25 avril 2024 |

Ecrit par le 25 avril 2024

Robion : les confitures de La Roumanière récompensées au Concours général agricole 2024

Le Concours général agricole 2024 a eu lieu du 24 février au 3 mars à Paris, lors du Salon international de l’Agriculture. L’ESAT (Établissement et service d’aide par le travail) La Roumanière, situé à Robion, a remporté quatre médailles à ce concours qui récompense la richesse et la diversité des goûts depuis 150 ans.

Le Concours général agricole se divise en cinq catégories : les animaux, les vins, les produits, les jeunes professionnels, et les pratiques agroécologiques. Le concours dédié aux produits récompense l’excellence des produits du terroir dans de nombreuses catégories telles que les confitures, les produits laitiers, les huîtres, les apéritifs, la charcuterie, la bière ou encore le foie gras.

Sur les cinq produits présentés par La Roumanière au concours, quatre ont reçu une médaille. La médaille d’argent a été attribuée à trois incontournables de l’établissement : la confiture de Fraises de Carpentras, la confiture d’Abricots de Provence et la confiture de Cerises noires. La confiture de Prunes Lovita, la dernière création de La Roumanière, quant à elle, a obtenu la médaille de bronze.  » Ces reconnaissances témoignent du dévouement et du talent exceptionnel de toute l’équipe de La Roumanière, affirme Marine Villa, chargée de communication de La Roumanière. Cette réussite est le résultat d’un travail acharné et d’une passion commune. Nos travailleurs en situation de handicap sont ravis, et les encadrants ainsi que l’ensemble du personnel en sont fiers. »


Robion : les confitures de La Roumanière récompensées au Concours général agricole 2024

Cette aventure humaine, gourmande et artisanale a débuté en 1981, sur les hauteurs du village, à côté de l’église. Avec un CAT (Centre d’aide par le travail) qui employait des personnes en situation de handicap mental qui triaient et épluchaient les fruits avant de les mettre en pots et de fixer un petit bout de tissu à carreaux sur le couvercle.

Depuis, ce site rénové est devenu un foyer pour le personnel, et un local flambant-neuf et fonctionnel a vu le jour plus bas, au bord de la route entre Les Taillades et Robion. Environ un hectare avec jardin, restaurant, ateliers de production, d’ensachage, d’étiquetage, de stockage, et d’expédition. Mais aussi une boutique, une vraie épicerie fine, avec espaces lumineux d’exposition, de dégustation et de vente de ces produits locaux 100% naturels avec 70% de fruits, sans conservateurs ni colorants.

S’offrent aux visiteurs des confitures d’abricots de Provence, de clémentines corses, de fraises de Carpentras, de pêches de vignes, de pétales de roses, de melons de Cavaillon, de cerises noires de Venasque, de myrtilles, de framboises, de mûres, d’églantines, de tomates vertes, ou encore de poires à la vanille de Reine-Claude. Mais aussi des miels de lavande, de thym, de romarin, d’acacia, de châtaigniers, de garrigue, de citronniers ou d’orangers. Et des biscuits secs, navettes, cookies, croquants aux amandes, des langues de chat au rhum et une création-maison, des ‘roumazettes’ à la fleur d’oranger.

L’inclusion par le travail

« Ce service inclusif et solidaire d’accompagnement par le travail compte 83 places pour autant de personnes en situation de handicap, explique Catherine Gentilhomme, la directrice générale de La Roumanière. Elles sont toutes accueillies et encadrées, avec un statut hybride entre santé et sécurité au travail. » Bernard Ratto en est le président depuis juin 2017. « Ce n’est pas rien de s’occuper de 83 personnes, plus le personnel encadrant et administratif, affirme-t-il. Je suis le papa de Julien, 43 ans, qui a un déficit mental mais qui est très compétent comme pâtissier-biscuitier. Cette qualification lui confère une dignité, une autonomie financière. Avec Catherine, nous formons un binôme de gouvernance fondamental avec un contrat d’objectifs pour jouer notre rôle d’inclusion dans la société. »

« L’une des fiertés de la Roumanière, ce sont nos prestataires : nos produits souvent bio, sont labellisés dans Le Petit Fûté et le Guide du Routard, précise Véronique Kegelart, la trésorière. Air-France propose à bord de tous ses avions en Classe Affaires et Business nos petits pots de miel et de confiture, mais aussi les hôtels du Groupe Accor 4 et 5 étoiles en France et en Europe comme ceux du Groupe Barrière. En Vaucluse, on trouve aussi nos biscuits et confitures chez Les Délices du Luberon ou à La Coquillade, cela représente 200 000 unités. »

De gauche à droite : Véronique Kegelart, Bernard Ratto, et Catherine Gentilhomme.

Dans l’atelier de production, Gérard Vierenklee gère. D’un côté, on épluche et taille les poires Williams, de l’autre une marmite inox à vapeur qui contient 40 kg de fruits et de sucre peut grimper jusqu’à 95% avant la stérilisation et l’étiquetage des pots, majoritairement de 335 grammes. C’est lui qui s’occupe, avec la direction évidemment de la Fête de la confiture, prévue le samedi 9 décembre dans le domaine de Robion. Une occasion d’aller faire des emplettes pour vos cadeaux de Noël. Toute la Roumanière sera là pour proposer des crêpes au petit épeautre, des gaufres, du pain d’épice, des chocolats, des biscuits, du café, du thé, des stands d’exposition et de dégustation. Un vrai salon gourmand pour mieux faire connaissance avec ces produits artisanaux, locaux, de qualité et tous ceux qui les fabriquent dans ce site d’inclusion par le travail.

La Roumanière. 199 Route de Cavaillon. Robion. 04 90 76 41 47. boutique@laroumanière.com 


Robion : les confitures de La Roumanière récompensées au Concours général agricole 2024

L’association d’entrepreneurs Luberon & Sorgues Entreprendre (LSE) organise une nouvelle édition de l’événement Parlons Ca$h le mardi 6 juin à chez CERIP à Robion sur le thème ‘Nouveaux rapports au travail : je t’aime moi non plus ?! Quelles (r)évolutions pour l’entreprise ?’.

Télétravail, co-working, mode projet… l’entreprise et son fonctionnement sont en pleine mutation de nos jours. C’est le thème que va aborder la 7ᵉ édition de Parlons Ca$h le mardi 6 juin. L’événement évoquera la pandémie et l’expérience des confinements qui ont précipité
des évolutions émergentes et favorisé de nouvelles pratiques de management ainsi qu’une autre façon de concilier vie de famille et vie professionnelle, mais aussi les nouvelles aspirations portées par la jeune génération.

Cette année, près de 300 chefs d’entreprises, entrepreneurs locaux et jeunes arrivant sur le marché du travail bénéficieront d’informations essentielles pour leur activité et leur projet professionnel, de manière efficiente, pragmatique et sympathique. Lydia Biskri, animatrice du podcast ‘Ambition’ depuis juillet 2021, animera la soirée. Elle mènera également une équipe de jeunes lycéens qui animera les débats et les tables rondes de la soirée.

Le programme

L’événement sera marqué par deux temps forts. Dans un premier temps, il y aura des tables rondes au cours desquelles étudiants, alternants, recruteurs, et dirigeants partageront leur expérience. Deux thèmes seront abordés : les aspirations et ambitions des jeunes au travail, ainsi que le pouvoir d’attraction des entreprises et leur sens de l’adaptation.

Dans un second temps, il y aura le grand témoignage de Benoît Serre, vice-président délégué de l’ANDRH & DRH L’Oréal France, qui dévoilera son expertise et son approche concrète sur les évolutions du monde du travail. Ce retour d’expérience sera suivi d’un séance questions/réponses.

D’autres représentants d’entreprises prendront la parole durant la soirée tels que ceux de People In à Avignon, Aroma Zone à Cabrières d’Avignon, ou encore Lokki Kombucha à Cavaillon.

Informations pratiques

Il est encore temps de réserver son billet en ligne pour le prix de 42€ tarif plein, ou 10€ pour les étudiants. Les adhérents LSE doivent se tourner vers l’association d’entrepreneurs afin d’obtenir un code réduction avant de s’inscrire.

V.A.


Robion : les confitures de La Roumanière récompensées au Concours général agricole 2024

Après une 6ᵉ édition qui a réuni près de 200 personnes l’année dernière chez l’entreprise Naturalys à l’Isle-sur-la-Sorgue, l’association d’entrepreneurs Luberon & Sorgues Entreprendre (LSE) réitère l’opération et organise une nouvelle édition de l’événement Parlons Ca$h.

Le mardi 6 juin prochain, entrepreneurs, étudiants, et autres acteurs de l’économie vauclusienne se réuniront chez CERIP, entreprise spécialiste des systèmes de convoyage, à Robion pour une nouvelle soirée Parlons Ca$h.

Comme pour chaque édition, la soirée sera rythmée par plusieurs temps forts partagés entre témoignages, tables rondes, échanges et débats. Cette 7ᵉ édition abordera le thème des nouveaux rapports au travail.

Il est d’ores et déjà possible de s’inscrire et d’acheter son billet en ligne pour le prix de 42€, ou 10€ pour les étudiants. Les adhérents à LSE sont invités à s’adresser à l’association avant de prendre leur billet afin d’obtenir un code de réduction, ils paieront 36€.

V.A.


Robion : les confitures de La Roumanière récompensées au Concours général agricole 2024

Le Flusser Club et l’Université des Sciences Appliquées et des Arts de Potsdam proposent la 2e édition des rencontres philosophiques de Robion. Ce rendez-vous consacré au philosophe de la communication d’origine tchèque Vilém Flusser, robionnais d’adoption jusqu’à son décès, aura pour thème : ’Philosophie, arts, technologies et médias’.

Dans ce cadre, deux événements principaux sont organisés :

  • Mardi 9 mai. 18h. Café de la Gare: vernissage de l’exposition ‘Vilém Flusser à Robion’ réalisée par Marcel René Marburger et les étudiants de l’Université des Sciences Appliquées et des Arts de Dortmund, présentation de la vie et l’œuvre de Vilèm Flusser par Marc Lenot et Baruch Gottlieb. L’exposition présentera des documents d’archives et des vidéos relatifs à la vie de Vilèm Flusser à Robion et à son travail en langue française. L’exposition est visible tous les après-midis de 15h à 18h.
  • Vendredi 12 mai. 18h. Théâtre de Verdure : conférence-débat de Marc Lenot en présence de Baruch Gottlieb (cofondateur de l’association Flusser Club), Marcel René Marburger (ancien directeur scientifique des archives Vilém Flusser à Berlin), les professeurs et les étudiants de l’école d’été internationale DAAD Vilém Flusser suivie d’un apéritif convivial.

L’anti-Brésil
Vilém Flusser était un philosophe, théoricien de la communication et des technologies, écrivain et journaliste né en 1920 et décédé en 1991. Après avoir vécu pendant une longue période dans la ville de São Paulo, Robion, a été le deuxième exil du philosophe Vilém Flusser et son épouse Edith. Ils y ont vécu de 1974 à 1991, date de son accident de la circulation fatal à Prague, sa ville natale. Pour lui, le Vaucluse était une sorte ‘d’anti-Brésil’, un paradis dans une opposition étroite aux paysages ‘désertiques’ du Brésil. Ici, il a trouvé un paysage prospère où plusieurs points de sa pensée étaient liés de manière naturelle et culturelle. Il y écrira de nombreux ouvrages, certains publiés aujourd’hui en français et enseignera à l’Université d’Aix-en-Provence.
Il parlait et écrivait en quatre langues, dont le français. Il n’a pas connu le succès de son vivant en raison de son parcours inhabituel et de son approche visionnaire de la philosophie. Sa philosophie et ses théories sont aujourd’hui enseignées de par le monde dans de nombreuses universités. Les archives de Vilém Flusser ont été conservées par l’Académie des Médias de Cologne et sont actuellement abritées à l’université des arts de Berlin.

« Le propos du Festival d’Avignon doit être, à mon avis, celui de réfléchir sur la différence entre le vivant et l’artificiel, et de la rendre évidente, avant qu’elle ne s’efface. »

Vilém Flusser

Un précurseur sur l’artificialisation du monde dès le Festival d’Avignon 1984 !
Localement il a participé aussi à des travaux et expositions sur Avignon avec son ami chercheur en arts et sciences Louis Bec.
A ce titre, il interviendra lors d’une conférence intitulée ‘Vivre artificiellement’ donnée le 11 juillet 1984 dans la cité des papes dans le cadre de l’exposition ‘Le vivant et l’artificiel’ proposée à l’Hospice Saint-Louis lors de la 38e édition du Festival In.
A cette occasion, il rédigera également un texte plus complet : ‘Vivre artificiellement, vivre spontanément’ dont une partie sera publié aux éditions Sgraffite (Marseille), en 1985. Une autre version de ce texte se trouve dans un recueil collectif éponyme également publié aux éditions Sgraffite en 1984.
Précurseur des rapports ‘homme-machine’, il écrivait alors : « Les robots qui travaillent comme les hommes et les hommes qui travaillent comme les robots, les ordinateurs qui décident comme les hommes et les hommes qui décident comme les ordinateurs. »
Il prophétisait déjà aussi avec clairvoyance « L’homme futur, conscient de la structure de la pensée, pensera, décidera, jugera et agira comme une intelligence artificielle ou comme un robot, à la différence qu’il sera engagé à donner un sens à tout cela en dialogue avec tous les autres hommes et toutes les intelligences artificielles. Il sera joueur (homo ludens). Et l’art de la vie deviendra le méta-jeu de toutes les autres disciplines, y compris la science, la technique, la politique, et l’art au sens traditionnel de ce terme. »

L.G.

Plus d’informations : www.flusser.club


Robion : les confitures de La Roumanière récompensées au Concours général agricole 2024

Maëlle Bellec, originaire d’Apt et Nour Skaf, originaire de Robion, viennent de se voir décerner le ‘Prix jeunes talents France 2021 l’Oréal-Unesco pour les femmes et la science’. Une distinction remise cette année à 35 jeunes chercheuses engagées, dont « les travaux scientifiques contribuent à construire un monde plus durable et inclusif » explique les initiateurs de ce prix organisé pour la 15e année.

Recherche sur l’embryon et les exoplanètes
Doctorante à l’Institut de génétique moléculaire de Montpellier, l’aptésienne Maëlle Bellec a été récompensée dans la catégorie ‘Sciences biologiques – ingénierie’ pour ses travaux visant à percer les mystères du développement de l’embryon.
Pour sa part, c’est dans le domaine ‘Physique et chimie’ que Nour Skaf s’est vue récompensée pour ses recherches concernant le développement d’outils instrumentaux pour l’observation des exoplanètes. La doctorante travaillant notamment avec l’Observatoire de Paris, le ‘Subaru telescope’ du ‘National astronomical observatory of Japan’ à Hawaii ainsi que le ‘Center for space exochemistry data’ de l’University college de Londres.
Ces dernières ont reçu, comme les autres lauréates, une dotation (15 000€ pour les doctorantes, 20 000€ pour les post-doctorantes) afin de les aider à poursuivre leurs travaux de recherche. Elles vont aussi bénéficier d’une formation au ‘leadership’ (management, négociation, prise de parole en public, etc.) « visant à leur donner des moyens supplémentaires pour mieux affronter le plafond de verre qui demeure une réalité dans le monde de la recherche » précise la fondation l’Oréal.

« Il faut que les femmes puissent occuper la place qui leur revient dans la recherche. »

Alexandra Palt, directrice générale de la Fondation L’Oréal

« Les femmes restent trop peu présentes dans la recherche scientifique : elles représentent aujourd’hui seulement 33 % des chercheurs dans le monde, et 28% en France, constate la Fondation l’Oréal ‘For women in science’. En Europe, 86% des hautes fonctions académiques en sciences sont exercées par des hommes. Et moins de 4% des prix Nobel de science ont été décernés à des femmes. »

Cette année, 21 doctorantes et 14 post-doctorantes ont été sélectionnées en France parmi 740 candidatures par un jury composé de 28 chercheurs de l’Académie des sciences. Pour faire émerger une nouvelle génération de chercheuses d’excellence, la Fondation l’Oréal, aux côtés de l’Unesco, remet chaque année, dans plus de 110 pays, via ses différents programmes nationaux et régionaux ‘Jeunes talents pour les femmes et la science’, près de 250 dotations, qui visent à apporter un soutien spécifique aux doctorantes et post-doctorantes, à un moment clé de leur carrière.
« L’année que nous venons de traverser nous a mis à rude épreuve mais a aussi révélé un immense potentiel de résilience et de rebond de la part des femmes, notamment au sein des métiers de la santé, rappelle Alexandra Palt, directrice générale de la Fondation L’Oréal. Le regard et l’expertise des femmes sont absolument nécessaires pour construire un monde résilient, durable et inclusif. Il faut que les femmes puissent occuper la place qui leur revient dans la recherche, car les biais de genre limitent la portée et l’impact des découvertes d’avenir. »


Robion : les confitures de La Roumanière récompensées au Concours général agricole 2024

Enedis et le Châtaigner oeuvrent ensemble pour une société plus juste

Enedis, gestionnaire de réseau de distribution d’électricité (ex ERDF) et le Châtaigner, entreprise adaptée pour le travail des personnes handicapées située à Cavaillon ont renouvelé leur partenariat acté en 2019. En 2020, l’entreprise d’électricité a investi 14M€ dans les entreprises du secteur protégé et adapté et 2,80M€ dans l’insertion par l’activité économique.

Les personnes employées par le Châtaigner œuvreront à réparation et au changement de portes de coffrets électriques ainsi qu’au débroussaillage de postes de distribution publique d’électricité. Dans la foulée la société Enedis s’est engagée dans l’achat solidaire, responsable et de proximité en Vaucluse.

Dans le détail

La convention de partenariat, établie entre Enedis et le Châtaigner, d’une durée d’un an, consiste en la professionnalisation de personnes handicapées –volets sécurité et environnement- pour la réparation de 600 portes de coffrets. La société d’électricité versera également 10 000€ au Châtaigner, hors fourniture de matériel et selon les interventions réalisées et dans le cadre de l’accord Handicap 2021-2023. Enedis s’est également engagée à organiser des visites à caractère industriel dans le cadre du projet pédagogique de découverte des métiers.

La RSE en pratique

«Les enjeux de développement durable sont au centre de la démarche RSE (Responsabilité sociétale des entreprises), a souligné Emilie Blondel, adjoint au directeur Enedis en Vaucluse dans le cadre du Projet Industriel et Humain 2020-2025, qui vise à concilier performance industrielle et approche durable, au plus près des territoires et des clients, en faveur de la transition écologique. Cette démarche responsable et solidaire est une action concrète qui contribue, aux travers de nos achats, à faire changer les regards sur la question du handicap, ainsi qu’à inclure les personnes en situation de handicap dans un véritable projet professionnel. D’autre part, nous dédions certains de nos marchés au secteur protégé. Par exemple, le recyclage des compteurs Linky et le nettoyage de vêtements ‘image de marque’. Enfin, 3 marchés d’élagages sur les 17 dernièrement passés sont dévolus au secteur protégé, les travaux débuteront le 1er janvier 2022.»

Le Châtaigner

L’entreprise adaptée le Châtaigner, ancien atelier autonome, a été créée par l’association Vauclusienne d’entraide aux personnes handicapées. C’est une société par action simplifiée unipersonnelle (Sasu). Elle est agréée Entreprise solidaire et sociale. Elle salarie et accompagne les travailleurs handicapés en facilitant leur adaptation et leur apprentissage au poste de travail tant en terme de savoir être que de savoir-faire ; La production de biens ou de services dans le souci de la satisfaction des clients -délai et qualité- ; L’accompagnement lié à la santé et à la sécurité du personnel et socio-professionnel dans le respect de la personne. Les salariés interviennent dans la sphère du multi services en second œuvre bâtiment : peinture, électricité, plomberie, maçonnerie, carrelage, climatisation ; en espace vert ; dans la prestation en atelier et en entreprises. L’entreprise adaptée se situe 199, route de Cavaillon à Robion.


Robion : les confitures de La Roumanière récompensées au Concours général agricole 2024

Dans le cadre de travaux de construction d’un ouvrage permettant le passage de la véloroute du Calavon sous la RD 2, à compter du lundi 18 janvier, et pendant 4 mois, la circulation sera entièrement basculée sur une route provisoire.

Pour le Conseil départemental de Vaucluse, en charge du chantier, il s’agit d’aménager et de sécuriser un point particulier de la véloroute, à savoir la traversée de la RD 2 située sur la commune de Cavaillon. L’ouvrage, constitué d’un pont dalle en béton, s’intègrera à terme de manière discrète dans le site. L’ouverture de l’ouvrage a été calée de manière à éviter l’effet tunnel et laisser passer le maximum de lumière. La largeur de la voie verte sous l’ouvrage sera identique à la section courante, soit 3 mètres de large. Le coût prévisionnel de l’opération est de 2,8 M€ HT, financé par le Département de Vaucluse, l’Etat et la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur. Une instruction est en cours afin d’obtenir un financement européen au titre du FEDER (Fonds européen de développement régional).

A ce jour, 36 km de la véloroute du Calavon ont déjà été réalisés dont une majorité en voies vertes entre Saint-Martin-de-Castillon et Robion. La liaison entre Saint Martin-de-Castillon et Céreste est assurée sur de petites voies partagées à très faible trafic. Après une première phase amorcée en 2020 sur la section comprise entre Robion et Cavaillon, les travaux se poursuivent sur la RD 2. Une troisième phase consistera à réaliser la section comprise entre le Chemin du puits de Gavottes à Cavaillon jusqu’au passage inférieur rue Jules-Grand, section qui est pour l’instant en attente du déclassement de l’ancienne voie ferrée.

 


Robion : les confitures de La Roumanière récompensées au Concours général agricole 2024

Du 21 au 29 novembre, à l’occasion de la semaine européenne de réduction des déchets, Ecosystem et la communauté d’agglomération Luberon Monts de Vaucluse lancent ‘Laisse Parler Ton Cœur’, une collecte solidaire de jouets d’occasion qui seront ensuite distribués à des enfants de familles dans la précarité.

Ecosystem, l’éco-organisme en charge de la collecte et du recyclage des équipements électriques en France, lance la 11ème Édition de ‘Laisse Parler Ton Cœur’, une collecte solidaire de jouets d’occasion à laquelle s’associe l’agglo Luberon Monts de Vaucluse. Les habitants sont invités à venir déposer leurs jouets d’occasion dans les 13 points de collecte mis en place par Ecosystem et la collectivité. Des jouets qui seront ensuite redistribués à des enfants de familles très modestes.

Dans le cadre de la collecte, tous les jouets sont acceptés : électriques et électroniques, en bois, poupées, puzzles, peluches, déguisements pour tous les âges. Il est cependant important de vérifier qu’ils sont en bon état et complets avant de les donner. Pour participer à l’opération dans le respect des conditions de circulation liées au nouveau confinement, il suffit de cocher sur l’attestation dérogatoire de déplacement ‘Pour se rendre dans un service public ou chercher les enfants à l’école’. L’an dernier, 1 700 hottes de jouets d’occasion ont été collectées en France.

Les lieux participants à la collecte :

Déchetterie Puits des Gavottes, chemin Dorio à Cavaillon

Ecole Primaire Jean Moulin, route de Pertuis à Cavaillon

Ecole Primaire les Vignères, rue des écoles à Cavaillon

Ecole Primaire Charles de Gaulle, 213 avenue Elsa Triolet à Cavaillon

Ecole Primaire Saint-Charles, 197 cours Sadi Carnot à Cavaillon

Lycée Alexandre Dumas, rue Alfonse Jauffret à Cavaillon

Ecole les Ratacans, avenue Pierre Mendes France à Cavaillon

Déchetterie Lauris, Service technique, ancienne route de Puget à Lauris

Ecole Primaire de Lauris, 18 rue Louis Mourre à Lauris

Déchetterie Vaugines RD45, la Grand garrigue à Vaugines

Ecole Primaire de Lourmarin, rue Henri de Savornin à Lourmarin

Ecole Primaire Puget, rue du Temple Lebourg à Puget

Mairie de Robion, place Clément Gros à Robion

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