18 août 2025 |

Ecrit par le 18 août 2025

Vaucluse, les traiteurs et les hôteliers font face à des annulations en série

«Mesdames, messieurs les maires réagissez et ne vous laissez pas influencer par la Covid 19, cette fin d’année doit être festive si tout le monde fait attention, elle le sera et nous aurons alors de bons souvenirs.»

Patrice Mounier, président de l’UMIH 84 (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie du Vaucluse) et son Conseil d’administration alertent les maires de Vaucluse. La raison ? La 5e vague du Covid 19 entame dès à présent l’activité de l’hôtellerie-restauration. Alors l’interprofessionnelle demande à ce que les gestes barrières et le port du masque restent la règle afin de maintenir le commerce. Et surtout que les mairies maintiennent leurs opérations de communication.

Maires, maintenez vos manifestations
«Plusieurs traiteurs nous ont appelés pour nous signaler des annulations de prestations en nombre. Parmi elles, on retrouve beaucoup de municipalités qui annulent leurs festivités de fin d’année. Pour le président de l’Umih, c’est une incompréhension totale parce que rien n’empêche une mairie de maintenir ses festivités.»

Le gouvernement y consent
«Le gouvernement nous permet de rester ouvert et de travailler dès l’instant où tout le monde respecte les arrêtés préfectoraux, le passe-sanitaire validé, les mesures sanitaires, les gestes barrières et le port du masque.»

Les gestes barrières sont maintenus
«Comme l’a confirmé le préfet de Vaucluse, Bertrand Gaume lors d’une récente visio-conférence fin novembre, nous pouvont réunir 50 à 100 personnes dans une salle pour déjeuner, diner, participer au Téléthon, à un loto dès l’instant où toutes les règles sont respectées, sachant que nous, professionnels, veilleront à ce qu’elles le soient.»

Des déclarations anxiogènes
«Il en est de même pour l’Hôtellerie Vauclusienne qui subit depuis les déclarations d’Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la santé, des annulations en cascade. Les manifestations municipales, les spectacles de fin d’année, les théâtres restent ouverts pour les fêtes de fin d’année et les clients annulent quand même. On peut mettre cela sur la peur du nouveau variant, mais c’est quand même un peu facile.»

On peut faire la fête avec des masques
«Pour nos discothécaires qui ont eu à souffrir de 15 mois de fermeture, ils resteront ouverts même s’il faut porter le masque lorsque l’on est debout et que l’on danse. Oui, on peut faire la fête avec un masque !» Conclut Patrice Mounier.
MH


Vaucluse, les traiteurs et les hôteliers font face à des annulations en série

Le Conseil départemental de Vaucluse a lancé en 2020 une vaste opération de restauration sur la partie du Palais des papes dont il est propriétaire. Le projet d’un montant de 5,8M€, principalement financé par le Conseil départemental de Vaucluse, est subventionné par l’État (Direction Régionale des Affaires Culturelles Provence-Alpes-Côte-d’Azur), avec une participation financière de la ville d’Avignon.

En deux temps

Cette vaste opération se déroule en deux tranches. La tranche 1 s’étale de 2020 à 2022. La phase A, de mai à juillet 2020 : consolidation et mise en sécurité de l’ensemble des merlons (façades Est, Sud, Nord) de la chapelle Benoît XII et du merlon Sud-Est de l’aile des Familiers (côté cloître). D’un point de vue technique, les merlons ont été recouverts d’un filet en maille inox, invisible depuis le sol, afin d’assurer la cohésion des pierres.

Phase B, d’août 2021 à décembre 2022 : restauration complète de la tour de la Campane ainsi que d’une grande partie de l’aile des Familiers. La tranche 2 s’étalera de 2023 à 2024. Ces derniers travaux auront pour but la restauration de la chapelle Benoit XII et des façades restantes sur le cloître de l’aile des Familiers.

Photo : Conseil départemental Vaucluse

La seconde phase a débuté en août

La seconde phase (B) des travaux de la tranche 1 débute dès ce mois d’août. Après les travaux d’urgence réalisés l’an dernier, la partie la plus ancienne du Palais des papes fait l’objet d’un vaste chantier de restauration appelé à durer un an et demi. Cette étape concerne la restauration complète de la tour de la Campane ainsi que d’une grande partie de l’aile des Familiers. Pour la tour de la Campane : mise en sécurité des mâchicoulis, restauration des menuiseries et des grilles en fer forgé, révision des couvertures ainsi que restauration des pierres de façade.

L’aile des Familiers : elle fera, elle aussi, l’objet d’une attention particulière avec la restauration des merlons des façades Est et Ouest et de pierres de façade. La toiture sera également remise en état. Cette seconde phase des travaux nécessite l’installation d’un important échafaudage monté sur la tour de la Campane depuis le 11 août et durant cinq semaines, puis sur les ailes des Familiers jusqu’au 15 octobre. La fin de ces travaux est prévue en décembre 2022. L’équipe de maîtrise d’œuvre est portée par l’agence Pierre-Antoine Gatier, Architecte en chef des Monuments historiques.

Conservation maximale

« Le parti pris de restauration est innovant pour le site, autant par la philosophie de restauration (conservation maximale de la pierre tout en redessinant la silhouette ancienne du palais) que par les techniques de nettoyage, notamment l’utilisation d’huiles essentielles de thym et de romarin sur toute la façade de la tour de
la Campane et de l’aile des Familiers. »

L.M


Vaucluse, les traiteurs et les hôteliers font face à des annulations en série

Big Fernand donne rendez-vous aux habitants d’Avignon et alentours pour l’ouverture de son premier restaurant dans la ville. Situé à deux pas de la place Pie et des halles, ce nouveau restaurant s’ajoute aux 57 déjà ouverts sur le territoire.

14 emplois créés

Baptiste Jan, gérant du restaurant, a fait le choix de s’intégrer dans le tissu local en faisant appel à des artisans de la région pour la conception de son restaurant. Par ailleurs, 14 emplois ont été créés pour gérer le restaurant ouvert tous les jours de la semaine. L’établissement compte 35 places en salle et 50 places en terrasse. L’engagement en faveur de l’économie régionale se retrouve dans l’assiette : les produits primeurs, les vins et le pain sont fournis par des producteurs locaux, partenaires du restaurant, un « gage de fraîcheur et de la qualité ». Les amoureux du terroir ne seront pas en reste puisque dès la rentrée, Baptise Jan proposera à la carte un hamburgé composé de produits typiques de la région.

“Avignonnais de cœur depuis 20 ans, c’est pour moi un immense plaisir d’ouvrir le premier restaurant Big Fernand dans le quartier animé de la place Pie. Toute l’équipe de Fernands a hâte de faire découvrir nos délicieux hamburgés cuisinés avec des produits frais et de qualité, dans une ambiance badine et conviviale. Sourires, humour et régalade garantis. Après cette année difficile nous en avons tous besoin !, explique Baptise Jan, franchisé Big Fernand d’Avignon.

57M€ de chiffre d’affaires

Big Fernand, fondé en 2011, c’est 57 restaurants, un chiffre d’affaires de 57M€ en 2019 et un développement dans 4 pays. Le groupe mise sur un concept anti-conformiste, des produits 100% français et du fait-maison. La marque se positionne ainsi sur le mieux manger avec son offre de hamburgés gourmets. Adresse : 51 rue du Vieux Sextier, 84000 Avignon. Horaires d’ouverture: du lundi au dimanche : 11h00 – 23h00. Disponible en livraison, clique-et-collecte et à emporter.

L.M.


Vaucluse, les traiteurs et les hôteliers font face à des annulations en série

Le chantier de la Cathédrale, monument le plus emblématique de Cavaillon, dont les parties les plus anciennes datent du XIIe siècle, se poursuit pour la deuxième année avec une attention portée sur la restauration du cloître. La révision complète de l’édifice est estimée à plus de 8M€.

L’ensemble cathédral est composé de plusieurs édifices juxtaposés. Il comprend l’ancienne cathédrale qui occupe le côté nord de l’îlot et communique au sud avec le cloître enserré dans ce qui reste des bâtiments conventuels. Au sud du cloître ne subsiste que l’élévation de l’ancien mur nord de l’église Saint-Pierre, aujourd’hui disparue. L’église Notre-Dame et Saint-Véran, ancienne cathédrale, a été classée, avec les bâtiments conventuels au titre des Monuments historiques en deux fois, d’abord la cathédrale sur la liste de 1840, puis le cloître sur celle de 1862.

Un projet scientifique

Tout au long des phases de nettoyage et de suppression des enduits anciens, une équipe d’archéologues a suivi, relevé et documenté ce monument afin de compléter les connaissances sur son histoire et l’évolution du bâti. La connaissance de l’édifice fait ainsi l’objet d’une étude scientifique et de relevés numériques soutenus financièrement par l’Etat (Direction régionale des affaires culturelles), la Région Sud et le Département de Vaucluse.

Où en sommes-nous ?

Avant la fin de l’année la mise en sécurité du bâtiment, la restauration et la mise en valeur de la façade occidentale et du retour sud : chapelle et église Saint-Pierre ; la façade orientale, la reprise du beffroi, la fonte de trois nouvelles cloches, la dépose et repose du retable maître-autel en bois doré, sa restauration ainsi que celle des intérieurs et des décors du chœur et de l’abside auront été opérés. Une découverte a été faite sur la façade orientale. Lors des travaux de purge des anciens enduits, une baie bouchée, à une date inconnue, a été redécouverte. Cette baie axiale toujours de style Roman apportait de la lumière au chœur.

Hypothèse de restitution des colonnes de la baie axiale du chevet

Fonte et démoulage des cloches

Dans le cadre de la restauration de l’église Notre-Dame et Saint-Véran, ancienne cathédrale de Cavaillon, dont les parties les plus anciennes remontent au XIIe siècle, la Ville a coulé en direct deux nouvelles cloches vendredi 18 juin dernier avec leur démoulage le jour suivant. L’une de 580 kg pour un diamètre de 992mn propose une note Sol3. La deuxième de 935mm pour 485kg une note Lab3. Cette année, le beffroi de la cathédrale retrouvera ses cinq cloches autrefois démontées puis fondues à la Révolution française.

Ce qui est programmé

Bientôt, entre 2021 et 2222, il sera question de la restauration de la nef et des chapelles ainsi que des couvertures et des murs gouttereaux. Egalement la grande baie au-dessus de la porte de la façade occidentale recevra un vitrail contemporain dessiné par l’architecte en charge du projet et dont la réalisation sera confiée à un maître-verrier.

Des traces de l’être suprême…

Lors des opérations de mise en valeur une inscription figurant au-dessus du portail d’entrée et datant de la Révolution française a été mise au jour et restituée : ‘Le peuple français reconnaît l’Être suprême et l’immortalité de l’âme.’ Le décret date du18 floréal an 2 (7 mai 1794) de la République Une et indivisible. Le culte de l’être suprême n’était pas une religion, comme le mentionne le Décret du 18 floréal an II, mais un ensemble de fêtes destinées à la demande du peuple, à lui faire prendre conscience qu’il est souverain dans son pays.

Ce culte a été imposé dans le climat d’insécurité qui était celui de la Terreur. Il marque une rupture avec la déchristianisation qui a accompagné la Révolution française et la tentative des Hébertistes d’imposer le culte de la raison. Robespierre, déiste, veut mettre fin à l’athéisme militant des révolutionnaires et unifier les Français autour d’un culte commun. Ce culte se voulait une expression des idéaux des Lumières : opposition à l’Église catholique, volonté de trouver une forme de vie apaisée entre protestants, volonté de faire maîtriser les religions par l’État.

Le groupe cathédral

Au XIe siècle, le groupe cathédral de Cavaillon comprenait deux lieux de culte, une église majeure dédiée à la Vierge et une seconde église, consacrée à saint-Pierre, qui a totalement disparue à l’exception du mur nord de la nef accolée au mur sud du cloître et donnant sur une aire de jeu d’une école maternelle. L’église majeure sera reconstruite en conservant une partie de l’ancienne façade ouest. L’édifice est dédié à la Vierge marie et à Saint-Véran, évêque de Cavaillon et patron des bergers.
M.H.


Vaucluse, les traiteurs et les hôteliers font face à des annulations en série

Une vaste opération de restauration du Palais des papes a débuté en 2020 et se poursuivra jusqu’en 2024. Le Département de Vaucluse est en charge de ce chantier d’envergure dans le cadre d’une convention avec la commune d’Avignon qui lui donne mandat de maîtrise d’ouvrage unique sur cette opération, le Palais des papes étant en effet propriété des deux collectivités.

Les travaux à venir

L’opération est financée par le Département de Vaucluse et subventionnée par la Direction régionale des affaires culturelles (Etat). La seconde phase démarrera après le festival d’Avignon, jusqu’à la fin de l’année 2022. Il s’agit de la restauration complète de la tour de la Campane, ainsi que d’une grande partie de l’aile des Familiers. Pour la Tour de la Campane, les travaux vont permettre la mise en sécurité des mâchicoulis, la restauration des menuiseries et des grilles en fer forgé ainsi que la révision des couvertures. Quant à l’aile des Familiers, elle fera, elle aussi, l’objet d’une attention particulière avec la restauration des merlons du côté Ouest et de pierres de façade. A cette occasion, le parti pris de restauration est innovant pour le site, autant par la philosophie de restauration (conservation maximale de la pierre tout en redessinant la silhouette ancienne du palais) que par les techniques de nettoyage, notamment l’utilisation d’huiles essentielles. Et tout comme pour la tour de la Campane, la toiture sera également remise en état.

Les travaux réalisés

Une première phase de travaux a été réalisée de mars à juillet 2020. Il s’agissait de la consolidation et mise en sécurité en urgence de l’ensemble des merlons (façades nord, sud, est) de la chapelle Benoît XII et du merlon sud-est de l’Aile des Familiers côté cloître. Du point de vue technique, il a été procédé à la réfection des joints entre les pierres afin de les solidariser, puis les merlons ont été recouverts d’un filet en maille inox, invisible depuis le sol, afin d’assurer la cohésion des pierres. Les travaux qui auront pour but la restauration de la chapelle pontificale Benoit XII, auront lieu en 2023 et 2024.

5,8M€ pour la restauration

Le projet nécessite une enveloppe globale de 5 820 000€ et a mobilisé plusieurs intervenants. Sept entreprises seront mobilisées lors de cette nouvelle étape, portée par le Département de Vaucluse en qualité de maître d’ouvrage.


Vaucluse, les traiteurs et les hôteliers font face à des annulations en série

L’Umih du Vaucluse tire la sonnette d’alarme. L’organisation professionnelle des cafés, hôtels et restaurants, alerte sur une pénurie de main d’oeuvre dans le secteur de la restauration en Vaucluse. Un facteur humain qui pourrait bien mettre en péril la reprise de l’activité dès le 19 mai prochain.

« Beaucoup d’employés de la restauration et de l’hôtellerie ont profité de la longue période d’inactivité pour entreprendre une reconversion professionnelle. Certains ont bénéficié du dispositif de chômage partiel et ont fini par mettre les voiles dès qu’ils ont été recontactés par les patrons », explique Patrice Mounier, président de l’Umih Vaucluse. Pour permettre au secteur d’activité de reprendre dans les meilleures conditions, le centre de formation de l’Umih lance une formation « service en salle, accueil et relation client ». Cette formation est portée conjointement par Pôle emploi, la mission locale d’Avignon, grâce au financement d’Akto et au soutien de la Dreets (Directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités).

Elle a pour but d’étudier la demande pour ensuite permettre aux entreprises de mettre en place des actions de recrutement. Cette formation durera 147 heures sur 22 jours et démarrera le 25 mai, avant la réouverture des restaurants. Elle se déroulera dans les locaux de l’Umih 84. Destinée à des demandeurs d’emploi expérimentés ou non dans le Vaucluse, elle sera suivie d’une courte période de stage en entreprise. Les demandeurs d’emploi intéressés doivent se faire connaître auprès de leur conseiller Pôle emploi.

Les entreprises intéressées pour prendre un stagiaire à l’issue de la formation, et l’embaucher ensuite doivent se faire connaitre auprès de l’Umih 84 (Tel : 04 90 16 08 00).

L.M


Vaucluse, les traiteurs et les hôteliers font face à des annulations en série

Endommagé le 2 mars dernier par un poids lourd, qui n’aurait jamais dû s’engager sur cette voie conformément à la signalétique mise en place, le pont Saint-Bénezet va faire l’objet de travaux de restauration pour une durée de 3 semaines. L’opération, d’un coup estimée à 132 000€, débutera à partir de lundi prochain. Auparavant, et dès demain, la signalisation sera mise en place afin de signaler ce chantier qui sera mené par l’entreprise avignonnaise Mariani, spécialisée dans les monuments historiques.

Intervention couplée pour limiter l’impact
Pour l’occasion, la commune de la cité des papes a souhaité profiter des travaux de remplacement d’une canalisation d’eau potable programmés par le Grand Avignon, du 12 au 30 avril, sur le tour Nord des Remparts. Cette intervention nécessite une réduction de 4 à 2 voies sur le secteur s’étendant de la porte de la Ligne (au niveau de la Cour des Doms) à la porte du Rocher (accès parking du Palais).
« Couplée au choix d’une intervention sur la période de confinement et des vacances scolaires imposées, la coordination des deux chantiers permettra de limiter considérablement l’impact des travaux sur la circulation », explique la Ville.

Déjà heurté en 2019
Ce n’est pas la première fois que le célèbre monument, où passe dessous plus de 800 véhicules par heure, est victime d’une telle collision. Déjà en 2019, l’ouvrage avait été fragilisé après l’impact d’un camion sur sa voute. Des dégâts également réparés par la société Mariani jusqu’à la prochaine fois… En effet, devant l’obstination des ABF (Architectes des bâtiments de France), il semblerait inenvisageable d’installer un portique de sécurité à proximité d’un patrimoine classé. Le réparer plutôt que le conserver…


Vaucluse, les traiteurs et les hôteliers font face à des annulations en série

Comme prévu, le restaurant KFC a bien ouvert ses portes aux Angles ce jeudi 1er avril pour proposer ses services de ventes à emporter et de drive.

Comme nous l’avions annoncé il y a quelques semaines, le restaurant KFC est désormais ouvert au public dans la zone commerciale Grand Angles. Si pour le moment le service en salle (88 places) n’est pas disponible conformément aux mesures sanitaires mises en place par le gouvernement, il sera tout de même possible de profiter de la vente à emporter et du drive dans le strict respect du protocole sanitaire.
Pour cette ouverture, KFC a créé 50 nouveaux emplois (équipiers polyvalents, managers), en partenariat avec les services locaux de Pôle emploi.
Ce nouveau restaurant franchisé est porté par Nirr Immobilier dirigé par le gardois Ivan Roty. Cet ancien directeur régional de KFC France, également passé chez Pizza Hut et Mc Donalds, est également à la tête de 3 établissements KFC à Nîmes, Alès et Arles ainsi que de l’Hippopotamus de Nîmes. «Nous sommes fiers de cette nouvelle implantation aux Angles. L’équipe a hâte de partager nos délicieuses recettes! », déclare le directeur du restaurant Romain Trubert.

Le 3e établissements du Gard, le 4e du bassin d’Avignon
Localement, KFC est déjà présent dans la zone de la Cristole à Mistral 7 Avignon et dans la zone d’Auchan-Nord à Sorgues. L’enseigne, notamment spécialisée dans les ‘buckets’ ou pilons de poulet frits, est aussi présente au sein de l’aire de l’autoroute A7 de Sorgues dans le sens Sud-Nord.
Au niveau national, il s’agit du 280e restaurant KFC, 3e dans le département du Gard et le 25e de la région Occitanie. L’enseigne ambitionne de disposer de 600 restaurants d’ici 2025.
KFC s’emploie à offrir un service de qualité à ses consommateurs. A ce titre, tous les poulets proviennent exclusivement de France et d’Europe. Au quotidien, ce sont 330 éleveurs français qui travaillent avec l’enseigne.

Les critères d’approvisionnement
« KFC est attaché à offrir un service exemplaire et la meilleure qualité à ses consommateurs, explique l’enseigne de restauration rapide. A ce titre, tous les poulets KFC proviennent exclusivement de France et d’Europe. Au quotidien, ce sont 330 éleveurs français qui travaillent avec KFC. »
Dans cette logique, KFC France s’est engagé également pour le respect du bien-être animal : son approvisionnement répond à des normes particulièrement exigeantes inscrites dans son Code déontologique et imposées à tous ses fournisseurs. Depuis 2004, KFC a mis en œuvre un programme de bien-être animal pour améliorer son approvisionnement. En mars 2021, KFC France a franchi une nouvelle étape dans son engagement en faveur du bien-être de ses poulets en rejoignant le ‘Better Chicken Commitment’ avec l’aide de l’association Compassion in World Farming (CIWF).


Vaucluse, les traiteurs et les hôteliers font face à des annulations en série

55 restaurants vauclusiens se sont manifestés afin de bénéficier de l’ouverture dérogatoire pour les salariés du BTP. Initié fin janvier par la CCI (Chambre de commerce et d’industrie) de Vaucluse, ce dispositif vise à permettre aux restaurateurs vauclusiens d’accueillir dans leur établissement les salariés itinérants d’entreprises du BTP pour la restauration du midi. Il est désormais opérationnel depuis le 23 février. Les entreprises intéressées sont invitées à se faire connaître auprès des services de la CCI.

Contrat d’engagement entre le restaurateur et l’entreprise
L’initiative a fait l’objet d’une convention-cadre entre la préfecture de Vaucluse, la CCI 84 et la délégation de Vaucluse de la Chambre de métiers et de l’artisanat de région Provence-Alpes-Côte d’Azur (CMAR Paca) permettant l’ouverture dérogatoire des restaurants pour l’accueil de salariés ou artisans du bâtiment et travaux publics en période hivernale.
Pour bénéficier de ce dispositif, l’entreprise ou l’artisan du BTP devra prendre attache auprès d’un restaurateur à proximité de son chantier. L’établissement de restauration et l’entreprise ou l’artisan du BTP signeront un contrat d’engagement qui devra être validé par les services de la préfecture de Vaucluse. Ce contrat définira la liste nominative des personnes pouvant être accueillies ainsi que le prix du repas.

Pas plus de 2 entreprises par établissement
Un restaurant pourra signer plusieurs contrats d’engagement avec des entreprises ou artisans du BTP, mais s’engage à ne recevoir que deux entreprises au maximum par jour au sein de son établissement pour limiter le brassage. Une liste des restaurants souhaitant participer au dispositif est centralisée auprès de la CCI, de la CMAR, de la Capeb, de la FBTP et de l’Umih, qui la diffuseront à l’ensemble des professionnels du secteur BTP.
Par ailleurs, le restaurant s’engage à accueillir au sein de son établissement uniquement les salariés ou artisans listés sur le contrat d’engagement et à respecter un protocole sanitaire particulièrement exigeant, défini à l’article 40 du décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire.

Détail de l’opération sur le site de la CCI

https://www.echodumardi.com/tag/restauration/page/6/   1/1