28 mars 2024 |

Ecrit par le 28 mars 2024

Avez-vous la flemme olympique ?

Dans les prochains mois la France va connaître la fièvre des Jeux Olympiques. Un événement planétaire qui devraient focaliser toutes les attentions, déchainer les passions comme les polémiques, et surtout ravir les amoureux du sport. Le décompte commencera avec le traditionnel parcours de la flamme qui passera par le Vaucluse le 19 juin prochain.

Conformément à la tradition, la flamme sera rallumée par les rayons du soleil le 16 avril prochain, dans le sanctuaire d’Olympie en Grèce. Elle embarquera ensuite à bord du Belem pour arriver le 8 mai au port de Marseille. Choisir un bateau qui se meut avec la force du vent c’est déjà peut-être prendre un risque pour la flamme ? Mais bon. La cité phocéenne sera donc le point de départ d’un incroyable tour de France qui s’achèvera le 26 juillet à Paris, lors de la cérémonie d’ouverture des jeux. 68 jours d’un parcours de 12 000 km en France métropolitaine et d’outre-mer. 400 villes traversées et 11 000 porteurs et porteuses. Dans le Vaucluse, ils seront une centaine a porter le flambeau.

Un « Reader’s Digest » de notre pays en quelque sorte

Derrière cette épopée l’idée est de mettre en valeur les richesses et les patrimoines de notre pays. Tour à tour seront convoqués l’histoire avec quelques sites et personnages emblématiques. Bonjour le château de Versailles et Jeanne d’Arc ! Des sites naturels non moins exceptionnels seront également mis en vedette. Bonjour le Mont Saint-Michel et les gorges du Verdon ! L’exposé ne serait pas complet si les savoir-faire ou la créativité française n’étaient pas à l’honneur. Bonjour le viaduc de Millau ou le centre spatial de Kourou. Évidemment il ne fallait pas oublier les lieux où le sport s’est construit une image ou un mythe. Bonjour le Mont-Ventoux ou le stade vélodrome. Bref vous l’aurez compris le parcours de la flamme olympique c’est un condensé de la France en 68 jours. Un « Reader’s Digest » de notre pays en quelque sorte. Ou en tout cas pour ses plus beaux aspects.

Faute de JO sera donc le passage de la flamme. Maigre consolation.

En fait pour une très grande majorité de français le parcours de la flamme olympique sera la seule façon de « voir en vrai » les JO de Paris. Les prix des places pour assister aux compétitions sont inaccessibles à la grande majorité d’entre nous et cela malgré les explications peu convaincantes des organisateurs. On est loin de la promesse de jeux pour tous les français ! Faute de JO sera donc le passage de la flamme. Maigre consolation. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé que pour moi ce sera la « flemme olympique ». Je n’irais pas voir passer le flambeau et je me contenterai du petit écran pour vivre cet événement sportif que j’attends avec une certaine gourmandise, malgré tout.


Avez-vous la flemme olympique ?

Le 24 novembre, une quarantaine d’architectes s’est retrouvée à Apt puis à Roussillon dans le cadre du cycle de visites « Architecture et Bois » avec Fibois Sud.

Le 24 novembre, une quarantaine d’architectes s’est retrouvée à Apt pour découvrir l’Espace Départemental des Solidarités, réalisation remarquable réalisée par l’architecte Frédéric Nicolas (Apache Architectes) et l’architecte associé Philippe Mathieu (PHM Architectes), un projet qui a été récompensé par le Prix National de la Construction Bois 2023. Ils se sont ensuite rendus à Roussillon pour découvrir le sentier des Ocres, réalisé par Hélène Bensoam (Alep Paysages). Ces visites ont été organisées dans le cadre du cycle  » Visites Architecture et Bois » grâce au partenariat entre l’Ordre des Architecte Paca et Fibois Sud.

Présentation de la filière forêt-bois
Florent Bigo, directeur de Fibois Sud, a ainsi présenté la filière forêt-bois régionale et ses enjeux. Cette journée était l’occasion de comprendre l’importance d’intégrer le bois aux projets architecturaux mais aussi d’identifier les points de vigilance et les spécificités d’un tel projet dans sa conception et dans son développement. Les discussions qui ont suivi la présentation ont alimenté la réflexion sur la manière d’inclure des matériaux bio sourcés dans des projets architecturaux de grande envergure.

En savoir plus
Espace des solidarités à Apt. Architectes :  Frédéric Nicolas (APACHE Architectes), Philippe Mathieu (PHM Architectes)
Lauréat de la catégorie « Bâtiment tertiaire » au Prix National de la Construction Bois 2023.

Sentier des Ocres à Roussillon. Architecte : Hélène Bensoam (ALEP Paysages)
Lauréat de la catégorie « Aménager l’extérieur » au Prix Régional de la Construction Bois 2023.

Aménagement du sentier des ocres de Roussillon Copyright Maggy Duceau

Salon des maires de Paris, les archis de Paca y étaient aussi

L’Ordre des Architectes PACA était présent au Salon des Maires 2023 –les 22 et 23 novembre derniers- à l’occasion d’une table ronde sur la construction régionale bois. Les professionnels ont ainsi pu rencontrer élus locaux, personnalités et experts engagés dans la vision des territoires.

Pour l’occasion,
l’Ordre des Architectes PACA a organisé une table ronde sur la construction bois régionale avec la participation de Fibois Sud et de Mathieu Pietri, 1er adjoint au maire de Bouc Bel Air. Ce salon fût également l’occasion de rencontrer de nombreux maires de notre région.

Rencontre avec des maires de Provence-Alpes-Côte d’Azur
«Mercredi 22, nous avons pu rencontrer de nombreux maires et adjoints de notre région et assister à un programme d’intervention riche, comme Monsieur David Lisnard, maire de Cannes, Monsieur Jérôme Viaud, maire de Grasse, Monsieur Yves Juhel, maire de Menton, ou encore Monsieur Pierre-Marie Ganozzi, adjoint au maire de Marseille

Moment de table ronde sur la construction bois régionale avec la participation de Fisbois Sud


Avez-vous la flemme olympique ?

Lucien Stanzione est en pourparlers avec Bruno Bonnell, secrétaire général pour l’investissement. Mission ? Obtenir 10M€ pour la recherche et, ainsi, sauver la culture de la lavande, de la cerise, de la vigne et des produits de maraîchage. Comment ? En finançant une partie de la recherche de l’Inrae d’Avignon-Montfavet (Institut national de la recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement).

Cet entretien avec Bruno Bonnel se déroule aujourd’hui tandis que le sénateur Lucien Stanzione enfoncera le clou en se rendant, demain, mardi 19 septembre, à la Commission européenne à Bruxelles, pour entamer des discussions avec d’autres députés et des fonctionnaires en charge des questions agricoles. Objectif : défendre le modèle agricole vauclusien et demander des aides financières pour faire avancer, de toute urgence, la recherche.

«Notre agriculture vit une période de transition, analyse Lucien Stanzione, arrivant au bout du modèle adopté après-guerre et qui nous aura servi jusqu’ici, mais butant à présent sur la dangerosité des produits, et, dans des cas de plus en plus nombreux, sur des phénomènes de résistance et donc d’inefficacité de ces produits. Il est capital d’aider les filières à sortir des impasses dans lesquelles elles sont actuellement.»


Avez-vous la flemme olympique ?

La canicule fait parfois chauffer certains cerveaux… Comme ceux de l’équipe de Rentola.fr, qui dévoile une étude insolite dans laquelle sont classés les départements français en fonction de la possibilité d’y survivre en cas d’apocalypse zombie. Celle-ci conclut que le Sud est définitivement l’endroit à privilégier.

Ces dernières années, le monde a fait face au Covid, à la guerre, aux changements socio-économiques, aux changements climatiques… Et bien d’autres problèmes. Comme si cela n’était pas suffisant, Rentola.fr, plateforme de logements locatifs, a imaginé une situation encore pire. Et si le monde était envahi par une épidémie qui transforme les gens en zombies ? A partir de cet étonnant postulat, Rentola.fr a tenté de déterminer l’endroit le plus sûr de France pour survivre en cas d’apocalypse zombie.

Cette étude, surprenante, a été réalisée à partir des données de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Cinq catégories de données (vulnérabilité, cachettes, approvisionnements, sécurité, mobilité) ont été élaborées et analysées afin de trouver l’endroit le plus sûr en fonction du score obtenu dans chacune des catégories. Les cinq catégories contiennent chacune un certain nombre de données considérées comme représentatives de la catégorie en question.

© rentola

Le Vaucluse arrive en 14e position des endroits les plus sûrs de France en cas d’apocalypse zombie, avec un score moyen de 6,90. Le département se classe 14e dans la catégorie vulnérabilité et 16e dans la catégorie sécurité, mais obtient de moins bons classements dans les autres catégories même s’ils restent au-dessus de la moyenne. Dans l’ensemble, le Sud est l’endroit à privilégier pour survivre. Le top 10 des lieux les plus sûrs compte 7 départements du Sud, dont les Bouches-du-Rhône qui arrivent en tête des départements les plus hostiles aux zombies.  

L’Île-de-France est le pire endroit pour survivre
Les trois plus mauvais résultats sont situés près de Paris. Parmi eux, la Seine-Saint-Denis occupe la dernière place du classement (94e) et obtient le score le plus bas dans la catégorie cachettes. Les départements des Yvelines et de l’Oise sont proches de la capitale française, géographiquement, mais aussi en matière de mauvais classement dans presque toutes les catégories.

L’Île-de-France apparaît comme l’endroit où il ne vaut mieux pas se trouver lorsque des dizaines de zombies arrivent. A l’inverse du Sud, cette région abrite 7 des 10 départements les moins bien classés. Les Hauts-de-Seine (5e), le Val-de-Marne (8e), l’Essonne (9e) et le Val-d’Oise (10e) ont des classements inférieurs à la moyenne dans toutes les catégories, ce qui fait de cette région dense le pire endroit où traîner un jour d’apocalypse zombie.  

© rentola

Malgré le fait que presque tous les départements situés en île de France se retrouvent en bas du classement, la capitale obtient la 22e place. Paris est une ville très densément peuplée et vulnérable à la menace de la propagation du virus, ce qui se traduit par un faible score dans cette catégorie. Dans le même temps, la capitale se classe 2e dans la catégorie sécurité et 5e dans la catégorie approvisionnement. Un score assez élevé dans la catégorie cachette, mais là où le bât blesse, c’est au niveau de la mobilité. Si vous vous retrouvez au cœur de l’apocalypse, il vous sera difficile de quitter Paris.

Privilégiez le littoral méditerranéen
Selon les résultats de l’étude, pour optimiser ses chances de survie, il est conseillé de vivre dans le Sud de la France à proximité de la côte méditerranéenne. 9 des 10 premiers départements sont situés directement ou à proximité de cette frontière naturelle qui protège contre les menaces venant du Sud et contre celles du Nord, pour celles et ceux vivant sur l’eau.

Ainsi, vivre quelque part entre Perpignan et Nice peut non seulement être agréable au quotidien, mais aussi sauver des vies en cas d’apocalypse zombie.

Méthodologie : toutes les données ont été collectées et traitées par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Les dernières données disponibles ont été utilisées pour chaque source de données. La normalisation Min-Max a été utilisée pour indexer les sources de données en question. Ce moyen d’indexation permet de convertir tout type de données en une valeur comprises entre 1 et 10, où 1 représente la valeur la plus faible / mauvaise et 10 la valeur la plus élevée / la meilleure dans les catégories en question. Pour garantir un résultat aussi précis et représentatif que possible, tous les départements pour lesquels il manquait plus de deux sources de données ont été retirés de l’indice de qualité.


Avez-vous la flemme olympique ?

L’Avignonnaise Emmanuelle Favre a reçu le Molière de la création visuelle et sonore 2023 pour Starmania de Michel berger et Luc Plamondon, sur une mise en scène de Thomas Jolly.

«Elle est cette silhouette du Lycée Mistral, toujours habillée en pantalon, une jeune-fille discrète, franche et spontanée avec son tout petit groupe d’amis, dotée d’une voix à la Mathilde Seigner, même si elle déteste qu’on dise çà. Il émanait d’elle une formidable énergie et un charme fou,» se rappelle un de ses amis avignonnais.

Au Lycée Mistral
«Je me rappelle, et je crois que c’est toujours vrai, qu’elle aime apprendre en permanence, comprendre, n’hésitant pas, en salopette, à se mêler aux peintres, à l’atelier de construction de décors Artefact, à Courthézon, pour expérimenter une patine, en regardant comment l’on procède autour d’elle et en répétant autant de gestes. Lorsqu’elle est sur un plateau, elle est happée par toutes les technologies, le son, la lumière. Elle a besoin de savoir comment tout fonctionne pour s’y adapter en permanence. Elle est attentive au déplacement des acteurs sur scène. Tout doit parfaitement et harmonieusement s’imbriquer.»

Sa chance ?
«Avoir appris à naviguer dans un univers difficile où n’émergent que peu d’élus, au milieu de ces millions d’artistes. Elle n’est pas de celles qui attaquent mais plutôt de celles qui ont appris à ne pas être attaquées et respectées dans leur travail.»

Grandir au gré des rencontres
«Elle a aussi eu l’intelligence d’aimer les rencontres, de les provoquer, parfois, et, surtout, de les nourrir. Il faut dire que le terreau avignonnais exsude la culture et c’est sans doute ce prolixe apprentissage, sa force de travail et son talent qui lui auront permis de s’envoler pour Paris et d’enfiler ses semelles de vents pour parcourir le monde : Etats-Unis, Corée, Israël, Italie, Japon…»

Le chaudron magique
La marmite ? Elle est tombée dedans toute petite, car l’histoire familiale fait déjà état d’un arrière-grand-père clown professionnel, d’un frère qui joue admirablement du saxophone, d’une cousine pianiste, d’un papa vénéré, formidable violoniste –qui a joué dans la Cour d’honneur, en 1958, lors d’un spectacle de Gérard Philipe- et qui excellait en musique Russe-tzigane lors des soirées du nouvel an, au restaurant de la Vieille fontaine à l’hôtel d’Europe à Avignon. Il était aussi le camarade de classe du grand Raymond Duffaut qui fut, il y a peu encore, le directeur de l’Opéra du Grand Avignon et des Chorégies d’Orange, ce qui aura ouvert les portes des premiers stages à Emma, à l’Opéra d’Avignon, aux Chorégies, chez Artefact à Courthézon. Tout est parti de là.»

D’indéfectibles amitiés
«Emma a très peu d’amis et ce sont ceux de sont enfance, ici à Avignon, parce qu’elle n’a pas le temps, parce qu’elle est débordée. Sauf qu’en elle rentre enfin ici. Elle est d’une incroyable timidité et d’une humilité non feinte. Elle n’a pas d’égo. Elle est entrée dans l’univers artistique sans doute parce qu’elle avait un immense respect et une grande admiration pour son père, se souvient une amie proche. Cependant celui-ci n’avait pas de réseaux, il n’était pas musicien professionnel, même s’il jouait remarquablement bien. Il ne pouvait donc pas lui ouvrir les portes de ce milieu..»

Le plateau de Starmania

Une capacité de travail exceptionnel
«C’est une bosseuse invétérée, une perfectionniste dans l’âme avec une force de travail exceptionnelle. Elle bouge beaucoup. Elle est capable, dans la même journée d’enchaîner 40 coups de téléphone tout en finissant une maquette. Son talent ? Elle sait écouter les metteurs-en-scène, en se mettant à leur service. Elle est très présente de la conception à la réalisation des décors, pendant les montages, lors des répétitions… Il faut dire que dans ce métier, on vous appelle un dimanche à 23h comme s’il était 14h un lundi. C’est un univers qui demande une disponibilité de tous les instants. Finalement ça n’est pas un métier mais toute sa vie. Emmanuelle Favre est une femme très intelligente, drôle, passionnée, une vraie artiste,» conclut son amie d’enfance et sœur de cœur.

Elle travaille avec les plus grands
Passionnée d’opéra, son univers préféré, elle sera tout aussi enthousiaste dans un monde plus pop ou rock’n’roll comme autrefois, pour la scénographie d’un spectacle de Johny Halliday, aujourd’hui avec Mylène Farmer pour ‘Nevermore’, Booba, Gad Elmaleh, M’Pokora, bientôt Jacques Weber pour Ruy Blas de Victor Hugo.

Au tout début ?
Emmanuelle Favre se forme à l’ESAT, école supérieure des arts et techniques, en architecture d’intérieur, puis en scénographie, commence à être assistante d’une architecte d’intérieur avant d’entamer une belle carrière de scénographe pour les scènes d’opéras, de théâtres, des shows de variétés, des scènes de concert et parcourir les plus grandes salles et stades du monde, où elle créé, à la demande, autant de nouvelles cosmogonies.                                     

Le Molière de la création visuelle et sonore
Le Molière de la création visuelle et sonore a été remis à l’avignonnaise Emmanuelle Fabre pour Starmania de Michel berger et Luc Plamondon, sur une mise en scène de Thomas Jolly, une chorégraphie de Sidi Larbi Cherkaoui, une direction musicale de Victor Le Masne, les décors et la scénographie d’Emmanuelle Fabre, les costumes de Nicolas Ghesquière, la lumière de Thomas Dechandon, la vidéo de Guillaume Cottet, la musique de Michel Berger, et le son de Madje Malki à la Seine musicale.


Avez-vous la flemme olympique ?

L’image furtive était passée inaperçue fin 2021 lors de la sortie du long métrage ‘The last Duel’ (le dernier duel). Maintenant que le film de Ridley Scott est désormais disponible depuis quelques jours sur les plateformes de streaming et autres vidéos à la demande, les cinéphiles ont pu se rendre compte que les créateurs des effets spéciaux ont pris quelques libertés avec la réalité historique.
En effet, dans ce blockbuster réunissant notamment les acteurs Matt Damon, Adam Driver, Jodie Comer et Ben Affleck dans une histoire retraçant, du point de vue des trois personnages principaux, les raisons du dernier duel judiciaire médiéval, il a fallu recréer la France du Moyen-âge.
Pour cela, les studios MPC film & Episodic, filiale de Technicolor basée notamment à Paris et Liège, ont réalisé 220 plans alors que les équipes de Technicolor creative studios de Londres, Montréal et Bangalore en Inde ont réalisé 180 séquences.

En lieu et place de la Sorbonne
Et dans ce Paris du XIVe siècle, où l’on découvre une cathédrale de Notre-Dame encore en construction, on peut apercevoir une vue générale de la capitale de quelques secondes (entre la fin de la 38e minute et la fin de la 40e mn selon les supports de visionnage). Dans ce plan (voir photo ci-dessous), on peut y voir distinctement le palais des papes d’Avignon à un emplacement qui correspondrait de nos jours à celui qu’occupe, peu ou prou, la Sorbonne actuellement.

Paris au XIVe siècle selon Hollywood: à gauche, Notre-Dame de Paris, à droite, le palais des papes… d’Avignon. © DR
La même vue en gros plan.

« L’équipe de Paris a utilisé plusieurs techniques numériques pour reproduire aussi fidèlement que possible les paysages et l’atmosphère du Paris du 14e siècle, des DMP (ndlr : projection mapping) à la création en CG de décors numériques, en passant par une reconstitution complète du Paris médiéval avec la cathédrale de Notre-Dame. La collaboration artistique s’est étendue à des scènes montrant, entre autres, la ville de Paris et ses environs, l’arène du duel et le ‘Palais des Papes’, confirme MPC film. Comme l’histoire se déroule en hiver, chaque plan a dû être enneigé à l’aide d’effets, de projections en DMP, de congères et de brouillard. »

N’étant plus à un anachronisme près, comme l’a souligné Teo Comparato l’un de nos lecteurs sur nos réseaux sociaux, les créateurs de ces effets spéciaux ont même conservé le silhouette de la statue de la vierge Marie qui pourtant n’a été installée sur le clocher de la cathédrale Notre-Dame-des-Doms qu’en 1859. « Le Palais a remonté le temps, au mauvais endroit », s’amuse notre internaute.

Un hommage caché du réalisateur au Vaucluse ?
Si Avignon a été un temps, la capitale de la chrétienté, elle n’a pourtant jamais été celle de la France sauf dans les prophéties de Nostradamus suite à la dévastation de Paris dans un futur encore à venir. Pas sûr que les équipes des effets spéciaux de Ridley Scott avaient en tête cette référence pour rendre hommage au mage natif de Saint-Rémy-de-Provence.
A moins que le réalisateur américano-britannique à l’impressionnante filmographie (Alien, Blade Runner, Thelma et Louise, Gladiator…) qui achève actuellement la réalisation de Napoléon avec Joaquin Phoenix pour la plateforme Apple TV+ ait voulu rendre hommage au Vaucluse. Un département qu’il connait bien puisqu’il est propriétaire du Mas des infirmières, un domaine viticole de 30 hectares situé à Oppède dans le Luberon.


Avez-vous la flemme olympique ?

Ce dimanche, lors de la Franchise Expo Paris, les boulangeries Marie Blachère présenteront leur nouveau concept international de coffee shop à la Française : ‘Café Marie Blachère’.

« Le café Marie Blachère se veut être un café de proximité chaleureux où l’on s’y arrête à tout moment de la journée pour une pause gourmande », explique la franchise, au 780M€ de chiffre d’affaires en 2021, dans la vidéo de présentation de son nouveau concept.

Créée en 2004, Marie Blachère serait, avec près de 700 boulangeries, dont deux à New-York, la troisième chaîne de restauration de France derrière McDonald’s et Burger King. Pour conquérir encore plus de nouveaux clients, la franchise – dont le siège social installé aux Angles déménagera prochainement au nouveau siège du groupe à Châteaurenard – présentera son nouveau concept international de coffee shop, ‘Café Marie Blachère’, ce dimanche lors de la Franchise Expo Paris.

Les visiteurs pourront retrouver l’enseigne dans le Hall 1 – Stand M110 – N111.


Avez-vous la flemme olympique ?

Puisque le miel, après la lavande en 2022, est la production-vedette de cette nouvelle édition, Porte de Versailles. « Un des produits-phares du Vaucluse, détenteur d’un label qualité IGP (identité géographique protégée) ‘Miel de Provence’. Les apiculteurs seront présents sur notre stand et ils vont nous montrer l’étendue de leur talent » explique la Présidente de l’exécutif, Dominique Santoni qui inaugurera cet espace le 28 février prochain. Le miel qui se décline sous les parfums de lavande, châtaigne, romarin, acacia, bruyère, romarin et fleurs et qu’on retrouve dans les nougats, bonbons, berlingots et calissons.

L’Espace Vaucluse a doublé de surface (185m2) pour cette vitrine de l’agriculture, puisque nous sommes leader français des cerises et du raisin de table, n° 2 pour les pommes et les vins AOP rouges, 3e pour les essences de lavandin et que nous cultivons en bio à hauteur de 25%.

500 000 visiteurs attendus
Le stand figurera une place de village où on pourra déguster les produits qui font honneur au Vaucluse, fraises, vins, charcuterie, huiles d’olive, jus de fruits, truffes, confitures, tapenades. Une épicerie gourmande proposera des produits 100% nature à la vente (sirops, liqueurs, pâtés, coulis, compotées, safran, pâtes de coing…) aux 500 000 visiteurs attendus.

Dans le Vaucluse, un trio gagnant (vin – fruits – légumes) représente à lui seul 90% du chiffre d’affaires agricole du département (1,017 milliard d’euros) avec son environnement agro-alimentaire d’Agroparc et Montfavet, ses chercheurs et ses laboratoires de l’INRAE, des pôles Agrosciences et Terralia, du CRITT (Centre regional d’innovation et de transfert de technologies) et du CTPCA (Centre technique de la conserverie des produits agricoles).

Rendez-vous au SIAL du 25 février au 5 mars prochains dans le Hall 7.1. Ce sera une vraie ruche!


Avez-vous la flemme olympique ?

Du 21 au 24 novembre, à Paris Nord Villepinte, 11 entreprises de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur présenteront leur activité et leurs nouveautés à l’occasion de All4Pack Emballage Paris, le salon international de toutes les solutions innovantes et durables des emballages pour toutes les industries. Parmi ces 11 entreprises, une d’entre elles est Vauclusienne.

Evènement international généraliste, organisé tous les deux ans, All4Pack Emballage Paris est une référence dans l’écosystème emballage et intralogistique. Le salon a pour mission d’accompagner les professionnels face aux nouveaux défis écologiques qui s’imposent à eux.

Attendu par l’ensemble de la profession, le salon réunira 1100 exposants venus du monde entier et 60 000 professionnels sur 4 jours. 11 entreprises de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur présenteront leur activité et leurs nouveautés. Parmi ces 11 entreprises, l’une d’entre elles est implantée à Bédarrides : Etiquettes X2C.

Créée en 1998, l’imprimerie Etiquettes X2C fabrique des étiquettes adhésives neutres ou imprimées, en rouleaux et en planches, pour différents secteurs d’activité. L’entreprise est engagée dans le développement durable et choisi notamment des procédés de fabrication ayant le moindre impact environnemental. Egalement, l’imprimerie favorise les technologies modernes pour limiter l’utilisation de ressources énergétiques et l’impact sur la santé de ses salariés.

Etiquettes X2C sera présente du 21 au 24 novembre au salon All4Pack Emballage Paris pour présenter son activité et ses outils.  

J.R.

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