17 octobre 2025 |

Ecrit par le 17 octobre 2025

Recrutement : faut-il remplacer une personne qui s’en va ?

Rémy Canuti, consultant pour la société vauclusienne Care conseil & management spécialisée en conseil aux collectivités locales et accompagnement de dirigeants basée à Uchaux, évoque la question de la pertinence du remplacement, ou non, d’une personne qui s’en va.

La question du remplacement pour faire suite à un départ est volontairement provocatrice mais mérite d’être posée.
En effet, le réflexe quasi atavique de chaque structure est d’y répondre par l’affirmative avec un point d’exclamation. Or, les choses sont sans doute plus complexes qu’elles n’y paraissent.

Mettons de côté les aspects purement budgétaires qui porteront le décisionnaire du recrutement à s’interroger sur de potentielles sources d’économie, de la même façon que nous mettons volontairement de côté le réflexe de la direction de ne pas perdre un agent, c’est-à-dire des compétences et de la force de travail, sans penser plus avant à l’organisation du travail. J’ai connu un directeur qui comptabilisait depuis son arrivée (plus de 15 ans) les entrées et les sorties de sa direction pour expliquer la nécessité d’embaucher. « On est toujours à moins 3 », me lançait-il régulièrement, souhaitant ainsi me prouver que des efforts avaient été faits en matière de compression de personnel et de rationalisation des tâches.
Une fois posés ces deux impondérables, qu’il est toujours nécessaire d’entendre sans s’y attarder, il est intéressant de réfléchir de la manière suivante.

Un départ, ce sont des connaissances, des techniques, une routine, des habitudes, un réseau de partenaires internes et externes à la collectivité ou à l’entreprise qui disparaissent ou se trouvent oubliés. Souvent, c’est un collègue apprécié, une ‘mine’ d’informations, quelqu’un qui faisait sa part du job et dont on connaît les tâches qu’il accomplissait. Des tâches qui vont devoir être redistribuées soit à une nouvelle recrue (c’est ce que l’on nomme le remplacement poste pour poste), soit en interne – et on évoquera à ce moment-là le partage des tâches.

Une opportunité d’améliorer les choses ?
Or, tout départ devrait être aussi vu comme l’occasion de s’interroger sur une possible amélioration du travail, une recherche d’efficience ou d’efficacité.
Ce devrait aussi être l’occasion de s’interroger collectivement, ou à tout le moins au niveau de la direction, générale ou opérationnelle.
La question est de savoir si l’on peut mieux faire. Non pas si l’on peut faire de la même façon, mais de vérifier si le travail peut être amélioré par d’autres compétences, par une redistribution, par un éclatement des tâches ou des missions, en fonction d’une logique organisationnelle.
C’est particulièrement le cas lorsque l’on a à faire face au départ d’une personne-ressource forte, d’une véritable boîte à outils qui a peu à peu construit son poste en fonction de ses propres appréciations, de ses propres capacités et appétences, bref, de quelqu’un qui œuvrait jusque-là en toute autonomie, privilégiant le résultat sur la monstration de la méthode et le travail solitaire à celui, transverse, de l’équipe.

Dans ce cas précis, reprendre la fiche de poste est quasi inutile, celle-ci ne représentant qu’une infime partie des compétences mises en œuvre pour assurer l’exécution des missions, par ailleurs disparates mais indispensables.
Il s’agit de prendre le temps de réfléchir à l’organisation du travail de la ou des directions.
Cette pause nécessaire peut être l’occasion de revoir à la hausse la qualité et la fluidité des tâches à effectuer, de les intégrer plus fortement dans un process de rationalisation qui intéresse l’ensemble de la structure. C’est aussi l’occasion de s’interroger sur leur utilité, sur la possibilité d’automatisation, bref, sur tout ce qui fait sens dans une organisation attentive à l’exercice de ses missions.

L’affaire de tous
Une introspection automatique de ce type ne peut se faire que dans une structure dans laquelle un lieu de réflexion (de type Codir, par exemple) est institué et où les directeurs qui voient une personne partir peuvent se retourner vers un collectif de pairs afin de s’interroger en toute sincérité sur la définition du nouveau poste à pourvoir.

Rien n’est plus difficile que de rendre le dialogue fluide autour des nécessités de recrutement d’une direction ou d’un service car les réflexes corporatistes sont encore fréquents, qui impliquent la toute-puissance du chef de service ou du directeur dans la gestion de son personnel et la sauvegarde étroite des intérêts de branche.

Or, précisément, animer une organisation publique ou privée, c’est faire avec ces réflexes, mais ne pas oublier la logique générale qui préside aux destinées de la structure qui doit être pensée globalement. Et ceci est forcément l’affaire de tous.


Recrutement : faut-il remplacer une personne qui s’en va ?

Chaque mois, Every check, solution de vérification et de contrôle des diplômes et expériences, découvre des dizaines de falsifications dans les CV vérifiés pour le compte de ses clients. Voici leur sélection des 5 faux CV identifiés les plus inattendues en 2022.

Une candidate qui avait faussement invoqué la mort de son père pour obtenir une rupture conventionnelle
Une candidate présentait sur son CV une rupture conventionnelle, qui avait été motivée par le décès brutal de son père. Sa mère vivant loin et sans revenus, elle a exprimé la nécessité de quitter son emploi pour la rejoindre. 
Lorsque nous avons contacté l’ancien employeur pour vérifier cette expérience, une surprise de taille nous attendait. En fait ce décès ne s’était pas produit, la supercherie ayant été découverte lorsque l’entreprise a fait parvenir des fleurs pour faire part de ses condoléances…

Trois diplômes provenant du même faussaire
Et de 3 ! Pour un de nos clients nous avons identifié un nouveau faux diplôme provenant toujours du même faussaire qui propose des faux documents à l’achat en ligne.
Vous pouvez voir la mention du site sur le faux document. C’est donc la troisième fois que nous repérons un certificat un acheté sur mondiplome.com. Cette fois-ci, le but était d’occuper un poste d’éducateur spécialisé, un métier qui consiste à encadrer les personnes en situation de handicap. Les conséquences auraient pu être très graves.

Une candidate qui demande à ses anciens employeurs de mentir pour elle
Lors d’une vérification d’expérience précédente pour une candidate, nous avons découvert qu’elle avait exagéré de plus d’un an la durée réelle passée en poste.
En effet, celle-ci n’était restée sous contrat qu’une année au lieu des deux mentionnées sur le CV. Son contrat avait été interrompu par un licenciement. En soit, cette découverte est déjà problématique, mais pas du tout inhabituelle pour nous.
La suite l’est un peu moins : nous avons appris par la suite que la candidate avait demandé à son ancien employeur de nous mentir afin qu’elle ne soit pas démasquée. La direction de l’entreprise a bien évidemment refusé. On peut dire que notre client s’est évité une bien mauvaise embauche !

« 12% de CV mensongers. »

Un double faux diplôme sur des fonctions sensibles
Pour un de nos clients spécialisé dans les domaines du médical et du sanitaire et social, nous avons été amenés à vérifier le parcours académique d’un candidat.
Celui-ci avançait être titulaire de deux diplômes : aide médico-psychologique, et moniteur-éducateur. Deux métiers destinés à l’aide de personnes en situation de fragilité sociale, ou de handicap.
Les deux diplômes en question n’ont jamais été obtenus et les formations non-suivies. Des falsifications graves compte-tenu des métiers concernés.

Identification d’une récidiviste
Lors de la vérification du parcours d’une candidate pour un de nos clients, nous avons détecté que la licence dont celle-ci était prétendument titulaire n’avait pas été validée. Un cas assez habituel puisque nous détectons en moyenne 12% de CV mensongers dans le cadre notre activité.
Peu de temps après nous recroisons cette même candidate mais pour un autre de nos clients. Cette fois-ci nous découvrons que ce n’est pas que la licence qui est fausse mais aussi son Master. Nous l’avons donc recalée deux fois pour deux employeurs différents.
Mais ce n’est pas tout ! Le diplôme qu’elle a falsifié provient d’un réseau d’école pour lequel nous effectuons aussi des vérifications.
Trois exemples parmi de nombreux cas de mensonges que nous repérons sur les CV que nous vérifions. En moyenne, nous constatons que 1 dossier candidat sur 8 contient un écart majeur.


Recrutement : faut-il remplacer une personne qui s’en va ?

Pour la première fois, Vaucluse Provence Attractivité, la CCI de Vaucluse et les Offices de tourisme du territoire s’associent le temps d’un job dating pour recruter des travailleurs saisonniers en offices de tourisme. Près de 30 postes de conseillers en séjour sont à pourvoir pour la saison 2023.

Secteur économique clé pour le territoire avec une augmentation de sa fréquentation globale de 22% en 2022 et une forte présence de clientèles étrangères (belge, néerlandaise, allemande, britannique, suisse, italienne, américaine, etc.), le tourisme offre des opportunités à des profils de tout âge : étudiants, premier emploi, personnes en reconversion, du territoire et d’ailleurs.

Si le secteur touristique est une source d’emplois en Vaucluse, il reste un secteur en tension, notamment lié à la difficulté pour les saisonniers de trouver un logement. Ainsi, Vaucluse Provence Attractivité, la CCI de Vaucluse et les Offices de tourisme du territoire se sont associés à travers un nouveau processus optimisé de recrutement pour faciliter la mise en relation entre recruteurs et demandeurs d’emploi.

Les candidats avaient jusqu’au 22 janvier pour postuler à l’une des trentaines d’offres de postes proposés sur le site de Vaucluse Provence Attractivité. Sur les 120 demandes, le pool de recruteurs a sélectionné 83 candidats qui ont été convoqués aux entretiens d’embauche en « job dating », aujourd’hui, jeudi 16 février, à la CCI de Vaucluse. Les candidats retenus seront ensuite directement informés du résultat de ces entretiens par les offices de tourisme.

Première vitrine du territoire, les offices de tourisme recruteront les candidats les plus qualifiés, parlant français et anglais à minima et capable de proposer un véritable « conseil en séjour » à une clientèle déjà bien informée sur internet en amont de sa visite. Si un minimum de compétences est attendu, la principale qualité pour les recruteurs reste le savoir-être.

Un pool de candidats varié

Les profils et parcours des candidats et candidates convoqués aux entretiens d’embauche en job dating sont variés, tout comme les aspirations. Dounia, étudiante en deuxième année de licence de droit à l’Université d’Avignon et retenu pour deux entretiens, décrit l’opportunité d’être embauchée par l’office de tourisme d’Avignon ou du Grand Avignon comme une occasion de « sortir de sa zone de confort ». « J’ai trouvé l’annonce par hasard via un mail de la Fac », explique-t-elle.

Pour Julie, étudiante en BTS tourisme à l’IFC d’Avignon, ce job dating est l’occasion de trouver une alternance ou un stage. Cette native de la région a également été retenue pour deux entretiens : le premier pour la zone d’Avignon et l’autre pour l’Isle-sur-la-Sorgues.

Un système de recrutement tourné vers l’humain

Ce job dating est également l’occasion pour les recruteurs de trouver le candidat idéal grâce à un processus de recrutement tourné vers l’humain. « Depuis le covid, l’état d’esprit, l’aspiration des demandeurs d’emplois a changé, explique Lesly Renaud, directeur de Ventoux Provence. Il y a une remise en question d’un système de recrutement qu’on souhaite faciliter ».


Recrutement : faut-il remplacer une personne qui s’en va ?

Après l’intégration de 1 700 talents en 2022, le Groupe Apave poursuit son développement et lance sa nouvelle campagne de recrutement en France, à l’international et en Provence-Alpes-Côte d’Azur.

« Rejoindre le Groupe Apave c’est exercer un métier au cœur des grands enjeux et transformations du siècle. Transition écologique ou encore révolution numérique modifient en profondeur la nature des risques, la façon de les appréhender et de les gérer », déclare Philippe Maillard, directeur général du Groupe Apave.

Inspection, formation, essais-mesures, conseil et accompagnement technique, certification et labellisation : le plan de recrutements lancé par Apave concerne l’ensemble des métiers et filiales du Groupe. L’objectif est de recruter 102 nouveaux collaborateurs en Paca et 83 en Occitanie. Parmi les métiers les plus recherchés :

  • Ingénieurs spécialisés en infrastructures et construction
  • Inspecteurs assistance technique, électricité, mécanique
  • Technicien inspection/technicien formateur
  • Consultant formateur/diagnostiqueur immobilier

Une politique RH volontariste

Autonomie et responsabilités progressives, partage d’expertise, formations sur mesure pour favoriser la montée en compétences, évolution de carrière, mobilité dans toute la France, en Europe et à l’international… Le Groupe Apave déploie une politique volontariste d’accompagnement de ses collaborateurs dans l’évolution et la gestion de leur carrière au sein du Groupe.

Qu’il soit jeune diplômé, cadre, ingénieur, technicien, alternant ou encore stagiaire préparant un diplôme de bac +2 à bac +5, chaque nouveau collaborateur bénéficie d’un programme d’intégration personnalités – parcours de formation, mais aussi dispositif de tutorat – pour une prise de poste dans les meilleures conditions.

Diversifier la palette des missions, animer et concevoir des stages de formation, devenir référent technique, réaliser des missions à l’international… Le Groupe Apave accompagne la montée en compétences et les ambitions d’évolution de ses collaborateurs tout au long de leur carrière grâce, notamment, à des parcours de formation interne sur-mesure.

Pour découvrir les emplois proposés par Apave, rendez-vous ici.

J.R.


Recrutement : faut-il remplacer une personne qui s’en va ?

Chaque année, Enedis mise sur le recrutement, et notamment sur celui des alternants. L’entreprise vient donc d’ouvrir les portes de ses sites à 75 lycéens afin de leur faire découvrir ses différents métiers.

En 2022, 131 nouveaux collaborateurs, dont 54 en alternance, rejoignaient les équipes d’Enedis en Provence Alpes du Sud. Cette année, 150 recrutements devraient à nouveau se concrétiser sur les départements du Vaucluse, des Bouches-du-Rhône, les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes.

« Pour trouver les talents de demain, Enedis mise sur l’alternance et fait découvrir tout au long de l’année ses métiers techniques », explique Sébastien Quiminal, directeur Enedis Vaucluse. Ainsi, 75 lycées avignonnais et islois ont pu découvrir les sites d’Enedis et leurs métiers tels que technicien réseau, chargé de projets, ou encore technicien poste source. À travers divers ateliers, les jeunes ont également pu assister à des démonstrations d’engins, ou encore de drone pour la surveillance du réseau.

V.A.


Recrutement : faut-il remplacer une personne qui s’en va ?

Avec en moyenne 4 000 recrutements par an, NGE poursuit sa dynamique de recrutement en France. Pour la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, ce sont 40 postes à pourvoir immédiatement pour les chantiers en cours et pour l’activité à venir.

NGE recrute et forme ses futurs salariés. Le groupe les forme via son centre de formation interne également CFA et intègre de nouvelles compétences sur les métiers émergents du BTP (travaux paysagers, dépollution, recyclage, smart city…). Les besoins concernent tous les niveaux avec des volumes plus importants pour les employés et les ouvriers.

Pour soutenir cette dynamique de recrutement NGE est engagé dans de nombreux dispositifs d’insertion professionnelle en lien étroit avec les acteurs locaux de l’emploi. Une démarche volontariste pour répondre à un carnet de commandes solide et pallier la pénurie de main-d’œuvre dans un secteur toujours sous tension.

En région Provence-Alpes-Côte d’Azur, ce sont 40 postes qui sont à pouvoir immédiatement pour les chantiers en cours et pour l’activité à venir.

J.R.


Recrutement : faut-il remplacer une personne qui s’en va ?

Recruter autrement en se concentrant sur les savoir-être des candidats, c’est le sens de l’opération « du Stade vers l’emploi » qui s’est déroulée la semaine dernière, le jeudi 10 novembre, au Pontet.

Initiée dès 2019 par la fédération française d’athlétisme, l’agence nationale du sport et le comité d’organisation des Jeux Olympiques, l’opération du stade vers l’emploi a essaimé sur d’autres pratiques sportives comme le badminton, le tennis de table ou le basket-ball. Le principe ? Une journée où employeurs et demandeurs d’emploi se rencontrent en pratiquant une activité sportive durant la matinée puis en participant à un moment convivial autour d’un déjeuner et enfin à une session de job dating.

Toute la matinée, candidats et recruteurs, identifiés uniquement par leurs prénoms, sont associés en équipes et engagés dans une pratique sportive, sous la conduite d’encadrants de la fédération française d’athlétisme. Les activités sont conçues de manière à mettre en valeur les qualités professionnelles, humaines et relationnelles : esprit d’équipe, capacité d’écoute et de mobilisation, rigueur, sens de l’anticipation… L’idée centrale est que recruteurs et candidats puissent se découvrir sous un angle inédit, sans le filtre formel de l’entretien professionnel et du CV.

Organisée la semaine dernière au Pontet, 11 entreprises du commerce, de la grande distribution et des services à la personne ou de la logistique ont répondu présent pour recruter des vendeurs, employés de libre-service, aides à domicile ou préparateurs de commandes. Au total, 95 entretiens de recrutements ont été menés. Pour les entreprises, c’est l’occasion de se renouveler comme l’explique Randstad : « le fait d’échanger avec les candidats toute la journée rend le recrutement moins formel et permet de discerner les qualités que l’on ne voit pas forcément sur le cv ».

J.R.


Recrutement : faut-il remplacer une personne qui s’en va ?

Le rendez-vous mensuel de l’écosystème tech et innovation est de retour pour un afterwork, jeudi 27 octobre à 18h.

Comment recruter des talents ? Comment les conserver ? Comment animer sa communauté de collaborateurs ? Quelles innovations sur les formations de développeurs sur le territoire et chez Pôle Emploi ?

L’afterwork organisé par la French Tech Grande Provence, jeudi 27 octobre à 18h, tentera de répondre à toutes ces questions.

Plusieurs entreprises pitcheront :

  • Buga : nouvel adhérent qui propose de gamifier les réunions dans un espace 3D sur-mesure.
  • People In : plateforme professionnelle de présélection de candidats sur tests de compétences, afin de ne plus passer à côté d’un candidat lors de la présélection.
  • Papirus : plateforme en ligne pour engager et retenir les talents.
  • Avenir 84 : propose des formations professionnelles dans les domaines de la bureautique, du numérique, de la médiation numérique et les métiers du développement.
  • Pôle Emploi : représenté par la Direction Territoriale du Vaucluse, partenaire de la French Tech Grande Provence.

Les pitchs seront suivis d’un temps de networking autour d’un verre et de pizzas en partenariat avec La Roue Tourne et Caravinsérail.

Jeudi 27 octobre à 18h, 120 rue Jean Dausset, Avignon – inscription obligatoire ici.

J.R.


Recrutement : faut-il remplacer une personne qui s’en va ?

L’enseigne néerlandaise organise une session de recrutement le 15 octobre pour renforcer ses équipes dans plusieurs magasins de Vaucluse. Au total, 12 postes sont à promouvoir dans la région et ses alentours.

Action, discounter non alimentaire, recrute 12 nouveaux collaborateurs à différents niveaux de poste, dans la région de Vaucluse et ses alentours. La session de recrutement se déroulera lors d’un Job Day le samedi 15 octobre de 11h à 17h dans les magasins participants à l’opération.

Dans le détail, Action recherche des postes d’encadrant comme des responsables de magasin et responsables adjoints. Une première expérience managériale notamment dans le commerce et l’univers de la distribution de produits et services de grande consommation est demandée aux candidats pour ces typologies de postes.

L’enseigne recherche également des employés de magasin à temps complet en contrats CDI ou CDD pour renforcer les équipes des magasins déjà implantés dans la région.

L’accès à l’emploi des plus jeunes s’inscrivant dans la politique de ressources humaines de l’enseigne, Action ouvre aussi son recrutement aux candidats privilégiant un contrat à temps partiel adapté notamment aux étudiants qui souhaitent se former.

Sur l’ensemble des magasins participants à la journée de recrutement, il sera possible pour les candidats d’échanger avec des recruteurs et certains collaborateurs pour découvrir les missions proposées. Les candidats pourront déposer leur CV dans l’un des magasins ci-dessous :

  • Action Avignon Mistral – Zone commerciale Mistral 7 – 419 rue Pierre Bérégovoy, Avignon.
  • Action Courtines – 245 avenue Jean-Marie Tjibaou, Avignon.
  • Action Les Angles – ZAC Grand Angles Lieudit, Les Angles.
  • Action Pierrelatte – quartier de la Croix d’Or – rue Auguste Rodin, Pierrelatte.

Plus de 170 postes en Provence-Alpes-Côte d’Azur

Le recrutement de nouveaux collaborateurs ne se limite pas à la région de Vaucluse. Ainsi, l’enseigne recrute plus de 170 nouveaux collaborateurs dans plusieurs magasins de Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Journée de recrutement le samedi 15 octobre de 11h à 17h dans les magasins participants.

J.R.

https://www.echodumardi.com/tag/recrutement/page/11/   1/1