à 10h et 11h, découvrez le site à empreintes de pas fossiles à Saignon. Des centaines de traces de mammifères mais aussi des empreintes d’oiseaux y témoignent de quelques instants de vie d’animaux, il y a 33 millions d’années, aujourd’hui disparus.

Saint-Saturnin-lès-Apt et les marnes de la Tuilière

Le vendredi 28 mai à 14h et 15h30, embarquez pour un voyage à la découverte d’un pays d’Apt recouvert par la mer, il y a plus de 100 millions d’années et prenez le temps de découvrir cet Espace naturel sensible où géodiversité et biodiversité révèlent leurs étroites relations. Les buttes argileuses de la Tuilière ont participé, au XIXe siècle, à la description d’un nouvel étage de l’échelle internationale des temps géologiques : l’Aptien.

La Maison du parc à Apt et son musée de géologie

Le samedi 29 mai à 9h, 10h, 11h et 12h, partez pour un voyage à la découverte de l’histoire mouvementée du Luberon depuis plus de 150 millions d’années. Vous découvrirez les paysages, la diversité des roches et la richesse des fossiles particulièrement bien conservés qui font la renommée du Luberon, territoire protégé par la Réserve naturelle nationale géologique du Luberon et reconnu Géoparc mondial Unesco.

Les visites sont gratuites et durent une heure. La réservation est obligatoire au 04 90 04 42 00 ou par mail à accueil@parcduluberon.fr. Pour en savoir plus sur le programme, cliquez ici.

L.M


Château de Buoux, matinée de coopération entre entreprises privées et Parc naturel régional du Luberon ce jeudi 17 juin

Jusqu’au 21 mai, l’ONF (Réseau national des forêts) réalise un important inventaire des oiseaux dans la forêt domaniale du Luberon. 91 espèces seront surveillées, parmi lesquelles 7 rapaces. Une richesse due à la présence de falaises, à la proximité de la Durance et aux nombreuses mesures prises pour préserver la quiétude du site.

Préserver la nidification

La forêt domaniale du Luberon, située sur le territoire de la commune de Cheval Blanc dans le Vaucluse, présente de grandes richesses qui attirent de nombreux publics. La fréquentation touristique est importante et surtout concentrée dans les gorges du Régalon. Afin de préserver les sites de nidification des grands rapaces, les activités humaines (survol, photographies animalière, escalade) sont réglementées dans le cadre d’un l’arrêté préfectoral de protection de biotope et de la réglementation de la réserve biologique. Ces mesures ont rendu possible le maintien et l’installation de plusieurs couples d’aigles de Bonelli, de Circaète Jean-le-Blanc et de Vautour Percnoptères, dans la forêt domaniale.

Suivi des rapaces et des passereaux

Les spécialistes avifaune de l’ONF et du Conservatoire des espaces naturels (Cen) réalisent tous les printemps le suivi des rapaces, afin de comprendre leurs comportements : nidification, mode de reproduction, pontes, etc. Lorsqu’un jeune né, le Cen procède à la pose d’une bague d’identification afin de suivre chaque individu tout au long de sa vie. Les petits oiseaux ou passereaux sont également étudiés par l’ONF, sur l’ensemble de la réserve et par le parc naturel régional du Luberon, dans le cadre d’une étude confiée à la LPO (Ligue pour la protection des oiseaux).

Le petit Luberon, une réserve biologique mixte

Créé en 1986 sur 128 hectares, puis agrandie en 1995 et en 2017, la réserve biologique du Petit Luberon atteint 1 788 hectares. Elle est composée de 2 entités : une réserve biologique dirigée et une réserve intégrale. La partie intégrale de 915 hectares, composée de chênaies, pinèdes et de falaises est un observatoire de la dynamique naturelle des forêts sur le long terme. Quant à la partie dirigée de 873 hectares, composée de pelouses, garrigues et forêts, elle fait l’objet de travaux et de pâturage pour maintenir les milieux ouverts. Sans intervention, ces milieux se ferment par le développement naturel de la végétation forestière et perdent leur richesse floristique et faunistique.

Afin de rendre conciliable activités humaines et quiétude des grands rapaces, certaines zones ne sont plus accessibles, comme la Combe de Vidauque et la Réserve biologique intégrale (RBI). En dehors de ces zones de protection strictes, les visiteurs sont invités à rester sur les sentiers balisés afin
d’occasionner le moins de dérangement possible.

L.M


Château de Buoux, matinée de coopération entre entreprises privées et Parc naturel régional du Luberon ce jeudi 17 juin

Le 2 juin 2021, le parc naturel régional du Luberon, les directions départementales de la Cohésion sociale des Alpes de Haute-Provence et de Vaucluse et le réseau Luberon jeunesse (réseau des accueils collectifs de mineurs du Luberon) organisent une journée commune de nettoyage des rives des cours d’eau situés à proximité des centres de loisirs.

Suite aux crues successives de 2019, de nombreux déchets ont été amenés par les eaux, impactant l’ensemble des cours d’eau du territoire et leurs rives, qui sont jonchées de déchets, en majorité plastiques. Des déchets qui, s’ils ne sont pas enlevés par des petites mains, risquent de s’ancrer dans le paysage durant de longues décennies.

La journée du 2 juin sera également une journée d’éducation à l’environnement et à la citoyenneté. Les enfants des centres de loisirs (entre 8 et 15 ans) participeront au nettoyage des rives, pour réduire l’impact des déchets sur la faune et la flore, améliorer l’aspect paysager des cours d’eau, et pour s’approprier leurs cours d’eau : Calavon-Coulon, Aiguebrun, Eze, Durance et Sorgue.

Des ateliers tous les mercredis

En attendant cette journée, des animations sont prévues dans les divers centres de loisirs les mercredis. Au programme pour les enfants des centres de loisirs et leurs animateurs : découverte de la vie de la rivière et présentation de l’impact des déchets plastiques sur les milieux avec l’association ‘la Terre en tête‘, intervenant missionné par le Parc du Luberon.


Château de Buoux, matinée de coopération entre entreprises privées et Parc naturel régional du Luberon ce jeudi 17 juin

Dans le cadre de l’opération ‘rivière propre’, le Parc naturel régional du Luberon (PNRL) et la commune de Goult viennent de procéder à la suppression d’un dépôt sauvage à La Virginière près du Calavon-Coulon.
L’initiative, qui s’inscrit dans le cadre du plan de gestion 2021-2025 des 5 zones humides du Calavon-Coulon, récemment intégrées au réseau des Espaces naturels sensibles (ENS) du Département du Vaucluse, a permis de collecter plus de 10 tonnes de déchets (gravats, plastique, ferraille et bois). Après avoir été triés, ces derniers ont été évacués vers la déchèterie du Sirtom (Syndicat intercommunal de ramassage et de traitement des ordures ménagères) de la région d’Apt, partenaire technique de cette opération.

Habitats naturels à forte valeur patrimoniale
« La parcelle concernée, incluse dans le site Natura 2000 ‘Le Calavon et l’Encrème’, présente des habitats naturels à forte valeur patrimoniale (ripisylve et terrasse alluviale sableuse) qui sont le siège de vie de nombreuses espèces animales et végétales, dont la Bassie à fleurs laineuses, une plante rare et protégée au niveau régional) », explique le Parc naturel régional du Luberon. La réhabilitation de la parcelle se poursuivra dans les prochaines années avec la suppression progressive des cyprès qui s’y développent et qui tendent à acidifier le sol où pousse la Bassie à fleurs laineuses. »


Château de Buoux, matinée de coopération entre entreprises privées et Parc naturel régional du Luberon ce jeudi 17 juin

La forêt est loin de souffrir de déforestation, mais d’un gros déficit de replantation par la main de l’homme qui permet une exploitation des essences par la filière bois. C’est le phénomène qui caractérise la forêt française.
Elle continue donc à s’étendre par un reboisement naturel important, lié à l’abandon des parcelles : l’exode rural, la multi propriété successorale, la modification du régime des jachères, les réformes du fermage en sont les principales causes. Ainsi, les superficies forestières progressent-elles de 1à 2% par an dans notre département où l’on a commencé, il y a quelques jours, à procéder à des coupes de bois en forêt privée afin de contribuer à la protection contre les incendies, au pastoralisme et à la biodiversité des crêtes du Grand Luberon. Les bois prélevés (pins), par arbre entiers, sont situés dans une forêt de pins noirs plantée dans les années 70 abritant des chênes verts, seront valorisés dans la filière bois-énergie.

Ramener de la lumière au sol
Cette opération de la délégation régionale du Centre national de la propriété forestière (CRPF Provence-Alpes-Côte d’Azur), coordonnant plusieurs partenaires, dont le Parc naturel régional du Luberon, « va ramener de la lumière au sol et permettra de restaurer les pelouses auparavant présentes », frayant ainsi un passage aux troupeau, explique Camille Loudun, ingénieure communication et projets environnementaux du CRPF. L’idée est de favoriser la pratique ancestrale du pâturage ovin par les bergers du massif du Luberon le long de la ligne de crête (200 à 300 mètre de large) qui constitue un petit alpage, un pare-feu naturel, une réserve de biodiversité : le pâturage préserve les plantes rares assure la présence d’insectes qui se font désormais bien rares et d’oiseaux qui nous en préservent.
« Nous ne sommes pas un organisme de gestion », reprend Camille. « Notre rôle d’établissement public est de conseiller les propriétaires privés, de mettre à leur disposition des méthodes de sylviculture et de les aider au regroupement – notamment les petits – pour réaliser des projets de desserte, mobiliser les bois, rassembler les chantiers d’exploitation, mutualiser les coûts de travaux forestiers. » En gros, faire vivre la forêt.

Les débuts de la ‘gestion durable’
L’autre rôle de cet organisme né en 1963 est d orienter la gestion des forêts privées : il agrée les documents dits de ‘gestion durable’, prévoyant la gestion d’une propriété sur 10 à 20 ans. Tout propriétaire de plus de 25 ha y est soumis au titre du Plan simple de gestion agréé ou PSG. Ces derniers au nombre de 1 300 couvrent dans notre région un peu plus de 150 000 hectares de forêt contre 100 000 cinq ans plus tôt, soit environ 10% de surface forestière – moitié résineux, moitié feuillus – de notre région aux mains de propriétaires privés.
Ces derniers s’intéressent-ils à l’offre du l’organisme public ? 300 PSG volontaires ont été souscrits, 700 propriétaires sont accompagnés au titre du regroupement et près de 1300 se sont abonnés à « La lettre de votre forêt » dès son premier numéro.
Au plan national, rappelons que dans le cadre de son plan de relance, le gouvernement avait déjà prévu de mobiliser 200 millions d’euros pour l’adaptation des forêts au changement climatique.
En septembre dernier, un rapport soumis au gouvernement par la députée Anne-Laure Cattelot pour pérenniser la filière bois et garantir l’avenir de la forêt, proposait la création d’un fonds doté de 300M€ par an et d’une agence unique pour la mise en œuvre de la politique forestière nationale sur les domaines à la fois publics (25%) gérés par l’ONF et privés (75%).

 

Campagne de recrutement pour la Garde régionale forestière du Luberon

Après une semaine de formation, ils iront courir le bois et arpenter les plus beaux sites naturels du Vaucluse, à la rencontre du public, le sourire en bandoulière : colline Saint-Jacques à Cavaillon, Gorges du Régalon, forêt des cèdres du Petit Luberon, Colorado provençal à Rustrel, vallon de l’Aiguebrun à Buoux… Rejoindre la Garde forestière (135 membre en 2020), c’est pour les jeunes de 18 à 25 ans l’occasion d’aller à la rencontre de ceux qui se baladent, des professionnels de la forêt et du domaine public pour contribuer au rayonnement et à la protection de ces espaces patrimoniaux menacés par les incendies. Le Parc naturel régional du Luberon et le Conseil régional recrutent 24 jeunes pour cette mission qui aura lieu du 24 juin au 31 août 2021.
Fiche de poste et candidature à déposer avant le 15 avril ici

Château de Buoux, matinée de coopération entre entreprises privées et Parc naturel régional du Luberon ce jeudi 17 juin

Les associations ‘Act for Planet’ et ‘Pistache en Provence’ ont offert 30 plants de pistachiers au Parc naturel régional du Luberon, avec lequel elles sont en lien. Depuis 2019, ‘Act for Planet’ agit localement pour lutter contre les effets du réchauffement climatique et ses effets néfastes sur la biodiversité.

La pistache, or vert de la Provence
A l’origine, le pistachier croissait en Asie centrale, dans le Nord-Est de l’Iran et le Nord de l’Afghanistan. Il arrive en France à la fin du XVIIe siècle sous Louis XIV. Sa culture s’est propagée en Provence jusqu’à la fin du XIXe siècle. Cependant, elle a malheureusement dépéri face à la concurrence des grosses productions dans d’autres pays notamment l’Iran, lest Etats-Unis, principalement la Californie, la Turquie, la Chine, puis les trois pays de l’Union Européenne qui sont la Grèce, l’Espagne et l’Italie.

Un arbre rustique
Autrefois, la culture de ce fruit à coque s’étendait sur les contreforts du Ventoux et dans le Luberon jusqu’au milieu du XXe siècle. Culture particulièrement adaptée au climat local, 10 hectares de pistachiers avaient déjà été plantés en vaucluse,en 2018, puis 20 ha en 2019. L’enjeu est de taille puisque la France importe 10 000 tonnes sur les 630 000 tonnes de production mondiale annuelle de pistache. Dorénavant, avec la recherche de qualité et de relocalisation de l’agriculture, l’arbre séduit, tout en apportant une réponse au contexte de réchauffement climatique puisqu’il résiste autant au froid, qu’à la sécheresse et à la chaleur, pouvant supporter des températures allant de  -15°C à +45°C.

Une production accrue
Ainsi, sa production a repris de plus belle grâce à certaines chambres d’agriculture. Dans les vergers conservatoires de la Thomassine, à Manosque,  une collection de 7 variétés de pistachiers sera également plantée ce mois, grâce au soutien financier et technique de l’association ‘Pistache en Provence’ et du ‘Fonds épicurien’, qui accompagnent et soutiennent les agriculteurs dans leurs plantations.

Calista Contat-Dathey


Château de Buoux, matinée de coopération entre entreprises privées et Parc naturel régional du Luberon ce jeudi 17 juin

Après un premier passage sur France 2 le 14 janvier dernier, France 3 rediffuse ce vendredi 29 janvier un reportage consacré au Parc naturel régional du Luberon avec Lionel Fra, producteur d’huile essentielle de lavande fine bio AOP à Lagarde-d’Apt.

Le reportage s’inscrit dans une série de 31 films courts inédits sur les Parcs naturels régionaux. Intitulés ‘Initiatives de nos régions’ et parrainés par la SNCF Intercités, ces programmes ont pour objectif de montrer que les territoires labellisés ‘Parc naturels régionaux’ ne sont pas des espaces naturels figés mais bien des lieux d’innovation, de créativité autour d’hommes et de femmes qui les font vivre et évoluer quotidiennement.

Créé en 1977, le Parc naturel régional du Luberon regroupe 77 communes sur deux départements (Vaucluse et Alpes de Haute-Provence) au cœur de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il s’étend sur 1 850 km2 et abrite 183 500 habitants.

Vendredi 29 janvier à 20h10 sur France 3.


Château de Buoux, matinée de coopération entre entreprises privées et Parc naturel régional du Luberon ce jeudi 17 juin

Avec l’arrivée de la neige, le Parc naturel régional du Luberon a constaté une forte augmentation de la circulation d’engins terrestres motorisés de loisirs dans les espaces naturels, et notamment sur les crêtes du Grand Luberon.

Dans un communiqué, le Parc du Luberon souhaite rappeler qu’afin de concilier activités humaines et protection de la nature, « la circulation des véhicules terrestres motorisés dans les espaces naturels est règlementée en France depuis 1991. Toute pratique du hors-piste est ainsi strictement interdite. En Luberon, depuis l’arrêté préfectoral modifié du 8 janvier 2007, seuls les personnels en mission de service public, les propriétaires et ayants droit (sur les terrains leur appartenant ou pour accéder à leur propriété) et les détenteurs d’une dérogation d’accès au territoire de chasse peuvent circuler en véhicule terrestre motorisé sur les pistes et chemins des massifs du Petit Luberon, du Grand Luberon et de Saint-Sépulcre. »

Cette régulation vise à préserver les écosystèmes fragiles, le patrimoine naturel commun que sont les paysages et les sites, la faune et la flore. Le Parc du Luberon demande une grande vigilance quant au respect de la réglementation et invite chacun à se renseigner au préalable en mairie ou sous-préfecture en cas de doute sur l’ouverture à la circulation d’une voie.

https://www.echodumardi.com/tag/parc-naturel-regional-du-luberon/page/6/   1/1