26 août 2025 |

Ecrit par le 26 août 2025

‘Voies de passage’, entretien entre un ancien syndicaliste et un capitaine d’industrie

Ce sont les Éditions de l’Aube, créées par le sociologue Jean Viard à la Tour d’Aigues, qui publient ce livre inédit d’entretien. D’un côté, Laurent Berger, ancien secrétaire général de la CFDT, aujourd’hui directeur de l’Institut Mutualiste pour l’Environnement et la Solidarité et créateur de la collection La société du compromis. De l’autre, Benoît Bazin, PDG du Groupe Saint-Gobain qui existe depuis 1665 (360 ans), emploie 160 000 collaborateurs dans 80 pays, compte 900 usines dans le monde et affiche un chiffre d’affaires de 50Mds€.

Entre un militant et un patron, ce dialogue a été rendu possible grâce à la volonté de ces deux hommes de « se parler, s’écouter, rapprocher les points de vue de chacun, communiquer pour se comprendre, bref, de trouver des Voies de passage’, même si on n’est pas forcément d’accord sur tout mais on se respecte », écrit Laurent Berger dans la préface. Au fil des chapitres, il va interroger Benoît Bazin sur ses racines normandes, sa famille, ses études, ses valeurs, sa carrière et son action au sein de l’entreprise du CAC 40 spécialisée dans le bâtiment et la construction.

Pourquoi ce choix ? « Parce que je l’avais déjà rencontré, répond Laurent Berger. Ce qui m’avait intrigué chez lui, c’était son sens de l’écoute et de la nuance, mais aussi l’humanité qui émanait de sa personnalité. Loin de l’arrogance supposée de ses corelégionnaires. J’ai découvert les facettes d’un homme engagé qui porte des valeurs fortes. Ni grande gueule, ni donneur de leçons. Leader mais pas gourou. Faire le choix de la transition écologique, défendre un capitalisme plus responsable, se préoccuper de chacun et particulièrement des plus fragiles, porter des propositions concrètes sur le logement, le travail, la formation. Donc trouver ‘des voies de passage’, voilà ce qui nous a réunis. D’autant que je considère que l’entreprise est le terrain de jeu idéal du compromis. »

Tour à tour son évoqués dans le livre l’enfance de Benoît Bazin à Caen, ses grands-mères « modernes et libres » qui travaillaient toutes les deux à une époque où les femmes étaient plutôt cantonnées à rester au foyer, ses parents médecins hospitaliers, lui en réanimation, elle en pédiatrie. Ses études, sa découverte puis sa passion pour le du violoncelle et la montagne, son arrivée à Paris en prépa au Lycée Louis le Grand, puis à Polytechnique et Ponts & chaussées. « Je crois beaucoup en la transmission de valeurs, d’expérience », confie-t-il. Entré chez Saint-Gobain en 1999, il grimpe tous les échelons jusqu’à président depuis l’an dernier.

« En 2021, la construction durable est devenue notre ADN. il faut savoir que le bâtiment représente 40% des émissions de CO2 et qu’il consomme 50% des ressources naturelles. Donc l’enjeu pour nous est majeur : rendre cette activité vertueuse, construire vite et bien, faire plus, mieux avec moins. Réemployer les matériaux comme le gypse et le verre, recycler, réduire le gaspillage, améliorer le confort acoustique, thermique, la qualité de l’air. Comme nous le disons dans l’entreprise à l’unisson avec tous les salariés, ‘faire du monde une maison commune plus belle et durable’. 

Tout le personnel est mobilisé sur la rénovation énergétique. Elle permet dans une maison individuelle de faire baisser la facture de 70% et donc de retrouver du pouvoir d’achat. D’ailleurs, nous investissons chaque année 600M€ dans le recherche et le développement – dont 60% en France – avec 4 000 agents dévolus à l’innovation dans le monde entier et nous déposons environ 400 brevets par an. En 360 ans d’existence, Saint-Gobain en a traversé des guerres, des révolutions, des crises, des changements de direction et d’actionnaires, mais nous continuons à avancer. L’entreprise, contrairement aux gouvernements n’est pas contrainte par les échéances électorales », ironise-t-il. Lui qui a assisté à 2 COP à Glasgow et Dubaï, résume : « Il vaut mieux changer les choses de l’intérieur que de les critiquer de l’extérieur. »

Que fera-t-il quand il quittera le groupe Saint-Gobain ? « Transmettre, devenir bénévole, cela donne du sens. Le plus beau métier du monde ? Être maire, il peut changer la vie des gens. » Benoît Bazin pourra aussi s’adonner à la musique, aux suites pour violoncelle de Bäch et à la montagne. « Sur les 82 sommets de plus de 4 000 mètres d’altitude, dans les Alpes, j’ai dû en gravir 16 ou 17 ! ». Il lui en reste encore quelques-uns pour s’adonner à l’ivresse des cimes tout en gardant les pieds sur terre.

©Éditions de l’Aube

Contact : contact@editionsdelaube.fr / 04 90 07 46 60


‘Voies de passage’, entretien entre un ancien syndicaliste et un capitaine d’industrie

Le groupe Saint-Gobain, leader mondial de la construction durable présent notamment au Pontet et à Cavaillon, lance une campagne de recrutement d’alternants en France pour 2025-2026. 60 postes sont à pourvoir en région Provence-Alpes Côte d’Azur.

Ouverts à tous les niveaux d’étude, du CAP au  Master, les postes en alternance proposés par Saint-Gobain concernent aussi bien les activités de l’industrie ou de la distribution de matériaux, que les fonctions supports (marketing, achat, digital) ou opérationnelles (maintenance, vente,  logistique…).

Les contrats en alternance reposent sur une logique d’acquisition de compétences et de transmission des savoirs. Faire son alternance chez Saint-Gobain permettrait aux étudiants de s’engager concrètement dans la transition durable du bâtiment et de la construction. Des perspectives d’embauche sont envisageables à l’issue du contrat.

« Notre ambition est de construire un environnement de travail motivant, où tous nos collaborateurs  trouvent un sens au quotidien dans leurs actions, explique Régis Blugeon, directeur des Ressources Humaines de Saint-Gobain France. Les nombreuses opportunités de carrière offertes aux jeunes talents constituent un véritable levier pour leur développement professionnel, tout en contribuant activement à la transition durable du bâtiment. »

Pour faire connaître ses offres d’emploi en alternance, Saint-Gobain vise les jeunes à travers des vidéos sur le réseau social Tiktok, mettant en avant ses alternants qui parlent de leurs missions, leurs projets ainsi que de l’ambiance au travail.

Pour accéder aux offres d’emploi en alternance, cliquez ici.


‘Voies de passage’, entretien entre un ancien syndicaliste et un capitaine d’industrie

Duralex, créé en 1945 par Saint-Gobain, qui possède un centre d’études et de recherches à Cavaillon, co-crée une série limitée de verres avec Le Slip Français pour relancer l’entreprise fabricante de vaisselle en verre trempé suite à sa reprise par ses employés. Un projet auquel le groupe Carrefour prend part pour apporter sa force de vente. Les verres seront notamment vendus dans l’hypermarché d’Orange.

Duralex a été repris par ses salariés, sous la forme d’une Société Coopérative de Production (SCOP). Dans cette reprise, Le Slip Français et Duralex ont imaginé une Commande Nationale sous la forme d’une série limitée de verres qui seront vendus dans plus de 130 hypermarchés du groupe Carrefour. En Vaucluse, on pourra les trouver dans celui qui se situe à Orange.

Cette première commande de 8 000 lots de six verres, soit 50 000 pièces, vise à promouvoir le savoir-faire français de Duralex auprès des clients de Carrefour et permettra de contribuer à la relance de l’entreprise. Le Slip Français, de son côté, accompagne les salariés de Duralex dans la valorisation du patrimoine culturel et industriel de l’entreprise, en mettant à disposition son expertise en matière de marketing et de
communication.

©Duralex x Le Slip Français

Préserver l’emploi local

En accompagnant Duralex, Carrefour et Le Slip Français souhaitent participer à la préservation de l’emploi local, et à la sauvegarde de savoirs uniques qui permettent de produire de façon plus durable et responsable. Grâce à la reprise de l’entreprise par ses salariés, les 229 emplois de La Chapelle Saint Mesmin, près d’Orléans, sont maintenus, et permet la mobilisation de 380 fournisseurs et 600 emplois locaux, du cartonnier au décorateur de verre.

L’entreprise Duralex, forte de 350 références, fabrique par ailleurs ses verres de façon plus durable puisqu’ils génèrent 58% d’émissions de CO2 en moins que leurs équivalents importés.


‘Voies de passage’, entretien entre un ancien syndicaliste et un capitaine d’industrie

Le groupe Saint-Gobain vient de lancer une campagne de recrutement de 1 200 alternants sur toute la France. Ces embauches concernent 60 postes dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur dont une plus d’une dizaine en Vaucluse. Ces contrats en alternance sont à pourvoir au sein du centre de recherche de Saint-Gobain à Cavaillon comptant plus de 200 salariés ainsi que le site Saint-Gobain ZirPro du Pontet qui dispose de deux centres de recherche et de développement.
Ces postes sont ouverts à tous les niveaux d’études, du CAP au Master, dans toutes les filières métiers notamment : commerce, technique production, logistique, exploitation, ressources humaines, finance, R&D, marketing, hygiène sécurité environnement.
Certifié Happy Trainees depuis 2016, Saint-Gobain est arrivé en 2023 à la première place de la catégorie ‘Alternance, +500 alternants’ du classement des meilleures entreprises pour faire un stage. Une reconnaissance par les étudiants de la qualité des missions d’alternance proposées pour ce groupe 160 000 collaborateurs répartis dans 76 pays et qui a réalisé un chiffre d’affaires de 47,9 milliards d’euros en 2023.

Dans le top mondial des employeurs modèles
« Employeur majeur d’alternants en France, je me félicite que Saint-Gobain, leader mondial de la construction durable (ndlr : l’entreprise s’est engagée à atteindre zéro émission nette en carbone d’ici 2050), soit jugé par les jeunes eux-mêmes comme une entreprise où il fait bon faire une alternance tant les opportunités de carrière offertes aux jeunes talents sont nombreuses et stimulantes pour accompagner la transition bas carbone du bâtiment, dans l’industrie comme dans la distribution », explique Régis Blugeon, directeur des ressources Humaines de Saint-Gobain France.
Les initiatives du Groupe en France en faveur des stagiaires et alternants se traduisent aussi par une attention portée à 100% des candidatures dans le cadre d’un partenariat renouvelé avec le cabinet Yaggo, chargé d’apporter des réponses adaptées et des conseils personnalisés à chaque candidat non retenu. L’an dernier, les 20 000 candidatures reçues ont ainsi fait l’objet d’une réponse jugée ‘meilleure’ que celles des autres entreprises par 98% des répondants.
Le groupe a également reçu pour la 9e année consécutive la certification ‘Top employer global’, une reconnaissance détenue par seulement 17 entreprises dans le monde. 

Consultez ici les offres de recrutement en Vaucluse et en Paca.


‘Voies de passage’, entretien entre un ancien syndicaliste et un capitaine d’industrie

En mai 2021, le groupe Saint-Gobain signait un contrat-cadre avec Zenride, le premier service de location de vélos en entreprise. Après une phase de test, le service de location s’est élargi à l’ensemble des filiales . Aujourd’hui, 37 vélos sont utilisés par des salariés des trois sites vauclusiens du groupe.

En mai 2021, le groupe Saint-Gobain signait un contrat-cadre avec Zenride, le premier service de location de vélos en entreprise. Depuis le début d’année, et après une phase de test, le service de location de vélos Zenride est proposé à l’ensemble des filiales du groupe, quelle que soit leur fonction, soit plus de 30 000 personnes.
Le site Isover dispose de 27 vélos pour 43 inscrits. De quoi équiper 11% des 247 salariés de la plus grande usine de laine de verre d’Europe qui va aussi bénéficier d’un investissement de 15M€ pour reconstruire son four en 2023.
Pour sa part, le site CREE (Centre de recherche et d’études européen) créé en 2003 à Cavaillon, qui emploie 200 salariés, dispose de 10 vélos pour 28 inscrits (5% des salariés ont un vélo).
Enfin, le lancement du service dans un troisième site de la région, le site SEPR du Pontet, est également prévu dans le courant de l’année.

Un bon geste pour la planète et pour le corps
Cette action vient renforcer la politique du groupe Saint-Gobain en faveur de l’environnement, ‘Agir durablement’. Impact positif pour la planète et pour la marque, cette action représente également des économies. Annuellement, ce sont 300€ qui sont économisés en moyenne par les salariés qui optent pour le vélo.
« Zenride accompagne le groupe à promouvoir des pratiques qui sont aussi bien bénéfiques pour la planète que pour le bien-être et l’engagement de leurs collaborateurs », indique Régis Blugeon, DRH France du groupe Saint-Gobain.

https://www.youtube.com/watch?v=utxZCnoDYns
Retrouvez dans la vidéo ci-dessus les témoignages de la direction de Saint-Gobain et des salariés.

‘Voies de passage’, entretien entre un ancien syndicaliste et un capitaine d’industrie

L’ancienne carrière située à quelques pas du théâtre antique d’Orange donnera le jour à l’Ecopôle touristique Saint-Eutrope. L’écoquartier accueillera des résidences hôtelières, un parc aquatique ainsi qu’une ferme urbaine. Le lieu offrira des activités liées à l’œnotourisme et invitera à la détente, au fil des saisons, cyclotouristes, artistes, amateurs d’art lyrique et familles.

L’objet de cette transformation ? L’ancienne carrière Saint-Eutrope sans activité depuis 1964 dont Thierry Chéhovah, propriétaire-aménageur a fait l’acquisition en 2014. Un emplacement situé rue du Bel enfant déployé sur 17 hectares où le promoteur entrevoit la construction de bâti sur 4 hectares. Bien sûr les bâtiments seraient labellisés HQE (Haute qualité environnementale) intègreraient la transition énergétique et seraient conçus avec une réelle ambition architecturale.

Architecture innovante et construction écoresponsable bas carbone

«Nous faisons appel au cabinet marseillais international Rougerie-Tangram, spécialiste de l’innovation architecturale et urbanistique, pour le schéma directeur d’aménagement du quartier, la conception des ouvrages et des éléments paysagés, a détaillé le fondateur de la société Immobilis, le quartier disposera d’une offre de restauration issue de l’agriculture de la ferme urbaine et des produits du terroir proche.»

Un quartier sans voiture

Enfin, le projet sera planté sur 5 hectares offrant un poumon vert et un lieu de promenade sans voiture au cœur de la cité antique romaine. «Pour cela l’entrée sud offrira un espace de stationnement aux voitures, véhicules de livraison et cars tandis qu’une association gèrera les mobilités avec des autos zéro émission, les déchets et l’entretien du parc urbain et paysager ainsi que la nature environnante préservée,» détaille le chef d’entreprise.

Bien s’entourer

Pour mener à bien son projet il est nécessaire de bien s’entourer. Et ce sera chose faite promet Thierry Chéhovah qui a scellé des partenariats avec EDF-Dalkia missionné pour rendre le projet 100% décarbonné. Saint-Gobain sera de la partie pour ses matériaux innovants de construction thermiques, acoustiques, visuels et sanitaires. D’ailleurs la R&D (Recherche et développement) a été diligentée pour faire du projet ‘une vitrine de l’innovation’. Cela pourrait prendre la forme d’un centre de formation sur l’écoconstruction et l’éco-climatisation, le tout organisé par les partenaires industriels du projet. Enfin, cerise sur le gâteau, Véolia sera chargée de la résilience et de l’économie circulaire sur la gestion de l’eau et des déchets. L’écoquartier sera aussi Smart (intelligent).

Le pari

Le pari de Thierry Chéhovah ? Donner des buts de rester et de prolonger leur séjour aux 73 000 automobilistes qui passent chaque jour par l’autoroute à Orange, accueillir les touristes qui proviennent des TGV de la gare d’Orange et les cyclotouristes de 2024 qui fréquenteront Orange parce que la ville sera à la croisée des véloroutes entre le cercle polaire en Norvège et la Sicile et entre les côtes Turques et Cadix en Andalousie (Euro vélo 8 de Izmir en Turquie à Cadix en Espagne) ; des Via Venaissia et Rhona (Euro vélo route 17 des sources du Rhône en Suisse à la Camargue). Dans le détail ? On veut aussi séduire les cyclistes qui s’apprêtent à gravir le Mont Ventoux, les Monts de Vaucluse et les côtes du Luberon. Pour l’heure ? La pratique du vélo suscite 200 000 séjours par an dans le Vaucluse et le parc naturel régional du Ventoux propose 300 km de piste VTT.

En savoir plus sur les véloroutes

Via Rhona et Via Venaissia sont connectées à Orange. La liaison douce entre le Pôle d’échange multimodal d’Orange et Jonquières devrait être réalisée d’ici 2024 par le Département, la CCPRO (Communauté de Communes des Pays de Rhône et Ouvèze) et le Syndicat de la Via Venaissia avec le soutien financier complémentaire de la Région dans le cadre du contrat d’axe. Le budget d’élève à 1,4 M€ et prévoit la liaison à la Via Rhona (EuroVélo 17) par une nouvelle passerelle dite du Jonquier-sur-l’Aygues. L’ouvrage normé vélo-route devrait voir le jour en 2022-2023 et être financé par la CCPRO et le Département pour 600 000€. Les études sont déjà lancées et les financements partagés actés entre partenaires institutionnels. La Via Venaissia est connectée, quant à elle, à l’Euro Vélo 8.

L’art lyrique

Et puis il est aussi question de capter une belle proportion des spectateurs des Chorégies avec sa jauge de 5 000 amateurs d’art lyrique ou de concert dont on se rappelle que David Guetta avait fait le plein avec 8 500 billets vendus le 14 août dernier. Il est vrai que l’opéra et la musique classique se pratiquent à Orange depuis… 1869 ! Alors il est question de créer une résidence d’artistes à l’année et même un institut universitaire des métiers liés à l’art lyrique.

Seul c’est bien mais à plusieurs on va plus loin

Et cela, Thierry Chéhovah l’a bien compris qui, pour solidifier son projet, a intégré le Club de l’Amélioration de l’Habitat regroupant des acteurs majeurs, publics et privés, de la filière entretien-rénovation du parc résidentiel privé français. Cette association assure, depuis 1992, la promotion des nouvelles pratiques de management de projets de construction et d’urbanisme qui respectent les engagements de la responsabilité sociétale. Le Club accompagne ainsi le déploiement des innovations de modélisations numériques qui permettent une gestion transversale des projets, tant entre les différents corps de métiers que les usagers et les citoyens. Ces outils assurent l’optimisation de la gestion de l’information et sa transparence en temps réel. On évoque là le déploiement des outils BIM (Building Information Model), CIM (City Information Model) et TIM ((Town Information Model). L’association vous organisera une démonstration des solutions numériques QIM, Quartier intelligent modélisé, outil digital qui devrait être adopté sur Orange.

Cohérence réglementaire et subventions

Le Plan local d’urbanisme (PLU) a été voté en conseil municipal pour mettre le quartier en accord avec les documents de référence : Le Projet d’aménagement et de développement durable (PADD), Le Schéma de cohérence territoriale (Scot), Le quartier se situe hors zone tampon Unesco. Le projet bénéficiera, en partie de subventions notamment dans le cadre du Plan de relance France 2030• Le schéma régional d’aménagement et de développement durable du territoire (SRADDT), du Contrat régional d’équilibre territorial (CRET), du SDDT du Vaucluse 2020-2025 (Schéma Départemental de développement touristique).

Esquisse de l’Ecopôle Saint-Eutrope à Orange. Thierry Chéhovah a acquis les 17 hectares de la carrière dont 4 seront bâtis, 5 seront plantés, paysagés et 8 hectares restant en garrigues. Le lieu présente une très importante dénivellation allant de 10 à 30 m de haut

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