1 novembre 2025 |

Ecrit par le 1 novembre 2025

Réseau Quartier d’Affaires : un succès qui essaime de ville en ville

Avec le lancement de ses clubs de Bourges et Manosque le mois dernier ainsi que ceux de Montpellier et Arles avant l’été, le réseau Quartier d’Affaires compte désormais plus d’une trentaine de clubs* en France. A contrepied des réseaux uniquement axés sur le business, ce dernier entend aussi mettre en avant la convivialité et le plaisir de la rencontre au cœur de son action. Avec un autre atout, l’interconnexion entre les clubs afin d’offrir le maximum d’échanges entre ses membres.

« Notre particularité est de proposer à nos membres la possibilité de découvrir tous les clubs du réseau, insiste Jérémy Piallat, président et fondateur de Quartier d’Affaires. Comme tous les réseaux d’affaires nous nous recommandons entre nous mais, au-delà, nous souhaitons créer de l’émulation, du partage d’expérience et de l’entraide. Que les gens apprennent à mieux se connaître. »
Prenant la forme d’un journal économique à son origine en 2010, Quartier d’Affaires est exclusivement devenu un réseau d’entrepreneurs à partir de 2015 en se développant principalement au début sur le bassin de vie d’Avignon puis le Vaucluse et le Grand Sud.

« Un état d’esprit qui m’a marqué. »

Loïc Merlin

« C’est un réseau que j’ai découvert un peu par hasard, reconnaît Loïc Merlin, dirigeant de LM Consult, une société basée à Vedène spécialisée dans le conseil et tout particulièrement la vérification de la taxe foncière pour les locaux professionnels. A la base, je suis adhérent depuis 2018. J’ai accroché de suite avec le principe d’avoir le temps de discuter avec les gens, de ne pas avoir de contraintes comme on peut le voir dans d’autres réseaux. Et puis il y a eu le Covid… A ce moment-là, Jérémy a proposé de nombreuses visioconférences dans une période qui était très floue. Où les entrepreneurs ne savaient pas trop comment cela allait se passer et que les informations étaient diffusées au compte-gouttes. Grâce à ses visios avec des avocats fiscalistes ou bien encore la banque de France, nous avons pu bénéficier de beaucoup de conseils. Au final, de nombreuses entreprises ont pu avancer plus efficacement dans un contexte anxiogène. C’est cet état d’esprit qui m’a marqué. »

Proposer de l’humain
Suite à cette période de confinement, Quartier d’Affaires essaime à Apt, Orange puis Aix-en-Provence. Une période où Loïc Merlin, qui a une véritable appétence pour les réseaux, et Jérémy Piallat mettent ensemble en place un process pour les animateurs.
« Aujourd’hui, je collabore au suivi des animateurs et du développement, précise Loïc Merlin. Mon rôle consiste à accompagner les animateurs et les former afin de savoir comment créer un club, le gérer et en assurer le suivi. Cela peut être à un rythme hebdomadaire, tous les 15 jours… C’est en fonction des personnes, mais l’objectif c’est de ne pas les laisser seuls. Cela s’inscrit dans l’ADN de Quartier d’Affaires qui consiste à proposer quelque chose de très simple, de très humain. Car nous nous adressons à des chefs d’entreprise qui ont des boites à faire tourner comme nous, donc on sait ce que c’est d’avoir des contraintes. »
« Tous ceux qui contribuent au développement de Quartier d’Affaires ainsi que nos animateurs de clubs sont des chefs d’entreprise ou des indépendants, insiste Jérémy Piallat. Ils prennent sur leur temps personnel et ce sont des personnes qui vivent de leur travail par ailleurs. Même si le réseau leur est utile à eux-mêmes pour développer leur activité, ils donnent beaucoup de temps aux autres. Ils ne vivent cependant pas de ça, cela nous a paru essentiel. La promesse de Quartier d’Affaires, c’est vraiment de créer du lien avec d’autres dirigeants et d’élargir son réseau. Pour cela nous avons tout un tas de formats de rencontres qui le permettent. »

Créé en Vaucluse, le réseau, qui compte plus d’une trentaine de clubs en France, poursuit son essor vers le reste de l’Hexagone. Crédit : DR

Plus de 800 événements annuels
Aujourd’hui, le réseau s’articule autour de plusieurs formats de rencontre. Le format phare ce sont les rencontres tous les 15 jours, entre midi et 14 heures, dans un lieu convivial (hôtel, restaurant, golf) où chez les adhérents pour des visites de leur entreprise avec un traiteur sur place. Il y a aussi des conférences à thème mensuelles lors de matinales petit-déjeuner (8h30 à 10h30) ou lors de brunch (12h à 13h30). Des rendez-vous ponctués par un tour de salle poursuivi ensuite par des échanges autour d’un buffet.
« Les matinales, c’est un format particulièrement demandé par artisans les artisans qui interviennent sur des chantiers. Cela leur évite de couper la journée », précise Jérémy Piallat.
Enfin, il y a des rencontres interclub régionaux ou départementaux à un rythme trimestriel. Au programme de ces événements : grand cocktail, rapide prise de parole et mise en avant des animateurs. « Cela permet de travailler à l’interconnexion des clubs puisque là, tous les membres de tous les clubs sont invités », poursuit le créateur du réseau.
En tout, la trentaine de club de Quartier d’Affaires proposent plus de 800 rencontres annuelles à ses adhérents.

S’extraire du quotidien et soutenir son territoire
« Nous voulons une grande mixité au sein de nos clubs avec des TPE et PME mais aussi de plus grandes entreprises, insiste Jérémy Piallat. Nous avons beaucoup d’entreprises d’artisanat de 7-8 salariés, des sociétés de services aussi et 25% de nos adhérents comptent plus de 20 collaborateurs. Nous avons aussi des entreprises de 150 salariés. Bien sûr, nous n’avons pas le PDG à chaque réunion. En revanche, ils se servent de nous pour trouver des fournisseurs ou dénicher le bon artisan afin d’intervenir dans leurs locaux. Ce sont des gens qui viennent parce qu’ils ont la volonté de s’inscrire dans le territoire et qu’ils veulent faire travailler les boîtes du coin. C’est ce qu’ils viennent chercher dans Quartier d’Affaires.

Une soirée grand format aux Fines Roches à Châteauneuf-du-Pape. Crédit : Quartier d’Affaires/DR

« Adhérer à un réseau de chef d’entreprise c’est un acte de bonne gestion. »

Jérémy Piallat, président fondateur de Quartier d’Affaires

« Mais en tant que chef d’entreprise, ceux-là ont aussi compris qu’il fallait avoir du recul sur les choses, poursuit Jérémy Piallat. Qu’aller à un déjeuner une fois tous les 15 jours, cela permettait de sortir la tête du guidon, de s’extraire du quotidien, de partager des expériences. Et c’est là que les idées émergent. C’est quand on échange avec les autres, notamment sur les problèmes que les autres ont pu déjà connaître, car nous n’avons pas les solutions à tout. Beaucoup de gens viennent pour cela, pour confronter les expériences dans la convivialité. C’est une tendance forte, surtout depuis l’isolement que les entrepreneurs ont pu vivre pendant la période Covid. Adhérer à un réseau de chef d’entreprise c’est donc un acte de bonne gestion. »

La force de l’interconnexion
Quartier d’Affaires ne se contente pas d’essaimer les clubs les uns après les autres. L’objectif est aussi de sortir les chefs d’entreprise de leur isolement.
« Notre stratégie, c’est que tous les clubs soient à 30 minutes les uns des autres, détaille Jérémy Piallat. Et quand on adhère à l’un de nos clubs on peut aussi aller visiter les autres clubs au moins une fois. Aujourd’hui, notre réseau c’est 30 clubs interconnectés, mais à terme nous ambitionnons d’en avoir plus d’une centaine, voire deux au moins par département sur l’ensemble de la France. »
« Qui va créer son réseau tout seul ?, interroge Loïc Merlin. Développer un réseau cela prend du temps et c’est compliqué, nous le savons tous. Donc, avoir la possibilité d’aller visiter les autres clubs, c’est assez rare dans l’offre des réseaux. Ici, c’est vraiment ce qui a fait la différence. »

Présentation lors d’une soirée au Castel à Villeneuve-lès-Avignon.

L’école des patrons
« Nous aimerions que Quartier d’Affaires cela soit aussi l’école des patrons, insiste Jérémy Piallat. Parce que les patrons de TPE, PME, ils n’ont pas tous fait HEC, des écoles de management ou une maîtrise de droit. Certain n’ont pas fait d’études du tout. Mais ce sont des excellents professionnels qui savent qu’ils ne savent pas tout et qu’ils peuvent apprendre des autres. Et apprendre des autres, c’est ce que nous faisons tout le temps en mettant en avant ce qui fait notre ADN c’est à dire créer de la bienveillance et ne pas avoir de contraintes pour faciliter les rapports entre les gens. »

« Notre force c’est que nous sommes des chefs d’entreprise comme l’ensemble de nos adhérents, complète Loïc Merlin. Nous sommes confrontés à la même réalité : la trésorerie, aller chercher des clients, l’Urssaf… Tout le quotidien d’un entrepreneur. Venir à Quartier d’Affaires, c’est avoir un moment où l’on sait que l’on va souffler un peu, que l’on va trouver des réponses à ses questions et, surtout que l’on n’aura pas de pression. Nous avons suffisamment d’obligation pour ne pas rajouter du stress aux gens. »
« Notre slogan cela pourrait être : venez avec plaisir, conclu Jérémy Pialat. Le plaisir c’est très important car nous avons déjà assez d’impératifs dans la vie personnelle et professionnelle. »

« Le réseau, c’est merveilleux. »

Au final, le fondateur de Quartier d’Affaires l’affirme : « Il faut faire partie d’un réseau. Le réseau, c’est merveilleux. Peu importe le réseau, c’est ce qui fait la différence entre un entrepreneur qui réussit et un pour qui cela est plus difficile. Je suis convaincu que la différence, c’est le réseau. Il y a le travail, évidemment. Il y a le bon sens, le sérieux, la constance, la persévérance, mais son réseau c’est essentiel. Allez où vous voulez, mais soyez curieux et ne restez pas seuls. »

Laurent Garcia

*Aix-en-Provence, Alpilles, Apt, Arles, Bagnols-sur-Cèze, Baronnies-Ventoux, Bourges, Carpentras, Grand Avignon, Lyon, Luberon, Manosque, Marseille-Centre, Marseille-Nord, Montélimar, Montpellier-Nord, Nice, Nîmes-Métropole, Orange, Paris, Pertuis, Rennes, Saint-Jean-De-Védas, Salon-de-Provence, Sisteron, Toulon, Toulouse, Uzès, Valence, Vedène et Villeneuve-Les Angles.


Réseau Quartier d’Affaires : un succès qui essaime de ville en ville

De Bollène et du Tricastin jusqu’aux Alpilles ainsi que du Pont du Gard jusqu’au Luberon en passant par Vaison-la-Romaine, le Grand Avignon, le Comtat Venaissin ou bien encore le Pays des Sorgues plus d’une quarantaine de réseaux économiques locaux ainsi qu’une vingtaine de partenaires* ont participé à la première édition de La Grande soirée des réseaux organisée par La Maison de la Com’ et l’Hostellerie du Château des Fines Roches.

L’événement, dont la jauge avait été limitée volontairement, a fait le plein en accueillant plus de 700 personnes. Un succès pour cette première inédite où les participants on pu ‘réseauter’ en découvrant le village des réseaux dans une ambiance particulièrement conviviale.

« Un catalyseur de liens. »

Armand Cointin & Denis Duchêne

« Nous avons imaginé cette soirée comme un catalyseur de liens : entre entrepreneur, artisans, commerçants, professions libérales et bien sur les réseaux qui constituent une vraie force vive dans la région », expliquent en chœur Denis Duchêne, patron de l’Hostellerie du château des fines roches, et Armand Cointin, co-fondateur de La Maison de la Com’ située aux Paluds-de-Noves Parce qu’un bon réseau, ce n’est pas qu’un carnet d’adresses : c’est une communauté qui se soutient, se recommande, se développe ensemble. »

*dont l’Echo du Mardi


Réseau Quartier d’Affaires : un succès qui essaime de ville en ville

Les Apéro Entrepreneurs du Pays d’Orange viennent de se réunir au Mercure hôtel de la cité princes pour fêter leur 8e anniversaire. Après le succès de leur rencontre de septembre dernier, ils étaient à nouveau près de 300 à participer à l’événement de cette structure fondée en février 2017.
« Les Apéro Entrepreneurs sont des soirées dédiées aux entrepreneurs du territoire et organisées tous les mois sur l’intercommunalité Pays d’Orange en Provence qui est l’interlocuteur de proximité du développement économique », explique le comité de bénévoles composé Marc-André Mercier, Stéphane Henry, Lise Dupont et Lise Martinez. Une dizaine d’autres bénévoles complète l’organisation en venant prêter main forte lors des différents événements.

Le théâtre antique et la 2e édition du salon de l’entreprise au programme
Pour cette soirée anniversaire, plusieurs annonces ont été faites concernant l’année à venir. Ainsi en 2025, il sera proposé 2 Matinales Entrepreneurs (un rendez-vous initié depuis 2023 dédié aux entrepreneurs qui veulent s’installer) et 11 Apéro Entrepreneurs du Pays d’Orange.
« Nous allons également organiser la seconde édition du Salon de l’Entreprise, annonce Marc-André Mercier. Il sera co-organisé par la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Vaucluse et le Réseau Initiative Terre de Vaucluse et se tiendra le 16 octobre à Orange. Il sera clôturé par un Apéro Entrepreneurs. » Lors de cette soirée du 8e anniversaire, une demi-douzaine de participants ont d’ailleurs fait part de leur décision de tenir un stand durant le salon.
Par ailleurs, si la date n’est pas encore fixée, un Apéro Entrepreneurs se déroulera au sein du cadre exceptionnel du théâtre antique d’Orange.

Des milliers d’entrepreneurs réunis
En 8 ans ce sont près d’une centaines d’évènements, Apéro et Matinales Entrepreneurs qui ont été organisés sur le Pays d’Orange en Provence.
« Au total, ce sont plusieurs milliers d’entrepreneurs qui sont venus sur ce territoire, souvent du Vaucluse mais aussi des départements limitrophes, pour découvrir les lieux, les gens, créer des souvenirs, des opportunités et participer à la dynamique de notre territoire, se félicite Marc-André Mercier. L’inscription à ces soirées est gratuite pour les participants, seules les consommations sont à régler au lieu qui accueille la soirée. Ces soirées permettent aux entrepreneurs de se rencontrer et d’échanger autour d’un moment convivial sur un socle de valeurs communes. »
Enfin, cet anniversaire a permis également de dévoiler un nouveau partenaire : Ventoux intérim qui rejoint ainsi MX création, le Crédit agricole Alpes-Provence et Toyota Orange.


Réseau Quartier d’Affaires : un succès qui essaime de ville en ville

Le jeudi 12 septembre, le Club des entrepreneurs Terre de Provence organise un rendez-vous économique sur le thème de la croissance et de la transmission des entreprises au Domaine de Valdition à Orgon. Des dirigeants vauclusiens et bucco-rhodaniens seront présents pour partager leurs expériences.

Le Club des entrepreneurs Terre de Provence se réunira le 12 septembre pour la seconde édition de ses rencontres économiques ‘Parcours d’entrepreneurs : Réussites et inspirations’. Après une première édition fructueuse sur le thème des valeurs du sport au profit de l’entreprise, qui a attiré plus de 150 entrepreneurs, cette année, le thème sera la croissance et la transmission des entreprises.

L’objectif de cet événement est de réunir des acteurs du territoire, des dirigeants, des élus, des institutionnels et des intervenants autour du monde économique. Ce rendez-vous, qui débutera à 15h, se veut une rencontre qui favorise les échanges fructueux, incite les collaborations et encourage le développement des entreprises de la région Terre de Provence, qui s’étend de Barbentane à Orgon, en passant par Rognonas, Châteaurenard, Noves, ou encore Mollégès.

Un invité sportif

Comme l’année dernière, le Club des entrepreneurs Terre de Provence va mettre le lien entre le sport et l’entreprise en lumière en accueillant Rémy Martin. L’ancien joueur de rugby professionnel, qui a marqué l’histoire du sport avec 23 sélections en équipe de France, a su se reconvertir après ses années sportives. Depuis 2016, il est directeur de centres commerciaux de proximité pour la zone Sud chez Carmila, il est entraîneur de l’équipe senior de rugby de Montélimar, mais aussi propriétaire de vignes à Vauvert dans le Gard.

De 15h30 à 16h30, Rémy Martin partagera son parcours, alliant sport et entreprise, et offrira une perspective inspirante sur la réussite collective. Il partagera aussi son expérience en matière de leadership, de cohésion d’équipe et de dépassement de soi lors de cette rencontre économique.

Une table ronde

En 2023, le Club des entrepreneurs Terre de Provence avait placé la barre haut avec des invités de renom : Philippe Lucas, qui a notamment coaché la championne olympique Laure Manaudou, et Olivier Nicolas, manager de l’équipe de France de natation. Cette année, le Club continue dans sa lancée en faisant intervenir quatre dirigeants d’entreprises.

Les quatre dirigeants d’entreprises animeront une table ronde de 16h30 à 18h30 au cours de laquelle ils partageront leurs expériences sur la croissance et la transmission.

Jeudi 12 septembre. À partir de 15h. 45€ (billetterie en ligne). Domaine de Valdition. 3900 Route d’Eygalières. Orgon.


Réseau Quartier d’Affaires : un succès qui essaime de ville en ville

Cap France est un réseau de villages de vacances et d’hôtels clubs indépendants en France. Le Moulin de César, situé à Vaison-La-Romaine, vient de rejoindre ce réseau.

La résidence vauclusienne constitue l’escapade idéale au pied du Mont Ventoux, à deux pas des vestiges romains de Vaison-la-Romaine, non loin de la Drôme provençale, mais aussi proche des autres trésors que compte le département de Vaucluse. Le Moulin de César dispose de 30 chambres de deux à quatre lits simples, un pavillon de six chambres de 2 à 4 lits avec sanitaires partagés, ainsi que de deux studios équipés et climatisés pour deux personnes. En plus de son emplacement privilégié, la résidence charme les visiteurs grâce à sa terrasse ombragée, sa piscine, son bar extérieur et toutes ses autres prestations.

En rejoignant le réseau Capfrance, le Moulin de César bénéficie d’une nouvelle visibilité et affirme ses valeurs communes avec le réseau qui sont axés autour de l’accueil et la disponibilité des équipes sur place, le confort des hébergements et la qualité de la restauration. Capfrance établit diverses formules pouvant correspondre au plus grand nombre de profils et promet des expériences uniques à chaque séjour. Le Moulin de César fait partie de la gamme ‘Avantage’ de Capfrance, qui allie confort des équipements et activités variées avec des journées rythmées par les séances sportives, les initiations ou encore les découvertes en tout genre.

« Partager des valeurs communes telles que la responsabilité citoyenne, environnementale et la découverte responsable de nos territoires est essentiel pour nous, explique Stéphane Roy, gestionnaire de la résidence de vacances. Notre établissement Le Moulin de César a rejoint Capfrance cette année et nous espérons notamment développer notre clientèle sportive. »


Réseau Quartier d’Affaires : un succès qui essaime de ville en ville

L’association commerçants, artisans et professionnels de la ville de Sorgues (CAP Sorgues) organise son premier Afterwork « On tisse le réseau ». La soirée aura lieu ce mercredi 13 septembre à partir de 19h30 au « Coucoo Grand Cépages », 2061 Chemin des Pompes (Sorgues).


Réseau Quartier d’Affaires : un succès qui essaime de ville en ville

Créée en janvier 2021, l’association Cap Sorgues, qui réunit les commerçants, les artisans et les professionnels de la ville de Sorgues, organise chaque trimestre un afterwork chez l’un de ses adhérents. Demain, rendez-vous à 19h au Garage Renault ‘Les sens automobiles’.

L’association Cap Sorgues organise son afterwork trimestriel demain, le mercredi 14 septembre au Garage Renault ‘Les sens automobiles’. Cette réunion, intitulée ‘On tisse le réseau’, est l’occasion idéale pour les acteurs économiques de la ville, qu’ils soient adhérents ou non, de passer un moment convivial tout en rencontrant de nouvelles personnes afin d’échanger et de créer un réseau d’entrepreneurs.

Lors de cette soirée, l’association mettra à disposition des badges transparents pour que chacun puisse y glisser sa carte de visite afin de mettre des visages sur des noms et se recommander les uns les autres. Des spécialités locales seront servies aux invités.

Plus d’informations par téléphone au 04 90 39 71 65 ou par mail à l’adresse marianne.borel@sorgues-du-comtat.com

Mercredi 14 septembre. À partir de 19h. Garage Renault ‘Les sens automobiles’. 457 Chemin du Fournalet. Sorgues.

V.A.


Réseau Quartier d’Affaires : un succès qui essaime de ville en ville

Le réseau de cadres externalisés à temps partagé Bras droit des dirigeants, qui compte déjà plus d’une centaine d’agences en France, poursuit son rayonnement dans le Sud et ouvre une nouvelle agence régionale. Le réseau, qui était déjà implanté au cœur de la cité des papes, couvre désormais le périmètre Avignon-Nîmes-Arles.

Fondé en 2008 par Bruno Doron, le réseau Bras droit des dirigeants regroupe des cadres experts qui interviennent dans les entreprises à travers des contrats de prestation de service. « Être franchisé ‘Bras droit’, c’est devenir indépendant, mais pas tout seul », explique le fondateur du réseau. Aujourd’hui, ce dernier ne couvre que 25% du territoire français, ce pourquoi la franchise a décidé de s’étendre et vient d’ouvrir une nouvelle agence régionale qui gère le territoire Avignon-Nîmes-Arles, sous la direction de Bruno Doron, mais aussi de Charles Navarre et Renaud Hugounenq, respectivement directeur commercial externalisé et directeur général externalisé.

En 2015, le réseau est devenu multi-expertises et couvre aujourd’hui six domaines différents : la direction commerciale, la direction des ressources humaines, la direction générale, la direction financière, la direction de marketing digital, ainsi que la direction de stratégie et développement de franchise. De nouveaux domaines d’expertise devraient être développés dans le futur.

Les avantages d’avoir un bras droit

Le réseau Bras droit des dirigeants réalise généralement des missions au sein de très petites entreprises (TPE) qui comptent entre 5 et 10 salariés et qui n’ont, pour la plupart, pas de cadre, mais aussi pour les petites et moyennes entreprises (PME) qui, elles, comptabilisent entre 20 et 100 salariés. Le réseau commence également à travailler avec les entreprises de taille intermédiaire (ETI) qui comprennent entre 250 et 5000 salariés. Ces sociétés ont besoin des compétences de différents cadres mais n’ont pas forcément les moyens financiers pour en embaucher à temps plein.

Ainsi, le cadre externalisé à temps partagé se dessine comme la solution idéale. Son rôle est de comprendre les besoins de l’entreprise et de mettre en place ce qui est nécessaire afin d’y répondre efficacement. « Faire appel à trois cadres à temps partagé revient au même prix qu’un seul cadre engagé à temps plein », développe Bruno Doron. Ainsi, peu importe la taille de l’entreprise qui veut faire appel à ce genre de service externalisé et peu importe son secteur d’activité, la rémunération des cadres sera toujours la même pour ces sociétés.

Si un bras droit représente un avantage considérable pour une TPE, une PME ou encore une ETI, être franchisé présente également des atouts pour les cadres eux-mêmes. En plus d’être indépendants et d’intervenir dans 3 ou 4 entreprises chacun, les cadres externalisés ont moins de routine que lorsqu’ils étaient salariés d’une entreprise. « Je peux travailler dans une entreprise différente chaque jour de la semaine, aucune de mes journées ne se ressemble », explique Charles Navarre. La crise du Covid-19 a notamment été l’un des éléments déclencheurs de cette envie de casser la routine, et d’avoir une vie professionnelle plus variée au quotidien. « J’ai pu découvrir des secteurs d’activité que je n’avais jamais côtoyé auparavant », ajoute Renaud Hugounenq.

Un concept de plus en plus prisé

Si le concept du cadre externalisé était plutôt novateur lors de la création de Bras droit des dirigeants en 2008, c’est aujourd’hui un marché qui prend de plus en plus d’ampleur et qui se structure de mieux en mieux au fil des années.

« Aujourd’hui, d’après l’Association pour l’emploi des cadres, plus de 50% des cadres déclarent qu’ils aimeraient devenir indépendants. »

Bruno Doron, fondateur du réseau Bras droit des dirigeants

Les cadres créent donc leur entreprise et se tournent vers des réseaux comme le Bras droit des dirigeants, qui leur fournissent une marque à travers laquelle ils obtiennent une communication au niveau national, des supports pour leur expliquer comment devenir cadre à temps partagé mais aussi des outils pour réaliser leurs missions.

Aujourd’hui, un cadre franchisé Bras droit des dirigeants réalise des missions qui durent en moyenne 26 mois. Si la notion de confiance est très importante au sein de la relation entre le cadre externalisé et l’entreprise, celle de résultat l’est tout autant. Les cadres sont donc indépendants, mais ils font tout de même partie intégrante des sociétés dans lesquelles ils interviennent. Depuis la crise du Covid-19, le réseau a remarqué un véritable changement au niveau des entreprises, et une réelle envie de faire appel à ce genre de service. « De plus en plus, les sociétés signent un contrat avec nous pour deux voire trois cadres à temps partagé, et ce, dès la première mission », explique Bruno Doron.

Aujourd’hui, tous les secteurs d’activité font appel au réseau Bras droit des dirigeants : le BTP, le secteur du service, ou encore le médical. Intégrer un cadre externalisé n’est pas réservé aux entreprises provenant d’un seul secteur d’activité, bien au contraire, le réseau voit que cette tendance se développe dans de nombreux domaines. « Nous avons une approche qui n’est pas sectorisé », développe le fondateur du réseau.

L’importance de l’ancrage local

Aujourd’hui, le réseau Bras droit des dirigeants est implanté partout en France, et possède même quelques agences en Espagne. Le réseau a remarqué un besoin grandissant d’un support local en présentiel, ce pourquoi les différentes structures, dont les agences régionales, sont importantes. Les directeurs de ces dernières sont donc en mesure d’organiser des événements avec des organismes comme la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) où tous les franchisés ou les chefs d’entreprise d’un certain périmètre peuvent être présents pour échanger.

Ainsi, le réseau accorde une importance capitale à l’ancrage local, tout comme les entreprises qui vont privilégier les cadres qui connaissent déjà le territoire dans lequel ils exercent plutôt que de faire appel à ceux qui sont à l’autre bout de la France. L’ouverture de la nouvelle agence régionale Avignon-Nîmes-Arles s’inscrit dans cette démarche-là. Celle-ci va compter environ 20 cadres franchisés qui pourront apporter non seulement leur expertise professionnelle, mais aussi leurs connaissances du territoire. L’agence recherche donc des cadres expérimentés qui partage les valeurs du réseau Bras droit des dirigeants, et qui souhaitent être indépendants, mais pas seuls.


Réseau Quartier d’Affaires : un succès qui essaime de ville en ville

Afin de sensibiliser à l’utilisation d’une messagerie sécurisée, la Direction générale des Finances publiques rappelle qu’il existe des moyens simple et sans risques pour la contacter.

« La messagerie sécurisée est un service en ligne qui vous permet de contacter directement le service compétent de l’administration fiscale », explique la Direction générale des Finances publiques.

« Accessible 24 heures sur 24,7 jours sur 7, sur le site impots.gouv.fr depuis votre espace professionnel, la messagerie sécurisée vous permet de réaliser, en toute confidentialité, les démarches suivantes :
– déposer une demande auprès du service compétent de l’administration fiscale (poser une question générale ou transmettre toute information utile à la gestion de votre dossier, déposer une réclamation, signaler une difficulté…) et en suivre l’avancement ;
– recevoir un accusé de réception après le dépôt d’une demande ;
– visualiser l’historique de vos demandes ;
– être averti sur l’adresse électronique que vous avez renseignée lors de l’habilitation à ce service de tout nouveau message disponible. »

Un système garantissant votre sécurité juridique
« Les réponses qui vous sont apportées par l’administration, y sont ‘historisées’ et sécurisées, et lui sont opposables. Ce système garantit ainsi votre sécurité juridique. La messagerie sécurisée est simple d’utilisation : vous serez guidé dans la rédaction de vos messages grâce à une arborescence intuitive. Si vous ne disposez pas déjà de ce service en ligne, nous vous invitons à consulter dès-à-présent la fiche FOCUS SL2 ‘Demander une adhésion aux services en ligne (mode expert)’ sur le site impots.gouv.fr. »
« La messagerie sécurisée est de nature à simplifier au quotidien vos contacts avec l’administration fiscale », insiste la Direction générale des Finances publiques.

L.G.

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