19 mai 2024 |

Ecrit par le 19 mai 2024

Où les films d’horreur ont la cote

Alors que l’on vient de fêter Halloween, les contenus d’horreur et d’épouvante se multiplient sur les plateformes de streaming. Et, d’après les données compilées dans le cadre des Consumer Insights de Statista, ceux-ci sont particulièrement populaires dans certains pays. C’est par exemple le cas du Mexique, pays du réalisateur Guillermo del Toro, dont l’œuvre compte des classiques du genre : 57 % des personnes interrogées dans le pays déclaraient aimer regarder des films et séries d’horreur. Le genre est également assez populaire en Espagne, où la part des répondants disant apprécier ces films et séries était de 46 %.

Si les Français étaient en général moins enthousiastes vis-à-vis de l’horreur, près d’un tiers (32 %) des personnes interrogées en France disaient tout de même regarder des films et séries d’épouvante.

Valentine Fourreau pour Statista


Où les films d’horreur ont la cote

Selon un rapport de la société de marketing IZEA, les parrainages de contenus vidéo sont de loin les mieux rémunérés pour les influenceurs, qu’il s’agisse des plateformes TikTok, Instagram, Twitch ou YouTube. Alors qu’un post sponsorisé consistant en une image postée sur Facebook, Instagram, Pinterest ou Twitter rapportait en moyenne entre 642 et 1 643 dollars en 2022, une vidéo publiée sur YouTube, TikTok, ou une story Instagram, permettait de gagner environ le double, avec une moyenne comprise entre 2 102 et 2 784 dollars.

Cela reste cependant nettement moins cher qu’un parrainage de vidéo sur Twitch, dont le prix moyen s’élevait à 4 373 dollars en 2022. Les publications combinées « story Instagram + TikTok » et « story Instagram + YouTube » représentaient les options les plus chères pour les annonceurs : respectivement 6 444 dollars et 12 007 dollars en moyenne.

Le rapport montre également que les coûts des campagnes de marketing d’influence ont explosé ces dernières années. En 2022, le post payant moyen rapportait plus de 1 100 dollars aux créateurs de contenu. En 2015, ce chiffre était de seulement 25 dollars. Alors que les « petits » influenceurs (entre 1 000 et 199 999 abonnés) ont connu une hausse régulière de leurs revenus (à l’exception de l’effondrement lié au Covid en 2020), les comptes les plus importants ont été soumis à davantage de fluctuations.

Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

Tristan Gaudiaut, Statista.


Où les films d’horreur ont la cote

La Compagne Nationale des Commissaires aux Comptes (CNCC) lance The SmartList, la plateforme de référence des entreprises auditées. D’accès libre et gratuit, The SmartList se veut une contribution tangible en faveur d’une économie plus sûre. Elle entend valoriser toutes les entités économiques engagées dans une démarche de transparence avec un commissaire aux comptes à leurs côtés.

Une plateforme d’accès libre et gratuit au service de l’intérêt général

The SmartList est la nouvelle plateforme éditée par la Compagnie nationale des commissaires aux comptes, instance représentative de la profession en France. Le site, d’accès libre et gratuit, rassemble toutes les entités économiques (entreprises, associations, fondations, etc.) dont les comptes sont certifiés, ou qui ont bénéficié de missions ciblées de diagnostics ou d’attestations réalisées par un commissaire aux comptes.

Avec The SmartList, la profession poursuit trois objectifs :

  • mettre en avant ces entités économiques et leur engagement dans une démarche de transparence,
  • offrir à tout un chacun la possibilité de les identifier à l’échelle régionale et nationale,
  • promouvoir toutes les actions qui nourrissent la confiance au sein de l’économie en capitalisant sur l’intervention d’un tiers indépendant.

L’intervention du commissaire aux comptes : un label de confiance à faire valoir

« Avec cette initiative, la Compagnie nationale des commissaires aux comptes entend proposer aux dirigeants d’entités dont les comptes sont certifiés un nouvel outil leur permettant de tirer pleinement le bénéfice de la mission de leur commissaire aux comptes en termes de communication, en donnant à voir sur The SmartList la dimension de « label » de confiance de la signature du commissaire aux comptes » précise Yannick Ollivier, président de la CNCC.

Pour le grand public, les entreprises en recherche de partenaires ou d’opportunités commerciales avec des acteurs de confiance, l’onglet de recherche géographique et sectorielle de The SmartList constitue une ressource pour accéder à des données fiables, vérifiées par les commissaires aux comptes des entités concernées et validées par leurs dirigeants.  

Au-delà de la mission de certification, The SmartList permet également à toutes les entités économiques faisant appel aux services d’un commissaire aux comptes dans le cadre de missions ponctuelles de diagnostics ou d’attestation d’être référencées. Ce faisant, la plateforme valorise toutes les démarches susceptibles d’entretenir la confiance au sein de l’économie sur des volets aussi divers que l’impact social et environnemental ou la cybersécurité.

Pour en savoir plus, découvrez la vidéo de présentation et rendez-vous sur www.thesmartlist.eu.


Où les films d’horreur ont la cote

Sous la direction du Maubecquois Olivier Le Floch, Smily est une plateforme à destination des particuliers qui permet de centraliser ses locations saisonnières et ainsi, de faciliter la gestion des réservations.

Booking Sync est un logiciel de gestion de location saisonnière qui compte deux plateformes différentes : Bookingsync Pro et Smily. Si la première s’adresse aux professionnels qui comptabilisent entre 10 à 5000 biens et permet de gérer les différents corps de métier liés à la location de vacances comme le ménage, la réception ou encore la restauration, Smily, elle, est réservée aux particuliers possédant entre 1 et 10 biens. Depuis 2021, Olivier Le Floch, qui travaille depuis son domicile à Maubec, en est aux commandes.

Faciliter la gestion pour les non-professionnels

Mettre son bien en location présente de nombreux avantages comme générer un revenu supplémentaire, mais cela comporte également des inconvénients qui peuvent engendrer du stress pour les propriétaires. Smily a vocation de réduire cette anxiété en facilitant la gestion des réservations. « Un vendredi soir vous recevez un message qui indique que votre bien a été réservé sur Booking mais vous voulez attendre le lendemain pour supprimer l’annonce sur Airbnb, met en situation Olivier Le Floch, directeur général de Smily France. Sauf que le lendemain c’est trop tard, quelqu’un a également réservé le bien sur Airbnb, il y a donc une double réservation qui crée un problème de communication avec les clients. » 

Ce genre de situation peut s’avérer compliqué à gérer pour quelqu’un pour qui l’hébergement n’est pas l’activité principale. Un particulier qui inscrit son logement sur Smily n’a pas ce risque-là. Lorsqu’une réservation pour ce bien est effectuée sur l’un des nombreux sites d’hébergement, Smily le bloque automatiquement aux dates réservées sur les autres sites. Ainsi, plus aucun problème de double-réservation et plus de conflit avec les potentiels clients.

Un accompagnement approfondi pour particuliers

Si l’inscription sur la plateforme est totalement gratuite, les particuliers ne sont pas pour autant lâchés dans la nature sans aucun suivi derrière. « Nous avons un devoir de service et de conseils envers nos clients parce qu’ils ne s’y connaissent pas forcément », développe le Maubecquois. 

Une fois que les particuliers inscrivent leur logement sur Smily, il y a un réel suivi de la part des équipes, notamment sur comment optimiser le profil de la location. Il y a une aide sur les prises de vues des différentes pièces du logement afin de le mettre en avant, la description de ce dernier, les fonctionnalités qu’il peut présenter, et bien d’autres aspects auxquels un non-professionnel ne pense pas forcément pour rendre son bien davantage attractif.

Une plateforme qui attire de plus en plus

Que ce soit au niveau de ses utilisateurs ou au niveau de ses partenaires, Smily ne cesse de grandir chaque jour. Parmi ses plus gros partenaires, la plateforme compte Airbnb, Booking ou encore Expédia, qui reconnaissent la société BookingSync comme meilleur fournisseur de connectivité haute qualité. Récemment, Le bon coin est venu s’ajouter à la liste des partenaires, et bien d’autres sont prévus à l’avenir. « C’est un privilège de pouvoir fournir à nos clients une excellente connectivité pour que ces derniers puissent se concentrer pleinement sur l’expérience d’accueil des voyageurs », a déclaré Sébastien Grosjean, fondateur de BookingSync. 

Présente dans 17 pays, l’entreprise permet à ses utilisateurs de diffuser l’annonce de leur hébergement sur plus de 1000 sites internet, ce qui permet d’atteindre plus de 50 millions de voyageurs. En 2021, elle a enregistré 2,350 millions de nuitées et 300 millions d’euros de volume d’affaires. En 2022, elle en vise plus de 400 millions. De nombreux particuliers vauclusiens, mais aussi des professionnels sont déjà membres de BookingSync, et de plus en plus devraient s’y inscrire à l’avenir, telle est l’ambition d’Olivier Le Floch.

Pour le moment, Smily n’agit qu’en tant que passerelle de paiement, il n’y a pas de frais caché ni de frais d’annulation. Si jusqu’à présent, on ne pouvait pas réserver de bien directement sur la plateforme mais on pouvait juste y gérer ses propres hébergements en location, cela devrait changer d’ici la fin de l’année. Ainsi, au même titre que les autres sites d’hébergement, quelqu’un qui voudra réserver une maison ou un appartement pour ses vacances pourra le faire directement sur le site de Smily.

Olivier Le Floch
Directeur Général Smily France chez BookingSync

Où les films d’horreur ont la cote

Le projet d’arrêté interdisant la circulation des poids-lourds sur la rocade Charles-de-Gaulle aux heures de pointe semble reporté à une date non définie…

Afin de réduire le trafic routier sur la rocade Charles-de-Gaulle, la Ville d’Avignon et les services de l’Etat envisageaient un projet d’arrêté visant à interdire la circulation des poids-lourds entre 7h et 9h ainsi qu’entre 16h et 18h tous les jours.
« L’interdiction des poids lourds sur la rocade est une mesure demandée par les acteurs locaux, notamment par la maire d’Avignon depuis plusieurs années, détaillait la Dreal Provence-Alpes-Côte d’Azur en octobre dernier. Cette restriction vise les poids-lourds de plus de 40 tonnes aux heures de pointe. »
Travaillant sur la faisabilité d’un tel projet (conditions de contrôle, parkings de stockage, balisage des itinéraires, conditions de circulation des poids lourds du MIN de Châteaurenard), la Dreal Paca évoquait alors une entrée en vigueur de la mesure d’interdiction à la fin de l’année 2021.

Un remède pire que le mal ?
C’était sans compter sur la mobilisation des entreprises de transports locales ainsi que des membres de l’association du parc d’activités Avignon-Courtine. En effet, cette zone d’activités abrite de nombreuses sociétés de transports ainsi qu’une très importante plateforme multimodale (rail-route).
A ce titre, TLF-Méditerranée (regroupant les représentants régionaux l’union des entreprises de transport et logistique de France) ont fait part de leurs inquiétudes de leurs adhérents effectuant des transports de denrées périssables et des transports combinés rail-route.
S’appuyant sur des études faites par la Dreal et le Cerema, le groupe de travail réunissant les parties prenantes associées à cette réflexion (collectivités, acteurs économiques, transporteurs routiers notamment) ont estimé « qu’une telle interdiction mettrait à mal – voire en péril – le transport combiné rail-route dans le Sud de la France et compromettrait la transition énergétique ainsi que le report modal en général ».
De fait, le projet d’obligation de contournement de la rocade Sud d’Avignon semble donc reporté sine die.

La LEO fait cruellement défaut
Pour la Ville l’objectif de cet arrêté est de diminuer le trafic poids lourds sur la rocade. Une zone qui enregistre un transit quotidien de l’ordre 30 000 à 40 000 véhicules, dont 11% à 13% de camions. Un flux qui n’est pas sans conséquences sur la santé et la qualité de vie des 25 000 riverains des quartiers Sud de la cité des papes.
« Un périmètre reste à définir dans lequel un recours aux dérogations serait inutile car seul le transit devrait y être interdit, précise Michel Mattar, secrétaire général de TLF Méditerranée Pour les véhicules en transit, ils seraient dans l’obligation d’utiliser les itinéraires de contournement prédéfinis par la ville d’Avignon et la Dreal, mais cela engendrerait des problèmes avec les maires des communes traversées car les routes sont inadaptées et déjà très congestionnées. »
Aujourd’hui, si l’arrêté interdisant la circulation des poids-lourds sur la rocade Charles-de-Gaulle n’est donc pas pris c’est, qu’au bilan, entre les nuisances reportées sur d’autres territoires et les émissions de CO2 multipliées par la sous-utilisation de la plateforme rail-route, l’impact environnemental serait négatif.
Ainsi à l’image de difficultés rencontrées avec le plan Faubourgs, cette volonté municipale de ‘faire la chasse’ au trafic de transit se retrouve confrontée aux manques de solutions alternatives. Dévier le flux des véhicules : mais pour les faire passer où ?
Cette situation met en lumière l’absence d’infrastructures adaptées à la réalité du bassin de vie et plus particulièrement le retard pris par la LEO (Liaison Est-Ouest) dont seulement une tranche a été réalisée sur les 3 que compte le projet de contournement d’Avignon par le Sud.
Selon les projections, la mise en service de ces équipements routiers permettrait de réduire le trafic de plus de -20% sur la rocade et de -40% à -50% sur plusieurs tronçon de route compris entre la cité des papes et Châteaurenard.


Où les films d’horreur ont la cote

Infogreffe lance MonJuridique.Infogreffe, nouvelle plateforme accessible en ligne, destinée à dématérialiser toutes les démarches juridiques des entreprises concernant les registres légaux et les assemblées générales.

Afin de simplifier et sécuriser les démarches juridiques des entreprises, Infogreffe lance MonJuridique.Infogreffe, un nouveau service de dématérialisation des registres légaux et des assemblées générales. Cette nouvelle plateforme accessible en ligne, reliée aux greffes des tribunaux de commerce, est destinée aux dirigeants d’entreprise et aux professions du droit et du chiffre, aux formalistes et aux directions juridiques.

Elle propose plusieurs fonctionnalités :

– la dématérialisation des registres obligatoires,
– la dématérialisation complète de tout type d’assemblées en ligne,
– un coffre-fort numérique, collaboratif et sécurisé hébergé sur un ‘cloud’ souverain,
– la signature électronique avancée, pour tous les documents.

Cette plateforme, en synchronisation avec les services d’Infogreffe, offre un espace simple d’accès et sécurisé, permettant de sécuriser au maximum les données des utilisateurs, en accord avec le cadre légal actuel.
MonJuridique.Infogreffe s’appuie ainsi sur la signature électronique EIDAS, un coffre-fort CCFN, des envois recommandés électroniques opposables ou encore un ‘cloud’ souverain et un système de ‘blockchain’ privé et sécurisé. Un véritable coffre-fort numérique à disposition des entrepreneurs.

Remarque : les étapes de dématérialisation se font en application des décrets n° 2018-1226 du 24 décembre 2018 (dématérialisation des titres), n° 2019-1118 du 31 octobre 2019 (dématérialisation des registres et PV) et de l’ordonnance n° 2020-321 du 25 mars 2020 (tenue des assemblées en ligne).

Éditions Législatives – www.elnet.fr
Article extrait du Bulletin d’actualité des greffiers des tribunaux de commerce n° 157, novembre 2021 :
www.cngtc.fr


Où les films d’horreur ont la cote

‘On démarre demain !’, c’est le nom de la nouvelle plateforme digitale dédiée à l’emploi en région Paca. Près de 200 postes sont à pourvoir immédiatement dans la région au sein de 350 entreprises partenaires des GEIQ (Groupements d’employeurs pour l’insertion et la qualification) Paca.

Avec le soutien de la Métropole Aix Marseille Provence et de la Dreets Paca, les Geiq en Paca lancent une plateforme digitale visant à favoriser le rapprochement entre des candidats en difficulté d’accès à l’emploi et des entreprises en demande. Les candidats et entreprises peuvent désormais être mis plus facilement en relation en passant par les Geiq de leur région via le site : www.on-demarre-demain.fr. Parmi les Geiq du Vaucluse : Geiq Avenir CHR, GEIQ BTP Vaucluse, GEIQ fruits et légumes Provence (bassin d’Avignon et Cavaillon), GEIQ Geste ou GEIQ Silver Paca. La liste complète des Gieq est à consulter en cliquant ici. « Un maillage d’autant plus important que le taux de chômage en Paca continue d’augmenter pour atteindre un taux de 9,1% au 1er trimestre 2021 », précise le groupement Paca.

Les secteurs qui recrutent

En Vaucluse, 10 postes sont à pourvoir immédiatement dans le BTP (Bâtiment et travaux public). Dans l’agroalimentaire, 20 postes de conducteurs de lignes ou de machines, préparateurs de commandes en agroalimentaire et techniciens de maintenance sont à pourvoir à Avignon. Dans le médico-social, 4 postes d’accompagnant éducatif et social immédiat, 10 postes d’accompagnant éducatif et social pour un démarrage en janvier, 2 postes d’agent de service hospitalier immédiat, 4 postes d’aide-soignant début 2022 sont à prévoir dans les départements 13, 83, 84 et 06. Dans l’Hôtellerie, tourisme et restauration, 15 contrats de commis de cuisine et 15 contrats de serveurs pour la saison d’hiver sont a pourvoir dans les départements 13, 84, 83 et 06 (formation en Paca mais poste à pourvoir en Rhône-Alpes).

En Paca, près de 1 000 salariés bénéficient d’un parcours d’insertion chaque année au sein de 350 entreprises adhérentes. En 2020, malgré la crise sanitaire, c’est un total de 743 personnes qui ont été accompagnées par les Geiq Paca. 68% des personnes ont trouvé un emploi à l’issue de leur contrat Geiq, 47% un emploi durable, preuve de l’engagement des entreprises pour embaucher de manière durable des candidats formés et qualifiés.

Vous avez dit Geic ?

« Imaginé il y a plus de 30 ans, le concept des Geiq est né de la volonté de quelques chefs d’entreprises, pionniers de l’économie responsable, rencontrant les mêmes problématiques territoriales ou sectorielles de recrutement, motivés par le défi de la qualification et l’insertion professionnelle des personnes les plus éloignées de l’emploi », précise le groupement Paca. Les Geiq proposent un outil de qualification et d’accès à l’emploi destiné aux personnes qui en sont éloignées (jeunes sans qualification, chômeurs de longue durée, réfugiés, etc.).

En tout, 10 catégories de publics prioritaires sont visées par ce dispositif d’entreprise visant à résoudre leurs problèmes structurels de recrutement. Assumant les responsabilités de tiers-employeur, le Geiq accueille, sélectionne et recrute les candidats susceptible de travailler au sein des entreprises adhérentes au Geiq dans le cadre d’un contrat en alternance. Il organise leur parcours de formation, leur fait bénéficier du double tutorat Geiq-entreprise et assure un accompagnement socioprofessionnel (aide aux problématiques de mobilité, logement, démarches administratives, santé etc.). « Concrètement, les Geiq créent un pont efficace entre l’entreprise, les demandeurs d’emploi et le territoire », conclue le groupement.

Plus d’informations sur les offres disponibles en cliquant ici.

*Ces données intègrent les données du Geiq de la Corse, mais n’intègrent pas les données des 2 Geiq implantés en PACA mais
dont le siège se situe en dehors de la région. C’est pour cela que l’on parle ici de 15 Geiq au lieu de 16.

L.M.

https://www.echodumardi.com/tag/plateforme/   1/1