15 octobre 2025 |

Ecrit par le 15 octobre 2025

Pôle emploi : faire face aux besoins de recrutement de conducteurs de bus

« La pénurie de conducteurs-receveurs n’est pas une fatalité » : le taux d’offres confiées à Pôle-Emploi a grimpé de 45% au 1er semestre. C’est ce que martèle Michel Ciocci, le Directeur Territorial de Pôle-Emploi Vaucluse, au cours d’une conférence de presse organisée Quartier Joly-Jean à Avignon avec le Directeur général des Voyages Arnaud, « En 2021, on a recensé 71 formations et pour cette année, on dépassera les 110 ! ».

Il est vrai qu’à l’approche de la rentrée scolaire, en France, on a entendu en boucle qu’il manquerait nombre de chauffeurs pour le ramassage scolaire. Mais pas en Vaucluse puisque chacun a anticipé. Les voyages Arnaud ont dès le mois de janvier, avec leur « Bus Tour », sillonné le département en expliquant qu’il leur manquait des conducteurs de bus. Ils ont précisé qu’ils proposaient plusieurs types de contrats : 60 heures par semaine, pour amener les enfants à l’école le matin et les ramener à la maison le soir et disposer de toutes les vacances scolaires, 110h pour les accompagnements en péri-scolaire ou à temps complet. Et un salaire qui varie de 800€ à 1 500€ selon la durée du travail.

« J’ai toujours rêvé de conduire un bus. »

Camille Vallon, 24 ans, conductrice de bus.

« J’ai 24 ans, j’ai toujours rêvé de conduire un bus et j’ai une petite fille de 15 mois » explique Camille Vallon, « Ce métier me convient parfaitement, il me permet à la fois de m’occuper de mon bébé et de gagner un peu d’argent ». Pour ce faire, elle a suivi une formation professionnelle qualifiante de 3 mois et les écoliers sont ravis d’avoir une jeune femme au volant. D’ailleurs, 32% du personnel est féminin ». Autre cas, celui de Jean-Pierre Scaténa, cheminot pendant 33 ans à la SNCF. Le centre de formation où il travaillait a fermé, il ne se voyait pas partir à Nanterre, du coup il a fait un tour chez les Voyages Arnaud : « Ils m’ont proposé une formation minimale obligatoire de 140h en un mois. Cela m’a permis de découvrir les conditions de travail, les obligations de ponctualité. En plus le patron est à côté, on a toujours quelqu’un pour nous aider, nous conseiller. J’ai fait ma première rentrée scolaire début septembre, les gamins sont plutôt sympas et polis. Plus tard, je pourrai aussi conduire des cars pour des lignes de tourisme, qui sait ? Et cette activité partielle me convient très bien, elle complète ma petite retraite d’ex-salarié de la SNCF ». Dernier exemple, celui de Gérard Soriano, 65 ans, ancien routier, qui n’a pas voulu rester inerte à la retraite. Il a aussitôt embrayé sur un poste de conducteur de bus scolaires : « Je voulais absolument m’occuper, voir des gens, avoir des contacts, 100 heures par mois, c’est super et je me sens utile ».

« Aujourd’hui, 50% des chômeurs font un métier différent de leur formation initiale, ils acceptent une autre orientation professionnelle. »

Michel Ciocci, Directeur territorial de Pôle emploi Vaucluse.

Ce que corrobore le Directeur de Pôle Emploi 84 : « On travaille avec des êtres humains, on essaie d’agir, de trouver des solution dans des secteurs en tension comme le transport pour qu’ils retrouvent le monde du travail. Ils ne pensent pas forcément à ce type d’emploi, mais il a changé, évolué. Les bus sont confortables, climatisés. Aujourd’hui, 50% des chômeurs font un métier différent de leur formation initiale, ils acceptent une autre orientation professionnelle. On dépense de l’argent public, nous avons donc une obligation de résultats ». Pour Jean-Baptiste Fontan, directeur général des Voyages Arnaud : « Nous payons la formation de nos futurs salariés entre 6 et 7 000€, nous voulons qu’ils s’épanouissent. Ce sont eux qui choisissent de travailler à temps complet ou partiel, en phase avec leur vie familiale. Selon leur durée de travail ils auront droit au 13e mois, à une prime de non-accident, nous payons aussi 50% de leur mutuelle santé. En plus nous avons plusieurs dépôts dans le Vaucluse, nous leur proposons de travailler dans celui qui est le plus près de leur domicile (Carpentras, Jonquières, Orange, Sorgues, Châteaurenard), d ‘autant qu’ils prennent leur service à 6h et demi le matin pour accompagner les enfants à l’école. Il y a en ce moment 36 autres hommes et femmes en cours d’acquisition de formation chez nous, ils seront sans doute prêts en janvier prochain, donc la tension sur notre métier retombe ».

A gauche, Jean-Baptiste Fontan, dirigeant des Voyages Arnaud, et Michel Ciocci, directeur territorial de Pôle emploi Vaucluse.

Un bus qui roule, ce sont 60 voitures en moins sur la route
Il ajoute : « Tout le monde peut venir chez nous, d’anciens gendarmes, policiers, légionnaires, pompiers, des retraités de l’enseignement, du commerce. Il n’y a pas de limite d’âge dans la mesure où chaque année, un médecin mandaté par la préfecture leur fait passer une visite et précise si le salarié est apte ou non à continuer de travailler. Jean-Baptiste Fontan qui insiste sur les nouveaux aspects du métier de conducteur-receveur : « Avant de tourner la clé de contact et de quitter le dépôt, le chauffeur doit souffler dans l’étylotest, programmer son GPS pour le trajet à effectuer, mettre en route la billettique, entrer la carte à puce dans le chronotachygraphe, faire en sorte que les passagers sourds voient les indications du prochain arrêt, que ceux qui ont une mauvaise vue entendent les indications au micro et que la palette élévatrice pour fauteuils roulants fonctionne ».
Michel Ciocci, patron du Pôle-Emploi Vaucluse insiste « C’est un super métier et très utile. On l’a bien vu pendant la crise sanitaire, les caissières, le personnel soignant et les chauffeurs étaient en 1re ligne pour que la France reste debout. L’intérêt général passe par eux. En plus, un bus qui roule, ce sont 60 voitures en moins sur la route, donc du vrai covoiturage ! »


Pôle emploi : faire face aux besoins de recrutement de conducteurs de bus

Période post-Covid, crise énergétique, guerre en Ukraine, envolée du coût des matières premières, pénurie de main d’œuvre, remboursement du PGE, plan Faubourg… A l’occasion de cette rentrée Bernard Vergier, président de la CPME de Vaucluse s’inquiète des difficultés qui s’accumulent pour les entreprises vauclusiennes.

« L’année 2021, puis le premier semestre 2022, ont été marqués par la crise du Covid puis par la reprise de l’économie freinée par des difficultés de recrutement et des pénuries de matières premières sans précédent », constate Bernard Vergier, président de la CPME 84 (Confédération des petites et moyennes entreprises) à l’occasion de la conférence de presse de rentrée de la première organisation patronale de Vaucluse (900 adhérents directs et 8 000 entreprises représentées via les branches affiliées à la Confédération départementale).
Malgré cela, poursuit-il, la CPME reste plus que jamais mobilisée pour faire entendre haut et fort la voix des PME au cœur d’un contexte incertain : lutte contre l’inflation et les pénuries, indispensables réformes des retraites et de la sphère publique, transitions écologique et numérique. Et pour cela, notre objectif est clair : militer inlassablement pour bâtir un environnement plus favorable aux TPE-PME. »

Flambée des coûts de l’énergie
En premier lieu, la CPME 84 s’alarme des conséquences de la flambée des coûts de l’énergie.
« Nous redoutons cet hiver une cherté de l’énergie qui risque de se coupler à une rareté. Nos chefs d’entreprise s’y préparent et font déjà le maximum pour réduire leur consommation mais nous devons impérativement éviter les coupures ou les délestages même si 59% des entreprise ont déjà réduit leur consommation énergétique. Il est nécessaire, en premier lieu, d’être accompagnés par les énergéticiens qui doivent nous aider à anticiper les difficultés. Les pouvoirs publics devront réactiver les mesures d’activités partielles de longue durée et les fonds de solidarité afin d’éviter des licenciements économiques voire des fermetures d’entreprise.

« Eviter des licenciements économiques voire des fermetures d’entreprise en raison des coûts de l’énergie. »

Bernard Vergier

« Dans un souci de séduction politique et d’un certain dogmatisme écologiste, nos politiques ont voulu croire que l’on pouvait s’en sortir avec le ‘tout solaire et éolien’, regrette Bernard Vergier. Le résultat est aujourd’hui là, notre forte dépendance énergétique est susceptible de remettre en question la viabilité de nos entreprises les plus énergivores. »

Difficultés de recrutement et inflation
Le président de la CPME 84 s’inquiète des fortes difficultés de recrutement que rencontrent les entreprises locales.
« Trop d’entreprises peinent à recruter, trop de postes sont vacants sur l’ensemble des secteurs d’activités mettant en difficulté le développement et l’activité de nos structures », constate Bernard Vergier même si « à l’échelle de notre département, les acteurs concernés se sont fortement saisis du sujet et nous pouvons saluer les efforts conjoints de la DEETS, de la Préfecture de Vaucluse, Pôle Emploi, des organisations patronales et branches professionnelles ainsi que l’ensemble des partenaires travaillant sur le sujet. »

« L’apprentissage reste le meilleur dispositif pour insérer nos jeunes dans nos entreprises. »

Pour combler en partie ce manque de main d’œuvre, le président de la CPME de Vaucluse plaide pour que l’apprentissage continue à être soutenu : « Il reste le meilleur dispositif pour insérer nos jeunes dans nos entreprises en leur donnant une formation concrète, en travaillant sur les savoir-être ainsi que sur la valeur ‘travail’ ».
Et Bernard Vergier de regretter à contrario ceux qui « choisissent encore le chômage de complaisance. Les conditions d’indemnisation de l’assurance chômage doivent être resserrées, avec une incitation plus rapide à reprendre un emploi, comme c’est le cas dans la plupart des autres pays européens. »

« Il est nécessaire de redonner du pouvoir d’achat à nos collaborateurs »

Concernant l’inflation, même si celle-ci est une des plus faibles d’Europe, la CPME propose de réactiver pour toutes les entreprises la défiscalisation des heures supplémentaires et de plafonner le montant des charges patronales. Concrètement, au-delà de la 35e heure, un salarié serait payé 25% de plus mais les charges patronales n’augmenteraient pas.
La CPME propose également d’assouplir les dispositifs de participation et d’intéressement ainsi que de permettre plusieurs versements au cours de l’année de la prime Pepa (Prime exceptionnelle de pouvoir d’achat dit aussi ‘Prime Macron’).
« Il est nécessaire de redonner du pouvoir d’achat à nos collaborateurs », insiste Bernard Vergier.

Mobilité : le plan Faubourgs en ligne de mire
Enfin, le président de la CPME s’alarme des conséquences de la mise en place du plan Faubourgs à Avignon.
« Les embouteillages impactent au quotidien l’ensemble de notre activité économique, touchent les professionnels, leurs collaborateurs, leurs clients et fournisseurs qui ne peuvent se passer de leur véhicule pour exercer leur activité professionnelle, déplore Bernard Vergier. Le commerce de proximité implanté sur le plan faubourgs subit des pertes de chiffres d’affaires jusqu’à -85%, certains d’entre eux ont procédé à des licenciements économiques et cessés leur activité. Dans le même temps, des pics de pollution importants sont régulièrement enregistrés aux heures d’affluence. Les conséquences environnementales nous inquiètent… Les professionnels prioritaires (pompiers, ambulances, services d’ordre) sont aussi touchés et ne peuvent intervenir dans les délais nécessaires, ce qui peut mettre en danger la population concernée. De fortes inquiétudes sont aussi émises par les propriétaires de logement privatifs et professionnels sur les dévaluations immobilières déjà annoncées à court et moyen terme. »

« Notre ville n’a pas le droit de mourir. »

« Tout cela impacte grandement les activités des entreprises d’Avignon et au-delà. Cela touche aussi les populations de la cité des papes mais aussi plus largement celles du Vaucluse, du Gard et des Bouches-du-Rhône. Nous ne sommes pas contre le principe, mais là, on a fait les choses à l’envers. Il aurait fallu d’abord finaliser les travaux de la tranche 2 de la LEO, mettre en place des parkings relais et faire émerger de nouvelles plateformes dédiées aux automobilistes. Là, on est allé trop loin. Notre ville n’a pas le droit de mourir. »

La CPME 84 dénonce les conditions et les conséquences de la mise en place du plan Faubourgs à Avignon.

« Face à la position dogmatique de la municipalité que nous regrettons, je rappelle que la CPME 84 a déposé une requête au Tribunal administratif de Nîmes avec l’association Adrem à l’encontre de ce plan », conclu Bernard Vergier qui déplore que son organisation soit l’une des seules à se mobiliser sur ce sujet.
« En off, les autres acteurs institutionnels sont tous d’accord avec nous mais ils n’osent pas prendre publiquement position. Ils ont peur, pas nous car la CPME 84 est une organisation strictement apolitique dont la l’économie locale et l’emploi sont les seules préoccupations. Nous ne pouvons-nous soustraire de cet enjeu d’intérêt général. »

A lire aussi : Mobilité, la vision du maire d’Avignon pour son territoire


Pôle emploi : faire face aux besoins de recrutement de conducteurs de bus

Avec 35 % de croissance par an, un réseau de près de 120 boutiques et plus de 150 produits lancés chaque année, Le Comptoir de Mathilde continue d’accélérer son développement et lance une grande campagne de recrutement. L’enseigne recherche 50 talents pour sa manufacture à Camaret-sur-Aigues (84).

50 profils sont ainsi recherchés : opérateurs de conditionnement et de production, conducteurs de lignes, préparateurs de commandes, magasiniers, caristes…

DR

Développement de l’enseigne
La forte accélération du développement de l’enseigne ainsi que la préparation de la saison de Noël, sont à l’origine de cette grande campagne de recrutement. Les talents ainsi recrutés seront susceptibles de rejoindre l’aventure du Comptoir de Mathilde sur des postes en CDI (Contrats à durée indéterminée).

Dans le détail ?
Le recrutement se fait sur une base de 35h, en horaires décalés, à proximité d’Orange, à Camaret-sur-Aigues. Le profil recherché est idéalement issu du secteur agro-alimentaire. Le recrutement passera en CDI après un passage saisonnier. Ce qu’aime le Comptoir de Mathilde chez ses collaborateurs ? L’esprit entrepreneurial.

Pour postuler
Postuler chez Le comptoir de Mathilde c’est dès maintenant ici.

Le Comptoir de Mathilde, épicerie de produits raffinés salés et sucrés

Un développement orchestré
Avec 118 points de vente en France et à l’international, une centaine de collaborateurs et un chiffre d’affaires de 35M€, le fabricant et distributeur de produits d’épicerie fine – qui vient de célébrer ses 15 ans- ambitionne 20 à 25 ouvertures par an via des franchisés.

Après le Sud, l’hexagone
Après un développement majoritairement dans le Sud de la France les premières années, la marque a conquis le territoirenational puis s’est exportée à l’étranger. L’entreprise compte désormais 2 400 revendeurs et 118 points de vente.

A propos du Comptoir de Mathilde
Créé en 2007 par Richard Fournier, Le Comptoir de Mathilde fabrique l’essentiel de ses recettes d’épicerie fine et de chocolats,de manière artisanale en Provence. Son ambition : proposer des produits fins, gourmands et de qualité à des prix abordables.
Mireille Hurlin


Pôle emploi : faire face aux besoins de recrutement de conducteurs de bus

Charlott’, leader national de la vente de lingerie et de prêt-à-porter à domicile, sera à Courthézon ce dimanche 28 août afin de recruter de nouvelles conseillères indépendantes.

Ce dimanche, le Domaine de Cristia, à Courthézon, accueillera cet événement. La responsable de ce dernier et des conseillères seront sur place afin de d’échanger sur les opportunités d’emplois proposées aux personnes qui souhaitent devenir vendeurs à domicile indépendants dans le domaine de la mode, que ce soit à temps plein ou à temps partiel.

Au programme : découverte de l’entreprise dont le chiffre d’affaires s’élève à 24 millions d’euros, aperçu des nouvelles collections de lingerie et de prêt-à-porter pour la rentrée 2022, et bien entendu, présentation détaillée du métier de conseiller à domicile. Vous souhaitez faire carrière dans le prêt-à-porter ou recherchez un complément de revenu ? Cette opportunité est faite pour vous.

Née en 1994, la société Charlott’ comptabilise aujourd’hui 2800 vendeuses indépendantes ainsi qu’1,5 millions de clients, ce qui la hisse au statut de leader de la vente de lingerie et de prêt-à-porter à domicile au niveau national.

Dimanche 28 août. De 9h30 à 16h30. Domaine de Cristia. 1725 Chemin des Sourcières. Courthézon.

V.A.


Pôle emploi : faire face aux besoins de recrutement de conducteurs de bus

Charlott’ entreprise de vente à domicile de lingerie et prêt à porter à domicile recrute des conseillères indépendantes dans le Vaucluse.
Cette opération séduction a pour but de recruter des vendeurs indépendants à domicile dans le domaine de la mode.

Au programme
Découverte de la société Charlott’ et de ses nouvelles collections de lingerie et de prête à porter pour la rentrée 2022. Présentation du métier de conseillère et du secteur de la vente à domicile.

Rendez-vous
Charlott’ recrute en ligne les lundis, mercredis et vendredis ici. Également une campagne de recrutement aura lieu très bientôt. Le rendez-vous est fixé dimanche 28 août de 9h30 à 16h30 au Domaine de Cristia. 1725 chemin des Sourcières à Courthézon.

Charlott’
La société Charlott’ est spécialisée dans la vente de lingerie à domicile depuis 28 ans. Son chiffre d’affaires est de 24M€, avec un portefeuilles clientes de 1,5 million adresses et 2 800 vendeuses indépendantes. La marque a été créée en 1994 proposant cette même année sa première collection de lingerie pour femme puis pour les hommes à partir de 1996 sur le thème de James Bond.

Charlott propose 4 collections par an, avec, parfois, des collections capsules entre deux saisons. L’atout de Charlott ? Une gamme très large en formes, en couleurs, en styles et en prix et une attention particulière portée aux silhouettes des clientes pour qu’elles soient mises en valeur. Le modèle économique ? Du luxe à prix doux puisqu’il y a peu d’intermédiaires -les conseillères et hôtesses- et aussi de la qualité au niveau des matières comme de la dentelle de Calais. Pour mémoire, Les françaises qui raffolent de la lingerie consacrent 20% de leur budget à la lingerie.Plus de 180 000 conseillères ont travaillé pour la marque depuis sa création.
Le siège social de Charlott se situe aux Troques à Chaponost (69630). L’entreprise a été fondée par Véronique Gardonier
www.charlott.fr


Pôle emploi : faire face aux besoins de recrutement de conducteurs de bus

La CPME 84 (Confédération des petites et moyennes entreprises du Vaucluse) propose un petit-déjeuner ‘faire face aux difficultés de recrutement’.

Michel Cavagnara, directeur départemental adjoint DDETS 84, Michel Ciocci, directeur territorial de Pôle Emploi de Vaucluse et Lydia Tordjman, déléguée à l’accompagnement des reconversions professionnelles au ministère du Travail seront en charge de l’animation de cette rencontre.

En savoir plus
La CPME 84 , l’organisation au service des TPE-PME, commerçants et indépendants, la DREETS PACA UD 84 (Ex DIRECCTE) et Pôle Emploi s’associent pour proposer une nouvelle rencontre thématique.
Avec la reprise de l’activité économique à la suite de la sortie de crise du Covid-19, la plupart des secteurs d’activité connaissent des difficultés de recrutement. L’objectif de la rencontre est d’échanger à propos de ces difficultés.

Mardi 14 juin de 8h30 à 10h30, à l’Hôtel Mercure Avignon TGV, 2 rue Mère Térésa à Avignon. Inscription au 04 90 14 90 90 et sur contact@cpme84.com

J.R.


Pôle emploi : faire face aux besoins de recrutement de conducteurs de bus

Pour pallier les difficultés d’embauche du côté des entreprises, et de recherche d’emploi du côté des jeunes, la Région Sud met en place le dispositif ‘Adoptez un jeune’.

Ce dispositif, qui permet d’accompagner les entreprises et auto-entrepreneurs de moins de 10 salariés, les associations caritatives sous contrat avec la Région ou encore les ligues et comités régionaux adhérents à des fédérations sportives, se compose de trois aides différentes :

  • les entreprises ou associations qui recrutent des étudiants boursiers peuvent bénéficier d’une aide allant de 600€ pour les contrats inférieurs à 2 mois jusqu’à 1 300€.
  • une aide de 200 € par mois de stage directement attribuée à l’entreprise.
  • 2 000 € d’aide par contrat de 6 mois minimum destinés à des jeune de moins de 30 ans.

« Trouver un stage, avoir un job étudiant pour financer ses études, décrocher son premier emploi, sont des étapes essentielles pour que nos jeunes entrent dans la vie active, explique Renaud Muselier, président de la Région. La Région Sud fait de la bataille pour l’emploi une priorité absolue. » Ainsi, le dispositif ‘Adoptez un jeune’ profite aux jeunes qui peinent à s’inscrire dans le monde professionnel, et incite les entreprises à leur faire confiance pour une insertion professionnelle pérenne.

V.A.


Pôle emploi : faire face aux besoins de recrutement de conducteurs de bus

Le Crédit Agricole Alpes-Provence et Wizbii, la plateforme des services utiles aux 16-30 ans, organisent un job dating destiné aux jeunes à Avignon le mercredi 8 juin prochain de 18h30 à 21h30.

De nombreux secteurs d’activité seront représentés lors de cet événement à travers diverses entreprises locales telles que Burger King Avignon, Crédit Agricole, Captain Burger, Maison et Services, Saint-Maclou, SoCoo’c, ou encore Transac. Différents postes seront proposés aux jeunes, en CDI, CDD, stage et alternance. L’objectif de cette rencontre est de connecter les jeunes aux entreprises qui recrutent. Ce job dating est ouvert à tous et adapté à la pluralité des profils, des expériences professionnelles mais aussi des niveaux d’études.

À travers son dispositif ‘Youzful // Job Dating’, le Crédit Agricole Alpes-Provence souhaite aider les jeunes à s’insérer dans la vie professionnelle et les accompagner. Ce dispositif a déjà fait ses preuves puisque depuis sa mise en place, les différents job datings ont réuni 23 000 candidats et 2 435 entreprises. D’après une enquête de satisfaction menée par Wizbii, 79% des jeunes ont trouvé le dispositif utile pour leur recherche d’emploi.

Pour participer à cet événement, il est obligatoire de se pré-inscrire via le formulaire sur le site de Youzful. Les équipes du dispositif prendront ensuite contact avec les personnes inscrites pour leur communiquer le lieu exact du job dating.

V.A.


Pôle emploi : faire face aux besoins de recrutement de conducteurs de bus

Actuellement, 1 500 postes sont à pourvoir dans les entreprises du paysage de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur ainsi qu’en Corse. Il s’agit principalement d’offres d’emploi pour des postes d’ouvriers spécialisés. C’est donc pour faire face à ces besoins de main-d’œuvre que l’Union nationale des entreprises du paysage (Unep) a lancé une campagne de communication intitulée #LePaysageRecrute. Déployée depuis le 9 mai et jusqu’au 9 juin, l’opération vise à proposer des opportunités répondant aux ambitions des jeunes générations. En effet, 68% des 18-34 ans souhaitent trouver un emploi au contact de la nature ou des plantes, selon une étude menée pour l’Unep en avril 2022. Toujours selon cette étude réalisée avec YouGov, près de la moitié d’entre eux (46%) seraient attirés par les métiers liés aux espaces verts. En menant cette campagne, l’Unep souhaite également casser les clichés et mettre l’accent sur les nombreux atouts des métiers du paysage, tremplins vers des carrières d’avenir, évolutives, non délocalisables et pérennes (85,5% des postes sont des CDI). 

Un secteur en plein révolution
« Le secteur du paysage vit et va connaître une vraie révolution, explique Boris Lesné, président de l’Unep Méditerranée et dirigeant de Boyer Jardin & piscine à Vaison-la-Romaine. La protection de la biodiversité, le rafraîchissement des villes ou encore l’évolution du climat nous obligent à adopter et faire évoluer nos choix végétaux ainsi que nos méthodes de travail. Ces changements font appel et développent notre savoir-faire de paysagiste car ils nécessitent des compétences techniques spécifiquement propres à notre métier. Les difficultés de recrutement que nous connaissons nous invitent à repenser nos modèles d’organisation et de conduite de nos entreprises, pour développer l’attractivité de nos métiers, toujours plus innovants. »

L.G.

https://www.echodumardi.com/tag/recrutement/page/12/   1/1