19 mai 2024 |

Ecrit par le 19 mai 2024

Ouverture d’un 2e restaurant Subway à Orange

L’enseigne américaine de restauration rapide Subway vient d’ouvrir son 2e restaurant dans le centre commercial Carrefour Le Coudoulet à Orange.
Le nouvel établissement, d’une capacité de 54 places assises dans une salle d’une superficie de 140m2 disposant d’un accès Wi-Fi gratuit, est géré par le multi-franchisé Thierry Truchet.
« Après les restaurants de Bollène, ouvert en 2012, et de Pierrelatte, ouvert en 2013, je suis très heureux de me lancer dans cette nouvelle aventure et de développer un restaurant Subway à Orange, explique-t-il. J’espère en faire un lieu incontournable de partage et de convivialité pour les Orangeois. »
Cette ouverture permet la création de 6 postes (1 manager, 1 assistant manager et 4 ‘sandwich artists’).

Mise en avant de la fraîcheur
Le fast-food de la cité de princes reprend le nouveau concept `Fresh Forward’ (le frais mis en avant) de l’enseigne : fraîcheur, lumière et convivialité sont priorisés. Le décor a été pensé pour mettre en valeur les ingrédients avec beaucoup de transparence et de mise en scène au niveau des équipements et matériaux pour que le produit et sa fraîcheur soient au cœur de l’expérience Subway.

L’ouverture du nouveau Subway d’Orange a permis la création de 6 postes (1 manager, 1 assistant manager et 4 ‘sandwich artists’).

L’offre du restaurant tient également compte des aspirations alimentaires des consommateurs en termes de régimes alimentaires et des envies du moment. Il y a 3 recettes végétariennes/végétaliennes et plus de 3 millions de combinaisons possibles parmi 30 ingrédients frais et gourmand (dont des produits premium certifiés AOP) à déguster sur place, à emporter et en livraison à domicile via les partenaires de l’enseigne. Subway a adopté le Nutri-Score et 95% du cœur de la gamme est notée A et B.

7 Subway en Vaucluse
A Orange, Subway est aussi présent au centre commercial d’Orange les Vignes. Dans le Vaucluse, l’enseigne créé en 1965 dans le Connecticut par un étudiant américain de 17 ans est également implantée dans l’intra-muros d’Avignon, au centre commercial Cap Sud à Avignon, au centre commercial d’Auchan-Nord au Pontet, à Pertuis, Bollène ainsi que sur l’aire d’autoroute de l’A7 de Mornas.
Enfin, un autre restaurant est implanté dans le bassin de vie d’Avignon dans le centre commercial de Grand Angle, aux Angles.
Subway est présent en France depuis déjà 20 ans et compte 400 restaurants sur tout le territoire, principalement des franchisés indépendants.

                                                                                                  Nadège Salas

Subway. ZAC du Coudoulet. Rue du Royaume-Uni à Orange. Ouvert de 8h30 à 22h.. Du lundi au samedi. Fermeture les dimanches


Ouverture d’un 2e restaurant Subway à Orange

Le Département de Vaucluse a lancé en mars 2020 une vaste opération de restauration sur la partie du Palais des papes dont il est propriétaire. Celle-ci porte sur la restauration d’un ensemble de bâtiments : la tour de la Campane, l’aile des Familiers, la chapelle Benoît XII, incluant les façades en partie haute également sur le cloître de Benoît XII.

La première tranche de cet exceptionnel chantier, très visible du public par son échafaudage monumental et sa bâche géante (1 700 m²), vient de s’achever. Elle laisse la place à une seconde et dernière phase de travaux qui sera consacrée à la chapelle Benoît XII. Le chantier se monte à 5,820M€ principalement financés par le Département de Vaucluse et subventionné par l’Etat -à hauteur de 600 000€- avec une participation de la Ville d’Avignon -à hauteur de 300 000€-.

Grâce à eux
L’équipe de maîtrise d’œuvre franco-italienne est portée par l’agence Pierre-Antoine Gatier, Architecte en Chef des Monuments Historiques. Les pierres ont même été nettoyées à la vapeur et par adjonction de solutions à base d’huiles essentielles, de traitements à la chaux et remplacement des pierres les plus endommagées a été réalisé par un matériau strictement identique. Le chantier a consisté, notamment, en la révision des dalles des pierres du toit de la tour Campane, le nettoyage des pierres, l’établissement d’un calepin, c’est-à-dire un relevé pierre à pierre ainsi que le diagnostic sanitaire de vitraux et de restaurations antérieures.

Plus de détails
La tranche 1, commencée en 2020 et achevée en décembre 2022, a consisté, de mars à juillet 2020, en la consolidation et en la mise en sécurité de l’ensemble des merlons de la chapelle Benoît XII et de l’aile des Familiers ;
Puis d’août 2021 à décembre 2022 en la restauration complète de la tour de la Campane
et d’une grande partie de l’aile des Familiers.
La tranche 2, qui a débuté ce mois, se terminera en 2024 et consistera en la restauration complète de la chapelle Benoît XII (façades, menuiseries, vitraux, grilles, toit) et des façades restantes du cloître des Familiers.
MH

DR


Ouverture d’un 2e restaurant Subway à Orange

Samedi 3 décembre, l’ensemble des 560m2 de toitures et l’imposante charpente du palais abbatial de l’abbaye Saint-André ont été inaugurés en présence d’une grande partie des donateurs. Le chantier aérien aura duré plus de huit mois et s’est achevé l’été dernier.

Les salons à voûtes plates et le hall d’entrée de l’abbaye sont désormais hors de danger et le palais abbatial, qui date de la fin du XVIIe, a retrouvé une étanchéité sans faille. Le projet de restauration, d’un montant de près de 500 000 €, a pu être mené grâce à un fort engagement des institutionnels : de la Drac Occitanie et de la région Occitanie ainsi que de la mairie de Villeneuve-lez-Avignon, mais aussi d’une large communauté d’une centaine de mécènes en grande partie de la région, à commencer par l’entreprise mécène Emile Garcin Propriétés en tant que « Grand Bâtisseur ». Une campagne de mécénat conduite en partenariat avec la Fondation du Patrimoine, auprès des amis de l’abbaye et des entreprises du territoire qui ont répondu présent. Selon un vaste programme de restaurations, l’abbaye souhaite poursuivre les chantiers afin de continuer d’accueillir ses visiteurs amateurs d’art, de jardin et de patrimoine.

Un budget de 499 000 euros
61% partenaires institutionnels (304,2 K€) 

  • 49% Drac Occitanie 248 K€
  • 10% Région Occitanie 48 K€
  • 2% Mairie de Villeneuve-lez-Avignon 8,2 K€

14% mécénat (71 K€)

  • 6,5% campagne de mécénat particuliers/TPE Fondation du Patrimoine 34 K€
  • 4,5% Emile Garcin Propriétés 22 K€
  • 3% Fondation du Patrimoine 15 K€ (don direct de l’organisme)

25% abbaye Saint André (123,8 K€)

111 donateurs particuliers et TPE

  • 1 « Grand Bienfaiteur »
  • 12 « Bienfaiteurs »
  • 6 « Grands mécènes »
  • 22 « Mécènes »
  • 39 « Compagnons »
  • 21 « Membres »
  • 10 Dons inférieurs à 50 €
  • Montant collecté : 34 235 €
  • Don moyen : 308 €
  • Une majorité de donateurs gardois

Mécénat Emile Garcin Propriétés, un partenariat privilégié depuis 2018
Première entreprise mécène mobilisée, Emile Garcin Propriétés conclut cette campagne, en tant que « Grand-Bâtisseur ». L’entreprise familiale renouvelle sa participation à une campagne dédiée à l’abbaye Saint-André et affirme son engagement en signant un partenariat de 22 000 euros. « Un partenariat dans la durée qui fait de cette entreprise un précieux ambassadeur pour l’abbaye Saint-André et tisse des liens de confiance avec une famille très engagée dans le patrimoine régional » explique Marie Viennet, gestionnaire de l’abbaye.

Abbaye Saint-André – rue Montée du Fort – Villeneuve-lez-Avignon.

J.R.


Ouverture d’un 2e restaurant Subway à Orange

D’ici 2023, les ‘Halles de la Gare’ devraient ouvrir leurs portes à côté de la Gare numérique de Carpentras. Dédié à l’alimentaire, ce projet privé porté par la société carpentrassienne ImmoGarance, et soutenu par la Cove, cherche des candidats pour occuper les différents corners de ce futur lieu.

420m². C’est la superficie de ces futures halles qui abriteront plusieurs corners représentants différents secteurs alimentaires tels que : boulangerie, pâtisserie, snacking, boucherie, charcuterie, traiteur, produits de la mer, primeur, fromagerie, crèmerie, vins et spiritueux, café, brasserie, ainsi qu’un stand éphémère pour les événements. Un nouveau bâtiment va donc être construit et sera annexé à l’ancienne halle afin d’obtenir cet espace.

La future répartition des différents corners. ©DR

Au-dessus de ces halles gourmandes se tiendra un restaurant de 200m² qui aura une capacité maximale de 100 couverts par service. Cette activité de restauration a été imaginée dans le but de profiter à la Gare numérique, dont le bâtiment sera collé à celui des halles, et donc du restaurant. Ce dernier permettra de faciliter l’échange et d’ajouter de la convivialité entre les acteurs du tiers-lieu de la Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin (Cove).

Un lieu unique

Des espaces de convivialité seront délimités pour permettre les déjeuners sur le pouce ou les déjeuners plus organisés tels que les brunch ou encore les rencontres professionnelles. Tout a déjà été imaginé, de l’aspect extérieur du bâtiment et son agencement à l’intérieur, jusqu’à sa décoration et son ambiance. Le bâtiment mêlera ancien et moderne, avec la charpente en bois de l’ancienne halle qui sera conservée, à laquelle s’ajoutera le nouveau bâtiment moderne avec ses ossatures métalliques, ses grands murs rideaux et ses verrières.

Si la décoration et l’ambiance seront étudiées dans l’optique de faire de ces halles un lieu unique à Carpentras, les différents corners pourront être adaptés aux besoins et envies de leur exploitant, tout en restant en concordance avec le reste de l’espace. Les Halles de la Gare s’adapteront également aux envies des consommateurs. Elles proposeront donc des produits locaux, de qualité, et de saison, telle est le mode de consommation le plus privilégié depuis la pandémie de Covid-19.

Maquette digitale de la devanture des Halles de la Gare. ©DR

Une position stratégique

Les Halles de la Gare seront donc situées juste à côté de la Gare Numérique. Un choix stratégique afin de créer une synergie entre les deux entités. Selon la Provence Créative, il est « impératif de proposer une offre de restauration attenante à la Gare numérique pour développer les échanges qui y sont créés. » De plus, le tiers-lieu de la Cove apportera un volume de clientèle assez important aux halles. Les deux lieux tireront donc profit de l’un et l’autre.

De plus, les halles seront situées près du centre-ville de Carpentras, et donc des transports en commun, mais également près de la véloroute Via Venaissia. Sa belle structure imposante pourra donc attirer les passants. Une convention de mise à disposition de places de parking à l’avant du bâtiment pour les visiteurs et le personnel sera signée pour une durée initiale de 15 ans reconductible. Une dizaine de places vont être aménagées, en plus de celles du parking minute, et les visiteurs pourront également se garer au grand parking de la nouvelle gare SNCF qui se situe à proximité.

Appel aux candidatures

Afin de remplir les Halles de la Gare, celles-ci lancent un appel aux candidatures. Vous travaillez dans le secteur de l’alimentaire et cherchez à vous installer dans un lieu qui a vocation à être attrayant, dynamique, et dans l’ère du temps ? Cette occasion est faite pour vous.

Pour tenter votre chance d’avoir une place au sein de ce futur lieu, envoyez votre candidature en expliquant votre projet et pourquoi vous seriez le meilleur choix par mail à l’adresse hallesdelagare84@gmail.com

Plus d’informations sur le projet par téléphone au 04 32 85 36 08 ou sur la fiche de présentation du projet.


Ouverture d’un 2e restaurant Subway à Orange

Après avoir ouvert une brasserie au Pontet en 2019, c’est à Orange que l’enseigne Au Bureau, inspirée des pubs londoniens depuis 1989, vient poser ses valises.

Un décor londonien vient d’emménager au cœur de la zone commerciale du Coudoulet à Orange. C’est là que la franchise Au Bureau a décidé d’ouvrir un nouvel établissement aux allures de pub anglais. C’est la seconde fois qu’elle s’installe en Vaucluse. En effet, l’enseigne était déjà présente dans la zone commerciale du Pontet depuis 2019. L’ouverture de ce second pub permet donc la stimulation de l’emploi local avec le recrutement de 20 salariés.

Sous la gérance de Géry Chaudy, ancien cadre dans des enseignes de restauration rapide et de boulangerie, Au Bureau Orange peut accueillir 140 personnes assises en intérieur et 82 en terrasse. Au programme : fish’n’chips, burgers, soirées thématiques, événements sportifs et concerts.

Au Bureau Orange. Rue Allemagne

Horaires d’ouverture : du lundi au jeudi de 11h45 à 23h ; le vendredi et samedi de 11h45 à 00h ; le dimanche de 12h à 23h.

V.A.


Ouverture d’un 2e restaurant Subway à Orange

Alors que la dernière étude Viavoice pour Worklife* montrait qu’une majorité des restaurateurs (60%) souhaitait une prolongation du plafond journalier des titres-restaurant de 38€, Bercy vient d’annoncer aujourd’hui la prolongation de cette mesure jusqu’au 30 juin 2022. Une mesure bienvenue, mais qui devra être complétée par une régulation des commissions des titres restaurant si le gouvernement souhaite vraiment soutenir le secteur, selon le nouvel entrant Worklife.

Le paradoxe d’une mesure censée soutenir la profession
Le 10 juin 2020, le gouvernement rehaussait le plafond d’utilisation journalier des titres-restaurants de 19€ à 38€ pour soutenir les restaurateurs. Un peu moins de deux ans plus tard, les retours de la profession sont mitigés : 53% des restaurateurs disent qu’il s’agit d’une bonne mesure, 22% d’une mesure insuffisante et 25% d’une mauvaise mesure. Surtout, ils sont près de 40% à ne pas avoir voulu sa pérennisation. L’enquête Viavoice pour Worklife sur un échantillon de 1053 restaurateurs donne des éléments de réponse à cet accueil mitigé.
En réalité, ce n’est pas la mesure du gouvernement qui est remise en cause, mais bien le système actuel de commissionnement pratiqué par les principaux émetteurs de titres-restaurant : la quasi-totalité des professionnels interrogés (97%) les considère trop élevées. Ainsi, 78% des restaurateurs qui jugent la mesure inadaptée expliquent cela par le manque de rentabilité lié à ce mode de paiement et 70% considèrent que le dispositif bénéficie aux émetteurs de titres-restaurant.

Les restaurateurs sévères sur les émetteurs de titres-restaurant
Alors que plus de 4,5 millions de Français utilisent des titres-restaurants chaque jour, la plupart d’entre eux ignorent le fait que cet avantage n’est pas sans conséquence négative pour les restaurateurs. En effet, les commissions prélevées à chaque transaction par les principaux émetteurs, jusqu’à 10 fois
supérieures à celles d’une carte bancaire, sont jugées “abusives”. Malgré cela, 86% des restaurateurs affiliés à la Commission Nationale des Titres-Restaurant (CNTR) acceptent l’ensemble des titres-restaurant présents sur le marché. L’affiliation aux titres-restaurant est perçue comme une
nécessité contrainte pour fidéliser la clientèle (48% des répondants).

Les critiques des restaurateurs envers les émetteurs de titres se déploient sur trois niveaux :

● Les commissions prélevées par les émetteurs sont perçues comme trop élevées pour la quasi-totalité d’entre eux.
● Un manque de transparence de la part des émetteurs pour 61 % des restaurateurs interrogés.
● Les paiements aux moyens de titres-restaurant ne sont pas rentables pour plus des trois-quarts des interrogés.“Désolé, on ne les prend plus”

Face aux taux élevés des commissions, de plus en plus de restaurateurs refusent d’accepter les titres-restaurant. C’est la principale raison pour laquelle certains établissements, pourtant affiliés à la CNTR, n’acceptent pas ce moyen de paiement (plus des trois-quarts des répondants qui n’acceptent pas
les titres-restaurants citent cette raison). Et ce chiffre risque encore d’augmenter : “Nous ne les acceptons plus car les commissions sont beaucoup trop élevées, c’est du vol”, “Les commissions sont folles ! J’ai l’impression de me faire voler !”, “Commissions abusives pour notre structure”.
L’étude révèle par conséquent que les émetteurs sont d’abord choisis sur la base de critères matériels (montant des commissions prélevées – 67%, délais de remboursement – 47%). Ainsi, l’accueil à un nouveau modèle de titres-restaurant sans commissions est très favorable : 77 % des restaurateurs interrogés sont d’accord de n’accepter que des titres-restaurant sans commission.

*Le premier et seul à ce jour émetteur de titres-restaurant sans commissions pour le restaurateur, seuls les frais bancaires classiques comme pour toute carte bancaire d’entreprise sont à la charge des professionnels.


Ouverture d’un 2e restaurant Subway à Orange

A l’occasion de la dernière Saint-Valentin, les couples de Vauclusiens ont dépensé 3 fois plus que leurs voisins Gardois pour une soirée en tête-à-tête au restaurant.

Hier, selon Sunday, solution de paiement par QR code lancée au printemps dernier, les Vauclusiens ont dépensé en moyenne 87,84€ pour des tables de 2 personnes lors de la Saint-Valentin. C’est bien au-dessus de leurs voisins Gardois qui, avec 28,97€, ont consacré un budget trois fois moindre lors de ces tête-à-tête en amoureux. Des convives qui ont respectivement passé 1h22 et 1h18 à table durant cette soirée.
En France, c’est à Marseille, que l’on trouve les additions moyennes les plus élevées (93€) mais c’est à Paris que l’on retrouve le record pour une addition (910€). Pour les départements, c’est dans les Alpes-Maritimes que le prix moyen d’un dîner pour 2 était le plus élevé : 148€ dépensés, là où en Picardie il s’élevait à 18€.

Les serveurs à la fête
Sur les près de 6 000 additions étudiées* par Sunday lors de cette Saint-Valentin il apparaît que le temps passé à table était un peu plus court que d’habitude. Les couples en ont profité pour échanger des ‘mots doux’ pendant 95 minutes en moyenne, contre 108 minutes habituellement.
« On a aussi voulu se la jouer romantique puisque seuls 18% ont partagé la note contre un quart habituellement, explique Sunday. Même si c’est avec la carte du compte commun, c’est le geste qui compte. »
Par ailleurs, cette fête des amoureux a aussi fait la joie des serveurs qui se sont vu distribuer plus de pourboires que d’habitude, avec +20% de pourboires laissés en moyenne. Et c’est dans le Loir-et-Cher que les couples étaient les plus généreux en pourboires : 2,20€ en moyenne par table.

Méthodologie : sunday a étudié 5 995 additions payées le soir du 14 février 2022 en France.


Ouverture d’un 2e restaurant Subway à Orange

L’Umih84 (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie de Vaucluse) propose deux formations diplômantes de serveur à Avignon et l’Isle-sur-la-Sorgue. Elles débutent fin février.

«En France, avant la pandémie, la restauration recherchait 100 000 personnels, aujourd’hui ils 200 000, constate Patrice Mounier, président de l’Umih84. En Vaucluse ? Impossible d’avancer d’un chiffre précis cependant la demande est très forte. Du coup, la période estivale s’avère très préoccupante.»

Pandémie, ça continue
«Actuellement on ressent tous les effets de la pandémie avec beaucoup de personnes touchées par le Omicron et on ne trouve pas de remplaçants. En réponse à ces difficultés un GEIQ Avenir CHR (Groupement d’employeur pour l’insertion et la qualification du café de l’hôtellerie et la restauration) a été créé dans les Alpes-Maritimes, le Var et existe en Vaucluse qui va particulièrement travailler sur la branche restauration.»

DR

L’année dernière déjà
«L’année dernière, déjà, nous avions créé un stage de mise à niveau de serveurs. 12 demandeurs d’emploi l’avaient suivi et avaient obtenu un emploi au terme de la formation. Cette année, j’ai demandé aux adhérents leurs besoins, ils ont tous sollicité des emplois de serveurs.»

En savoir plus
«Deux formations diplômantes de serveurs (titre à finalité professionnelle de niveau 3) sont proposées : La première a lieu à Avignon et la seconde à l’Isle-sur-la-Sorgue. Les 24 futurs serveurs seront présentés aux entreprises partenaires, lors d’une sorte de ‘Job dating’ qui les embaucheront à la fin de la formation. A Avignon ce sont Le restaurant La Vieille fontaine de l’hôtel d’Europe, le Carré du palais, l’Auberge de Cassagne (au Pontet), La Maison de la Tour, la Fourchette-Maison Hiély, le restaurant Sevin ; à Châteauneuf-de-Gadagne : la Maison de Célou, le Bistrot de la Pastière. A l’Isle-sur-la-Sorgue : Le Vivier, Le Mas de Cure-Bourse, la Guinguette, et La Pointe noire à Fontaine-de-Vaucluse.»

La formation comme levier de recrutement
«Vous connaissez nos difficultés de recrutement, résume Patrice Mounier, c’est pourquoi avec nos partenaires : Pôle emploi, L’Umih le centre de formation, l’Akto (organisateur de formation) notre Opco (Opérateur de compétence) le financeur, l’Umih 84 a décidé d’organiser ces deux formations de serveur en restauration qui commenceront à la fin du mois de février pour permettre à ce que 24 demandeurs d’emploi soient embauchés courant mai.» Les contrats ? «Ce sera selon ce que proposera l’entreprise : des contrats à durée déterminée, indéterminée ou saisonniers.»

DR

Qui fait quoi ?
«Chaque partenaire a un rôle précis à jouer : Pôle Emploi doit sourcer 24 demandeurs d’emploi ; L’Umih Formation monte un programme de formation  de 400h (280h en centre et 120h en stage en entreprise) qui donnera un titre à finalité professionnelle de serveur. L’Akto en prévoit le financement tandis que l’Umih 84 s’est engagée à trouver les lieux de formations et les entreprises qui accueilleront les stagiaires.»

Dans le détail
«Ces deux stages sont une formation de préparation opérationnelle avant emploi. Les Pré-requis ? Être majeur et désireux de se former, des connaissances en anglais sont appréciées. Le stage s’étend sur 7 semaines avec des examens blancs et officiels étalés sur 35h et clôturé par un bilan. La pédagogie prévoit une alternance d’ateliers, du coaching, des jeux de rôles, des mises en situation et des sorties en extérieur.»

Evolution
Les opportunités d’évolution du métier de serveur ? Responsable de salle dans un restaurant, chef de rang puis maître d’hôtel dans un restaurant traditionnel. Les professionnels ont la  possibilité de travailler à l’étranger, d’acquérir et de maîtriser une nouvelle langue.

DR

Contenu du stage
Le stage commence par le nettoyage et la désinfection des espaces et plans de travail ; Les bonnes pratiques de l’hygiène alimentaire, Les protocoles Covid; Assurer la sécurité des personnes et des lieux ; Réaliser les préparations culinaires de base froides : amuses bouche, entrée, dessert, transformation des produits ; Gérer l’encaissement, l’enseignement est dispensé avec des supports vidéo. Il y aura de la théorie et des jeux de rôle avec un client fictif ; on évoquera les langues étrangères ; Comment accueillir un client et mener un échange simple ; La satisfaction client ; Les accords met-vins ; Les phrases usuelles de travail en anglais ; Il y aura des mise en situation pour effectuer un service en salle traditionnel, la prise de commande et sa restitution ; La gestion du stress et des émotions ; La gestion des stocks de marchandise, leur réception, vérification et contrôle ; La communication via le Web et les réseaux sociaux ; l’utilisation de Word, Office et de pack office. Le travail du curriculum vitae ; la Construction d’un mail et la Responsabilité environnementale en restauration.
Infos pratiques : contact@umih84.fr N’hésitez pas à candidater auprès de Patrice Mounier, président de l’Umih84 06 12 26 06 22.

DR

Interview
Où en sommes-nous ?
«Lorsqu’on se balade en ville, il n’est pas rare de ne voir que des moitiés de salles remplies. Ça n’est pas volontaire, c’est que le restaurateur n’a pas assez de serveurs pour exploiter la salle entière. Une pénurie qui se décèle aussi dans les horaires affichés 12h-15h, 19h-21h30, également par manque de personnel. Cet été, on ne pourra pas travailler avec une amplitude horaire aussi courte.»

Pendant le confinement
«Pendant le confinement, les gens se sont interrogés sur leur vie, prenant conscience de ce qu’ils faisaient et de ce qu’ils vivaient. Certains se sont vus vivre en famille. La moitié d’entre eux a peut-être choisi de changer de métier et débuté des formations puisqu’ils étaient en chômage partiel. Nous avons aussi besoin de mettre en valeur nos métiers. Par ailleurs nous avons travaillé et mis en place deux jours de repos par semaine, des congés même en saison, la mutuelle, des horaires, des jours fériés et remonté la grille de salaire.»

Coup de gueule
«J’aimerais que l’on mette à un coup d’arrêt à l’émission télévisuelle ‘Cauchemar en cuisine’. C’est insupportable parce que cette émission ne cible pas d’autres métiers ! On montre des gens qui ne connaissent pas le métier et qui font n’importe quoi. Tout ça pourquoi ? Parce qu’un chef s’est mis sur le créneau et fait son beurre là-dessus ! Les gens qui regardent l’émission pensent que tous les restos sont comme-çà. Cela nuit à l’image de la profession.»

Comment se porte la restauration ?
«Février est l’époque où beaucoup de commerces de bouche ferment. Les gens partent en congés scolaires. Pour le moment le tribunal de commerce nous dit qu’il n’y a pas énormément de demandes de règlements judiciaires, de liquidations. Les mouvements se feront en mars et avril, lors des premiers remboursements de PGE (Prêts garantis par l’Etat).»

Le Prêt garanti par l’Etat (PGE)
«Nous étions beaucoup à penser –y compris dans notre branche- que nous aurions un report de PGE- report qui ne se fera pas puisque la réglementation européenne nous l’interdit. Et puis si cela avait été possible, les entreprises ne l’auraient pas fait sous peine de souffrir d’une décote de leur notation auprès de leur banque et d’être ainsi ligotés dans leurs projets. Mais oui, certains ne seront pas en mesure de rembourser le PGE. Eh oui, le Tribunal de commerce et la DGFIP (Direction générale des Finances publiques) avec lesquels nous sommes très en contact disent que ‘ça va tomber’.»

La belle saison s’annonce
«A partir du 15 juin 2021 et jusqu’en octobre, nous avons fait une très belle saison. L’hiver s’annonçait très bien avec les repas d’entreprises ainsi que les vœux à venir mais le 14 décembre, -Entrée en vigueur de nouvelles mesures sanitaires confinement et couvre-feu- tout a été arrêté net. Aujourd’hui, les restaurateurs prévoient des aménagements avant les réouvertures et pour cela ont besoin d’une trésorerie qui leur fait défaut.»

Une branche traiteur au sein de l’Umih 84
«L’Umih 84 a créé une branche traiteur dès 2009 sous l’égide du président Franck Gomez et Christian Brunet. Leur intention ? Les traiteurs font partie des métiers de bouche et avaient eux aussi besoin d’être représentés, ainsi de CHRD -café, hôtellerie, restaurant et discothèque- nous avons ajouté le T comme traiteur.»

Une nouvelle représentation nationale, initiative de l’Umih84
«Depuis, chaque année, nous avons demandé à l’interprofession, au niveau national, de créer cette branche, ce qui a été fait l’été dernier et dont le vice-président est Christian Brunet. C’est lorsqu’en décembre dernier, tous les repas d’entreprise et de vœux ont été annulés que nous avons réalisé à quel point il était important que les traiteurs-événementiels soient représentés. Cette branche a été d’ailleurs très oubliée lors de la pandémie et a été ‘raccrochée’ aux aides il y a peu.»

DR

Ouverture d’un 2e restaurant Subway à Orange

Les travaux de restauration du palais des papes viennent d’avoir les honneurs du journal télévisé d’hier soir de TF1. Dans un reportage de 3 minutes diffusé dans sa rubrique ‘Grand format’, la première chaîne d’Europe a présenté ce chantier débuté au printemps 2020 par le Conseil départemental de Vaucluse. L’opération, d’un montant de 5,82M€, est mené en deux tranches. Elle comprend notamment la sécurisation des merlons de la chapelle Benoît XII (déjà réalisée) ainsi que la restauration de la tour de la Campane et celle de l’aile des Familiers.
Il restera, à partir de 2023, à mener la seconde étape de la restauration du palais des papes, celle consacrée à la chapelle pontificale Benoit XII. Autant d’opérations vitales pour redonner tout son lustre au plus grand palais gothique du monde, classé aux Monuments Historiques depuis 1840 ainsi qu’au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1995.

Cliquer sur l’image pour lancer le reportage de TF1.

https://www.echodumardi.com/tag/restauration/page/2/   1/1