13 décembre 2025 |

Ecrit par le 13 décembre 2025

Le retour de la bonne mère

Après 9 mois passés emmaillotée sous un échafaudage pour cause de restauration, la statue de la Sainte Vierge de la basilique de Notre-Dame-de-la-Garde de Marseille a été officiellement révélée au public le 7 décembre dernier dans sa nouvelle parure. Baptisée la Bonne Mère, cette vierge à l’enfant, protectrice de la ville fait aujourd’hui l’objet d’une ferveur étonnante et cela au-delà de toute confession.

Bien que la construction de la basilique de Notre-Dame-de-la-Garde soit assez récente, la statue de la sainte vierge qui coiffe son clocher semble avoir toujours été là. Elle vieille sur la ville et sa baie. Cette « bonne mère » comme on dit à Marseille est devenue un repère pour ses habitants et un symbole pour la ville. Mais la pollution, le mistral et l’air maritime avaient quelque peu terni son éclat. Pas moins de 30 000 feuilles d’or auront été nécessaire pour lui redonner son lustre initial.

La « bonne mère » serait ainsi un refuge, un phare dans une époque trouble et incertaine

La ferveur populaire qui a accompagné les manifestations organisées pour fêter la fin des travaux de cette restauration illustre que le besoin de spiritualité connaît aujourd’hui un nouvel élan. Le caractère anxiogène de l’époque et les déliquescences sociales que nous vivons n’y sont sans doute pas étranger. La « bonne mère » serait ainsi un refuge, un phare dans une époque trouble et incertaine. Fait d’autant plus remarquable qu’il se produit dans un des villes les plus cosmopolites de France. C’est la bonne mère de tout le monde et pas uniquement des chrétiens.

Mais dans cette ferveur retrouvée on peut surtout y voir un appel à la paix. Une pacification tellement nécessaire et appelée par tous (ou presque) qui trouve malheureusement difficilement son chemin. Ces 9 mois de travaux et 2,8 M€ de budget étaient sans doute nécessaires pour redonner de l’espoir.


Le retour de la bonne mère

Le concours national ‘Les Rubans du Patrimoine’ a décerné un prix départemental à la commune de Pernes-les-Fontaines pour la restauration de son Hôtel de Ville, joyau architectural du XVIIe siècle. Une distinction qui salue la mise en valeur d’un patrimoine historique devenu un lieu de vie civique ouvert à tous.

La commune de Pernes-les-Fontaines – 10 433 habitants- vient d’être honorée par le jury des Rubans du Patrimoine 2025. Ce concours national, organisé par la Fédération française du bâtiment et ses partenaires, récompense chaque année les municipalités œuvrant à la restauration et à la valorisation de leur patrimoine bâti.

Un héritage magnifié
Le projet pernois s’est distingué par la qualité exemplaire de la restauration de l’Hôtel de Ville, installé dans l’ancien hôtel particulier de Brancas-Cheylus, un édifice du XVIIe siècle alliant élégance architecturale et richesse décorative.

Un chantier au service du patrimoine et du public
Les travaux entrepris ont permis de redonner toute sa noblesse à cet ensemble inscrit et classé au titre des monuments historiques. Les façades et toitures ont été restaurées, les décors de gypserie du XVIIIe siècle remis en valeur, tout comme les peintures du XVIIe siècle redécouvertes sous les enduits. Ces motifs en camaïeu, blasons et frises ornementales datés autour de 1671, témoignent de la splendeur d’une demeure patricienne de la Provence baroque.

Copyright Commune de Pernes les Fontaines

Un extérieur remodelé
Dans les jardins, un muret et une fontaine ont été réhabilités, tandis qu’une calade traditionnelle a remplacé le béton moderne. L’ensemble a également été repensé pour améliorer l’accessibilité et créer de nouveaux espaces, notamment une salle d’archives et des bureaux fonctionnels. Toutes les interventions ici.

Entre histoire et modernité
L’Hôtel de Brancas-Cheylus, bâti sur un plan en U entre cour d’honneur et jardins, séduit par la qualité de ses éléments patrimoniaux : portail monumental, escalier à balustrade en gypserie, plafonds à la française, décors peints et trompe-l’œil inspirés des gravures de François Perrier. Tour à tour demeure aristocratique, maison commune dès 1741 puis hôtel de ville à part entière depuis 1973, le bâtiment illustre l’alliance harmonieuse entre préservation de la mémoire et adaptation aux usages contemporains.

Une cérémonie ouverte à tous
La remise officielle du prix départemental aura lieu le 26 novembre à 18h, à la mairie de Pernes-les-Fontaines, salle de Brancas. Habitants, partenaires et amoureux du patrimoine sont conviés à assister à cet événement, en présence du maire Didier Carle et des représentants du concours.

Un symbole de transmission
À travers cette distinction, c’est tout un engagement communal qui est salué : celui d’une ville attachée à son histoire et désireuse de faire de son patrimoine un bien commun vivant. En redonnant souffle et éclat à son Hôtel de Ville, Pernes-les-Fontaines rappelle que la restauration n’est pas qu’un acte de mémoire, mais aussi un geste d’avenir. En septembre dernier c’était au tour de Pujaut, village du Gard limitrophe du Vaucluse, d’être distinguée par ‘Le rubans du patrimoine’.

Copyright commune de Pujaut

Pujaut redonne vie au moulin de Chiron, sentinelle des vents et témoin du temps
Perché sur la colline de Pujaut, dans le Gard, le moulin de Chiron renaît, fièrement dressé face au Mistral. Érigé en 1775, cet emblème du patrimoine local a longtemps fait battre le cœur de la commune en produisant de la farine jusqu’à la fin du XIXᵉ siècle. Puis, le silence et l’oubli l’ont peu à peu gagné, laissant les tempêtes et les incendies entamer sa silhouette de pierre.

Un effort collectif
Il aura fallu la ténacité conjuguée d’une municipalité déterminée et d’une association passionnée pour que l’histoire reprenne son cours. Acquis par la commune en 2002, le moulin a bénéficié de plus d’une décennie d’efforts collectifs. Grâce à une mobilisation constante, des fonds ont été réunis pour redonner à l’édifice son visage d’autrefois : une toiture refaite à neuf, des ailes réinstallées dans leur orientation originelle, prêtes à affronter le vent du nord.

Une première restauration délicate
Une première restauration avait bien tenté de sauver la bâtisse, sans toutefois permettre d’intervenir sur sa machinerie intérieure. La réhabilitation actuelle, plus ambitieuse, rend à ce symbole du terroir toute sa dignité. Le moulin de Chiron n’est plus une simple ruine pittoresque : il redevient un repère, un trait d’union entre mémoire rurale et fierté collective. Aujourd’hui, sa silhouette retrouvée domine à nouveau le paysage pujautais, comme un signe de persévérance et d’attachement au patrimoine. Le souffle du Mistral s’y mêle désormais à celui de l’histoire, rappelant qu’aucun vent, aussi fort soit-il, ne saurait éteindre la flamme de la mémoire locale.
Mireille Hurlin


Le retour de la bonne mère

L’Église d’Ansouis est en lice pour représenter la Région Sud dans le cadre de la collecte nationale pour le patrimoine religieux rural de la Fondation ‘La Sauvegarde de l’Art Français’. Si elle remporte assez de votes d’ici le 16 novembre, elle pourra obtenir une aide pour être restaurée.

Classée au titre des Monuments historiques depuis 1988, l’église Saint-Martin d’Ansouis date du XIIIe siècle. Jusqu’à présent, ses peintures murales intérieures, ses meubles religieux, autels et tableaux n’ont jamais été restaurés. « Aujourd’hui, ces chefs-d’œuvre sont en péril », alerte la mairie du village vauclusien.

©Commune d’Ansouis

Candidate de la collecte nationale pour le patrimoine religieux rural

Ainsi, la municipalité d’Ansouis a présenté sa candidature à la Fondation ‘La Sauvegarde de l’Art Français’ qui organise la collecte nationale pour le patrimoine religieux rural à laquelle les communes ont pu s’inscrire entre le 20 septembre et le 12 octobre derniers.

Deux édifices religieux en lice en Région Sud

L’Église d’Ansouis représente donc la région Sud aux côtés de la Chapelle Saint-Loup à Cabasse-sur-Issole dans le Var. C’est désormais au public de voter pour l’édifice de son choix. Celui qui aura obtenu le plus de vote se verra attribué une aide financière pour sa restauration. Les votes se clôtureront le dimanche 16 novembre.

Pour voter, cliquez ici.


Le retour de la bonne mère

Arnaud Pignol, directeur général de la SPL (Société publique locale) Avignon Tourisme, vient de faire part de sa décision de faire valoir ses droits à la retraite à compter de ce mercredi 1er octobre 2025. Après 8 ans à la tête de cette structure qui chapeaute l’office de tourisme d’Avignon, les monuments du palais des papes et du pont Saint-Bénézet inscrits à l’Unesco, le centre des congrès du palais des papes et l’espace Jeanne-Laurent, mais aussi le parc des expositions à Agroparc ainsi que les parkings payant du palais des papes, des Halles et de la gare centre quitte ses fonctions pour des raisons médicales.

Cette décision a été actée par le conseil d’administration d’hier qui s’est tenu sous la présidence de Marc Simelière, président d’Avignon tourisme et conseiller municipal délégué au tourisme de la ville d’Avignon. C’est Romain Decelle, actuellement responsable administratif et juridique de cette SPL employant près de 130 collaborateurs, qui a été désigné pour assurer l’intérim jusqu’à l’élection d’un nouveau conseil d’administration nommé à l’issue des prochaines élections municipales qui se dérouleront en mars 2026.

Arnaud Pignol, auparavant délégué général d’Inter Rhône, l’interprofession des vins de la Vallée du Rhône, quitte ses fonctions alors Avignon Tourisme (ainsi qu’Avignon et le Vaucluse en général) affiche une très belle année en termes de fréquentation.
L’office du tourisme situé cours Jean-Jaurès au bas de la rue de la République a vu sa fréquentation progresser de +13% avec 56% de touristes français, 32% internationaux et 12% de locaux. Dans le même temps, aux palais des papes, les chiffres de fréquentation sont en augmentation en juillet et en août par rapport à la même période en 2024 puisque l’exposition-déambulation de l’artiste Othoniel semble avoir dopé la fréquentation du plus grand palais gothique du monde.


Le retour de la bonne mère

Tourlane, spécialiste en ligne des voyages sur mesure, vient de dévoiler le classement des plus beaux centres historiques au monde. Avignon y figure en 6e position dans le top 25 des centres historiques des villes européennes. Un classement où Cracovie en Pologne, Naples en Italie, Ratisbonne en Allemagne, Riga en Lettonie et Saint-Marin apparaissent aux 5 premières places.

La cité des papes est la seule commune française à figurer dans ce classement établi en prenant en compte quatre critères* : l’accessibilité à pied du centre historique, l’ancienneté de la vieille ville, le coût d’une visite guidée sur place et la popularité du lieu sur Instagram.

Pour Avignon, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, l’origine de la ville remonte à 539 avant J-C, son centre-ville est considéré comme parfaitement accessible, le prix moyen d’une visite guidée y est estimé à 18€ et ses publications sur Instagram sont suivies par 1,5 millions de personnes

Et dans le reste du monde ?
Tourlane a aussi réalisé le même type de classement pour les autres continents. En Afrique, Sousse en Tunisie, Fès puis Marrakech au Maroc ainsi que Doha au Qatar et Le Caire en Egypte prennent respectivement les 5 premières places.
En Asie, le top 5 comprend Hoi An au Vietnam (1er), Bhaktapur au Népal, Kyoto au Japon, Luang Prabang au Laos et Fort de Galle au Sri Lanka (5e).
Côté Amérique Latine, c’est Carthagène en Colombie qui arrive en tête devant Oaxaca au Mexique, Salvador de Bahia au Brésil, Panama et Buenos-Aires en Argentine. Enfin, aux Etats-Unis, ce classement s’établit ainsi : Saint-Augustine en Floride, Charleston en Caroline-du-Sud, La Nouvelle-Orléans en Louisiane, Santa Fe au Nouveau-Mexique et Savannah en Géorgie.

Crédit : DR/Archives/Avignon Tourisme

L.G.

*L’évaluation s’est basée sur quatre indicateurs : Ancienneté de la vieille ville : déterminée à partir de la date vérifiable la plus ancienne de peuplement continu ou de fondation officielle. Coût d’une visite guidée à pied : recueilli à partir de plateformes en ligne largement utilisées pour les visites et les activités. Accessibilité à pied : facteur central. Pour chaque ville, cinq sites touristiques clés ont été identifiés et reliés entre eux par un itinéraire piétonnier optimal à l’aide de Google Maps. La distance totale et le temps de marche estimé ont tous deux contribué au score : plus la ville est compacte, plus elle est accessible aux piétons. Popularité sur les réseaux sociaux : mesurée par le nombre de publications Instagram utilisant le hashtag le plus pertinent pour la ville. Toutes les données ont été recueillies en août 2025. La répartition reflète leur pertinence par rapport à l’expérience de voyage : l’accessibilité à pied représente la plus grande part avec 50%, suivie de l’ancienneté (20%), du coût de la visite guidée (20%) et de la popularité sur Instagram (10%).


Le retour de la bonne mère

A l’occasion de la 42e édition des Journées Européennes du Patrimoine, l’Echo du mardi vous propose une carte interactive du programme en Vaucluse.
En tout, près d’une centaine d’animations seront proposées dans le département lors de cet événement qui se déroulera ce samedi 20 et dimanche 21 septembre.




Le retour de la bonne mère

Le Département de Vaucluse vient de démarrer les travaux de restauration du Pont sur l’Ouvèze qui présente des dégradations importantes. L’opération devrait s’étaler jusqu’au printemps prochain.

Classé au titre des Monuments historiques depuis 1997, le Pont sur l’Ouvèze, situé à Bédarrides, présente une condition vétuste qui nécessite une restauration importante. Le Département de Vaucluse débute donc une opération d’envergure pour lui donner une nouvelle jeunesse.

Ouvrage emblématique du patrimoine vauclusien, ce pont roman avec ses trois arches maçonnées en calcaire est situé sur une ancienne route départementale devenue communale mais il appartient toujours au Département qui assure son entretien. Long de 41,65m et largement de 5m, le pont présente des dégradations notables comme l’érosion des maçonneries, l’affouillement d’une pile, ou encore la dégradation des parapets.

Des précautions prises depuis 2023

Afin d’éviter que les choses n’empirent et empêcher l’effondrement du pont avant les travaux, le Département avait pris des mesures conservatoires en 2023 pour limiter les charges. Ainsi, une circulation alternée avec feux tricolores et une restriction de zonage à 3,5t avaient été mises en place.

Aujourd’hui, l’opération de restauration de l’ouvrage débute dans l’objectif de garantir la sécurité des usagers (véhicules, piétons, cyclistes), préserver ce Monument historique, mais aussi répondre aux normes environnementales. Les travaux, qui devraient s’achever au printemps 2026, comprennent la restauration des maçonneries, le renforcement structurel des voûtes, la consolidation d’une pie, la mise en place d’une nouvelle dalle et d’un système d’étanchéité, ainsi que la création de trottoirs et la restauration des parapets. Au début de l’année 2026, une fermeture totale du pont à la circulation sera requise à deux reprises, avec la mise en place d’une déviation.

Le coût total prévisionnel des travaux s’élève à 1 071 650€, financé à hauteur de 713 760€ par le Département de Vaucluse et 357 890€ par l’État au titre de la Dotation de soutien à l’investissement local.


Le retour de la bonne mère

Porté par le ministère de la Culture, l’événement ‘Rendez-vous aux jardins‘ revient pour sa 22e édition du vendredi 6 au dimanche 8 juin. En Vaucluse, seul le Château de Thézan, à Saint-Didier, participe avec pour thème cette année ‘Jardins de pierres, pierres de jardins’.

Plus de 2 200 jardins publics et privés ouvriront leurs portes en France ce week-end, accompagnés de près de 600 jardins dans une vingtaine de pays européens, à l’occasion de la 22e édition des ‘Rendez-vous aux jardins’. Parmi eux, le jardin du Château de Thézan, à Saint-Didier, accueillera le public gratuitement.

Cette année, le thème met en lumière le rôle de la pierre dans l’art des jardins : murs en pierres sèches, calades, restanques, pavages, rocailles, grottes artificielles ou encore fabriques. Autant d’éléments minéraux qui structurent, décorent et façonnent les paysages, comme au cœur du jardin du Château de Thézan. La visite du jardin est libre de 10h à 13h et de 15h à 18h (8€ en incluant la visite du Château).

Sauvé de l’abandon en 2019 par Pierre de Beytia et Emmanuel Renoux, ce bijou architectural et historique vauclusien reprend des couleurs petit à petit au grès des rénovations. Depuis 2023, l’édifice peut accueillir le public, mais il lui reste encore quelques coins à rénover, comme son orangerie, qui a été sélectionnée l’année dernière par la Mission Patrimoine pour être réhabilitée.

Rendez-vous aux jardins 2025. Du 6 au 8 juin. Château de Thézan. 58 Rue du château. Saint-Didier.


Le retour de la bonne mère

Le Comité Vaucluse de Canoë Kayak et Sports de Pagaies lance le deuxième parcours de ses ‘Rand’eau Découverte’ sur la Sorgue. Un projet interactif qui permet la découverte du patrimoine naturel et historique de la rivière.

En 2022, le Comité Vaucluse de Canoë Kayak et Sports de Pagaies fait appel à Furet Company, expert de la gamification digitale, pour développer une application gratuite nommée « Rand’eau Découverte® », disponible sur Android et IOS. Ce projet se veut interactif, innovant et ludique pour l’éducation à l’environnement utilisant le canoë comme moyen de locomotion doux pour la découverte du milieu naturel et du patrimoine.

Après le Rhône, le Comité vauclusien lance un second parcours, cette fois-ci sur la Sorgue, afin de développer la marque ‘Rand’eau Découverte’ sur tout le territoire du Vaucluse et du Grand Avignon. Ce projet, cofinancé par le Département de Vaucluse, Canoë Evasion et Kayak Vert, et élaboré avec l’aide du Club de Canoë Kayak Islois, a pour objectif une meilleure maîtrise des activités touristiques sur la Sorgue pour en protéger les fonds et les berges.

Neuf points d’observation

Grâce à l’application qui accompagne le parcours, les utilisateurs peuvent faire la descente de la Sorgue au départ de Fontaine-de-Vaucluse et profiter de neuf points d’observation agrémentés de quiz, de jeux, de réalité virtuelle, et de fiches d’information. Ainsi, les participants en apprendront davantage sur le Gouffre, les crues, les ouvrages humains, la photo souvenir, la ripisylve, les herbiers, la vue 360, les poissons, et les mammifères de la Sorgue.

Au fil du parcours, le joueur obtient des ‘Pagaies d’Or’. à partir de 8 pagaies d’or, il débloque son diplôme signifiant sa maîtrise du parcours. Les touristes peuvent ainsi découvrir la rivière et le territoire de façon ludique. Rand’eau découverte s’adresse aussi aux locaux, qui peuvent, quant à eux, redécouvrir la Sorgue et ses secrets sous un nouveau jour.

©Comité Vaucluse de Canoë Kayak et Sports de Pagaies

https://www.echodumardi.com/tag/patrimoine/   1/1