Pertuis : les patates mettent KO le projet d’extension de la zone d’activité
En juin dernier, la cour administrative d’appel de Toulouse annulait le décret de déclaration d’utilité publique portant sur l’extension de la zone d’activité de Pertuis.
Lancé en 2020 par Roger Pellenc, le maire de la commune, ce projet visait à consacrer 86 hectares de terres agricoles à l’installation de nouvelles entreprises. Pour s’opposer à ce projet un collectif réunissant plusieurs associations et de nombreux habitants s’est rapidement constitué. Baptisé collectif de la « Zone à Patates » (ZAP), celui-ci a occupé les lieux en y plantant des pommes de terre. Rappelons que la ville de Pertuis a donné son nom aux pommes de terre cultivés sur son territoire et qu’elles sont appréciées des amateurs de ce tubercule.
Pour les membres de ce collectif, qui se sont autoproclamés « Zapatetistes » (sans doute en référence au mexicain Emilliano Zapata qui voulait transformer radicalement l’organisation politique et social de son pays), la plantation de ces patates était un moyen de rappeler que « les terres nourrissent les hommes et que si on continue à les artificialiser on ne pourra plus les nourrir ». Cette occupation pacifique par les patates (et aussi quelques fruitiers) est une ZAD d’un genre nouveau qui aussi le mérite de nourrir ceux qui l’on investit. Plusieurs associations nationales comme « Les soulèvements de la Terre » ont apporté leur soutien à ce mouvement. Le 12 juillet dernier, les « Zapatetistes » étaient réunis à Pertuis pour fêter leur victoire et la décision de la cour administrative d’appel de Toulouse. Néanmoins ils restent vigilants et craignent que la ville conduise un nouveau projet.
Pertuis : les patates mettent KO le projet d’extension de la zone d’activité
La plateforme de transport Blablacar vient de dévoiler le palmarès 2025 des villes les plus covoiturées en Provence-Alpes-Côte d’Azur*. Dans la 7e région la plus visitée de France sur BlaBlaCar cet été, l’essentiel des villes de Vaucluse sont en recul dans ce classement établit pour la 6e année. A l’inverse, le Gard est plutôt en hausse ainsi qu’Arles.
Cet été, les conducteurs vont proposer plus de 1,5 millions de places de covoiturage sur l’ensemble du territoire sur la plateforme de transport Blablacar. Parmi elles, 132 246 places sont à destination de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. De quoi apparaître en 7e position des régions françaises derrière le trio de tête inchangé par rapport à 2024 constitué d’Auvergne-Rhône-Alpes, d’Occitanie et de la Nouvelle-Aquitaine.
Les régions plus covoiturées de France. Crédit : Blablacar
Avignon, Orange et Sorgues dans le top 10 régional Dans le détail, cette 6e édition du palmarès des destinations estivales 2025 de la plateforme faisant la promotion d’une offre de mobilité « à la fois économiques et écologiques » place Marseille en tête des villes de la Région Sud en matière de covoiture. La cité phocéenne gagne 3 places, pour se situer au 11e rang national, et détrône Aix-en-Provence (-1 place, 12e au niveau national). Arrivent ensuite Nice (26e, -4 places), Toulon (46e, +2 places) et Avignon (49e, -7 places). Orange (61e, -3 places), Gap (74e, -13 places), Sorgues (80e, +2 places), Fréjus (87e, +1 places) et Salon-de-Provence (92e, -15 places) complètent le top 10 régional. Au total, la cité des papes propose de 4 500 places de covoiturage cet été, 2 000 à Orange et 1 100 pour Sorgues. Bollène (97e, -3 places) et Pertuis (527e, -45 places) sont les autres communes vauclusiennes à figurer dans ce classement avec respectivement 965 et 683 places de covoiturage estival. Malgré leur recul au plan hexagonal, la présence de 3 destinations vauclusiennes dans le top 10 régional confirme le rôle de carrefour de ce territoire et notamment des pivots de mobilités que représentent les autoroutes A7 et A9.
Classement des 10 premières villes de la Région Sud. Crédit : Blablacar
L’offre gardoise en hausse, idem à Arles Dans le Gard, avec 7 300 places Nîmes occupe la 23e place (+4 places par rapport à 2024) et devance Alès (151e, +2 places, 1 700 places de covoiturage). Remoulins (considérée parfois comme la sortie d’autoroute ‘d’Avignon-Ouest’ bondit de 25 places au classement pour atteindre la 571e place dans le classement. A l’inverse, Bagnols-sur-Cèze chute de 91 places pour se situer en 580e position.
Crédit : Blablacar
Toujours dans le très grand bassin de vie d’Avignon, Arles gagne 4 places en proposant près de 1 300 places de covoiturage cet été. De quoi figurer en 107e position de ce classement national dominé par Paris, Lyon et Rennes (voir tableau ci-dessous). Un top 10 respectivement complété par Toulouse, Montpellier, Bordeaux, Nantes, Angers, Lille et Clermont-Ferrand.
L.G.
538M€ et 2,5 millions de tonnes de CO2 économisé « Blablacar permet chaque année à 29 millions de ses membres de partager un trajet dans 21 pays, explique l’application. La plateforme s’appuie sur la technologie pour mettre en relation des conducteurs ayant des places libres avec des passagers se rendant dans la même direction, afin qu’ils puissent partager les frais du trajet. En 2024, la communauté de BlaBlaCar a connecté 2,6 millions de points de rencontre dans le monde et a permis 119 millions de rencontres entre les voyageurs. Les conducteurs ont économisé 538M€ en covoiturant, et tous les services de mobilité de Blablacar ont contribué à éviter l’émission de 2,5 millions de tonnes de CO2. »
*Méthodologie : Ces classements sont établis d’après le nombre de places réservées sur BlaBlaCar pour des voyages, entre le 1er et le 30 juin 2025, comparé à la même période en 2024. Avec 300 000 points de rencontre de covoiturage desservis chaque année, la densité du réseau BlaBlaCar permet d’étudier précisément les tendances de déplacement des Français.
Pertuis : les patates mettent KO le projet d’extension de la zone d’activité
Christophe Pulizzi, chef du restaurant L’Olivier à Pertuis, accompagné de son sommelier Eliott, a décidé de lancer les événements ‘Un dîner, un vigneron’, mettant à l’honneur les vins du Sud tout l’été. À table !
Chef du restaurant L’Olivier depuis 2022, c’est à seulement 25 ans que Christophe Pulizzi qu’il en a repris les rênes. Avec ses racines siciliennes, il a développé une vraie passion pour les produits de la terre et de la mer, le menant vers le chemin de la restauration.
Son parcours professionnel riche lui a permis d’obtenir le titre de Maître Restaurateur. Il incarne aujourd’hui une génération de chefs qui placent l’émotion, le respect du produit et l’identité personnelle au cœur de l’assiette. Son travail a d’ailleurs été mis en lumière lors de l’événement Terroir en fête, qui a eu lieu en juin à Châteauneuf-de-Gadagne, durant lequel il a remporté avec son équipe, le concours de cuisine.
Christophe Pulizzi (à droite) et son équipe ont remporté le concours de cuisine de Terroirs en fête. DR
Un dîner, un vigneron
Durant les mois de juillet et août, Christophe Pulizzi et son sommelier Eliott ont décidé de mettre en avant les domaines viticoles de Provence à travers une série de dîners événements. À chaque soirée, un maître de chai sera présent pour raconter ses méthodes de culture, ses choix œnologiques et l’âme de ses terres.
Ce jeudi 3 mai, c’est la Maison Meï, située à Pertuis, qui présentera ses vins lors d’un dîner élaboré avec des produits locaux et de saison destinés à mettre en valeur les différentes cuvées proposées. Quatre autres domaines seront présentés lors de quatre autres dates les prochaines semaines : Château Léoube (Bormes-les-Mimosas, Var) le vendredi 11 juillet, le Domaine de Rimauresq (Pignans, Var) le jeudi 17 juillet, la Cave de L’Olivier (Solliès-Pont, Var) le jeudi 7 août, et le Domaine Richeaume (Puyloubier, Bouches-du-Rhône) le jeudi 14 août.
110 à 115€ par personne, boissons comprises. Réservations en ligne ou au 04 90 79 08 19.
Restaurant L’Olivier. 914 Route de la bastidonne. Pertuis.
Pertuis : les patates mettent KO le projet d’extension de la zone d’activité
A l’occasion de sa dernière assemblée plénière, la Région Sud a voté l’extension de son réseau de points de vente TER. Pour cela, la Région a intégré La Poste comme nouveau partenaire. De manière échelonnée à partir de septembre 2025, des titres TER pourront être achetés dans 26 bureaux de Poste situés dans des communes équipées d’une gare mais dépourvues de guichet ou à amplitude limitée.
En Vaucluse, les premières communes concernées sont Sorgues, Bollène et Pertuis. « Ce partenariat avec La Poste, ancré dans nos territoires, répond à une priorité : garantir un accès équitable aux services publics, y compris dans les zones rurales. C’est une solution concrète, au service des usagers du TER partout en Région Sud » déclare Renaud Muselier président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Outre les 3 communes vauclusiennes 23 autres communes de la région sont aussi concernées par ce dispositif déployé prioritairement sur les gares de l’axe Nice-Tende.
« Nous espérons que cette démarche contribuera à améliorer la qualité de vie des habitants et à promouvoir une mobilité plus accessible et durable dans notre Région Provence », précise Léa Léger-Zurfluh, directrice exécutive de la Poste en Paca
« Ce partenariat reflète nos valeurs communes au service des territoires. Ensemble, nous facilitons l’accès au train partout en Région Sud et encourageons une mobilité durable, simple et accessible à tous », se félicite pour sa part Delphine Couzi, directrice régionale SNCF-Voyageurs-TER Sud.
Pertuis : les patates mettent KO le projet d’extension de la zone d’activité
À l’occasion de la Journée mondiale de la maladie de Parkinson, qui a eu lieu le 11 avril, France Parkinson organise une journée de sensibilisation au centre hospitalier de Pertuis ce vendredi 16 mai.
En 2021, 11,8M de cas de Parkinson, maladie neurodégénérative progressive, ont été recensés dans le monde. D’ici 2025, il est estimé que cela atteindra 25,2M de cas, soit +112% par rapport à 2021. L’association France Parkinson alerte sur l’augmentation inquiétante du nombre de personnes malades et organise plusieurs événements de sensibilisation en France depuis plusieurs semaines dans le cadre de la Journée mondiale de la maladie de Parkinson qui a eu lieu au mois d’avril. L’association estime que, même si le vieillissement de la population reste le principal facteur à l’origine de l’augmentation des cas de maladie de Parkinson, le facteur environnemental n’est pas à négliger.
Ainsi, afin de sensibiliser les populations, France Parkinson organise une journée de sensibilisation au Centre Hospitalier Intercommunal Aix Pertuis (CHIAP) ce vendredi. Anne Delenne, Centre Expert Aix-en-Provence, proposera des sessions questions/réponses. Un atelier cognidanse sera animé par Roselyne Aurenty. Enfin, France Parkinson tiendra un stand sur place pour informer, sensibiliser, répondre aux questions, etc.
Vendredi 16 mai. De 10h à 15h. Entrée Libre. CHIAP. 58 rue de Croze. Pertuis.
La maladie de Parkinson en France : • 270 000 personnes atteintes par la maladie • 27 000 nouveaux cas par an • 1 personne sur 50 touchée au cours de sa vie
(Source : France Parkinson)
Pertuis : les patates mettent KO le projet d’extension de la zone d’activité
Organisé dans le cadre du Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance de Pertuis (CLSPD) le festival a pour thème cette année :’Apprendre, juger, penser : l’ IA change-t-elle les règles ?’. « Cet événement désormais incontournable de notre ville s’impose comme un véritable moment de réflexion et de sensibilisation pour notre société, se félicite Roger Pellenc, maire de Pertuis. Cette année, le festival s’intéresse à un sujet fondamental et d’une actualité brûlante : l’intelligence artificielle. La thématique nous invite à nous questionner sur la place de l’intelligence artificielle au sein de notre société et plus particulièrement sur l’influence qu’elle peut avoir dans le monde judiciaire, thématique centrale de notre festival. »
De la justice prédictive à celle des algorithmiques « Au moment où les missions régaliennes de l’État que sont l’armée et la sécurité se métamorphosent au contact des nouvelles technologies (vidéosurveillance, robots-soldats, etc.), la justice elle aussi est gagnée par la révolution numérique au point qu’on parle dorénavant de justice algorithmique, constate Jean-Philippe Lejeune, Président du Tribunal judiciaire d’Avignon. Des légals techs au logiciel de pseudonimisation de la cour de cassation qui permet l’open data des décisions judiciaires, les outils juridiques contenant de l’IA se développent. Les usages de l’IA en matière judiciaire sont nombreux. La notion de justice prédictive est centrale : elle ne consiste pas à prédire des crimes pour condamner leur auteur avant un passage à l’acte mais il s’agit d’un ensemble d’outils destinés à prévoir autant que possible l’issue d’un litige à partir de probabilités sur la base sur la base de l’analyse de données.
Crédit : Généré par Adobe Firefly
« Le ‘juge-robot’ remplaçant le juge humain reste toujours un fantasme. »
Jean-Philippe Lejeune, président du Tribunal judiciaire d’Avignon
« L’intelligence artificielle nécessite une prise de recul globale, poursuit celui qui est aussi président du CDAD 84. Face à l’IA, nous sommes en présence d’une histoire qui peut finir bien, comme elle peut finir mal, l’intelligence artificielle représentant autant un potentiel outil pour les juges qu’une potentielle contrainte. Même si le ‘juge-robot’ remplaçant le juge humain reste toujours un fantasme, les mutations induites par l’irruption de l’intelligence artificielle dans le domaine juridique et dans la société entière risquent de prendre une importance accrue dans notre mode de vie. Elles nous imposent une vigilance renforcée. Ce festival permet de lancer ce débat passionnant et de mesurer les enjeux, les risques et les vrais atouts de cette révolution qui est en marche. »
« L’IA, si puissante soit-elle, soulève des questions éthiques et juridiques cruciales. »
Florence Galtier, procureure de la République d’Avignon
« L’intelligence artificielle, par sa capacité à analyser, prédire et automatiser, offre des perspectives inédites, complète de Florence Galtier, procureure de la République d’Avignon. Dans nos tribunaux, elle pourrait alléger la charge des magistrats, accélérer le traitement des dossiers ou encore affiner l’évaluation des risques. Mais ces promesses ne doivent pas nous aveugler. Car l’IA, si puissante soit-elle, soulève des questions éthiques et juridiques cruciales : peut-elle rendre la justice avec l’humanité et la nuance qu’exige chaque affaire ? Peut-elle garantir l’équité, alors que ses algorithmes, conçus par des mains humaines, peuvent induire des biais insidieux ? Et que dire de la responsabilité pénale, qui requiert une analyse fine des responsabilités, du lien de causalité de l’élément intentionnel notamment. »
Projections pour les scolaires A l’occasion de cette 3e édition du festival du film judiciaire, 6 courts métrages seront projetés de toutes la journée aux élèves des établissements scolaires inscrits au préalable et accompagnés par leurs professeurs. Ce programme a pour but de proposer aux élèves et aux enseignants de ces établissements, des courts métrages en lien avec le domaine de la justice (voir détail dans l’encadré en fin d’article), leur permettant ainsi de mieux appréhender certains enjeux sociétaux et contextes humains puis de débattre par la suite. Ces projections sont toujours suivies d’échanges directs avec des professionnels du droit, des magistrats, des policiers, des gendarmes, des éducateurs, des avocats ainsi que des représentants du rectorat, du CLSPD et de la ville de Pertuis.
Une séance pour le grand public suivie d’un débat Par ailleurs, une séance gratuite sur inscription réservée au grand public clôturera cette 3e édition. C’est le film ‘The Circle’ qui sera projeté à partir de 19h dans les salles obscures du cinéma Le Luberon. Le sujet de ce long-métrage : « Les Etats-Unis, dans un futur proche. Mae est engagée chez The Circle, le groupe de nouvelles technologies et de médias sociaux le plus puissant au monde. Pour elle, c’est une opportunité en or ! Tandis qu’elle prend de plus en plus de responsabilités, le fondateur de l’entreprise, Eamon Bailey, l’encourage à participer à une expérience révolutionnaire qui bouscule les limites de la vie privée, de l’éthique et des libertés individuelles. Désormais, les choix que fait Mae dans le cadre de cette expérience impactent l’avenir de ses amis, de ses proches et de l’humanité tout entière… » La projection sera suivie d’un débat avec le public.
L.G.
3e édition du Festival du film judiciaire. 19h. Mardi 13 mai. Cinéma Le Luberon. 31, rue Giraud. Pertuis Informations et réservations : 04 90 79 50 40. pad@mairie-pertuis.fr
Les 6 courts métrages projetés ‘Ma meilleure amie‘ Court-métrage réalisé par des jeunes de Association Vatos Locos Vidéo. « Sarah, une adolescente connectée, s’appuie sur sa «meilleure amie», une présence toujours disponible pour l’aider dans son quotidien. Mais peu à peu, son attachement à cette amie l’éloigne de ses vrais amis. Lorsque son obsession pour les réponses instantanées remplace les échanges réels, ses camarades lui font comprendre qu’elle passe à côté de l’essentiel. Une réflexion sur notre rapport à la technologie et à l’importance des liens humains. » ‘IAMoyen ?‘ Court-métrage réalisé par des jeunes de la Mission Locale. « Léo découvre Emma lors d’un atelier de la Mission Locale. Pour arriver à la séduire il va devoir faire appel à un allié inattendu. » ‘Alerte réveil‘ Court-métrage réalisé par des jeunes de l’école numérique des apprentissages de l’association VOLT par image et son. « Alors qu’un homme à la frontière du réel fuit une menace mystérieuse, il semble être rattrapé par un ennemi bien plus insidieux. Mais qu’en est-il réellement ? » ‘Réveille-toi‘ Court-métrage réalisé par les lycéens du Lycée Val de Durance en partenariat avec l’association Audiovisocial. « Des lycéens sont hypnotisés par des écrans d’ordinateurs et smartphones, ils ont perdu toute leur autonomie. Est-ce un cauchemar ou la réalité ? » ‘L’apéro‘ Court-métrage réalisé par les lycéens du Lycée Val de Durance en partenariat avec l’association Audiovisocial. « Un groupe d’amis se donnent rendez-vous pour un apéro, mais la soirée commence mal… »
Pertuis : les patates mettent KO le projet d’extension de la zone d’activité
Dans le cadre de la 10e édition d’Indus’3Days, organisée depuis 2016 par l’Office de Tourisme de Gardanne en Métropole Aix-Marseille-Provence, Pellenc ouvre les portes de son usine de Pertuis au public le mercredi 2 avril.
Chaque année depuis 2016, l’office de tourisme de Gardanne organise des visites guidées dans différentes entreprises. de découvrir une grande variété de secteurs, de l’aéronautique aux métiers d’art en passant par la gastronomie et l’environnement. Pour cette 10e édition d’Indus’3Days, qui a lieu du lundi 24 mars au dimanche 13 avril, Pellenc est de la partie.
Le groupe pertuisien, concepteur, constructeur et distributeur de machines, d’équipements et d’outils pour la viticulture, la viniculture, l’arboriculture fruitière et l’entretien des espaces verts et urbains, accueillera le public le mercredi 2 avril. Pendant 2h30, les participants découvriront les coulisses de l’entreprise. Ils pourront visiter les ateliers de production des machines et outils à batterie et auront également l’opportunité d’assister à des démonstrations de produits.
« Nous sommes ravis d’ouvrir nos portes pour une visite inédite au cœur de nos activités à l’occasion d’Indus’3Days, affirme Simon Barbeau, président du groupe Pellenc. Notre site de Pertuis abrite le siège historique de Pllenc, à l’endroit même où l’entreprise a été fondée il y a plus de 50 ans. Aujourd’hui, il regroupe sur le territoire de la Métropole Aix-Marseille près de 600 collaborateurs autour de notre centre d’innovation technologique, de deux ateliers de production et de l’ensemble des métiers support de notre Groupe, composé de 21 filiales à travers le monde. Lors de cette visite, ce sont nos collaborateurs qui présenteront eux-mêmes leurs métiers et leurs expertises pour guider les visiteurs à la découverte de nos méthodes de travail, allant de l’idée jusqu’à la commercialisation de nos produits innovants. »
Mercredi 2 avril. 14h. 7€ (billetterie en ligne). Pellenc. Quartier Notre Dame. Route de Cavaillon. Pertuis.
Pertuis : les patates mettent KO le projet d’extension de la zone d’activité
Ce samedi, collégiens, lycéens, étudiants, parents, demandeurs d’emploi, et salariés en reconversion professionnelle sont invités à venir découvrir le campus pertuisien de l’Académie Vaucluse Provence et ses formations dans des domaines qui recrutent. Le site de Pertuis est celui de l’ancienne école Nextech, reprise par la CCI en novembre dernier, et intégrée à l’Académie Vaucluse Provence. Cette journée sera donc marquée par la nouvelle dynamique initiée par la CCI de Vaucluse depuis cette reprise.
De nombreuses formations en Bac, Bachelor, BTS, Mastère, ou encore Titre professionnel, seront présentées aux visiteurs, dans les domaines de la vente, du numérique, du management commercial, ou encore du développement durable. En plus d’obtenir des conseils sur les différentes formations du campus de Pertuis, le public pourra rencontrer les équipes pédagogiques et visiter le site.
Samedi 15 mars. De 9h à 13h. Académie Vaucluse Provence. 180 Rue Philippe de Girard. Pertuis.
Pertuis : les patates mettent KO le projet d’extension de la zone d’activité
Le groupe Pellenc, concepteur, constructeur et distributeur de machines, d’équipements et d’outils pour la viticulture, la viniculture, l’arboriculture fruitière et l’entretien des espaces verts et urbains, basé à Pertuis, vient de nommer Thierry Carbonnel au poste de directeur Produits et de Pascal Moulinier au poste de directeur Recherche & Développement.
Le groupe pertuisien Pellenc commence l’année sur les chapeaux de roues et consolide son comité exécutif. Le jeudi 2 janvier, Thierry Carbonnel et Pascal Moulinier ont rejoint l’équipe et pris leurs fonctions en tant que directeur Produits et directeur Recherche & Développement.
Thierry Carbonnel est ingénieur INSA Lyon en énergie et environnement et diplômé d’HEC Paris d’un Master Innovation et Entrepreneuriat. Il a effectué une grande partie de sa carrière chez Renault Trucks où il a dirigé le développement de la gamme poids-lourds en Europe, Moyen-Orient et Afrique, et où il a lancé la première gamme commerciale de poids lourds électriques pour le marché européen. Il a aussi évolué au sein d’Air Liquide en tant que directeur Marketing et Business Support.
Pascal Moulinier, quant à lui, a exercé près de 35 ans dans le groupe Renault à différents postes sur les périmètres Ingénierie et Opérations, en France et à l’international. Il y a occupé des postes de Chef de Services, de Départements et de Direction qui l’ont amené à développer toutes les compétences autour des composantes de la Recherche & Développement.
« Les équipes sont ravies de pouvoir s’enrichir de leurs expériences respectives et de leurs expertises métiers complémentaires afin de renforcer la proximité client et la dynamique d’innovation, valeurs inscrites depuis toujours dans l’ADN de Pellenc », a déclaré le groupe vauclusien.