6 mai 2024 |

Ecrit par le 6 mai 2024

Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance fait sa soirée de rentrée à la Fondation Villa Datris

Le mardi 12 septembre, le Réseau Entreprendre Rhône-Durance a fait sa rentrée à l’Isle-sur-la-Sorgue. C’est au milieu des œuvres d’art de la Fondation Villa Datris que se sont réunis membres du Réseau et partenaires.

80. C’est le nombre de personnes qui se sont rendus à la Fondation Villa Datris le 12 septembre et qui ont vogué entre les œuvres de l’exposition ‘Mouvement et lumière #2’ à l’occasion de la soirée de rentrée du Réseau Entreprendre Rhône-Durance.

Si cet événement a été l’occasion pour les membres du Réseau et ses partenaires de s’imprégner de l’art contemporain lors d’une visite des lieux menée par une médiatrice, cette soirée a également permis de présenter les ambitions pour l’année 2023/2024, les nouveaux membres du Réseau Entreprendre Rhône-Durance, et les chefs d’entreprise qui viennent de rejoindre la liste des lauréats de 2023.

La Fondation Villa Datris

« C’est toujours un plaisir de se retrouver à chaque fois dans un lieu différent », a déclaré Emmanuel Sertain, président du Réseau Entreprendre Rhône Durance. La Fondation Villa Datris est un lieu d’exception à l’Isle-sur-la-Sorgue qui rend accessible l’art contemporain. Si le lieu a accueilli 80 personnes pour cette soirée de rentrée, c’est au total déjà plus de 52 000 visiteurs qui ont franchi son portail cette année, contre environ 40 000 les années précédentes.

« La Fondation Villa Datris est la preuve que l’on peut gérer des entreprises et s’intéresser à l’art, et pourquoi pas monter des collections », a affirmé Stéphane Baumet, directeur de la Fondation, en s’adressant tout particulièrement aux gérants d’entreprise présents lors de cette soirée. En effet, la présidente de la Fondation, Danièle Kapel-Marcovici, et également la présidente du groupe Raja, spécialisé dans la distribution d’emballages et de fournitures professionnelles et implanté notamment à Sorgues. Danièle Kapel-Marcovici montre son amour pour l’art à travers la Fondation Villa Datris, mais aussi à travers Raja, qui a sa propre collection d’art.

Visite de la Fondation

Les membres et partenaires du Réseau Entreprendre Rhône-Durance ont donc pu visiter les différents étages de la Villa Datris afin de mieux comprendre la passion de la PDG de Raja pour l’art contemporain. Ils ont pu découvrir les 81 œuvres de l’exposition ‘Mouvement et lumière #2’ grâce aux explications d’une médiatrice.

Des effets d’optiques aux effets de lumières, tout en passant par les mouvements, les invités ont pu profiter d’une immersion totale dans les univers des différents artistes pendant près d’une heure.

Une nouvelle année débute pour le Réseau Entreprendre Rhône-Durance

Après une visite guidée sous les yeux ébahis et curieux de chacun, le président du Réseau Entreprendre Rhône-Durance a présenté une des ambitions de cette nouvelle année : la dynamisation du Réseau. « On souhaite relancer les commissions mises en place l’année dernière, celles qui ont très bien marché comme la commission des lauréats, pilotée par Olivier Trintignac, la commission partenariats, menée par Véronique Constantin, ou la commission territoriale, dirigée par Brigitte Borel, mais aussi en créant des commissions sur de nouvelles thématiques », a-t-il expliqué.

Ces nouvelles thématiques devraient être décidées et annoncées dans les prochains jours. « J’appelle tous ceux qui souhaitent s’impliquer à se rapprocher de nous », a poursuivi le président du Réseau. Emmanuel Sertain en a également profité pour rappeler que la Fédération du Réseau Entreprendre, qui représente près de 130 associations et plus de 15 000 membres, organise sa biennale à Saint-Étienne du 13 au 15 octobre prochains et qu’il reste encore des places. Ces trois jours permettront des moments d’échange et de convivialité entre des chefs d’entreprise engagés.

De nouveaux membres et de nouveaux lauréats

Cette rentrée a aussi été l’occasion de présenter les nouveaux membres du Réseau Entreprendre Rhône-Durance. Ainsi, cinq personnes ont rejoint ce dernier : Charlotte Moretti du cabinet J. Causse & Associés, Sylvain Dufour qui a deux agences MMA sur le territoire du Grand Avignon, Nadia Gourievidis Wihlborg qui a été lauréate en 2020, et Yann et Sandrine Le Moel qui ont repris l’entreprise Thermolack à Plan-d’Orgon et ont également été lauréats en 2020.

Quant aux entrepreneurs qui rejoignent la liste des lauréats 2023, ils sont aussi au nombre de cinq. Parmi ceux présents à la soirée de rentrée, il y a Christophe Bazin qui a repris l’entreprise Clarys à Pernes-les-Fontaines et à Orange, spécialisée dans les installations de poêles à bois, Charles Desombre qui vient de reprendre AVM (Atelier du verre et de la miroiterie) et Actipose, deux sociétés dans la miroiterie et la pose de miroiterie à l’Isle-sur-la-Sorgue, et Laurent Marteel qui va ouvrir le club de karaoké Yaka Chanter au Pontet d’ici la fin de l’année ou en début d’année prochaine. La liste des nouveaux lauréats compte également Fleur Masson avec son entreprise thoroise Le Beau Geste qui produit des biscuits aux légumineuses bio et riches en fibres, et Frédéric Baroni de DiveIT, une entreprise spécialisée dans le refroidissement des serveurs informatiques. Cette nouvelle année s’annonce donc riche en création et en reprise d’entreprises pour le Réseau Entreprendre Rhône-Durance.


Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance fait sa soirée de rentrée à la Fondation Villa Datris

Cette année, l’agence d’attractivité et de développement économique de la région Sud risingSUD a décidé d’organiser son événement annuel de La Communauté by risingSUD en Vaucluse. C’est à Mathieu Lustrerie à Gargas que se sont réunis les dirigeants d’entreprise le mercredi 6 septembre dernier.

Malgré un soleil tapant, les lustres de la Lustrerie Mathieu sont allumés. Ils montrent le chemin aux dirigeants d’entreprises vers le bâtiment du fond, où les représentants de risingSUD les attendent.

C’est donc en Vaucluse, dans ce lieu d’exception à Gargas, que l’agence d’attractivité et de développement économique de la région Sud a choisi de faire sa rentrée. Au programme : présentation de la promotion 2020-2022 du programme Sud Accélérateur, remise des diplômes, visite de la Lustrerie Mathieu, mais aussi conférence sur l’intuition et son rôle en entreprise.

Le programme Sud Accélérateur

Le programme Sud Accélérateur, mis en place par la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur et par l’agence risingSUD en partenariat avec Bpifrance, se fait sur 24 mois. C’est un programme d’accompagnement sur-mesure et de proximité pour les petites et moyennes entreprises (PME) et leurs dirigeants, visant à révéler les entreprises de taille intermédiaire (ETI) de demain.

Si les objectifs de ce programme sont de révéler les potentiels de croissance de l’entreprise et de créer de la valeur sur le territoire et un effet d’entrainement sur l’attractivité et l’emploi, la synergie a également toute sa place. « Souvent, le chef d’entreprise est isolé, déplore Bernard Kleynhoff, président de risingSUD. Il est primordial de pouvoir faire des échanges et de se faire évoluer les uns les autres. »

Bernard Kleynhoff, président de risingSUD. ©Vanessa Arnal

Un esprit de communauté

Ainsi, l’entraide et les échanges font partie intégrante du programme Sud Accélérateur, mais aussi de se qui ensuit. En participant au programme, une entreprise rejoint la communauté des 3 500 PME et ETI accélérées par Bpifrance, les 146 entreprises suivies par risingSud, ainsi que le réseau Business des entrepreneurs en croissance qui regroupe 6 000 entreprises.

En accédant à ces communautés, les dirigeants d’entreprise accède à des événements, mais aussi à des mises en relations tout au long de l’année. « Le plus interessant lors de ces rencontres, ce sont les échanges que peuvent avoir les chefs d’entreprise sur leurs différentes problématiques », explique Nicolas Magenties, directeur régional Région Sud chez Bpifrance.

Nicolas Magenties, directeur régional Région Sud chez Bpifrance. ©Vanessa Arnal

La 4ème promotion de Sud Accélérateur

La Promotion 4 du programme Sud Accélérateur, ce sont 20 PME accompagnées durant 24 mois.  Les dirigeants de ces entreprises ont pu assister à 16 jours de séminaire et ont pu bénéficier de 39 missions d’accompagnement durant ces deux années. Le programme a permis une évolution de +32,6% du chiffre d’affaires en moyenne, et la création de 224 nouveaux emplois.

La rentrée de risingSud à la Lustrerie Mathieu était donc l’occasion idéale de féliciter les dirigeants d’entreprise pour leur implication, de leur remettre leur diplôme, mais aussi d’obtenir leur avis quant au programme Sud Accélérateur. « On a commencé en pleine crise de covid, le contexte était particulier et c’était difficile de se réunir et de créer une communauté, mais les représentants de risingSud ont fait un travail remarquable pour nous trouver des solutions », s’accordent à dire les dirigeants d’entreprise. La passion des intervenants et la richesse qu’offre ce programme sont également des points qui sont ressortis lors de la remise des diplômes.

Cinq PME vauclusiennes faisaient partie des diplômés : Bedouin (spécialiste des fruits secs en vrac à Visan), Proexpace (leader en agencement de pharmacie à Sorgues), Chocolaterie Castelain (à Châteauneuf-du-Pape), Rouby (distributeur de matières premières et petit matériel dédiés aux métiers de bouche à Avignon), Hydroconseil (bureau d’études indépendant de droit français à Avignon) et la Bécanerie (spécialiste des pièces neuves et d’origine pour les 2-roues à Avignon).

©Vanessa Arnal

La visite de la Lustrerie Mathieu

Après les différents témoignages des diplômés, c’est au tour de Régis Mathieu, dirigeant de la lustrerie, de prendre la parole et de raconter l’histoire de son entreprise, tout en faisant le tour des différents bâtiments qui composent la lustrerie.

Les dirigeants apprennent donc que l’entreprise était en faillite lorsque Régis Mathieu en a repris les rênes, les lustres n’étant plus à la mode dans les maisons des particuliers à la fin du XXème siècle. Ainsi, le dirigeant de la lustrerie a dû réinventer l’entreprise, en proposant notamment de nouveaux services, tels que la rénovation de lustres.

Cette visite avait pour but d’inspirer les dirigeants de La Communauté by risingSUD, mais aussi de mettre en avant une entreprise qui rayonne en France et à l’international, et qui fait la fierté de la commune de Gargas, du Pays d’Apt, du Vaucluse, et plus largement de la Région Sud.

Une conférence autour de l’intuition

Cette journée de rentrée s’est terminée avec une conférence intitulée « L’intuition, l’âme de la performance », animée par Victoria Pellé Reimers, qui explore le domaine de l’intuition depuis près de 20 ans. Ce temps a permis aux dirigeants de se poser plusieurs questions sur cette thématique : ‘qu’est-ce que l’intuition ?’, ‘comment être sûr que ce que l’on ressent découle de l’intuition ?’.

« Quand j’ai voulu remettre l’entreprise sur pied, tout le monde m’a dit que c’était une mauvaise idée, mais l’intuition m’a pris par la main. J’avais plus confiance en mon intuition qu’en mon côté rationnel. »

Régis Mathieu

Les dirigeants ont pu créer des petits groupes afin de débattre sur certaines questions comme : ‘avez-vous confiance en votre intuition ?’. Ils ont ensuite pu déterminer quel type d’intuition ils ont, l’intuition visionnaire, contextuelle ou relationnelle, et comment elle peut impacter leur choix, que ce soit dans un contexte professionnel ou non. La conférence s’est achevé avec trois questions : ‘que me dit mon intuition ?’, ‘qu’est-ce que je risque à l’écouter ?’, ‘qu’est-ce que je risque si je ne l’écoute pas ?’.

Victoria Pellé Reimers, conférencière, auteure et spécialiste de l’intuition. ©Vanessa Arnal

Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance fait sa soirée de rentrée à la Fondation Villa Datris

La rentrée approche, l’heure pour nos chers bambins de retourner sur les bancs de l’école. L’heure également pour les parents de concilier la gestion des enfants et le travail : accompagner son enfant le jour de la rentrée, gérer les maladies, aménager ses horaires… Des situations qui soulèvent chaque rentrée scolaire leur lot d’interrogations. Isabelle Vénuat, juriste aux Editions Tissot (éditeur spécialiste du droit social), répond aux trois questions les fréquentes.

Puis-je arriver en retard au travail pour accompagner mon enfant lors de la rentrée scolaire ?
Le Code du travail ne prévoit pas d’autorisation d’absence pour la rentrée scolaire. Il faut donc se référer à sa convention collective qui pourra prévoir, sous condition d’ancienneté du salarié, d’âge des enfants ou de niveau scolaire, un certain nombre d’heures afin d’accompagner ses enfants pour leur premier jour de classe.
A titre d’exemple, la convention collective de la coiffure prévoit une autorisation d’absence de 3 heures rémunérées le jour de la rentrée, pour accompagner ses enfants jusqu’à 13 ans. Celle de la Publicité, autorise les parents à prendre une demi-journée « à leur demande ». Dans le secteur de la propreté, la convention collective prévoit pour les parents dont l’enfant entre pour la première fois à l’école, le bénéfice d’une journée de congé rémunérée.
Si rien n’est prévu dans la convention collective, il faut vérifier s’il n’existe pas un usage d’entreprise ou un accord d’entreprise sur le sujet. Aucune disposition ? Dans ce cas, l’employeur est libre d’accorder ou non des heures d’absence pour cette rentrée scolaire.
Et si l’employeur refuse ? Sauf s’il est au forfait jours puisque la notion de retard y est inexistante, l’ultime solution pour le salarié sera alors de poser un jour de congé payé ou de RTT.

Quels sont mes droits quand mon enfant est malade, de combien de jours puis-je disposer par enfant et par an ?
En cas de maladie ou d’accident d’un enfant de moins de 16 ans, constaté par certificat médical, le salarié a le droit de bénéficier d’un congé non rémunéré, quelle que soit son ancienneté, à condition qu’il assume la charge de cet enfant. La durée de ce congé est de 3 jours par an au maximum avec possibilité de fractionnement. Il est porté à 5 jours si :
● l’enfant est âgé de moins de 1 an ;
● le salarié assume la charge d’au moins 3 enfants de moins de 16 ans.

Attention toutefois, cette durée de 3 jours (ou 5 jours selon le cas) est une durée globale pour tous les enfants du salarié et non pour chaque enfant ! La convention collective peut prévoir des dispositions plus favorables, notamment le maintien de la rémunération ou des durées d’absences plus longues.
Dernière précision, ce congé pour enfant malade concerne les cas bénins de maladie ou d’accident nécessitant un court rétablissement. En cas d’accident, de maladie ou de handicap grave de l’enfant, le salarié pourra notamment bénéficier d’un congé de présence parentale et s’absenter pendant plusieurs mois.

Quels sont mes droits si je souhaite obtenir un temps de travail aménagé (4/5e par ex) pour m’occuper de mes enfants ?
Jusqu’aux 3 ans de l’enfant, le salarié ayant un an d’ancienneté dans l’entreprise peut demander à bénéficier d’un congé parental d’éducation à temps plein (le contrat de travail est alors suspendu) ou à temps partiel, avec un minimum de 16 heures de travail par semaine. L’ancienneté d’un an s’apprécie à la date de naissance de l’enfant ou à la date de l’arrivée au foyer de l’enfant adopté. Ceci est un droit que l’employeur ne peut refuser si le salarié en remplit les conditions.
Néanmoins, en cas de congé parental d’éducation à temps partiel, l’employeur a le pouvoir d’imposer la répartition des horaires au salarié afin de ne pas désorganiser le fonctionnement du service ou de l’entreprise.
Ainsi, par exemple, si l’employeur ne peut refuser un congé parental à temps partiel, il n’est pas tenu d’accepter l’absence le mercredi si d’autres personnes du service prennent déjà ce jour. Il pourra donc imposer un autre jour d’absence dans la semaine. Le refus du salarié de se plier aux nouveaux horaires choisis par l’employeur peut constituer une cause réelle et sérieuse de licenciement.
A la fin du congé parental d’éducation à temps partiel, le salarié qui souhaite continuer sur le même rythme peut demander à ce que son contrat à temps plein soit transformé en contrat de travail à temps partiel. Mais dans ce cas, ce n’est plus un droit. Et l’employeur peut refuser la demande s’il estime qu’un temps partiel est néfaste à la bonne marche de l’entreprise.

Isabelle Vénuat, juriste aux Editions Tissot

Isabelle Vénuat, juriste aux Editions Tissot. © Gilles Piel

Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance fait sa soirée de rentrée à la Fondation Villa Datris

La rentrée, c’est aussi pour le conseil municipal de Monteux, qui, comme chaque année, procède à une réorganisation de ses délégations. Cette « tradition », comme l’appelle le maire Christian Gros, permet de répondre à des problématiques « de plus en plus complexes. »

« Notre objectif reste de travailler en proximité avec les habitants de Monteux, commence par dire Christian Gros. Il faut affirmer nos choix politiques qui sont fondés sur les attentes des Montiliens mais aussi sur le futur de la Ville. » C’est avec cette ambition que le maire a effectué quelques modifications au niveau des délégations accordées au conseil municipal.

Si généralement une délégation reste la même pendant toute la durée du mandat (sauf si le maire décide de la retirer ou de la modifier), à la mairie de Monteux, la tradition veut que chaque délégation soit accordée pour 1 an renouvelable. Ainsi, à chaque rentrée, le maire procède à une analyse qui peut mener à une réorganisation.

Les délégations du conseil municipal pour l’année 2022-2023

« Pour réorganiser au mieux les délégations, il faut mettre en cohérence le plus possible les compétences et le réseau de chaque élu avec sa délégation », explique Christian Gros. Cette année, les objectifs principaux sont la transition écologique et la participation citoyenne. C’est dans cette volonté que s’inscrit cette réorganisation.

Les adjoints au maire :

  • Carine Blanc est donc devenue 1e adjointe au maire, déléguée au sport et à la santé.
  • Samuel Montgermont est le 2e adjoint délégué à l’attractivité et aux finances.
  • Annie Millet est la 3e adjointe déléguée à la transition écologique.
  • Christophe Mourgeon est le 4e adjoint délégué aux solidarités.
  • Mireille Sauvayre-Gaudin est la 5e adjointe déléguée à la ville éducative et culturelle.
  • Philippe Collet est le 6e adjoint délégué aux patrimoines et à l’identité.
  • Chantal Gonnet-Olivi est la 7e adjointe déléguée à la transition numérique et à la politique du logement.
  • Stéphane Michel est le 8e adjoint délégué à la ville en transition.
  • Annie Garnero, qui est aujourd’hui conseillère municipale déléguée à la ville conviviale, aux ressources humaines et à la qualité des services publics, devrait devenir la 9e adjointe au maire le 17 octobre prochain.

En plus d’Annie Garnero, qui restera donc conseillère municipale déléguée jusqu’au mois prochain, la mairie compte huit autres conseillers municipaux délégués :

  • Mario Harelle, délégué au cadre de vie.
  • Evelyne Espenon, déléguée à l’agriculture et à la végétalisation.
  • Cyrille Geel, délégué au vivre ensemble et à la vie des quartiers.
  • Sonia Namouchi, déléguée à la petite enfance et au commerce de proximité.
  • Mohammed Aïtane, délégué à la politique de la ville.
  • Sylvie Gacquière, déléguée au tourisme et aux jumelages.
  • Younès Bourohi, délégué à la jeunesse et la citoyenneté.
  • Damien Juge, délégué à la protection civile et au souvenir.

Une transversalité des rôles

Même si chaque conseiller ou adjoint se voit accordé une délégation particulière en fonction de ses compétences, ils ne sont pas pour autant cloisonnés dans cette délégation-là. « Il est important de souligner qu’ils occupent des rôles transversaux », insiste le maire.

« Notre volonté est de travailler ensemble, pour et avec les habitants. Demander leur avis est essentiel. »

Christian Gros

Les élus vont donc devoir travailler en cohésion. Quatre grands axes vont guider leur année : le bien-être du quotidien (qui comprend la propreté et la sécurité), le ‘vivre ensemble’, l’attractivité (qu’elle soit économique, touristique, ou qu’elle concerne l’attachement des habitants à la ville), et la transition (qu’elle soit écologique, numérique, citoyenne, ou qu’elle touche à l’urbanisme pour le dévéloppement de la ville).


Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance fait sa soirée de rentrée à la Fondation Villa Datris

Je ne sais pas si pour vous c’est la même chose mais rien que t’entendre le mot « rentrée » j’ai le bourdon pour le reste de la journée. Sans doute des réminiscences du difficile retour sur les bancs de l’école, après la longue pause estivale. Et avec toutes ces mauvaises nouvelles qui s’accumulent, cette rentrée 2022, s’annonce comme particulièrement difficile. A moins que…

La rentrée doit-elle forcément être un moment anxiogène ? La fin des vacances, le retour au travail, le début de l’automne, l’arrivée des premiers frimas… Les médias, toujours empreints d’originalité, en rajoutent en nous abreuvant de « rentrées » à toutes les sauces : la rentrée des classes, la rentrée sociale, la rentrée politique, la rentrée culturelle qui elle-même se subdivise en rentrée littéraire, cinématographique, théâtrale, musicale… Sans parler des grandes surfaces qui mettent en place les fameuses fournitures scolaires dès le début du mois d’août, histoire de vous rappeler, au beau milieu des vacances : « coucou c’est bientôt le taff ! » Avouez qu’on ne nous épargne rien !

La rentrée 2022, un cru exceptionnel !

La rentrée 2022 sera, dans son genre, un cru assez exceptionnel. Entre la flambée des prix de l’énergie, le retour de l’inflation, une crise sanitaire pas totalement éradiquée, les menaces liées à la guerre en Ukraine ou encore l’accélération des incidences du changement climatique, il y a de quoi avoir le moral dans les chaussettes. Déjà que la rentrée est, pour beaucoup, un moment, dans l’année, particulièrement difficile et délicat à négocier. Qu’est ce qui pourrait tempérer nos tourments et nos déprimes automnales, et nous offrir quelques raisons d’espérer ?

Vers d’autres modèles ?

Il y a encore quelques mois de cela, la croissance et la consommation étaient érigées comme le seul modèle capable d’apporter le plein emploi, le bien-être et le progrès social. En dehors point de salut. Et hop, aujourd’hui changement total de dogme. Les crises que nous vivons actuellement nous montrent que ce modèle a vécu et qu’il ressemble de plus en plus à une impasse. Et maintenant on nous culpabilise de consommer et d’être dans l’abondance et l’insouciance, alors que il y a encore quelques temps…

Le BNB plutôt que le PIB*

Dans cette crise, qui ressemble il faut bien le reconnaître à une fin de cycle, l’économie manque de bras partout. Pas assez de professeurs ou d’instituteurs, pas assez de chauffeurs de bus, de conducteurs de train, d’infirmières, de médecins, pas assez de personnels dans les commerces, les activités de services, les entreprises de toute nature … Dans notre beau pays, depuis le début de l’année 2022, on enregistre, chaque trimestre, 520 000 démissions.

Selon la DARES** rien d’exceptionnel à cela. Cet organisme explique qu’à chaque période de reprise économique (ce qui était le cas avec la fin de la crise de la Covid), le taux de démission remonte naturellement. Nouvelles opportunités, besoin d’évolutions, le marché du travail s’ouvrant, les salariés sont tentés de changer. Dans le cas présent l’embellie économique de l’après Covid ne pourrait qu’être un feu de paille. Ne faudrait-il pas plutôt voir, dans ce qu’on a appelé « la grande démission »***, une envie d’autre chose, où le bien-être prendrait le pas sur la valeur travail, un nouvel équilibre privilégiant sa vie personnelle. Des changements qui modifieraient aussi nos rapports avec la nature et ses ressources. Un autre horizon que le toujours plus ! Le bonheur national brut plutôt que produit intérieur brut. C’est en cela que la rentré 2022 pourrait être positive : une prise de conscience qui permettrait, à minima, déboucher sur la correction de nos excès (et ils sont nombreux).

Une révolution plutôt qu’un « grand reset ». D’ici là bonne rentrée !

* Le bonheur national brut plutôt que produit intérieur brut
** Direction de l’Animation de la Recherche, des Études et des Statistiques (Ministère du Travail).
*** Mouvement née aux USA après la pandémie de la COVID. En 2021, 38 millions d’américains ont quitté du jour au lendemain leur travail.

Ancien directeur général et directeur de la rédaction de Mirabelle TV (télévision régionale en Lorraine), Didier Bailleux a été auparavant consultant dans l’audiovisuel et à travaillé sur plusieurs projets : TNT, SVOD, services en ligne, création de TV locales. En tant que directeur marketing, il a participé, dans les années 1990 et 2000, à la création de plusieurs chaînes thématiques : Canal J, Voyage et Pathé-Sport. Aujourd’hui, il vit en Vaucluse et travaille sur la production de documentaires consacrés aux terroirs.


Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance fait sa soirée de rentrée à la Fondation Villa Datris

Alors que l’Université d’Avignon accueille ses nouveaux étudiants du 30 août au 9 septembre lors des journées de pré-rentrées, avant une reprise des cours officielle le lundi 12 septembre, elle dédie une journée à ses étudiants internationaux, qui seront au nombre de 102 cette année.

Les étudiants internationaux seront accueillis le lundi 5 septembre par la Maison de l’international lors d’une pré-rentrée spécifique. Cette année, sauf en cas de désistement, ils seront 102 à venir de l’Europe et du monde entier pour découvrir l’université d’Avignon, mais aussi la Ville d’Avignon et le Vaucluse. Près de la moitié d’entre eux restera pendant toute l’année alors que l’autre partie n’effectuera qu’un semestre à la Cité des Papes.

D’où viennent-ils ?

La grande majorité des étudiants en mobilité internationale vient d’Europe. Les pays les plus représentés sont le Royaume-Uni (30 étudiants), l’Espagne (17 étudiants), l’Italie (16 étudiants) et l’Allemagne (12 étudiants). D’autres étudiants viennent de Belgique, Grèce, Hongrie, Irlande, Pays-Bas, Roumanie et Suisse. .

Seuls 8 étudiants viennent du reste du monde. 4 débarquent de Colombie, 3 de Corée du Sud et 1 du Canada. Les 4 étudiants colombiens sont d’ailleurs des boursiers d’excellence qui ont été choisis par l’ambassade de France à Bogota.

L’Université d’Avignon va également accueillir 7 boursiers d’excellence Mistral* et 1 boursière d’excellence Europa**. Ces étudiants-là viennent d’Algérie, d’Argentine, du Cameroun, de Guinée et d’Italie.

Que vont-ils étudier ?

Les étudiants internationaux qui viennent étudier dans une université en France ne sont pas obligés de suivre une formation unique. La grande majorité suivra des cours dans les domaines des lettres, du droit et de la gestion, et des sciences humaines et sociales.

Afin de leur garantir la meilleure expérience possible en France, la Maison de l’International leur propose une formation Français Langue Etrangère intensive pendant la semaine d’accueil et puis des cours hebdomadaires tout au long du semestre. Le niveau général de compétence linguistique en français permet des taux de réussite satisfaisants.

La journée des étudiants internationaux

Ce lundi, les étudiants étrangers seront accueillis à partir de 9h30 avec un petit-déjeuner dans les jardins de l’université, en présence d’Anne-Sylvie Fabiano-Tixier, vice-présidente déléguée aux relations internationales de la Maison de l’international. Cet accueil sera suivi d’une visite du campus puis d’un pique-nique convivial.

L’après-midi, les étudiants partiront à la découverte d’Avignon à travers une visite historique du centre-ville accompagnés de Paul Payan, maître de conférences en histoire à l’Université d’Avignon.

Toute la semaine sera ponctuée de cours de français, d’une visite de la bibliothèque universitaire, d’une présentation des outils numériques et des cours de sport à disposition des étudiants sur les campus. Des étudiants vacataires seront disponibles tout le mois de septembre pour les accompagner dans leurs démarches administratives.

*Le programme de bourses d’excellence Mistral est destiné aux étudiants étrangers inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur à l’étranger et qui souhaitent poursuivre des études à Avignon Université en vue de l’obtention d’un diplôme de Master. Son objectif est d’objectif d’attirer des étudiants à haut potentiel scientifique. Cette année, le montant de cette bourse s’élève à 6 000€.

**Le programme de bourses ‘France Excellence Europa’ permet aux étudiants de 26 pays de l’Union Européenne d’obtenir une bourse pour venir étudier au niveau Master dans un établissement d’enseignement supérieur français. Elle permet, entre autre, le versement d’une allocation semestrielle de 6 850€.


Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance fait sa soirée de rentrée à la Fondation Villa Datris

Le saviez-vous ? 30 000 collégiens ont fait leur rentrée ce jeudi 1er septembre dans 41 collèges publics et 13 privés dont 5 900 entreront en sixième. 24 000 iront en collèges et 6 000 dans des établissements privés. Face à eux ? 2 197 enseignants missionnés à transmettre leurs savoirs. 8 000 PC seront attribués cette année aux 6e tandis que 14 000 l’avaient été en 2021. 1,6M€ a été dévolu aux 187 projets initiés par les collégiens. Plus de 13M€ seront dédiés au fonctionnement des collèges. Et pour bien accueillir ces citoyens de demain, le Département de Vaucluse mise sur la réhabilitation des établissements pour un meilleur confort thermique, plus de sobriété énergétique, plus d’espace, un accueil optimisé et des circulations facilitées dans les locaux. Pour cela le Département et l’État mettent plus de 31,5M€ sur la table.

« Pour la première fois depuis deux ans, la situation sanitaire n’aura pas marqué la rentrée scolaire. Aujourd’hui 30 000 collégiens retrouvent les bancs de l’école dans des conditions normales, a annoncé Dominique Santoni, Présidente du Conseil départemental de Vaucluse, dans 41 collèges publics et 13 privés. Elle poursuit : Aux côtés des questions sociales et de l’entretien des routes, les collèges constituent l’une des principales compétences du Département. Pour l’année 2022, nous consacrons d’ailleurs une enveloppe de plus de 13M€ au fonctionnement des collèges. S’ajoutent à cela les investissements aussi bien en matière d’équipements informatiques que de réhabilitation de bâtiments.»

Distribution de 8 000 PC
«Nous distribuons, cette année, 8 000 PC portables hybrides aux collégiens de 6e ainsi qu’aux élèves des classes dites UPE2A (classes réservées aux élèves allophones –parlant une autre langue maternelle que le français). Les ordinateurs sont équipés d’un logiciel de contrôle parental afin de sécuriser la navigation Internet à domicile. Ces ordinateurs visent à garantir à tous les élèves d’égales conditions d’accès à l’apprentissage, un des piliers de notre politique consacrée aux collèges,» a précisé Dominique Santoni.

Un logiciel de restauration scolaire
L’ensemble des chefs de cuisine ont été équipés de tablettes permettant d’améliorer la traçabilité des produits et le suivi des températures. Par ailleurs, des économies d’échelle seront réalisées via le marché d’achat des denrées alimentaires.

En robe foncée Véronique Arnaud Deloy, maire d’Apt ; Dominique Santoni (en bleu) présidente du Département et Claudie François-Gallin Directrice académique des services de l’Éducation nationale (Dasen)

La rentrée en chiffres
Plus de 13,3M€ c’est le budget de fonctionnement consacré aux collèges du département. Pus précisément : 13 320 740€. Le Vaucluse accueille 24 000 collégiens dont 5 900 font leur entrée en 6e tandis que 6 000 autres auront intégré un collège privé. Ils auront face à eux 2 197 enseignants missionnés dans le public comme dans le privé. Pour les accompagner 370 agents techniques seront à l’œuvre.Tous seront accueillis dans les 41 collèges publics et 13 collèges privés.

Les missions du Département ?
La sectorisation, la gestion des bâtiments, du mobilier, du matériel informatique, le transport des élèves en situation de handicap, la gestion des agents en charge de l’accueil, de l’entretien, de la restauration scolaire, de la maintenance, du développement d’actions éducatives et de soutien des projets.

187 projets de collégiens réalisés entre 2019 et 2021
1,6M€, dans le cadre du budget participatif, ont été dévolus à 187 projets réalisés ou en cours proposés par les collégiens, issus de 54 établissements.  Le collège Viala à Avignon a ainsi accueilli un piano ; A Jean Brunet à Avignon les élèves ont créé des ilots de fraicheurs végétalisés dans la cour de récréation et acquis du matériel de sport.

Le collège Pays-de-Sorgues au Thor à fait l’acquisition de casques et matériel d’entretien pour les vélos de la classe Ulis (Unités localisées d’inclusion scolaire pour la scolarisation d’enfants en situation de handicap).

Des ordinateurs au collège pour l’égalité des chances et réduire la fracture numérique

Les projets à venir des collégiens ?
Les élèves du Collège Le Luberon à Cadenet ont opté pour la réalisation d’un espace Zen. Ce sera un jardin pédagogique et une ruche connectée pour le collège Jean Garcin de l’Isle-sur-la-Sorgue, un atelier Mangas pour le collège Voltaire de Sorgues et une classe trottinettes au collège Anselme Mathieu à Avignon.

Déploiement du numérique pour les collèges
Le déploiement du numérique à destination des collèges est devenu depuis 2013 –Loi Peillon- l’une des missions principales du Département. Cela a commencé avec l’installation de bornes Wifi suivie par le prêt d’ordinateurs portables, devenu essentiel depuis la pandémie de covid-19. 14 000 ordinateurs ont ainsi été délivrés aux adolescents de 6e en 2021. La distribution des PC portables se fera du 12 septembre au 18 novembre. En cause ? La pénurie, à l’échelle mondiale, de composants électroniques. D’ici 2 ans, tous les niveaux d’enseignement seront équipés, les ordinateurs étant remis à chaque rentrée aux nouveaux collégiens.

L’entretien des collèges

Le collège du Pays-des-Sorgues au Thor

Il a notamment concerné le collège du Pays-des-Sorgues au Thor qui accueille 600 élèves en provenance du Thor et de Châteauneuf-de-Gadagne. Les travaux ont concerné la réfection de la toiture et des façades ainsi que le remodelage des espaces intérieurs. Une extension de 1 118m2 a permis de loger la nouvelle demi-pension et deux nouveaux parvis ont été créés. L’un concerne l’accès à un nouveau local à deux-roues et l’autre l’accès à la salle polyvalente, au hall d’accueil et à la cour de récréation. Le chantier s’est élevé à 6,5M€ financés par le Département de Vaucluse et une participation de 30% de l’État, soit 1,3M€ au titre de la dotation de soutien à l’investissement départemental (DSID).

La restructuration partielle du collège Voltaire, à Sorgues
La collège, construit en 1964 -58 ans- a connu une importante dégradation de ses façades. Afin d’assurer la continuité pédagogique, le phasage des travaux a démarré en 2020 pour prendre fin en février prochain. Ceux-ci sont intervenus dans la  restructuration des deux bâtiments et la rénovation partielle d’un 3e. L’opération se monte à 5,2M€ dont 1,28 émanant de l’État.

Le collège Voltaire à Sorgues

Le collège Saint-Exupéry à Bédarrides
Il accueille 500 élèves et les travaux entamés en juillet dernier devraient se poursuivre sur deux ans. L’effort est là porté sur le confort thermique et l’étanchéité. Au programme : la rénovation du bâtiment principal avec la réalisation d’un pôle sciences et technologies, l’entrée principale et les espaces d’accueil, le préau, le stationnement extérieur et de nouveaux sanitaires. Les travaux s’élèvent à 6,6M€ avec une participation de l’État de 1,5M€ pour le volet thermique.

Collège Lou Vignarès à Vedène
Le Collège Lou Vignarès accueille 750 élèves. Alors pour gagner du temps un collège provisoire sera installé sur le site permettant les premiers travaux été 2023 dans les locaux ainsi libérés. Au programme ? Un collège économe en énergie et aussi une réorganisation des circulations, la création d’un hall d’accueil, une salle polyvalente, un foyer des élèves et une salle informatique. Le coût de la réhabilitation ? 12,24M€ dont 535 000€ financés par l’État.

Le collège Victor Schoelcher à Sainte-Cécile-Les-Vignes
L’établissement verra sa toiture totalement revue sur… 4 400m2, ainsi que l’isolation et l’étanchéité. Début des travaux cet automne pour une facture de 700 000€.

Collège Marcel Pagnol à Pertuis
L’établissement accueillera bientôt un préau de 350m2 pour lesquelles les fondations sont déjà terminées et la structure métallique posée pour un montant des travaux estimé à 350 000€.

Le collège Pays-de-Sorgues au Thor

Pose de mini-centrales photovoltaïques sur le toit des établissements
Huit collèges de Vaucluse arborent des panneaux photovoltaïques sur leur toit. Il s’agit d’Albert Camus à La Tour d’Aigues, d’André Malraux à Mazan, de Vallée du Calavon à Cabrières-d’Avignon, de Clovis Hugues et Rosa Parks à Cavaillon, de Marie Mauron et Marcel Pagnol à Pertuis ainsi que du collège Pays-des-Sorgues, au Thor.

Dans le futur ?
Le département a diligenté des experts pour identifier de nouveaux sites et accroître la production d’électricité verte. Dès maintenant ces panneaux produisent l’équivalent de la consommation annuelle de 500 foyers ce qui représente une économie de 102 tonnes de CO2 et couvrent une surface de 8 860m2.

Les actions culturelles et civiques
Le Département finance à hauteur de 200 000€ des actions culturelles et civiques dont des ateliers d’écriture avec ‘Tous à la page’ qui invite les collégiens à découvrir les plaisirs de l’écriture et de la lecture grâce à l’accompagnement d’associations avignonnaises. ‘Danse au collège’ créé le lien entre professeurs et élèves semi-professionnels du Conservatoire à rayonnement régional du Grand Avignon et permet aux adolescents d’assister à un spectacle. Mardi 7 et jeudi 9 février 2023 à l’Auditorium Jean Moulin au Thor.

Collège au concert
Il est question, là, de vivre l’expérience du concert symphonique donné par l’Orchestre régional Avignon Provence et d’échanger avec les professionnels. Les élèves découvriront le concert symphonique mêlé de Beatbox, le traitement numérique, la rythmique et les modes de jeu. Les dates prévues ? Les 6 et 7 avril 2023 à l’Auditorium du Thor.

Claudie François-Gallin (Dasen) et Dominique Santoni, présidente du Conseil départemental de Vaucluse

Pop the Opéra ?
C’est la méga-chorale des collégiens qui se produit chaque année pour annoncer le printemps et surtout s’essayer à l’art lyrique. Ça se passera samedi 6 mai 2023 à l’auditorium Jean Moulin du Thor.

Escapades collégiennes
C’est en fait un appel à projet lancé par le Département en juin dernier et dévolu aux 13 établissements du Réseau d’éducation prioritaire du Vaucluse. Les thématiques ? Être un collégien ‘bien dans sa peau’, ‘bien avec les autres’ et ‘bien dans son environnement’. Dans ce cadre les élèves pourront mettre en place des actions pour la prévention et la lutte contre toutes les formes de harcèlement, les addictions, l’homophobie et la mise en avant du vivre ensemble et de l’égalité des chances. Une enveloppe de 50 000€ est prévue pour ces initiatives.

Le campus sécurité routière
le Département investit 36 000€ pour l’opération ‘Campus sécurité routière’ dans les collèges. Ces journées de sensibilisation existent depuis 1996 et promeuvent les règles de bonne conduite. En 24 ans 119 000 jeunes ont pu y assister et se mettre à la place du piéton, du cycliste, du motocycliste et se projeter en tant que futur conducteur. 5 658 collégiens ont ainsi assisté au campus sécurité routière l’année dernière.

Le transport scolaire des élèves et étudiants en situation de handicap
Le Département apporte une assistance au transport pour ces élèves et leur famille, depuis la maternelle jusqu’à l’université pour une enveloppe de 2,4M€. La structure prend en charge financièrement les déplacements de la personne handicapée et de ses accompagnants dans le cadre des transports en commun et les frais kilométriques si la personne se déplace dans un véhicule personnel. Également le Département organise des circuits de transport, en regroupant les élèves depuis le domicile de chacun vers leurs établissements scolaires. Chaque année 570 élèves et étudiants sont ainsi concernés.


Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance fait sa soirée de rentrée à la Fondation Villa Datris

On le feuillette avec bonheur et très vite on est rassuré : la majorité des concerts annulés ont pu être reportés, ils auront lieu en général tous les jeudis, l’essence de la musique jazz est bien présente dans une programmation de partage et de rencontre et les tarifs sont très accessibles. Au-delà  du critère qualité comme l’a dit avec humour son directeur Julien Tamisier, la programmation a un bilan carbone exceptionnel : Les groupes sont locaux mais à rayonnement national voire international.

Une équipe renforcée… et un piano neuf

Outre la confirmation à la tête du club de jazz de Julien Tamisier, l’équipe se renforce avec la nomination de ce qu’on appelle dans le jargon professionnel un médiateur culturel. Pour Quentin Lorenzini, il s’agira d’aller à la rencontre de nouveaux publics. Un partenariat est déjà entamé avec le collège Vernet et l’association Culture du cœur.

Les incontournables de la saison

Nous retrouverons avec plaisir les jams session. Le principe? Taper le bœuf, jammer … peu  importe! Le principe est une scène ouverte aux musiciens amateurs et professionnels. Convivialité et plaisir sont les maîtres mots de ces soirées mensuelles à entrée libre. Jean-Paul Ricard, fondateur de l’Ajmi continuera à nous présenter ses Jazz story hebdomadaires. Conférence sur l’histoire du jazz mais pas seulement car le support d’écoute sur vinyles originaux   donne à ces soirées conviviales un supplément d’âme unique. Les enfants de 6 à 12 ans ne sont pas oubliés avec des Ajmi môme, un samedi par mois sur inscription (5 €), mission ? Jouer, découvrir et partager autour du jazz. 

Le  concert de rentrée

Home trio – le bien-nommé- revient à la maison jazz avec comme invité le saxophoniste Maxime Atger. Le batteur Bruno Bertrand, le guitariste Rémi Charmasson et Lilian Bencini à la basse  prolongent leur amitié sur scène en toute simplicité et pour notre plus grand plaisir. Il sera prudent de réserver pour ces retrouvailles musicales.

Ajmi Club de Jazz. Concerts de 5 à 16€. 4, Rue des Escaliers Sainte-Anne. Avignon 04 13 39 07 85. www.jazzalajmi.com


Le Réseau Entreprendre Rhône-Durance fait sa soirée de rentrée à la Fondation Villa Datris

Près de 12,3 millions d’élèves reprennent ce jeudi le chemin de l’école en France. À l’occasion de la rentrée scolaire, nous nous sommes penchés sur les dépenses publiques consacrées à l’éducation. Combien d’argent les États investissent-ils par élève ?

Les dépenses publiques d’éducation atteignent en moyenne environ 8 400 euros par élève et par an dans les pays de l’OCDE, ce qui correspond à une moyenne de l’école primaire à l’enseignement supérieur. Les salaires des enseignants et du personnel représentent une grande partie de ces dépenses, même si celles dédiées au fonctionnement matériel peuvent s’avérer importantes dans certaines formations techniques.

En France, le montant annuel s’élève à 9 344 € (donnée de 2017), soit au-dessus de la moyenne de l’OCDE. Mais comme le montre notre infographie, les disparités entre pays sont importantes : le coût annuel moyen d’un élève en Norvège (14 868 €) est ainsi presque deux fois plus élevé qu’en Espagne et au Japon (7 259 et 7 511 €).

De Tristan Gaudiaut pour Statista

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