3 mai 2024 |

Ecrit par le 3 mai 2024

Parking-relais d’Agroparc : Agilis à la manœuvre pour le Grand Avignon

C’est Agilis, filiale nationale basée au Thor du groupe NGE spécialisée dans les équipements de la route, qui a participé à la réalisation du chantier multimétiers du nouveau parking relais végétalisé d’Agroparc à Avignon dont l’inauguration a eu lieu vendredi 26 mai dernier.

« Le Grand Avignon a mis en place un Plan de déplacements urbains (PDU) visant la neutralité carbone à l’horizon 2050, explique l’entreprise basée au Thor. Aujourd’hui, 4 parkings relais soit 3 550 places de stationnement et 8 lignes de bus sont déjà à disposition sur le territoire du Grand Avignon. A ceux déjà existants vient donc s’ajouter celui situé à Agroparc disposant de 320 places de parkings. Ce nouveau parking-relais permet d’augmenter la capacité d’accueil pour des événements du Parc des expositions d’Avignon situé en face du parking et d’inciter aussi les festivaliers qui viennent au festival d’Avignon de laisser leur voiture pour rejoindre en transports en commun le centre-ville. »

Insertion sociale et développement durable
Pour ce chantier débuté au mois d’octobre 2022 Agilis, mandataire du lot 2, est intervenu afin de réaliser les marquages au sol (places de parking, lignes de peinture rétroréfléchissantes, lignes blanches, pictogrammes…), la signalisation verticale (panneaux et balises) ainsi que la pose de mobiliers urbains (barrières, bornes, brises-vue, panneaux d’affichage, consignes à vélo, local pour les chauffeurs équipés de toilettes…).
Un chantier pour lequel Agilis, qui compte 560 salariés en France pour un chiffre d’affaires de 120M€, a intégré des critères d’insertion sociale (personnes handicapées et en voie d’exclusion) ainsi que de développement durable (tri des déchets effectués sur chantier). Des dispositifs ont également été mis en place pour limiter les nuisances sonores et la pollution visuelle durant les travaux pilotés notamment par Lucas Coste (chef de secteur de l’agence Agilis Vaucluse) et Roland Montagut (conducteur de travaux).

Proposer une alternative au tout-voiture et limiter les émissions de gaz à effet de serre
« La mise en place de ces parkings-relais sont des alternatives à la voiture en centre-ville, poursuit Agilis. En effet, ce dernier vient compléter l’offre existante, optimiser l’utilisation des transports en commun et ainsi
réduire la circulation automobile afin de décongestionner le centre-ville. La volonté finale est également de réduire les émissions de gaz à effet de serre. »

L.G.


Parking-relais d’Agroparc : Agilis à la manœuvre pour le Grand Avignon

Après quelques mois de travaux, le nouveau parking de covoiturage, situé Chemin de Queyradel à proximité de l’entrée de l’A7 et de l’A9, a été inauguré vendredi 9 juin.

Fruit d’une collaboration étroite entre Vinci Autoroutes et la ville d’Orange pour répondre à l’évolution des usages, ce nouveau parking est destiné à faciliter le développement du covoiturage et ainsi contribuer à décarboner les déplacements du quotidien en luttant contre l’autosolisme.

Proposant 84 places de parking gratuit, cet aménagement comporte également des emplacements pour les motos ainsi qu’un dépose-minute.

D’un montant total de plus de 650 000 €, cofinancé par Vinci Autoroutes et la ville d’Orange, cette infrastructure mise en service fin avril s’inscrit dans le cadre du plan d’investissement autoroutier signé entre l’Etat et Vinci Autoroutes. Il devient le 49e parking du réseau.

J.R.


Parking-relais d’Agroparc : Agilis à la manœuvre pour le Grand Avignon

Vendredi 26 mai, le parking-relais d’Agroparc a été inauguré par le Grand Avignon et ses partenaires.

La politique de transports du Grand Avignon, défini dans un plan de déplacements urbains (PDU), mise notamment sur l’intermodalité, à savoir la capacité d’un réseau à combiner l’utilisation de différents modes de transport (voiture, bus, vélo, etc.). Cette politique induit un changement des modalités d’accès aux centres-villes et une évolution de la politique de stationnement, avec le développement d’une offre de parkings-relais.

Doté de 320 places de stationnement, dont 9 pour les personnes à mobilité réduite et 4 équipées de bornes de recharge électrique, le montant de l’opération d’aménagement du parking-relais d’Agroparc s’élève à 2,16 M€ avec un financement de 1,807 M€ de la communauté d’agglomération du GA, 184 800 € de l’Etat et 168 000 € de la région Sud-Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Pour satisfaire tous les usagers, le parking est également équipé d’un abri moto de 12 places et d’un local vélo de 10 places. Pour remplir sa fonction de relais, le P+R comprend un terminal de bus équipé de 2 quais destinés à accueillir les lignes 4, C3, ainsi qu’à la fin de l’année, la ligne C3 Expresse (Orizo). Une station de bus destinée à accueillir les cars interurbains, ainsi que les lignes 13 et 22, a également été aménagée sur le chemin des félons, adjacent au P+R.  

Elément clé de l’intermodalité, ce parking-relais construit en périphérie, tout comme celui de Saint-Chamand (inauguré le 28 avril), permettra aux automobilistes de se rendre au centre d’Avignon en empruntant les transports en commun et contribuera à une circulation plus fluide et plus propre.

D’autres parkings-relais, notamment ceux des Angles et de Réalpanier, viendront bientôt compléter l’offre déjà proposée.

Parking-relais d’Agroparc – Chemins des Félons – Avignon.

J.R.


Parking-relais d’Agroparc : Agilis à la manœuvre pour le Grand Avignon

Réélue maire d’Avignon en juin 2020, Cécile Helle vient de dresser le bilan de ses 3 années d’actions de son second mandat. L’occasion pour l’élue socialiste de revenir sur une période particulièrement agitée pour les collectivités avec une succession de crises majeures tout en partant à la rencontre des avignonnais lors de plusieurs réunions thématiques qui se dérouleront jusqu’à la fin du mois de mai. Et si la maire de la cité des papes veut en profiter pour rappeler sa volonté de poursuivre la transformation d’Avignon, elle entend désormais aussi mettre l’accent sur la propreté et la sécurité.

‘Trois ans ensemble’, c’est le nom que la municipalité de la cité des papes a donné à la série de 9 rencontres de terrain qui se déroulent durant tout le mois afin de dresser le bilan de mi-mandat de l’équipe de Cécile Helle. Trois années qui ont été marquée par un contexte de crise qui a particulièrement impacté les marges de manœuvres des collectivités locales.
« D’abord, il y a eu la crise sanitaire, puis il y a eu la crise internationale avec l’Ukraine qui a débouché sur une crise énergétique puis une crise inflationniste, énumère celle qui a été réélue maire d’Avignon en 2020. Cela a touché toutes les collectivités. Et à cela s’ajoute la crise climatique qui était déjà sous-jacente lors de notre premier mandat. Si on nous avait dit tout cela il y a 3 ans, je crois que l’on aurait eu du mal à le croire. »

« Ces crises ont renforcé le rôle de ‘maire-protecteur’. »

« Cependant, il faut aussi prendre conscience que ces crises ont renforcé le rôle de ‘maire-protecteur’, insiste Cécile Helle. Les communes ont ainsi été en première ligne en termes de solidarité et d’accompagnement, notamment des plus fragiles, qui sont les premiers touchés lors de ces épisodes de crise. Des périodes où la Commune a su être en réactivité avec une Ville solidaire, humaine, bienveillante… »
Ainsi, rien qu’entre son plan d’urgence en 2020 et son programme ‘Avignon rebond’ en 2021 la Ville a engagé près de 50M€.
« Nous avons lancé des programmes comme les corbeilles solidaires ou bien encore les légumes solidaires, dont certains, qui ont besoin de ces produits de première nécessité, bénéficient encore aujourd’hui. Nous avons aussi renforcé l’accompagnement du CCAS (Centre communal d’action sociale) en portant son budget de 7,5M€ à 8M€. »
Même satisfaction au niveau des cantines, où la commune a initié une baisse des tarifs depuis septembre 2022. « D’ici 2024, 3 enfants sur 5 pourront manger pour moins de 1€ par repas et avec des produits locaux. C’est d’ailleurs, ce qui explique la hausse de la fréquentation des cantines, notamment dans les quartiers populaires d’Avignon », se félicite la maire.

D’ici 2024, 3 enfants sur 5 pourront manger pour moins de 1€ par repas dans les cantines de la ville d’Avignon.©DR

Continuer à transformer Avignon
« Pour ce nouveau mandat, nous avons axé notre action autour de 2 piliers majeurs : agir dans la proximité et porter une vision à l’horizon 2030-2050. Le tout sans augmenter les impôts des avignonnais. »
« Nous allons continuer à transformer Avignon comme nous le faisons depuis 2014 », insiste Cécile Helle qui rappelle que son premier mandat « a surtout servi à remettre à niveau les équipements de la Ville, notamment dans le domaine énergétique. Car il faut rappeler, que lorsque nous sommes arrivés nous avons dû faire face à un double endettement : celui qui apparaissait dans les comptes mais aussi l’endettement ‘caché’ en raison des équipements non-entretenus. »
Pour réaliser ces objectifs, la Ville entend réaliser des investissements conséquents pour un montant de 40M€ dont 9M€ de subventions (contre 3M€ en moyenne avant l’arrivée de la nouvelle municipalité).

« La transformation d’une ville prend du temps. »

Mais « la transformation d’une ville prend du temps, » tempère cependant l’élue avignonnaise pour qui la bibliothèque Jean-Louis Barrault sera l’un des grands équipements de ce 2e mandat.
« Il y aura aussi la nouvelle école Joly-jean qui sera opérationnelle pour la rentrée de septembre 2024. Un investissement de 12M€ au cœur d’un nouveau quartier. »
Et Cécile Helle de citer pêle-mêle les autres projets de la Ville : le futur quartier de Bel air, la gare de Montfavet, Avignon-Confluence en Courtine, « co-piloté » avec Joël Guin, le président du Grand Avignon, dont l’attribution du premier des 16 macro-lots est en cours, l’aménagement des bains Pommer annoncé pour 2025, le développement de la géothermie et des réseaux de chaleur pour répondre aux besoins énergétiques des logements des avignonnais…
Le tout sans oublier l’Anru et le NPNRU permettant la rénovation urbaine dans les quartiers d’Avignon qui viennent notamment d’obtenir la qualification Quartiers résilients.
« Ce deuxième mandat est un projet au long cours et cela ne va jamais assez vite », regrette toutefois la maire.

Une ville plus verte
« Nous croyons à la ville nature, car il y a une réelle nécessité de nous adapter au changement climatique et d’en atténuer les conséquences, » rappelle Cécile Helle. « Il faut participer à une ville plus fraîche, continuer à produire des parcs et des jardins, généraliser l’installation de plateforme de jeux d’eau généralisée dans les parcs, développer les ‘rues jardin’ comme nous l’avons fait rue des écoles par exemple. »
Dans cette logique, le parc de Champfleury sera requalifié en 2024 alors que les 7 ha de la plaine des sports à Saint-Chamand, inauguré en 2019, continueront d’être aménagés. Chaque année, la Ville s’engage aussi à enlever le bitume d’au moins 3 cours d’école afin de les re-végétaliser dans le cadre de projets menés en concertation avec les élèves.

Le leitmotiv de la commune en matière d’aménagement de la ville : en faire un espace à taille humaine comme ici rue du portail Matheron.©DR

Un ‘verdissement’ de la cité qui est aussi passé par la végétalisation des aménagements de l’avenue du moulin de Notre-Dame, le parc de laïcité et sa ferme urbaine ‘le Tipi’, l’aménagement, en partenariat avec le Conseil département de Vaucluse, du chemin des canaux jusqu’à Réalpanier et qui se poursuivra avec l’inauguration, le 3 juin prochain, de la maison du parc des îles Piot et de la Barthelasse lors d’une fête qui se déroulera sur les bords du Rhône.
« Cet événement coïncide avec l’arrivée de la Via Rhôna qui rejoindra ensuite le chemin de la confluence jusqu’en Courtine et permettra de se connecter à la ‘Via Durancia’, annonce Cécile Helle. Cela permettra de jouer la carte d’un tourisme durable en développant le cyclotourisme et, au-delà, de réintroduire les mobilités douces – piétonne et vélo – à leur juste place dans la ville. » Une ville ‘apaisé’ qui va ainsi bénéficier de 8km de pistes cyclables supplémentaires.

« Je ne suis pas le maire de Villeneuve ou de Morières. Je suis le maire d’Avignon. »

Plan Faubourgs, mobilité et qualité de vie
Avec la mise en place du Faubourgs, question mobilité il est certain que la Ville n’a pas fait l’unanimité. Pour autant, la commune estime que cette mise en place était indispensable pour améliorer la qualité de vie des riverains subissant jusqu’alors une circulation de transit : « Avec le Plan faubourgs aujourd’hui ce que je vois c’est qu’il y une indéniable meilleure qualité de vie pour les habitants. Ce que cela gêne le plus ce sont certainement les communes résidentiels autour d’Avignon. Chaque fois que je dois prendre une décision, je privilégie toujours les habitants. Je privilégie toujours les Avignonnais martèle l’élue. Je ne suis pas la maire de Villeneuve ou de Morières. »
Pour faciliter les transports sur Avignon, Cécile Helle fonde beaucoup d’espoirs sur la mise en service des parkings relais en périphérie de la cité des papes. « Cela avance bien du côté du Vaucluse, observe-t-elle. Il y a eu tout récemment la mise en service de celui de Saint-Chamand et nous allons inaugurer celui d’Agroparc et320 places ce vendredi. Pour l’avenir, j’attends beaucoup des parkings relais gardois dès qu’ils pourront être mis en service. »
Même optimisme avec un éventuel projet de téléphérique urbain comme à Toulouse, « le Grand Avignon y réfléchit », ainsi qu’avec la desserte ferroviaire où la Ville s’est positionnée auprès du Gouvernement afin d’être un territoire test pour l’extension du plan RER France aux villes intermédiaires. « Notre candidature a reçu un accueil favorable de la part du ministère des transports ainsi que des régions Sud et Occitanie », révèle la maire d’Avignon qui disposera bientôt d’un nouvel écrin pour accueillir ce projet avec la rénovation du parvis de la gare-centre qui s’achève.

S’attaquer au chantier de la propreté et de la sécurité
« Il n’y a pas d’attractivité sans propreté et sans sécurité », a également insisté la maire d’Avignon. C’est pour la cela que la Ville veut mettre davantage l’accent sur ces deux chantiers.
Concernant la propreté, cette dernière rappelle que « la Ville peut beaucoup, le Grand Avignon peut beaucoup, mais il faut aussi que le citoyen fasse des efforts. Il y a aura une tolérance zéro en ce qui concerne les dépôts sauvages et le non-respect des consignes de ramassages des poubelles. » Des pièges photographiques et la vidéo-verbalisation, qui permet déjà de traiter les infractions routières, seront donc mis en place pour verbaliser les contrevenants en matière de propreté.

« Il y a une vraie nécessité à harceler les trafiquants de drogue. »

Pour la sécurité, « un enjeu partagé avec l’Etat » précise Cécile Helle, « il faut notamment faire particulièrement face aux trafics de stupéfiant. On ne peut pas être en première ligne de la rénovation de nos quartiers sans s’engager à offrir une pleine sécurité à leurs habitants. Il y a une vraie nécessité à harceler les trafiquants de drogue. »

La Commune entend procéder à des recrutements de nouveaux policiers municipaux afin de pouvoir mieux intervenir la nuit.©DR

Si la commune se félicite de l’annonce récente de nouveaux renforts de police nationale en Vaucluse dont Avignon va bénéficier, la Ville renouveler l’armement de sa police municipale (PM) ainsi qu’une partie de sa flotte de véhicules.
« Nous allons aussi procéder à des recrutements afin de pouvoir intervenir la nuit, annonce aussi la maire de la cité des papes. Nous allons également moderniser notre parc de vidéo-surveillance et réorganiser les locaux de la police municipale à Montfavet notamment. Par ailleurs, nous allons créer un poste en commun pour la PM et la police nationale. »


Parking-relais d’Agroparc : Agilis à la manœuvre pour le Grand Avignon

L’Agglomération du Grand Avignon débute les travaux du parking-relais d’Agroparc, près du Parc des expositions, qui comptabilisera 320 places de parking.

Dans le cadre du Plan de déplacements urbains du Grand Avignon, l’Agglomération aménage un nouveau parking-relais afin d’encourager ses habitants et ses visiteurs a prendre davantage le bus et la navette plutôt que leur véhicule personnel pour se rendre en centre-ville. Ce nouveau parking d’Agroparc, qui se situe près du Parc des expositions, vient s’ajouter au quatre existant sur le Grand Avignon.

Les parkings-relais des Italiens, Amandier, Piot et Courtine comte à eux tous 3 350 places et desservent 8 lignes de bus. A ceux-ci devraient s’ajouter le parking-relais Saint-Chamand, dont l’ouverture est prévue en février 2023 et qui comptabilisera 365 places, ainsi que celui d’Agroparc, qui lui devrait être accessible à tous en mai 2023 et comptera 320 places. Viendront ensuite ceux des Angles, de Rognonas et de Réalpanier. Pour ces cinq nouveaux parkings-relais, le Grand Avignon a dû investir un budget total de 24 millions d’euros, dont 1,93 millions sont réservés à celui d’Agroparc.

Les élus du Grand Avignon lors du lancement des travaux le jeudi 20 octobre. DR

Le parking-relais d’Agroparc

Le nouveau parking-relais d’Agroparc sera étalé sur 14 942m². Il se composera de 320 places de stationnements dont 8 réservées aux personnes à mobilité réduite, et 4 aux véhicules électriques (une de ces 4 places sera également réservée aux personnes à mobilité réduite). Le parking-relais comptera également un quais pour les bus Intercité, 2 quais pour Orizo et 2 quais pour Chron’hop. À l’entrée du site, il y aura un local vélo fermé avec contrôle d’accès de 10 places et des supports pouvant accueillir 18 vélos, ainsi qu’un abri moto de 12 places.

L’ensemble des voiries et des places de stationnements sont réalisées en enrobé. Les trottoirs piétons et les quais de bus sont en béton désactivé. Le traitement des sols en place par l’incorporation de produits permettant d’améliorer leur performance dans le temps, et ainsi générer des économies importantes de matériaux, de transport et de carburant. Un projet d’installation de panneaux photovoltaïques sera prévu dans un second temps sur
le site.

Les espaces verts représentent une surface d’environ 2 483m². Les habitants et visiteurs pourront y trouver des îlots de fraîcheur composés d’assises, d’ombrière de type pergola, et des plantations d’albizia et de massifs arbustifs. Près de 50 arbres seront plantés pour apporter ombre et fraîcheur.

Le plan du futur parking-relais d’Agroparc. DR

V.A.


Parking-relais d’Agroparc : Agilis à la manœuvre pour le Grand Avignon

La navette Cityzen se modernise avec cinq nouveaux véhicules 100% électriques conçus en France. Le Grand Avignon est la première collectivité en France à inaugurer les ‘Bluebus’.

En service depuis 2012, la navette Cityzen est la desserte de l’intra-muros. La Cityzen Italiens dessert le parking-relais des Italiens, situé à l’entrée d’Avignon, côté Rhône, sept jours sur sept. Dans une volonté de toujours proposer à ses habitants une meilleure alternative à la voiture, le Grand Avignon se dote de cinq nouveaux véhicules 100% électriques nommés les ‘Bluebus’.

Si son design est innovant, son gabarit, lui, ne change pas, afin de rester compatible aux aménagements urbains de l’intra-muros. Elle est conçue pour respecter les riverains car elle est silencieuse et n’émet pas de CO2. Sa batterie, respectueuse de l’environnement, sans solvant, nickel ou cobalt, lui permet jusqu’à 200 km d’autonomie. Elle peut transporter jusqu’à 35 passagers et est facile d’accès pour les personnes en fauteuil roulant ou les poussettes. Le petit plus, sa structure est recyclable à 98% et elle est conçue en France par la société Bluebus du groupe Bolloré.

V.A.

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